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la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Ven 29 Avr 2022 - 2:31
Je suis un enseignant | personnage inventé
« Je crois en la magie, je suis née et j’ai grandi à un moment magique, dans une ville magique, parmi des magiciens. La plupart des gens ne se rendaient pas compte
de la magie qui nous entoure. Mais moi je le savais. »
de la magie qui nous entoure. Mais moi je le savais. »
WIZARD CARD INFORMATIONS Car Gareth est un homme de science et un homme de fait. Sa place est dans une salle de classe, dans une conférence. Lui qui se montre d'ordinaire peu bavard voire ennuyeux en société se met alors soudainement à briller. Il impressionne et capte l'attention non par un quelconque charisme mais par une maitrise incontestable de son sujet ; délivrant alors un exposé précis et exact à ses étudiants. Car Gareth est un enseignant consciencieux, qui prend très à cœur sa mission et la matière qu'il enseigne. Devant l'instrumentalisation systématique de l'histoire, les fausses vérités et les informations tronquées débitées à longueur de journée par les politiques de tout bord ; l'enseignement de l'histoire et la recherche de la vérité lui apparaissent alors comme essentiels. S'il vise l'objectivité dans ses propos, Gareth n'en est pas complètement neutre pour autant. Humaniste aux valeurs de tolérance solidement ancrées, il méprise ceux qui portent leurs préjugés et leur ignorance comme une médaille sous le prétexte de préserver des traditions moyenâgeuses. De trop grandes inepties historiques le feront à coup sûr sortir de son silence pour démonter étape par étape et citations à l'appui les arguments de son interlocuteur. Et dans ces situations, Gareth peut se révéler être un adversaire particulièrement obstiné. Travailleur acharné, chaque minute passée à s'occuper l'esprit est une occasion en moins de sombrer dans ses pensées les plus sinistres. Gareth est donc un enseignant dévoué qui n'hésite pas à donner de son temps et de sa personne à ceux qui témoignent de l'intérêt pour sa matière. Ceux qui sauront ne pas se laisser intimider par ses silences inexpressifs et son apparence de dureté trouveront en lui une oreille attentive et bienveillante. Il n'en reste pas moins un enseignant exigeant et ordonné, attendant de la part de ses étudiants qu'ils lui témoignent un minimum de respect. Les retardataires chroniques et ceux qui ne feront aucun effort pour répondre aux attendus de son cours le trouveront dans de bien moins bonnes dispositions. Enfin, Gareth est une âme blessée. Renfermé et solitaire, il a appris à s'ouvrir et à aimer jusqu'à ce que la tragédie frappe et que lui soit retiré l'être qu'il avait le plus sincèrement aimé. Les pensées les plus sombres l'ont longtemps accablé jusqu'à la léthargie, assez pour qu'il finisse par penser ne plus jamais refaire surface. C'est un équilibre fragile qu'il maintient aujourd'hui. Certains jours sont plus durs que d'autres mais il reste déterminé à ne pas sombrer à nouveau. Et si les blagues d'un collègue ne lui arrachent pas même une grimace, si maintenir une conversation devient difficile, si parfois l'épuisement d'une longue journée de travail est l'unique chose qui l'empêche de se saisir d'une bouteille, si parfois les cauchemars et l'angoisse rendent son sommeil impossible ; il se fait violence et se relève, encore et toujours. | :copyright:️ 1erjuin ◈ michael shannon |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
C'est bien connu, les élites cultivent l'entre-soi et aiment à se reproduire entre elles. En cela, la haute société sorcière d'Amérique n'est pas très différente de sa cousine outre-Atlantique, quoique elle est généralement plus attachée à l'idée de conserver un cercle fermé de privilégiés qu'à une réelle croyance en la supériorité des sorciers de sang pur sur les autres races. Tel est le cas de la famille Lyons, confortablement installée dans les hautes sphères du pouvoir et de la justice depuis la naissance même du MACUSA ; et bien déterminée à maintenir cet héritage.
Benjamin d'une fratrie de cinq enfants, tu jouis d'une enfance heureuse dans les quartiers cossus de Boston, élevé par des parents stricts mais aimants. Si leur travail au ministère est particulièrement prenant et les force souvent à s'absenter, pas d'inquiétude : l'armée d'employés à leur service est là pour canaliser cette fratrie aux caractères bien trempées. Ta grande sœur Vivien mène à la baguette votre petite troupe, montrant déjà ce caractère droit et cette autorité innée qui feront d'elle, plusieurs décennies plus tard, une des juges les plus respectées du pays. Derrière l'image de calme et d'arrogance étudiée qu'il aime à se donner, Lionel est un garçon au sang chaud prêt à fondre sur la première personne qui aurait la mauvaise idée de s'en prendre à sa famille. Tristan, espiègle et plein d'assurance, ne rate pas une occasion de se faire remarquer et d'affoler son entourage par ses frasques. Âgée d'à peine un an de plus que toi, Enid est aussi timide que tu es renfermé. Si les écarts d'âge et des différences de caractère parfois exacerbées amènent leur lot de disputes puériles, les Lyons dernière génération restent malgré tout complices et unis.
Bien qu’habitué à ce joyeux bazar, tu ressens parfois le besoin de t'éloigner et de te retrouver seul. C'est d’ailleurs cette recherche de calme et de solitude qui t’amène à manifester ta magie pour la toute première fois et à te retrouver téléporté sur le toit de votre maison. Après plusieurs incidents du même ordre, tu finis par faire de la bibliothèque ton refuge. Tu hérites ta passion des livres de ton père qui, quand le travail lui laisse assez de répit pour passer du temps avec ses enfants, berce votre enfance de contes et d’histoires.
Casanier et méfiant, ta réticence à approcher les personnes extérieures à votre cercle familial présage déjà d’une scolarité compliquée ; même si ton entrée à Ilvermorny n’est pas une source d’inquiétude en soi. Après tout, ça ne fait que 350 ans que les différentes générations de Lyons s’y succèdent. Bâtiments, matières, enseignants ; tout a déjà été largement expliqué et commenté par tes frères et sœurs avant même que tu n’y aies mis les pieds. Tu n’es pas non plus surpris d’être choisi pour rejoindre la maison des Horned Serpent, alors que les Lyons remplissent d’ordinaire largement les rangs des Wampus. Tu as hâte de découvrir la bibliothèque et de commencer à suivre certaines matières, mais tes soucis de socialisation n’ont pas fini de te causer des problèmes. Le courant passe mal avec les enseignants (ironique, pour un futur enseignant), en particulier quand tu t’entêtes à refuser de prendre la parole devant la classe et à répondre quand tu es interrogé. Devant ton silence et ton absence de réaction, tu sais que certains se tâtent pour savoir si tu es timide ou simplement stupide, un comble étant donné la maison qui est la tienne. Très vite, tes excellents résultats coupent court au débat.
