- InvitéInvité
my devil has innocent blood on her hands x Cillimitri ii (terminé)
Mer 12 Mai 2021 - 13:57
April 21st
@Calliope Muller
Les mains dans les poches tu réfléchis. Tes yeux sont perdus dans le vague, signe que ton cerveau fait marcher ses engrenages. Le bas de ton caban frappe sur tes jambes, le vent Ecossais aussi déchaîné qu’à l’accoutumée balaie les personnes de la brigade qui font leur travail. Elles sont diverses, chacune faisant parti d’un plus grand dessein comme autant de fourmis travaillent pour la grande fourmilière et fait marcher le tout.
Il y a un corps par terre, et le légiste s'affaire autour en compagnie d’un alchimiste junior qui fait différents prélèvements à la demande de son chef sans doute. Autour ce sont différents brigadiers qui cartographient la scène, relève des indices, et d’autres dans un périmètre plus grand font une ronde pour essayer de trouver davantage d'indices.
Vous avez été appelé plus tôt dans la journée avec ton binôme quand des traces de la substance mortelle ont été retrouvées sur les mains de la victime. C’est un jeune homme de 21 ans, il s’est mis à convulser devant les passants avant de s’écrouler au sol, et de mourir. Il était aussi étudiant de Hungcalf comme toi, mais il ne te semble pas de l’avoir croisé un jour. Peu importe, ce n’est qu’un détail, mais il sera facile pour toi de poser des questions, et mener ton enquête à l’intérieur de l’université.
Tu vois la scène dans son ensemble cherchant à recoller les morceaux d’un puzzle qui s’agrandit à mesure que le nombre de cas grandit. C’est le 2ieme mort, mort qui aurait pu être évitée si l’avance de l’audience réclamée au bureau du magistrat l’avait été à une date plus adéquate. Ca n’a pas été le cas, et maintenant tu te retrouves avec un mort sur la conscience, et tu espères que ça sera aussi le cas de Miss Calliope Muller qui aura rapidement vent des faits tu en es sûr…
Comme si tu avais le don d’invoquer les démons, la voilà qui arrive dans une tenue impeccable. Allons bon, peut être que la culpabilité l'a poussée à venir jusque là. Mister Hyde aurait bien envie de lui dire “j’te l’avais bien dit Miss coincée…” M’enfin pour ce qui est du brave docteur, il va rester muet et laisser la brune venir jusqu’à lui en jubilant intérieurement seulement.
Fait elle semblant de ne pas t’avoir vu ?
On dirait un chat qui se sent à son aise partout, et prend tout pour acquis. Pas de doute, elle a de la prestance cette jeune femme. On lui prête attention, malgré son poste d’assistante, elle est importante car elle représente quelqu’un d’important qui ne se déplace jamais sur les scènes de crime. Elle doit bien faire son travail pour qu’il la laisse venir seule, et pourtant, pourtant elle n’a pas avancé suffisamment la date pour qu’un innocent ait pu être sauvé. Ses mains sont aussi sales que celles de celui qui ont produit le poison.
Comme figé, tu restes à ta place, tu guettes, tu attends la rencontre qui va forcément se profiler.
@Calliope Muller
- Calliope Mullersensitive bitch
- » parchemins postés : 775
» miroir du riséd : nina dobrev
» crédits : amnesisart (ava) ; crackship (code sign)
» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
» nature du sang : sang-pur
» particularité : occlumens
» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
» gallions sous la cape : 1403
Re: my devil has innocent blood on her hands x Cillimitri ii (terminé)
Jeu 13 Mai 2021 - 11:52
Callie était plongée son nez dans un énorme livre poussiéreux, un très vieux jurisdata qu’elle lisait avec attention. Elle cherchait de la jurisprudence concernant une affaire d’infraction impossible… Une sombre histoire de victime déjà morte au façon de la réalisation de la condition matérielle de l’homicide. Le fait est que l’histoire était si sordide que le juge Wakefield voulait en faire un exemple, il voulait une condamnation. Le procureur en était rendu là également. Et c’était Calliope Muller qui épluchait la jurisprudence avec une minutie qui poussait au respect.
Elle tournait une énième page, insatisfaite de ses lectures, tandis qu’un loup argenté entrait dans son bureau en passant au travers la porte qu’elle avait fermé. La Muller cessa ses recherches pour écouter le message d’un des magistrats de la cour criminelle qu’elle assistait. Il lui était demandé de se rendre sur une reconstitution de scène de crime dans une affaire qui lui avait été déléguée par le juge Wakefield et en entendant le briefing qui lui était fait, elle n’eut aucun mal à faire le lien avec une affaire dont elle avait assisté à l’audience de commission rogatoire la semaine passée. Son cameleon envoyé pour assurer qu’elle se chargeait de cette représentation, la jeune assistante de justice avait rangé son jurisdata d’un coup de baguette. Elle jete un coup d’œil à la fenetre de son bureau. Le ciel était menaçant pour un mois d’avril…
Elle avait enfilé une veste de tailleur noire et elle portait en dessous une robe crayon blanche qui laissait voir ses longues jambes halée ainsi que ses escarpins noirs. Elle vérifia que sa baguette était bien dans sa manche et sorti de son bureau pour rejoindre les cheminées alignées dans le hall du ministère. Une pincée de poudre de chemisette et elle réapparaissait dans un restaurant. Elle salua le gérant d’un sourire, refusa le verre qu’il lui proposait et s’en alla rejoindre la ruelle où était allongée la victime.
Ca fourmillait d’auror et en réalité Calliope resta en retrait quelques secondes pour observer la scène de loin. Il s’agissait de l’entrée d’une ruelle qui desservait le derrière de deux boutiques de Myrddin Wyllt District. Un jeune homme était étendu au sol, raide mort et un médecin légiste réalisait les premiers constats. Ce n’est qu’après avoir regardé la scène dans son entièreté qu’elle passa la barrière magique installée pour dissimuler la scène des badaux curieux.
- Messieurs.
Elle salue d’un mot et d’un geste les hommes qui s’affairent. Des hommes et exclusivement des hommes. Un légiste, deux aurors et plusieurs brigadier… Quelques soignants qui avaient du être appelés pour secourir le défunt avant qu’il rende l’âme. Elle sort de quoi noter et discutes quelques secondes avec le légiste. Le constatant bien affairé, elle se tourne vers l’auror qu’elle avait reçu quelques jours plus tôt dans son bureau puis en audience.
- Monsieur Majewski. Comment allez vous malgré ces circonstances malheureuses ?
Elle aurait besoin de lui pour être briefée rapidement.
Elle tournait une énième page, insatisfaite de ses lectures, tandis qu’un loup argenté entrait dans son bureau en passant au travers la porte qu’elle avait fermé. La Muller cessa ses recherches pour écouter le message d’un des magistrats de la cour criminelle qu’elle assistait. Il lui était demandé de se rendre sur une reconstitution de scène de crime dans une affaire qui lui avait été déléguée par le juge Wakefield et en entendant le briefing qui lui était fait, elle n’eut aucun mal à faire le lien avec une affaire dont elle avait assisté à l’audience de commission rogatoire la semaine passée. Son cameleon envoyé pour assurer qu’elle se chargeait de cette représentation, la jeune assistante de justice avait rangé son jurisdata d’un coup de baguette. Elle jete un coup d’œil à la fenetre de son bureau. Le ciel était menaçant pour un mois d’avril…
Elle avait enfilé une veste de tailleur noire et elle portait en dessous une robe crayon blanche qui laissait voir ses longues jambes halée ainsi que ses escarpins noirs. Elle vérifia que sa baguette était bien dans sa manche et sorti de son bureau pour rejoindre les cheminées alignées dans le hall du ministère. Une pincée de poudre de chemisette et elle réapparaissait dans un restaurant. Elle salua le gérant d’un sourire, refusa le verre qu’il lui proposait et s’en alla rejoindre la ruelle où était allongée la victime.
Ca fourmillait d’auror et en réalité Calliope resta en retrait quelques secondes pour observer la scène de loin. Il s’agissait de l’entrée d’une ruelle qui desservait le derrière de deux boutiques de Myrddin Wyllt District. Un jeune homme était étendu au sol, raide mort et un médecin légiste réalisait les premiers constats. Ce n’est qu’après avoir regardé la scène dans son entièreté qu’elle passa la barrière magique installée pour dissimuler la scène des badaux curieux.
- Messieurs.
Elle salue d’un mot et d’un geste les hommes qui s’affairent. Des hommes et exclusivement des hommes. Un légiste, deux aurors et plusieurs brigadier… Quelques soignants qui avaient du être appelés pour secourir le défunt avant qu’il rende l’âme. Elle sort de quoi noter et discutes quelques secondes avec le légiste. Le constatant bien affairé, elle se tourne vers l’auror qu’elle avait reçu quelques jours plus tôt dans son bureau puis en audience.
