- James BlackthornADMIN ☽ ○ ☾ Ice child of Gaïa
- » parchemins postés : 2107
» miroir du riséd : Lucky Blue Smith
» crédits : ECK ou Google est mon ami
» multinick : L'hermine (Diane De C.), le moineau (Luan N.), le soleil-arc-en-ciel (Samara G-P.)
» âge : 26 ans (26/06/1998)
» situation : marié à Tia Nsar le 11/08/2024, futur père d'un bébé-amour prévu pour février 2025 (et amoureux de plusieurs personnes, chut)
» nature du sang : sang-pur
» particularité : cherche à apprendre l'occlumancie
» année d'études : 7e année
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Nouvel an - En aparté - ft. Cat (terminé)
Mar 3 Jan 2023 - 20:37
L’oubliette a disparu de ton verre à une vitesse fulgurante, mais tu ne saurais dire si ses effets se font sentir immédiatement ou non et à vrai dire, tu n’es pas prêt à en rester là. Pas ce soir. T’hésites pourtant sur la conduite à tenir, ton verre vide tournant entre tes doigts. Ca fait pas dix minutes que t’es là, t’es déjà prêt à commander autre chose… Il est beau, l’héritier parfait, tiens ! Mais depuis quand t’es un héritier parfait, finalement ?
Tu reposes ton verre vide, encore hésitant. Ta chevalière tourne à sa place entre tes doigts. IV. Le quatrième. Le dispensable quatrième. Un deuxième oubliette ? T’as pas l’impression que ça serve à grand chose - la faute à ton habitude des plantes ? Ou peut-être est-ce encore tôt… - et tu scrutes la carte te demandant si tu pourrais réellement sentir davantage de saveurs avec un amortentia que tu n’en décèles d’ordinaire. Tu passes alors commande, prenant le temps d’en humer les fragrances avant de le porter à tes lèvres. Tu dois bien avouer que les saveurs obtiennent rapidement ton adhésion, et outre ton désir d’ivres - et d’oubli - le plaisir de tes papilles se trouve comblé.
Pas que lui, d’ailleurs : le parfum de lavande que tu chéris tant parviens bientôt à ton nez, avant même que tu ne décèles le pas de ta si chère luciole approchant du bar. Et plus encore que d’ordinaire, tu la trouves sublimes dans cette robe bustier sombre égayé de papillons. Ton regard la détaille, sans que tu parviennes à rompre ce silence que tes révélations ont instaurées, mais tu ne sais plus le détacher d’elle, de peur, peut-être, de la voir s’évanouir dans les airs si tu le détournais ne serait-ce qu’un instant.
@Cataleya Blackthorn
Tu reposes ton verre vide, encore hésitant. Ta chevalière tourne à sa place entre tes doigts. IV. Le quatrième. Le dispensable quatrième. Un deuxième oubliette ? T’as pas l’impression que ça serve à grand chose - la faute à ton habitude des plantes ? Ou peut-être est-ce encore tôt… - et tu scrutes la carte te demandant si tu pourrais réellement sentir davantage de saveurs avec un amortentia que tu n’en décèles d’ordinaire. Tu passes alors commande, prenant le temps d’en humer les fragrances avant de le porter à tes lèvres. Tu dois bien avouer que les saveurs obtiennent rapidement ton adhésion, et outre ton désir d’ivres - et d’oubli - le plaisir de tes papilles se trouve comblé.
Pas que lui, d’ailleurs : le parfum de lavande que tu chéris tant parviens bientôt à ton nez, avant même que tu ne décèles le pas de ta si chère luciole approchant du bar. Et plus encore que d’ordinaire, tu la trouves sublimes dans cette robe bustier sombre égayé de papillons. Ton regard la détaille, sans que tu parviennes à rompre ce silence que tes révélations ont instaurées, mais tu ne sais plus le détacher d’elle, de peur, peut-être, de la voir s’évanouir dans les airs si tu le détournais ne serait-ce qu’un instant.
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Re: Nouvel an - En aparté - ft. Cat (terminé)
Mar 3 Jan 2023 - 22:04
Les mains ramenée à son chignon pour en libérer une épaisse cascade de feu, Cataleya aiguise sa démarche sur le chemin qui la sépare de James et se fait plus féline encore. Plus altière, aussi. Ses hanches roulent sous les caresses de la musique et, si elle croise le regard de @Miguel Pajares au détour de cette immense foule, se perd longuement sur les contours de son entêtant sourire, l'inquiétude claque suffisamment fort pour la détourner de ce blanc chevalier. La rappeler à l'ordre. D'autant plus qu'elle le ressent jusque dans ses tripes, là, le regard de James se tourner vers elle.
Le cœur éclaterait presque tant l'image que lui renvoi le pokeby est déchirante. L'allure est morne, le regard las, et il est évident qu'il s'est mis en tête de concurrencer la dette de sommeil que cultivait si assidûment sa rousse. Difficile d'imaginer l'état qui l'étreindrait si elle n'avait pas su contenir son fiel ce soir là, si elle avait versé dans l'animosité caractéristique qu'on lui connaissait. Si elle n'avait pas sû rassembler tout l'amour qu'elle lui portait pour lui, l'enlacer bienveillante et pardonner cette idylle traîtresse en quelques seconde à peine. Pourtant, plus Cataleya usait de douceur, plus elle ravalait ses larmes pour jouer de sourire, et plus elle avait l'effroyable sensation que ce n'était pas assez pour gommer la culpabilité qui rongeait son blond.
Alors, la lufkin opta pour une seconde stratégie, clairement pas à l'aise à l'idée de verser dans le câlin devant autant de monde. Sa commande passé au bar, elle prit l'initiative de s'y adosser, observant un temps Wyatt au loins avant de daigner se tourner vers James, une main effleurant à peine son bras.
« Que fais un si charmant jeune homme, ici, loin de ma sublime compagnie ? » Le ton charme, la note se fait sensuelle, le jeté de cheveux digne d'une publicité pour un shampoing luxieux mais Cataleya vire au rouge pivoine lorsqu'elle entend la voix de @Peter Drummond raisonner là, derrière elle. Qu'est-ce qu-. « C’est sympa de vous voir ici, tous les deux. ». Est-ce que ce con venait de briser son élan de confiance et de séduction ? Est-ce qu'il venait, vraiment, de pourrir son groove ? Et si elle hésite encore entre lui jeter son Keeper au visage pour la peine et le noyer sous la tireuse de bièreaubeurre, force est d'admettre qu'elle a perdu toute consistance en trois seconde Cataleya, et bredouillerait presque. Clairement honteuse à l'idée que Peter ait pu entendre cette tentative de drague clairement piqué à Wyatt. Le geste se substitue alors brusquement à la parole, et si elle lutte un peu pour récupérer ses verres, c'est soudainement qu'elle pointe Maximilien du bout de l'index dans un claquement de doigt autoritaire, comme pour chasser cet intrus. Non mais !
« Je disais donc... Mince. » Voilà, elle est perturbée maintenant, merci Peter ! Et c'est brusquement qu'elle agite ses mains devant elle comme pour faire signe d'oublier la situation car elle allait la réitérer, plus proprement. Inspire, expire, tu t'adosses au bar comme la reine que tu es est on reprend. Le jeté de cheveux est toujours autant superbe mais son regard trop doux contraste avec la lascivité évidente qu'elle tente d'instaurer. « Je peux vous offrir un verre, Monsieur Blackthorn ? »
En plus de celui qu'il tenait déjà entre ses doigts, tu veux dire Cat ?
Le cœur éclaterait presque tant l'image que lui renvoi le pokeby est déchirante. L'allure est morne, le regard las, et il est évident qu'il s'est mis en tête de concurrencer la dette de sommeil que cultivait si assidûment sa rousse. Difficile d'imaginer l'état qui l'étreindrait si elle n'avait pas su contenir son fiel ce soir là, si elle avait versé dans l'animosité caractéristique qu'on lui connaissait. Si elle n'avait pas sû rassembler tout l'amour qu'elle lui portait pour lui, l'enlacer bienveillante et pardonner cette idylle traîtresse en quelques seconde à peine. Pourtant, plus Cataleya usait de douceur, plus elle ravalait ses larmes pour jouer de sourire, et plus elle avait l'effroyable sensation que ce n'était pas assez pour gommer la culpabilité qui rongeait son blond.
Alors, la lufkin opta pour une seconde stratégie, clairement pas à l'aise à l'idée de verser dans le câlin devant autant de monde. Sa commande passé au bar, elle prit l'initiative de s'y adosser, observant un temps Wyatt au loins avant de daigner se tourner vers James, une main effleurant à peine son bras.
« Que fais un si charmant jeune homme, ici, loin de ma sublime compagnie ? » Le ton charme, la note se fait sensuelle, le jeté de cheveux digne d'une publicité pour un shampoing luxieux mais Cataleya vire au rouge pivoine lorsqu'elle entend la voix de @Peter Drummond raisonner là, derrière elle. Qu'est-ce qu-. « C’est sympa de vous voir ici, tous les deux. ». Est-ce que ce con venait de briser son élan de confiance et de séduction ? Est-ce qu'il venait, vraiment, de pourrir son groove ? Et si elle hésite encore entre lui jeter son Keeper au visage pour la peine et le noyer sous la tireuse de bièreaubeurre, force est d'admettre qu'elle a perdu toute consistance en trois seconde Cataleya, et bredouillerait presque. Clairement honteuse à l'idée que Peter ait pu entendre cette tentative de drague clairement piqué à Wyatt. Le geste se substitue alors brusquement à la parole, et si elle lutte un peu pour récupérer ses verres, c'est soudainement qu'elle pointe Maximilien du bout de l'index dans un claquement de doigt autoritaire, comme pour chasser cet intrus. Non mais !