Pendant sept ans, tes centres d’intérêt sont surtout académiques. Le quidditch ne t’intéresse pas, pas plus que le duel. Tes lectures commencent à se spécialiser et l’histoire, sorcière comme moldue, devient vite ta matière préférée. Outre tes frères et sœurs encore en âge d’être à Ilvermorny tu n’as que peu d’amis. Certains élèves, ne se laissant pas intimider par tes longs silences et ta perpétuelle expression irritée, osent cependant t’approcher pour te demander de l’aide pour leurs devoirs. Ton absence de jugement et ta serviabilité t’assureront ensuite quelques amitiés durables.
Ton dossier scolaire irréprochable t’ouvre les portes d’Hungcalf. Tu suis bien sûr le même cursus que tes aînés et choisis (au moins pour l'instant) la voix de la justice magique, plus pour satisfaire tes parents que par réelle vocation. Tu ne dis pas pour autant adieu à ta véritable passion et demandes également à suivre l'ensemble des matières du cursus lettres et civilisations magiques. Bien entendu, on ne cesse de te répéter que ces matières secondaires (sur le papier mais pas dans ton coeur) ne doivent en aucun cas te détourner de tes priorités et en faire pâtir tes notes dans les fondamentaux. Ça tombe bien, tu n’as pas vraiment d’autres préoccupations que ton travail. Mais, bien que toujours en retrait, tu ressens de moins en moins le besoin de fuir tes camarades et apprécies la conversation d’autres étudiants éclairés dont les intérêts rejoignent les tiens.
Tu t’épanouis pleinement dans la recherche qui semble réellement être ton domaine. Même les innombrables heures passées à t’abimer les yeux sur des ouvrages interminables, à peaufiner ta rédaction et à référencer toutes tes sources n’ont pas raison de ta passion et de ton intérêt pour ta matière. Si pratiquer le droit ne t’enthousiasme pas particulièrement, l’étudier t’intéresse beaucoup plus ; et tu es sans cesse fasciné par l’impact de l’histoire sur la construction des systèmes et institutions des différentes sociétés. Ta thèse « Entre intégration et ségrégation : étude comparative des relations sorciers-moldus dans les législations américaine et britannique » est soutenue avec succès en 2004 et sera jugée suffisamment pertinente pour être publiée.
Une fois tes D.E.F.I.S. en poche, tes projets académiques sont mis en pause alors que tu rejoins le MACUSA. Se faire une place dans ce lieu qui a déjà vu passer tant de membre de ta famille n’est pas si facile, mais tes excellents résultats et une bonne première impression te permettent de travailler comme juriste assistant auprès de plusieurs magistrats éminents. Ta force de travail et ton abnégation sont saluées, mais très vite tu te lasses. Quand un poste se libère au Bureau international des lois magiques, tu sautes sur l’occasion. Tes connaissances des lois britanniques t’amènent à travailler un temps au Royaume-Uni. Par un concours de circonstances et un peu de chance, tu es également amené à effectuer quelques missions en France et profite de l’occasion pour perfectionner tes connaissances de leurs institutions. De cette expérience, tu retireras une grande fascination pour le pays des Lumières et son histoire. Après deux années de va-et-vient entre ta patrie et le vieux continent, tu décides finalement de quitter le MACUSA pour revenir à ta véritable passion. Te voilà maintenant à trente-trois ans, regagnant les bans de l'université pour valider un nouveau D.E.F.I.S., non pas en justice magique cette fois mais en lettres et civilisations magiques. Ta nouvelle thèse suit la première et s'intéresse cette fois-ci non plus au droit magique mais à l'histoire des institutions. Plus particulièrement, tu la consacres à « la révolution des institutions : impact des révolutions moldues sur la théorisation et l'évolution des institutions sorcières en France et dans le monde anglo-saxon ». Après ça, tu décides d'adopter définitivement la carrière académique pour rejoindre l’Université sorcière de Salem en qualité de professeur d’histoire de la magie. Passée l’appréhension de découvrir tes premiers élèves, tu gagnes vite en aisance et prends tes marques, appréciant de pouvoir partager tes connaissances sur des sujets qui te tiennent à cœur. Sévère mais bienveillant, tu tâches de faire des efforts pour paraître moins intimidant aux yeux de tes élèves. Quand tu n’es pas en train d’enseigner, tu consacres ton temps libre à la recherche. Un petit cercle de collègues enseignants et d’apprentis historiens se forme autour de toi. Tu penses avoir enfin trouvé ta voie, au grand dam des parents qui auraient voulu te voir faire une longue carrière juridique comme le reste de tes frères et sœurs.
Devenu trentenaire, une nouvelle problématique se profile à l'horizon : celle du mariage et de la paternité. Toi qui as déjà de nombreux neveux et nièces ; il est temps de faire ton devoir et d’avoir tes propres enfants. L’idée est loin de t’enchanter. Depuis ton premier béguin adolescent pour la bibliothécaire d'Ilvermorny (béguin qui aura tout de même duré quelques mois et provoqué l’hilarité de tes frères), tu avais eu quelques relations sérieuses mais aucune n’avait duré sur le long terme ; ton caractère jugé trop froid et distant finissant inévitablement par éloigner tes partenaires. Tu n’es pas certain d’être taillé pour le mariage mais tu finis par accepter devant leur assistance, tout en te réservant le pouvoir de choisir toi-même ta future femme.
Tu rencontres Elaine à la sortie d’un de tes cours. Brillante étudiante de dernière année à la personnalité fière et aventurière, elle n’hésite pas à questionner ton discours et même à te poser quelques colles. Vous vous retrouvez à plusieurs reprises pour parler recherche autour d’un verre. À partir de là, les choses s’accélèrent. Les fiançailles sont annoncées quelques semaines plus tard. Toute cette affaire n’a rien de très romantique mais ni l’un de l’autre ne vous en formalisez. Le mariage vous permet de contenter vos familles respectives tout en conservant votre précieuse indépendance. La maison est suffisamment grande pour que chacun vaque librement à ses occupations ; ce qui n’empêche pas de vous retrouver quand vous le souhaitez. Au bout d’un certain temps, le respect mutuel que vous vous portez ne se transforme certes pas en amour mais en affection sincère.
Au bout de dix-huit mois de vie commune, Elaine accouche d’une magnifique petite fille. Tes yeux sont aussitôt happés par cette petite créature hurlant à pleins poumons, cette tête ronde et écarlate couronnée d'un petit duvet châtain. Tu ne sais pas comment décrire la sensation de tenir une créature si fragile entre tes mains. Ton cœur s'emplit soudain d'une émotion que tu ne saurais qualifier tant elle t'apparaît nouvelle. Tu finis par croiser le regard épuisé mais fier de ton épouse. Alma, elle s’appelle Alma.