- Monsieur Majewski. Comment allez vous malgré ces circonstances malheureuses ?
Elle aurait besoin de lui pour être briefée rapidement.
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Re: my devil has innocent blood on her hands x Cillimitri ii (terminé)
Ven 14 Mai 2021 - 0:47
Tel un chat qui ne bouge pas mais observe tout, tu suis ce qu’il se passe de loin. Il n’est pas encore venu pour toi le temps de faire le moindre geste. Ici tu es en terrain conquis si on peut parler ainsi. Une scène de crime, c’est jamais limpide, c’est ambivalent comme toi: intrigant, peu locace, on a pas envie d’y toucher et pourtant on ne peut s’empêcher de regarder. C’est le propre du macabre, l’être humain est toujours attiré par des visions funestes, des visions d’horreur, répugnantes, qui laissent à jamais des séquelles dans les faibles esprits.
Alors qu’elle s’avance vers ta position tu te demandes si Calliope Muller fait partie des esprits faibles, ou forts. Indéniablement, d’elle même elle se classerait parmis la seconde catégorie. Après tout, elle présente bien, elle fait figure d’autorité malgré son jeune âge, on la respecte, et comme le nez au milieu du visage, ça se voit que c’est quelque chose qui lui plait. Il y a des gens chez qui l’ambition suinte par tous les pores, et sans doute que la jeune assistante est de ceux là.
Tu as appris beaucoup de chose de cette courte entrevue qu’elle t’a octroyée la semaine précédente. Hélas pour toi, malgré la révision de la date, voilà qui n’a pas été suffisant pour que toutes les procédures soient exécutées dans les temps. Aussi, tu n’es pas le seul à devoir te sentir coupable pour ce meurtre, la faute revient aussi à la femme à la jupe dévoilant trop d’informations pour être honnête.
Toujours immobiles, tu la vois faire tâche au milieu de ce tableau. Tout le monde fait son travail, et les gens de la brigade n’ont qu’à faire qu’elle remplisse son carnet de notes. Ils travaillent et elle dérange, voilà tout ce qu’ils voient. Bien sûr, il lui réponde, il ne pourrait faire l’affront de ne pas le faire, mais les réponses sont loin d’être aussi détaillées qu’elle doit l’espéré.
Au bout de longues minutes, il ne reste que toi. Le meilleur pour la fin. The last but not least. A t’elle reculé le moment de venir te voir dans l’espoir de ne pas avoir à le faire. Bien sûr elle pourrait aller voir ton collègue, mais quelque chose te dit qu’elle viendra vers toi. Pourquoi ? Parce qu’il y a un point d’accroche. C’est toi qui t’es déplacé pour la déranger dans son travail, toi qui a monter les différentes pièces du dossier pour raconter l’histoire.
“Miss Muller.”
Voilà qui fera guise de salutation. Ton ton est neutre, malgré le sourire qui barre ton visage. Tu fais exprès d’envoyer des messages contraires entre voix et visage. Tu ne vas pas lui faciliter la tâche. Pour toi elle est responsable.
“Je me porte bien, c’est aimable à vous de demander. Comment allez vous de votre côté ?”
Excès de politesse, qui ne dissimule qu’à peine qu’ici elle n’est pas en position de force. Il ne suffit pas qu’elle vienne pour que le tapis rouge lui soit déroulé. Dans son bureau elle s’est moqué ouvertement de toi, ici on dira que c’est ton bureau à ciel ouvert.
Tes mains ne quittent pas tes poches, tu te tiens droit dans une attitude d'assurance non feinte. Pour l’instant tu n’as plus rien à faire ici, tu pourrais partir, jubiler de laisser en plan la jolie brune. Pourtant…. quelque chose te dit que ça sera plus amusant de rester pour la regarder quémander des informations.
@Calliope Muller
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Re: my devil has innocent blood on her hands x Cillimitri ii (terminé)
Ven 14 Mai 2021 - 19:32
Il fallait être honnête. Le travail sur le terrain, ce n’était pas vraiment ce que préférait Callie. Les reconstitutions étaient rares, les autopsies qui nécessitaient la présence d’un magistrat encore plus, heureusement. Parce que la Muller était bien plus à l’aise dans la salle d’audience, au prétoire, dans son bureau, dans une bibliothèque… Ce n’était donc pas la partie la plus épanouissante de son métier qu’elle devait réaliser aujourd’hui mais elle n’était pas du genre à rechigner à la tâche, elle savait que sa carrière dépendait largement de son travail en tant qu’assistante de justice.
Elle détonnait dans sur la scène avec ses jambes nues et ses escarpins alors qu’elle traversait la rue pleine de pavés. Elle marchait lentement car le sol était encore humide d’une averse passée. Une fois qu’elle eut franchi la barrière magique délimitant la scène de crime, elle se composa un visage professionnel pour discuter avec ceux qui étaient sur place. Elle s’efforçait de ne pas regarder le corps. Elle n’était pas très à l’aise avec tout ce qui touchait à la mort, au glauque, au sordide. Tant que c’’était sur du papier, dans la salle d’audience… pas de soucis. Quand c’était sous ses yeux, c’était autre chose.
Après avoir salué les connaissances, discuté rapidement avec le légiste, son regard finit par tomber sur l’auror en charge de l’enquête. Enfin… l’étudiant. D’ailleurs elle ne comprend toujours pas comment la 99e peut confier ce genre d’affaire à des adolescents… Mais c’était une autre question. Le fait est qu’il était plus simple d’aller vers lui pour l’interroger, étant donné qu’elle le connaissait vaguement et qu’elle avait déjà discuté de cette affaire avec lui. Comme toujours, le Majewski est ambivalent. Voix d’une neutralité incroyable et sourire chaleureux. Elle ne peut s’empêcher de penser que ce type est soit étrange, soit un vrai manipulateur.
- J’aurais préféré m’épargner cette sortie.
Son ton est neutre également. Elle aurait préféré rester à son bureau et étudier sa jurisprudence. M’enfin… on ne fait pas toujours ce qu’on veut dans la vie. Une bourrasque de vent soulève ses cheveux et la fait grimacer. Elle a froid, il va bientôt pleuvoir et elle est déjà agacée par cette tâche qu’elle trouve ingrate.
- Puisque vous êtes sur place, je suppose qu’il s’agit de votre affaire de tentacula coupée. Comment avez vous fait le lien ?
Calliope Muller n’est pas là pour bavasser ni pour réseauter. Elle n’a qu’une envie : rentrer au bureau et terminer ses recherches. Au plus vite elle aurait réponse à ses questions, au plus vite elle serait au chaud loin de cette scène de crime.
Elle détonnait dans sur la scène avec ses jambes nues et ses escarpins alors qu’elle traversait la rue pleine de pavés. Elle marchait lentement car le sol était encore humide d’une averse passée. Une fois qu’elle eut franchi la barrière magique délimitant la scène de crime, elle se composa un visage professionnel pour discuter avec ceux qui étaient sur place. Elle s’efforçait de ne pas regarder le corps. Elle n’était pas très à l’aise avec tout ce qui touchait à la mort, au glauque, au sordide. Tant que c’’était sur du papier, dans la salle d’audience… pas de soucis. Quand c’était sous ses yeux, c’était autre chose.
Après avoir salué les connaissances, discuté rapidement avec le légiste, son regard finit par tomber sur l’auror en charge de l’enquête. Enfin… l’étudiant. D’ailleurs elle ne comprend toujours pas comment la 99e peut confier ce genre d’affaire à des adolescents… Mais c’était une autre question. Le fait est qu’il était plus simple d’aller vers lui pour l’interroger, étant donné qu’elle le connaissait vaguement et qu’elle avait déjà discuté de cette affaire avec lui. Comme toujours, le Majewski est ambivalent. Voix d’une neutralité incroyable et sourire chaleureux. Elle ne peut s’empêcher de penser que ce type est soit étrange, soit un vrai manipulateur.
- J’aurais préféré m’épargner cette sortie.
Son ton est neutre également. Elle aurait préféré rester à son bureau et étudier sa jurisprudence. M’enfin… on ne fait pas toujours ce qu’on veut dans la vie. Une bourrasque de vent soulève ses cheveux et la fait grimacer. Elle a froid, il va bientôt pleuvoir et elle est déjà agacée par cette tâche qu’elle trouve ingrate.
- Puisque vous êtes sur place, je suppose qu’il s’agit de votre affaire de tentacula coupée. Comment avez vous fait le lien ?