« Je disais donc... Mince. » Voilà, elle est perturbée maintenant, merci Peter ! Et c'est brusquement qu'elle agite ses mains devant elle comme pour faire signe d'oublier la situation car elle allait la réitérer, plus proprement. Inspire, expire, tu t'adosses au bar comme la reine que tu es est on reprend. Le jeté de cheveux est toujours autant superbe mais son regard trop doux contraste avec la lascivité évidente qu'elle tente d'instaurer. « Je peux vous offrir un verre, Monsieur Blackthorn ? »
En plus de celui qu'il tenait déjà entre ses doigts, tu veux dire Cat ?
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» situation : marié à Tia Nsar le 11/08/2024, futur père d'un bébé-amour prévu pour février 2025 (et amoureux de plusieurs personnes, chut)
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Re: Nouvel an - En aparté - ft. Cat (terminé)
Mer 4 Jan 2023 - 9:03
Elle est magnifique. Sublime dans cet écrin soyeux, cette cascade de feu contrastant avec l'obscurité de l'étoffe. Le contact pourtant ténu de sa main sur ton bras te grise plus qu'il ne faudrait - l'amortensia commence-t-il à faire effet ? - et tu réprimes un frisson.
« Que fais un si charmant jeune homme, ici, loin de ma sublime compagnie ? »
En voilà une bonne question à laquelle tu peines à répondre, hypnotisé par chacun de ses gestes, transi de sa seule présence près de toi. L'instant est magique, idyllique... Et comme un disque dont le saphir dérape soudainement, la réalité vous rattrape subitement quand votre cousin débarque, charmeur auprès des serveurs, et vous aborde sans prendre de pincettes.
« C’est sympa de vous voir ici, tous les deux. »
Tu relèves la tête, percevant sans mal le trouble de ta luciole, qui répond par son autorité habituelle, et envoie instantanément le corbeau voler ailleurs. Tu sourirais presque, toujours aussi amusé de sa poigne et de la façon dont nombre s'y plient.
« Je disais donc... Mince. »
Elle est perturbée, et tente de rassembler sa contenance éparpillée par l'arrivée fracassante de Peter. Toi, tu ne détaches plus ton regard, plus doux que morne à cet instant, de ton ancienne fiancée. Par Merlin, est-ce qu'elle venait réellement de tenter une amorce de drague éhontée à ton encontre ?
« Je peux vous offrir un verre, Monsieur Blackthorn ? »
Ton verre n'est pas vide entre tes mains, mais qu'à cela ne tienne : tu n'avais de toute façon pas l'intention de le laisser s'évaporer. Tu le vides alors un peu trop vite, sans trop avoir le temps d'en apprécier les saveurs pourtant exquises pour cette fois.
-Avec le plus grand des plaisirs Miss Blackthorn.
Son parfum t'enivre autant que l'alcool, et tu cherches un contact que tu as trop longtemps évité par honte principalement, et pudeur mélangées. A cet instant, ça n'a plus la moindre espèce d'importance - l'oubliette agirait donc vraiment ? Un nouvel amortensia est commandé, et d'un ton peut-être un peu plus doucereux que d'ordinaire, tandis que tes doigts cherchent les siens. Peter s'est emparé des consommations de tous, semble-t-il, ne reste que vos deux verres, dont vous pouvez aisément vous acquitter quand bien même tu ne souhaites à l"évidence pas lâcher sa main...
« Que fais un si charmant jeune homme, ici, loin de ma sublime compagnie ? »
En voilà une bonne question à laquelle tu peines à répondre, hypnotisé par chacun de ses gestes, transi de sa seule présence près de toi. L'instant est magique, idyllique... Et comme un disque dont le saphir dérape soudainement, la réalité vous rattrape subitement quand votre cousin débarque, charmeur auprès des serveurs, et vous aborde sans prendre de pincettes.
« C’est sympa de vous voir ici, tous les deux. »
Tu relèves la tête, percevant sans mal le trouble de ta luciole, qui répond par son autorité habituelle, et envoie instantanément le corbeau voler ailleurs. Tu sourirais presque, toujours aussi amusé de sa poigne et de la façon dont nombre s'y plient.
« Je disais donc... Mince. »
Elle est perturbée, et tente de rassembler sa contenance éparpillée par l'arrivée fracassante de Peter. Toi, tu ne détaches plus ton regard, plus doux que morne à cet instant, de ton ancienne fiancée. Par Merlin, est-ce qu'elle venait réellement de tenter une amorce de drague éhontée à ton encontre ?
« Je peux vous offrir un verre, Monsieur Blackthorn ? »
Ton verre n'est pas vide entre tes mains, mais qu'à cela ne tienne : tu n'avais de toute façon pas l'intention de le laisser s'évaporer. Tu le vides alors un peu trop vite, sans trop avoir le temps d'en apprécier les saveurs pourtant exquises pour cette fois.
-
Son parfum t'enivre autant que l'alcool, et tu cherches un contact que tu as trop longtemps évité par honte principalement, et pudeur mélangées. A cet instant, ça n'a plus la moindre espèce d'importance - l'oubliette agirait donc vraiment ? Un nouvel amortensia est commandé, et d'un ton peut-être un peu plus doucereux que d'ordinaire, tandis que tes doigts cherchent les siens. Peter s'est emparé des consommations de tous, semble-t-il, ne reste que vos deux verres, dont vous pouvez aisément vous acquitter quand bien même tu ne souhaites à l"évidence pas lâcher sa main...
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Re: Nouvel an - En aparté - ft. Cat (terminé)
Mer 4 Jan 2023 - 13:12
Encore un peu rougissante, Cataleya se cacherait presque sous les rousses ondulations qui retombe tout autour de son visage mais s'assure par deux fois que Peter a bien fuit la scène sur laquelle elle s'est maladroitement jeté. Celle de la pire tentative de drague qu'ait un jour veillé le cochon à Plume, et Wyatt par la même occasion, parce que la rousse entendrait presque sa main s'écraser sur son visage avec désespoir tant c'était lamentable. Elle s'était toujours faite très entreprenante et n'avait jamais véritablement connu cette hésitation qui palpitait trop fort en elle alors, elle marchait sur des œufs la Blackthorn, un sourire soudainement plus pâle.
Rappelez lui pourquoi elle ressentait l'odieux besoin de surprotéger James et n'avait pas sagement attendu qu'il daigne rejoindre le groupe, sachant que Max l'y aurait certainement invité ? Parce qu'elle était clairement sotte et qu'elle se sentait maintenant minuscule.
Elle tente pourtant de renouer avec un semblant d'assurance et contemple le verre du blond se vider trop rapidement. Cela voulait-il dire qu'il.. Acceptait ? « Avec le plus grand des plaisirs Miss Blackthorn. » Ok. Au moins c'était certain maintenant. Le regard glisse inlassablement entre l'amortensia, les lèvres de James et son propre verre avant de doucement ramper jusqu'à Wyatt qui, clairement, profite de la présence qu'elle a jeté sur ses genoux quelques secondes plus tôt. Ses sourcils se froncent alors significativement tandis qu'elle mime du bout des lèvres ses interrogations, attendant ouvertement un coup de main auquel répond tendrement James en nouant ses doigts autour des siens. Oh. Un peu surprise, quoi qu'infiniment rassurée, Cataleya s'accoude au bar mais ne se défait en rien de cette discrète étreinte.
« J'ai l'impression d'avoir passé la journée à te courir après... » Ose t'elle enfin, un timide sourire au bout des lèvres. « Si j'avais su que tu voulais venir, je t'aurai proposé de nous rejoindre ! Il y a Maximilien et Peter avec nous. » En ce qui la concernait, cela constituait surtout une source de stress supplémentaire mais connaissait l'amour que pouvait porter James au summerbee et par extension à son cousin, Cataleya n'avait aucun doute sur le fait que leur présence égayerait un peu le coeur du blond. « Sauf si tu préfères me jeter sur ton épaule et qu'on s'enfuit sur ton balais, c'est une option que j'accepte également. » Souffle t'elle en dénouant doucement ses doigts pour lui chiper son verre. La moue se fait mutine, et c'est clairement fière qu'elle se recule de deux pas pour gouter ce fameux amortensia qu'elle juge un peu. Elle avait eu raison d'affirmer que les siens étaient bien meilleur ! Pourtant, elle ne s'en défait pas et glisse entre ces mains qui pourrait lui reprendre son précieux bien dérobé. Radieuse.
Rappelez lui pourquoi elle ressentait l'odieux besoin de surprotéger James et n'avait pas sagement attendu qu'il daigne rejoindre le groupe, sachant que Max l'y aurait certainement invité ? Parce qu'elle était clairement sotte et qu'elle se sentait maintenant minuscule.
Elle tente pourtant de renouer avec un semblant d'assurance et contemple le verre du blond se vider trop rapidement. Cela voulait-il dire qu'il.. Acceptait ? « Avec le plus grand des plaisirs Miss Blackthorn. » Ok. Au moins c'était certain maintenant. Le regard glisse inlassablement entre l'amortensia, les lèvres de James et son propre verre avant de doucement ramper jusqu'à Wyatt qui, clairement, profite de la présence qu'elle a jeté sur ses genoux quelques secondes plus tôt. Ses sourcils se froncent alors significativement tandis qu'elle mime du bout des lèvres ses interrogations, attendant ouvertement un coup de main auquel répond tendrement James en nouant ses doigts autour des siens. Oh. Un peu surprise, quoi qu'infiniment rassurée, Cataleya s'accoude au bar mais ne se défait en rien de cette discrète étreinte.
