Tu marches dans les couloirs de Hungcalf les bras pleins de livres et un sac plein de fioles vides à l'épaule. Tout ça directement pour l'infirmerie. C'est toi qui t'est portée volontaire après avoir appris qu'il y avait eu déjà des dommages après les premiers duels. Donc tu voulais aider un peu, voir si tu pouvais apprendre aussi des techniques directement en soignant des gens. Ton laissé passé était donc de ramener ce dont l'infirmière pouvait avoir besoin en temps de crise comme celui là. Les cours ont repris depuis peu, chaque année devenant plus dure que la précédente, mais toi tu es une élève appliquée bien que cette année amène aussi plus de distraction que les autres. Entre ton frère que tu essaies de remettre sur pied depuis les vacances, Altas et le cours des choses... La vie suit sur son cours non ? On ne peut pas dire que tu sois pressée que le temps passe. Bien sûr il te reste encore du temps avant la fin de tes études, pour l'instant tu es dans l'inconnu de ce que va être ton futur. Tu n'as pas encore de nouvelles dudit fiancé. Tes parents ne veulent rien te dire. Ils sont assez excités sur ce sujet, tu as du mal à comprendre. Croient ils que tu partages leur enthousiasme ? Tu as l'impression parfois qu'ils t'en parlent comme d'une faveur qu'ils te font. Comme si avoir un mari riche, de sang pur était tout ce qui te préoccupait dans ce bas monde. Si c'était si bien tout le monde le ferait non ? Ca te répugne même de penser que tu dois rentrer dans leur jeu, perpétué cette tradition horrible sachant qu'il a été prouvé -même génétiquement- que les sang mêlés étaient plus robuste dans leur santé que les sang purs... En même temps il y a tellement de parenté dans les sang purs que tu te demandes comment vous n'êtes pas tous fous... Quoi que ça expliquerait l'engouement de certains à cultiver le sang pur.
Tu es en pleine réflexion alors que la porte s'ouvre sur un élève qui en sort, tu en profites pour te faufiler à l'intérieur. Il y a du monde, en même temps il te semble avoir entendu parler d'une explosion qui aurait mal tournée. Mais il n'y a personne alité, juste des égratignures, c'est déjà ça. Tes bras sont encore chargé, il faut que tu trouves une personne en charge ici pour savoir où tout déchargé. Tu t'avances dans l'infirmerie pleine de lit, avec une odeur bien particulière... Personne ne fait attention à toi bien entendu. Et puis arrivé au fond, après avoir presque failli tout renversé deux fois, tu entrevois une personne de dos qui à l'air de s'occuper à remplir des fiches. "Excusez moi, on m'a demandé de rapporter ça ici, où est ce que je peux le poser ?" Une blonde de dos, tu ne saurais dire à qui tu t'adresses, il n'y a pas qu'une personne qui travaille ici, et même si tu connais en général ceux qui y sont, la nouvelle année ramène son lot de nouvelles têtes non?

Tu as toujours été une bonne élève Lucrèce, appliquée et sérieuse. Tu faisais partie des meilleurs de ta promo et encore aujourd'hui tu luttes pour la ou les premières places. Ton esprit de compétition dans ce genre de cas est toujours décuplé. Tu ne veux pas être la meilleure pour être la meilleure, tu le veux aussi pour battre tous les autres à plat de couture. Dans tous les domaines c'est la même chose. Bien entendu tu es capable de réalisé quand tu n'es pas la meilleure, mais ça ne fait que t'encourager à faire mieux la prochaine fois.
