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De refus en surprise [pv. Sonita]
Mar 21 Sep 2021 - 23:57
DE REFUS EN SURPRISE
Juillet 2021
Il flotte.
Tu entends les gens se plaindre du temps mitigé quand tu te déplaces dans le district de Myrddin Wyllt. Ils arguent qu’il n’y a plus de saison, que le réchauffement climatique y est pour quelque chose, que les vacances d’été sont gâchées. Ils blâment les moldus et, honnêtement… bah tu t’en fous. T’es pas un type je-m’en-foutiste, mais c’est pas comme si râler allait changer la face du monde. Par contre, ce qui peut changer ta face à toi – ton faciès, quoi –, c’est que les gens acceptent de comprendre que non, tu ne fais pas de promotion juste parce que læ client·e connaît la tante du cousin de son ami de sa nièce au troisième degré. Okay, cette blague est nulle, mais les gens sont tellement chiants que t’en peux plus. Bref, non. Pas de promotion sans l’aval de ton patron. Enfin, sur tes propres flashs, pourquoi. Mais sur un tatouage unique en son genre, c’est évident que c’est pas possible. Après, peut-être que c’est un souci de visibilité.
À réfléchir.
Non, parce que, dernièrement, t’as entendu parler du Wizardgram. Encore un nom à coucher dehors. Ce serait un truc de jeune pompé du côté des moldus. Ça accuse les moldus du réchauffement climatique, mais ça hésite pas à leur piquer des inventions. Ça pourrait servir à donner de la visibilité à ton shop, à tes oeuvres et à tes flashs, mais aussi à donner des infos importantes du genre : pas de promotion sur les tatouages réalisés sur mesure ! C’est comme si ils demandaient à un célèbre artiste peintre d’acheter son tableau à cinquante pourcent de réduction. Une insulte. Tu soupires. Et dire que tu dois répondre à ces gens. Tu vas pas te fatiguer à leur expliquer la raison. T’es peut-être un vieux loup-garou mal réveillé parce que plus de thé dans tes placards, mais t’as surtout pas de temps à perdre avec ces gens-là. Et aussi parce que t’as pas de temps à perdre. Il faut que tu bosses sur un tatouage demandé par un client et tu avoues que tu savoures déjà le moment où tu vas poser la pointe de ton crayon de bois sur le parchemin. ton patron te reproche de bosser à l’ancienne, de perdre du temps. Mais c’est quelque chose que tu aimes – non, pas perdre du temps – ; sentir le grain du parchemin sous ta mine, les frottements, voire apparaître l’animal au fil de tes coups de crayons ainsi qu’une étrange peinture rupestre sur la tranche de ta main. C’est que les gauchers ont une sacrée veine de ce côté. Ils peuvent dessiner sur le parchemin et sur la main. C’est prodigieux. Jamais un droitier ne serait capable de faire ça. Non, en vrai, c’est chiant.
Étant un ancien Serpentard, il souhaiterait la représentation d’un long serpent qui part de son omoplate pour arriver au bord de son poignet. Il pensait agrémenter cela de quelques fleurs. Tu lui as pas caché que cela aurait un certain coût et que le tatouage ne se réaliserait pas en une seule séance. Il faudra en prévoir au moins une seconde. En vrai, c’est une chouette idée. En plus, le client que le serpent bouge, ce qui donnerait un effet sympathique. Il va donc falloir que tu bosses sur le mouvement de la bestiole, mais aussi de l’emplacement de ses écailles. Heureusement, t’as réussi à le convaincre à garder la gueule fermée. On va éviter le côté agressif. Ça trancherait trop avec la douceur des fleurs. Tu commences déjà à crayonner les prémices de cette nouvelle œuvre que la clochette du shop carillonne doucement. Tu relèves le nez et une jeune femme pénètre dans les lieux. Tu te pares d’un sourire et repousse ton croquis sur le côté afin de te concentrer sur ta potentielle future cliente.