« J'ai l'impression d'avoir passé la journée à te courir après... » Ose t'elle enfin, un timide sourire au bout des lèvres. « Si j'avais su que tu voulais venir, je t'aurai proposé de nous rejoindre ! Il y a Maximilien et Peter avec nous. » En ce qui la concernait, cela constituait surtout une source de stress supplémentaire mais connaissait l'amour que pouvait porter James au summerbee et par extension à son cousin, Cataleya n'avait aucun doute sur le fait que leur présence égayerait un peu le coeur du blond. « Sauf si tu préfères me jeter sur ton épaule et qu'on s'enfuit sur ton balais, c'est une option que j'accepte également. » Souffle t'elle en dénouant doucement ses doigts pour lui chiper son verre. La moue se fait mutine, et c'est clairement fière qu'elle se recule de deux pas pour gouter ce fameux amortensia qu'elle juge un peu. Elle avait eu raison d'affirmer que les siens étaient bien meilleur ! Pourtant, elle ne s'en défait pas et glisse entre ces mains qui pourrait lui reprendre son précieux bien dérobé. Radieuse.
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Re: Nouvel an - En aparté - ft. Cat (terminé)
Mer 4 Jan 2023 - 20:11
Pouvait-elle réellement douter que tu allais accepter de la rejoindre ? Certes tu as mis de la distance ces derniers jours, mais clairement pas par envie ni gaieté de cœur, bien loin de là. La culpabilité te ronge, mais ton amour pour elle reste indicible. Alors qu'importe si cette tentative d'approche est la plus lamentable que l'endroit a pu voir, pour toi, elle reste immensément rassurante. Elle est là, près de toi, manifestant toujours son affection, et ça, ça n'a pas de prix. Alors si elle doute peut-être de la réussite de sa manœuvre, tu cherches à ton tour à lui assurer ton affectation - quel euphémisme - nouant tes doigts aux siens.
« J'ai l'impression d'avoir passé la journée à te courir après... Si j'avais su que tu voulais venir, je t'aurai proposé de nous rejoindre ! Il y a Maximilien et Peter avec nous. »
-Je n'étais pas vraiment décidé jusqu'à peu...
Et à vrai dire, si voir ton ami a toujours un effet apaisant, les effusions dont Peter et lui sont capables ont souvent tôt fait de te mettre mal à l'aise. Mais quand ton cousin n'a-t-il pas eu cet effet sur toi, au fond ? Depuis toujours, tu évites sa présence et si tu t'es longtemps voilé la face, aujourd'hui la réalité t'a rattrapé. Sa vélanité ne t'a jamais laissé indifférent, et sa ressemblance avec Jeremiah n'arrange rien à présent.
« Sauf si tu préfères me jeter sur ton épaule et qu'on s'enfuit sur ton balais, c'est une option que j'accepte également. »
Un instant tu t'interroges sur ce que tes oreilles viennent de percevoir. Es-tu bien sûr de ce que tu penses avoir entendu ? Tu la dévisages comme elle délie ses doigts des tiens pour s'emparer du verre qu'on vient de te remplir et porter à ses lèvres le breuvage que tu as goûté peu avant. Tu ne doutes pas un instant que la qualité du mélange ne convienne pas tout à fait à son palais critique - toi-même tu pourrais envisager plusieurs améliorations notables à sa saveur mais à vrai dire, ce soir, ça n'est pas ce qui t'importe - mais ce qui accapare surtout ton attention, c'est cet air mutin, presque triomphant et le regard qu'elle t'adresse. Prédateur.
Tes yeux clairs ne quittent pas sa bouche carmine et si jusqu'à maintenant tu avais toujours masqué ton trouble face à ses avances, tu n'en as plus la moindre envie. Et si tu ne cèdes pas dans l'instant à l'envie furieuse de l'embrasser, c'est seulement car la foule autour de vous perturbe tes sens. Mais l'image évoquée s'imprègne allègrement dans ton esprit, bien trop vive. Trop pour que tu ne cherches encore à dissimuler le trouble qu'elle a toujours généré chez toi bien que tu l'aies tû trop longtemps. A quoi bon à présent ?
-Dommage que je n'aie pas opté pour ce moyen de locomotion en ce cas... admets-tu alors, songeant que clairement, à cet instant, la foule te pèse davantage encore que d'ordinaire. Tu voudrais juste être auprès d'elle, dans l'intimité de ta chambre, pour enfin goûter sa peau. Ce n'est pas l'heure, cependant et si tu songes bel et bien à garder une main libre pour les verres qu'il reste à ramener à la table qu'elle a désignée peu avant, l'autre cherche un contact. Une main libre ou une hanche qu'importe, pourvu que tu puisses combler la distance entre vous.
« J'ai l'impression d'avoir passé la journée à te courir après... Si j'avais su que tu voulais venir, je t'aurai proposé de nous rejoindre ! Il y a Maximilien et Peter avec nous. »
-
Et à vrai dire, si voir ton ami a toujours un effet apaisant, les effusions dont Peter et lui sont capables ont souvent tôt fait de te mettre mal à l'aise. Mais quand ton cousin n'a-t-il pas eu cet effet sur toi, au fond ? Depuis toujours, tu évites sa présence et si tu t'es longtemps voilé la face, aujourd'hui la réalité t'a rattrapé. Sa vélanité ne t'a jamais laissé indifférent, et sa ressemblance avec Jeremiah n'arrange rien à présent.
« Sauf si tu préfères me jeter sur ton épaule et qu'on s'enfuit sur ton balais, c'est une option que j'accepte également. »
Un instant tu t'interroges sur ce que tes oreilles viennent de percevoir. Es-tu bien sûr de ce que tu penses avoir entendu ? Tu la dévisages comme elle délie ses doigts des tiens pour s'emparer du verre qu'on vient de te remplir et porter à ses lèvres le breuvage que tu as goûté peu avant. Tu ne doutes pas un instant que la qualité du mélange ne convienne pas tout à fait à son palais critique - toi-même tu pourrais envisager plusieurs améliorations notables à sa saveur mais à vrai dire, ce soir, ça n'est pas ce qui t'importe - mais ce qui accapare surtout ton attention, c'est cet air mutin, presque triomphant et le regard qu'elle t'adresse. Prédateur.
Tes yeux clairs ne quittent pas sa bouche carmine et si jusqu'à maintenant tu avais toujours masqué ton trouble face à ses avances, tu n'en as plus la moindre envie. Et si tu ne cèdes pas dans l'instant à l'envie furieuse de l'embrasser, c'est seulement car la foule autour de vous perturbe tes sens. Mais l'image évoquée s'imprègne allègrement dans ton esprit, bien trop vive. Trop pour que tu ne cherches encore à dissimuler le trouble qu'elle a toujours généré chez toi bien que tu l'aies tû trop longtemps. A quoi bon à présent ?
-
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Re: Nouvel an - En aparté - ft. Cat (terminé)
Jeu 5 Jan 2023 - 13:36
« Dommage que je n'aie pas opté pour ce moyen de locomotion en ce cas.. »
Le sourcils se hausse un peu mais le regard se fait plus encore suggestif, pleinement amusé par l'idée même que James puisse répondre à la provocation. Comme quoi, il l'étonnerait toujours son petit Ice. Fuir ne lui déplairait pourtant pas et, si ce n'était pas à dos de balais, Cataleya Quarta Blackthorn daignerait se hisser sur le dos de James pour rentrer au manoir sans la moindre hésitation. Pourtant Wyatt lui avait promis une soirée mémorable et elle préféra ouvertement cette perspective à l'idée de se confronter au lugubre du manoir Blackthorn. Même en la charmante compagnie du blond. Alors, pleinement féline, Cataleya marque deux pas de retrait car elle sait ce charme étrange lier James à ses hanches, le presser à combler le vide, la rattraper. Mutine donc, elle progresse à pas de velours, guide au travers de ses charmantes fuites le pokeby loin du bar, les lèvres porté à son verre et l'allure d'un lutin de cornouille au bout des cils.
«Quel dommage, en effet. Te voilà condamné à subir mes envies de danses mon cher... » Le pas se stoppe un peu plus loin et la main s'offre tendrement au jeune homme pour l'inviter à la rejoindre, là, loin du bar. «Sauf si tu préfères m'abandonner au main de piètres partenaires. » Le ton est doux, mais le regard intense, quoi qu'un peu amusé. Elle imaginait sans peine Maximilien blémir dès lors qu'elle lui imposerait une danse d'un simple poignet tendu, et son regard de merlan frit quand il comprendrait que c'est elle qui mènerait la danse et qu'il venait, en répondant à cette main, de signer un pacte avec le diable. Il était de notoriété publique que Cataleya était une danseuse inépuisable et elle avait par deux fois renvoyé le clan Bonnamy tout entier sur les bancs à force d'entêtante valses.
La musique que soufflait le cochon à plumes étaient bien éloignée de celle qui berçait les danses de salon, mais la cinquième adopté Blackthorn n'était pas en reste et pouvait verser autant dans la valse viennoise que dans le Charleston, en passant par le rock, le tango, le classique, la Bachata et des danses un peu plus burlesques qu'elle n'assumerait évidemment pas du moment que l'oeil familial se braquait sur elle. Autant avouer que le défi ne l'impressionnait en rien, et qu'elle avait prévu d'être couronnée reine de la soirée au côté de Wyatt. «Je suis convaincue que Miguel se prêterait avec plaisir à l'exercice. » Murmura t'elle à peine, provocation ouverte soufflé au visage de l'héritier pour le convaincre de la rejoindre. Son regard chercha néanmoins celui de @Miguel Pajares qui avait disparu parmi la foule et un soupire à peine dissimulé pesa sur ses lèvres lorsqu'elle le perdit complètement. Tant pis, elle le saluerait plus tard. La moue se fait tout de même un peu déçue mais retrouve son enthousiasme quand James se rapproche. C'est qu'elle se hisse sur la pointe des pieds pour lui voler un baisé sur la joue dame Quarta !