Passé le soulagement et la joie de pouvoir repartir de l'hôpital avec un bébé en pleine santé, les premiers mois qui suivent te voient dans un état constant d'inquiétude et de remise en question. Tu te demandes si une personne avec tant de lacunes sociales et émotionnelles que toi est vraiment à même d'élever correctement un enfant. Heureusement, Alma semble vite tenir davantage de sa mère que de toi, et ce autant physiquement qu'au niveau de sa personnalité expressive et épanouie. Tu peux néanmoins trouver une ressemblance dans quelques détails du visage, notamment la couleur de ses yeux (bleu gris, comme les tiens) et ce petit froncement des sourcils qui lui donne un adorable air grognon (mais qui sur ton visage ne fait que te vieillir). Tes tentatives pour montrer ton affection sont d’abord timides, parfois maladroites. Tu ne deviens pas plus bavard et refuses catégoriquement d’adopter ce « parlé bébé » qui t’irrite tant. Ton émotion, elle, est indéniable. Elle est perceptible dans l’éclat nouveau de tes yeux, dans tes sourires qui deviennent plus fréquents, dans ta manière de l’approcher comme quelque chose de précieux. Quatre années de bonheur se profilent à l’horizon.
Mais toutes les bonnes choses finissent un jour, et parfois de la pire des manières. Le drame a lieu un jour de mai. Elaine profite d’une belle journée ensoleillée pour inviter quelques amis. Les adultes veillent au grain tandis que leurs enfants s’amusent dans le jardin. Un moment Alma est occupée à s’amuser avec quelques enfants du même âge, le moment d’après te voilà alerté par des cris. Tu la trouves couchée dans l’herbe, le corps immobile tourné vers le sol. À partir de là, il y a comme un blanc dans tes souvenirs. Tu te souviens vaguement l’avoir retourné, cherchant frénétiquement une blessure ; n’importe quoi qui pourrait expliquer la situation. Alma ne réagit pas. Déjà son cœur s’est arrêté mais tu ne veux pas le voir. Tout se passe extrêmement vite. Ta voix sonne lointaine et sans émotion alors que tu expliques la situation aux ambumages. D'ailleurs, tu ne te souviens même pas les avoir contacté. Le bien être de ta fille est ta seule préoccupation et c'est par miracle que tu parviens à transplaner jusqu'à l'hôpital sans être désartibulé faute de concentration. Mais tes espérances sont vite déçues. Il n'y a plus rien à sauver et les efforts des médicomages ne durent que quelques vaines minutes. Le verdict tombe comme un couperet : mort subite cardiaque due à une malformation non diagnostiquée. Tu te rappelles vaguement des pleurs d’Elaine, sa fière silhouette ployant sur le poids du désespoir. Tu ne sais pas comment réagir, c’est le vide dans ton esprit. Tu gardes la même expression impassible et le même silence quand on vous autorise à rentrer dans la chambre. Tu caresses machinalement les cheveux d’Alma, écartant les mèches rebelles de son visage de plus en plus tiède. Tu n’as pas un mot ni même un regard pour ta femme.
Tu restes silencieux encore de longues semaines, et Elaine ne tente pas non plus de t’adresser la parole. La maison semble désormais trop petite pour vous deux et vous ne supportez plus d’être dans la même pièce. Les jours passent. Le jour de l’enterrement, tu te contentes d'accepter avec apathie les messages de condoléance. Quelques jours plus tard, Elaine brise enfin son silence, laissant s’exprimer tout le chagrin qu’elle a réprimé jusqu’ici. Les reproches qu’elle te lance au visage comme des insultes sont d’une violence inouïe. Ta personne, dont elle a pourtant supporté les défauts pendant six longues années, lui apparaît maintenant comme insupportable. Tu restes droit et silencieux, la laissant déverser sa colère. Au fond de toi, tu sais que ces accusations sont injustes, mais tu n’as pas le cœur de te défendre. C’est l’émotion et la peine qui parlent. Tu ne lui en veux pas, même si ses mots te blessent plus que tu ne voudrais l’admettre. Le soir venu, dans l’intimité de ta chambre, tu finis par verser tes premières larmes. Epuisé, tu te demandes comment un homme soit disant sans émotion peut avoir aussi mal.
Le divorce est signé quelques semaines plus tard. Tu ne gardes rien de vos six ans de vie commune outre quelques photos et quelques objets ayant appartenu à Alma. La maison est désormais bien vide et le silence qui était autrefois ton refuge te pèse. Les cauchemars te hantent et tu commences à boire pour chasser tes idées noires. Le processus est graduel, son issue inévitable. Le verre que tu bois occasionnellement pour calmer tes nerfs se transforme en deux puis trois verres. Bientôt, tu n’arrives plus à t’endormir sans. Tu reprends vite le travail. Trop vite. Tu essaies de faire abstraction des inquiétudes de ta famille et de tes collègues, te plongeant dans le travail comme si de rien n’était. Tu essaies de te convaincre que ça ne regarde que toi, que ça n’interfère aucunement avec ton travail. Tu contrôles encore assez la situation pour ne pas boire au travail, mais ça ne tient qu’à un fil. Et puis vient le jour où l’illusion ne tient plus, où tu n’arrives plus à te mentir. Tu te rends finalement compte de l’ampleur du problème en constatant avec mortification les erreurs impardonnables qui figurent dans tes travaux les plus récents et même dans certaines corrections destinées à tes élèves. La fatigue et l’alcool déteignent sur tout ce que tu entreprends. Devant le miroir, tu ne peux que constater leur impact sur ton apparence : des cernes noires, des yeux sans éclat, une chemise mal repassée et trop large pour ta silhouette amaigrie, des cheveux en désordre. C’est comme un électrochoc.
Trois jours plus tard, tu remets ta démission et prépares tes bagages pour un voyage à durée indéterminée. Tu quittes le continent sans en toucher un mot à ta famille ou tes amis. Te voilà de retour en France, là où personne ou presque ne te connaît, bien déterminé à t’occuper l’esprit en jouant les touristes pendant quelques semaines. Mais bien vite monuments et musées ne suffisent plus à te distraire. Dans les restaurant, les magasins ; l’appel de l’alcool est difficile à ignorer. Tant pis, tu compenses en fumant encore plus. Les moments de vide et n’inaction sont les plus dangereux, alors tu finis par abandonner l’idée de te reposer. Tu ne renonces pas à ton voyage pour autant, décidant d’investir les bibliothèques et de poursuivre ton travail de recherche ici. Après plusieurs mois à te jeter corps et âme dans l’étude des institutions révolutionnaires françaises, tu décides qu’il est finalement temps de mettre un terme à ces vacances prolongées. Mais tu ne te sens pas encore prêt à remettre les pieds en Amérique et à faire face à l’inquiétude de tes proches. Tu décides finalement de rejoindre l’Ecosse en apprenant qu’un poste d’enseignant en histoire vient de se libérer à Hungcalf. C’est la première fois que tu remets les pieds à Inverness depuis seize ans.