— Salut. Je peux faire quelque chose pour toi ?
Cette question est redondante, mais t’aimes bien l’idée que les client·e·s ressentent le fait que t’es vraiment à leur écoute. T’es certainement pas un scratcheur. Tu fronces légèrement les sourcils devant la belle demoiselle. Pas d’arrière pensée dégueulasse. T’as juste la sensation d’avoir senti son odeur à plusieurs reprises. Tu sais que ton boulot cache un truc un peu plus moche. Oh par les poils de ta doyenne ! T’espères que ton patron et ses collègues l’exploitent pas.
Il flotte.
Tu entends les gens se plaindre du temps mitigé quand tu te déplaces dans le district de Myrddin Wyllt. Ils arguent qu’il n’y a plus de saison, que le réchauffement climatique y est pour quelque chose, que les vacances d’été sont gâchées. Ils blâment les moldus et, honnêtement… bah tu t’en fous. T’es pas un type je-m’en-foutiste, mais c’est pas comme si râler allait changer la face du monde. Par contre, ce qui peut changer ta face à toi – ton faciès, quoi –, c’est que les gens acceptent de comprendre que non, tu ne fais pas de promotion juste parce que læ client·e connaît la tante du cousin de son ami de sa nièce au troisième degré. Okay, cette blague est nulle, mais les gens sont tellement chiants que t’en peux plus. Bref, non. Pas de promotion sans l’aval de ton patron. Enfin, sur tes propres flashs, pourquoi. Mais sur un tatouage unique en son genre, c’est évident que c’est pas possible. Après, peut-être que c’est un souci de visibilité.
À réfléchir.
Non, parce que, dernièrement, t’as entendu parler du Wizardgram. Encore un nom à coucher dehors. Ce serait un truc de jeune pompé du côté des moldus. Ça accuse les moldus du réchauffement climatique, mais ça hésite pas à leur piquer des inventions. Ça pourrait servir à donner de la visibilité à ton shop, à tes oeuvres et à tes flashs, mais aussi à donner des infos importantes du genre : pas de promotion sur les tatouages réalisés sur mesure ! C’est comme si ils demandaient à un célèbre artiste peintre d’acheter son tableau à cinquante pourcent de réduction. Une insulte. Tu soupires. Et dire que tu dois répondre à ces gens. Tu vas pas te fatiguer à leur expliquer la raison. T’es peut-être un vieux loup-garou mal réveillé parce que plus de thé dans tes placards, mais t’as surtout pas de temps à perdre avec ces gens-là. Et aussi parce que t’as pas de temps à perdre. Il faut que tu bosses sur un tatouage demandé par un client et tu avoues que tu savoures déjà le moment où tu vas poser la pointe de ton crayon de bois sur le parchemin. ton patron te reproche de bosser à l’ancienne, de perdre du temps. Mais c’est quelque chose que tu aimes – non, pas perdre du temps – ; sentir le grain du parchemin sous ta mine, les frottements, voire apparaître l’animal au fil de tes coups de crayons ainsi qu’une étrange peinture rupestre sur la tranche de ta main. C’est que les gauchers ont une sacrée veine de ce côté. Ils peuvent dessiner sur le parchemin et sur la main. C’est prodigieux. Jamais un droitier ne serait capable de faire ça. Non, en vrai, c’est chiant.
Étant un ancien Serpentard, il souhaiterait la représentation d’un long serpent qui part de son omoplate pour arriver au bord de son poignet. Il pensait agrémenter cela de quelques fleurs. Tu lui as pas caché que cela aurait un certain coût et que le tatouage ne se réaliserait pas en une seule séance. Il faudra en prévoir au moins une seconde. En vrai, c’est une chouette idée. En plus, le client que le serpent bouge, ce qui donnerait un effet sympathique. Il va donc falloir que tu bosses sur le mouvement de la bestiole, mais aussi de l’emplacement de ses écailles. Heureusement, t’as réussi à le convaincre à garder la gueule fermée. On va éviter le côté agressif. Ça trancherait trop avec la douceur des fleurs. Tu commences déjà à crayonner les prémices de cette nouvelle œuvre que la clochette du shop carillonne doucement. Tu relèves le nez et une jeune femme pénètre dans les lieux. Tu te pares d’un sourire et repousse ton croquis sur le côté afin de te concentrer sur ta potentielle future cliente.