Le sourcils se hausse un peu mais le regard se fait plus encore suggestif, pleinement amusé par l'idée même que James puisse répondre à la provocation. Comme quoi, il l'étonnerait toujours son petit Ice. Fuir ne lui déplairait pourtant pas et, si ce n'était pas à dos de balais, Cataleya Quarta Blackthorn daignerait se hisser sur le dos de James pour rentrer au manoir sans la moindre hésitation. Pourtant Wyatt lui avait promis une soirée mémorable et elle préféra ouvertement cette perspective à l'idée de se confronter au lugubre du manoir Blackthorn. Même en la charmante compagnie du blond. Alors, pleinement féline, Cataleya marque deux pas de retrait car elle sait ce charme étrange lier James à ses hanches, le presser à combler le vide, la rattraper. Mutine donc, elle progresse à pas de velours, guide au travers de ses charmantes fuites le pokeby loin du bar, les lèvres porté à son verre et l'allure d'un lutin de cornouille au bout des cils.
«Quel dommage, en effet. Te voilà condamné à subir mes envies de danses mon cher... » Le pas se stoppe un peu plus loin et la main s'offre tendrement au jeune homme pour l'inviter à la rejoindre, là, loin du bar. «Sauf si tu préfères m'abandonner au main de piètres partenaires. » Le ton est doux, mais le regard intense, quoi qu'un peu amusé. Elle imaginait sans peine Maximilien blémir dès lors qu'elle lui imposerait une danse d'un simple poignet tendu, et son regard de merlan frit quand il comprendrait que c'est elle qui mènerait la danse et qu'il venait, en répondant à cette main, de signer un pacte avec le diable. Il était de notoriété publique que Cataleya était une danseuse inépuisable et elle avait par deux fois renvoyé le clan Bonnamy tout entier sur les bancs à force d'entêtante valses.
La musique que soufflait le cochon à plumes étaient bien éloignée de celle qui berçait les danses de salon, mais la cinquième adopté Blackthorn n'était pas en reste et pouvait verser autant dans la valse viennoise que dans le Charleston, en passant par le rock, le tango, le classique, la Bachata et des danses un peu plus burlesques qu'elle n'assumerait évidemment pas du moment que l'oeil familial se braquait sur elle. Autant avouer que le défi ne l'impressionnait en rien, et qu'elle avait prévu d'être couronnée reine de la soirée au côté de Wyatt. «Je suis convaincue que Miguel se prêterait avec plaisir à l'exercice. » Murmura t'elle à peine, provocation ouverte soufflé au visage de l'héritier pour le convaincre de la rejoindre. Son regard chercha néanmoins celui de @Miguel Pajares qui avait disparu parmi la foule et un soupire à peine dissimulé pesa sur ses lèvres lorsqu'elle le perdit complètement. Tant pis, elle le saluerait plus tard. La moue se fait tout de même un peu déçue mais retrouve son enthousiasme quand James se rapproche. C'est qu'elle se hisse sur la pointe des pieds pour lui voler un baisé sur la joue dame Quarta !
- James BlackthornADMIN ☽ ○ ☾ Ice child of Gaïa
- » parchemins postés : 2107
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» crédits : ECK ou Google est mon ami
» multinick : L'hermine (Diane De C.), le moineau (Luan N.), le soleil-arc-en-ciel (Samara G-P.)
» âge : 26 ans (26/06/1998)
» situation : marié à Tia Nsar le 11/08/2024, futur père d'un bébé-amour prévu pour février 2025 (et amoureux de plusieurs personnes, chut)
» nature du sang : sang-pur
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Re: Nouvel an - En aparté - ft. Cat (terminé)
Dim 8 Jan 2023 - 8:42
Elle file, ta muse. Avec ton verre, à travers la foule, parfaitement consciente de ton désir irrépressible de combler cette odieuse distance entre vous. Elle file à travers les convives, et tu n'as guère de doute quant à sa destination, qu'elle confirme un instant plus tard : la piste de danse.
« Quel dommage, en effet. Te voilà condamné à subir mes envies de danses mon cher... »
-Un supplice, assurément... lui réponds-tu sur un ton évoquant clairement une pointe d'amusement.
Un léger sourire étire tes lèvres, et tu acceptes avec délicatesse, tout empressement encore contenu, cette main tendue.
« Sauf si tu préfères m'abandonner aux mains de piètres partenaires. »
-Oh ! Je n'oserai pas te faire un tel affront !
Cat est une excellente danseuse, tu le sais parfaitement, et ce ne serait pas lui rendre justice que de la laisser se consoler dans les bras de partenaires plus à même de lui écraser les pieds que de lui renvoyer sa grâce. Et soyons honnêtes : tu n'as aucune envie de voir qui que ce soit d'autre poser les mains sur ses hanches ou saisir les siennes. Pas mêmes celles de ceux que tu ne visualises pas - ou plus, enfin plus tout à fait - comme une menace. Si tu suis toujours le compte Wizardgram de Wyatt, cela tient davantage de l'envie d'en savoir un peu plus sur leurs apartés sans pour autant te montrer trop intrusif - encore moins ces derniers temps - et de t'assurer qu'elle a toujours au moins sa lumière auprès d'elle, afin de ne pas rester seule engloutie par la noirceur Blackthorn. Et tu fais entièrement confiance à ton meilleur ami pour ne pas tenter quoi que ce soit de déplacer, par égard pour toi un peu, par amour pour ton cousin surtout. Il n'empêche que tu ne souhaites voir personne évoluer sur la piste avec elle, si ce n'est toi-même. Et certainement pas celui qu'elle cite alors, parfaitement consciente de l'impact que ce nom pourra avoir sur toi.
« Je suis convaincue que Miguel se prêterait avec plaisir à l'exercice. »
-Je n'en doute pas un instant. Dommage pour lui.
Tu chasse l'agacement que le nom de l'hispanique génère immédiatement en toi d'un imperceptible soupir, prêt à te concentrer totalement sur ta partenaire. D'un geste souple et habile, tu l'attires à toi, entamant immédiatement les premiers pas d'une valse sensuelle plus rythmée qu'à l'ordinaire, mais tu n'en as cure. Tu vois bien qu'elle le cherche du regard, et le mouvement vise clairement à ramener son attention à toi. Objectif atteint comme elle reporte son regard sur le tien et vient déposer un baiser sur ta joue, se hissant sur la pointe de pieds dans l'exercice - un mouvement que tu sais ne lui poser aucune difficulté. Le contact de ses lèvres sur ta peau te grise davantage encore, impacté par l'amortensia précédent, quand bien même elle a dérobé le second qui finira probablement abandonné sur une table non loin très prochainement. A cet instant, ça n'a plus la moindre espèce d'importance. Tout le reste n'a plus la moindre espèce d'importance. Tu ne vois qu'elle, là, tout près de toi, ta main dans la sienne, l'autre se posant naturellement vers l'arrière de sa hanche, tout au bas de son dos, savourant le contact du tissu soyeux sous tes doigts. Qu'importe que ce ne soit pas le genre de musique dont tu es coutumier. Qu'importent les regards peut-être surpris alentours, et le feu qui s'embrase dans tout ton être. Il n'y a qu'elle, là, tout près de toi, et les mouvements souples, précisément étudiés, savamment rendus voluptueux de vos deux corps enlacés.
Peut-être que cette soirée n'est qu'une parenthèse, ou peut-être que la tension à la limite de la décence qui s'installe entre vous sera vouée à durer... Tu n'en as pas la moindre idée. Mais pour cet instant, tu oublies autant ces questions que tout le reste. C'était ce que tu étais venu chercher, après tout. L'oubli. Dans l'alcool ou dans ses bras, le résultat reste semblable. Qu'importe la chute future...
« Quel dommage, en effet. Te voilà condamné à subir mes envies de danses mon cher... »
-
Un léger sourire étire tes lèvres, et tu acceptes avec délicatesse, tout empressement encore contenu, cette main tendue.
« Sauf si tu préfères m'abandonner aux mains de piètres partenaires. »
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Cat est une excellente danseuse, tu le sais parfaitement, et ce ne serait pas lui rendre justice que de la laisser se consoler dans les bras de partenaires plus à même de lui écraser les pieds que de lui renvoyer sa grâce. Et soyons honnêtes : tu n'as aucune envie de voir qui que ce soit d'autre poser les mains sur ses hanches ou saisir les siennes. Pas mêmes celles de ceux que tu ne visualises pas - ou plus, enfin plus tout à fait - comme une menace. Si tu suis toujours le compte Wizardgram de Wyatt, cela tient davantage de l'envie d'en savoir un peu plus sur leurs apartés sans pour autant te montrer trop intrusif - encore moins ces derniers temps - et de t'assurer qu'elle a toujours au moins sa lumière auprès d'elle, afin de ne pas rester seule engloutie par la noirceur Blackthorn. Et tu fais entièrement confiance à ton meilleur ami pour ne pas tenter quoi que ce soit de déplacer, par égard pour toi un peu, par amour pour ton cousin surtout. Il n'empêche que tu ne souhaites voir personne évoluer sur la piste avec elle, si ce n'est toi-même. Et certainement pas celui qu'elle cite alors, parfaitement consciente de l'impact que ce nom pourra avoir sur toi.
« Je suis convaincue que Miguel se prêterait avec plaisir à l'exercice. »
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Tu chasse l'agacement que le nom de l'hispanique génère immédiatement en toi d'un imperceptible soupir, prêt à te concentrer totalement sur ta partenaire. D'un geste souple et habile, tu l'attires à toi, entamant immédiatement les premiers pas d'une valse sensuelle plus rythmée qu'à l'ordinaire, mais tu n'en as cure. Tu vois bien qu'elle le cherche du regard, et le mouvement vise clairement à ramener son attention à toi. Objectif atteint comme elle reporte son regard sur le tien et vient déposer un baiser sur ta joue, se hissant sur la pointe de pieds dans l'exercice - un mouvement que tu sais ne lui poser aucune difficulté. Le contact de ses lèvres sur ta peau te grise davantage encore, impacté par l'amortensia précédent, quand bien même elle a dérobé le second qui finira probablement abandonné sur une table non loin très prochainement. A cet instant, ça n'a plus la moindre espèce d'importance. Tout le reste n'a plus la moindre espèce d'importance. Tu ne vois qu'elle, là, tout près de toi, ta main dans la sienne, l'autre se posant naturellement vers l'arrière de sa hanche, tout au bas de son dos, savourant le contact du tissu soyeux sous tes doigts. Qu'importe que ce ne soit pas le genre de musique dont tu es coutumier. Qu'importent les regards peut-être surpris alentours, et le feu qui s'embrase dans tout ton être. Il n'y a qu'elle, là, tout près de toi, et les mouvements souples, précisément étudiés, savamment rendus voluptueux de vos deux corps enlacés.