Benjamin d'une fratrie de cinq enfants, tu jouis d'une enfance heureuse dans les quartiers cossus de Boston, élevé par des parents stricts mais aimants. Si leur travail au ministère est particulièrement prenant et les force souvent à s'absenter, pas d'inquiétude : l'armée d'employés à leur service est là pour canaliser cette fratrie aux caractères bien trempées. Ta grande sœur Vivien mène à la baguette votre petite troupe, montrant déjà ce caractère droit et cette autorité innée qui feront d'elle, plusieurs décennies plus tard, une des juges les plus respectées du pays. Derrière l'image de calme et d'arrogance étudiée qu'il aime à se donner, Lionel est un garçon au sang chaud prêt à fondre sur la première personne qui aurait la mauvaise idée de s'en prendre à sa famille. Tristan, espiègle et plein d'assurance, ne rate pas une occasion de se faire remarquer et d'affoler son entourage par ses frasques. Âgée d'à peine un an de plus que toi, Enid est aussi timide que tu es renfermé. Si les écarts d'âge et des différences de caractère parfois exacerbées amènent leur lot de disputes puériles, les Lyons dernière génération restent malgré tout complices et unis.
Bien qu’habitué à ce joyeux bazar, tu ressens parfois le besoin de t'éloigner et de te retrouver seul. C'est d’ailleurs cette recherche de calme et de solitude qui t’amène à manifester ta magie pour la toute première fois et à te retrouver téléporté sur le toit de votre maison. Après plusieurs incidents du même ordre, tu finis par faire de la bibliothèque ton refuge. Tu hérites ta passion des livres de ton père qui, quand le travail lui laisse assez de répit pour passer du temps avec ses enfants, berce votre enfance de contes et d’histoires.
Casanier et méfiant, ta réticence à approcher les personnes extérieures à votre cercle familial présage déjà d’une scolarité compliquée ; même si ton entrée à Ilvermorny n’est pas une source d’inquiétude en soi. Après tout, ça ne fait que 350 ans que les différentes générations de Lyons s’y succèdent. Bâtiments, matières, enseignants ; tout a déjà été largement expliqué et commenté par tes frères et sœurs avant même que tu n’y aies mis les pieds. Tu n’es pas non plus surpris d’être choisi pour rejoindre la maison des Horned Serpent, alors que les Lyons remplissent d’ordinaire largement les rangs des Wampus. Tu as hâte de découvrir la bibliothèque et de commencer à suivre certaines matières, mais tes soucis de socialisation n’ont pas fini de te causer des problèmes. Le courant passe mal avec les enseignants (ironique, pour un futur enseignant), en particulier quand tu t’entêtes à refuser de prendre la parole devant la classe et à répondre quand tu es interrogé. Devant ton silence et ton absence de réaction, tu sais que certains se tâtent pour savoir si tu es timide ou simplement stupide, un comble étant donné la maison qui est la tienne. Très vite, tes excellents résultats coupent court au débat.
Pendant sept ans, tes centres d’intérêt sont surtout académiques. Le quidditch ne t’intéresse pas, pas plus que le duel. Tes lectures commencent à se spécialiser et l’histoire, sorcière comme moldue, devient vite ta matière préférée. Outre tes frères et sœurs encore en âge d’être à Ilvermorny tu n’as que peu d’amis. Certains élèves, ne se laissant pas intimider par tes longs silences et ta perpétuelle expression irritée, osent cependant t’approcher pour te demander de l’aide pour leurs devoirs. Ton absence de jugement et ta serviabilité t’assureront ensuite quelques amitiés durables.
Ton dossier scolaire irréprochable t’ouvre les portes d’Hungcalf. Tu suis bien sûr le même cursus que tes aînés et choisis (au moins pour l'instant) la voix de la justice magique, plus pour satisfaire tes parents que par réelle vocation. Tu ne dis pas pour autant adieu à ta véritable passion et demandes également à suivre l'ensemble des matières du cursus lettres et civilisations magiques. Bien entendu, on ne cesse de te répéter que ces matières secondaires (sur le papier mais pas dans ton coeur) ne doivent en aucun cas te détourner de tes priorités et en faire pâtir tes notes dans les fondamentaux. Ça tombe bien, tu n’as pas vraiment d’autres préoccupations que ton travail. Mais, bien que toujours en retrait, tu ressens de moins en moins le besoin de fuir tes camarades et apprécies la conversation d’autres étudiants éclairés dont les intérêts rejoignent les tiens.
Tu t’épanouis pleinement dans la recherche qui semble réellement être ton domaine. Même les innombrables heures passées à t’abimer les yeux sur des ouvrages interminables, à peaufiner ta rédaction et à référencer toutes tes sources n’ont pas raison de ta passion et de ton intérêt pour ta matière. Si pratiquer le droit ne t’enthousiasme pas particulièrement, l’étudier t’intéresse beaucoup plus ; et tu es sans cesse fasciné par l’impact de l’histoire sur la construction des systèmes et institutions des différentes sociétés. Ta thèse « Entre intégration et ségrégation : étude comparative des relations sorciers-moldus dans les législations américaine et britannique » est soutenue avec succès en 2004 et sera jugée suffisamment pertinente pour être publiée.
Une fois tes D.E.F.I.S. en poche, tes projets académiques sont mis en pause alors que tu rejoins le MACUSA. Se faire une place dans ce lieu qui a déjà vu passer tant de membre de ta famille n’est pas si facile, mais tes excellents résultats et une bonne première impression te permettent de travailler comme juriste assistant auprès de plusieurs magistrats éminents. Ta force de travail et ton abnégation sont saluées, mais très vite tu te lasses. Quand un poste se libère au Bureau international des lois magiques, tu sautes sur l’occasion. Tes connaissances des lois britanniques t’amènent à travailler un temps au Royaume-Uni. Par un concours de circonstances et un peu de chance, tu es également amené à effectuer quelques missions en France et profite de l’occasion pour perfectionner tes connaissances de leurs institutions. De cette expérience, tu retireras une grande fascination pour le pays des Lumières et son histoire. Après deux années de va-et-vient entre ta patrie et le vieux continent, tu décides finalement de quitter le MACUSA pour revenir à ta véritable passion. Te voilà maintenant à trente-trois ans, regagnant les bans de l'université pour valider un nouveau D.E.F.I.S., non pas en justice magique cette fois mais en lettres et civilisations magiques. Ta nouvelle thèse suit la première et s'intéresse cette fois-ci non plus au droit magique mais à l'histoire des institutions. Plus particulièrement, tu la consacres à « la révolution des institutions : impact des révolutions moldues sur la théorisation et l'évolution des institutions sorcières en France et dans le monde anglo-saxon ». Après ça, tu décides d'adopter définitivement la carrière académique pour rejoindre l’Université sorcière de Salem en qualité de professeur d’histoire de la magie. Passée l’appréhension de découvrir tes premiers élèves, tu gagnes vite en aisance et prends tes marques, appréciant de pouvoir partager tes connaissances sur des sujets qui te tiennent à cœur. Sévère mais bienveillant, tu tâches de faire des efforts pour paraître moins intimidant aux yeux de tes élèves. Quand tu n’es pas en train d’enseigner, tu consacres ton temps libre à la recherche. Un petit cercle de collègues enseignants et d’apprentis historiens se forme autour de toi. Tu penses avoir enfin trouvé ta voie, au grand dam des parents qui auraient voulu te voir faire une longue carrière juridique comme le reste de tes frères et sœurs.