— Salut. Je peux faire quelque chose pour toi ?
Cette question est redondante, mais t’aimes bien l’idée que les client·e·s ressentent le fait que t’es vraiment à leur écoute. T’es certainement pas un scratcheur. Tu fronces légèrement les sourcils devant la belle demoiselle. Pas d’arrière pensée dégueulasse. T’as juste la sensation d’avoir senti son odeur à plusieurs reprises. Tu sais que ton boulot cache un truc un peu plus moche. Oh par les poils de ta doyenne ! T’espères que ton patron et ses collègues l’exploitent pas.
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Re: De refus en surprise [pv. Sonita]
Mar 5 Oct 2021 - 10:36
De refus en surprise
Cela faisait quelques temps qu'elle ressentait le besoin de changement, cette sensation ne lui était pas arrivée depuis qu'elle était petite, depuis la fois où elle a quitté ses cheveux long pour une coupe bien plus courte qu'elle arbore encore aujourd'hui. Elle avait ce besoin presque nécessaire d'assouvir ce désir ancré en elle. Elle devait avant tout se renseigner car ce n'est pas aussi rapide qu'un coup de ciseaux, elle se voulait pour une fois réfléchie et plongée dans une certaine réflexion qui ne lui ressemblait pas. C'était un acte plus "définitif", cette fois, elle n'a pas la possibilité de laisser sa chevelure regagner en longueur si un jour elle souhaitait les avoir de nouveau long comme ce fut le cas lors de son enfance.
Alors elle passa la porte d'un endroit qu'elle avait croisés plus d'une fois, le carillon qui signifie sa présence retentît, mais elle n'en prenait pas compte, elle aimait ce tintement. Elle parcourra des yeux les différents croquis et œuvres réalisés mais elle n'eut guerre le temps d'en voir davantage, la voix du responsable des lieux lui fit relever la tête. L'homme crayonnait, tu le devine a son crayon à la main, il s'affairait déjà au travail, certainement une commande, mais Sony n'était pas curieuse et ne posait jamais de question qui pourrait la mettre dans l'embarras d'un questionnement trop personnel, elle évitait soigneusement de converser sur le passé, sa vie, une discussion des plus banals lui allait amplement.
Elle s'avança vers le comptoir, vers l'homme armé de son plus lumineux sourire, celui qu'elle expose lorsqu'elle s'estime suffisamment heureuse car c'est le cas. Cette année, elle a la sensation qu'elle peut vivre de plus en plus, davantage elle-même, s'ouvrir aux autres, elle envisage même de prendre un travail ce qui était trop dangereux selon elle les années précédente. Mais c'était une autre histoire, une autre chose à penser, aujourd'hui elle souhaite marquer sa peau et cet homme pourrait lui faire cela. Elle posa me bout des doigts sur le meuble. "Bonjour, je voudrais un renseignement" Son anglais était marqué par un fort accent espagnol, elle maîtrisait la langue sans pour autant cacher ses origines, c'était une chose qu'elle ne pouvait gommer comme un claquement de doigt. Elle se demanda d'ailleurs si un sort ne pouvait y remédier, mais une fois de plus, elle n'était pas ici pour cela. "J'aimerais si possible me faire tatouer à l'intérieur du bras" c'était un endroit spécial, rassurant pour elle, caché presque mais exposé d'une certaine façon. Elle lui montra par reflexe l'endroit souhaité, "une simple rose fait d'un seul trait peut-être quelque chose de simple mais efficace vous voyez ?", elle releva son regard sombre sur lui en attente d'une réponse. Elle n'avait jusqu'alors ignorait son apparence, l'homme était bien plus âgé qu'elle, brun paré d'une barbe datant de quelques jours voir semaines, une longueur de cheveux que Sony n'affectionnait pas habituellement chez elle hommes mais qui, sur lui, ne la surprenait pas, lui aussi semblait être une personne dotés de mystères, c'est ce qui émanait chez lui. Fondre dans le décor, se faire oublier. Intriguant et dangereux, elle avait le nez pour ces choses-là Sony.
