- Billie ShakespeareOldieㄨ experimented wizard
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» miroir du riséd : Laura O'grady
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» multinick : Inès Saouli, Ambrosius Redgrave
» âge : 25 ans (26 avril 1998)
» situation : En couple ouvert
» année d'études : 9e année
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» profession : Commis à la bibliothèque de l'université - chroniqueuse littéraire à Radio Phoenix
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Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
[Libre] Protego maxima!
Dim 5 Déc 2021 - 4:18
Fin novembre.
Dans la vie, il y avait beaucoup de choses que Murdoch ne comprenait pas. Pourquoi la majorité des gens versaient d'abord les céréales avant de les noyer de lait, alors que l'inverse était plus simple et plus facile à mesurer, en était une. Mais la plupart du temps, c'étaient les émotions des gens qui laissaient Murdoch perplexe. Il lui fallait alors s'armer de toute sa logique et de son sens de la déduction pour remonter le fil des conversations et des événements et comprendre d'où provenait l'émotion et comment il lui fallait y réagir. Beaucoup de sorciers et sorcières n'avaient pas la patience de répondre à ses questions, mais Murdoch en avait à présent l'habitude et préférait observer pour déchiffrer les expressions et les paroles.
Les événements tragiques et politiques des derniers mois le laissaient toutefois dans la brume. Comme plusieurs jeunes de sa génération, il s'intéressait très peu à la politique et n'avait pas pris la peine de voter aux précédentes élections. Ne comprenant pas le moins du monde la haine et le sentiment de supériorité qui habitait certains sorciers, Murdoch n'y prêtait la plupart du temps aucune attention. Cependant, il devenait difficile d'ignorer l'actualité quand elle se déroulait presque sous votre nez.
Murdoch avait vu la détresse des étudiants, la douleur des elfes, le ressentiment, la colère prendre racines entre les murs de l'université. Impossible pour lui de saisir quels motifs pouvaient avoir poussé des gens cruels à infliger pareil traitement à des créatures serviables et accueillantes comme les elfes d'Hungcalf. Il n'avait ensuite suivi aucune des nouvelles provenant du ministère, mais la chappe de plomb et le sentiment d'inquiétude qui planaient sur l'université étaient évidentes, même pour l'homme à tout faire.
Au début de la session, alors que les étudiants et étudiantes revenaient sur les bancs de l'école, il avait donc entamé un vaste projet que de longues recherches pendant l'été venaient alimenter. Plusieurs obstacles s'étaient dressés sur son chemin, à commencer par sa difficulté à réaliser des sortilèges cruciaux à la réalisation du projet, mais Murdoch était aussi entêté que déterminé, et malgré les échecs, il poursuivait ses essais dans sa chambre de la maison qu'il partageait avec Ymjke, Grace et Jolan. Ceux-ci ne l'avaient guère vu ces derniers temps, mais ils avaient entendu de nombreux bruits étranges provenant de la pièce fermée.
Ce ne fut pas avant la fin du mois de novembre, alors que les nuits devenaient plus longues que les jours, que le projet de Murdoch prit enfin forme. Mieux encore, il était prêt à être installé; Murdoch en pétillait de plaisir et de fierté. Voilà un projet qui allait changer l'ambiance de l'université, qui allait assurer la sécurité de tout le monde et écarterait pour de bon tout danger. Même les Aurors du Ministère n'auraient plus besoin de patrouiller les lieux et cesseraient de compliquer son travail d'homme à tout faire. Hungcalf redeviendrait un havre où il se sentirait bien.
Comme il avait réalisé son projet sans en parler à personne (il avait même résisté aux tentatives d'Ymjke de le faire parler!) et qu'il souhaitait en faire la surprise à la haute direction, Murdoch avait choisi d'installer son dispositif aux très petites heures du matin, assuré de n'être dérangé par personne.