Alors oui, tu fais aussi du travail en plus. Parce qu'il faut fournir des efforts, et l'infirmerie dans ton cas c'est clair que c'est la chose à faire. Parce qu'après tout quand on envisage d'être médicomage, l'infirmerie où sont les malades semble l'endroit indiqué. Tu as vu une fille qui semble travailler là, et tu t'adresses à elle dans tout ce brouhaha. Elle semble t'attendre visiblement, et se retourne." Vous pouvez le mettre sur la table près de la fenêtre, en écartant les dossiers…" Voilà que te souries ta future belle soeur. Tu te décompose, ton visage se décompose, tu voudrais être ailleurs et en même temps tu sens ton sang qui ne fait qu'un tour. Combien de temps ça fait que tu ne l'as pas vue ? Tu ne saurais dire, mais une chose est sûre c'était la dernière personne sur cette terre que tu avais envie de croiser là maintenant tout de suite ou à aucun autre moment. "Oh … Bonjour Luce. Pour une surprise…" Rien que d'entendre ton surnom dans sa bouche te fais grincer des dents. Clairement tu aurais presque oublié le pourquoi tu es là, et que tout ça pèse sur tes bras. "Qu'est ce que tu fais là?" Mécaniquement tu détaches ton regard d'elle pour aller poser tout ce qui t'encombre. Pourquoi est elle là ? Tu te poses cette question en boucle. Elle n'est pas sensée être à Hungcalf, elle est sensée être loin d'ici... Pas là en tout cas. Tu réfléchis à toute vitesse. "Pour lequel des deux abrutis tu es venue ? Mon frère ou Muller ?" Qu'est ce que ça peut être d'autres ? Tu la dévisages, bras croisés sur ta poitrine. Il est clair que ton attitude est hostile. Tu avais fait la liste de tout ce que tu voulais lui dire, mais là il n'y a rien qui sort. Tu es prise de court il faut le dire. Tu ne t'attendais vraiment pas à la voir là.
Tu vois les changements qui se sont opérés en elle, les cheveux surtout, mais elle a l'air fatigué. C'est ce qu'il se passe quand on a un enfant apparemment. Cependant elle n'a pas l'air aussi triste que Marcus. Elle, elle à l'air d'aller bien.

Pourquoi Rose est elle là ? Pourquoi se retrouve t'elle à l'infirmerie de Hungcalf quand elle n'était plus sensée être là cette année. Tu pensais t'être débarrassée d'elle une bonne fois pour toute.Et bien non elle revient toujours et encore quoi qu'il arrive. Elle est pire qu'une mauvaise herbe, ou même une forêt de bambou indéracinable. Oui il n'y a rien de pire que Rose Coldridge qui a failli être Rose De Gray. Et dire qu'à un certain point de ta vie tu étais heureuse que ça soit le cas. Tu étais heureuse pour ton frère et elle même si du coup c'est sur toi qu'est retombé le mariage arrangé. Maintenant tu en veux juste au trois. Comme le montre le fait que tu traites aussi ton frère d'abruti. Ok, tu lui en veux sans doute moins qu'aux autres. C'est ton frère après tout. "Et bien comme tu le vois, j’ai été embauchée comme infirmière à mi-temps ici, au moins pour cette année… Ils ont eu un désistement, j’étais disponible et je connaissais déjà les lieux et les protocoles de soins alors …" Ils n'avaient personne d'autre à embaucher ? Quelle ironie du sort. Ca voulait dire aussi, que tu allais la voir plus souvent que tu ne l'aurais voulu. "Parfait." Rien n'a l'air parfait dans le son que ta voix fait en sortant de ta bouche. Non ce n'est pas parfait, non tu n'as pas envie de la voir. Mais oui il faut qu'elle en rajoute forcément une couche parce que c'est Rose et que ne rien dire n'est pas humainement possible pour elle. "Je suis là parce que je ne suis pas née avec une cuillère en argent dans la bouche et que dans mon monde à moi, papa et maman ne sont pas là