- Calliope MullerADMIN - sensitive bitch
- » parchemins postés : 723
» miroir du riséd : nina dobrev
» crédits : amnesisart (ava) ; crackship (code sign)
» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
» particularité : occlumens
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 1644
La loyauté est une histoire de famille pv. Alistair
Mer 26 Mai 2021 - 17:19
5 mai 2021 - Très tôt le matin
Calliope Muller était nerveuse. Si nerveuse qu’elle tournait et se retournait dans son lit qu’elle avait rejoint quelques heures plus tôt à peine et où elle avait été incapable de fermer l’oeil. Un rayon lunaire lui permettait de constater que l’heure avançait et qu’elle ne saurait pas s’endormir. Elle repoussa ses draps et se leva sans un bruit avant de se saisir de sa baguette pour allumer la lumière. Une fois n’était pas coutume, elle se prépare un café plutôt que du thé. La journée allait être longue.
La veille au soir, elle avait quitté la salle d’audience exténuée. Tellement fatiguée que ses seuls plans pour la nuit était un plat de pâtes du restaurant italien d’en face et un verre de vin rouge avant de s’écrouler dans son lit. Evidemment, rien ne s’était déroulée comme prévue. Convoquée de la manière la plus impolie qui soit par un auror stagiaire @Dimitri Majewski, elle avait terminé sa soirée au dessus d’un cadavre à discuter d’une affaire en cours d’investigations qu’ils avaient en commun. L’aurore avait voulu l’exfiltrer de son bureau pour la tenir au courant des nouveau éléments de l’affaire parce qu’il était inquiet : ses pistes remontaient jusqu’à un représentant du ministère de la magie. Il ignorait lequel.
Cette affaire, Calliope Muller n’aurait pas misé une noise dessus tant elle était barbante. Un vol de balais dans plusieurs endroits de Londres. Le fait est que ces balais n’étaient pas terminés et donc pas tracés… La 99e avait réussit à remettre la main sur l’un d’entre eux, leur permettant de relier cette affaire à des décès et hospitalisation étranges… De la tentacula coupée par une substance étrange qui parfois était létale. Contrairement à ce qui aurait pu être attendu, l’affaire demeura entre les mains de l’auror stagiaire. Et celui-ci se trouvait pleins de zèle, si bien qu’après avoir intercepté un des alchimiste qui revendait cette tentacula viciée, il l’avait relâché en espérant pouvoir remonter la piste de ses contacts. Et l’alchimiste avait été assez stupide faire exactement ce que le Majewski espérait…
Les patronus utilisés par les différents destinataires avaient été tracés mais certains d’entre eux n’étaient pas interceptables, trop bien dissimulés par une magie puissante. Pourtant, l’auror avait su localiser la source de ces sortilèges et l’étage des chefs de départements avait été évoqué. Ce qui avait déclenché quelques palpitations à la Muller, surtout lorsqu’elle avait comprit que l’aile concerné était celui du bureau de son oncle.
Le Majewski ne connaissait pas le Ministère comme elle. Il ne connaissait pas la personnalité des haut dignitaires et par élimination, elle pouvait deviner qu’il n’était pas impossible que son oncle soit concerné. Et donc en danger. Evidemment, il lui avait fallut toute la nuit pour débattre avec elle même de l’absence d’éthique dont elle allait devoir faire preuve… Encore une fois, à cause du soviétique. A quatre heures du matin, elle avait prit sa décision. A six, elle avait envoyé un patronus à son oncle lui demandant si elle pouvait passer au manoir récupérer la veste qu’elle avait oublié, espérant que celui-ci comprenne qu’elle voulait discuter loin de tout ce qui pourrait surprendre leur conversation, dont un agent un peu trop zélé.
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I don't need a man to make me feel good, I get off doin' my thing
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
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Re: La loyauté est une histoire de famille pv. Alistair
Mer 26 Mai 2021 - 18:05
what if i wasn't so perfect?
J'allais prendre la route du Ministère, à pieds. Une fois n'est pas coutume, les journées commencent à être très agréable, même à une heure si matinale.
Revêtu d'un de ces costumes excessivement chers et paré d'un blouson de cuir modernisant la tenue - selon les conseils d'une secrétaire trop voyeuse - je passais la porte lorsque le message de ma nièce Calliope s'est invité.
Un patronus pour une veste oubliée, ça me paraît légèrement excessif et je soupçonne la jeune femme d'avoir une toute autre raison. Je suis cependant loin d'imaginer que sa visite me concerne plus ou moins directement ;
Débarrassé du blouson, je regagne le salon principal après avoir lancé la préparation d'un nouveau café. Elle prendra peut être le temps de m'expliquer pourquoi il était si important de m'avertir de son passage à six heures du matin.
Je suppose que sa motivation est liée à Lilith, ces deux inséparables font encore les quatre cents coups bien que l'enfance commence à devenir lointaine... Je regrette un peu ces années d'insouciance. La leur, bien sûr. Les gamins m'ont toujours angoissé et si je n'en montrais rien, je redoutais constamment que leur naïveté les entraînent au devant des accidents les plus stupides.
Est-ce que j'ai moins d'appréhensions maintenant qu'elles sont de sublimes adultes ?
Le milan royal luminescent a dû lui parvenir assez vite pour confirmer ma présence à la demeure familiale. Je n'ai rien d'urgent qui m'attende au bureau - remarque qui me vaudrait un sourire carnassier de la @Margaret Rosebury - et je suis finalement ravi de pouvoir retarder le début de cette journée de boulot.
Ça fait longtemps que je n'ai pas discuté avec cette Muller. Je ne sais même pas où en est sa situation maritale. Sujet extrêmement important figurez-vous, être la plus noble et pure des familles nécessite une implication constante et une méticuleuse anticipation des amourettes.
