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(f) dajana rads ★ intoxicated.
Mer 13 Nov 2019 - 15:39
Je suis un groupe du personnage | scénario
« C’est drôle la vie. Quand on est gosse, le temps n’en finit pas de se trainer, et puis du jour au lendemain on a comme ça 50 ans. Et l’enfance tout ce qui l’en reste ça tient dans une petite boite. Une petite boite rouillée. »
WIZARD CARD INFORMATIONS | :copyright:️ bataclava ◈ dajana rads |
Ton histoire & notre relation
histoire 1.0 ━ famille : chaos, dessiné en filigrane, le cœur qui s'affole quand elle y pense. il y a eu ce père absent, distant, décédé avant d'avoir eu le temps de les briser tout à fait, sa mère et la folie dense, envahissante dissimulée dans un corps trop frêle pour elle, l'amour et la haine qui se succèdent brutalement. echo ma reine, echo je te hais, les mots cajolants puis tranchants, les mains douces ou ensanglantées. 2.0 ━ lui : il colle à la peau, s'enroule autour de son corps comme un serpent narguerait eve, pomme coincée contre les crocs, offrande empoisonnée. il lui a offert l'eden, l'illusion du paradis, murmurant à son oreille les promesses d'un exil parfait, sans rien d'autres qu'eux. et c'est toi, naïm, qui m'a jeté la première dans le lac qui avale les âmes, les engloutit pour qu'il ne reste rien d'autre que des cadavres. regarde. regarde à quel point tu m'as détruite. regarde à quel point je le cache mal. un amour qui fait mal, un amour qui dérange. puis un bébé, une dispute, une fausse couche, et tout disparaît ... (l'histoire est très libre).
naïm & echo c’est plus simple d’être lâche comme à chaque fois. le front plissé quand les pensées déraillent. la fatigue incrustée sous les yeux. l’impétueuse réalité venue lui bouffer les nerfs. la mécanique du diable pour éradiquer celle du myocarde. et si tu avais osé avec, echo ? et si tu avais pu lui dire tout ce que tu éprouvais ? a quel point elle était partout sur ta peau. à quel point elle était partout dans ta poitrine. à quel point elle était ancré comme un putain de tatouage, comme une marque indélébile. et si tu avais osé, naïm ? lui balancer des je t’aime pour effacer la violence. lui balancer des je t’aime pour effacer le sang. et si elle avait osé ? faire un autre pas pour te conter ses sentiments. faire un autre pas pour communier avec tes reins. ça aurait été elle l’amour de ta vie ? ça aurait été elle l’âme-sœur ?
les questions qui se fracassent dans le crâne. comme un verre qu’on balance contre le mur.
comme un vase à terre avec les fleurs fanées qui s’écrasent.
une pensée pour echo. une pensée pour la damnée.
une pensée pour ce qui mort. une pensée pour le vivant.
la gorge nouée. la gorge où coagulent les émotions d’hier, celles de demain et de toute une vie. la réponse qui s’impose. la réponse qui devient évidence au milieu du chaos. la réponse qui enchaîne les défunts et écorche les vivants. et le désaveu quand l’impression de chute s’fait lancinante sur le derme. lame qui incise. lame qui égosille. lame qui blesse. mais pas autant que les sentiments.
putain, je t'aime.
la proximité avec la belle. la culpabilité pour voûter les épaules.
visage de porcelaine qu'il souillera de larmes quand la colère grondera.
visage de porcelaine déjà souillé de doutes quand les mots fustigent.
les psaumes crachés avec les astres en témoin pour tenter communier de l’amour. chaque détail encore inscrit sous les couches nécrosées. une rencontre au hasard. le désir corrompu le long de l’abdomen. le sourire greffé sur la gueule avec la certitude de la faire sienne, tôt ou tard. l’amusement au départ. l’angoisse ensuite. parce qu’il porte les lettres d’un blase maudit d’avance. le sang pour couler entre chaque lettre. le pourpre pour dévisager l’intonation. les sentiments voraces au creux de la poitrine. après echo. après le souvenir. après l’oubli impossible. la gueule du fantôme comme raccroche au passé. la gueule du fantôme suspendue à la maladie sur l’échine. il ne dit rien naïm.
