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Thorunn Andersen / Dark and Light
Mar 23 Nov 2021 - 9:04
Je suis Surveillante | personnage inventé
« Je crois en la magie, je suis née et j’ai grandi à un moment magique, dans une ville magique, parmi des magiciens. La plupart des gens ne se rendaient pas compte
de la magie qui nous entoure. Mais moi je le savais. »
de la magie qui nous entoure. Mais moi je le savais. »
WIZARD CARD INFORMATIONS Rédigez quelques lignes sur les particularités (physiques, intellectuelles ou magiques) de votre personnage ainsi que sa baguette, son épouvantard, son animal de compagnie, sa matière préférée ... bref, tout ce qui vous passe par la tête ! Physiquement, en plus de posséder des yeux d'un bleu très clair et brillant dans le noir, elle possède aussi des canines plus prononcées que la normale, ressemblant à des petits crocs et qui rappellent la nature de son père. Née albinos, sa peau est d'une couleur laiteuse et pure, mais cette beauté et cette douceur cache une fragilité naturelle au soleil dont elle doit se protéger avec des crèmes solaires pour éviter les coups de soleil et autres brûlures. De plus, sa nature de semi-vampire la rend d'autant plus sensible, elle ne reste que très peu sous les rayon de l'astre de feu pour ne pas que sa peau ne brûle. L'albinisme combiné aux faiblesses naturelles des vampires la rendent donc d'autant plus fragile durant la journée, mais elle n'en est devenu que plus prudente pour se protéger. Elle mesure 1m73 pour 60kg. Le patronus de Thorunn est une chouette effraie, animal tantôt aimé pour sa sagesse et son intelligence, tantôt détesté pour son côté prédateur nocturne et souvent associé à la mort. « Oiseau de malheur » qu'ils disent... La création de son patronus fût très difficile, la jeune femme possédant peu de moments heureux dans une vie où on lui rappel toujours qu'elle est illégitime et née d'une relation avec « un monstre ». Pourtant, il y a bien ce petit souvenir... Un souvenir unique qui remonte à ses quatre an. Une visite nocturne, secrète... Un visage ému, souriant. Des yeux bleu profond, des cheveux blonds comme les blés. Des paroles chuchotées dont elle ne se souvient même pas, juste le mouvement de ces lèvres rosées sur cette peau pâle. Une rencontre brève, éphémère. Des présentations entre un père et sa fille... Avant qu'il ne disparaisse à nouveau, pour ne jamais revenir. Souvenir précieux pour Thorunn. Bonheur de voir le visage de son père, clairement loin de l'image du monstre que sa famille essayait tant bien que mal de lui faire croire. Seul souvenir assez fort et joyeux pour lui donner la capacité de créer cette sublime chouette. Même si sa famille, en dehors de sa mère, n'avait aucune marque de tendresse à son égard, Thorunn était une enfant vive d'esprit et elle savait qu'elle était privilégiée d'avoir accès à une éducation aussi poussée... Et cela lui plaisait. Jour après jour, elle dévorait de nombreux livres, assouvissant sa soif de connaissance et développant une certaine attraction pour le mouvement philosophique du Stoïcisme Tardif, notamment celui développé par Marc Aurèle. Son jeune ne lui empêchait pas de remettre déjà tout son monde et la société en question... Lorsqu'elle fût en âge, elle fit son entrée à Durmstrang comme tous les membres de sa famille avant elle. Pour la première fois, elle découvrit des sorciers qui n'étaient pas répugnés par sa nature semi-vampire qui était difficile à cacher tant certains détails physique étaient visibles tout comme son incapacité à dormir. Et si elle fut victime à nombreuses reprises de rejet et de harcèlement, elle voulait surtout retenir que pour le corps enseignant sa nature pouvait aussi être sa Force si elle commençait d'abord par s'aimer elle-même. Elle se rendit aussi vite compte que dans une école cultivant le secret et où des magies parfois peu recommandées étaient enseignées, être une semi-vampire pouvait aussi attiser l'admiration et la jalousie chez certains sorciers... Douteux. Se promettant de ne jamais « mal tourner », elle n'en était pas moins fascinée par les arts occultes qui titillaient sa curiosité insatiable, la poussant à passer toutes ses nuits à se glisser secrètement dans les couloirs de l'école pour aller dénicher de nouveaux livres à lire. Élève Modèle. Élève Brillante. Élève Prometteuse. Les éloges ne manquaient pas... Et cela satisfaisait grandement cette famille qui voulait contrôler l’entièreté de son existence et de son avenir. Diplôme en poche, elle aurait voulu intégrer Hungcalf, continuer à s'éduquer, à satisfaire sa curiosité. Mais malheureusement pour elle, elle n'était pas maîtresse de ses choix, et encore moins de sa vie. Elle aurait pu tomber plus mal, Thorunn. Elle aurait pu tomber sur un sorcier qui l'aurait mal traité à cause de sa nature. Il n'en était rien. Au fond, Harald était tout autant paumé qu'elle. Alors leur nuit de noce se résuma à une conversation sur « comment s'échapper de leur condition ». Pas un contact physique, pas une seule marque d'affection. Au mieux, ils avaient de l'empathie l'un pour l'autre. C'est la jeune sorcière qui, à l'aube, prit la décision finale. Celle qui allait les libérer tous les deux de leurs devoirs conjugaux. Elle allait s'enfuir. Harald pourrait ainsi faire annuler le mariage non consommé, et sa réputation serait sauvée. Seule la réputation des Andersen serait à nouveau entachée. Est-ce que cela la touchait ? Pas le moins du monde. Elle avait de la reconnaissance pour l'éducation qu'ils lui avaient donné, mais cela s'arrêtait là. Et si l’idée de ne plus revoir sa mère la peinait, elle savait que celle-ci comprendrait. Alors, après un sourire complice mais triste partagé avec celui qui fut le temps d'une journée et une nuit son mari, elle quitta leur chambre avec ses affaire pour ne jamais revenir à Bergen. | :copyright:️ poésies cendrées ◈ célébrité |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
C'est dans cette partie que vous pourrez nous raconter la vie trépidante (ou pas) de votre personnage (rédigez votre histoire comme vous le sentez : roman, anecdotes ...). Il n'y a pas de nombre de lignes minimum imposé !