Devenu trentenaire, une nouvelle problématique se profile à l'horizon : celle du mariage et de la paternité. Toi qui as déjà de nombreux neveux et nièces ; il est temps de faire ton devoir et d’avoir tes propres enfants. L’idée est loin de t’enchanter. Depuis ton premier béguin adolescent pour la bibliothécaire d'Ilvermorny (béguin qui aura tout de même duré quelques mois et provoqué l’hilarité de tes frères), tu avais eu quelques relations sérieuses mais aucune n’avait duré sur le long terme ; ton caractère jugé trop froid et distant finissant inévitablement par éloigner tes partenaires. Tu n’es pas certain d’être taillé pour le mariage mais tu finis par accepter devant leur assistance, tout en te réservant le pouvoir de choisir toi-même ta future femme.
Tu rencontres Elaine à la sortie d’un de tes cours. Brillante étudiante de dernière année à la personnalité fière et aventurière, elle n’hésite pas à questionner ton discours et même à te poser quelques colles. Vous vous retrouvez à plusieurs reprises pour parler recherche autour d’un verre. À partir de là, les choses s’accélèrent. Les fiançailles sont annoncées quelques semaines plus tard. Toute cette affaire n’a rien de très romantique mais ni l’un de l’autre ne vous en formalisez. Le mariage vous permet de contenter vos familles respectives tout en conservant votre précieuse indépendance. La maison est suffisamment grande pour que chacun vaque librement à ses occupations ; ce qui n’empêche pas de vous retrouver quand vous le souhaitez. Au bout d’un certain temps, le respect mutuel que vous vous portez ne se transforme certes pas en amour mais en affection sincère.
Au bout de dix-huit mois de vie commune, Elaine accouche d’une magnifique petite fille. Tes yeux sont aussitôt happés par cette petite créature hurlant à pleins poumons, cette tête ronde et écarlate couronnée d'un petit duvet châtain. Tu ne sais pas comment décrire la sensation de tenir une créature si fragile entre tes mains. Ton cœur s'emplit soudain d'une émotion que tu ne saurais qualifier tant elle t'apparaît nouvelle. Tu finis par croiser le regard épuisé mais fier de ton épouse. Alma, elle s’appelle Alma.
Passé le soulagement et la joie de pouvoir repartir de l'hôpital avec un bébé en pleine santé, les premiers mois qui suivent te voient dans un état constant d'inquiétude et de remise en question. Tu te demandes si une personne avec tant de lacunes sociales et émotionnelles que toi est vraiment à même d'élever correctement un enfant. Heureusement, Alma semble vite tenir davantage de sa mère que de toi, et ce autant physiquement qu'au niveau de sa personnalité expressive et épanouie. Tu peux néanmoins trouver une ressemblance dans quelques détails du visage, notamment la couleur de ses yeux (bleu gris, comme les tiens) et ce petit froncement des sourcils qui lui donne un adorable air grognon (mais qui sur ton visage ne fait que te vieillir). Tes tentatives pour montrer ton affection sont d’abord timides, parfois maladroites. Tu ne deviens pas plus bavard et refuses catégoriquement d’adopter ce « parlé bébé » qui t’irrite tant. Ton émotion, elle, est indéniable. Elle est perceptible dans l’éclat nouveau de tes yeux, dans tes sourires qui deviennent plus fréquents, dans ta manière de l’approcher comme quelque chose de précieux. Quatre années de bonheur se profilent à l’horizon.
Mais toutes les bonnes choses finissent un jour, et parfois de la pire des manières. Le drame a lieu un jour de mai. Elaine profite d’une belle journée ensoleillée pour inviter quelques amis. Les adultes veillent au grain tandis que leurs enfants s’amusent dans le jardin. Un moment Alma est occupée à s’amuser avec quelques enfants du même âge, le moment d’après te voilà alerté par des cris. Tu la trouves couchée dans l’herbe, le corps immobile tourné vers le sol. À partir de là, il y a comme un blanc dans tes souvenirs. Tu te souviens vaguement l’avoir retourné, cherchant frénétiquement une blessure ; n’importe quoi qui pourrait expliquer la situation. Alma ne réagit pas. Déjà son cœur s’est arrêté mais tu ne veux pas le voir. Tout se passe extrêmement vite. Ta voix sonne lointaine et sans émotion alors que tu expliques la situation aux ambumages. D'ailleurs, tu ne te souviens même pas les avoir contacté. Le bien être de ta fille est ta seule préoccupation et c'est par miracle que tu parviens à transplaner jusqu'à l'hôpital sans être désartibulé faute de concentration. Mais tes espérances sont vite déçues. Il n'y a plus rien à sauver et les efforts des médicomages ne durent que quelques vaines minutes. Le verdict tombe comme un couperet : mort subite cardiaque due à une malformation non diagnostiquée. Tu te rappelles vaguement des pleurs d’Elaine, sa fière silhouette ployant sur le poids du désespoir. Tu ne sais pas comment réagir, c’est le vide dans ton esprit. Tu gardes la même expression impassible et le même silence quand on vous autorise à rentrer dans la chambre. Tu caresses machinalement les cheveux d’Alma, écartant les mèches rebelles de son visage de plus en plus tiède. Tu n’as pas un mot ni même un regard pour ta femme.
Tu restes silencieux encore de longues semaines, et Elaine ne tente pas non plus de t’adresser la parole. La maison semble désormais trop petite pour vous deux et vous ne supportez plus d’être dans la même pièce. Les jours passent. Le jour de l’enterrement, tu te contentes d'accepter avec apathie les messages de condoléance. Quelques jours plus tard, Elaine brise enfin son silence, laissant s’exprimer tout le chagrin qu’elle a réprimé jusqu’ici. Les reproches qu’elle te lance au visage comme des insultes sont d’une violence inouïe. Ta personne, dont elle a pourtant supporté les défauts pendant six longues années, lui apparaît maintenant comme insupportable. Tu restes droit et silencieux, la laissant déverser sa colère. Au fond de toi, tu sais que ces accusations sont injustes, mais tu n’as pas le cœur de te défendre. C’est l’émotion et la peine qui parlent. Tu ne lui en veux pas, même si ses mots te blessent plus que tu ne voudrais l’admettre. Le soir venu, dans l’intimité de ta chambre, tu finis par verser tes premières larmes. Epuisé, tu te demandes comment un homme soit disant sans émotion peut avoir aussi mal.