Calliope Muller n’est pas là pour bavasser ni pour réseauter. Elle n’a qu’une envie : rentrer au bureau et terminer ses recherches. Au plus vite elle aurait réponse à ses questions, au plus vite elle serait au chaud loin de cette scène de crime.
MULLER LIKE ME
I don't need a man to make me feel good, I get off doin' my thing
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
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Re: my devil has innocent blood on her hands x Cillimitri ii (terminé)
Ven 14 Mai 2021 - 22:33
Sans la moindre surprise elle t’anonce qu’elle n’est pas heureuse d’être ici. C’était facile de s’en douter, elle n’a pas la tenue adéquate et elle tire une tronche de dix pieds de long. Non, il est clair maintenant que Calliope Muller n’est pas une femme de terrain, elle avait l’air bien plus à l’aise derrière son bureau, bien à l’abris dans sa cage de verre, aux affaires bien rangées. Là bas, elle peut avoir le contrôle sur tout et chacun. Ici, il n’y a pas de douce lumière, pas de jolis arrangements floraux, ni photos des membres de la famille entre deux livres de texte de lois. Non, ici, il y a du sang, un corps sans vie sur le sol, des indices à trouver, des gens de différents corps de métiers qui doivent travailler ensemble dans une harmonie toute relative.
Alors non, Calliope n’est pas à l’aise dans cet environnement. Toi ça t’arrange. Quand tu es venu à son bureau, tu n’étais pas en position de force, tu es venu réclamer quelque chose qu’elle t’a accordé du bout des lèvres, difficilement, à contre coeur mais nécessaire cependant, elle même l’a vu. Mais elle n’a pas fait bougé suffisamment son calendrier pour éviter un drame. Alors il n’est pas question que toi tu coopères si aisément, et ce malgré la mine affable que tu affiches.
A peine arrivée, elle te demande donc de raconter ce qui finira par atterrir sur son bureau dans un épais rapport.
“Les menus détails vous intéressent ?”
Tu sais que oui, tu as vu avec qu’elle avidité elle a lu les différents éléments du rapport que tu lui as donné.
“Vous ne devriez pas perdre votre temps ici, vous avez l’air d’avoir froid et il risque de pleuvoir. Je vous enverrai le rapport quand il sera prêt.”
C’est à dire ce soir, mais tu n’as pas besoin de préciser qu'elle n’en a que faire de savoir quand tu travailles, ou que tu travailles réellement. Cependant tu sais qu’elle ne va pas apprécier le fait que tu ais relevé une faiblesse physique. Il est clair qu’elle n’a pas la tenue adéquate bien qu’elle soit tout à fait charmante. Si tu avais poussé le vice tu aurais proposé une cape de pluie de la brigade mais tu ne veux pas l’humilier, ou lui donner une quelconque raison apparente de voir en ton comportement autre chose qu’une fausse galanterie. Elle ne peut pas reprocher tes manières, ou insinuer que tu te comportes mal avec elle, tu joues dangereusement avec la limite, tu adores ça.
Tu ne sais même pas pourquoi elle est venue jusqu'ici en réalité. Qu'a telle besoin de vérifier par elle même ? Que le gars est bel et bien mort, si c’est le cas, elle a la réponse à sa question.
Pour ta part on te fait signe et tu trouves là une raison de faire languir la belle, ce qui avouns le, est tout à ton avantage.
“Veuillez m’excuser quelques minutes, le devoir m’appelle”
Tu souris, cette fois ci il y a une flamme malicieuse qui s’est allumée dans ton regard, et tu files vers le brigadier qui t’as appelé au loin de ton pas assuré, en prenant ton temps.
@Calliope Muller
- Calliope Mullersensitive bitch
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Re: my devil has innocent blood on her hands x Cillimitri ii (terminé)
Dim 16 Mai 2021 - 11:01
La situation était assez inconfortable pour Calliope Muller. Elle avait été envoyée sur place avec assez peu d’instructions si ce n’est de faire le point avec les enquêteurs aurors pour appréhender la suite des investigations. Elle était fort peu couverte et le vent faisait entrer le froid, l’humidité se ressentait dans ses bronches et elle allait finir par se faire une cheville en glissant sur un pavé mouillé… Et le pire de tout. Elle avait encore à faire avec Dimitri Majewski.
Cet auror était aux yeux de Callie tout ce qu’elle détestait dans cette profession. Un membre des forces de l’ordre qui pensait que tout lui était du, qui avait une aversion pour le respect des procédures … et en plus, celui-ci n’était encore qu’un étudiant qui passait la moitié de son temps les fesses sur les bancs de la facultés… Un bon-heur.
Pourtant, c’est lui qu’elle avait été voir. Elle espérait qu’il ait au moins la qualité d’être efficace et qu’elle puisse profiter de cette compétence pour absorber les informations dont elle avait besoin et rentrer au bureau au plus vite au plus tôt. Evidemment, l’apprenti auror se révéla une incroyable deception. Est ce que les détails l’intéressaient ? Pensait il vraiment qu’elle se serait déplacée si ce n’était pas le cas ? N’avait elle pas mieux à faire ailleurs ?
- A titre très personnel, non. Mais je suppose que si mes supérieurs ont jugés utile de m’envoyer après avoir été avertis par les votre, c’est que ces détails les intéressent.
Elle arque un sourcil tandis qu’il lui propose d’envoyer le rapport en soulignant d’une façon habile et polie qu’elle n’est pas à sa place ici. Comme si elle l’ignorait. Si l’habitude du jeune auror est charmante, Calliope n’est pas sote. Elle sait qu’il ne s’agit que d’une façade et qu’il n’en pense pas moi. Il est habile. Il est terriblement agaçant. Le fait est que la brune n’est pas ici pour s’amuser.
- Je ne perdrais mon temps que si vous me le faite perdre.
La Muller est du genre explicite. L’agacement s’entend dans sa voix. Elle n’a pas que ça à faire et elle le fait sentir. Elle lève les yeux aux ciel tandis qu’il est appelé et s’excuse. C’est à ce moment là que la pluie décide de s’abattre sur la scène de crime. Elle sort sa baguette pour la tendre vers le ciel et se protéger de la pluie mais le vent n’a cure de sa volonté. Elle regarde l’auror discuter avec son collègue. Peut être aurait elle du s’adresser à lui plutôt au Majewski. Elle serait peut être déjà chez elle. Elle attend mais sa patience n’est pas des plus conséquente. Quand il revient, elle ne lui laisse pas le temps d’ouvrir la bouche.
- Dois-je m’adresser à quelqu’un d’autre ? Peut être que vous n’avez pas les informations qui me sont nécessaires. Votre collègue sera-t-il plus compétent ?
Elle attaque. Sa patience a des limites.
Cet auror était aux yeux de Callie tout ce qu’elle détestait dans cette profession. Un membre des forces de l’ordre qui pensait que tout lui était du, qui avait une aversion pour le respect des procédures … et en plus, celui-ci n’était encore qu’un étudiant qui passait la moitié de son temps les fesses sur les bancs de la facultés… Un bon-heur.
Pourtant, c’est lui qu’elle avait été voir. Elle espérait qu’il ait au moins la qualité d’être efficace et qu’elle puisse profiter de cette compétence pour absorber les informations dont elle avait besoin et rentrer au bureau au plus vite au plus tôt. Evidemment, l’apprenti auror se révéla une incroyable deception. Est ce que les détails l’intéressaient ? Pensait il vraiment qu’elle se serait déplacée si ce n’était pas le cas ? N’avait elle pas mieux à faire ailleurs ?
- A titre très personnel, non. Mais je suppose que si mes supérieurs ont jugés utile de m’envoyer après avoir été avertis par les votre, c’est que ces détails les intéressent.
Elle arque un sourcil tandis qu’il lui propose d’envoyer le rapport en soulignant d’une façon habile et polie qu’elle n’est pas à sa place ici. Comme si elle l’ignorait. Si l’habitude du jeune auror est charmante, Calliope n’est pas sote. Elle sait qu’il ne s’agit que d’une façade et qu’il n’en pense pas moi. Il est habile. Il est terriblement agaçant. Le fait est que la brune n’est pas ici pour s’amuser.
- Je ne perdrais mon temps que si vous me le faite perdre.
La Muller est du genre explicite. L’agacement s’entend dans sa voix. Elle n’a pas que ça à faire et elle le fait sentir. Elle lève les yeux aux ciel tandis qu’il est appelé et s’excuse. C’est à ce moment là que la pluie décide de s’abattre sur la scène de crime. Elle sort sa baguette pour la tendre vers le ciel et se protéger de la pluie mais le vent n’a cure de sa volonté. Elle regarde l’auror discuter avec son collègue. Peut être aurait elle du s’adresser à lui plutôt au Majewski. Elle serait peut être déjà chez elle. Elle attend mais sa patience n’est pas des plus conséquente. Quand il revient, elle ne lui laisse pas le temps d’ouvrir la bouche.
