- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
- » parchemins postés : 791
» miroir du riséd : miguel herran
» crédits : leli-graph (ava) ; crackship (sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & andrew hill
» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
» situation : en couple avec une jolie rousse
» profession : poursuiveur des shooters d'inverness
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1330
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Grounded like childs pv. Connor
Mer 17 Mar 2021 - 23:07
Il avait pas été malin. Non, vraiment, il avait même était un peu con. Voir même très très con. Ca lui arrivait parfois. Miguel était plutôt du genre à agir et à réfléchir ensuite. Ca lui avait souvent joué des tours. Il arrivait sur les trente ans et c’était encore le cas… Peut être était il un cas un peu désespéré. Pourtant il le savait. Il savait très bien que ce n’était jamais une bonne idée de chercher des poux à @Zahia Saouli. Cette femme avait un caractère terrible ! Aucune souplesse d’esprit ! C’était une excellente entraineuse mais son caractère avec celui de Miguel ça faisait des étincelles !
Qu’est ce qu’il avait fait ? Mais rien ! Rien du tout ! C’était ça le pire ! Enfin c’est ce qu’il vous dirait si vous lui demandez… En réalité, il avait était vraiment un terrible emmerdeur pendant un T.P. de Vol. Il avait décidé ce jour là qu’il ne voulait pas faire de cours théorique à l’intérieur et il avait tanné tout ce qu’il pouvait la Saouli pour qu’elle les laisse s’entraîner sur le terrain plutôt que de parler balais et chiffons… Evidemment elle n’avait pas cédé. Et évidemment, elle l’avait collé.
Samedi après midi du 6 mars, il pleuvait des cordes. Genres giboulés de mars mais interminables. Un truc de dingue. Miguel avait invité quelques copains Grymm pour une tournoi de jeux vidéos à l’appartement quand un hibou s’était posé sur le rebord de sa fenetre de salon. Miguel qui n’attendait pas de courrier n’avait pas fait attention. L’animal avait été insistant… Très insistant. Et Miguel avait connu le SEUM de sa vie en lisant les quelques lignes inscrites sur le parchemin. Quatre mois plus tard, la Saouli s’était rappelé à son bon souvenir…
Quelques minutes plus tard, laissant les potes derrière lui à leurs parties fifa, Miguel se retrouvait dans les gradins de Quidditch, sous la flotte et sans baguette. Il avait hérité d’une petite brosse à dent pour récurer le gradin des Summerbee… C’était ça ou être exclue de son équipe pour le prochaine mois. Vivre sans Quiditch n’était pas une option envisageable pour le Grymm.
- Vous pourrez profitez de la météo comme vous le souhaitiez, Pajares. Et si je me souviens bien, vous aurez un peu de compagnie…
Le seum, j’vous dis.
Qu’est ce qu’il avait fait ? Mais rien ! Rien du tout ! C’était ça le pire ! Enfin c’est ce qu’il vous dirait si vous lui demandez… En réalité, il avait était vraiment un terrible emmerdeur pendant un T.P. de Vol. Il avait décidé ce jour là qu’il ne voulait pas faire de cours théorique à l’intérieur et il avait tanné tout ce qu’il pouvait la Saouli pour qu’elle les laisse s’entraîner sur le terrain plutôt que de parler balais et chiffons… Evidemment elle n’avait pas cédé. Et évidemment, elle l’avait collé.
Samedi après midi du 6 mars, il pleuvait des cordes. Genres giboulés de mars mais interminables. Un truc de dingue. Miguel avait invité quelques copains Grymm pour une tournoi de jeux vidéos à l’appartement quand un hibou s’était posé sur le rebord de sa fenetre de salon. Miguel qui n’attendait pas de courrier n’avait pas fait attention. L’animal avait été insistant… Très insistant. Et Miguel avait connu le SEUM de sa vie en lisant les quelques lignes inscrites sur le parchemin. Quatre mois plus tard, la Saouli s’était rappelé à son bon souvenir…
Quelques minutes plus tard, laissant les potes derrière lui à leurs parties fifa, Miguel se retrouvait dans les gradins de Quidditch, sous la flotte et sans baguette. Il avait hérité d’une petite brosse à dent pour récurer le gradin des Summerbee… C’était ça ou être exclue de son équipe pour le prochaine mois. Vivre sans Quiditch n’était pas une option envisageable pour le Grymm.