16 Mars 2011
« Il n’est besoin ni de science ni de philosophie pour savoir ce qu’on a à faire, pour être honnête et bon, même sage et vertueux. » Emmanuel Kant
Cher Journal,
Voilà près d’un an que j’ai quitté la demeure familiale et tournée le dos à mon héritage. À mon sang. Je devrais pouvoir dire que cela me comble de joie d’avoir enfin pu m’éloigner d’un environnement aussi toxique, mais cela ne serait pas tout à fait exact. Aussi paradoxal et étrange que cela puisse paraître, mon cœur est pris d’une certaine tristesse tout autant que de soulagement. Oh ne vous méprenez pas, ma tristesse n’est pas dirigée vers le manque de ces personnes désagréables. Oserai-je dire détestable ? Ma tristesse est le fait de ne jamais avoir connu l’amour des miens. J’ai toujours tournée ce triste constat vers ma personne, me disant que tout ceci est ma faute et que je l’ai bien cherché. Je n’étais pas à la hauteur de leurs attentes, moi la fille illégitime issue d’une union avec un « monstre ». Peut-être suis-je indigne de porter le nom des Andersen ? Après tout, je n’ai pas su répondre à leurs attentes. Moi qui suis non-seulement une sang-mêlée mi-vampire mais aussi une albinos… Et qui en prime s’est enfuie au matin de sa nuit de noce. Jamais je ne leur donnerai de descendance pour redorer leur image et précieuse réputation. Mais comment aurai-je pu ? Si malgré l’intelligence et la sagesse qui fait notre réputation nous nous rabaissons à la régression au point d’imposer un mariage forcé, méritons-nous cette même réputation ? Je ne pense pas. Mais ai-je raison ? Le temps et la réflexion m’apporteront la réponse. Ce pauvre Harald… Qu’est-il devenu ? Je ne manquais pas d’affection à son égard, mais cela était bien loin des sentiments qu’on attend d’une femme qui se marie.
Les sentiments sont des choses si complexes qui, je l’avoue avec mes joues roses, restent assez mystérieux pour moi. J’ai ressenti de l’amour une fois par le passé, à Durmstrang. Un jeune homme de ma classe, ni beau, ni laid. Un teint légèrement hâlé, des cheveux de jais et des yeux d’émeraude. Si le physique n’est pas la chose qui attise mes intérêts, c’est par son esprit qu’il attisa quelques sentiments en moi. Cultivé, curieux, avec ce qu’il fallait d’humour intelligent… Nous avions de nombreuses et longues conversations, parlant littérature et sciences occultes. L’éthique, aussi, était un thème prédominant de nos échanges. Malgré ces sentiments naissants, notre relation est restée purement platonique et intellectuelle, et nous nous sommes perdus de vue une fois nos diplômes en poche. Peut-être est-ce mieux ainsi. Qu’aurai-je à offrir à une relation, moi, la semi-vampire ?