- Dois-je m’adresser à quelqu’un d’autre ? Peut être que vous n’avez pas les informations qui me sont nécessaires. Votre collègue sera-t-il plus compétent ?
Elle attaque. Sa patience a des limites.
- InvitéInvité
Re: my devil has innocent blood on her hands x Cillimitri ii (terminé)
Dim 16 Mai 2021 - 15:15
Serait ce de la fumée qui est en train de sortir des oreilles de Calliope ? Tu espères que oui. Tu as l’impression cependant que la jeuen femme est moins patience que ce qu’il ne parait de prime abord. Tu te demandes à quel point tu peux pousser le bouchon avant qu’elle ne soit réellement odieuse. Tu éprouverais du plaisir, et une grande satisfaction à la faire sortir de ses gonds, lui montrer qui est le patron ici. Ce n’est rien de plus qu’une vengeance, c’est petit, moche, mais tellement bon. Tu sais savourer les petits plaisirs de la vie sans honte.
Intérieurement tu jubiles. Vous savez l’un comme l’autre qu’elle n’a pas sa place ici, ce n’est pas que la tenue, c’est son attitude. Elle n’aime pas mettre les mains dans le cambouis, voir un corps mort étendu par terre est malsain, dérangeant. Les visions macabres mènent souvent à deux comportements distincts: une contemplation malsaine, ou un dégoût pur et dur. Tu parierais que pour la jeune femme on est plutôt sur la seconde option.
Tu joues les idiots, et elle s’amuse à démonter tes arguments. Tu l’amènes là où tu veux, ça t’amuse, tu as l’impression d’être le chat et de regarder la petite souris couiner. Toi tu n’en as que fait qu’elle fasse correctement son travail ou non. Pour l’instant, tu n’as pas besoin d’elle, tu as encore d’autres chats à fouetter avant de devoir rendre des comptes aux magistrats. Tu as ton enquête à mener. La venue de Calliope est cependant une plaisante distraction.
On sent l’agacement poindre, et tu dois faire preuve de self contrôle pour garder ton sourire droit et ne pas le laisser se teindre de ton cynisme habituel.
« Ne pensez pas que ça soit mon attention. »
Et ton regard dis tout le contraire. Ca te plait trop, elle devrait faire preuve de plus de retenue pour arriver à te couper la chique, là tu n’as qu’à continuer d’envoyer un peu d’huile sur le feu pour que jaillissent les flammes.
C’est une femme de tête, qui n’a pas l’habitude qu’on se moque d’elle, et encore moins qu’on lui résiste. Elle est tombée sur la mauvaise personne. Toi qui restes d’habitude en retrait, qui dégaine ton sourire pour charmer ces dames quand tu en as besoin, tu mènes une autre campagne avec Calliope. Tu te demandes jusqu’où ça pourrait aller, est ce que tu arriverais à la séduire en la rendant complètement folle ?
Ton collègue t’appelle, c’est une aubaine que tu n’espérais pas. Tu t’excuses et t’en va le rejoindre tranquillement. Tu abandonnes Calliope sans te retourner. Il se met à pleuvoir, rien que d’imaginer son désarroi…
Tu remontes le col de ton manteau, mais tu n’as que faire de la pluie qui mouille tes cheveux. Tu échanges quelques mots avec lui, il veut en réalité savoir ce que veut l’assistance du juge Wakefield. Tu lui as bien sûr parlé de l’entrevue que tu avais eu avec elle, et il avait assisté tout comme toi à cette audience. Ce n’est pas l’auror le plus averti de la brigade, mais il est là depuis longtemps. Tu arrives à l'amener là où tu veux, lui laissant assez de travail de son côté pour le contenter. Ca n’a pas l’air de le déranger que le jeune mène la danse, et ça t’arrange. Aussi, tu lui dis que tu en fais ton affaire, et que tu lui enverras le rapport quand il sera fini, il est satisfait, aussi tu peux retourner à la joli brune laissé derrière.
Quand tu te retournes tu la vois en galère avec son parapluie magique. Si tu ne la savais pas coriace, tu aurais presque eu de la peine pour elle. Elle attaque sans préambule.
« Voulez vous vous mettre à l’abri pour discuter ? »
Tu ne lui feras pas le plaisir de lui répondre ce qu’elle veut entendre.
« Vous pouvez aller voir mon collègue, il pourra bien évidemment vous renseigner. Cependant c’est moi qui détient toutes les informations tangibles, les rapports, et me seront aussi envoyés ceux du légiste par la suite. Mon collègue auror pensent que c’est une bonne chose que les juniors soient capables de rédiger les rapports... »
Ce qui est faux bien sûr, tu viens de monter cette histoire de toute pièce. La vérité c’est qu’il n’a jamais eu l’intention de le faire, mais tu ne veux pas le faire passer pour un incompétent, ce n’est pas ta stratégie.
« Un café ça vous dit ? Vous avez l’air d’en avoir besoin. »
Il y en a un juste à l’angle, et vous pourrez discuter sans être à la merci des éléments, elle ne sera qu’à ta merci à toi.
- Calliope Mullersensitive bitch
- » parchemins postés : 775
» miroir du riséd : nina dobrev
» crédits : amnesisart (ava) ; crackship (code sign)
» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
» nature du sang : sang-pur
» particularité : occlumens
» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
» gallions sous la cape : 1403
Re: my devil has innocent blood on her hands x Cillimitri ii (terminé)
Lun 17 Mai 2021 - 19:10
Il est vrai que Calliope Muller n’a pas l’habitude de travailler avec de petits plaisantins comme peut l’être l’étudiant en force magique auquel elle fait fasse. Dans sa vie personnelle, elle aurait sûrement levé les yeux aux ciel tandis qu’il prétendait de pas vouloir lui faire perdre de temps. Elle s’était retenue car ce mouvement occulaire n’était pas très professionnel et Callie aimait être irréprochable. Dommage que ce ne soit pas le cas pour l’ensemble de ses collaborateurs… Elle ne se le permet qu’une fois le Majewski de dos, ayant été appelé par son collègue auprès du corps.
Elle avait froid, elle sentait l’humidité transpercer son trench coat et voila qu’elle avait mal au pied maintenant. Elle soupira, sortant sa baguette pour se protéger de la pluie et regrettant de ne pas disposer d’une grosse écharpe comme celle qui était visible en vitrine. En pleins moi de mai. Il n’y avait décidemment plus de saison dans ce pays… Elle prenait soin de ne pas regarder le corps qui était au sol tout en gardant un œil sur l’auror qui s’était eclipsé… Le macabre l’avait toujours dérangée plus que fascinée. Si elle travaillait dans le pénal, c’était parce que la carrière de ces magistrats était plus médiatisée et donc sujette à davantages de promotions… Si elle s’écoutait, elle ferait du droit fiscal ou du droit entreprenarial…
Plusieurs longues minutes s’écoulent avant que le soviétique ne se décide à revenir vers elle. Agacée, elle exige ses réponse justifiant de sa possibilité d’aller les requérir auprès de l’auror qui accompagne son interlocuteur. L’étudiant lui propose d’aller à l’abri pour en discuter mais il semble qu’il n’ait pas bien comprit à quel point elle était pressée et à quel point elle avait envie de partir. Il se vante d’être la tête pensante de cette enquête… grand bien lui fasse. Si seulement il pouvait alors prétendre s’acquitter de ses devoirs… Elle se fichait pas mal de la politique de formation des aurors juniors… La 99e faisait comme bon lui semblait tant que les enquêtes étaient suffisantes pour permettre à la justice de faire son travail.
- Je vous écoute dans ce cas.
Il lui propose un café… Elle hésite un instant, partagée entre l’agacement de devoir de nouveau réclamer son dû et le froid qui s’insinuait sous sa peau. Elle regarda sa montre, faisant ainsi clairement comprendre que son temps est précieux…
- Il semblerait que je n’ai pas votre temps, Monsieur Majewski. Pourriez nous en avoir finit d’ici vingt minutes où ce café serait il trop difficile a gérer en plus des détails à me délivrer ?
Traduction : ok pour un café si tu te magnes à me larguer les infos, j’vais pas passer quatre heures avec toi, j’ai du boulot plus important qui m’attend.