De fait, il n'y avait pas un chat sur aux portes du hall d'entrée. Parfait. Murdoch se mit rapidement au travail avec une efficacité et une précision que quiconque ne l'avait jamais vu travailler sur ses inventions aurait été surpris de lui découvrir. En moins d'une heure, les deux statues de très exactement 123 cm de haut et représentant, beaucoup moins exactement, deux elfes de maison étaient en place. L'une avait les "bras" croisés sur la poitrine et l'autre pointait un doigt en direction d'un éventuel visiteur désireux de franchir les portes de l'université. Quatre yeux brillaient d'une couleur turquoise dans le noir de plus en plus léger de la nuit qui s'achevait. Mais il restait encore une importante étape avant de déclarer sa tâche accompli, et Murdoch sentait la nervosité le gagner. Il avait bien travaillé dans les derniers jours et un réseau d'enchantements (fianto duri et repello inimicum pour n'en nommer que deux) parcourait déjà les veines du bois duquel étaient faites les statues, mais il fallait un maître sortilège pour activer la magie protectrice.
Murdoch sortit sa baguette de son sac à dos et la tint bien droite devant lui, avec la gêne de celui qui n'en faisait que rarement usage en public. Il s'éclaircit la voix et replaça son écharpe, qui avait remonté vers son nez.
Puis en faisant un large mouvement circulaire, il récita de mémoire, les yeux fermés « Ab extra influxibus negativis parete ubi relinquite ». Il baissa sa baguette et entrouvrit un oeil puis ouvrit l'autre en souriant quand il constata que les deux paires d'yeux le fixaient, animés d'une vie nouvelle.
Désormais, personne ne pourrait franchir la grande porte de l'université en ayant en tête de mauvaises intentions. Et qui s'y oserait valserait dans les airs à bonne distance. Le coeur heureux et fier, Murdoch n'avait, dans toute sa naïveté et sa bonté, pas un seul instant songé que sa définition de mauvaise intention pouvait totalement différer de celle des autres et que l'éventail des dites mauvaises intentions pouvait se révéler très, très large...
Avec le sentiment du devoir accompli, Murdoch s'assura que son sortilège de glue perpétuelle tenait bon puis prit le chemin de son cagibi. Il avait devant lui deux bonnes heures pour faire la sieste avant le début de sa journée de travail.
[-HRP-]
Vous êtes totalement libre de jouer à la suite de ce message une réaction de votre personnage qui aurait à franchir les portes de l'université ce jour-là. Il est *possible* que l'invention de Murdoch ait des effets un peu plus puissants que prévus par son inventeur...
Dé de magie si ça vous dit (mais vous pouvez y aller avec vos idées aussi, tant qu'on ne parle pas de blessures majeures!).
1- la personne est physiquement incapable d'entrer dans l'université
2- un nuage se forme au-dessus de la personne et se met à déverser des torrents d'eau, sans interruption
3- la personne se retrouve comme écrasée par une gravité supérieure à la normale
4- la personne perd la parole pour 24 heures
5- la personne est téléportée dans la forêt avec risque élevé de désartibulation mineure
6- des flammes jaillissent de la main d'un des elfes en direction de la personne
Dans la vie, il y avait beaucoup de choses que Murdoch ne comprenait pas. Pourquoi la majorité des gens versaient d'abord les céréales avant de les noyer de lait, alors que l'inverse était plus simple et plus facile à mesurer, en était une. Mais la plupart du temps, c'étaient les émotions des gens qui laissaient Murdoch perplexe. Il lui fallait alors s'armer de toute sa logique et de son sens de la déduction pour remonter le fil des conversations et des événements et comprendre d'où provenait l'émotion et comment il lui fallait y réagir. Beaucoup de sorciers et sorcières n'avaient pas la patience de répondre à ses questions, mais Murdoch en avait à présent l'habitude et préférait observer pour déchiffrer les expressions et les paroles.
Les événements tragiques et politiques des derniers mois le laissaient toutefois dans la brume. Comme plusieurs jeunes de sa génération, il s'intéressait très peu à la politique et n'avait pas pris la peine de voter aux précédentes élections. Ne comprenant pas le moins du monde la haine et le sentiment de supériorité qui habitait certains sorciers, Murdoch n'y prêtait la plupart du temps aucune attention. Cependant, il devenait difficile d'ignorer l'actualité quand elle se déroulait presque sous votre nez.
