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comme un dimanche soir x pv roman
Mer 19 Oct 2022 - 22:04
16 octobre 2022 ; Résidence Duvall
ft. @Roman Duvall
ft. @Roman Duvall
Le weekend, ainsi que la semaine, avaient été chargés pour la jeune interne. Pas une seconde pour se reposer, même si ce n'est pas dans ses habitudes, Sophie avait espérer qu'elle pourrait passer le weekend avec Roman, un weekend pour se retrouver un peu tous les deux, mais les plans avaient été bousculés par le déclin du grand-père de son époux. Si Roman pouvait faire le déplacement jusque Toronto seul, Sophie n'avait pas le coeur de rester seule, et encore moins de le savoir seul de son côté; même si les réunions de famille chez les Duvall sont probablement un brin plus cordiales que celles des Lacroix. Si jamais il arrivait quelque chose au patriarche, elle voulait être la pour épauler son mari et puis, il est bon de se montrer a ses côtés parfois, histoire de faire taire les mauvaises langues. C'est pas qu'on commence à jaser, mais ça commence à jaser... Il paraitrait qu'il y a du rififi au paradis, alors c'est plus forts et soudés que jamais que les époux Duvall ont fait le déplacement. L'occasion pour Elisa, sa belle-sœur par alliance, d'afficher son ventre naissant. Sophie sentait les regards pesant sur elle, et vous, c'est pour quand ? La question qu'elle redoutait d'entendre lui percuta l'estomac, ne serait-il pas temps que la société évolue ? Qu'on abolisse ces injonctions ridicules à la maternité ? Sophie se concentre sur sa carrière, pour l'instant. Chevalier Roman à la rescousse. Bien évidement qu'ils parlent d'enfants, elle sait que son mari en désire, peut-être que la différence d'âge fait la différence, mais Sophie, elle, elle ne se sent pas encore prête pour être mère. Pas encore. Un sourire vers son mari pour le remercier, et la journée peut continuer. Souvent, elle se demande comment aurait été sa vie si cela n'avait pas été lui au bout de l'allée, certainement qu'elle aurait été moins chanceuse, moins heureuse.
« Je suis é-pui-sée... » dit-elle en souriant, retirant ses chaussures à peine dans l'entrée. C'est simple, la blonde a refusé un repas dans un restaurant huppé pour rentrer directement chez eux, bien plus attirée par la perspective d'un diner avec sa tendre moitié que d'une énième sortie. Elle aurait tout le temps pour les sorties plus tard. Qu'est-ce que c'est bon d'être à la maison pense la jeune femme en laissant son regard courir sur son intérieur. Bien sûr que son appartement d'Inverness est agréable, la décoration ressemble beaucoup à celle-ci, mais il lui manque toujours quelque chose, même si l'absence de Roman est légèrement compensée par ses voisins, amis. Sophie laisse Roman déposer les bagages et se débarrasser, elle profite de ces quelques secondes pour servir deux verres d'un vin excessivement cher d'un petit vignoble attenant à l'une des nombreuses propriétés de sa famille. Discrète, la demoiselle s'approche dans le dos de son mari, dépose un baiser entre ses omoplates, elle aurait aimer viser le cou, mais sans ses talons, Roman est trop grand. « Un verre, avant le diner ? » Un verre pour se souhaiter la bienvenue à la maison, un verre pour se mettre en appétit, un verre pour se délier la langue...
« Je suis é-pui-sée... » dit-elle en souriant, retirant ses chaussures à peine dans l'entrée. C'est simple, la blonde a refusé un repas dans un restaurant huppé pour rentrer directement chez eux, bien plus attirée par la perspective d'un diner avec sa tendre moitié que d'une énième sortie. Elle aurait tout le temps pour les sorties plus tard. Qu'est-ce que c'est bon d'être à la maison pense la jeune femme en laissant son regard courir sur son intérieur. Bien sûr que son appartement d'Inverness est agréable, la décoration ressemble beaucoup à celle-ci, mais il lui manque toujours quelque chose, même si l'absence de Roman est légèrement compensée par ses voisins, amis. Sophie laisse Roman déposer les bagages et se débarrasser, elle profite de ces quelques secondes pour servir deux verres d'un vin excessivement cher d'un petit vignoble attenant à l'une des nombreuses propriétés de sa famille. Discrète, la demoiselle s'approche dans le dos de son mari, dépose un baiser entre ses omoplates, elle aurait aimer viser le cou, mais sans ses talons, Roman est trop grand. « Un verre, avant le diner ? » Un verre pour se souhaiter la bienvenue à la maison, un verre pour se mettre en appétit, un verre pour se délier la langue...
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Re: comme un dimanche soir x pv roman
Jeu 20 Oct 2022 - 16:32
Roman ouvre la porte de sa chère maison en compagnie de Sophie. Il est bien heureux de retrouver son cocon finalement. Il avait proposé un peu plus tôt un dîner dans un restaurant à son épouse mais elle avait préféré rentrer au calme et c'est ce qu'il lui fallait.
La journée avait été intense. Son grand-père étant mourrant, il avait été convoqué par son père. Cela fait plusieurs fois depuis le mois de mai dernier qu'il fait des allers-retours entre Londres et Toronto. Les formalités sont longues et il y a encore des incertitudes concernant les propriétés du grand-père. C'était un homme strict et qui gardait secret ses affaires. Il forma évidemment son fils au métier d'avocat mais ils se fachèrent et leur relation devint tendue. Roman les a toujours connu avec cette tension qui plane au dessus d'eux.
Le concernant, il n'a pas un lien très fort avec son aïeul. Ce dernier n'a pas accepté que son petit fils prenne la voie du journalisme. Mais il ne lui en veut pas. C'est un homme de la vieille école alors il peut comprendre son comportement.
Par contre, ce qui le surprend et qui le laisse sans voix, c'est ce qu'il a trouvé dans le bureau du grand-père lorsqu'il cherchait les actes de propriétés. Bien cachés par un enchantement, une pile de Sparkle of Magic. Il lui fallut s'assoir un instant pour accuser le coup. Son grand-pere lisait secrètement sa revue ?
Il n'en parla à personne. Il ne voulait pas bousculer d'anciens souvenirs houleux et ne pas perturber son père.
Ils passèrent ainsi le déjeuner en famille, puis l'après midi. Il fut heureux que Sophie l'accompagne cette fois-ci. Il ne lui avait rien demandé, elle s'était invitée d'elle même et elle était évidemment la bienvenue. Au moins, cela fit taire Élisa qui se demandait ce que devenait sa belle sœur par alliance.
La grossesse fut le sujet principal de discussion à table et Roman du intervenir pour soulager Sophie des "et vous alors ?" Sa chère et tendre n'est pas prête, elle a le droit de vouloir terminer ses études d'abord, de choisir sa profession, même si cela n'est pas compris par tout le monde. Il ne leur demande pas leur avis.
Un "poc" se fait entendre et l'elfe de maison arrive pour prendre les bagages.
"Prépare le dîner" demande Roman tout en posant ses clefs à leur place et en ouvrant le courrier déposé.
Bien maître.
Et le petit elfe disparait avec les bagages.
Il sent alors un baiser entre ses omoplates et il se retourne pour contempler sa femme lui proposant un verre de vin.
"Tu lis dans mes pensées", dit-il en souriant. "Je me demande parfois si tu n'es pas legilimens."
Il sait bien que non mais c'est assez perturbant de se rendre compte comme elle le connaît bien.
Il l'enlace d'un bras et lui dépose un baiser sur ses lèvres.
Ils prennent direction vers le salon, histoire de déguster ce vin en attendant que le dîner soit servi.
Il est temps de se poser un peu dans le canapé confortable.
Il se tourne vers elle et tend son verre pour trinquer.
La journée avait été intense. Son grand-père étant mourrant, il avait été convoqué par son père. Cela fait plusieurs fois depuis le mois de mai dernier qu'il fait des allers-retours entre Londres et Toronto. Les formalités sont longues et il y a encore des incertitudes concernant les propriétés du grand-père. C'était un homme strict et qui gardait secret ses affaires. Il forma évidemment son fils au métier d'avocat mais ils se fachèrent et leur relation devint tendue. Roman les a toujours connu avec cette tension qui plane au dessus d'eux.