Elle avait froid, elle sentait l’humidité transpercer son trench coat et voila qu’elle avait mal au pied maintenant. Elle soupira, sortant sa baguette pour se protéger de la pluie et regrettant de ne pas disposer d’une grosse écharpe comme celle qui était visible en vitrine. En pleins moi de mai. Il n’y avait décidemment plus de saison dans ce pays… Elle prenait soin de ne pas regarder le corps qui était au sol tout en gardant un œil sur l’auror qui s’était eclipsé… Le macabre l’avait toujours dérangée plus que fascinée. Si elle travaillait dans le pénal, c’était parce que la carrière de ces magistrats était plus médiatisée et donc sujette à davantages de promotions… Si elle s’écoutait, elle ferait du droit fiscal ou du droit entreprenarial…
Plusieurs longues minutes s’écoulent avant que le soviétique ne se décide à revenir vers elle. Agacée, elle exige ses réponse justifiant de sa possibilité d’aller les requérir auprès de l’auror qui accompagne son interlocuteur. L’étudiant lui propose d’aller à l’abri pour en discuter mais il semble qu’il n’ait pas bien comprit à quel point elle était pressée et à quel point elle avait envie de partir. Il se vante d’être la tête pensante de cette enquête… grand bien lui fasse. Si seulement il pouvait alors prétendre s’acquitter de ses devoirs… Elle se fichait pas mal de la politique de formation des aurors juniors… La 99e faisait comme bon lui semblait tant que les enquêtes étaient suffisantes pour permettre à la justice de faire son travail.
- Je vous écoute dans ce cas.
Il lui propose un café… Elle hésite un instant, partagée entre l’agacement de devoir de nouveau réclamer son dû et le froid qui s’insinuait sous sa peau. Elle regarda sa montre, faisant ainsi clairement comprendre que son temps est précieux…
- Il semblerait que je n’ai pas votre temps, Monsieur Majewski. Pourriez nous en avoir finit d’ici vingt minutes où ce café serait il trop difficile a gérer en plus des détails à me délivrer ?
Traduction : ok pour un café si tu te magnes à me larguer les infos, j’vais pas passer quatre heures avec toi, j’ai du boulot plus important qui m’attend.
- InvitéInvité
Re: my devil has innocent blood on her hands x Cillimitri ii (terminé)
Mar 18 Mai 2021 - 23:04
Calliope Muller est coincée avec toi, du moins c’est ce que tu lui fais comprendre par moult chemins détournés. Le résultat est le même cependant: elle est dépendante de toi si elle veut ses informations. Tu savoures ainsi cette victoire, lui rendant la monnaie de sa pièce. Il est clair que pour toi, c’est de sa faute si elle est là aujourd’hui, alors ce n’est qu’un simple retour de bâton, un juste retour de bâton. Elle a ce qu’elle mérite, et tu ne vas pas t’amuser à lui rendre la tâche facile, parce que justement ce n’est pas intéressant.
Elle perd patience, resserre son trench, elle a froid, c’est comme si même la météo n’a pas envie de l’aider. Une histoire de Karma peut être ? En tout cas, elle fait une bonne victime, car elle ne se comporte pas réellement comme telle. Même acculée, elle semble vouloir mordre, elle est tenace, ne se laisse pas démonter, et finit même par accepter ce café. Parfait. Tu souris quand elle insinue que tu ne peux pas faire deux choses à la fois. Une étincelle brille dans ton regard. Elle a beau dire ce qu’elle veut, la finalité est la même: tu as gain de cause.
“Je ferais de mon mieux Miss Muller, je n’ai hélas pas votre sagacité.”
Tu as compris que les flatteries ne fonctionnaient pas sur elle. Cependant c’est trop tentant pour t’éviter de l’agacer davantage. Elle te donne trop de billes à utiliser. D’autant plus que si elle venait à rougir, ça serait une victoire encore plus grande. Mais Calliope ne semble pas facile à surprendre, pire, elle pourrait très bien faire semblant de ne pas être surprise. Voilà qui ternirait ta joie.
Théâtralement tu fais un geste en direction du café pour la laisser passer devant et tu lui emboîtes le pas toujours de ce pas tranquille alors que la pluie et le vent s’abattent sur vous.
Quand vous arrivés ton manteau est plein de perles d’eau, et d’autres s'agitent dans tes cheveux, tu ne tardes pas à t’ébourrifer pour en éliminer une grande partie.
Tu retires ton manteau une fois atablés et tu le laisses sur le dossier de la chaise. Ce dernier a dévoilé une éternelle chemise impeccable quoi qu’avec le col légèrement humide. Tu passes ta main dans tes cheveux, et rapidement un serveur vient passer la commande, il faut dire qu’à cause de la scène funeste, il n’y a pas grand monde. Tu laisses ta voisine de table commander la première selon la galanterie et tu passes ensuite la tienne.
“Un américain.”
Nostalgie ?
“Alors, qu’avez vous besoin de savoir ma chère.”
Elle ne pense tout de même pas que tu vas mâcher le travail et lui donner la béquée… Elle a dit que tu avais 20 minutes, il t’en reste approximativement 18 minutes et 20 secondes…
“Vos supérieurs ont ils finalement décidé de prendre cette histoire au sérieux ?”
Car ce n’était clairement pas le cas auparavant non ? Le serveur revient et tu t’installes plus confortablement dans la chaise. Ton ton n’est pas insolent, pas même accusateur, tu demandes cela sur le ton de la conversation. Elle va sans doute dire que ça a toujours été le cas, que c’est malheureux ce qu’il s’est passé, et que ce n’est pas matière à plaisanter de la sorte, un homme est mort.
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Re: my devil has innocent blood on her hands x Cillimitri ii (terminé)
Mer 19 Mai 2021 - 22:21
Ne pas lever les yeux au ciel lors d’une rencontre avec le Majewski relève de l’exploit. Elle se fait violence pour garder un visage impassible tandis qu’il n’essaye même plus, ou n’arrive même plus, à dissimuler ses petites bassesses. Alors certes, non, il n’a pas sa sagacité. Callie en est absolument convaincue. Mais elle sait qu’il ne s’agit pas d’un compliment. Elle n’est pas stupide au point d’y voir une flatterie. Ca contrarie déjà assez la Muller d’accepter ce café, elle ne va pas en plus lui faire le plaisir de répondre à ce genre de d’idiotie.
Il l’invite à prendre les devants pour rejoindre le café qui est au coin de la rue, elle hésite même à changer d’avis et finalement elle se met à marcher, continuant de se protéger du mieux qu’elle pouvait des éléments qui commençaient à se déchainer de plus en plus. Ses chaussures son trempées quand elle pousse la porte du caché et elle retire son trench pour laisser apparaitre un tailleur noir aussi sobre qu’élégant. La café est presque vide à cette heure de la journée mais l’odeur qui y règne est saturée de sucre. Le serveur ne tarde pas à venir s’occuper de leur commande.
- Un thé noir à la vanille, je vous prie.
L’auror choisit sa propre boisson et Callie ne peut s’empêcher de noter l’absence de formule de politesse de sa part. C’était la signature de leur métier ce manque de courtoisie ? Son frère était du même genre. Le genre de type qui pense que tout lui est du. Le genre de type qui pense que les procédures et la politesse ne sont pas essentielles et pourtant elles sont indispensables aux yeux de la brune. Elles régentent les relations sociales, les rendent lissent et lisibles. Pourtant, elle ne relève pas comme elle l’aurait fait avec Caël.
De toute façon, elle n’a pas de temps à perdre et même si le jeune homme est étudiant, elle n’est pas sa maitresse. Ni sa mère. Elle n’a pas que ça à faire, elle doit absolument obtenir les informations nécessaires au juge Axton et elle compte bien le faire le temps de boire ce thé qu’elle vient de commander. Il lui demande ce qu’elle veut savoir… Ca lui parait évident mais elle fait l’effort de lui demander en y mettant les formes :
- Et bien vous pourriez commencer par le dire comment vous avez fait le lien entre ce décès et l’affaire qui nous intéresse ?
Elle marque une pause et ajoute :
- Et vous pourriez également m’informer des suites de votre enquête. Après tout, vous avez supplié pour obtenir de nouveaux moyens d’investigations, j’ose espérer que ceux-ci auront été fructueux.
Non mais à ce rythme là, elle pouvait aussi faire son travail à sa place non ? Si il fallait tout lui expliciter c’était peut être aussi simple et rapide qu’elle fasse l’enquête directement… Elle allait d’ailleurs le suggérer mais le Majewski la prit de court alors qu’il demandait si la justice avait enfin décide de prendre cette affaire au sérieux. Elle attendit que le serveur dépose leurs boissons, le remercia avant de répondre sèchement.
- Toutes nos affaires sont prises au sérieux Monsieur Majewski. Mais je pense que vous pouvez comprendre que les affaires de ce type sont nombreuses, que les agendas des juges ne sont pas extensibles, que nos moyens sont limités…
Elle versa son thé dans sa tasse avant de demander :
- Dois-je continuer la liste où c’est assez explicite ?