Peut-être que cette soirée n'est qu'une parenthèse, ou peut-être que la tension à la limite de la décence qui s'installe entre vous sera vouée à durer... Tu n'en as pas la moindre idée. Mais pour cet instant, tu oublies autant ces questions que tout le reste. C'était ce que tu étais venu chercher, après tout. L'oubli. Dans l'alcool ou dans ses bras, le résultat reste semblable. Qu'importe la chute future...
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Re: Nouvel an - En aparté - ft. Cat (terminé)
Lun 9 Jan 2023 - 22:17
Un peu surprise par cette main apposé au bas de son dos, James initie un rapprochement significatif et Cataleya y répond avec grâce, chutant irrépressiblement dans ses grands yeux bleu comme dans d'infinis océans. Elle se perd un instant tout contre lui, effleurant du bout des doigts sa nuque sans véritablement oser s'y accrocher mais ne peu réprimer un doux sourire lorsqu'elle croit déceler une pointe d'agacement sur les lèvres du pokeby. Jaloux, Ice ? Sans doute devrait-elle user plus souvent du nom du madrilène alors, ne serait-ce que pour réveiller un peu le blond lorsque la distance l'étranglait, hélas Cataleya avait trop de respect pour ces deux hommes pour jouer de concurrence. La tension était suffisamment palpable pour s'en amuser avec parcimonie mais ne pas l'attiser plus que de raison ; elle n'avait clairement pas besoin de ça, pas en ce moment. Pas ce soir.
S'il donne l'impulsion de la valse et que Cataleya y répond le plus joliment du monde, l'amortensia toujours piegé entre ses doigts, c'est tout doucement que la rousse vient troubler le rythme. Souffler insidieusement sur cette main qui la mène et auquel elle répond faussement docile. La boisson piégé entre ses doigts trahit pourtant ouvertement la désinvolture qui niche sous l'épiderme et, lorsque James vint enfin la faire tourner sur elle même, quelque chose finit par filer sous ses grands yeux bleu. Vif.
Sa main libre accroche doucement la nuque du blond et c'est souplement que le corps se révulse en arrière pour jeter un œil à la table qui les attends, eux et leurs verres. Si la gorge et poitrine s'offre aisément au regard de son partenaire, le dos se redresse rapidement à mesure que la main glisse sournoisement sur l'échine de James pour s'ancrer sur ses hanches et le ramener plus encore contre elle.
« Vous frisez l'indécence, Sieur Blackthorn ». Elle le lui murmure à peine, là, au creux de son oreille, à mesure que ses hanches roulent inlassablement sous les mains du blond. Si elle croisent un instant son regard, c'est éclatant que le rire de la rousse s'élève comme consciente du trouble qu'elle nourrit irrépressiblement chez celui auquel elle aurait dû être promise. « L'amortensia aurait-il eu raison de votre légendaire discipline ? » Elle souffle à peine, comme pour préserver cette pointe narquoise dans une sphère toute privé mais prend ouvertement grand plaisir à contempler Ice succomber au baisé de l'ivresse légère. Il se faisait plus encore superbe lorsqu'il s'éloignait un peu de la rigidité Blackthorn pour verser dans un semblant d'épanouissement, quand bien même largement altéré par l'alcool.
Enfin, Cataleya stoppe son pas et glisse sa main de libre dans les cheveux blond de son cousin, comme pour happer son attention toute entière. « Viens avec nous. Tu m'inquiètes depuis... Tu sais. » La moue se tord un peu mais le baisé couronne son front avec une aisance déconcertante, comme pour sceller une fois pour toute sur le crâne de son aimé qu'elle lui avait pardonné. Quand bien même le sujet brulait encore un peu son coeur. « Et j'ai parié dix galions a Wyatt que je pourrait boire plus de verre que lui ; si tes grands yeux bleu refusent de me chaperonner, je te promet que je finirais debout sur le bar, dansant avec lui, a hurler des chansons d'amour stupide. La dernière fois ça a finit en mariage célébré devant une bouteille de rhum ; tu ne voudrais pas que ma nouvelle année démarre ainsi, si ? » Reprit-elle à voix basse après avoir frotté le plus tendrement du monde le bout de son nez contre celui de James.
S'il donne l'impulsion de la valse et que Cataleya y répond le plus joliment du monde, l'amortensia toujours piegé entre ses doigts, c'est tout doucement que la rousse vient troubler le rythme. Souffler insidieusement sur cette main qui la mène et auquel elle répond faussement docile. La boisson piégé entre ses doigts trahit pourtant ouvertement la désinvolture qui niche sous l'épiderme et, lorsque James vint enfin la faire tourner sur elle même, quelque chose finit par filer sous ses grands yeux bleu. Vif.
Sa main libre accroche doucement la nuque du blond et c'est souplement que le corps se révulse en arrière pour jeter un œil à la table qui les attends, eux et leurs verres. Si la gorge et poitrine s'offre aisément au regard de son partenaire, le dos se redresse rapidement à mesure que la main glisse sournoisement sur l'échine de James pour s'ancrer sur ses hanches et le ramener plus encore contre elle.
« Vous frisez l'indécence, Sieur Blackthorn ». Elle le lui murmure à peine, là, au creux de son oreille, à mesure que ses hanches roulent inlassablement sous les mains du blond. Si elle croisent un instant son regard, c'est éclatant que le rire de la rousse s'élève comme consciente du trouble qu'elle nourrit irrépressiblement chez celui auquel elle aurait dû être promise. « L'amortensia aurait-il eu raison de votre légendaire discipline ? » Elle souffle à peine, comme pour préserver cette pointe narquoise dans une sphère toute privé mais prend ouvertement grand plaisir à contempler Ice succomber au baisé de l'ivresse légère. Il se faisait plus encore superbe lorsqu'il s'éloignait un peu de la rigidité Blackthorn pour verser dans un semblant d'épanouissement, quand bien même largement altéré par l'alcool.
Enfin, Cataleya stoppe son pas et glisse sa main de libre dans les cheveux blond de son cousin, comme pour happer son attention toute entière. « Viens avec nous. Tu m'inquiètes depuis... Tu sais. » La moue se tord un peu mais le baisé couronne son front avec une aisance déconcertante, comme pour sceller une fois pour toute sur le crâne de son aimé qu'elle lui avait pardonné. Quand bien même le sujet brulait encore un peu son coeur. « Et j'ai parié dix galions a Wyatt que je pourrait boire plus de verre que lui ; si tes grands yeux bleu refusent de me chaperonner, je te promet que je finirais debout sur le bar, dansant avec lui, a hurler des chansons d'amour stupide. La dernière fois ça a finit en mariage célébré devant une bouteille de rhum ; tu ne voudrais pas que ma nouvelle année démarre ainsi, si ? » Reprit-elle à voix basse après avoir frotté le plus tendrement du monde le bout de son nez contre celui de James.
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Re: Nouvel an - En aparté - ft. Cat (terminé)
Dim 22 Jan 2023 - 17:20
Jaloux. Oh oui, que tu l'es, irrémédiablement. Alors même que ton propre coeur est partagé entre deux amours aux antipodes l'un de l'autre, tu peines à supporter de voir qui que ce soit tourner autour de ta si précieuse luciole, de peur de la voir attirée par la lumière d'un autre, bien plus vive que la tienne. Plus inconditionnelle, aussi. Alors à cet instant, alors qu'elle te guide à travers les convives pour entamer une danse plus sensuelle que celles auxquelles vous avez jamais pu vous autoriser jusqu'alors, tu refuses de laisser la distance s'installer entre vous, la comble gracieusement chaque fois qu'elle fait mine de la creuser. Ton verre n'est plus à ta portée, mais c'est une autre ivresse que tu cherches. L'alcool, l'amortensia, sa présence tout près de toi, t'enivrent tous trois, de même que ses doigts s'accrochant dans ta nuque, faisant courir un frisson tout le long de ton échine. La rousse se cambre, jetant un regard à la table où s'entassent ses proches et les tiens, t'offrant tout le loisir de contempler sa gorge et sa poitrine savamment mise en valeur dans ce bustier sombre qui lui sied à ravir. Ton trouble est loin de s'amoindrir quand sa main glisse le long de ton dos pour s'emparer de tes hanches, les rivant aux siennes un instant, et si d'ordinaire tu t'étais toujours efforcé de museler ton désir, ce soir représente à l'évidence une exception à cette règle que tu t'étais toujours fixée et dont tu ne vois plus vraiment l'utilité.
« Vous frisez l'indécence, Sieur Blackthorn. »
La taquinerie est évidente, mais les années d'endoctrinement laissent leur marque sur ton esprit et l'espace d'une seconde, tu te figes un peu, comme pris en faute, pourtant seulement piégé par son petit jeu. Son rire superbe éclate alors, et si tu suis toujours la cadence, habitué à la voir mener le rythme, tu hésites encore un instant sur la réaction à avoir.
« L'amortensia aurait-il eu raison de votre légendaire discipline ? »
-Peut-être un peu... admets-tu dans un murmure à peine audible. Mais je crains qu'il n'en soit pas le principal perturbateur...