Murdoch avait vu la détresse des étudiants, la douleur des elfes, le ressentiment, la colère prendre racines entre les murs de l'université. Impossible pour lui de saisir quels motifs pouvaient avoir poussé des gens cruels à infliger pareil traitement à des créatures serviables et accueillantes comme les elfes d'Hungcalf. Il n'avait ensuite suivi aucune des nouvelles provenant du ministère, mais la chappe de plomb et le sentiment d'inquiétude qui planaient sur l'université étaient évidentes, même pour l'homme à tout faire.
Au début de la session, alors que les étudiants et étudiantes revenaient sur les bancs de l'école, il avait donc entamé un vaste projet que de longues recherches pendant l'été venaient alimenter. Plusieurs obstacles s'étaient dressés sur son chemin, à commencer par sa difficulté à réaliser des sortilèges cruciaux à la réalisation du projet, mais Murdoch était aussi entêté que déterminé, et malgré les échecs, il poursuivait ses essais dans sa chambre de la maison qu'il partageait avec Ymjke, Grace et Jolan. Ceux-ci ne l'avaient guère vu ces derniers temps, mais ils avaient entendu de nombreux bruits étranges provenant de la pièce fermée.
Ce ne fut pas avant la fin du mois de novembre, alors que les nuits devenaient plus longues que les jours, que le projet de Murdoch prit enfin forme. Mieux encore, il était prêt à être installé; Murdoch en pétillait de plaisir et de fierté. Voilà un projet qui allait changer l'ambiance de l'université, qui allait assurer la sécurité de tout le monde et écarterait pour de bon tout danger. Même les Aurors du Ministère n'auraient plus besoin de patrouiller les lieux et cesseraient de compliquer son travail d'homme à tout faire. Hungcalf redeviendrait un havre où il se sentirait bien.
Comme il avait réalisé son projet sans en parler à personne (il avait même résisté aux tentatives d'Ymjke de le faire parler!) et qu'il souhaitait en faire la surprise à la haute direction, Murdoch avait choisi d'installer son dispositif aux très petites heures du matin, assuré de n'être dérangé par personne.
De fait, il n'y avait pas un chat sur aux portes du hall d'entrée. Parfait. Murdoch se mit rapidement au travail avec une efficacité et une précision que quiconque ne l'avait jamais vu travailler sur ses inventions aurait été surpris de lui découvrir. En moins d'une heure, les deux statues de très exactement 123 cm de haut et représentant, beaucoup moins exactement, deux elfes de maison étaient en place. L'une avait les "bras" croisés sur la poitrine et l'autre pointait un doigt en direction d'un éventuel visiteur désireux de franchir les portes de l'université. Quatre yeux brillaient d'une couleur turquoise dans le noir de plus en plus léger de la nuit qui s'achevait. Mais il restait encore une importante étape avant de déclarer sa tâche accompli, et Murdoch sentait la nervosité le gagner. Il avait bien travaillé dans les derniers jours et un réseau d'enchantements (fianto duri et repello inimicum pour n'en nommer que deux) parcourait déjà les veines du bois duquel étaient faites les statues, mais il fallait un maître sortilège pour activer la magie protectrice.
Murdoch sortit sa baguette de son sac à dos et la tint bien droite devant lui, avec la gêne de celui qui n'en faisait que rarement usage en public. Il s'éclaircit la voix et replaça son écharpe, qui avait remonté vers son nez.
Puis en faisant un large mouvement circulaire, il récita de mémoire, les yeux fermés « Ab extra influxibus negativis parete ubi relinquite ». Il baissa sa baguette et entrouvrit un oeil puis ouvrit l'autre en souriant quand il constata que les deux paires d'yeux le fixaient, animés d'une vie nouvelle.
Désormais, personne ne pourrait franchir la grande porte de l'université en ayant en tête de mauvaises intentions. Et qui s'y oserait valserait dans les airs à bonne distance. Le coeur heureux et fier, Murdoch n'avait, dans toute sa naïveté et sa bonté, pas un seul instant songé que sa définition de mauvaise intention pouvait totalement différer de celle des autres et que l'éventail des dites mauvaises intentions pouvait se révéler très, très large...
Avec le sentiment du devoir accompli, Murdoch s'assura que son sortilège de glue perpétuelle tenait bon puis prit le chemin de son cagibi. Il avait devant lui deux bonnes heures pour faire la sieste avant le début de sa journée de travail.