Aujourd’hui, après un long périple, je me retrouve à Copenhague. J’ai eu la chance de profiter des services d’aides aux sorciers en perdition en Norvège. J’ai tout perdu le jour où j’ai quitté ma famille, et ne me restait que quelques galions. Grâce à leur aide, j’ai pu m’en sortir et avec mon passeport j’ai pris un service de cheminée qui m’a emmené à Aalborg, une charmante ville du Nord du Danemark. De là, après plusieurs jours et nuits d’explorations urbaines et autres découvertes, j’ai pris un train moldu jusqu’à Copenhague où je suis maintenant depuis un mois. Malgré l’hiver j’ai pu bien profiter de la ville et de ses charmes nordiques. Le Diamant Noir fut naturellement ma première destination, bibliothèque royale riche de nombreux ouvrages qui ont sut satisfaire mon appétit insatiable de lecture. J’y suis retourné chaque jour depuis, m’attirant la curiosité de la jeune bibliothécaire avec qui j’ai pris plaisir à échanger chaque fois que cela était possible. Jeune femme cultivée et passionnée, elle m’a permis de découvrir quelques auteurs danois, tout particulièrement Søren Kierkegaard, un écrivain, poète et théologien. Dire que cette jeune femme me laissa indifférente serait un mensonge, et nous avons ensemble partagé un flirt qu’il serait gênant de décrire. La découverte des relations intimes et des sensations qu’elles procurent fut des plus agréable, mais il est maintenant temps pour moi de partir. Elle le sait, elle le comprend. J’ai besoin de continuer ma route. Après toute une enfance privée de liberté, je me sens maintenant bien incapable de rester plus longtemps au même endroit. Le monde m’ouvre ses bras, il me reste tant à découvrir… Et peut-être qu’un jour, au détour d’une ruelle, je croiserai mon père ? Sans espoir la vie n’a aucune saveur.
28 Août 2017
« Préférer la connaissance à la richesse, car l’un est transitoire, l’autre perpétuel. » Socrate
Cher Journal,
J’avais bien dit que la liberté m’appelait et m’empêchait de rester trop longtemps au même endroit. Bien naïve que j’étais. Aurai-je oublié les enseignements de mon précepteur, Sigmund ? Il a pourtant mis un point d’honneur à m’enseigner que rien n’est immuable, tout est soumit au changement, à l’évolution. Et après avoir longuement arpenté l’Allemagne à la découverte de ses nombreux trésors culturels, me voici en Italie.
Ma vie de Nomade est emplie de rencontres et d’apprentissages de la vie, du passé, et du présent. Oh rien n’est facile, je gagne juste assez d’argent pour me nourrir et avoir un toit au-dessus de ma tête. Mais mon esprit est comblé, et au fond, ai-je besoin de plus que cela ? Je me satisfais sans mal de ce que m’offre chaque halte, et ce pays est un puits de richesse incroyable. Je crois bien qu’il s’agit là du plus bel endroit qu’il m’est été donné de voir. Les architectures sont des œuvres d’art à elles seules et mes yeux ne savent plus où regarder. Florence, douce Florence, tu as volé une part de mon cœur ! Venise, Rome, Naples ! Comment un pays peut-il être à ce point une merveille de connaissance ? Je me suis laissé charmer par les rues animées de la capitale et la communauté sorcière fût des plus chaleureuse à mon égard malgré ma nature. La chaleur… Un mot qui définit bien ce peuple et ce pays, cher journal. Ils ont quelque chose que je n’avais encore jamais vu. Un petit élément que je ne saurais décrire… Peut-être est-ce dû au fait que je n’ai toujours pas croisé de sorcier ayant envie de me planter un pieu dans le cœur ? J’avoue me sentir relativement en sécurité ici. Mais ce soleil… Il me fait grand mal ! Je suis installée depuis six mois à Naples, et le soleil y est mon principal ennemi et me demande beaucoup d’efforts d’adaptation. J’ai trouvé un petit travail à la bibliothèque nationale malgré le fait que je parle mal italien. J’imagine que mon pouvoir d’attraction lié à ma nature, mais aussi mes connaissances riches et variées en littérature m’ont permis d’obtenir ce travail moldu. L’endroit est d’une beauté qu’il m’est difficile de décrire, et l’odeur de ses vieux livres et meubles m’est tout aussi agréable que l’odeur des vieilles pierres chauffées par le soleil d’été. Ma crème solaire ne me quitte jamais, et j’en nourris ma peau régulièrement. J’ai déjà subi quelques brûlures malgré mes précautions, c’est loin d’être agréable. Heureusement, je passe la majorité de mon temps en intérieur la journée, et j’explore la ville et ses alentours à la nuit tombée. Je sens qu’ici, j’ai beaucoup à apprendre.
Pourtant, un mal me blesse et grandi en moi. Même si je me sens bien ici, je ne m’y sens pas chez moi. Où est donc ma place ? Quel doit être mon rôle dans ce monde ? Je commence à mieux cohabiter avec moi-même, à mieux accepter qui je suis. Le travail est difficile après avoir été élevée dans la haine. Mais aujourd’hui, je commence à me dire que cette part de moi que j’ai du mal à accepter est avant toute chose un cadeau de mon père. Son héritage. Il me faut l’accepter pour être en paix avoir moi-même. « Connais-toi toi-même, par toi-même » Je dois arrêter de me voir à travers les yeux des autres, car ce ne sont pas à eux de définir qui je suis. Mon père, j’en suis persuadée, n’était pas le monstre que l’on a voulu me faire croire. Jamais ma mère ne serait tomée amoureuse d’un homme mauvais. Et son regard sur moi, cette nuit si précieuse, il était loin du regard d’un homme qui ne ressent aucune émotion. Il était… Heureux. Je ne dois pas avoir honte d’être la fille de mon père, ni d’avoir hérité d’une part de sa nature. Je dois plutôt faire une introspection sur qui je suis, et qui je veux devenir… Je ne serai jamais le monstre que certains aimeraient que je sois, ou pensent que je suis.