Tu regrettes presque aussitôt ces mots, qui sonneraient presque comme un reproche, alors qu'au contraire, tout ton corps n'attends que ce laisser aller qu'elle te vante depuis des mois. Elle s'arrête d'ailleurs, et tu crains aussitôt avoir rompu le charme de cet instant.
Et puis ses doigts viennent se perdre dans tes cheveux, et tu savoures leur étreinte, fermant brièvement les yeux comme pour mieux en ressentir les sensation. Tes prunelles glacées accrochent finalement les siennes, et tes mains glissent dans son dos, espérant la garder encore un peu près de toi, de peur - encore et toujours - de la voir vous fuir, toi et tes mille maladresses, tes tares aussi. Ses iris azurés semblent sonder ton âme, et si l'intensité de cet échange te déstabilise, tu ne détournes pas le regard pour autant.
« Viens avec nous. Tu m'inquiètes depuis... Tu sais. »
Le baiser sur ton front clot un instant de plus tes paupières, et tu cherches désespérément des mots qui se heurtent à la barrière de tes lèvres. Tu ne sais même pas ce que tu pourrais dire pour ta défense, ni même comment lui faire part de tout l'amour qui brûle pour elle au fond de ton coeur, quand bien même ce brasier porte également un autre nom. Comment pourrais-tu expliquer ce que tu ne comprends pas toi-même, après tout ? Elle reprend déjà la parole, et ta tentative de t'épancher meurt sur tes lèvres, avortée.
« Et j'ai parié dix galions a Wyatt que je pourrai boire plus de verre que lui ; si tes grands yeux bleu refusent de me chaperonner, je te promets que je finirais debout sur le bar, dansant avec lui, à hurler des chansons d'amour stupide. »
-C'est donc une promesse ?
Tu n'as pas envie de la priver, bien au contraire. Toi qui t'es érigé des semaines durant en chaperon de peur qu'il lui arrive le moindre mal en ton absence, lors de ces sorties alcoolisées qu'elle partage avec l'hispanique, tu dois bien avouer que la voir radieuse à chaque de ces soirées a davantage fait fondre ton coeur qu'attiser tes craintes. Alors à cet instant, la perspective de la voir, elle, lâcher prise, de la façon qu'elle te décrit à l'instant, a plus tendance à te plaire qu'autre chose.
« La dernière fois ça a finit en mariage célébré devant une bouteille de rhum ; tu ne voudrais pas que ma nouvelle année démarre ainsi, si ? »
Son nez vient doucement frotter le tien, dans un geste tendre que vous partagez depuis l'enfance ou presque.
-Tout dépend de qui est l'heureux élu , souffles-tu alors, posant ton front contre le sien, la serrant encore un peu tout contre toi, juste un instant de plus, comme pour t'imprégner de ce contact, le graver dans ta mémoire. Ne voulais-tu pas danser ?
La question est posée sans animosité aucune, ni reproche. Simple interrogation car si c'est bien ce que vous venez de faire pendant quelques minutes presque sulfureuses, tu l'as connue plus tenace, éreintant ses partenaires, usant leurs semelles jusqu'à la corde. Tu t'écartes pourtant légèrement, te penchant en avant pour porter sa main à tes lèvres, ton autre bras élégamment replié dans ton dos.
-Vos désirs sont des ordres, Princesse...
Mais si tu te redresses élégamment et cherches à nouveau son regard, c'est d'un geste hésitant que tes doigts tentent de renouer avec les siens avant que vous ne preniez la direction indiquée, tant tu redoutes de laisser la moindre distance s'immiscer à nouveau autre vous.
« Vous frisez l'indécence, Sieur Blackthorn. »
La taquinerie est évidente, mais les années d'endoctrinement laissent leur marque sur ton esprit et l'espace d'une seconde, tu te figes un peu, comme pris en faute, pourtant seulement piégé par son petit jeu. Son rire superbe éclate alors, et si tu suis toujours la cadence, habitué à la voir mener le rythme, tu hésites encore un instant sur la réaction à avoir.
« L'amortensia aurait-il eu raison de votre légendaire discipline ? »
-
Tu regrettes presque aussitôt ces mots, qui sonneraient presque comme un reproche, alors qu'au contraire, tout ton corps n'attends que ce laisser aller qu'elle te vante depuis des mois. Elle s'arrête d'ailleurs, et tu crains aussitôt avoir rompu le charme de cet instant.
Et puis ses doigts viennent se perdre dans tes cheveux, et tu savoures leur étreinte, fermant brièvement les yeux comme pour mieux en ressentir les sensation. Tes prunelles glacées accrochent finalement les siennes, et tes mains glissent dans son dos, espérant la garder encore un peu près de toi, de peur - encore et toujours - de la voir vous fuir, toi et tes mille maladresses, tes tares aussi. Ses iris azurés semblent sonder ton âme, et si l'intensité de cet échange te déstabilise, tu ne détournes pas le regard pour autant.
« Viens avec nous. Tu m'inquiètes depuis... Tu sais. »
Le baiser sur ton front clot un instant de plus tes paupières, et tu cherches désespérément des mots qui se heurtent à la barrière de tes lèvres. Tu ne sais même pas ce que tu pourrais dire pour ta défense, ni même comment lui faire part de tout l'amour qui brûle pour elle au fond de ton coeur, quand bien même ce brasier porte également un autre nom. Comment pourrais-tu expliquer ce que tu ne comprends pas toi-même, après tout ? Elle reprend déjà la parole, et ta tentative de t'épancher meurt sur tes lèvres, avortée.
« Et j'ai parié dix galions a Wyatt que je pourrai boire plus de verre que lui ; si tes grands yeux bleu refusent de me chaperonner, je te promets que je finirais debout sur le bar, dansant avec lui, à hurler des chansons d'amour stupide. »
-
Tu n'as pas envie de la priver, bien au contraire. Toi qui t'es érigé des semaines durant en chaperon de peur qu'il lui arrive le moindre mal en ton absence, lors de ces sorties alcoolisées qu'elle partage avec l'hispanique, tu dois bien avouer que la voir radieuse à chaque de ces soirées a davantage fait fondre ton coeur qu'attiser tes craintes. Alors à cet instant, la perspective de la voir, elle, lâcher prise, de la façon qu'elle te décrit à l'instant, a plus tendance à te plaire qu'autre chose.
« La dernière fois ça a finit en mariage célébré devant une bouteille de rhum ; tu ne voudrais pas que ma nouvelle année démarre ainsi, si ? »
Son nez vient doucement frotter le tien, dans un geste tendre que vous partagez depuis l'enfance ou presque.
-
La question est posée sans animosité aucune, ni reproche. Simple interrogation car si c'est bien ce que vous venez de faire pendant quelques minutes presque sulfureuses, tu l'as connue plus tenace, éreintant ses partenaires, usant leurs semelles jusqu'à la corde. Tu t'écartes pourtant légèrement, te penchant en avant pour porter sa main à tes lèvres, ton autre bras élégamment replié dans ton dos.
-
Mais si tu te redresses élégamment et cherches à nouveau son regard, c'est d'un geste hésitant que tes doigts tentent de renouer avec les siens avant que vous ne preniez la direction indiquée, tant tu redoutes de laisser la moindre distance s'immiscer à nouveau autre vous.
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- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
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Re: Nouvel an - En aparté - ft. Cat (terminé)
Dim 22 Jan 2023 - 22:08
« Tout dépend de qui est l'heureux élu. » Voyons James, tu n'étais pas naïf au point de croire qu'elle pourrait marier un autre que Wyatt lorsque les verre se feraient trop nombreux. Ils enchaîneraient les défis nuls, parieraient certainement sur qui pourrait boire le plus grand nombre de shooter en un temps imparti et son foie, étant encore pur et innocent, se révulserait tout entier. Certainement que Wyatt lui tiendrait les cheveux pour ne pas qu'elle vomisse dessus et, émerveillé par ce simple acte de soutient, Cataleya se rendrait une fois encore compte de l'être exceptionnel qu'était le dragonologue. Il ne lui en faudrait pas plus pour trouver deux témoins, les derniers étant le barman de la taverne du troll et une bouteille de rhum arrangé, et déclamerait à l'hispanique son amour dans un mélange dramatique et grandiloquent teinté de quelques phrases dans un espagnol approximatif, avant de se conclure en karaoké et numéro de danse.
Pour un peu, et se connaissant sans doute trop bien, elle inviterait (forcerait) Peter à jouer le rôle d'Ariel dans sa reprise de « poor unfortunate souls » parce que Ursula était sans le moindre doute son âme sœur, et ce depuis que Wyatt l'avait forcé à regarder la petite sirène sur un écran moldu. Si elle s'était débattu tout crocs dehors -littéralement, parce qu'elle l'avait mordu- les chansons et l'animation étaient parvenu on ne sait comment par la maintenir tranquille. Et depuis, elle ressortait frénétiquement des répliques d'Ursula lorsqu'elle buvait plus de trois verre.
« Je ne peux rien te promettre Ice ; J'ai décrété que j'allais conclure 2022 dans l'excès. Néanmoins il est fort probable que je me décide à marier une fois encore Wyatt parce qu'il complimentera mes cheveux. Et tu sais que c'est un motif valable pour une demande de mariage instantanée. Je te réserverai cependant la première danse, je te le promet. » La main s'offre à James lorsque celui ci s'incline et, c'est le cœur pleinement ravie que Cataleya roucoule devant un titre dont elle aime se parer. Princesse. S'il y avait bien une chose qui la réjouissait plus que ce mot, ou celui d'impératrice qu'elle claquait au visage des gens dès lorsqu'elle se faisait un peu plus impérieuse qu'à l'habitude, c'était bien ce genre de petit geste qui gonflait plus encore son trop grand égo. Tout dans l'exécution trahissait des heures passé à se faire reprendre par leur précepteur mais Cataleya s'en émerveillait à chaque fois. Peut être parce James avait ce je-ne-sais-quoi. Ou peut être parce qu'il était bien trop attentionnée à son égard.