- Résumé:
- Murdoch a installé de nuit deux petites statues d'elfes en bois à l'extérieur de l'entrée principale. Elles ont pour but de protéger l'université de toute personne ayant des mauvaises intentions... seulement voilà, la définition de mauvaises intentions est assez large et l'invention de Murdoch risque de provoquer quelques accidents.
[-HRP-]
Vous êtes totalement libre de jouer à la suite de ce message une réaction de votre personnage qui aurait à franchir les portes de l'université ce jour-là. Il est *possible* que l'invention de Murdoch ait des effets un peu plus puissants que prévus par son inventeur...
Dé de magie si ça vous dit (mais vous pouvez y aller avec vos idées aussi, tant qu'on ne parle pas de blessures majeures!).
1- la personne est physiquement incapable d'entrer dans l'université
2- un nuage se forme au-dessus de la personne et se met à déverser des torrents d'eau, sans interruption
3- la personne se retrouve comme écrasée par une gravité supérieure à la normale
4- la personne perd la parole pour 24 heures
5- la personne est téléportée dans la forêt avec risque élevé de désartibulation mineure
6- des flammes jaillissent de la main d'un des elfes en direction de la personne
- InvitéInvité
Re: [Libre] Protego maxima!
Dim 5 Déc 2021 - 9:22
Protego Maxima !
Thorunn AndersenLa nuit a été calme, froide. Je me suis même un peu ennuyée. Étrangement, je n'ai lu que deux heures cette nuit. Et je ne me suis même pas arrêté par la bibliothèque. J'avais besoin de changement, d'air. Il faut bien que j'essaie de varier mes activités si je ne veux pas tomber dans une routine monotone. Ce que les gens ne se doutent pas sur le fait de ne pas pouvoir dormir, c'est que cela peut vite rendre fou si on ne trouve pas à s'occuper correctement. Il m'est arrivée de perdre pieds à plusieurs reprise à cause de ça. Le contrôle de mes émotions est absolument essentiel. Quand je me laisse emporter... Je peux vite passer plusieurs nuits d'affiler à tourner en rond, tel un lion en cage, et cela fini forcément par exploser. L'ennuie est l'ennemi du bien. Et cette nuit... Je me suis ennuyée.
J'imagine les élèves et autres professeurs, tous sagement endormis. La majorité doit être entrain de rêver. Comme je les envie. Rien qu'une fois, j'aimerai pouvoir dormir. Juste une fois... Mais cela ne sert pas à grand chose de s'accrocher à cette envie. Ça n'arrivera jamais. Je le sais. Je suis condamnée à rester éveillée et à veiller sur le sommeil des autres. Pour contrecarrer mon ennuie de cette nuit, je dois trouver à m'occuper pendant cette nouvelle journée. Il faut que je me trouve une activité. Je pourrais peut-être... Proposer à la bibliothécaire de faire le rangement des lieux ? Ou aller m'incruster dans une salle de cours ? J'en ai le droit après tout... Qu'importe, je dois trouver quelque chose. Mais en attendant, je rajuste mon écharpe blanche rentrée dans mon long manteau noir qui me protège du froid hivernal de cette fin de nuit. L'aube est entrain de se lever, colorant de ciel de sublimes couleurs. La neige n'est as encore là, mais quand elle sera installée l'endroit sera magnifique. Le ciel est parfaitement dégagée, ça va être une belle journée ensoleillée. Ce qui veut dire que ça sera une journée qui se déroulera principalement en intérieur pour moi. On ne peut pas dire que je sois très amie avec l'Astre de Feu. À mon grand regret.
Je décide donc de rentrer. Je vais aller aux cuisine, prendre mon petit déjeuner. Je le prends toujours plus tôt que tout le monde. Heureusement que le cuisinier est fort aimable, il a su s'adapter à mon rythme particulier, et je lui en suis très reconnaissante. Tout particulièrement pour les repas qu'il me prépare pour la nuit. J'ai toujours mon repas qui m'attend chez moi pour ma pause de minuit. Un homme bien !