Le divorce est signé quelques semaines plus tard. Tu ne gardes rien de vos six ans de vie commune outre quelques photos et quelques objets ayant appartenu à Alma. La maison est désormais bien vide et le silence qui était autrefois ton refuge te pèse. Les cauchemars te hantent et tu commences à boire pour chasser tes idées noires. Le processus est graduel, son issue inévitable. Le verre que tu bois occasionnellement pour calmer tes nerfs se transforme en deux puis trois verres. Bientôt, tu n’arrives plus à t’endormir sans. Tu reprends vite le travail. Trop vite. Tu essaies de faire abstraction des inquiétudes de ta famille et de tes collègues, te plongeant dans le travail comme si de rien n’était. Tu essaies de te convaincre que ça ne regarde que toi, que ça n’interfère aucunement avec ton travail. Tu contrôles encore assez la situation pour ne pas boire au travail, mais ça ne tient qu’à un fil. Et puis vient le jour où l’illusion ne tient plus, où tu n’arrives plus à te mentir. Tu te rends finalement compte de l’ampleur du problème en constatant avec mortification les erreurs impardonnables qui figurent dans tes travaux les plus récents et même dans certaines corrections destinées à tes élèves. La fatigue et l’alcool déteignent sur tout ce que tu entreprends. Devant le miroir, tu ne peux que constater leur impact sur ton apparence : des cernes noires, des yeux sans éclat, une chemise mal repassée et trop large pour ta silhouette amaigrie, des cheveux en désordre. C’est comme un électrochoc.
Trois jours plus tard, tu remets ta démission et prépares tes bagages pour un voyage à durée indéterminée. Tu quittes le continent sans en toucher un mot à ta famille ou tes amis. Te voilà de retour en France, là où personne ou presque ne te connaît, bien déterminé à t’occuper l’esprit en jouant les touristes pendant quelques semaines. Mais bien vite monuments et musées ne suffisent plus à te distraire. Dans les restaurant, les magasins ; l’appel de l’alcool est difficile à ignorer. Tant pis, tu compenses en fumant encore plus. Les moments de vide et n’inaction sont les plus dangereux, alors tu finis par abandonner l’idée de te reposer. Tu ne renonces pas à ton voyage pour autant, décidant d’investir les bibliothèques et de poursuivre ton travail de recherche ici. Après plusieurs mois à te jeter corps et âme dans l’étude des institutions révolutionnaires françaises, tu décides qu’il est finalement temps de mettre un terme à ces vacances prolongées. Mais tu ne te sens pas encore prêt à remettre les pieds en Amérique et à faire face à l’inquiétude de tes proches. Tu décides finalement de rejoindre l’Ecosse en apprenant qu’un poste d’enseignant en histoire vient de se libérer à Hungcalf. C’est la première fois que tu remets les pieds à Inverness depuis seize ans.
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- InvitéInvité
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Ven 29 Avr 2022 - 7:57
Un professeur d'Histoiiiiiiiiiire !!!
Mais rassure moi : c'est un professeur d'Histoire concernant le droit ou Histoire de la Magie en générale ? A-t-il fait une (voir plusieurs thèses) dans ce domaine ? Histoire de savoir s'il est connu.
Désolée je m'emballe.
Je suis tellement contente de voir le prof de ma matière préférée !
Et c'est tellement triste et horrible ce qu'il lui est arrivé.
Mais rassure moi : c'est un professeur d'Histoire concernant le droit ou Histoire de la Magie en générale ? A-t-il fait une (voir plusieurs thèses) dans ce domaine ? Histoire de savoir s'il est connu.
Désolée je m'emballe.
Je suis tellement contente de voir le prof de ma matière préférée !
Et c'est tellement triste et horrible ce qu'il lui est arrivé.
- InvitéInvité
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Ven 29 Avr 2022 - 9:35
Oh ouiiiiiiii, un prof d'histoire, je crois que tous nos personnages littéraires ici t'attendais de pied ferme au plaisir de venir t'embêter en rp avec mon aspirant historien, et bien entendu bienvenu à toi !
- InvitéInvité
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Ven 29 Avr 2022 - 9:56
Welcome here
Un homme qui porte un lourds fardeau dis moi mais c'est ce qui le rend intéressant et donne un fonds et du caractère à ce personnage.
Hâte de le voir intervenir en cours de droit et pouvoir profiter de son savoir et de ses ouvrages
Un homme qui porte un lourds fardeau dis moi mais c'est ce qui le rend intéressant et donne un fonds et du caractère à ce personnage.
Hâte de le voir intervenir en cours de droit et pouvoir profiter de son savoir et de ses ouvrages
- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
- » parchemins postés : 8274
» miroir du riséd : francisco lachowski
» crédits : wcstedrose (ava)
» multinick : arty / joe / keir
» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» année d'études : 10ème année
» options obligatoires & facultatives : ♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
» profession : chroniqueur à la Chouette Enchaînée
» particularité : animagus
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 8305
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Ven 29 Avr 2022 - 10:01
BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE
un prof d'histoire de la magie, c'est trop bien ça fait toujours plaisir de voir le rang des enseignants se remplir et tu nous offres de la qualitey avec ce personnage
J'ai hâte de lire le reste de ta fiche et je m'arrêterai juste sur ceci :
amuse-toi bien parmi nous et n'hésite pas au besoin
un prof d'histoire de la magie, c'est trop bien ça fait toujours plaisir de voir le rang des enseignants se remplir et tu nous offres de la qualitey avec ce personnage
J'ai hâte de lire le reste de ta fiche et je m'arrêterai juste sur ceci :
J'ai bugué une petite minuteMaximilien le chat arpente librement ses appartements et sa salle de classe
amuse-toi bien parmi nous et n'hésite pas au besoin
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
- merci :
- InvitéInvité
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Ven 29 Avr 2022 - 10:54
Un prof d'Histoire, voilà qui est intéressant. Une de mes tête sera ton pire élève.
Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche
Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche
- InvitéInvité
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Ven 29 Avr 2022 - 11:32
Bienvenue par ici cher collègue !
J'étais déjà très intriguée par Gareth rien qu'au profil alors j'ai dévoré ton début de fiche et je l'aime encore plus ! Je ne manquerai pas de venir te voir pour un lien
J'étais déjà très intriguée par Gareth rien qu'au profil alors j'ai dévoré ton début de fiche et je l'aime encore plus ! Je ne manquerai pas de venir te voir pour un lien
- InvitéInvité
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Ven 29 Avr 2022 - 17:35
Merci beaucoup pour l'accueil !
@Emmy Robinson : Je suis une grande passionnée d'histoire irl, du coup je me suis vite dépêchée de m'inscrire dès que j'ai vu que le poste était libre. Et no worry, Gareth enseigne bien l'histoire de la magie en général, pas seulement l'histoire du droit/des institutions sorcières (c'est juste sa spécialité, en particulier les différences entre les modèles britannique et américain). J'avoue de ne pas avoir trop réfléchi à une potentielle célébrité. Comme la plupart des enseignants de fac il a publié une thèse et quelques bouquins donc je suppose qu'il est relativement connu dans sa branche
En tout cas je pense qu'on peut déjà mettre Emmy dans la liste deschouchous étudiants avec privilège de bibliothèque ;)
@Luka Agreste : Ah, un autre étudiant aspirant historien, ça fait plaisir (c'est la meilleure matière, on est d'accord) N'hésite pas à m'embêter pour un rp surtout.