histoire passée sous silence pour s’persuader que ça sert à rien d’en causer. l’encre noire à même l’abdomen. unique vestige avec l’écorchure au travers du myocarde. face à echo, c'est l’idée d’un nouveau départ. complicité bordant les baisers. complicité contournant les reins creusés par le désir. union sacrée que rien ne peut souiller. union sacrée que rien ne peut dérober. l’éclat des rires à la question au goût d’irréel. un pied dans la tombe en soufflant un 't'es pas comme les autres' entre deux gémissements ce soir-là.
lippes claquées l’une contre l’autre pour écharper les incertitudes.
paumes masculines pour ravager les courbes et tenter de se rassurer.
prière enfouie sous l’audace de la langue.
des vœux maladroits d’une voix chevrotante. parce que ça, l'égyptien sait pas faire. dire tout haut ce que le palpitant crache tout bas. tu étais pas censé t’infiltrer de la sorte, echo. la nuit qui dépose les armes. un rictus en coin en détaillant les courbes de la poupée. les corps qui se rapprochent. les corps qui se domptent. le contact tremblant. le contact à peine assuré. l’impression d’une déchirure à travers le myocarde. il se lève, s'approche, la main du loup dans le dos de la nymphe. et le regard qui toise le sien. l’index pour replacer une mèche. un rictus pour faire vaciller les contradictions.
esquisse d'un sourire narquois. c'est qu'il est moqueur blackthorn, c'est qu'il est con.
mais il a peur, naïm. de tomber sans que l’autre ne lui tende sa main. de se perdre comme il s’est perdu avec tant d'autres. les sensations pourtant décuplées. comme les sentiments. et ça suffit à lui faire perdre la raison. et t’as le cœur qui s’emballe, idiot. Le muscle qui recommence cette course dans la poitrine dès que ton regard croise le dégradé de ta belle.
et c’est contre elle qu'il se penche, et se glisse. la tête nichée dans sa nuque. les bras autour de ses hanches. puis y a les doigts de la faible qui caressent sa cuisse. forment des cercles du bout des pulpes. sentiments dessinés à mesure des battements du cœur contre sa peau. tendresse naturelle du contact contre elle.
rien de forcé, quand c’est echo. des gestes qui se font sans y penser. incapacité de garder les mains dans les poches, à l’écart. nécessite constante de la toucher. de cajoler l’épiderme. ses mèches. ses lèvres. de conter l’attachement autrement que par les mots.
le soupir contre son cou. ses jambes entremêlées aux siennes. la main gauche qui vient redessiner toute sa colonne vertébrale. de haut en bas. de bas en haut. geste empli de douceur. de ces sentiments qui le font bouillir, blackthorn. ces putains de sentiments sans nom. la carcasse accrochée à la sienne, sans la moindre retenue.
le sourire ancré sur la gueule, là, dans sa nuque. qu’importe qu’il fasse chaud. qu’importe que l’air se fasse rare à cet endroit. y a qu’ici qu'il se sent bien, le loup.
là, contre elle.
là, avec elle.
naïm & echo c’est plus simple d’être lâche comme à chaque fois. le front plissé quand les pensées déraillent. la fatigue incrustée sous les yeux. l’impétueuse réalité venue lui bouffer les nerfs. la mécanique du diable pour éradiquer celle du myocarde. et si tu avais osé avec, echo ? et si tu avais pu lui dire tout ce que tu éprouvais ? a quel point elle était partout sur ta peau. à quel point elle était partout dans ta poitrine. à quel point elle était ancré comme un putain de tatouage, comme une marque indélébile. et si tu avais osé, naïm ? lui balancer des je t’aime pour effacer la violence. lui balancer des je t’aime pour effacer le sang. et si elle avait osé ? faire un autre pas pour te conter ses sentiments. faire un autre pas pour communier avec tes reins. ça aurait été elle l’amour de ta vie ? ça aurait été elle l’âme-sœur ?
les questions qui se fracassent dans le crâne. comme un verre qu’on balance contre le mur.
comme un vase à terre avec les fleurs fanées qui s’écrasent.
une pensée pour echo. une pensée pour la damnée.
une pensée pour ce qui mort. une pensée pour le vivant.
la gorge nouée. la gorge où coagulent les émotions d’hier, celles de demain et de toute une vie. la réponse qui s’impose. la réponse qui devient évidence au milieu du chaos. la réponse qui enchaîne les défunts et écorche les vivants. et le désaveu quand l’impression de chute s’fait lancinante sur le derme. lame qui incise. lame qui égosille. lame qui blesse. mais pas autant que les sentiments.
putain, je t'aime.
la proximité avec la belle. la culpabilité pour voûter les épaules.
visage de porcelaine qu'il souillera de larmes quand la colère grondera.