Le concernant, il n'a pas un lien très fort avec son aïeul. Ce dernier n'a pas accepté que son petit fils prenne la voie du journalisme. Mais il ne lui en veut pas. C'est un homme de la vieille école alors il peut comprendre son comportement.
Par contre, ce qui le surprend et qui le laisse sans voix, c'est ce qu'il a trouvé dans le bureau du grand-père lorsqu'il cherchait les actes de propriétés. Bien cachés par un enchantement, une pile de Sparkle of Magic. Il lui fallut s'assoir un instant pour accuser le coup. Son grand-pere lisait secrètement sa revue ?
Il n'en parla à personne. Il ne voulait pas bousculer d'anciens souvenirs houleux et ne pas perturber son père.
Ils passèrent ainsi le déjeuner en famille, puis l'après midi. Il fut heureux que Sophie l'accompagne cette fois-ci. Il ne lui avait rien demandé, elle s'était invitée d'elle même et elle était évidemment la bienvenue. Au moins, cela fit taire Élisa qui se demandait ce que devenait sa belle sœur par alliance.
La grossesse fut le sujet principal de discussion à table et Roman du intervenir pour soulager Sophie des "et vous alors ?" Sa chère et tendre n'est pas prête, elle a le droit de vouloir terminer ses études d'abord, de choisir sa profession, même si cela n'est pas compris par tout le monde. Il ne leur demande pas leur avis.
Un "poc" se fait entendre et l'elfe de maison arrive pour prendre les bagages.
"Prépare le dîner" demande Roman tout en posant ses clefs à leur place et en ouvrant le courrier déposé.
Bien maître.
Et le petit elfe disparait avec les bagages.
Il sent alors un baiser entre ses omoplates et il se retourne pour contempler sa femme lui proposant un verre de vin.
"Tu lis dans mes pensées", dit-il en souriant. "Je me demande parfois si tu n'es pas legilimens."
Il sait bien que non mais c'est assez perturbant de se rendre compte comme elle le connaît bien.
Il l'enlace d'un bras et lui dépose un baiser sur ses lèvres.
Ils prennent direction vers le salon, histoire de déguster ce vin en attendant que le dîner soit servi.
Il est temps de se poser un peu dans le canapé confortable.
Il se tourne vers elle et tend son verre pour trinquer.
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Re: comme un dimanche soir x pv roman
Jeu 20 Oct 2022 - 18:44
16 octobre 2022 ; Résidence Duvall
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« Je connais mon mari, c'est aussi simple que ça... » Il n'y a rien de magique là-dedans, au contraire, c'est juste un cumul d'habitude, d'observation et de ressentis. Parce qu'ils sont différents en publique et en privé, parce qu'il n'y a que lui qui la connait vraiment, il n'y a qu'avec lui qu'elle se sent libre d'être elle-même. C'est un sentiment difficile a comprendre lorsque, comme Sophie, on a été obligé d'entrer dans un moule toute sa vie. Dès le début de leur mariage, ils se sont montré ouvert et ils partageaient cette même envie que cette union fonctionne; six ans plus tard, force est de constater que leur mariage est plus que viable, même s'il peut laisser perplexe parfois.
La porte fermée, lorsqu'ils ne sont qu'entre eux, ils se montrent plus tactiles, plus tendres, comme ce bras simplement posé autour de la taille de la blonde, ou encore ce baiser presque imperceptible qu'il pose sur ses lèvres. Elle sourit, et lui emboîte le pas jusqu'au salon où elle s'installe, non lui de lui. Les verres s'élèvent, s'entrechoquent, un sourire et un regard complice s'échange, elle perçoit l'espace d'un instant la fatigue chez Roman, c'est peut-être sa position, les épaules qui sont légèrement plus basses que d'ordinaire, ou encore son regard un brin perdu. « Tu as été relativement silencieux ce week-end, tout va bien ? »Elle aurait pu ajouter "au vu de la situation", mais c'est inutile. Évidemment que tout ne va pas bien, son grand-père est mourant et, comme toute famille qui se respecte, les questions d'héritages sont déjà sur la table. Sophie n'a pas eu ce souci lors de la mort de son père, c'est Ethan qui s'est chargé de tout, elle se fichait éperdument de savoir qui allait bénéficier de quoi, elle sait que sa famille possède de grandes richesses et que, quoi qu'il arrive, elle ne manquera jamais de rien. Sophie tend la main et la pose sur le genou de son époux en signe de compassion, et pour l'aider à la confession.
La porte fermée, lorsqu'ils ne sont qu'entre eux, ils se montrent plus tactiles, plus tendres, comme ce bras simplement posé autour de la taille de la blonde, ou encore ce baiser presque imperceptible qu'il pose sur ses lèvres. Elle sourit, et lui emboîte le pas jusqu'au salon où elle s'installe, non lui de lui. Les verres s'élèvent, s'entrechoquent, un sourire et un regard complice s'échange, elle perçoit l'espace d'un instant la fatigue chez Roman, c'est peut-être sa position, les épaules qui sont légèrement plus basses que d'ordinaire, ou encore son regard un brin perdu. « Tu as été relativement silencieux ce week-end, tout va bien ? »Elle aurait pu ajouter "au vu de la situation", mais c'est inutile. Évidemment que tout ne va pas bien, son grand-père est mourant et, comme toute famille qui se respecte, les questions d'héritages sont déjà sur la table. Sophie n'a pas eu ce souci lors de la mort de son père, c'est Ethan qui s'est chargé de tout, elle se fichait éperdument de savoir qui allait bénéficier de quoi, elle sait que sa famille possède de grandes richesses et que, quoi qu'il arrive, elle ne manquera jamais de rien. Sophie tend la main et la pose sur le genou de son époux en signe de compassion, et pour l'aider à la confession.
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Re: comme un dimanche soir x pv roman
Ven 21 Oct 2022 - 14:36
Le verre à la main, Roman s'installe sur le canapé en compagnie de sa moitié. Comme il apprécie ces instants d'intimité avec elle ! Il n'y a plus de regards sur eux, plus de rôle social à jouer. Ils peuvent être eux même et s'aimer comme tels.
Observatrice, Sophie a bien remarqué que quelque chose le tracassait. Il esquisse un léger sourire et pose sa main sur la sienne.
Il ne peut rien lui cacher. Et de toute façon, ce n'est pas le but. Ils ont convenu dès le début d'être honnêtes l'un envers l'autre. Et cela fonctionne plutôt bien jusqu'ici.
"J'ai du mal à me sortir la tête de ce week-end."
Il boit une gorgée de vin et s'adosse contre le canapé.
"Il y a toute cette paperasse à préparer et qui n'en finit pas."
Roman n'est pas le genre d'homme à se plaindre. Il ne s'epenche généralement pas sur ses ressentis, ses difficultés. Sauf avec Sophie, avec elle il peut en parler, d'autant plus lorsqu'elle le lui demande.
"Et j'ai surtout découvert quelque chose dans le bureau de grand père. Il y avait toutes les revues de Sparkle of Magic. Et j'avoue que j'ai été...surpris."
Quel serait le meilleur terme ? Maintenant qu'il avait découvert cela, beaucoup de questionnements s'imposaient à lui. Sauf qu'il ne peut en parler avec son aïeul, qui est perdu quelque part entre la vie et la mort.
"Tu te rends compte qu'il l'a caché à tout le monde ? A moi ? Il était trop borné pour admettre son erreur de jugement."
Il but une autre gorgée de ce nectar fabuleux. Il est partagé entre la fierté et la colère. Mais il ne laisse rien transparaître encore une fois, à part ces mots qui s'expriment.
Dans la cuisine, il entend l'elfe qui s'affaire à préparer le dîner. Puis quelque chose qui tombe à terre, certainement un ustensile. Son elfe de maison a beau être maladroit, il sait qu'il nettoiera ses bêtises.
Il commence à avoir l'habitude.
Observatrice, Sophie a bien remarqué que quelque chose le tracassait. Il esquisse un léger sourire et pose sa main sur la sienne.