pour payer mon loyer, mes frais d’étude et les couches de mon fils. Donc je fais ce que font les gens normaux. Je bosse." Des choses sincèrement pas sympas à lui dire, tu en as des milliers. Peut être: "tu te plaignais pas de notre cuillère en argent quand mon frère payait", ou que "si tu n'avais pas eu un gosse avec un connard pas fini -ou à l'eau de javel- tu ne serais pas entrain de pleurer pour payer des couches...". Répondre à Rose ça voudrait dire que tu rentres dans son jeu. Et puis tu ne te sens pas le besoin de te justifier. Pas avec elle, pas avec cette hypocrite. "Mais c'est qu'elle mordrait presque..." Non tu ne peux pas rien dire non plus. Et puis les reproches qu'elle te fait, c'est ce que tu entends toute la journée sur les sang purs. Enfin pour les riches. Comme si c'était la seule chose que vous étiez. Des gosses de riche avec aucune autre ambition que dépenser l'argent de papa et maman. Oui c'est bien connu. "Si tu es là pour me cracher dessus et me dire à quel point tu me méprises, prends un ticket, tu n’es ni la première, ni la dernière, et je crois que j’ai déjà compris le message. En revanche si tu es là pour aider l’Infirmière, qui qu’elle soit, alors j’ai des potions à distribuer dans la pièce d’à coté, avant que l’un d’entre eux se trouvent vraiment mal." Clairement pour le coup tu as plutôt l'impression que c'est elle qui est entrain de te cracher dessus plutôt que l'inverse. Parce que toi tu n'as pas dit grand chose. "Tu es entrain de me cracher dessus. Juste pour clarifier la situation." Tu lui offres un grand sourire complètement faux comme seule les filles comme vous sont capables de faire. "Moi j'étais juste venue donner un coup de main à la base." Tu poses le sac par terre. Tu sais déjà de quelles potions elle parle. Tu prends un plateau où tu les disposes, et t'en va vers les lits. Mais tu es complètement perdue dans tes pensées à mesure que tu t'approches des élèves-patients pour leur demander leur état, et distribuer les potions en fonction des besoins. La seule chose que tu arrives à mouliner c'est: "pourquoi est elle là ?" ça aurait été tellement plus simple si elle n'était jamais revenue. Tellement plus simple si elle était restée dans le trou à rats dans lequel elle se terrait jusque là. Tu te rends compte à quel point tu as de la rancoeur envers cette fille. C'est plus fort que toi. Est elle vraiment à blâmer ? Elle n'est pas le mal en personne. Mais ce qu'elle a fait. Comment pourrais tu arriver à passer au dessus de ça ? Tu ne l'as jamais revu, elle ne s'est jamais expliqué. Pourquoi devrait elle s'expliquer... a toi ? Bien sûr le tord qu'elle a fait ne t'as pas toucher directement. Mais si on suit les faits : à cause d'elle tu es sujette à un mariage arrangé, elle a brisé le coeur et la vie de ton frère, et elle t'as déçue... Clairement déçue. Parce que tu avais confiance en elle. Tu pensais qu'elle était sincère et que tu la considérais comme une soeur. "Juste" à cause de ça, ça suffit à ce que tu lui en veuilles.
C'est là, entre deux lits que tu trébuches sur un sac dans l'allée et que tu perds l'équilibre. Un des flacons s'échappe du plateau, et finis sa course au sol. "Merde." Tu as laissé échappé ça plus fort que tu n'aurais voulu, et plusieurs regards se tournent vers toi. Tu bredouilles un "désolée" accompagné d'un petit sourire à l'attention des curieux. Et tu te baisses pour ramasser les morceaux rageusement, jusqu'à ce qu'il y en ait un qui t'entaille sérieusement la main alors que tu l'as serré un peu trop fort. Un nouveau juron, un cri, et un autre juron. Non transcrit ici.