visage de porcelaine déjà souillé de doutes quand les mots fustigent.
les psaumes crachés avec les astres en témoin pour tenter communier de l’amour. chaque détail encore inscrit sous les couches nécrosées. une rencontre au hasard. le désir corrompu le long de l’abdomen. le sourire greffé sur la gueule avec la certitude de la faire sienne, tôt ou tard. l’amusement au départ. l’angoisse ensuite. parce qu’il porte les lettres d’un blase maudit d’avance. le sang pour couler entre chaque lettre. le pourpre pour dévisager l’intonation. les sentiments voraces au creux de la poitrine. après echo. après le souvenir. après l’oubli impossible. la gueule du fantôme comme raccroche au passé. la gueule du fantôme suspendue à la maladie sur l’échine. il ne dit rien naïm.
histoire passée sous silence pour s’persuader que ça sert à rien d’en causer. l’encre noire à même l’abdomen. unique vestige avec l’écorchure au travers du myocarde. face à echo, c'est l’idée d’un nouveau départ. complicité bordant les baisers. complicité contournant les reins creusés par le désir. union sacrée que rien ne peut souiller. union sacrée que rien ne peut dérober. l’éclat des rires à la question au goût d’irréel. un pied dans la tombe en soufflant un 't'es pas comme les autres' entre deux gémissements ce soir-là.
lippes claquées l’une contre l’autre pour écharper les incertitudes.
paumes masculines pour ravager les courbes et tenter de se rassurer.
prière enfouie sous l’audace de la langue.
des vœux maladroits d’une voix chevrotante. parce que ça, l'égyptien sait pas faire. dire tout haut ce que le palpitant crache tout bas. tu étais pas censé t’infiltrer de la sorte, echo. la nuit qui dépose les armes. un rictus en coin en détaillant les courbes de la poupée. les corps qui se rapprochent. les corps qui se domptent. le contact tremblant. le contact à peine assuré. l’impression d’une déchirure à travers le myocarde. il se lève, s'approche, la main du loup dans le dos de la nymphe. et le regard qui toise le sien. l’index pour replacer une mèche. un rictus pour faire vaciller les contradictions.
esquisse d'un sourire narquois. c'est qu'il est moqueur blackthorn, c'est qu'il est con.
mais il a peur, naïm. de tomber sans que l’autre ne lui tende sa main. de se perdre comme il s’est perdu avec tant d'autres. les sensations pourtant décuplées. comme les sentiments. et ça suffit à lui faire perdre la raison. et t’as le cœur qui s’emballe, idiot. Le muscle qui recommence cette course dans la poitrine dès que ton regard croise le dégradé de ta belle.
et c’est contre elle qu'il se penche, et se glisse. la tête nichée dans sa nuque. les bras autour de ses hanches. puis y a les doigts de la faible qui caressent sa cuisse. forment des cercles du bout des pulpes. sentiments dessinés à mesure des battements du cœur contre sa peau. tendresse naturelle du contact contre elle.
rien de forcé, quand c’est echo. des gestes qui se font sans y penser. incapacité de garder les mains dans les poches, à l’écart. nécessite constante de la toucher. de cajoler l’épiderme. ses mèches. ses lèvres. de conter l’attachement autrement que par les mots.
le soupir contre son cou. ses jambes entremêlées aux siennes. la main gauche qui vient redessiner toute sa colonne vertébrale. de haut en bas. de bas en haut. geste empli de douceur. de ces sentiments qui le font bouillir, blackthorn. ces putains de sentiments sans nom. la carcasse accrochée à la sienne, sans la moindre retenue.
le sourire ancré sur la gueule, là, dans sa nuque. qu’importe qu’il fasse chaud. qu’importe que l’air se fasse rare à cet endroit. y a qu’ici qu'il se sent bien, le loup.
là, contre elle.
là, avec elle.
- exigences:
- il n'y en a pas
j'espère que les détails sont assez explicites. et sinon, ma boîte MP est grande ouverte. echo est une muse. une étoile filante sur un ciel bercé d'illusions. naïm l'aime. mais naïm la prend pour acquise. incapable de la chérir, il détruit son essence. c'est une relation destructrice, pleine de violence. il l'aime mais très mal.
tout est négociable, du pseudo jusqu'à l'avatar. So please feel free. Il ne faut pas hésiter à s'approprier le personnage et imposer son imagination. tout ce que je demande c'est une bonne activité, et une syntaxe propre.
come to me
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