- Vous pourrez profitez de la météo comme vous le souhaitiez, Pajares. Et si je me souviens bien, vous aurez un peu de compagnie…
Le seum, j’vous dis.
GO SHOOTERS, GO !
- InvitéInvité
Re: Grounded like childs pv. Connor
Sam 8 Mai 2021 - 22:46
| | Grounded like childs ; |
☩ Le love entre potes ; c’est beau, ça se change en or quand on le gratifie de belles colles. Elles résonnent encore, ces splendides explosions. Une véritable fanfare, au capharnaüm théâtre des éclats de leurs rictus stupides. Toutes ces trognes se dandinaient espièglement à la suite du Wakefield. C’est en l’honneur de l’amour, se légitimait -pas vraiment- leur facétieuse folie. Un instant cour de récrée. Fun à l’état pur -et surement trop même, qu’il nargua par son bonheur les ovaires asséchés de [stike]king[/strike] queen Amonwë. L’enseignante pinça entre ses lippes une sentence irrévocable à l’encontre de la fine équipe : collés, collés et encore collés. Ca aurait pu et dû calmer dans des complaintes ces (pré)post-ado puériles. Toutefois, le cœur fauve du fils d’Eire brillantait de flammes altières, engraissées par cette condamnation. Tel un chasseur avec son trophée de guerre. Une belle fin parfaite…
… mais bien casse-c*uilles à la longue. Naze pointant vers les arcades de bois, trempées de la rincée qui abat définitivement toute sa vieille suffisance. Il peste fort, principalement à l’adresse l’Amonwë de malheur. Soupirs et petits mots fleuris bourgeonnent sur sa bouche, alors qu’il poursuit son ascension sur les marches de ce gradin moisissant. Même les tentures s’altèrent en jaune cireux. Quoi que… wait !
« C’est vraiment les Summerbee que je vais torcher ? »
Le râle meurt, alors que s’amarrent les prunelles virides sur les flancs de jolies gambettes. Vraisemblablement une abeille, rutile l’idée auprès de ses perspicaces pupilles agrippées à l’ocre qu’arbore la belle créature. Et sans rougir de sa précédente insulte sur ladite section hungcalfienne, sa gueule d’ange s’éclaire d’une de ses fameuses risettes. Arrogante. Il ne muche pas même ses œillades accentuées allouées à l’Eve. Boudeur tourne joli cœur expressément. Et ça mord à ses charmes. Assez pour qu’il se la joue bad boy, victime d’avoir enfreint la patience de certains professeurs. Bien entendu, il faut imaginer ses lèvres s’étirer libidineusement tandis qu’il s’annonce puni.
Cette parade nuptiale lui phagocyte une poignée de minutes, avant d’être rétribué du numéro de la donzelle. Toutefois, ce retard occasionné se cogne à sa sublime indifférence. Que risque-t-il après tout : être collé en colle ?
L’idée lui dévore la gorge d’un rire. Puis il réentreprend son exil vers le labeur qu’il l’attend au sommet du gradin. Myocarde enjoué de sa bêtise, à l’instar de ses fossettes. Finalement, sa cime apparait sous le déluge véhément. Assez pour qu’éclot presque un juron face à ces conditions, et la besogne qui le guette. A première vue, un zig s’affaire déjà à l’ingrate tâche. De là à ce que le khan éprouve une de ces pitiés peu amènes : celles de l’égo qui compatit pour un insecte. Avant qu’il n’identifie exactement ledit scarabée. Un sourire danse de rif sur son labre.
« Hey, ma qué voilà ? chantonne une médiocre imitation d’airs latins. »
Dans sa litanie, le fils d’Eire a fondu sous la flotte, pour venir pincer les côtes du Pajares. Tel ce gamin trop grand -et particulièrement altier de son ânerie.
Le géôlier de leurs sorts de leur retenue voué à sa pure ignorance. Parce que oui, le sultan se paie le luxe du retard, qu’il couple à une violente insolence ; un comportement qui ne lui évoquerait qu’un infatué rire.