Alors elle passa la porte d'un endroit qu'elle avait croisés plus d'une fois, le carillon qui signifie sa présence retentît, mais elle n'en prenait pas compte, elle aimait ce tintement. Elle parcourra des yeux les différents croquis et œuvres réalisés mais elle n'eut guerre le temps d'en voir davantage, la voix du responsable des lieux lui fit relever la tête. L'homme crayonnait, tu le devine a son crayon à la main, il s'affairait déjà au travail, certainement une commande, mais Sony n'était pas curieuse et ne posait jamais de question qui pourrait la mettre dans l'embarras d'un questionnement trop personnel, elle évitait soigneusement de converser sur le passé, sa vie, une discussion des plus banals lui allait amplement.
Elle s'avança vers le comptoir, vers l'homme armé de son plus lumineux sourire, celui qu'elle expose lorsqu'elle s'estime suffisamment heureuse car c'est le cas. Cette année, elle a la sensation qu'elle peut vivre de plus en plus, davantage elle-même, s'ouvrir aux autres, elle envisage même de prendre un travail ce qui était trop dangereux selon elle les années précédente. Mais c'était une autre histoire, une autre chose à penser, aujourd'hui elle souhaite marquer sa peau et cet homme pourrait lui faire cela. Elle posa me bout des doigts sur le meuble. "Bonjour, je voudrais un renseignement" Son anglais était marqué par un fort accent espagnol, elle maîtrisait la langue sans pour autant cacher ses origines, c'était une chose qu'elle ne pouvait gommer comme un claquement de doigt. Elle se demanda d'ailleurs si un sort ne pouvait y remédier, mais une fois de plus, elle n'était pas ici pour cela. "J'aimerais si possible me faire tatouer à l'intérieur du bras" c'était un endroit spécial, rassurant pour elle, caché presque mais exposé d'une certaine façon. Elle lui montra par reflexe l'endroit souhaité, "une simple rose fait d'un seul trait peut-être quelque chose de simple mais efficace vous voyez ?", elle releva son regard sombre sur lui en attente d'une réponse. Elle n'avait jusqu'alors ignorait son apparence, l'homme était bien plus âgé qu'elle, brun paré d'une barbe datant de quelques jours voir semaines, une longueur de cheveux que Sony n'affectionnait pas habituellement chez elle hommes mais qui, sur lui, ne la surprenait pas, lui aussi semblait être une personne dotés de mystères, c'est ce qui émanait chez lui. Fondre dans le décor, se faire oublier. Intriguant et dangereux, elle avait le nez pour ces choses-là Sony.