Parfois on dit que le hasard fait bien les choses, mais c'est aussi très souvent de manière ironique. Là c'est clairement le cas. Clairement ton ex belle soeur, aurait pu et dû se trouver n'importe où mais pas ici. Mais le karma c'est le karma non ? Et toute les deux, vous ne pouvez vous empêcher de grogner et montrer les dents. Tu aurais des choses à dire, des questions à poser, et pourtant ça se passe plutôt mal. Cette fille à fait du mal à tout le monde, y compris toi. Elle ET ton frère ont ruiné ta vie. Et on te demande en plus de faire comme si de rien était. Mais ce n'est pas aussi simple cette fois. tu n'as plus envie d'être la petite fille docile qui dit Amen à tout. Tu l'as trop fait pour l'amour et le bien de cette famille non ? "Je ne mords pas, vous avez juste tous trop l’habitude que j’arrondisse les angles sous prétexte de vous plaire. Et crois moi que si je te crachai dessus, tu n’arborerais pas un sourire aussi large." Tu lèves un sourcil. Tu n'as pas l'impression qu'elle ait jamais adoucit les angles.
Décidant de ne pas répondre, tu fuis. Ce n'est pas comme si cette discutions pouvait avoir une fin heureuse. Vous avez toutes les deux de bons arguments qui font que vous aurez du mal à changer de position.
Cependant tu ne peux pas faire autrement que d'y penser. Tu boues, et tu fais n'importe quoi à première vue. La tête ailleurs tu casses tout, et ça n'arrange rien quand tu finis par te blesser sérieusement. Nouveau coup de l'ironie du sort non? C'est un peu comme de se faire renverser par une ambulance moldue. Au moins c'est le bon endroit pour se faire mal. Evidement c'est ta main droite qui est endommagée, et ça te rend encore plus maladroite. Tu jures, marmonnes, et ça ne s'arrange pas quand tu vois Rose accourir. Elle fait disparaître les morceaux de verre de ta main, et malgré toi tu soupires de soulagement. Il y en avait un profondément ancré. "Retourne dans le bureau et attend que je revienne voir ça. J’ai un semi vampire un peu nerveux dans le fond de la pièce, l’odeur de ton sang va le tendre encore plus. Je finis de distribuer le reste et je reviens te voir. S’il te plait." Tu relèves les yeux de ta main ensanglantée et endolorie pour les poser sur le dit vampire qui semble avoir senti le sang avant même qu'il ne se répande partout. Tu n'as pas besoin de plus pour obtempérer, en plaçant ta main saine sous celle blessée. Le bandage de fortune empêche au moins au sang de continuer sa fuite vers l'extérieur plutôt que de rester dans ton corps. Tu t'insultes mentalement de posséder deux mains gauches. Une fois dans le bureau tu refermes derrière toi, et avisant une chaise tu t'y laisses tomber pour inspecter ta main. Le bandage colle déjà, il est rouge. les extrémités saignent souvent beaucoup. Ce n'est pas la vue du sang qui t'inquiète, mais tu te demandes plutôt combien de temps ça va te gêner. Tu fais jouer la plaie pour voir la profondeur et là tu commences à voir des étoiles. T'accrochant à l'accoudoir tu souffles un bon coup. Mauvaise idée. Tu es au bord de la nausée quand la porte s'ouvre à nouveau. " Il y a de la poudre de mille feuille dans le pot violet sur l’étagère, pour aider à coaguler. Peux tu me montrer ta main ? si c’est trop profond, je devrais recoudre … ça te lance ?" Ta baguette dans la main gauche, tu la diriges vers l'étagère en question. "Accio poudre de mille feuilles." La poudre sur le bureau, tu tends ta main à Rose. "Je pense qu'il faut recoudre, j'ai failli m'évanouir en bougeant la main pour jauger la profondeur." C'est étrange de te retrouver à la place du patient pour une fois. Tu en as presque oublié la rancoeur envers Rose. Tu as du mal à faire abstraction de la douleur. Tu es décidée à te laisser faire, tu as envie qu'on te répare. Tu sens ton coeur battre dans ta main c'est désagréable. De la même manière tu ne te sens pas très vaillante, mais ça va déjà nettement mieux, tu ne vois plus d'étoiles. "Ca fait mal." Tu ne sais pas vraiment si tu parles de ta main, ou si tu parles du couteau dans le coeur que ta belle soeur t'as plantée. Peut être des deux.