Il l’invite à prendre les devants pour rejoindre le café qui est au coin de la rue, elle hésite même à changer d’avis et finalement elle se met à marcher, continuant de se protéger du mieux qu’elle pouvait des éléments qui commençaient à se déchainer de plus en plus. Ses chaussures son trempées quand elle pousse la porte du caché et elle retire son trench pour laisser apparaitre un tailleur noir aussi sobre qu’élégant. La café est presque vide à cette heure de la journée mais l’odeur qui y règne est saturée de sucre. Le serveur ne tarde pas à venir s’occuper de leur commande.
- Un thé noir à la vanille, je vous prie.
L’auror choisit sa propre boisson et Callie ne peut s’empêcher de noter l’absence de formule de politesse de sa part. C’était la signature de leur métier ce manque de courtoisie ? Son frère était du même genre. Le genre de type qui pense que tout lui est du. Le genre de type qui pense que les procédures et la politesse ne sont pas essentielles et pourtant elles sont indispensables aux yeux de la brune. Elles régentent les relations sociales, les rendent lissent et lisibles. Pourtant, elle ne relève pas comme elle l’aurait fait avec Caël.
De toute façon, elle n’a pas de temps à perdre et même si le jeune homme est étudiant, elle n’est pas sa maitresse. Ni sa mère. Elle n’a pas que ça à faire, elle doit absolument obtenir les informations nécessaires au juge Axton et elle compte bien le faire le temps de boire ce thé qu’elle vient de commander. Il lui demande ce qu’elle veut savoir… Ca lui parait évident mais elle fait l’effort de lui demander en y mettant les formes :
- Et bien vous pourriez commencer par le dire comment vous avez fait le lien entre ce décès et l’affaire qui nous intéresse ?
Elle marque une pause et ajoute :
- Et vous pourriez également m’informer des suites de votre enquête. Après tout, vous avez supplié pour obtenir de nouveaux moyens d’investigations, j’ose espérer que ceux-ci auront été fructueux.
Non mais à ce rythme là, elle pouvait aussi faire son travail à sa place non ? Si il fallait tout lui expliciter c’était peut être aussi simple et rapide qu’elle fasse l’enquête directement… Elle allait d’ailleurs le suggérer mais le Majewski la prit de court alors qu’il demandait si la justice avait enfin décide de prendre cette affaire au sérieux. Elle attendit que le serveur dépose leurs boissons, le remercia avant de répondre sèchement.
- Toutes nos affaires sont prises au sérieux Monsieur Majewski. Mais je pense que vous pouvez comprendre que les affaires de ce type sont nombreuses, que les agendas des juges ne sont pas extensibles, que nos moyens sont limités…
Elle versa son thé dans sa tasse avant de demander :
- Dois-je continuer la liste où c’est assez explicite ?
MULLER LIKE ME
I don't need a man to make me feel good, I get off doin' my thing
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
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- pride:
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Re: my devil has innocent blood on her hands x Cillimitri ii (terminé)
Ven 21 Mai 2021 - 9:59
Vous finissez par vous installer dans ce café. L’atmosphère y est nettement plus chaude bien que l’humidité de dehors semble ne pas avoir épargné la salle. Au moins tu peux retirer ton manteau et t’épargner à tes vêtements de rester sec un peu plus longtemps.
Tu ne peux t’empêcher de te demander quand est ce que tu arriveras au bout de la patience de la jeune femme. Elle est tenace et pourtant, tu sembles gagner du terrain. Faut dire que tu as de l’expérience en la matière. Tu es bon en martière de torture.
Elle commande un thé. So british. Mais le fait qu’il soit à la vanille dénote. Tu la pensais préféré des parfums plus noble, plus corsé, moins doux. Te serais-tu trompé sur sa nature profonde ? Non, certainement pas.
Tu lances les hostilités, elle saute sur l’occasion. Tu vois bien qu’elle est en demande, qu’elle déteste ça.
“... Vous avez supplié ”
Elle semble enfin se réveiller. Voilà qui est intéressant. Tu ne dis rien encore. Tu préfères la laisser cracher son venin. De toute façon le serveur arrive coupant la conversation. Tu lâches un “merci”, et ramènes la tasse devant toi. Tu te réinstalles confortablement dans ta chaise tu as l’impression d’être dans un merveilleux spectacle d’improvisation. Tu as toujours une corde sensible. Tu as critiqué l’institution qu’elle semble aimer d’amour. Calliope Muller a donc un cœur. Elle plaide sa cause et prêche le travail trop dense et important, et le peu de moyen. Tu te retiendras de lui sortir un mouchoir pour essuyer ses larmes, ou un quelconque commentaire désobligeant. Il faut que tu sois plus malin que ça.
Tu prends ton temps. Reste silencieux, attrape ta tasse, bois une gorgée. Tu la reposes, croises les mains, regardes la jeune femme toujours un un silence religieux.
« Bien sûr, je sais que les moyens de la fonction publique sont limités. Sinon pourquoi vous envoyez ici dans la pluie et le froid, quand vous pourriez briller dans une court. »
Tu détournes ses propos ça t’amuses.
« Ne croyez pas que je désire vous faire perdre votre temps. Vous êtes trop qualifiée pour cela. »
Est ce que tu en fait trop ? Tu prends une nouvelle gorgée. Tu prends ton temps. Tu n’as toujours rien dit qui l'intéresse.
« D’après le légiste, la victime est morte par empoisonnement. Les diverses marques retrouvées sur son corps correspondent à celles relevées sur les précédentes victimes. Nous n’en aurons la confirmation que ce soir, cependant je n’ai pas le moindre doute quant aux résultats. Mais je ne suis qu’un stagiaire. »
Tu portes à nouveau ta tasse à tes lèvres.
« Les perquisitions ont commencé, et il y en a une prévue à 11h ce matin, cela vous intéresserait il ? »
Tu sais d’avance qu’elle va dire non. Mais il se pourrait qu’elle te surprenne qui sait ? Tu serais le premier, ravi.
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Re: my devil has innocent blood on her hands x Cillimitri ii (terminé)
Sam 22 Mai 2021 - 18:31
Il souffle le chaud et le froid sans se lasser, semblerait il. Il ne fait que cela. Comme si c’était un jeu, un jeu qu’il trouvait particulièrement amusant. Sauf que Callie n’est pas vraiment de celles qui aime jouer. Elle est connue et reconnue pour son sérieux, pour son travail acharné, par sa rigueur sans cesse saluée. Elle n’est pas ce celles qui flirte sans même s’en rendre compte, non. Quand elle flirt, elle est explicite et surtout, elle n’est pas dans le cadre de son activité professionnel. Elle tient à sa carrière comme à la prunelle de ses yeux, elle ne la risquerait pour rien au monde.
Alors elle s’agace, elle s’agace que l’auror s’amuse d’elle ainsi. Elle s’agace de l’entendre la contrarier puis lui souffler des compliments. Il ne dissimule pas ses pensées, son sourire arrogant contredit systématiquement les mots, les gentillesses et les politesses qui sortent de sa bouche. Elle n’est pas dupe, elle n’est pas stupide. Elle même ne cache pas son agacement. Elle préfère boire son thé plutôt que de répondre aux compliments qui sonnent comme des insultes. encore une fois, elle n’est pas venue ici pour se faire apprécier. Elle est venue pour accomplir la mission que lui a confié le juge Axton et elle ne partira pas tant qu’elle ne sera pas en possession des informations dont elle a besoin.
- Trop qualifiée, oui. Si seulement cela pouvait être le cas de l’ensemble de mes interlocuteurs.
Pas de fausse modestie. Elle est douée pour ce qu’elle fait. Elle le sait. Et pas non plus de compliments faussés. Elle trouve l’auror exécrablement mauvais et elle n’a pas l’intention de le cacher. Elle ne le dit pas directement, la politesse elle y tient, mais elle l’exprime sans qu’il puisse y avoir le moindre doute quant aux mots qu’elle emploie, au contraire du Majewski.
Elle pose sa tasse et récupère un carnet de notes dans son trench tandis que l’étudiant se décide à parler. La petite plume qui y est glissée est ensorcelée pour prendre des notes non pas selon ce qui est dit mais selon ce que Calliope pense. Il semble sur de lui en ce qui concerne le rattachement de ce défunt aux autres de leur enquête.
- Des marques vous dîtes ? Vous pouvez préciser ?
La plus s’arrête et semble se tourner vers le Majewski pour qu’il réponde à la question de la juriste mais il dévie et préfère l’inviter à une perquisition qui devait avoir lieu plus tard dans la matinée. Elle arque un sourcil et sans répondre à son invitation elle demanda :
- Une perquisition ? A onze heures ?