05 Juillet 2021
« Que la force me soit donné de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l’être, mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l’autre. » Marc Aurèle
Cher Journal,
Les années passent et ne se ressemblent pas. Pourtant, j’ai l’impression que c’était hier que je fuyais mes responsabilités d’épouse contrainte et forcée et mes devoirs envers ma famille. J’ai appris une chose importante je crois. Le temps, contrairement à ce que l’on veut nous faire croire, ne guéris pas les peines. Il nous permet juste d’apprendre à vivre avec. Et si aujourd’hui, dans ma vie de tous les jours et de toutes les nuits, je ne suis plus habitée par la colère et la rancune constante, je n’en suis pas moins peinée lorsque mes souvenirs s’envolent vers ma Mère et notre maison. À maintes reprises, j’ai souhaité lui écrire. Mais est-ce judicieux ? Je ne pense pas. Il va peut-être me falloir encore un peu réfléchir à la question. La question du pardon se pose. Peut-elle me pardonner de l’avoir abandonnée alors qu’elle a déjà perdue l’homme qu’elle aimait ? Et puis-je lui pardonner de ne pas avoir tourné le dos pour m’élever hors d’une famille rongée par la haine de l’autre et de la différence ?
Je ne suis pas très douée avec les émotions. On m’a fait remarquer, pendant ma vie en Italie, que je suis une femme assez froide dans ma manière d’interagir avec les autres. Ce n’est absolument pas volontaire, on m’a juste appris à être ainsi, détachée. Il est vrai que j’ai tendance à dire les choses comme elles sont, sans particulièrement me soucier d’y mettre les formes ? Je ne peux pas changer la manière dont on m’a façonnée, mais peut-être qu’il m’est encore possible changer la personne que je souhaite être. M’ouvrir plus aux autres… Cette froideur des mots n’est en rien un frein à la sympathie que j’ai pour chaque personne que je rencontre. Sorciers, moldus et mêmes créatures diverses… Oh oui, chaque être que je rencontre à une histoire qui lui est propre, et chacune de ces histoires sont des richesses qu’il me plaît d’écouter d’une oreille attentive pour enrichir mon propre esprit. Mais force est de constater que j’ai d mal à développer des émotions autres que de la sympathie. Nombreux et nombreuses sont ceux qui se sont perdus dans mes yeux bleu, qui ont « subi » cette attraction dû à ma nature de semi-vampire… Mais qu’en est il de moi ? Il m’est assez clair que peu trouvent grâce à mes yeux, et je repense avec nostalgie à cette jeune bibliothécaire danoise. Ma nature impacte t’elle ma capacité à aimer ? Tant de questions sans réponses… Au fond, je ne me connais pas très bien.
J’ai passé un peu de temps en France après avoir quitté l’idée, mais seule la Bretagne m’a réellement intéressée. Je me suis étrangement retrouvée victime de cette décadence du monde moldu, et seule la sérénité des quelques lieux mystiques de ces terres Celtiques m’ont été appréciable. Il y a là une culture riche et fascinante, et cela se ressent grandement dans la communauté de sorciers locales. J’ai pris beaucoup de plaisir à discuter avec des sorciers établis là-bas, discutant Culture et Histoire. Mais ces terres ont réveillé en moi l’envie de retourner à mes racines, même si retourner en Norvège n’est pas dans mes plans à court terme. Non, me voilà qui foule les terres écossaises, dans la charmante ville d’Inverness. Gardienne des Highlands, et surtout, lieu abritant l’Université d’Hungcalf. Peut-être que là-bas, je trouverai des réponses à mes questions sur ma nature. Peut-être que quelqu’un m’en apprendra plus sur les gens comme moi. J’ai vu qu’un poste de Surveillante était à pourvoir… Une aubaine ! Une semi-vampire chargé de faire respecter le règlement de l’école, cela peut s’avérer intéressant. Une expérience de vie en plus pour moi, des livres à dispositions, et de nombreuses rencontres à venir. Une nouvelle histoire qui s’ouvre… Je me demande bien ce que cette école me réserve.