Les doigts se nouent et c'est pleinement triomphante que Cataleya croise le regard de Wyatt qui semble parfaitement profiter de la présence jeté sur ses genoux. Parfait.
« Néanmoins mettons au clair trois choses James ; Si Peter tente de me prendre dans ses bras et que je n'ai pas le réflexe de le frapper ou le mordre jusqu'au sang parce que l'alcool me rend beaucoup trop tactile, je t'ordonne de me gifler. » Déjà par pur principe, parce qu'il était hors de question que cette chose étrange la touche, qu'elle ne savait jamais sur quel pied danser face à lui et qu'en cas de doute, l'hostilité était toujours la meilleure réponse à donner, et qu'il l'intimidait beaucoup trop quand Maximilien n'était pas trop loin. Le summerbee avait peur de tout, le Wright avait gagné une aura ultra flippante depuis l'épisode de la forêt, et Cataleya était quasis convaincue que si elle fixait un peu trop longtemps Maximilien, celui-ci paniquerait, Peter le sentirait et elle finirait en jus de tomate extra épicé. Bref, aucun contact. « Si je parle de traîneau ou de bonhomme de neige, je t'en supplie James. Tu me jette sur ton épaule, tu me gardes sur tes genoux, tu me confies à qui tu veux, mais tu ne me laisse surtout pas envisager l'idée de tracter un traîneau. Et encore moins de faire un bonhomme de neige, ou une bataille de boule de neige. » Parce que c'était là ses trois dernières obsessions et qu'elle les savaient récurrente dès lors qu'elle était avec Wyatt. Et clairement, ils avaient déjà envisagés de construire un traîneau de noel et des pseudo bois de cerfs pour lui caler sur le crâne, et qu'elle avait adoré ça. « Enfin, mais ça va de soit, tu m'abandonnes pour sombrer une fois de plus au bar, et je boude. Mais on va surtout se concentrer sur cette histoire de traineau. Pas de traineau, même si je propose de coller des paillettes. Surtout si je parle de paillette ! »
Pour un peu, et se connaissant sans doute trop bien, elle inviterait (forcerait) Peter à jouer le rôle d'Ariel dans sa reprise de « poor unfortunate souls » parce que Ursula était sans le moindre doute son âme sœur, et ce depuis que Wyatt l'avait forcé à regarder la petite sirène sur un écran moldu. Si elle s'était débattu tout crocs dehors -littéralement, parce qu'elle l'avait mordu- les chansons et l'animation étaient parvenu on ne sait comment par la maintenir tranquille. Et depuis, elle ressortait frénétiquement des répliques d'Ursula lorsqu'elle buvait plus de trois verre.
« Je ne peux rien te promettre Ice ; J'ai décrété que j'allais conclure 2022 dans l'excès. Néanmoins il est fort probable que je me décide à marier une fois encore Wyatt parce qu'il complimentera mes cheveux. Et tu sais que c'est un motif valable pour une demande de mariage instantanée. Je te réserverai cependant la première danse, je te le promet. » La main s'offre à James lorsque celui ci s'incline et, c'est le cœur pleinement ravie que Cataleya roucoule devant un titre dont elle aime se parer. Princesse. S'il y avait bien une chose qui la réjouissait plus que ce mot, ou celui d'impératrice qu'elle claquait au visage des gens dès lorsqu'elle se faisait un peu plus impérieuse qu'à l'habitude, c'était bien ce genre de petit geste qui gonflait plus encore son trop grand égo. Tout dans l'exécution trahissait des heures passé à se faire reprendre par leur précepteur mais Cataleya s'en émerveillait à chaque fois. Peut être parce James avait ce je-ne-sais-quoi. Ou peut être parce qu'il était bien trop attentionnée à son égard.
Les doigts se nouent et c'est pleinement triomphante que Cataleya croise le regard de Wyatt qui semble parfaitement profiter de la présence jeté sur ses genoux. Parfait.
« Néanmoins mettons au clair trois choses James ; Si Peter tente de me prendre dans ses bras et que je n'ai pas le réflexe de le frapper ou le mordre jusqu'au sang parce que l'alcool me rend beaucoup trop tactile, je t'ordonne de me gifler. » Déjà par pur principe, parce qu'il était hors de question que cette chose étrange la touche, qu'elle ne savait jamais sur quel pied danser face à lui et qu'en cas de doute, l'hostilité était toujours la meilleure réponse à donner, et qu'il l'intimidait beaucoup trop quand Maximilien n'était pas trop loin. Le summerbee avait peur de tout, le Wright avait gagné une aura ultra flippante depuis l'épisode de la forêt, et Cataleya était quasis convaincue que si elle fixait un peu trop longtemps Maximilien, celui-ci paniquerait, Peter le sentirait et elle finirait en jus de tomate extra épicé. Bref, aucun contact. « Si je parle de traîneau ou de bonhomme de neige, je t'en supplie James. Tu me jette sur ton épaule, tu me gardes sur tes genoux, tu me confies à qui tu veux, mais tu ne me laisse surtout pas envisager l'idée de tracter un traîneau. Et encore moins de faire un bonhomme de neige, ou une bataille de boule de neige. » Parce que c'était là ses trois dernières obsessions et qu'elle les savaient récurrente dès lors qu'elle était avec Wyatt. Et clairement, ils avaient déjà envisagés de construire un traîneau de noel et des pseudo bois de cerfs pour lui caler sur le crâne, et qu'elle avait adoré ça. « Enfin, mais ça va de soit, tu m'abandonnes pour sombrer une fois de plus au bar, et je boude. Mais on va surtout se concentrer sur cette histoire de traineau. Pas de traineau, même si je propose de coller des paillettes. Surtout si je parle de paillette ! »
- James BlackthornADMIN ☽ ○ ☾ Ice child of Gaïa
- » parchemins postés : 2107
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» crédits : ECK ou Google est mon ami
» multinick : L'hermine (Diane De C.), le moineau (Luan N.), le soleil-arc-en-ciel (Samara G-P.)
» âge : 26 ans (26/06/1998)
» situation : marié à Tia Nsar le 11/08/2024, futur père d'un bébé-amour prévu pour février 2025 (et amoureux de plusieurs personnes, chut)
» nature du sang : sang-pur
» particularité : cherche à apprendre l'occlumancie
» année d'études : 7e année
» options obligatoires & facultatives : Options obligatoires
• Botanique
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Options facultatives
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» profession : plus ou moins apprenti potioniste pour la Lunar Society Apothecary
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Re: Nouvel an - En aparté - ft. Cat (terminé)
Lun 23 Jan 2023 - 17:28
Tu le sais bien que c'est du dragonologue qu'elle parle. De cet homme que tu as jalousé, surveillé de loin comme si des regards noirs pouvaient réellement blesser, de peur qu'il n'éloigne de toi à jamais ta si précieuse étincelle. Ceci avant de comprendre, à la lueur de ces soirées passées en leur compagnie, que la tendresse qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre n'avait rien de comparable aux sentiments que tu nourrissais pour elle, et que si quelqu'un se débrouillait pour te séparer de celle qui fut autrefois ta promise, c'était bel et bien toi. Pour ainsi dire toi seul. Alors bien sûr, c'est lui qu'elle marierait dans les brumes de l'alcool, mais ça n'enlève en rien ce pincement dans ton coeur quand l'idée l'effleure à nouveau : quoi que tu aies espéré toute ta vie durant ou presque, ce ne sera pas toi. Même pour une lubie alcoolisée. Et ce triste constat assombrit un instant ton visage, comme elle le confirme sans état d'âme aucun.
« Je ne peux rien te promettre Ice ; J'ai décrété que j'allais conclure 2022 dans l'excès. Néanmoins il est fort probable que je me décide à marier une fois encore Wyatt parce qu'il complimentera mes cheveux. Et tu sais que c'est un motif valable pour une demande de mariage instantanée. Je te réserverai cependant la première danse, je te le promet. »
Tu ne réponds rien, parce qu'il n'y a rien à répondre. La première danse reste une bien maigre consolation face à une vie éloigné d'elle, et c'est pourtant ce à quoi tu dois te préparer : votre union n'est plus, rayée de la carte par la main sombre de vos parents. Elle en épousera un autre, tu devras toi aussi nommer quelqu'un prochainement, sous peine de ne pas avoir voix au chapitre en cas de manquement. Imaginer la superbe rousse au bras d'un autre te révulse, tout autant que l'idée d'en accompagner une autre jusqu'à un autel aux allures d'échafaud à tes yeux.
Alors pour ce soir, encore quelques instants, au moins, tu t'acharnes à occulter les desseins obscurs ourdis par l'ancienne génération, et à tenter plus vainement encore de passer outre tes propres fautes. L'alcool joue son rôle, lève certains verrous, l'amortensia aiguisant tes sens un peu plus encore, et le sourire de ta luciole vaut toutes les récompenses quand tes lèvres effleurent à peine la sienne, dans un geste à la perfection martelée dans tout ton être au fil des années, mais qui trouve ici, un peu, une tendresse jamais dédiée à aucune autre.
Ses doigts acceptent les tiens, et pour quelques heures encore, espères-tu, restent liés à toi. Quand bien même le discours que la flamboyante entame tranche avec toute démonstration d'affection. Un sourcil s'arque à mesure qu'elle énumère les situations pour lesquelles elle te somme de jouer les chiens de garde, et si l'empêcher de prendre un autre dans ses bras te semble assez peu difficile, tu ne t'imagines pas un instant la gifler. L'arc se creuse encore à l'évocation de traîneau, bonhomme et bataille de boules de neige, quand bien même tu dois bien admettre que l'idée de la voir jouer ainsi dans la poudreuse te semble charmante - les images se forment aisément dans ton imagination trop fertile, et tu sourirais presque si elle n'évoquait pas ton humeur maussade de cette dernière quinzaine.