Codage par Libella sur Graphiorum
- InvitéInvité
Re: De refus en surprise [pv. Sonita]
Dim 10 Oct 2021 - 13:22
DE REFUS EN SURPRISE
Juillet 2021
La jeune femme s’approche de ton comptoir jusqu’à poser ses doigts. Tu regardes son sourire et tu n’affiches plus celui qui est commercial, le numéro 23. Celui qui fend légèrement ton visage, le numéro 15, est plus sincère, mais discret, réservé. Bien que la nouvelle arrivante soit un rayon de soleil dans cette matinée bien maussade, vous restez des étrangers. Et tu restes un employé sur ton lieu de travail. En tout cas, ça fait toujours plaisir de rencontrer ce genre d’individu de temps en temps. C’est rafraîchissant. Elle dit venir pour un renseignement. Bien sûr. Pourquoi d’autres les gens viendraient te voir pour la première fois ? Lorsqu’iels veulent parler de leur projet de tatouage. Ils commencent tou·te·s par la nécessité de demander un renseignement. Comme à chaque fois que tu leur demandes s’ils ont besoin d’aide quand ils passent la porte du shop. Après tout, c’est pas comme dans une épicerie où tu peux y entrer pour acheter deux/trois bricoles et ressortir quasiment avec tout le magasin dans tes sacs de courses. Nope. Si tu viens dans ce genre d’endroit, c’est que t’y as longuement réfléchi ou que t’as une idée qui te trotte dans la tête et que t’as besoin d’en parler avec un·e pro qui peut te guider, te conseiller.
Ou alors, c’est que t’es bourré.
Y’a cette option-là aussi.
Son accent te fait comprendre qu’elle n’est pas née en Grandes-Bretagnes. Tu vas lui jeter la pierre, c’est aussi ton cas. Enfin… t’as vécu dans un autre pays, quoi. Du coup, tu peux même pas dire que t’es un britannique. C’est pas totalement vrai. Même si c’est pas totalement faux. En tout cas, tu t’étonnes pas d’avoir devant toi une personne qui n’est pas née sur cette île. Vu l’université qui se trouve dans le coin avec sa renommée, c’est pas des masses étonnant que des gens d’un peu partout dans le monde veuille y étudier. T’aurais bien aimé savoir ce que ça fait qu’être un étudiant. Bûcher toute la journée et toutes les nuits, te faire des amis, des ennemis, obtenir un diplôme, avoir un boulot à côté de tes études pour pouvoir subvenir à tes besoins, toussa… Après réflexion. nope. Tu t’en sors pas plus mal.
— J’aimerais, si possible, me faire tatouer l’intérieur du bras.
Jusque-là, tout va bien.
— Une simple rose faite d'un seul trait. Peut-être quelque chose de simple mais efficace, vous voyez ?
Tu acquiesces une nouvelle fois et fronces légèrement des sourcils. Ça va moins bien, là. Le dessin d’un seul trait n’est absolument pas quelque chose que tu maîtrises. Ils appellent ça, le « minimaliste » et c’est absolument pas un style de tatouage que tu sais faire. Ça demande une sacrée dose de précision et pour ne l’avoir jamais pratiqué, le minimaliste, tu te sens pas capable de le réaliser. Pas même pour un projet animalier. Peut-être qu’il faudrait que tu t’entraînes sur ce style. Mais la mode évolue plus vite que toi, donc tu sais pas si ça vaut le coup. C’est comme maintenant. La dernière mode est le tatouage sur l’oreille. De quoi s’éclater les yeux. Tu affiches une mine contrite. T’aimes pas exprimer un refus à un·e potentiel·le client·e. Après tout, si iel est venu·e te voir, ce qu’iel te faisait assez confiance dans ton travail et ça, c’est pas rien.
— Je suis désolé. C’est un style de tatouage que je ne sais pas encore faire. Je ne veux pas accepter et prendre le risque de rater ta rose.
Tu inspires doucement, discrètement. Son odeur, ce n’est définitivement pas la première que tu la respires. Elle te dit sérieusement quelque chose. Physiquement, vous n’avez pas dû vous croiser, ou alors, t’as pas fait gaffe. Mais cette effluve, elle t’est familière. Bordel, c’est chiant. ‘Faut que t’en ai le cœur net. Tu lui demandes pardon pour cette question très étrange. T’aimerais savoir si vous vous êtes pas déjà croisé quelque part parce qu’elle te dit quelque chose – tu vas rien dire sur ton excellent odorat –.
— Tu serais pas déjà venu au Styx, par hasard ? complètes-tu.
T’es amené à voir pas mal de gens que ce serait pas impossible.
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