… mais bien casse-c*uilles à la longue. Naze pointant vers les arcades de bois, trempées de la rincée qui abat définitivement toute sa vieille suffisance. Il peste fort, principalement à l’adresse l’Amonwë de malheur. Soupirs et petits mots fleuris bourgeonnent sur sa bouche, alors qu’il poursuit son ascension sur les marches de ce gradin moisissant. Même les tentures s’altèrent en jaune cireux. Quoi que… wait !
« C’est vraiment les Summerbee que je vais torcher ? »
Le râle meurt, alors que s’amarrent les prunelles virides sur les flancs de jolies gambettes. Vraisemblablement une abeille, rutile l’idée auprès de ses perspicaces pupilles agrippées à l’ocre qu’arbore la belle créature. Et sans rougir de sa précédente insulte sur ladite section hungcalfienne, sa gueule d’ange s’éclaire d’une de ses fameuses risettes. Arrogante. Il ne muche pas même ses œillades accentuées allouées à l’Eve. Boudeur tourne joli cœur expressément. Et ça mord à ses charmes. Assez pour qu’il se la joue bad boy, victime d’avoir enfreint la patience de certains professeurs. Bien entendu, il faut imaginer ses lèvres s’étirer libidineusement tandis qu’il s’annonce puni.
Cette parade nuptiale lui phagocyte une poignée de minutes, avant d’être rétribué du numéro de la donzelle. Toutefois, ce retard occasionné se cogne à sa sublime indifférence. Que risque-t-il après tout : être collé en colle ?
L’idée lui dévore la gorge d’un rire. Puis il réentreprend son exil vers le labeur qu’il l’attend au sommet du gradin. Myocarde enjoué de sa bêtise, à l’instar de ses fossettes. Finalement, sa cime apparait sous le déluge véhément. Assez pour qu’éclot presque un juron face à ces conditions, et la besogne qui le guette. A première vue, un zig s’affaire déjà à l’ingrate tâche. De là à ce que le khan éprouve une de ces pitiés peu amènes : celles de l’égo qui compatit pour un insecte. Avant qu’il n’identifie exactement ledit scarabée. Un sourire danse de rif sur son labre.
« Hey, ma qué voilà ? chantonne une médiocre imitation d’airs latins. »
Dans sa litanie, le fils d’Eire a fondu sous la flotte, pour venir pincer les côtes du Pajares. Tel ce gamin trop grand -et particulièrement altier de son ânerie.
Le géôlier de leurs sorts de leur retenue voué à sa pure ignorance. Parce que oui, le sultan se paie le luxe du retard, qu’il couple à une violente insolence ; un comportement qui ne lui évoquerait qu’un infatué rire.
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
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» miroir du riséd : miguel herran
» crédits : leli-graph (ava) ; crackship (sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & andrew hill
» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
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» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1330
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Grounded like childs pv. Connor
Lun 10 Mai 2021 - 9:09
Evidemment, la Saouli était pas restée sous la flotte bien longtemps. Juste le temps de donner ses consignes, de tendre la main pour récupérer sa baguette et de lui donne une vieille brosse à dent toute moisie. Putain, quand il pensait que ses potes étaient CHEZ LUI, entrain de faire un tournoi de fifa avec SA PLAY, entrain de fumer SA WEED. Il avait un SEUM de fou furieux.
Il était insolent le Pajares mais il était pas complètement con. Il savait qu’avec la Saouli ça rigolait pas et quand elle proférait des menaces c’était pour avoir le plaisir de les mettre à execution en cas d’indocilité de la part de l’espagnol. D’ailleurs, elle trouvait toujours des colles plus folles et plus terribles les unes que les autres. Elle avait carrément attendu qu’il pleuve des cordes pour la convoquer. Si ça c’était pas du sadisme, c’était quoi ?
Et puisqu’il voulait pas être exclu de son équipe de Quidditch, il avait prit cette putain de brosse à dent et il avait commencé à frotter sous la flotte. Les gradins en bois étaient trempés, lui aussi, c’était la misère la vrai et cette putain de brosse à dent frottait quedal. Il était à deux doigts de l’envoyer valdinguer sur le terrain en rageant qu’il entendit une voix qui n’était que trop reconnaissable.
- Hey, ma qué voilà ?