Il ne peut rien lui cacher. Et de toute façon, ce n'est pas le but. Ils ont convenu dès le début d'être honnêtes l'un envers l'autre. Et cela fonctionne plutôt bien jusqu'ici.
"J'ai du mal à me sortir la tête de ce week-end."
Il boit une gorgée de vin et s'adosse contre le canapé.
"Il y a toute cette paperasse à préparer et qui n'en finit pas."
Roman n'est pas le genre d'homme à se plaindre. Il ne s'epenche généralement pas sur ses ressentis, ses difficultés. Sauf avec Sophie, avec elle il peut en parler, d'autant plus lorsqu'elle le lui demande.
"Et j'ai surtout découvert quelque chose dans le bureau de grand père. Il y avait toutes les revues de Sparkle of Magic. Et j'avoue que j'ai été...surpris."
Quel serait le meilleur terme ? Maintenant qu'il avait découvert cela, beaucoup de questionnements s'imposaient à lui. Sauf qu'il ne peut en parler avec son aïeul, qui est perdu quelque part entre la vie et la mort.
"Tu te rends compte qu'il l'a caché à tout le monde ? A moi ? Il était trop borné pour admettre son erreur de jugement."
Il but une autre gorgée de ce nectar fabuleux. Il est partagé entre la fierté et la colère. Mais il ne laisse rien transparaître encore une fois, à part ces mots qui s'expriment.
Dans la cuisine, il entend l'elfe qui s'affaire à préparer le dîner. Puis quelque chose qui tombe à terre, certainement un ustensile. Son elfe de maison a beau être maladroit, il sait qu'il nettoiera ses bêtises.
Il commence à avoir l'habitude.
- InvitéInvité
Re: comme un dimanche soir x pv roman
Mer 26 Oct 2022 - 14:19
16 octobre 2022 ; Résidence Duvall
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Que Roman soit encore impacté par ce weekend n'étonne pas Sophie, loin de là. Les affaires de ce genre de famille sont toujours compliquées à gérer, mais il y a autre chose, ce n'est pas comme ces nombreuses autres fois où il revenait un peu maussade; cette fois, c'est différent. Elle le pointe discrètement, si Roman ne souhaite pas en parler, elle l'acceptera et le comprendra, mais surtout, elle sera là pour lui. Lorsque son mari lui fait part de cette lassitude qu'il subit, de tout ce poids administratif qui lui pèse sur les épaules, la blonde sourit en signe d'empathie et d'encouragement, que pourrait-elle dire ? Elle n'est pas confrontée a ce type de problème, puisque chez eux, c'est son aîné qui est en charge des affaires de la famille, elle, elle s'occupe de sa mère, et c'est déjà suffisament fatiguant comme ça. Alors qu'elle porte son verre à ses lèvres, la surprise est lisible sur le visage de Sophie, jamais elle n'aurait imaginé que le patriarche soit un lecteur assidu du Sparkle. ça, c'est un scoop.
« Je... » un bruit sourd dans la cuisine suspend sa phrase, cet elfe de maison a vraiment deux pieds gauches à la place des mains. Heureusement qu'on sait réparer facilement la vaisselle, sans quoi ils devraient en acheter très régulièrement, elle sait que la bestiole nettoie derrière elle, mais ça ne manque jamais de la crisper. « C'est frustrant qu'il n'ait jamais reconnu le talent que tu as, à cause de ces attentes ridicules, mais il s'est montré curieux, je pense qu'on peut prendre ça pour une victoire, non? » S'il y a bien une chose que miss Lacroix a très vite retenu, c'est qu'il était préférable de rester éloignée des histoires de famille, mais c'est plus fort qu'elle; elle qui est si fier de la réussite et de la brillante carrière de son époux, elle voudrait que tous le reconnaisse comme le journaliste percutant et ambitieux qu'il est, c'est pour cela qu'elle s'avance au sujet de cet abonnement au journal. Finalement, en silence, le vieux Duvall aura prit conscience que son petit fils est un homme intelligent, perspicace et talentueux.
Bien sûr qu'elle n'est pas totalement objective, elle l'aime et son regard sera toujours biaisé , mais elle n'est pas aveuglée au point de lui trouver des idées intéressantes, alors que ça ne serait pas le cas. C'est d'ailleur ce qui l'a séduite en premier, ses idées, son intelligence, sa perception de la vie et de la société, toutes ces choses qui résonnaient en elle, qui résonne encore aujourd'hui; elle est persuadée que la ligne éditoriale du Sparkle aura séduit le grand-père de Roman, autant que les nombreux lecteurs qui partagent ces convictions. « La vieille école est encore persuadée qu'il n'y a qu'en étant en politique, ou dans ces sphères, que l'on peut avoir du pouvoir, mais, toi, mon cher mari, tu sais combien les mots ont un pouvoir important. Ils peuvent libérer, condamner, manipuler, assassiner... Tu es le meilleur dans ton domaine, s'ils le voient, tant mieux, si non... on leur prouvera que tu avais raison. » Parce que "on" est toujours plus fort que "je", parce que c'est ancré en elle, ce besoin de le soutenir autant qu'il le fait pour elle. Ce respect, cet amour, ce pouvoir que ce genre de relation apporte, il faut le vivre pour le comprendre. Le père de Sophie trouvait ridicule que sa fille fasse de grandes études, persuadé qu'une femme devait être éduquée un minimum, mais pas suffisament que pour risquer de faire de l'ombre à son mari, avec Roman, elle peut s'exprimer, laisser aller sa curiosité, ses envies de perfections, sans jamais ressentir le poids du jugement. Elle est là, la nouvelle génération de sorciers, et elle compte bien tout faire pour que ce qu'elle vit, devienne la norme. Que chacun puisse choisir sa destinée librement et que les générations futures aient toutes les cartes en main pour relever ce monde magique qui tombe lentement en miettes.
« Je... » un bruit sourd dans la cuisine suspend sa phrase, cet elfe de maison a vraiment deux pieds gauches à la place des mains. Heureusement qu'on sait réparer facilement la vaisselle, sans quoi ils devraient en acheter très régulièrement, elle sait que la bestiole nettoie derrière elle, mais ça ne manque jamais de la crisper. « C'est frustrant qu'il n'ait jamais reconnu le talent que tu as, à cause de ces attentes ridicules, mais il s'est montré curieux, je pense qu'on peut prendre ça pour une victoire, non? » S'il y a bien une chose que miss Lacroix a très vite retenu, c'est qu'il était préférable de rester éloignée des histoires de famille, mais c'est plus fort qu'elle; elle qui est si fier de la réussite et de la brillante carrière de son époux, elle voudrait que tous le reconnaisse comme le journaliste percutant et ambitieux qu'il est, c'est pour cela qu'elle s'avance au sujet de cet abonnement au journal. Finalement, en silence, le vieux Duvall aura prit conscience que son petit fils est un homme intelligent, perspicace et talentueux.
Bien sûr qu'elle n'est pas totalement objective, elle l'aime et son regard sera toujours biaisé , mais elle n'est pas aveuglée au point de lui trouver des idées intéressantes, alors que ça ne serait pas le cas. C'est d'ailleur ce qui l'a séduite en premier, ses idées, son intelligence, sa perception de la vie et de la société, toutes ces choses qui résonnaient en elle, qui résonne encore aujourd'hui; elle est persuadée que la ligne éditoriale du Sparkle aura séduit le grand-père de Roman, autant que les nombreux lecteurs qui partagent ces convictions. « La vieille école est encore persuadée qu'il n'y a qu'en étant en politique, ou dans ces sphères, que l'on peut avoir du pouvoir, mais, toi, mon cher mari, tu sais combien les mots ont un pouvoir important. Ils peuvent libérer, condamner, manipuler, assassiner... Tu es le meilleur dans ton domaine, s'ils le voient, tant mieux, si non... on leur prouvera que tu avais raison. » Parce que "on" est toujours plus fort que "je", parce que c'est ancré en elle, ce besoin de le soutenir autant qu'il le fait pour elle. Ce respect, cet amour, ce pouvoir que ce genre de relation apporte, il faut le vivre pour le comprendre. Le père de Sophie trouvait ridicule que sa fille fasse de grandes études, persuadé qu'une femme devait être éduquée un minimum, mais pas suffisament que pour risquer de faire de l'ombre à son mari, avec Roman, elle peut s'exprimer, laisser aller sa curiosité, ses envies de perfections, sans jamais ressentir le poids du jugement. Elle est là, la nouvelle génération de sorciers, et elle compte bien tout faire pour que ce qu'elle vit, devienne la norme. Que chacun puisse choisir sa destinée librement et que les générations futures aient toutes les cartes en main pour relever ce monde magique qui tombe lentement en miettes.