@Jefferson Gold : Merci, hâte de pouvoir le jouer en cours et de découvrir tous ses élèves (les Wright sont surreprésentés en histoire de la magie on dirait, ça promet d'être animé)
@Maximilien Leroy : Ah oui en effet, si Maximilien suit ses cours ça risque de donner des situations un peu cocasses J'imagine bien la scène :
Gareth : Maximilien, viens ici.
Maximilien : ???
Gareth : Pas vous, Monsieur Leroy, le chat.
@Fiona Colquhoun : Ah ah, j'ai hâte de le rencontrer
@Murphy Fraser : Merci chère collègue (Rose ), ce sera avec plaisir pour le lien ;)
@Emmy Robinson : Je suis une grande passionnée d'histoire irl, du coup je me suis vite dépêchée de m'inscrire dès que j'ai vu que le poste était libre. Et no worry, Gareth enseigne bien l'histoire de la magie en général, pas seulement l'histoire du droit/des institutions sorcières (c'est juste sa spécialité, en particulier les différences entre les modèles britannique et américain). J'avoue de ne pas avoir trop réfléchi à une potentielle célébrité. Comme la plupart des enseignants de fac il a publié une thèse et quelques bouquins donc je suppose qu'il est relativement connu dans sa branche
En tout cas je pense qu'on peut déjà mettre Emmy dans la liste des
@Luka Agreste : Ah, un autre étudiant aspirant historien, ça fait plaisir (c'est la meilleure matière, on est d'accord) N'hésite pas à m'embêter pour un rp surtout.
@Jefferson Gold : Merci, hâte de pouvoir le jouer en cours et de découvrir tous ses élèves (les Wright sont surreprésentés en histoire de la magie on dirait, ça promet d'être animé)
@Maximilien Leroy : Ah oui en effet, si Maximilien suit ses cours ça risque de donner des situations un peu cocasses J'imagine bien la scène :
Gareth : Maximilien, viens ici.
Maximilien : ???
Gareth : Pas vous, Monsieur Leroy, le chat.
@Fiona Colquhoun : Ah ah, j'ai hâte de le rencontrer
@Murphy Fraser : Merci chère collègue (Rose ), ce sera avec plaisir pour le lien ;)
- Calliope MullerADMIN - sensitive bitch
- » parchemins postés : 725
» miroir du riséd : nina dobrev
» crédits : amnesisart (ava) ; crackship (code sign)
» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
» particularité : occlumens
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 1646
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Ven 29 Avr 2022 - 19:33
Bienvenue ! C'est un très beau choix de poste !!
MULLER LIKE ME
I don't need a man to make me feel good, I get off doin' my thing
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
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Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Ven 29 Avr 2022 - 22:31
@Gareth Lyons c'est une aubaine qu'il suive ce cours alors et connaissant Max, il serait capable d'obéir à Gareth et de venir à son bureau en mode chaton bien sage
il est libre max
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- merci :
- InvitéInvité
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Sam 30 Avr 2022 - 6:56
Bienvenue ici sensei.
Un très beau début de fiche. Cela promet un personnage fort intéressant. Bon courage pour la suite (si temps est que tu aies besoin de courage)
Un très beau début de fiche. Cela promet un personnage fort intéressant. Bon courage pour la suite (si temps est que tu aies besoin de courage)
- InvitéInvité
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Sam 30 Avr 2022 - 9:20
Bienvenue à toi par ici !
Hâte de te voir en jeu, cette plume promet
Hâte de te voir en jeu, cette plume promet
- InvitéInvité
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Dim 1 Mai 2022 - 17:17
Bienvenue ici !!
A priori, on sera amené à travailler ensemble puisque Kyle fait des interventions en cours d'histoire de la magie pour parler de l'histoire du château d'Inverness ^^
Bon courage pour la suite de ta fiche.
A priori, on sera amené à travailler ensemble puisque Kyle fait des interventions en cours d'histoire de la magie pour parler de l'histoire du château d'Inverness ^^
Bon courage pour la suite de ta fiche.
- InvitéInvité
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Dim 1 Mai 2022 - 17:22
Bienvenue ici ! Ton personnage a l'air super intéressant !
- InvitéInvité
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Dim 1 Mai 2022 - 22:20
Bravo pour cette beau début de fiche prometteur et ce personnage très complet ! Bienvenue par ici
- InvitéInvité
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Lun 2 Mai 2022 - 16:05
Merci beaucoup, contente de voir que le personnage vous plaît
- InvitéInvité
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Mar 3 Mai 2022 - 11:14
Olalala, Michael Shannon en prof d'Histoire de la magie c'est super alléchant!!! Je vais me glisser dans tes ptits DM soon probablement
Bienvenue en tout cas!!!
Bienvenue en tout cas!!!
- InvitéInvité
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Jeu 5 Mai 2022 - 1:35
Ouuuuh mais bienvenue par ici cher Collègue !
Il va falloir que l'on se trouve un lien ! J'adore déjà ce que tu as fait du personnage et le fc est un choix de maître !
Il va falloir que l'on se trouve un lien ! J'adore déjà ce que tu as fait du personnage et le fc est un choix de maître !
- InvitéInvité
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Sam 7 Mai 2022 - 0:53
@Tyom Evans et @Leksander Ó Fearghail : Merci Hâte d'être validé et de pouvoir construire pleins de liens avec mes futurs collègues et mes futurs élèves ;)
- Calliope MullerADMIN - sensitive bitch
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Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Lun 9 Mai 2022 - 19:48
Ma pause déj n'a pas suffit pour me régaler de ta fiche alors je m'y reprends maintenant.
J'ai deux petites remarques qui sont 100% inhérentes au lore d'hungcalf et donc que tu ne pouvais pas deviner :
- Hungcalf ne délivre pas de double diplome avec une seule thèse. Ton personnage peut suivre les cours des deux cursus en cumulant les matières optionnelles et obligatoires mais il doit présenter sa thèse dans une seule matière (droit par exemple). Si tu veux qu'il soit également doctorant dans la seconde (histoire dans mon exemple), il faut qu'il valide une autre thèse (soit repartir sur un cycle de DEFIS).
- Il existe des ambumages, des médicomages spécialisés dans les transplanages d'urgence avec des patients instables sur le plan de la santé. Ton personnage peut avoir décidé de transplaner avec sa fille dans les bras mais il faut qu'il soit conscient que c'est extremement dangeureux. Je te mets le lien cipour en savoir un peu plus, c'est dans la catégorie "soins magiques"
Je te laisse faire les changements qui te conviendront et me poker pour que je vienne te valider
J'ai deux petites remarques qui sont 100% inhérentes au lore d'hungcalf et donc que tu ne pouvais pas deviner :
- Hungcalf ne délivre pas de double diplome avec une seule thèse. Ton personnage peut suivre les cours des deux cursus en cumulant les matières optionnelles et obligatoires mais il doit présenter sa thèse dans une seule matière (droit par exemple). Si tu veux qu'il soit également doctorant dans la seconde (histoire dans mon exemple), il faut qu'il valide une autre thèse (soit repartir sur un cycle de DEFIS).