Il répète les mots de son pote comme un gros débile et de marre tandis que Connor lui pince les côtes. Un check de connaisseurs plus tard, le brun pose son cul sur un des gradins. On va pas s’mentir, Miguel est plutôt content d’avoir de la compagnie. Et de la compagnie comme le O’Niallain c’était quand même le feu malgré le contexte. Le Pajares avait retrouvé son sourire, presque oublié son seum quand il demanda :
- T’as encore emmerdé la vieille Amonwë pour qu’elle te colle ?
Chacun sa Nemesis n’est ce pas ? Quoi que… Amonwë était pas non plus des plus tendre avec le Pajares. D’ailleurs… quel prof l’était ?
Il était insolent le Pajares mais il était pas complètement con. Il savait qu’avec la Saouli ça rigolait pas et quand elle proférait des menaces c’était pour avoir le plaisir de les mettre à execution en cas d’indocilité de la part de l’espagnol. D’ailleurs, elle trouvait toujours des colles plus folles et plus terribles les unes que les autres. Elle avait carrément attendu qu’il pleuve des cordes pour la convoquer. Si ça c’était pas du sadisme, c’était quoi ?
Et puisqu’il voulait pas être exclu de son équipe de Quidditch, il avait prit cette putain de brosse à dent et il avait commencé à frotter sous la flotte. Les gradins en bois étaient trempés, lui aussi, c’était la misère la vrai et cette putain de brosse à dent frottait quedal. Il était à deux doigts de l’envoyer valdinguer sur le terrain en rageant qu’il entendit une voix qui n’était que trop reconnaissable.
- Hey, ma qué voilà ?
Il répète les mots de son pote comme un gros débile et de marre tandis que Connor lui pince les côtes. Un check de connaisseurs plus tard, le brun pose son cul sur un des gradins. On va pas s’mentir, Miguel est plutôt content d’avoir de la compagnie. Et de la compagnie comme le O’Niallain c’était quand même le feu malgré le contexte. Le Pajares avait retrouvé son sourire, presque oublié son seum quand il demanda :
- T’as encore emmerdé la vieille Amonwë pour qu’elle te colle ?
Chacun sa Nemesis n’est ce pas ? Quoi que… Amonwë était pas non plus des plus tendre avec le Pajares. D’ailleurs… quel prof l’était ?
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- InvitéInvité
Re: Grounded like childs pv. Connor
Dim 27 Juin 2021 - 17:59
| | Grounded like childs ; |
☩ L’ombre d’un rictus flirte sur les lippes. Des fossettes mutines la trahissent pour de bon, induisant l’éclosion de ce bouton d’émail blanche. La bêtise, elle s’est toujours infusée dans son sang. Ainsi, davantage médaillé que repentant vis-à-vis de ses actes, le khan se pavane entre ces gradins trempés. Des effluves de camaraderie et un check saluent, comme vénèrent, sa fraternité avec le transpyrénéen. Ce dernier échoue son derrière sur les tribunes, quasi-comme à la maison. Il faut avouer que cette casbah est presque leur. Si les tentures ocre ne répondent aux coloris de leurs cœurs, l’ovale du Quidditch qu’ils surplombent, lui, leur est particulièrement familier. Pour la part du fauve, ses pattes ne se décident pourtant pas encore à choir sur le siège voisin de son compatriote. Il lui préfère ses pognes dans les poches. La nonchalance sur toute sa cime. Il joue au bonhomme, qui provoque de prunelles conquérantes les nuages pleureurs ; allure cool et inutile, voyez-vous.
Dans son petit jeu, son imbécilité ambitionne de tarder à broder une quelconque réponse. En vain : il ploie sous l’espièglerie. Balançant l’un de ses fameux sourires violents, aux teintes d’insolente fierté.
« J’ai l’espoir d’un jour lui apprendre à rire. »
Ses joues ne chauffent guère sous son arrogance. Cette dernière rutile plutôt dans ses iris, qui s’accrochent au compère. Tous deux savent qu’ils ont l’égo fort –et sont convaincus de le posséder à raison. Peut-être est-ce là le secret de leur entente ?
Ses malicieuses prunelles flanchent finalement auprès des phalanges du camarade. Il lorgne son arme, puis la langue claque contre le palais. Son menton dessine une lente négation. Toujours théâtral. L’amusement pourtant brillante encore sur sa trogne.