On dit qu'un malheur n'arrive jamais seul. Il manquerait plus qu'une étagère te tombe dessus... Cependant tu as eu ton compte de malheur pour aujourd'hui non ? Bon est ce qu'on peut dire que voir Rose Coldridge aka ton ex belle soeur est réellement un malheur ? Bien entendu il y a mille fois pire que ça, mais disons que dans une journée normale voire une belle journée, ce n'est pas à cette personne là que tu voulais être confrontée. Elle a brisé le coeur de ton frère, et sans doute aussi un peu du tiens pas seulement parce qu'elle a fait du mal à Marcus non non, mais bien parce qu'elle t'as trahie. Toi tu pensais que vous étiez amie, il faut croire que c'était peut être qu'à sens unique. Cependant là, avec ta main ensanglantée il est clair que non ce n'est pas la priorité numéro 1. Non il est clair qu'il va falloir faire de ta main un cas de couture classique. Il faut dire que tu n'y es pas allé de main morte si on peut dire. La colère n'a pas aidé ton geste et ton inattention.  Il n'y a pas que l'amour qui aveugle, la colère aussi. Et sans parler de la douleur, autant physique que morale. Parce que en voulant regarder de plus près tu as bien failli tombé dans les pommes. Tu laisses Rose t'osculter en suivant ses gestes des yeux. « C’est fort probable en effet. Cependant tu as été chanceuse dans ta maladresse : tu n’as coupé aucun muscle en profondeur, on devrait pouvoir faire ça ici, sans passer par la case sainte Marie. Tu veux boire quelque chose ? De l’eau, une boisson chaude ? Pour ta main, on va commencer par refroidir la plaie, avant de commencer à suturer… » Tu écoutes Rose d'une oreille distraite bien que tu restes concentrée tant bien que mal. Il ne faut pas laisser la douleur prendre le dessus, tu es plus forte que ça. Ce n'est qu'une coupure de rien du tout. « Un thé je veux bien... » Et de là Rose commence à s'agiter autour de toi. Tu rêvasse, et ne réagis que quand la boisson se pose à côté de toi. Ca fait un contraste poignant encore l'autre main qui croule sous les glaçons. Tu n'as pas cillé cependant, tu n'as plus aussi mal maintenant que les minutes se sont écoules, tu sens cependant le sang qui afflue et qui bat fort dans ta main blessée. Rose te ramène sur terre cependant. « Puisque tu es en médicomagie toi aussi, dis moi comment tu soignerais ça, si c’était moi qui étais blessée. Enfin, moi, ou plutôt un patient que tu n’aurais pas envie de laisser se vider de son sang, bien sur… » Tu reprends totalement conscience de tout ce qu'il y a autour de toi.  Tu ne peux d'ailleurs pas t'empêcher de sourire légèrement à la fin de sa tirade. Cependant tu préfères ne pas répondre autant ne pas jeter d'huile sur le feu. « Je désinfecte la plaie, et la nettoie. Ensuite il faut planter assez profondément dans la graisse sous cutanée pour éviter de créer une trop forte tension dans le fil et laisser une cicatrice. » Voilà que tu récites par coeur le bouquin moldu que tu as lu la veille. « Il faut utiliser un fil résorbable. » C'est une chose de le faire sur quelqu'un une autre de le voir accomplir sur soi même. Surtout que tu n'as jamais dû assister à ce genre de chose éveillée.  Tu inspire un bon coup pour évacuer le stress que tu commences à ressentir. Il ne faut pas que tu sois trop tendu sinon elle pourrait te faire mal. Du moins plus que prévu. Tu as sorti un mode opératoire moldu parce que c'est la seule chose qui t'es venu à l'esprit, il faut dire que tu as passé une grosse partie de ton été à t'y appliquer. Tu relèves les yeux vers ton ex belle soeur. « Merci. » Il n'y a pas de sourire sur ton visage, mais malgré tout tu es sincère.