- InvitéInvité
Re: comme un dimanche soir x pv roman
Mer 9 Nov 2022 - 16:50
Peut-il considérer cela comme une victoire ? Oui en effet, si l'on considère cette situation comme d'une bataille. Mais ce n'est pas non plus un triomphe. Il aurait tant aimé que son aïeul reconnaisse qu'il s'était trompé à propos de son petit fils, qu'il avait été bien trop dur à son égard. Roman aurait eu alors énormément de respect envers cet homme s'il avait reconnu ses tords. Mais il avait préféré faire profil bas, et cacher son admiration pour Roman. Ce n'est pas digne d'un homme de ce rang. Peut-être que le petit fils est trop dur à son tour envers son grand-père mais il est important pour lui qu'un homme (ou une femme d'ailleurs) sache reconnaître ses erreurs et de les assumer.
En tout cas, c'est ce qu'il transmettra à ses enfants.
Il hoche la tête face à Sophie. Il ne veut pas forcément lui expliquer tout ce qui se passe dans sa tête et le portrait qu'il est en train de se faire de son grand-père.
"Si un jour je me retrouve dans une telle situation, que je me rends compte d'une erreur de jugement mais que je préfère égoïstement rester sur mon positionnement, s'il te plaît, fait le moi savoir."
D'autant plus lorsqu'ils seront parents, parce que ce jour arrivera.
Sa belle épouse joue son rôle à merveille en le rassurant, en lui remontant le moral. Il voit dans son regard l'admiration qu'elle a pour lui et cela lui suffit à lui donner le sourire. Certes, elle n'est pas objective, mais il sait qu'il a à ses côtés sa meilleure alliée.
Il sait qu'il a des lecteurs fidèles, il ne se prétend pas être le meilleur mais il commence à se faire un nom dans le milieu des sangs purs.
Et il a aussi conscience qu'il s'agit surtout d'une catégorie d'adultes déjà d'un certain âge. Il veut pouvoir conquérir le coeur et l'esprit des jeunes.
"La vieille école comme tu dis est assez facile à séduire."
Surtout avec les idées qui véhiculent dans Sparkle.
"Il y aura toujours des récalcitrant et ils ne me préoccupent pas. Mais il y a du travail à faire chez les plus jeunes."
La jeunesse n'est plus ce qu'elle était. Elle se désullisionne, se pervertie avec les moldus...
"Et par rapport à cela, je n'ai pas encore eu le temps de te l'annoncer mais ma demande d'intervenant en journalisme a été acceptée par le doyen."
En tout cas, c'est ce qu'il transmettra à ses enfants.
Il hoche la tête face à Sophie. Il ne veut pas forcément lui expliquer tout ce qui se passe dans sa tête et le portrait qu'il est en train de se faire de son grand-père.
"Si un jour je me retrouve dans une telle situation, que je me rends compte d'une erreur de jugement mais que je préfère égoïstement rester sur mon positionnement, s'il te plaît, fait le moi savoir."
D'autant plus lorsqu'ils seront parents, parce que ce jour arrivera.
Sa belle épouse joue son rôle à merveille en le rassurant, en lui remontant le moral. Il voit dans son regard l'admiration qu'elle a pour lui et cela lui suffit à lui donner le sourire. Certes, elle n'est pas objective, mais il sait qu'il a à ses côtés sa meilleure alliée.
Il sait qu'il a des lecteurs fidèles, il ne se prétend pas être le meilleur mais il commence à se faire un nom dans le milieu des sangs purs.
Et il a aussi conscience qu'il s'agit surtout d'une catégorie d'adultes déjà d'un certain âge. Il veut pouvoir conquérir le coeur et l'esprit des jeunes.
"La vieille école comme tu dis est assez facile à séduire."
Surtout avec les idées qui véhiculent dans Sparkle.
"Il y aura toujours des récalcitrant et ils ne me préoccupent pas. Mais il y a du travail à faire chez les plus jeunes."
La jeunesse n'est plus ce qu'elle était. Elle se désullisionne, se pervertie avec les moldus...
"Et par rapport à cela, je n'ai pas encore eu le temps de te l'annoncer mais ma demande d'intervenant en journalisme a été acceptée par le doyen."
- Aldous langue fourchueOldieㄨ experimented wizard
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Re: comme un dimanche soir x pv roman
Sam 17 Déc 2022 - 22:18
Son verre de vin à la main, Sophie écoute Roman qui semble plus contrarié qu'il ne l'avoue. Elle sait bien qu'il ne lui cache rien et elle comprend son envie de ne pas s'êpencher d'avantage sur le sujet. Ses relations avec le patriarche Duvall restaient un sujet sensible et vu comme allait la santé de cet homme de nom, ça risquait de rester ainsi pour toujours.
Un sourire amusé nait sur ses lèvres alors que Roman analyse sa propre vie et lui demande d'être franche si jamais il arrivait à se tromper et être obtu au point de ne jamais changer d'avis. Elle pose doucement sa tête sur l'épaule de Roman avant de lui répondre tendrement :
- Je doute sincèrement que tu en ais besoin.
Et après avoir déposé un baiser tiède dans son cou elle ajoute.
- Mais oui, je te le promets.
Roman semble plus décidé à causer de ses espoirs concernant sa carrière que des différents qui pouvaient secouer sa famille. Elle se redresse alors qu'il lui annonce qu'il a décroché un poste à l'université où elle étudie. Son regard dit "félicitation" mais délicatement sensuellement se hisse à califourchon sur son mari et glisse sa main dans sa nuque avant d'affirmer en plongea ses yeux clairs dans ceux du canadien :
- Hungcalf gagne un Professeur particulièrement sexy, dîtes moi...
Un sourire amusé nait sur ses lèvres alors que Roman analyse sa propre vie et lui demande d'être franche si jamais il arrivait à se tromper et être obtu au point de ne jamais changer d'avis. Elle pose doucement sa tête sur l'épaule de Roman avant de lui répondre tendrement :
- Je doute sincèrement que tu en ais besoin.
Et après avoir déposé un baiser tiède dans son cou elle ajoute.
- Mais oui, je te le promets.
Roman semble plus décidé à causer de ses espoirs concernant sa carrière que des différents qui pouvaient secouer sa famille. Elle se redresse alors qu'il lui annonce qu'il a décroché un poste à l'université où elle étudie. Son regard dit "félicitation" mais délicatement sensuellement se hisse à califourchon sur son mari et glisse sa main dans sa nuque avant d'affirmer en plongea ses yeux clairs dans ceux du canadien :
- Hungcalf gagne un Professeur particulièrement sexy, dîtes moi...
- InvitéInvité
Re: comme un dimanche soir x pv roman
Mar 20 Déc 2022 - 20:27
Roman annonce la bonne nouvelle à son épouse. Maintenant, il va pouvoir fouiner un peu plus à Hungcalf et faire sa place, bien que sa présence soit sporadique. Il a déjà au moins un allié sur place, @Ethan Lacroix et lui même partagent le même objectif au fond. Il ne tient qu’à lui maintenant de créer d’autres alliances pour ensuite bouger les choses à l’université.
La réponse de Sophie ne se fait pas attendre. Amusé par ce comportement félin, il sourit tout en levant un sourcil. En parlant de beauté, il avait la chance d’avoir une épouse incroyablement sexy.
« Intervenant, pas professeur, » précisa-t-il.
Pour le moment en tout cas. Peut-être qu’un jour il aura ce poste de professeur mais cela voudrait dire abandonner sa carrière journalistique et il aime trop son métier actuellement pour passer à un autre.
Les mains du Duvall se posent sur le bas du dos de Sophie, et la rapproche un peu plus de lui.