« Franchement, regarde-nous… Torcher les gradins des Summerbee… »
S’incluant bien à l’avance dans la besogne qui ne l’a pas encore fait trimer, juste par plaisir de titiller le latin. Une risette badine en souligne sa bouche. L’indolence –ou l’ânerie entre potes- pousse même son regard sur l’horizon. La direction est éloquente : une charpente drapée d’étoffes émeraude. Là, il hausse ses épaules.
« Tu me diras, y a pire. »
Encore une fois, il alloue à son interlocuteur l’un de ses facétieux sourires. Malgré l’amitié, ces compétiteurs nés ont toujours eu cette rivalité dans les veines. C’est même ce qui rend l’ibérique un brin spécial pour le sultan d’Eire. Il affectionne de le taquiner dès une occasion offerte –sous couvert d’un respect sous-entendu, jamais dicté. Ils restent des boules de vanité, mais demeurent toutefois bien capables de se comprendre à leur manière.
Enfin, son menton prend à partie le castillan.
« Et toi ? Re-choppé à métamorphoser la porte des vestiaires femmes en verre ? »
Comme si le Pajares s’y abaisse. Là encore demeure l’une de ces boutades puériles, juste par plaisir charrier le copain.
Dans son petit jeu, son imbécilité ambitionne de tarder à broder une quelconque réponse. En vain : il ploie sous l’espièglerie. Balançant l’un de ses fameux sourires violents, aux teintes d’insolente fierté.
« J’ai l’espoir d’un jour lui apprendre à rire. »
Ses joues ne chauffent guère sous son arrogance. Cette dernière rutile plutôt dans ses iris, qui s’accrochent au compère. Tous deux savent qu’ils ont l’égo fort –et sont convaincus de le posséder à raison. Peut-être est-ce là le secret de leur entente ?
Ses malicieuses prunelles flanchent finalement auprès des phalanges du camarade. Il lorgne son arme, puis la langue claque contre le palais. Son menton dessine une lente négation. Toujours théâtral. L’amusement pourtant brillante encore sur sa trogne.
« Franchement, regarde-nous… Torcher les gradins des Summerbee… »
S’incluant bien à l’avance dans la besogne qui ne l’a pas encore fait trimer, juste par plaisir de titiller le latin. Une risette badine en souligne sa bouche. L’indolence –ou l’ânerie entre potes- pousse même son regard sur l’horizon. La direction est éloquente : une charpente drapée d’étoffes émeraude. Là, il hausse ses épaules.
« Tu me diras, y a pire. »
Encore une fois, il alloue à son interlocuteur l’un de ses facétieux sourires. Malgré l’amitié, ces compétiteurs nés ont toujours eu cette rivalité dans les veines. C’est même ce qui rend l’ibérique un brin spécial pour le sultan d’Eire. Il affectionne de le taquiner dès une occasion offerte –sous couvert d’un respect sous-entendu, jamais dicté. Ils restent des boules de vanité, mais demeurent toutefois bien capables de se comprendre à leur manière.
Enfin, son menton prend à partie le castillan.
« Et toi ? Re-choppé à métamorphoser la porte des vestiaires femmes en verre ? »
Comme si le Pajares s’y abaisse. Là encore demeure l’une de ces boutades puériles, juste par plaisir charrier le copain.
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
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» miroir du riséd : miguel herran
» crédits : leli-graph (ava) ; crackship (sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & andrew hill
» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
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» profession : poursuiveur des shooters d'inverness
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1330
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Grounded like childs pv. Connor
Jeu 1 Juil 2021 - 10:14
Miguel était une sorte de Wright raté. Quand sa signature l’avait désigné comme un Grymm, il faut avoué qu’il avait pas trop bien compris. Alors il s’était fait des potes chez les Verts et Argents, parce que l’espagnol pouvait devenir pote avec un bonhomme de neige s’il le fallait, mais ses vrais potes, les plus proches, ils étaient chez les les Rouges et Ors. Et Connor en faisait parti. Démonstration d’amitié via un check bien maîtrisé, les voila qui discutent de leurs némésis respectives. L’espagnol se marre alors que l’Irlandais prétend avoir l’espoir d’apprendre à la Professeur de DFCM à rire un peu.