16 Mars 2011
« Il n’est besoin ni de science ni de philosophie pour savoir ce qu’on a à faire, pour être honnête et bon, même sage et vertueux. » Emmanuel Kant
Cher Journal,
Voilà près d’un an que j’ai quitté la demeure familiale et tournée le dos à mon héritage. À mon sang. Je devrais pouvoir dire que cela me comble de joie d’avoir enfin pu m’éloigner d’un environnement aussi toxique, mais cela ne serait pas tout à fait exact. Aussi paradoxal et étrange que cela puisse paraître, mon cœur est pris d’une certaine tristesse tout autant que de soulagement. Oh ne vous méprenez pas, ma tristesse n’est pas dirigée vers le manque de ces personnes désagréables. Oserai-je dire détestable ? Ma tristesse est le fait de ne jamais avoir connu l’amour des miens. J’ai toujours tournée ce triste constat vers ma personne, me disant que tout ceci est ma faute et que je l’ai bien cherché. Je n’étais pas à la hauteur de leurs attentes, moi la fille illégitime issue d’une union avec un « monstre ». Peut-être suis-je indigne de porter le nom des Andersen ? Après tout, je n’ai pas su répondre à leurs attentes. Moi qui suis non-seulement une sang-mêlée mi-vampire mais aussi une albinos… Et qui en prime s’est enfuie au matin de sa nuit de noce. Jamais je ne leur donnerai de descendance pour redorer leur image et précieuse réputation. Mais comment aurai-je pu ? Si malgré l’intelligence et la sagesse qui fait notre réputation nous nous rabaissons à la régression au point d’imposer un mariage forcé, méritons-nous cette même réputation ? Je ne pense pas. Mais ai-je raison ? Le temps et la réflexion m’apporteront la réponse. Ce pauvre Harald… Qu’est-il devenu ? Je ne manquais pas d’affection à son égard, mais cela était bien loin des sentiments qu’on attend d’une femme qui se marie.
Les sentiments sont des choses si complexes qui, je l’avoue avec mes joues roses, restent assez mystérieux pour moi. J’ai ressenti de l’amour une fois par le passé, à Durmstrang. Un jeune homme de ma classe, ni beau, ni laid. Un teint légèrement hâlé, des cheveux de jais et des yeux d’émeraude. Si le physique n’est pas la chose qui attise mes intérêts, c’est par son esprit qu’il attisa quelques sentiments en moi. Cultivé, curieux, avec ce qu’il fallait d’humour intelligent… Nous avions de nombreuses et longues conversations, parlant littérature et sciences occultes. L’éthique, aussi, était un thème prédominant de nos échanges. Malgré ces sentiments naissants, notre relation est restée purement platonique et intellectuelle, et nous nous sommes perdus de vue une fois nos diplômes en poche. Peut-être est-ce mieux ainsi. Qu’aurai-je à offrir à une relation, moi, la semi-vampire ?
Aujourd’hui, après un long périple, je me retrouve à Copenhague. J’ai eu la chance de profiter des services d’aides aux sorciers en perdition en Norvège. J’ai tout perdu le jour où j’ai quitté ma famille, et ne me restait que quelques galions. Grâce à leur aide, j’ai pu m’en sortir et avec mon passeport j’ai pris un service de cheminée qui m’a emmené à Aalborg, une charmante ville du Nord du Danemark. De là, après plusieurs jours et nuits d’explorations urbaines et autres découvertes, j’ai pris un train moldu jusqu’à Copenhague où je suis maintenant depuis un mois. Malgré l’hiver j’ai pu bien profiter de la ville et de ses charmes nordiques. Le Diamant Noir fut naturellement ma première destination, bibliothèque royale riche de nombreux ouvrages qui ont sut satisfaire mon appétit insatiable de lecture. J’y suis retourné chaque jour depuis, m’attirant la curiosité de la jeune bibliothécaire avec qui j’ai pris plaisir à échanger chaque fois que cela était possible. Jeune femme cultivée et passionnée, elle m’a permis de découvrir quelques auteurs danois, tout particulièrement Søren Kierkegaard, un écrivain, poète et théologien. Dire que cette jeune femme me laissa indifférente serait un mensonge, et nous avons ensemble partagé un flirt qu’il serait gênant de décrire. La découverte des relations intimes et des sensations qu’elles procurent fut des plus agréable, mais il est maintenant temps pour moi de partir. Elle le sait, elle le comprend. J’ai besoin de continuer ma route. Après toute une enfance privée de liberté, je me sens maintenant bien incapable de rester plus longtemps au même endroit. Le monde m’ouvre ses bras, il me reste tant à découvrir… Et peut-être qu’un jour, au détour d’une ruelle, je croiserai mon père ? Sans espoir la vie n’a aucune saveur.
28 Août 2017
« Préférer la connaissance à la richesse, car l’un est transitoire, l’autre perpétuel. » Socrate
Cher Journal,
J’avais bien dit que la liberté m’appelait et m’empêchait de rester trop longtemps au même endroit. Bien naïve que j’étais. Aurai-je oublié les enseignements de mon précepteur, Sigmund ? Il a pourtant mis un point d’honneur à m’enseigner que rien n’est immuable, tout est soumit au changement, à l’évolution. Et après avoir longuement arpenté l’Allemagne à la découverte de ses nombreux trésors culturels, me voici en Italie.