« Dommage que tu ne sois dans le cursus journalistique. »
De toute façon, elle l’a pour mari, amant, ami, complice, alors il doute qu’elle désire en plus qu’il devienne son professeur. Il est déjà tout à elle.
Il pose ses mains de part et d’autre de son visage et le rapproche du sien. Leurs lèvres se rejoignent pour échanger un baiser.
« hum, hum. »
Une petite voix se fait entendre et à contre cœur Roman interrompt cet échange complice et intime. Il tourne la tête vers le petit être aux grandes oreilles.
« Le repas est servi maître."
La réponse de Sophie ne se fait pas attendre. Amusé par ce comportement félin, il sourit tout en levant un sourcil. En parlant de beauté, il avait la chance d’avoir une épouse incroyablement sexy.
« Intervenant, pas professeur, » précisa-t-il.
Pour le moment en tout cas. Peut-être qu’un jour il aura ce poste de professeur mais cela voudrait dire abandonner sa carrière journalistique et il aime trop son métier actuellement pour passer à un autre.
Les mains du Duvall se posent sur le bas du dos de Sophie, et la rapproche un peu plus de lui.
« Dommage que tu ne sois dans le cursus journalistique. »
De toute façon, elle l’a pour mari, amant, ami, complice, alors il doute qu’elle désire en plus qu’il devienne son professeur. Il est déjà tout à elle.
Il pose ses mains de part et d’autre de son visage et le rapproche du sien. Leurs lèvres se rejoignent pour échanger un baiser.
« hum, hum. »
Une petite voix se fait entendre et à contre cœur Roman interrompt cet échange complice et intime. Il tourne la tête vers le petit être aux grandes oreilles.
« Le repas est servi maître."
- InvitéInvité
Re: comme un dimanche soir x pv roman
Mer 25 Jan 2023 - 18:23
16 octobre 2022 ; Résidence Duvall
ft. @Roman Duvall
ft. @Roman Duvall
Savoir que Roman va désormais arpenter les couloirs de l'université lui procure une joie mêlée a énormément de fierté. Bien sûr, il n'est pas professeur, mais être intervenant est un premier pas et il est de notoriété publique qu'Hungcalf ne fait appel qu'à des pointures dans leurs domaines. « Intervenant, professeur, qu'importe, le plus important c'est que tu pourras enfin montrer un bon exemple à cette équipe de bras cassés ». Tu parles de tes pairs, pas des enseignants, la majorité d'entre eux sont plutôt bons, même si certaines matières t'intéressent moins, tu sais le reconnaitre.
Un sourire mutin éclaire le visage de Sophie lorsque son époux lui fait remarquer qu'elle n'est pas dans le bon cursus pour profiter de ses cours, c'est vrai qu'elle n'est pas en journalisme, mais « et si je tenais à venir t'admirer en pleine action, tu n'oserais pas me mettre à la porte tout de même ? » Il y a comme un brin de défi dans son regard, la flamme jamais éteinte de la provocation; elle s'adoucit à son contact, mais elle n'en demeure pas moins un esprit libre.
Plus proche encore, elle répond à son baiser avec passion, il n'y a aucune retenue lorsqu'ils sont ensemble, les mains sur les côtes de son époux, elle les laisse glisser jusqu'au bord de sa chemise, la peau chaude et douce de Roman a portée de pulpe, un grognement d'exaspération retentit dans la pièce alors que la créature annonce le repas. REALLY ? Après un soupire agacé, Sophie se retire des genoux de son mari pour se remettre debout avec la grâce féline qui la caractérise, « rappelle moi de continuer cette conversation plus tard... » dit-elle en souriant, radieuse, elle prend la direction de la salle à manger, la main de Roman solidement ancrée dans la sienne, un sentiment de plénitude. Rien ne pourrait être plus parfait dans sa vie actuellement, mais elle sait que cette situation n'est pas faite pour durer, la pression qui est sur ses épaules ne fera que s'intensifier avec le temps, c'est une évidence.
La table est dressée, le repas est servi de manière très protocolaire, il n'y a aucune raison de revoir ses exigences à la baisse, pas même pour un simple repas à deux. Sophie a toujours eu une relation particulière avec la nourriture, elle n'en retire aucun plaisir la plupart du temps, elle mange parce qu'il le faut, parce qu'on lui a dit qu'une jeune femme en société ne devait pas manger trop, mais qu'il fallait faire honneur à ses hôtes. Au-delà de ça, lorsqu'elle est en cours, ou en garde, il lui arrive fréquemment de ne rien manger pendant une journée, voir plus, c'est là que Roman intervient, il n'est pas rare qu'il lui fasse porter de quoi manger. Depuis qu'ils sont mariés, il a apprit à connaitre son épouse, ses forces, mais aussi ses faiblesses; Sophie prends soin des autres, mais ne prête que peu d'intérêt à sa propre santé et il faudrait que cela change si elle veut porter un enfant un jour. Si elle veut... « Bon appétit », elle picore un morceau de poulet, découpe des morceaux de plus en plus petits, elle essaie de perdre du temps, laissant Roman manger et attendant avec impatience le moment où il aura terminé. « Tu as prévu de retourner voir tes parents prochainement ? » Elle apprécie suffisamment les Duvall que pour s'y intéresser, elle avouera même passer de bons moments dans sa belle-famille.
Un sourire mutin éclaire le visage de Sophie lorsque son époux lui fait remarquer qu'elle n'est pas dans le bon cursus pour profiter de ses cours, c'est vrai qu'elle n'est pas en journalisme, mais « et si je tenais à venir t'admirer en pleine action, tu n'oserais pas me mettre à la porte tout de même ? » Il y a comme un brin de défi dans son regard, la flamme jamais éteinte de la provocation; elle s'adoucit à son contact, mais elle n'en demeure pas moins un esprit libre.
Plus proche encore, elle répond à son baiser avec passion, il n'y a aucune retenue lorsqu'ils sont ensemble, les mains sur les côtes de son époux, elle les laisse glisser jusqu'au bord de sa chemise, la peau chaude et douce de Roman a portée de pulpe, un grognement d'exaspération retentit dans la pièce alors que la créature annonce le repas. REALLY ? Après un soupire agacé, Sophie se retire des genoux de son mari pour se remettre debout avec la grâce féline qui la caractérise, « rappelle moi de continuer cette conversation plus tard... » dit-elle en souriant, radieuse, elle prend la direction de la salle à manger, la main de Roman solidement ancrée dans la sienne, un sentiment de plénitude. Rien ne pourrait être plus parfait dans sa vie actuellement, mais elle sait que cette situation n'est pas faite pour durer, la pression qui est sur ses épaules ne fera que s'intensifier avec le temps, c'est une évidence.
La table est dressée, le repas est servi de manière très protocolaire, il n'y a aucune raison de revoir ses exigences à la baisse, pas même pour un simple repas à deux. Sophie a toujours eu une relation particulière avec la nourriture, elle n'en retire aucun plaisir la plupart du temps, elle mange parce qu'il le faut, parce qu'on lui a dit qu'une jeune femme en société ne devait pas manger trop, mais qu'il fallait faire honneur à ses hôtes. Au-delà de ça, lorsqu'elle est en cours, ou en garde, il lui arrive fréquemment de ne rien manger pendant une journée, voir plus, c'est là que Roman intervient, il n'est pas rare qu'il lui fasse porter de quoi manger. Depuis qu'ils sont mariés, il a apprit à connaitre son épouse, ses forces, mais aussi ses faiblesses; Sophie prends soin des autres, mais ne prête que peu d'intérêt à sa propre santé et il faudrait que cela change si elle veut porter un enfant un jour. Si elle veut... « Bon appétit », elle picore un morceau de poulet, découpe des morceaux de plus en plus petits, elle essaie de perdre du temps, laissant Roman manger et attendant avec impatience le moment où il aura terminé. « Tu as prévu de retourner voir tes parents prochainement ? » Elle apprécie suffisamment les Duvall que pour s'y intéresser, elle avouera même passer de bons moments dans sa belle-famille.