Je me dirige donc vers l'entrée de l'université, terminant ma ronde extérieur qui s'approchait plutôt de la balade pensive... Mais un détail me chiffonne alors que j'approche des portes. Deux statues. Je fronce les sourcils, elles n'étaient clairement pas là lorsque je suis sortie et personne ne m'a informée de leur arrivée et encore moins de leur fonction. Suspicieuse, j'empoigne ma baguette et m'en rapproche pour les observer. Qu'est-ce que... c'est sensé représenter ? On dirait, peut-être, des elfes de maison, mais je ne suis pas sûr. Un les bras croisés, un qui me fixe et me pointe du doigt alors que je m'approche. Une manifestation quelconque ? Une revendication ? Dans tous les cas, personne n'a reçu l'autorisation d'installer ça. J'en mettrai ma main dans la gueule d'un Norvégien à Crête ! Je continue de m'approcher pour les examiner de plus près, mais je me fais surprendre par un sortilège qui me frappe de plein fouet et me fait voler sur plusieurs mètres en arrière avant de m'étaler lourdement sur le sol dur.
Aïe... Ça, ça fait mal. Non sans une grimace de douleur, je me redresse pour m'asseoir et me masser l'épaule gauche douloureuse qui a touché le sol en premier. Je suis furieuse ! Qui que soit la personne à l'origine de ces statues, je jure que je vais lui faire passer un très, très mauvais moment !
« Bon sang qu'est-ce que ça signifie ?! »
Déjà sur les nerfs à cause de ma nuit ennuyeuse, je me relève et marche d'un pas décidé à nouveau vers les statue, mais pas sans m'avoir protégé à l'avance d'un sort de bouclier. Est-ce que ses statues s'en prennent à tout le monde ? Je tourne à nouveau mon regard vers le ciel, le soleil continue sa course. Cela veut dire deux choses. Les élèves et professeurs logeant à l'extérieur vont bientôt arriver, ce qui pose un grave problème de sécurité. Ensuite, le soleil se lève, et je suis coincée dehors pour un temps indéterminée... Je vais donc devoir trouver une astuce pour me protéger du soleil sans quitter cet endroit. Car hors de question pour moi de m'éloigner de cet endroit. Je dois m'assurer que personne ne soit blessé le temps de trouver comment me débarrasser de ces statues...
« Moi qui voulais trouver à m'occuper aujourd'hui... Il semblerait que j'ai été entendu... »
- RAPPEL:
- Caractéristiques des Semi-Vampires inRP :
- possèdent des caractéristiques physiques évoquant leurs ancêtres (peau pâle, air émacié, canines plus longues que les humains ordinaires, semblables à de petits crocs),
- tolèrent la lumière du soleil bien que de façon plus limité qu'un humain ordinaire. En cas d'exposition trop prolongée, ils ressentent cependant une sensation de brûlure sur la peau,
- n'ont pas d'appétit pour le sang et sont donc plus facilement mêlés à la population humaine,
- ne ressentent pas le besoin de dormir et ne connaissent en conséquence pas les rêves autrement que par ce qu'on peut leur en dire,
- exercent une certaine attraction sur les moldus et les sorcier(e)s les plus sensibles,
- voient mieux que les humains dans le noir complet, et comme en plein jour tant qu'une source lumineuse, même minime, est présente.
- des caractéristiques présentes dès la naissance
- l'énergie est récupérée en mangeant, à défaut de dormir
- certaines capacités physiques sont accrues (endurance, force...)
- sens de l'odorat et ouïe développés, sensibilité particulière à l'odeur du sang
- nyctalopie "biologique" (yeux qui brillent dans le noir)
- charme inefficace sur les autres hybrides, également immunisés en retour
- reflet dans le miroir, les vrais vampires aussi
- les produits narcotiques classiques ne les endorment pas vraiment.
- RÉSUMÉ :
- Thorunn revient de sa ronde
promenadeextérieur à l'aube. Elle découvre les deux statues à l'extérieur de l'entrée du hall. Pensant déjà à comment sanctionner le ou les responsable, elle subi un sortilège de la part d'une des statues et vol sur plusieurs mètres en arrière. Elle se retrouve donc coincé à l'extérieur alors que le soleil se lève, et doit trouver un moyen de protéger les élèves sur le point d'arriver à l'école.
Codage par Libella sur Graphiorum
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