Ma vie de Nomade est emplie de rencontres et d’apprentissages de la vie, du passé, et du présent. Oh rien n’est facile, je gagne juste assez d’argent pour me nourrir et avoir un toit au-dessus de ma tête. Mais mon esprit est comblé, et au fond, ai-je besoin de plus que cela ? Je me satisfais sans mal de ce que m’offre chaque halte, et ce pays est un puits de richesse incroyable. Je crois bien qu’il s’agit là du plus bel endroit qu’il m’est été donné de voir. Les architectures sont des œuvres d’art à elles seules et mes yeux ne savent plus où regarder. Florence, douce Florence, tu as volé une part de mon cœur ! Venise, Rome, Naples ! Comment un pays peut-il être à ce point une merveille de connaissance ? Je me suis laissé charmer par les rues animées de la capitale et la communauté sorcière fût des plus chaleureuse à mon égard malgré ma nature. La chaleur… Un mot qui définit bien ce peuple et ce pays, cher journal. Ils ont quelque chose que je n’avais encore jamais vu. Un petit élément que je ne saurais décrire… Peut-être est-ce dû au fait que je n’ai toujours pas croisé de sorcier ayant envie de me planter un pieu dans le cœur ? J’avoue me sentir relativement en sécurité ici. Mais ce soleil… Il me fait grand mal ! Je suis installée depuis six mois à Naples, et le soleil y est mon principal ennemi et me demande beaucoup d’efforts d’adaptation. J’ai trouvé un petit travail à la bibliothèque nationale malgré le fait que je parle mal italien. J’imagine que mon pouvoir d’attraction lié à ma nature, mais aussi mes connaissances riches et variées en littérature m’ont permis d’obtenir ce travail moldu. L’endroit est d’une beauté qu’il m’est difficile de décrire, et l’odeur de ses vieux livres et meubles m’est tout aussi agréable que l’odeur des vieilles pierres chauffées par le soleil d’été. Ma crème solaire ne me quitte jamais, et j’en nourris ma peau régulièrement. J’ai déjà subi quelques brûlures malgré mes précautions, c’est loin d’être agréable. Heureusement, je passe la majorité de mon temps en intérieur la journée, et j’explore la ville et ses alentours à la nuit tombée. Je sens qu’ici, j’ai beaucoup à apprendre.
Pourtant, un mal me blesse et grandi en moi. Même si je me sens bien ici, je ne m’y sens pas chez moi. Où est donc ma place ? Quel doit être mon rôle dans ce monde ? Je commence à mieux cohabiter avec moi-même, à mieux accepter qui je suis. Le travail est difficile après avoir été élevée dans la haine. Mais aujourd’hui, je commence à me dire que cette part de moi que j’ai du mal à accepter est avant toute chose un cadeau de mon père. Son héritage. Il me faut l’accepter pour être en paix avoir moi-même. « Connais-toi toi-même, par toi-même » Je dois arrêter de me voir à travers les yeux des autres, car ce ne sont pas à eux de définir qui je suis. Mon père, j’en suis persuadée, n’était pas le monstre que l’on a voulu me faire croire. Jamais ma mère ne serait tomée amoureuse d’un homme mauvais. Et son regard sur moi, cette nuit si précieuse, il était loin du regard d’un homme qui ne ressent aucune émotion. Il était… Heureux. Je ne dois pas avoir honte d’être la fille de mon père, ni d’avoir hérité d’une part de sa nature. Je dois plutôt faire une introspection sur qui je suis, et qui je veux devenir… Je ne serai jamais le monstre que certains aimeraient que je sois, ou pensent que je suis.
05 Juillet 2021
« Que la force me soit donné de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l’être, mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l’autre. » Marc Aurèle
Cher Journal,
Les années passent et ne se ressemblent pas. Pourtant, j’ai l’impression que c’était hier que je fuyais mes responsabilités d’épouse contrainte et forcée et mes devoirs envers ma famille. J’ai appris une chose importante je crois. Le temps, contrairement à ce que l’on veut nous faire croire, ne guéris pas les peines. Il nous permet juste d’apprendre à vivre avec. Et si aujourd’hui, dans ma vie de tous les jours et de toutes les nuits, je ne suis plus habitée par la colère et la rancune constante, je n’en suis pas moins peinée lorsque mes souvenirs s’envolent vers ma Mère et notre maison. À maintes reprises, j’ai souhaité lui écrire. Mais est-ce judicieux ? Je ne pense pas. Il va peut-être me falloir encore un peu réfléchir à la question. La question du pardon se pose. Peut-elle me pardonner de l’avoir abandonnée alors qu’elle a déjà perdue l’homme qu’elle aimait ? Et puis-je lui pardonner de ne pas avoir tourné le dos pour m’élever hors d’une famille rongée par la haine de l’autre et de la différence ?
Je ne suis pas très douée avec les émotions. On m’a fait remarquer, pendant ma vie en Italie, que je suis une femme assez froide dans ma manière d’interagir avec les autres. Ce n’est absolument pas volontaire, on m’a juste appris à être ainsi, détachée. Il est vrai que j’ai tendance à dire les choses comme elles sont, sans particulièrement me soucier d’y mettre les formes ? Je ne peux pas changer la manière dont on m’a façonnée, mais peut-être qu’il m’est encore possible changer la personne que je souhaite être. M’ouvrir plus aux autres… Cette froideur des mots n’est en rien un frein à la sympathie que j’ai pour chaque personne que je rencontre. Sorciers, moldus et mêmes créatures diverses… Oh oui, chaque être que je rencontre à une histoire qui lui est propre, et chacune de ces histoires sont des richesses qu’il me plaît d’écouter d’une oreille attentive pour enrichir mon propre esprit. Mais force est de constater que j’ai d mal à développer des émotions autres que de la sympathie. Nombreux et nombreuses sont ceux qui se sont perdus dans mes yeux bleu, qui ont « subi » cette attraction dû à ma nature de semi-vampire… Mais qu’en est il de moi ? Il m’est assez clair que peu trouvent grâce à mes yeux, et je repense avec nostalgie à cette jeune bibliothécaire danoise. Ma nature impacte t’elle ma capacité à aimer ? Tant de questions sans réponses… Au fond, je ne me connais pas très bien.