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Re: comme un dimanche soir x pv roman
Lun 30 Jan 2023 - 10:01
Si elle venait en cours de journalisme, est-ce qu'il l'accepterait ? Évidemment. Mais s'il y a la professeur non loin, pas dit qu'elle soit du même avis. Il ne doute pas que Sophie puisse tenter ce genre de chose. Encore faut-il que son emploi du temps concorde avec le sien.
Il ne lui répond pas. Il n'y a pas besoin car elle sait qu'elle sera la bienvenue si elle le désire.
Elle a déjà été témoin de discours, alors cela ne le perturbera pas si elle est présente.
Les deux amants se rapprochent et leurs lèvres se rejoignent à nouveau, oubliant l'espace d'un instant ce qui les entoure.
Sauf qu'il y a l'elfe de maison qui les interromp pour leur signaler que le dîner est prêt.
Ils sont légèrement frustrés mais Roman a aussi faim.
"Je n'y manquerai pas...", lui répondit-il avec un léger sourire et un regard complice envers Sophie.
Ils s'installent à table, avec leurs verres de vin.
La délicieuse odeur ouvre l'appétit au Duvall. Contrairement à Sophie, il prend plaisir à manger, à se délecter des différentes saveurs, sans en abuser bien sûr.
"Bon appétit."
Roman commence à manger tandis que Sophie prend le temps de découper sa viande. Il n'est pas dupe. Il espère au moins qu'elle va manger quelque chose.
"Oui. Vu la situation, je vais certainement y retourner dans une semaine, ou peut-être deux, en fonction de mon emploi du temps."
Il but une gorgée de vin et reposa son verre exactement là où il était.
"Je suis désolé que le sujet de la grossesse se soit fait sentir encore une fois. Remarque ils progressent, ce fut implicite cette fois-ci."
Avec sa belle soeur enceinte, le sujet fut abordé sans pour autant être directement dans la demande envers Sophie. Ses parents savent très bien qu'elle prévoir de terminer ses études avant de fonder une famille.
Mais la femme de son frère peut être quelque fois maladroite et un peu trop curieuse.
"Anna ne t'a pas trop importuné ?"
Lors de leur promenade, il ne sait si elles ont échangé sur ce sujet car il était à ce moment là avec son père et son frère.
Il ne lui répond pas. Il n'y a pas besoin car elle sait qu'elle sera la bienvenue si elle le désire.
Elle a déjà été témoin de discours, alors cela ne le perturbera pas si elle est présente.
Les deux amants se rapprochent et leurs lèvres se rejoignent à nouveau, oubliant l'espace d'un instant ce qui les entoure.
Sauf qu'il y a l'elfe de maison qui les interromp pour leur signaler que le dîner est prêt.
Ils sont légèrement frustrés mais Roman a aussi faim.
"Je n'y manquerai pas...", lui répondit-il avec un léger sourire et un regard complice envers Sophie.
Ils s'installent à table, avec leurs verres de vin.
La délicieuse odeur ouvre l'appétit au Duvall. Contrairement à Sophie, il prend plaisir à manger, à se délecter des différentes saveurs, sans en abuser bien sûr.
"Bon appétit."
Roman commence à manger tandis que Sophie prend le temps de découper sa viande. Il n'est pas dupe. Il espère au moins qu'elle va manger quelque chose.
"Oui. Vu la situation, je vais certainement y retourner dans une semaine, ou peut-être deux, en fonction de mon emploi du temps."
Il but une gorgée de vin et reposa son verre exactement là où il était.
"Je suis désolé que le sujet de la grossesse se soit fait sentir encore une fois. Remarque ils progressent, ce fut implicite cette fois-ci."
Avec sa belle soeur enceinte, le sujet fut abordé sans pour autant être directement dans la demande envers Sophie. Ses parents savent très bien qu'elle prévoir de terminer ses études avant de fonder une famille.
Mais la femme de son frère peut être quelque fois maladroite et un peu trop curieuse.
"Anna ne t'a pas trop importuné ?"
Lors de leur promenade, il ne sait si elles ont échangé sur ce sujet car il était à ce moment là avec son père et son frère.
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Re: comme un dimanche soir x pv roman
Mar 21 Fév 2023 - 16:22
16 octobre 2022 ; Résidence Duvall
ft. @Roman Duvall
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« Bon appetit » réplique du bout des lèvres dans un demi sourire, il sait qu'elle ne va pas profiter, mais pour lui elle fera semblant, elle fera un effort. Voir Roman se délecter de la sorte intrigue Sophie, ça l'amuse aussi, elle aimerait pouvoir dire qu'elle comprend cette passion que certaines personnes peuvent avoir pour la nourriture, mais en dehors d'un bon verre de vin hors de prix, elle n'apprécie guère les mets qu'on lui propose à leur juste valeur. Un hochement de tête vient accueillir la réponse de Roman au sujet de sa prochaine visite à sa famille, elle s'y attendait, ces visites vont certainement se faire plus régulière jusqu'à ... la pensée de l'enterrement du grand-père de Roman vient assombrir ses pensées, la ramenant à l'enterrement de son propre père et aux questions qui lui torturent parfois l'esprit.
"Anna ne t'a pas trop importuné ?" « Hum ? » Ramenée à la réalité par la question de Roman, Sophie soupire en souriant, « non, elle est gentille et je sais que ses questions ne sont jamais posées de manière malveillante, mais j'ai eu droit à un plaidoyer complet sur "pourquoi est-ce que cela serait bénéfique pour nos enfants s'ils pouvaient grandir avec un âge rapproché et les bénéfices que cela apporterait à notre couple" » Elle lance un regard amusé à son mari, personne ne sait à quel point ils sont complices dans l'intimité, leur couple est entouré de mystère et de pudeur pour beaucoup, si la loyauté qu'ils ont l'un pour l'autre est visible aux yeux de tous, pour ce qui est de l'amour et la tendresse, de la complicité et le respect, c'est autre chose. « Je sais que nos enfants sont attendus, j'en ai encore eu la preuve tout a l'heure ». Parfois ça l'énerve, elle qui voudrait faire une belle carrière avant de pouponner, elle qui fait partie de ces femmes qui pensent que les enfants ne sont pas une priorité ou un but, elle n'a jamais voulu qu'une vie dépende d'elle, au fond, elle craint surtout de ne pas être à la hauteur.
"Anna ne t'a pas trop importuné ?" « Hum ? » Ramenée à la réalité par la question de Roman, Sophie soupire en souriant, « non, elle est gentille et je sais que ses questions ne sont jamais posées de manière malveillante, mais j'ai eu droit à un plaidoyer complet sur "pourquoi est-ce que cela serait bénéfique pour nos enfants s'ils pouvaient grandir avec un âge rapproché et les bénéfices que cela apporterait à notre couple" » Elle lance un regard amusé à son mari, personne ne sait à quel point ils sont complices dans l'intimité, leur couple est entouré de mystère et de pudeur pour beaucoup, si la loyauté qu'ils ont l'un pour l'autre est visible aux yeux de tous, pour ce qui est de l'amour et la tendresse, de la complicité et le respect, c'est autre chose. « Je sais que nos enfants sont attendus, j'en ai encore eu la preuve tout a l'heure ». Parfois ça l'énerve, elle qui voudrait faire une belle carrière avant de pouponner, elle qui fait partie de ces femmes qui pensent que les enfants ne sont pas une priorité ou un but, elle n'a jamais voulu qu'une vie dépende d'elle, au fond, elle craint surtout de ne pas être à la hauteur.
- InvitéInvité
Re: comme un dimanche soir x pv roman
Dim 26 Mar 2023 - 15:07
Le repas est délicieux, comme à chaque fois. Son elfe de maison a un don pour la cuisine, c'est pour cela qu'il le garde. Tout en dégustant son plat, Roman discute avec son épouse de leur séjour chez ses parents. Le sujet des enfants est plutôt épineux pour Sophie, et il se doute que sa belle soeur, Anna, étant elle-même enceinte a dû aborder le sujet. Il préfère donc savoir si elle n'a tout de même pas trop été insistante.
"Tiens donc."
Il lui renvoit ce regard complice. Comme si leur couple allait mal...Évidemment qu'en public, il y a peu de démonstration affectives. Cela pourrait prêter à croire qu'il y a un soucis dans leur couple. Mais il va certainement mieux que celui de son frère.