Lorsqu'on frappe à la porte, je l'ouvre d'un geste de baguette désabusé depuis l'étage :
" Entre, je suis au premier. "
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Re: La loyauté est une histoire de famille pv. Alistair
Dim 30 Mai 2021 - 23:37
Elle n’avait pas encore terminé son café qu’un rapace luminescent vient s’installer sur l’une des chaises de son salon. Son oncle lui confirma qu’il était au manoir et l’invitait à passer. Elle laissa son café refroidir dans la tasse pour aller prendre une douche puis se préparer comme à son habitude. Elle portait une robe jupe fourreau vert foncé sur un tee shirt dont la dentelle noire recouvrait ses épaules. Il commençait enfin à faire un temps printanier et elle n’avait absolument pas besoin de sa veste.
Elle avait transplané sans difficulté jusqu’au manoir de son oncle, un endroit qu’elle connaissait par coeur tant elle l’avait arpentée petite lors des réunions de familles. Ce jardin, elle y avait joué si souvent avec Lilith. Elle s’était disputé avec Caliban dans ce hall. Elle avait beaucoup de souvenir à cet endroit. Elle frappe et la porte s’ouvre presque aussitôt devant elle, la voix de son oncle l’invite à monter.
Elle pose son sac à main sur un petit meuble dans le hall et l’abandonne pour monter les escaliers de marbre qui amènent à l’étage supérieur. Elle passe devant la bibliothèque, devant la chambre de sa cousine et finalement tourne pour accéder au petit salon duquel s’échappent des sons qui laissent deviner la présence de son oncle. Effectivement, il est là, une tasse à la main et une odeur de café autour de lui.
- Bonjour mon oncle. J’espère que vous allez bien. Désolée de vous importuner si tôt.
Sa voix est aimable. Elle apprécie son oncle Alistair et l’estime beaucoup pour sa carrière et ses hautes relations. Elle sourit et son visage ne trahit nullement le trouble qui l’habite. C’est que la Muller a l’habitude de dissimuler ce qu’elle pense et ressent depuis son adolescence. Elle est devenue une véritable maître en la matière.
Elle jette un coup d’oeil dans la pièce et elle ne voit personne. Son oncle habite seul cet immense manoir depuis le décès de son épouse, ses enfants vivant plus près d’Hungcalf ou du ministère. Tant mieux. Pour ce genre de conversation, mieux valait qu’ils soient seuls à seuls. Mieux valait même qu’ils soient dans un endroit sûr. Si son oncle était comme son père, elle devinait que son bureau devait être bardé de sortilèges de protection en tout genre. C’était exactement ce dont elle a besoin…
- Puis-je vous parler un instant ? Peut être que nous pourrions utiliser votre bureau ?
Elle allait quand même demander à son oncle s’il n’était pas de près ou de loin lié à un traffic de stupéfiants… Elle préférait faire ça loin des oreilles indiscrètes et elle ne savait pas si l’auror stagiaire avait poussé son enquête jusqu’à placer quelques sortilèges d’espionnage chez les Muller. C’était illégal et excessif, mais venant du Majewski, mêlé comme il l’était, elle ne pouvait pas écarter totalement cette éventualité.
Elle avait transplané sans difficulté jusqu’au manoir de son oncle, un endroit qu’elle connaissait par coeur tant elle l’avait arpentée petite lors des réunions de familles. Ce jardin, elle y avait joué si souvent avec Lilith. Elle s’était disputé avec Caliban dans ce hall. Elle avait beaucoup de souvenir à cet endroit. Elle frappe et la porte s’ouvre presque aussitôt devant elle, la voix de son oncle l’invite à monter.
Elle pose son sac à main sur un petit meuble dans le hall et l’abandonne pour monter les escaliers de marbre qui amènent à l’étage supérieur. Elle passe devant la bibliothèque, devant la chambre de sa cousine et finalement tourne pour accéder au petit salon duquel s’échappent des sons qui laissent deviner la présence de son oncle. Effectivement, il est là, une tasse à la main et une odeur de café autour de lui.
- Bonjour mon oncle. J’espère que vous allez bien. Désolée de vous importuner si tôt.
Sa voix est aimable. Elle apprécie son oncle Alistair et l’estime beaucoup pour sa carrière et ses hautes relations. Elle sourit et son visage ne trahit nullement le trouble qui l’habite. C’est que la Muller a l’habitude de dissimuler ce qu’elle pense et ressent depuis son adolescence. Elle est devenue une véritable maître en la matière.
Elle jette un coup d’oeil dans la pièce et elle ne voit personne. Son oncle habite seul cet immense manoir depuis le décès de son épouse, ses enfants vivant plus près d’Hungcalf ou du ministère. Tant mieux. Pour ce genre de conversation, mieux valait qu’ils soient seuls à seuls. Mieux valait même qu’ils soient dans un endroit sûr. Si son oncle était comme son père, elle devinait que son bureau devait être bardé de sortilèges de protection en tout genre. C’était exactement ce dont elle a besoin…
- Puis-je vous parler un instant ? Peut être que nous pourrions utiliser votre bureau ?
Elle allait quand même demander à son oncle s’il n’était pas de près ou de loin lié à un traffic de stupéfiants… Elle préférait faire ça loin des oreilles indiscrètes et elle ne savait pas si l’auror stagiaire avait poussé son enquête jusqu’à placer quelques sortilèges d’espionnage chez les Muller. C’était illégal et excessif, mais venant du Majewski, mêlé comme il l’était, elle ne pouvait pas écarter totalement cette éventualité.
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- (m/f) famille mckinnon (3/5) ★ ancienne famille de sang-pur/redheads en puissance
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