J’ai passé un peu de temps en France après avoir quitté l’idée, mais seule la Bretagne m’a réellement intéressée. Je me suis étrangement retrouvée victime de cette décadence du monde moldu, et seule la sérénité des quelques lieux mystiques de ces terres Celtiques m’ont été appréciable. Il y a là une culture riche et fascinante, et cela se ressent grandement dans la communauté de sorciers locales. J’ai pris beaucoup de plaisir à discuter avec des sorciers établis là-bas, discutant Culture et Histoire. Mais ces terres ont réveillé en moi l’envie de retourner à mes racines, même si retourner en Norvège n’est pas dans mes plans à court terme. Non, me voilà qui foule les terres écossaises, dans la charmante ville d’Inverness. Gardienne des Highlands, et surtout, lieu abritant l’Université d’Hungcalf. Peut-être que là-bas, je trouverai des réponses à mes questions sur ma nature. Peut-être que quelqu’un m’en apprendra plus sur les gens comme moi. J’ai vu qu’un poste de Surveillante était à pourvoir… Une aubaine ! Une semi-vampire chargé de faire respecter le règlement de l’école, cela peut s’avérer intéressant. Une expérience de vie en plus pour moi, des livres à dispositions, et de nombreuses rencontres à venir. Une nouvelle histoire qui s’ouvre… Je me demande bien ce que cette école me réserve.
RÉSERVEZ VOTRE AVATAR
- Code:
<bottin><pris>●</pris> <b>nastya zhidkova</b> ━ @thorunn andersen</bottin>
- InvitéInvité
Re: Thorunn Andersen / Dark and Light
Mar 23 Nov 2021 - 9:22
Bon retour! J'espère que tu te plairas avec ce DC
Ta signature est superbe, par contre, elle déforme sur téléphone
Ta signature est superbe, par contre, elle déforme sur téléphone
- InvitéInvité
Re: Thorunn Andersen / Dark and Light
Mar 23 Nov 2021 - 9:26
@Bartholomé McPrewett quelle rapidité ! merci chou ! <3
@Isalynn Fraser merci
Oui j'ai remarqué le soucis de taille j'ai été la modifier. « Normalement » c'est sensé être résolue !
@Isalynn Fraser merci
Oui j'ai remarqué le soucis de taille j'ai été la modifier. « Normalement » c'est sensé être résolue !
- InvitéInvité
Re: Thorunn Andersen / Dark and Light
Mar 23 Nov 2021 - 10:04
Une collègue de Durmstrang Rebienvenuue avec ce personnage !
- InvitéInvité
Re: Thorunn Andersen / Dark and Light
Mar 23 Nov 2021 - 10:28
Quel personnage énigmatique
Rebienvenue chez toi, on te fait pas visiter
Rebienvenue chez toi, on te fait pas visiter
- InvitéInvité
Re: Thorunn Andersen / Dark and Light
Mar 23 Nov 2021 - 13:48
Voilà donc le fameux DC
Re-bienvenue et bon courage pour la suite de ta fiche
Re-bienvenue et bon courage pour la suite de ta fiche
- InvitéInvité
Re: Thorunn Andersen / Dark and Light
Mar 23 Nov 2021 - 13:58
Waow. Tes personnages sont tellement atypiques !
J'adore.
Rebienvenue par ici !
J'adore.
Rebienvenue par ici !
- InvitéInvité
Re: Thorunn Andersen / Dark and Light
Mar 23 Nov 2021 - 17:55
@Rosemarie Kaiser hâte de te croiser dans les couloirs
@Evan Wakefield J'espère qu'elle te (vous) plaira ! :tong:
@Fiona Colquhoun Et oui la voilà ! merci
@Emmy Robinson ohhh merci pour ce joli compliment
@Evan Wakefield J'espère qu'elle te (vous) plaira ! :tong:
@Fiona Colquhoun Et oui la voilà ! merci
@Emmy Robinson ohhh merci pour ce joli compliment
- InvitéInvité
Re: Thorunn Andersen / Dark and Light
Mar 23 Nov 2021 - 22:30
Bon courage pour la fiche, et rebienvenue.