Les propos tenus par Anna ne la concernent-ils pas ?
Il boit une gorgée de son vin. Il a déjà mangé la moitié de son assiette alors que Sophie y a à peine touché.
Et cela lui fait de la peine à chaque fois. Il ne comprend pas ce dégoût qu'elle a pour la nourriture.
Alors il prend son assiette et ses couverts et vient s'installer à côtés d'elle, chose qu'il ne s'autoriserait pas en public.
"En attendant, il faut prendre soin de toi, et je suis là pour ça."
Il pique quelques légumes avec la fourchette de son épouse et la présente près de sa bouche.
"Pour chaque bouchée avalée : un baiser."
Il faut qu'elle mange. Elle est en étude de médicomagie, elle est la mieux placée pour savoir que son corps a besoin de nourriture.
Et s'il faut l'encourager de quelque façon que ce soit, il est là pour ça. Ils sont seuls, alors il peut se le permettre.
"Tiens donc."
Il lui renvoit ce regard complice. Comme si leur couple allait mal...Évidemment qu'en public, il y a peu de démonstration affectives. Cela pourrait prêter à croire qu'il y a un soucis dans leur couple. Mais il va certainement mieux que celui de son frère.
Les propos tenus par Anna ne la concernent-ils pas ?
Il boit une gorgée de son vin. Il a déjà mangé la moitié de son assiette alors que Sophie y a à peine touché.
Et cela lui fait de la peine à chaque fois. Il ne comprend pas ce dégoût qu'elle a pour la nourriture.
Alors il prend son assiette et ses couverts et vient s'installer à côtés d'elle, chose qu'il ne s'autoriserait pas en public.
"En attendant, il faut prendre soin de toi, et je suis là pour ça."
Il pique quelques légumes avec la fourchette de son épouse et la présente près de sa bouche.
"Pour chaque bouchée avalée : un baiser."
Il faut qu'elle mange. Elle est en étude de médicomagie, elle est la mieux placée pour savoir que son corps a besoin de nourriture.
Et s'il faut l'encourager de quelque façon que ce soit, il est là pour ça. Ils sont seuls, alors il peut se le permettre.
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Re: comme un dimanche soir x pv roman
Lun 17 Avr 2023 - 17:54
16 octobre 2022 ; Résidence Duvall
ft. @Roman Duvall
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Tiens donc, son époux semble aussi amusé qu'elle par les sous-entendu d'Anna, mais semble également en tirer les même conclusions, leur mariage n'est pas aussi parfait qu'ils le laissent paraitre. C'est aussi pour ça que Roman et Sophie n'ont jamais été friands de démonstrations publique, si tout va bien c'est parfait, mais au moindre nuage, tout le monde tire ses propres conclusions, c'est la porte ouverte aux rumeurs. Et par Merlin, il ne faudrait pas que la plus petite rumeur n'arrive aux oreilles de la vieille Sieglied. Sophie préfèrerait encore passer une semaine entourée de stupides moldus plutôt que de subir les remontrances de sa grand-mère.
Si elle pensait que Roman ne remarquerait pas son petit jeu pour ne pas manger, c'est loupé; n'est-ce pas la principale qualité d'un bon journaliste que de bien observer son environnement ? Il prend son assiette et ses couverts sous le regard curieux de la blonde qui plisse légèrement le front et vient s'installer a ses côtés. Elle ne peut retenir un sourire. C'est plus fort qu'elle. Silencieuse, Sophie l'écoute, le regarde, et soupire en levant les yeux vers le plafond. « J'ai suffisamment mangé ce midi, Roman. Mais je veux bien les baisers en guise de motivation pour la semaine qui arrive », le ton de sa voix passe de dur et froid à enjôleur, elle joue avec les intonations, son regard suivant la même courbe. Elle sait qu'il fait ça pour son bien, par moment sa maigreur alerte des collègues, mais elle connait son corps, elle en prend soin a sa manière. Ils ne connaissent pas les supers aliments ? Si elle pouvait, elle ne se nourrirait que de graines et végétaux, mais il y a toujours quelqu'un pour lui invectiver de "manger quelque chose pour ne pas perdre un os".
Le menton posé sur le dos de sa main, elle ne lâchera rien et s'il est dans un bon jour, Roman peut se montrer très têtu aussi, autant dire que c'est un duel qui peut durer longtemps. Elle l'observe en silence, attendant simplement qu'il plie, elle sait la chance qu'elle a d'avoir un mari comme Roman qui est a l'écoute des besoins de sa femme, de ses envies, il lui passe beaucoup de caprices car au fond, peu de maris auraient accepté de vivre dans des villes différentes, accepté la relation libre qu'elle demandait, comme lui le fait. Beaucoup de jeunes sorcières dans sa situation ont dû arrêter leurs études pour se marier et faire des enfants, sans qu'on ne leur demande leur avis. Alors, oui, elle remercie le destin d'avoir mis cet homme merveilleux sur son chemin, même si elle joue souvent avec les limites et ses nerfs. « Alors, ce baiser ? » Elle le provoque, et ça l'amuse.
Si elle pensait que Roman ne remarquerait pas son petit jeu pour ne pas manger, c'est loupé; n'est-ce pas la principale qualité d'un bon journaliste que de bien observer son environnement ? Il prend son assiette et ses couverts sous le regard curieux de la blonde qui plisse légèrement le front et vient s'installer a ses côtés. Elle ne peut retenir un sourire. C'est plus fort qu'elle. Silencieuse, Sophie l'écoute, le regarde, et soupire en levant les yeux vers le plafond. « J'ai suffisamment mangé ce midi, Roman. Mais je veux bien les baisers en guise de motivation pour la semaine qui arrive », le ton de sa voix passe de dur et froid à enjôleur, elle joue avec les intonations, son regard suivant la même courbe. Elle sait qu'il fait ça pour son bien, par moment sa maigreur alerte des collègues, mais elle connait son corps, elle en prend soin a sa manière. Ils ne connaissent pas les supers aliments ? Si elle pouvait, elle ne se nourrirait que de graines et végétaux, mais il y a toujours quelqu'un pour lui invectiver de "manger quelque chose pour ne pas perdre un os".
Le menton posé sur le dos de sa main, elle ne lâchera rien et s'il est dans un bon jour, Roman peut se montrer très têtu aussi, autant dire que c'est un duel qui peut durer longtemps. Elle l'observe en silence, attendant simplement qu'il plie, elle sait la chance qu'elle a d'avoir un mari comme Roman qui est a l'écoute des besoins de sa femme, de ses envies, il lui passe beaucoup de caprices car au fond, peu de maris auraient accepté de vivre dans des villes différentes, accepté la relation libre qu'elle demandait, comme lui le fait. Beaucoup de jeunes sorcières dans sa situation ont dû arrêter leurs études pour se marier et faire des enfants, sans qu'on ne leur demande leur avis. Alors, oui, elle remercie le destin d'avoir mis cet homme merveilleux sur son chemin, même si elle joue souvent avec les limites et ses nerfs. « Alors, ce baiser ? » Elle le provoque, et ça l'amuse.
- InvitéInvité
Re: comme un dimanche soir x pv roman
Jeu 4 Mai 2023 - 20:45
Est-ce qu’elle a réellement suffisamment mangé ce midi ? Il sait bien que non. Elle a fait honneur au repas servi dans sa famille mais elle n’a pas, et de loin, terminé ses assiettes. Et ce n’est pas parce qu’il discutait avec son frère ou ses parents, qu’il ne l’a pas remarqué.
Ce n’est pas qu’il la surveille sur ce sujet, il ne peut de toute façon pas le faire lorsqu’il n’est pas près d’elle. Il est aussi conscient qu’il existe différents appétits. Mais il faut dire qu’elle a vraiment un appétit de moineau. Et quelque fois, cela l’inquiète. Alors vu qu’ils sont tous les deux, autant en profiter pour la motiver à avaler plus que deux bouchées.
Évidemment, elle ne se laisse pas faire. Cela ne l’étonne guère. Elle change la donne. Croit-elle vraiment qu’il va facilement capituler ?