Franchement… qui faisait une perquisition à onze heures ? C’était pas le but d’une perquisition de jouer la carte de la « surprise » et de débouler chez les gens à six heures du matin, première heure à laquelle elle est légale ? Pourquoi programmer cela à onze heures ? Lui qui geignait de ne pas avoir d’audience assez rapidement, qui se plaignait de la lenteur du système judiciaire… C’était pas franchement logique.
Alors elle s’agace, elle s’agace que l’auror s’amuse d’elle ainsi. Elle s’agace de l’entendre la contrarier puis lui souffler des compliments. Il ne dissimule pas ses pensées, son sourire arrogant contredit systématiquement les mots, les gentillesses et les politesses qui sortent de sa bouche. Elle n’est pas dupe, elle n’est pas stupide. Elle même ne cache pas son agacement. Elle préfère boire son thé plutôt que de répondre aux compliments qui sonnent comme des insultes. encore une fois, elle n’est pas venue ici pour se faire apprécier. Elle est venue pour accomplir la mission que lui a confié le juge Axton et elle ne partira pas tant qu’elle ne sera pas en possession des informations dont elle a besoin.
- Trop qualifiée, oui. Si seulement cela pouvait être le cas de l’ensemble de mes interlocuteurs.
Pas de fausse modestie. Elle est douée pour ce qu’elle fait. Elle le sait. Et pas non plus de compliments faussés. Elle trouve l’auror exécrablement mauvais et elle n’a pas l’intention de le cacher. Elle ne le dit pas directement, la politesse elle y tient, mais elle l’exprime sans qu’il puisse y avoir le moindre doute quant aux mots qu’elle emploie, au contraire du Majewski.
Elle pose sa tasse et récupère un carnet de notes dans son trench tandis que l’étudiant se décide à parler. La petite plume qui y est glissée est ensorcelée pour prendre des notes non pas selon ce qui est dit mais selon ce que Calliope pense. Il semble sur de lui en ce qui concerne le rattachement de ce défunt aux autres de leur enquête.
- Des marques vous dîtes ? Vous pouvez préciser ?
La plus s’arrête et semble se tourner vers le Majewski pour qu’il réponde à la question de la juriste mais il dévie et préfère l’inviter à une perquisition qui devait avoir lieu plus tard dans la matinée. Elle arque un sourcil et sans répondre à son invitation elle demanda :
- Une perquisition ? A onze heures ?
Franchement… qui faisait une perquisition à onze heures ? C’était pas le but d’une perquisition de jouer la carte de la « surprise » et de débouler chez les gens à six heures du matin, première heure à laquelle elle est légale ? Pourquoi programmer cela à onze heures ? Lui qui geignait de ne pas avoir d’audience assez rapidement, qui se plaignait de la lenteur du système judiciaire… C’était pas franchement logique.
- InvitéInvité
Re: my devil has innocent blood on her hands x Cillimitri ii (terminé)
Dim 23 Mai 2021 - 12:16
Elle te méprise et elle ne fait aucun effort pour le cacher. Ça t'amuse beaucoup de voir qu'elle affiche ouvertement ses pensées. Si c'est paroles ne se veulent pourtant pas directe, le sous entendu n'est pas équivoque, celui qui n'est pas qualifié ici c'est toi. Tu ne vas pas te vexer pour si peu, tu n'as pas besoin de la convaincre qu'elle a tort, surtout que tu sais qu'elle a tort. Sinon vous ne seriez pas là, sinon elle ne serait pas entrain de perdre son temps avec toi. Si tu étais juste un idiot de la brigade, tu n'aurais jamais fournis un dossier, ne serais jamais allé dans son bureau pour tenter de la convaincre d'une manière ou d'une autre. Elle le sait, tu le sais, et votre discussion est juste des joutes verbales. C'est ça qui l'ennui au plus haut point, qu'elle soit obligé de rentrer dans ton jeu pour avoir quelque chose de toi. Elle a l'impression de perdre son temps, parce qu'elle n'a pas tout de suite ce qu'elle veut, parce que tu ne te plies pas en quatre pour lui donner ce qu'elle désire et ce même si elle t'attire. T'es pas de ce genre là, elle ne doit pas être habituée. Impatiente elle est. Tu peux composer avec ça.
Pourtant tu finis par t'y mettre. La plume écrit alors que tu commences à raconter, donnant quelques informations mais pas assez pour lui permettre d'avoir tout ce dont elle a besoin. Donc elle est obligée de demander. Mais pour qu'elle comprenne mieux, pour qu'elle voit comment se déroulent les opérations, tu te tentes à lui demander de venir avec toi. Elle dirait oui, tu serais réellement surpris. Cependant elle ne répond même pas, mais reprend tes mots sous la forme de question. Elle semble surprise.
"N'hésitez pas à contacter notre capitaine si vous contester cette decision. "
Tu bois une nouvelle gorgée de café en souriant, la regardant par dessus la fasse. Tu l'as bientôt fini.
"Pour répondre à votre question, les personnes qui ingèrent le poison ont des taches violettes sur les mains et le cou. "
C'est simple comme bonjour.
"Cest indiqué dans le premier rapport que je vous ai amené ainsi qu'en annexe 2 il me semble, dans le rapport du légiste."
Tu ne la nargues pas, au contraire.
" Les alchimistes pensent que c'est dû à une réaction allergique. Il se pourrait que ça soit un simple choc allergique qui créé ce genre de soucis, et pour certain une crise cardiaque dû à un choc anaphylactique. Le corps humain ne supporte pas. En général la réaction semble assez immédiate… je pense qu'ils s'attèlent à la reproduire pour comprendre son action et produire un sérum pour guérir les malades."
Tu n'es pas un alchimiste, tu ne saurais exactement dire sur quoi ils travaillent, mais tu as pu interagir avec celui en charge sur l'enquête.
" Est ce que vous voulez venir avec moi à cette perquisition ? Voilà qui vous offrirait une bonne distraction à votre travail administratif. Et à moi une partenaire intelligente. "
Tu finis ton café. Attendant la réponse de Calliope, allez miss Muller dites oui.
Pourtant tu finis par t'y mettre. La plume écrit alors que tu commences à raconter, donnant quelques informations mais pas assez pour lui permettre d'avoir tout ce dont elle a besoin. Donc elle est obligée de demander. Mais pour qu'elle comprenne mieux, pour qu'elle voit comment se déroulent les opérations, tu te tentes à lui demander de venir avec toi. Elle dirait oui, tu serais réellement surpris. Cependant elle ne répond même pas, mais reprend tes mots sous la forme de question. Elle semble surprise.
"N'hésitez pas à contacter notre capitaine si vous contester cette decision. "
Tu bois une nouvelle gorgée de café en souriant, la regardant par dessus la fasse. Tu l'as bientôt fini.
"Pour répondre à votre question, les personnes qui ingèrent le poison ont des taches violettes sur les mains et le cou. "
C'est simple comme bonjour.
"Cest indiqué dans le premier rapport que je vous ai amené ainsi qu'en annexe 2 il me semble, dans le rapport du légiste."
Tu ne la nargues pas, au contraire.
" Les alchimistes pensent que c'est dû à une réaction allergique. Il se pourrait que ça soit un simple choc allergique qui créé ce genre de soucis, et pour certain une crise cardiaque dû à un choc anaphylactique. Le corps humain ne supporte pas. En général la réaction semble assez immédiate… je pense qu'ils s'attèlent à la reproduire pour comprendre son action et produire un sérum pour guérir les malades."
Tu n'es pas un alchimiste, tu ne saurais exactement dire sur quoi ils travaillent, mais tu as pu interagir avec celui en charge sur l'enquête.
" Est ce que vous voulez venir avec moi à cette perquisition ? Voilà qui vous offrirait une bonne distraction à votre travail administratif. Et à moi une partenaire intelligente. "
Tu finis ton café. Attendant la réponse de Calliope, allez miss Muller dites oui.
- Calliope Mullersensitive bitch
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» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
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Re: my devil has innocent blood on her hands x Cillimitri ii (terminé)
Lun 24 Mai 2021 - 19:12
Calliope a la chance d’avoir une bonne mémoire, notamment une bonne mémoire des chiffres et des détails. Elle n’ira pas jusqu’à prétendre avoir une mémoire eidétique mais elle n’a pas à se plaindre. De toute façon, elle est trop consciencieuse pour se faire uniquement confiance, elle ne pourra jamais s’empêcher de retourner au dossier et vérifier ce qu’elle a en tête, ne serait ce que pour être sûre de ce qu’elle écrit, pour éviter toute erreur parce que dans une procédure pénale la moindre petite approximation peut être fatale. C’est pour cela qu’elle lui demande de préciser ce qu’il entend par marques. Elle n’est pas infaillible, elle préfère vérifier.