- Espoir, c’est le mot.
Le Pajares se laisse paresseusement tomber sur le blanc qu’il était censé astiqué. Le ménage, c’était pas son truc. Surtout sous la pluie. Surtout sans magie. La brosse à dent qu’il a à la main, il ne l’a toujours pas utilisée pour frotter quoi que ce soit. Pourtant, les gradins en ont bien besoin, faut le reconnait. Le bois est bardé d’une mousse verte ou noire qui semble apprécier la pluie qui tombe drue sur leurs visages…
Le madrilène qui s’ignore se marre alors qu’il entend son pote se plaindre de devoir torcher les Summerbee. C’était pas comme si ça n’avait pas déjà été fait pendant le championnat. Cette année, les jaunes avaient été vraiment nuls à chier. Ni fait, ni à faire… Il colle un poing dans l’épaule du O’Niallain qui sous entendu qu’il serait pire pour lui de torcher les gradins des verts.
- C’est vrai, plus y’a de supporters, plus y’a d’dégâts.
En réalité les gradins devaient bien tous être dans le même état mais on ne taquinait pas Miguel sans avoir le retour de flamme, Connor le savait bien. Il est trempé, le Pajares, mais toujours pas décidé à se mettre à frotter. A ce rythme là, ils y étaient encore pour la nuit. Et c’était au tour de l’hispanique de dire ce qu’il faisait là mais avant…
- Contrairement à toi, j’ai pas besoin de ça pour voir des meufs à poil !
Don Juan de son état, Miguel n’a effectivement pas besoin de faire ça. Des jolies filles nues, il en a vu plus d’une paire passer par son lit. Ou par ailleurs. Mais depuis quelques semaine, c’est toujours la même qui occupe ses draps. Voila un changement que personne n’attendait dans la personnalité du jeune homme. Un changement dont personne n’est au courant d’ailleurs.
- Bon, tu t’y mets ou quoi ?
Avec ce sourire insolent qui le caractérise, le brun tant sa propre brosse à dent à son pote. Il est temps qu’il s’y mette le Wright là !
- Espoir, c’est le mot.
Le Pajares se laisse paresseusement tomber sur le blanc qu’il était censé astiqué. Le ménage, c’était pas son truc. Surtout sous la pluie. Surtout sans magie. La brosse à dent qu’il a à la main, il ne l’a toujours pas utilisée pour frotter quoi que ce soit. Pourtant, les gradins en ont bien besoin, faut le reconnait. Le bois est bardé d’une mousse verte ou noire qui semble apprécier la pluie qui tombe drue sur leurs visages…
Le madrilène qui s’ignore se marre alors qu’il entend son pote se plaindre de devoir torcher les Summerbee. C’était pas comme si ça n’avait pas déjà été fait pendant le championnat. Cette année, les jaunes avaient été vraiment nuls à chier. Ni fait, ni à faire… Il colle un poing dans l’épaule du O’Niallain qui sous entendu qu’il serait pire pour lui de torcher les gradins des verts.
- C’est vrai, plus y’a de supporters, plus y’a d’dégâts.
En réalité les gradins devaient bien tous être dans le même état mais on ne taquinait pas Miguel sans avoir le retour de flamme, Connor le savait bien. Il est trempé, le Pajares, mais toujours pas décidé à se mettre à frotter. A ce rythme là, ils y étaient encore pour la nuit. Et c’était au tour de l’hispanique de dire ce qu’il faisait là mais avant…
- Contrairement à toi, j’ai pas besoin de ça pour voir des meufs à poil !
Don Juan de son état, Miguel n’a effectivement pas besoin de faire ça. Des jolies filles nues, il en a vu plus d’une paire passer par son lit. Ou par ailleurs. Mais depuis quelques semaine, c’est toujours la même qui occupe ses draps. Voila un changement que personne n’attendait dans la personnalité du jeune homme. Un changement dont personne n’est au courant d’ailleurs.
- Bon, tu t’y mets ou quoi ?
Avec ce sourire insolent qui le caractérise, le brun tant sa propre brosse à dent à son pote. Il est temps qu’il s’y mette le Wright là !
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