« Il viendra quand tu auras avalé ce qu’il y a sur cette fourchette. »
Il se redresse, bois un peu de vin, et termine son assiette, en attendant qu’elle daigne manger cette petite bouchée. Il a tout son temps. C’est dommage, cela va être vite froid. Mais ce n’est pas une excuse pour ne pas absorber cette nourriture car en tant que sorciers, ce n’est pas compliqué de la réchauffer rapidement.
Elle tient bon. Elle peu être sacrément têtue quand elle s’y met.
Il décide alors de passer au niveau supérieur. Il se lève se positionne derrière elle. Il se penche pour attraper la fourchette d’une main, et de l’autre dégage le cou de son épouse en amenant sa chevelure vers une épaule.
Il lui susurre à l’oreille :
« Trois bouchée, et on passe au dessert. »
Evidemment, il lui parle d’un dessert tout autre qu’alimentaire, beaucoup plus intéressant pour elle (et pour lui).
Ce n’est pas qu’il la surveille sur ce sujet, il ne peut de toute façon pas le faire lorsqu’il n’est pas près d’elle. Il est aussi conscient qu’il existe différents appétits. Mais il faut dire qu’elle a vraiment un appétit de moineau. Et quelque fois, cela l’inquiète. Alors vu qu’ils sont tous les deux, autant en profiter pour la motiver à avaler plus que deux bouchées.
Évidemment, elle ne se laisse pas faire. Cela ne l’étonne guère. Elle change la donne. Croit-elle vraiment qu’il va facilement capituler ?
« Il viendra quand tu auras avalé ce qu’il y a sur cette fourchette. »
Il se redresse, bois un peu de vin, et termine son assiette, en attendant qu’elle daigne manger cette petite bouchée. Il a tout son temps. C’est dommage, cela va être vite froid. Mais ce n’est pas une excuse pour ne pas absorber cette nourriture car en tant que sorciers, ce n’est pas compliqué de la réchauffer rapidement.
Elle tient bon. Elle peu être sacrément têtue quand elle s’y met.
Il décide alors de passer au niveau supérieur. Il se lève se positionne derrière elle. Il se penche pour attraper la fourchette d’une main, et de l’autre dégage le cou de son épouse en amenant sa chevelure vers une épaule.
Il lui susurre à l’oreille :
« Trois bouchée, et on passe au dessert. »
Evidemment, il lui parle d’un dessert tout autre qu’alimentaire, beaucoup plus intéressant pour elle (et pour lui).
- InvitéInvité
Re: comme un dimanche soir x pv roman
Ven 23 Juin 2023 - 10:43
16 octobre 2022 ; Résidence Duvall
ft. @Roman Duvall
ft. @Roman Duvall
Ses jolies pupilles se lèvent vers le plafond de leur salle à manger. Qu'est-ce qu'il peut être exaspérant quand il s'y met. Sophie lance un regard résigné à la fourchette, elle a bien compris qu'elle ne gagnerait pas cette fois. « Vous n'êtes pas drôle monsieur Duvall ». Elle l'observe un instant, il prend une gorgée de vin, termine son assiette, tandis qu'elle n'a pas encore avalé la minuscule quantité de nourriture présente sur la fourchette. Roman se lève sous le regard curieux de son épouse, il vient se positionner derrière et lorsqu'il déplace ses cheveux, un frisson vient lui parcourir le corps. Elle n'a vraiment pas envie de ce type de nourriture, c'est officiel.
Trois bouchées et on passe au dessert, tout, tant dans la voix que dans le non-verbal, indique que le dessert ne sera pas a base de nourriture. Le blonde sourit, et avale une première bouchée. Ce n'est pas si compliqué que ça. Enfin, a ce qu'ils disent. Pour elle c'est difficile, elle lutte avec le dégout, mais les encouragements de Roman l'aide même à faire descendre une seconde fourchette. « J'aime quand tu prends les choses en main... » Mademoiselle Lacroix essaie de gagner du temps, histoire de laisser descendre un peu. Elle laisse tomber sa tête contre le torse de son mari, le regard charmeur, les lèvres étirées dans un sourire complice, coquin, oublie la dernière bouchée et passons au dessert. « La prochaine fois qu'un membre de ta famille me demande quand est-ce qu'on va se décider a faire un enfant, je répondrais que tu préfères m'engraisser que me travailler à ta descendance ». Est-ce que jouer sur le sentimentale fera une différence ? Probablement pas, mais ça l'amuse de jouer sur la corde sensible.
Trois bouchées et on passe au dessert, tout, tant dans la voix que dans le non-verbal, indique que le dessert ne sera pas a base de nourriture. Le blonde sourit, et avale une première bouchée. Ce n'est pas si compliqué que ça. Enfin, a ce qu'ils disent. Pour elle c'est difficile, elle lutte avec le dégout, mais les encouragements de Roman l'aide même à faire descendre une seconde fourchette. « J'aime quand tu prends les choses en main... » Mademoiselle Lacroix essaie de gagner du temps, histoire de laisser descendre un peu. Elle laisse tomber sa tête contre le torse de son mari, le regard charmeur, les lèvres étirées dans un sourire complice, coquin, oublie la dernière bouchée et passons au dessert. « La prochaine fois qu'un membre de ta famille me demande quand est-ce qu'on va se décider a faire un enfant, je répondrais que tu préfères m'engraisser que me travailler à ta descendance ». Est-ce que jouer sur le sentimentale fera une différence ? Probablement pas, mais ça l'amuse de jouer sur la corde sensible.
- InvitéInvité
Re: comme un dimanche soir x pv roman
Jeu 13 Juil 2023 - 20:56
Le chantage a l’air de fonctionner. Elle capitule et mange les deux fourchettes. Pendant ce temps, Roman se redresse et lui masse les épaules. Il a maintenant hâte qu’elle termine, pour pouvoir passer à la suite. Elle prend son temps. Ne serait-elle pas en train de jouer avec lui à son tour ? Elle sait le faire languir aussi. Sa tête contre son torse, ses yeux bleus levés vers lui, elle tente de le provoquer.
« Ah mais l’un n’empêche pas l’autre Mme Duvall. Je ne suis pas médicomage, mais il me semble que pour pouvoir porter un enfant, voir même en concevoir un, il faut que la mère soit en bonne santé. Et une bonne santé, passe par une bonne nutrition. »
Elle le sait pertinemment, il ne lui apprend rien. Mais elle l’a cherché, alors elle l’a trouvé. Est-ce qu’il lui épargne la dernière ?
Oui. Il prend sa main, et l’invite à se relever.
« Mais peut-être que je n’y travaille pas assez en effet. »
Leurs emplois du temps sont tout de même bien chargés et les occasions où ils sont ensemble en intimité ne sont pas fréquentes.
Il la rapproche et la serre contre lui, une main dans le creux de son dos, et l’autre posée sur sa joue.
Il l’embrasse tendrement, amoureusement. Ce dessert là est tout de même beaucoup plus intéressant que celui qui allait être proposé par l’elfe de maison.
«Que dis-tu d'une douche bien chaude ? »
Cela lui fera le plus grand bien et c’est encore mieux lorsqu’il est accompagné de sa sublime épouse.
« Ah mais l’un n’empêche pas l’autre Mme Duvall. Je ne suis pas médicomage, mais il me semble que pour pouvoir porter un enfant, voir même en concevoir un, il faut que la mère soit en bonne santé. Et une bonne santé, passe par une bonne nutrition. »
Elle le sait pertinemment, il ne lui apprend rien. Mais elle l’a cherché, alors elle l’a trouvé. Est-ce qu’il lui épargne la dernière ?
Oui. Il prend sa main, et l’invite à se relever.
« Mais peut-être que je n’y travaille pas assez en effet. »
Leurs emplois du temps sont tout de même bien chargés et les occasions où ils sont ensemble en intimité ne sont pas fréquentes.
Il la rapproche et la serre contre lui, une main dans le creux de son dos, et l’autre posée sur sa joue.
Il l’embrasse tendrement, amoureusement. Ce dessert là est tout de même beaucoup plus intéressant que celui qui allait être proposé par l’elfe de maison.
«Que dis-tu d'une douche bien chaude ? »
Cela lui fera le plus grand bien et c’est encore mieux lorsqu’il est accompagné de sa sublime épouse.
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