- Il existe des ambumages, des médicomages spécialisés dans les transplanages d'urgence avec des patients instables sur le plan de la santé. Ton personnage peut avoir décidé de transplaner avec sa fille dans les bras mais il faut qu'il soit conscient que c'est extremement dangeureux. Je te mets le lien cipour en savoir un peu plus, c'est dans la catégorie "soins magiques"
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Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Mer 11 Mai 2022 - 20:09
@Calliope Muller : Merci J'ai hésité sur ces deux points en écrivant ma fiche donc je ne suis absolument pas surprise de tes remarques.
Normalement j'ai tout modifié. Pour être sûre d'avoir bien compris : c'est juste les D.E.F.I.S. qu'il doit recommencer, pas tout son parcours depuis le début, c'est bien ça ? (j'espère, sinon va falloir que je le vieillisse le Gareth )
Je te remets les modifications ici pour que ce soit plus simple :
Normalement j'ai tout modifié. Pour être sûre d'avoir bien compris : c'est juste les D.E.F.I.S. qu'il doit recommencer, pas tout son parcours depuis le début, c'est bien ça ? (j'espère, sinon va falloir que je le vieillisse le Gareth )
Je te remets les modifications ici pour que ce soit plus simple :
Gareth Lyons a écrit:ancienne école : Ilvermorny chez les Horned Serpent de septembre 1987 à juillet 1994 ; puis Hungcalf dans la maison Lufkin de septembre 1994 à juillet 2004 puis de septembre 2009 à juillet 2013. Conformément à la tradition famiale, Gareth a validé un D.E.F.I.S. en Justice magique en 2004, puis quelques années plus tard un autre D.E.F.I.S. en Lettres et civilisations magiques.
Gareth Lyons a écrit:Ton dossier scolaire irréprochable t’ouvre les portes d’Hungcalf. Tu suis bien sûr le même cursus que tes aînés et choisis (au moins pour l'instant) la voix de la justice magique, plus pour satisfaire tes parents que par réelle vocation. Tu ne dis pas pour autant adieu à ta véritable passion et demandes également à suivre l'ensemble des matières du cursus lettres et civilisations magiques. Bien entendu, on ne cesse de te répéter que ces matières secondaires (sur le papier mais pas dans ton coeur) ne doivent en aucun cas te détourner de tes priorités et en faire pâtir tes notes dans les fondamentaux.
Gareth Lyons a écrit:Après deux années de va-et-vient entre ta patrie et le vieux continent, tu décides finalement de quitter le MACUSA pour revenir à ta véritable passion. Te voilà maintenant à trente-trois ans, regagnant les bans de l'université pour valider un nouveau D.E.F.I.S., non pas en justice magique cette fois mais en lettres et civilisations magiques. Ta nouvelle thèse suit la première et s'intéresse cette fois-ci non plus au droit magique mais à l'histoire des institutions. Plus particulièrement, tu la consacres à « la révolution des institutions : impact des révolutions moldues sur la théorisation et l'évolution des institutions sorcières en France et dans le monde anglo-saxon ». Après ça, tu décides d'adopter définitivement la carrière académique pour rejoindre l’Université sorcière de Salem en qualité de professeur d’histoire de la magie.
Gareth Lyons a écrit:Tu la trouves couchée dans l’herbe, le corps immobile tourné vers le sol. À partir de là, il y a comme un blanc dans tes souvenirs. Tu te souviens vaguement l’avoir retourné, cherchant frénétiquement une blessure ; n’importe quoi qui pourrait expliquer la situation. Alma ne réagit pas. Déjà son cœur s’est arrêté mais tu ne veux pas le voir. Tout se passe extrêmement vite. Ta voix sonne lointaine et sans émotion alors que tu expliques la situation aux ambumages. D'ailleurs, tu ne te souviens même pas les avoir contacté. Le bien être de ta fille est ta seule préoccupation et c'est par miracle que tu parviens à transplaner jusqu'à l'hôpital sans être désartibulé faute de concentration. Mais tes espérances sont vite déçues. Il n'y a plus rien à sauver et les efforts des médicomages ne durent que quelques vaines minutes.
- InvitéInvité
Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Jeu 12 Mai 2022 - 9:24
Un nouveau camarade de jeu pour le personnel éducatif, nul doute qu'il trouvera sa place parmi les trublions(non) du corps professoral
(on commence à être bien sérieux dans cette école ça va plus du tout) (fut un tant où yavait plus de zazou, on sent que Mac Arthur a resserré la vis )
Bienvenue parmi nous en tout cas, j'ai adoré lire cette fiche
(on commence à être bien sérieux dans cette école ça va plus du tout) (fut un tant où yavait plus de zazou, on sent que Mac Arthur a resserré la vis )
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Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Jeu 12 Mai 2022 - 21:50
ta nouvelle et grande famille
★ Hey, tu l'as fait ! Ta fiche est terminée et les portes vers les délices du rp s'ouvrent à toi, bravo ! Toute l'équipe du staff te souhaite officiellement la bienvenue et espère que tu t'amuseras bien parmi nous ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous envoyer un mp ou bien crier à l'aide sur la CB, les
★ Afin de te guider au mieux dans cette nouvelle aventure, voici le guide du nouveau joueur ou tu trouveras toutes les informations nécessaires à ton intégration ! Métier, chambre à l'université, quidditch, ou bien refaire un tour dans les annexes... Ne t'inquiètes de rien, tout y est expliqué !
★ Que tu sois professeur.e ou étudiant.e, nous t'invitons également à faire un tour dans le guide du professeur, qui te donnera toutes les informations nécessaires sur le fonctionnement des cours de l'université ! Bon jeu parmi nous et à bientôt, en rp!
Tout d'abord un grand merci pour ces modifications qui sont, comme le reste de la fiche, d'une très grande qualité ! J'ai bien sincèrement adoré la plume du/ de la joueur.se autant que la justesse du personnage qu'elle décrit et je suis certaine que tu vas faire le bonheur de beaucoup de partenaires de jeu ici ! Je suis ravie de te valider et te souhaite une belle intégration sur Hung
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Re: la parole est d'argent mais le silence est d'or | gareth p. lyons
Mar 24 Mai 2022 - 11:30
Message de Mme Référentiels
Gareth, je t'informe que tu es bien référencé(e) ici. Le référentiel de Hungcalf peut être utile pour savoir qui est du même sang que toi, qui fait quel métier, ou encore qui suit tes cours ! Le référentiel amoureux, lui, te permet de savoir qui est de la même orientation que toi, et quels sont les ships du moment Tout cela est rempli manuellement donc n'hésite pas à me contacter en cas d'oubli, d'erreur ou de modification à faire.
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