Hate de voir ce que tu nous réserves
Hate de voir ce que tu nous réserves
- Maximilien Leroyfrench style ♔ sweet golden boy
- » parchemins postés : 8434
» miroir du riséd : francisco lachowski
» crédits : byweaslove (ava)
» multinick : arty / joe / keir / mag
» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» nature du sang : sang-pur
» particularité : animagus
» année d'études : /
» options obligatoires & facultatives : Ancien cursus : Journalisme
♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
» profession : chroniqueur à la Chouette Enchaînée, en attente d'un poste en France
» gallions sous la cape : 6321
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Thorunn Andersen / Dark and Light
Mer 24 Nov 2021 - 12:08
Rebienvenue avec cet avatar atypique
ça fait du bien de voir d'autres semi-vampire dans l'arène
Amuse-toi bien avec elle !
ça fait du bien de voir d'autres semi-vampire dans l'arène
Amuse-toi bien avec elle !
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
- merci :
- InvitéInvité
Re: Thorunn Andersen / Dark and Light
Mer 24 Nov 2021 - 19:58
ta nouvelle et grande famille
★ Hey, tu l'as fait ! Ta fiche est terminée et les portes vers les délices du rp s'ouvrent à toi, bravo ! Toute l'équipe du staff te souhaite officiellement la bienvenue et espère que tu t'amuseras bien parmi nous ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous envoyer un mp ou bien crier à l'aide sur la CB, les
★ Afin de te guider au mieux dans cette nouvelle aventure, voici le guide du nouveau joueur ou tu trouveras toutes les informations nécessaires à ton intégration ! Métier, chambre à l'université, quidditch, ou bien refaire un tour dans les annexes... Ne t'inquiètes de rien, tout y est expliqué !
★ Que tu sois professeur.e ou étudiant.e, nous t'invitons également à faire un tour dans le guide du professeur, qui te donnera toutes les informations nécessaires sur le fonctionnement des cours de l'université ! Bon jeu parmi nous et à bientôt, en rp!
Dans l'ensemble, c'est une très bonne fiche, très agréable à lire. Je reviendrai juste sur quelques détails qui n'empêchent en rien ta validation: pour la partie histoire, d'abord, t'as un doigt qui s'est un peu baladé sur le chiffre 2, donnant ainsi un 20211 au lieu de 2011. donc, dans 18000 ans (presque) Thorunn sera encore en vie? :rmdr: L'autre détail qui m'a un peu plus embêtée, c'est le fait que Thorunn, à 8/10 ans étudie de façon poussée la philosophie. Même si elle est semi-vampire, elle reste une enfant qui n'a pas la maturité pour comprendre certaines choses J'aurais également préféré, quitte à étudier ce genre de chose, même de façon superficielle que ce soit avec un précepteur à la maison et non en école, moldue qui plus est (sorcière + semi-vampire, ça se gère difficilement en école moldue, quand même)
En tout cas, je te souhaite de bien t'amuser avec ce nouveau perso que j'ai bien hâte de rencontrer en rp
- InvitéInvité
Re: Thorunn Andersen / Dark and Light
Mer 24 Nov 2021 - 20:19
@Heaven Mitchell yay merci
Mdr effectivement y'avait un 2 en trop comme quoi, on ne se relit jamais assez xD
Pour la philos, je pars du principe que pendant des siècles des enfants recevaient des enseignements en philosophie dans l'antiquité et même au début de notre ère. Donc si les enfants dans l'antiquité étaient capable d'étudier la philo et de créer dès leur plus jeune âge leur esprit critique, une enfant de l'époque moderne le peu aussi xD
Cela dit, effectivement j'aurai dû adapter plus en détail l'endroit de l'enseignement ! Pour moi avant Durmstrang tous ses cours privé avec précepteur étaient donnés à la maison familiale mais j'aurai dû développer un peu mieux ses études parmi les moldus. Je développerai le truc dans son Journal pour l'améliorer Merci pour tes critiques constructives =P
Mdr effectivement y'avait un 2 en trop comme quoi, on ne se relit jamais assez xD
Pour la philos, je pars du principe que pendant des siècles des enfants recevaient des enseignements en philosophie dans l'antiquité et même au début de notre ère. Donc si les enfants dans l'antiquité étaient capable d'étudier la philo et de créer dès leur plus jeune âge leur esprit critique, une enfant de l'époque moderne le peu aussi xD
Cela dit, effectivement j'aurai dû adapter plus en détail l'endroit de l'enseignement ! Pour moi avant Durmstrang tous ses cours privé avec précepteur étaient donnés à la maison familiale mais j'aurai dû développer un peu mieux ses études parmi les moldus. Je développerai le truc dans son Journal pour l'améliorer Merci pour tes critiques constructives =P
- InvitéInvité
Re: Thorunn Andersen / Dark and Light
Dim 12 Déc 2021 - 18:58
Message de Mme Référentiels
Thorunn, je t'informe que tu es bien référencé(e) ici. Le référentiel de Hungcalf peut être utile pour savoir qui est du même sang que toi, qui fait quel métier, ou encore qui suit tes cours ! Le référentiel amoureux, lui, te permet de savoir qui est de la même orientation que toi, et quels sont les ships du moment Tout cela est rempli manuellement donc n'hésite pas à me contacter en cas d'oubli, d'erreur ou de modification à faire.
Amuse toi bien sur le forum