Mais la discussion embraye sur cette proposition incongrue, celle de venir assister à une perquisition. Elle n’a même pas tiqué sur la proposition en elle même mais plutôt sur l’horaire du rendez-vous. Onze heures ? Les aurors avaient plutôt l’habitude d’aller cueillir les suspects au saut du lit et pas d’arriver pour l’heure du brunch. Qu’est ce qui pouvait justifier un tel horaire ? Visiblement, le Majewski ne savait pas. Ou alors, il bottait en touche pour ne pas dévoiler d’avantage d’information, lui suggérant simplement de se tourner vers sa capitaine.
En haut à gauche de sa feuille, la plume griffonne une croix, signe qu’elle devra se souvenir d’en parler au juge Axton. Parce qu’il est évident qu’elle n’a aucune légitimité de discuter de telles choses avec la capitaine des aurors de la 99, par contre les magistrats pouvaient très bien en discuter avec elle durant les Comités Opérationnels organisés par le parquet. Elle boit une gorgée de son thé, ne jugeant pas utile de répondre aux provocations du Majewski, le laissant plutôt lui rappeler que les marques caractéristiques à cette affaires étaient des tâches violettes dans le cou et sur les mains. Il croit utile de rappeler que les informations sont dans le rapports qui lui a été confiés.
- Je l’espère bien.
C’était quand même le minimum non ? Il pensait vraiment qu’elle pouvait apprendre par coeur son énorme rapport ? Qu’elle n’avait que cette affaire sur le feu ? Elle hoche la tête pour le reste des informations qui sont plus pertinentes et sa plume prend des notes sagement. Elle ne maitrise pas le jargon médical mais elle note les mots importants et elle pourra toujours faire ses recherches plus tard, ou interroger quelqu’un qui sera assez compétent pour le lui expliquer. Ca s’entend que l’étudiant ne maitrise pas tout à fait le sujet non plus. Pour une fois qu’elle ne peut le lui reprocher.
- Je vous remercie.
Son ton est plus doux et elle est sincère. Si le Majewski avait pu lui donner ces informations là de suite elle n’aurait pas eut à être désagréable avec lui. Mais il revient à la charge avec cette histoire de perquisition. Elle n’a ni l’envie, ni le temps de s’autoriser ce genre de « distraction ». Elle n’est pas faite pour le terrain, elle le sait et ça lui va très bien. Si elle avait voulu faire des perquisitions elle serait auror et non pas future magistrate. En plus de ça, elle était presque sure que sa présence entacherait d’un vice de procédure cet acte d’investigation.
- Non, merci. Mon travail m’accapares assez pour ne pas pouvoir me permettre d’aller jouer à faire celui des autres.
Elle termine son thé, jette un regard à l’étudiant qu’elle se surprend un instant à trouver séduisant, avec ce sourire engageant. Mais elle se rappelle qu’il ne s’agit que de manipulation, elle se lève et lui tend la main, il est temps pour aller d’y aller.
- Je vais devoir vous laisser Monsieur Majewski.
Mais la discussion embraye sur cette proposition incongrue, celle de venir assister à une perquisition. Elle n’a même pas tiqué sur la proposition en elle même mais plutôt sur l’horaire du rendez-vous. Onze heures ? Les aurors avaient plutôt l’habitude d’aller cueillir les suspects au saut du lit et pas d’arriver pour l’heure du brunch. Qu’est ce qui pouvait justifier un tel horaire ? Visiblement, le Majewski ne savait pas. Ou alors, il bottait en touche pour ne pas dévoiler d’avantage d’information, lui suggérant simplement de se tourner vers sa capitaine.
En haut à gauche de sa feuille, la plume griffonne une croix, signe qu’elle devra se souvenir d’en parler au juge Axton. Parce qu’il est évident qu’elle n’a aucune légitimité de discuter de telles choses avec la capitaine des aurors de la 99, par contre les magistrats pouvaient très bien en discuter avec elle durant les Comités Opérationnels organisés par le parquet. Elle boit une gorgée de son thé, ne jugeant pas utile de répondre aux provocations du Majewski, le laissant plutôt lui rappeler que les marques caractéristiques à cette affaires étaient des tâches violettes dans le cou et sur les mains. Il croit utile de rappeler que les informations sont dans le rapports qui lui a été confiés.
- Je l’espère bien.
C’était quand même le minimum non ? Il pensait vraiment qu’elle pouvait apprendre par coeur son énorme rapport ? Qu’elle n’avait que cette affaire sur le feu ? Elle hoche la tête pour le reste des informations qui sont plus pertinentes et sa plume prend des notes sagement. Elle ne maitrise pas le jargon médical mais elle note les mots importants et elle pourra toujours faire ses recherches plus tard, ou interroger quelqu’un qui sera assez compétent pour le lui expliquer. Ca s’entend que l’étudiant ne maitrise pas tout à fait le sujet non plus. Pour une fois qu’elle ne peut le lui reprocher.
- Je vous remercie.
Son ton est plus doux et elle est sincère. Si le Majewski avait pu lui donner ces informations là de suite elle n’aurait pas eut à être désagréable avec lui. Mais il revient à la charge avec cette histoire de perquisition. Elle n’a ni l’envie, ni le temps de s’autoriser ce genre de « distraction ». Elle n’est pas faite pour le terrain, elle le sait et ça lui va très bien. Si elle avait voulu faire des perquisitions elle serait auror et non pas future magistrate. En plus de ça, elle était presque sure que sa présence entacherait d’un vice de procédure cet acte d’investigation.
- Non, merci. Mon travail m’accapares assez pour ne pas pouvoir me permettre d’aller jouer à faire celui des autres.
Elle termine son thé, jette un regard à l’étudiant qu’elle se surprend un instant à trouver séduisant, avec ce sourire engageant. Mais elle se rappelle qu’il ne s’agit que de manipulation, elle se lève et lui tend la main, il est temps pour aller d’y aller.
- Je vais devoir vous laisser Monsieur Majewski.
MULLER LIKE ME
I don't need a man to make me feel good, I get off doin' my thing
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
- pride:
- InvitéInvité
Re: my devil has innocent blood on her hands x Cillimitri ii (terminé)
Mer 26 Mai 2021 - 0:44
Serait elle sincère alors qu’elle te remercie ? Allons bon… Deviendrait-elle docile quand on la brosse dans le sens du poil ? Ou serait-ce parce qu’elle n’est plus dans le froid et l’humidité d’Inverness ? Les réponses à ses questions tu ne les auras pas, mais elle a l’air d’être satisfaite par les tiennes.
Comme elle semble dans de meilleures dispositions, tu espères presque qu’elle accepte de venir avec toi sur le champ de bataille. Pourrait-elle accepter de mouiller un peu sa veste et venir se mêler au commun des mortels ? Parce qu’il est clair que pour elle, tu n’es qu’un auror stagiaire parmi d’autres, et que tu ne mérites pas de lui faire “perdre” son temps. Pourtant c’est bien vers toi qu’elle s’est tournée alors qu’elle aurait pu te snober jusqu’à la fin. Si elle avait exigé, sans doute que ton camarade lui aurait fourni diverses réponses, moins précises, et l'aurait renvoyé vers le rapport.
Elle refuse. Tu portes ta main sur ton coeur comme si elle l’avait brisé en refusant, mais sur ton visage trône un air trop amusé pour être crédible. Aussi cette même main tu la tiens en l’air comme si tu ne pouvais plus rien y faire, et que tu n’allais pas insister davantage. C’est le cas. Elle a refusé, tu ne lui mettras pas un couteau sous la gorge pour qu’elle accepte de venir avec toi. Tu sais que vos chemins se croiseront à nouveau, il est clair pour toi que tu n’en as pas fini avec Calliope Muller que se soit avec ou contre sa volonté.
Vous avez tous les deux terminé vos boissons et il semble que ça soit l’heure pour la joli brune de laisser tomber la récréation ainsi que les enfantillages pour retourner à son travail de grande personne. A son image, tu te lèves et vos mains se rencontrent. Un instant tu penses à porter la sienne à tes lèvres dans un baisemain très vieux continent, mais tu décides de la laisser tranquille.
« Au plaisir de vous revoir Miss Muller, c’est toujours une joie de m’entretenir avec vous. »
Qu’elle ne doute pas de la sincérité de tes paroles car c’est la pure vérité. Vous faites un dernier bout de chemin ensemble alors que vous sortez du café, avant de vous séparer cependant tu adresses un signe de la tête à la jeune femme avec un sourire badin sur ta bouche. Oui, il y aura une prochaine fois.
terminé