« Enfin, mais ça va de soit, tu m'abandonnes pour sombrer une fois de plus au bar, et je boude. Mais on va surtout se concentrer sur cette histoire de traineau. Pas de traineau, même si je propose de coller des paillettes. Surtout si je parle de paillettes ! »
-Si je résume bien, reformules-tu alors, le regard un peu trop brillant tandis que ta main libre déleste la sienne du verre qu'elle t'a précédemment honteusement dérobé, le vidant davantage encore de son contenu, je reste avec toi et te garde sur mes genoux jusqu'à la fin de la nuit et t'empêche de devenir tactile avec qui que ce soit d'autre ?
Oh Quarta... Tu n'imagines pas à quel point ton iceberg peut devenir collant si tu lui en laisses le loisir...
« Je ne peux rien te promettre Ice ; J'ai décrété que j'allais conclure 2022 dans l'excès. Néanmoins il est fort probable que je me décide à marier une fois encore Wyatt parce qu'il complimentera mes cheveux. Et tu sais que c'est un motif valable pour une demande de mariage instantanée. Je te réserverai cependant la première danse, je te le promet. »
Tu ne réponds rien, parce qu'il n'y a rien à répondre. La première danse reste une bien maigre consolation face à une vie éloigné d'elle, et c'est pourtant ce à quoi tu dois te préparer : votre union n'est plus, rayée de la carte par la main sombre de vos parents. Elle en épousera un autre, tu devras toi aussi nommer quelqu'un prochainement, sous peine de ne pas avoir voix au chapitre en cas de manquement. Imaginer la superbe rousse au bras d'un autre te révulse, tout autant que l'idée d'en accompagner une autre jusqu'à un autel aux allures d'échafaud à tes yeux.
Alors pour ce soir, encore quelques instants, au moins, tu t'acharnes à occulter les desseins obscurs ourdis par l'ancienne génération, et à tenter plus vainement encore de passer outre tes propres fautes. L'alcool joue son rôle, lève certains verrous, l'amortensia aiguisant tes sens un peu plus encore, et le sourire de ta luciole vaut toutes les récompenses quand tes lèvres effleurent à peine la sienne, dans un geste à la perfection martelée dans tout ton être au fil des années, mais qui trouve ici, un peu, une tendresse jamais dédiée à aucune autre.
Ses doigts acceptent les tiens, et pour quelques heures encore, espères-tu, restent liés à toi. Quand bien même le discours que la flamboyante entame tranche avec toute démonstration d'affection. Un sourcil s'arque à mesure qu'elle énumère les situations pour lesquelles elle te somme de jouer les chiens de garde, et si l'empêcher de prendre un autre dans ses bras te semble assez peu difficile, tu ne t'imagines pas un instant la gifler. L'arc se creuse encore à l'évocation de traîneau, bonhomme et bataille de boules de neige, quand bien même tu dois bien admettre que l'idée de la voir jouer ainsi dans la poudreuse te semble charmante - les images se forment aisément dans ton imagination trop fertile, et tu sourirais presque si elle n'évoquait pas ton humeur maussade de cette dernière quinzaine.
« Enfin, mais ça va de soit, tu m'abandonnes pour sombrer une fois de plus au bar, et je boude. Mais on va surtout se concentrer sur cette histoire de traineau. Pas de traineau, même si je propose de coller des paillettes. Surtout si je parle de paillettes ! »
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Oh Quarta... Tu n'imagines pas à quel point ton iceberg peut devenir collant si tu lui en laisses le loisir...
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Re: Nouvel an - En aparté - ft. Cat (terminé)
Lun 23 Jan 2023 - 19:14
Un peu surprise, autant par ce verre dérobé que par les propos tenu, Cataleya stoppe son pas et darde ses grands yeux bleus sur James. Elle n'avait évoqué que Peter et se savait trop sociable en fin de soirée pour ne pas finir lové dans les bras de parfait inconnu, pourtant la phrase pique sur ses lèvres les prémisses d'un sourire. James était jaloux, ça se sentait à plein nez, et si elle n'avait aucune raison de célébrer ce défaut, force fut d'admettre que cela caressa un peu l'égo de la rouquine. Lui qui était si peu entreprenant ou démonstratif... C'était tout de même preuve qu'il portait un certain intérêt sur la Lufkin, quinze jour trop tard, mais intérêt quand même. Quand bien même cela signifiait la kidnapper toute une soirée durant et l'empêcher de finir dans les bras de Dalia à lui répéter qu'elle avait des yeux superbes. Et peut être dans ceux de Maximilien, aussi, parce que ses étreintes la rassurait toujours infiniment, quoi qu'elle démentirait tout propos allant dans ce sens. L'empêcher de rejoindre un madrilène surtout, et si ce constat contraria un poil Cataleya qui aurait tout de même aimé subtiliser un verre au Grymm pour fêter cette nouvelle année, la rousse s'efforça de se répéter que c'était pour le mieux. Un face à face entre les deux anciens alliés de quidditch n'augurait rien de bon, et Cataleya savait Wyatt quelque peu hostile au brun.
« Ce n'est pas tout à fait ce que j'ai dis, mais si souhaite vouer ta soirée à ma séquestration, tu peux toujours essayer. » Mais elle était une anguille Quartus, et se savait capable de glisser fourbement entre tes doigts pour finir sur le dos de Wyatt. Le sourire s'aiguise en coin et si Cataleya croise enfin le regard de Miguel, c'est un peu gêné qu'elle préfère se noyer dans le verre de son ancien fiancé, comme pour retrouver un semblant d'assurance. Les sourcils se froncent significativement et c'est pleinement féline qu'elle tente de subtiliser ce verre fourbement reprit. Tournant inlassablement autour du blond, quitte à sautiller un peu sur place lorsque le verre se fait trop haut pour elle. « Tu es cruel avec moi, James. » Un caprice au bout des lèvres, Cataleya prend des airs infantiles lorsqu'elle se rend définitivement compte qu'elle ne pourra pas rafler ce verre tentateur. Alors le menton se lève fièrement, et c'est presque impérieuse qu'elle reprend : . « Si je suis séquestrée et que je n'ai pas le droit de piquer dans ton verre, j'espère au moins avoir un massage du cuir chevelu et.... » Touché, c'est toi le chat. Le verre se dérobe soudainement et file entre les doigts d'une Cataleya qui presse le pas, beaucoup trop fière de sa ruse et de ce verre bassement récupéré. Le regard de chat potté était une arme qu'elle peaufinait depuis son plus jeune âge pour aspirer l'âme de ses victime et les séduires d'un simple battement de cil.
Pour un peu, la madrilène mal assumée aurait poussé un rire diabolique mais se savait couronné d'aucune réelle crédibilité pour tenter de verser dans le machiavélisme pleinement sobre.
« Ce n'est pas tout à fait ce que j'ai dis, mais si souhaite vouer ta soirée à ma séquestration, tu peux toujours essayer. » Mais elle était une anguille Quartus, et se savait capable de glisser fourbement entre tes doigts pour finir sur le dos de Wyatt. Le sourire s'aiguise en coin et si Cataleya croise enfin le regard de Miguel, c'est un peu gêné qu'elle préfère se noyer dans le verre de son ancien fiancé, comme pour retrouver un semblant d'assurance. Les sourcils se froncent significativement et c'est pleinement féline qu'elle tente de subtiliser ce verre fourbement reprit. Tournant inlassablement autour du blond, quitte à sautiller un peu sur place lorsque le verre se fait trop haut pour elle. « Tu es cruel avec moi, James. » Un caprice au bout des lèvres, Cataleya prend des airs infantiles lorsqu'elle se rend définitivement compte qu'elle ne pourra pas rafler ce verre tentateur. Alors le menton se lève fièrement, et c'est presque impérieuse qu'elle reprend : . « Si je suis séquestrée et que je n'ai pas le droit de piquer dans ton verre, j'espère au moins avoir un massage du cuir chevelu et.... » Touché, c'est toi le chat. Le verre se dérobe soudainement et file entre les doigts d'une Cataleya qui presse le pas, beaucoup trop fière de sa ruse et de ce verre bassement récupéré. Le regard de chat potté était une arme qu'elle peaufinait depuis son plus jeune âge pour aspirer l'âme de ses victime et les séduires d'un simple battement de cil.
Pour un peu, la madrilène mal assumée aurait poussé un rire diabolique mais se savait couronné d'aucune réelle crédibilité pour tenter de verser dans le machiavélisme pleinement sobre.
- James BlackthornADMIN ☽ ○ ☾ Ice child of Gaïa
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Re: Nouvel an - En aparté - ft. Cat (terminé)
Mar 24 Jan 2023 - 8:18
Bien sûr que tu es jaloux, aussi détestable ce constat puisse être, compte tenu du fait que ton propre coeur se partage lui-même entre deux personnes. Et de celui, plus triste encore, que tu aies perdu toute chance de relation plus poussée avec la rousse face à toi de par cet amour multiple que tu es toujours en peine de comprendre. Tu le ressens, c'est tout ce que tu peux en dire, si tant est que tu parvienne à mettre des mots dessus - un autre exploit en son genre.
« Ce n'est pas tout à fait ce que j'ai dis, mais si tu souhaites vouer ta soirée à ma séquestration, tu peux toujours essayer. »
Ta tête se penche légèrement sur le côté, comme songeuse. Mais à vrai dire, ça ou rester seul accoudé au bar, quelle perspective semblerait la moins glorieuse ? Probablement pas celle de garder ton ancienne promise près de toi autant que possible, assurément. Alors quand bien même tu la sais assez fourbe pour s'extirper de ton étreinte à un moment ou à un autre, avoir encore un peu l'occasion de sentir son parfum chatouiller ton nez reste un projet plus alléchant qu'enchaîner les oubliettes et les amortensia, quelle qu'en soit la qualité.
Elle tente de récupérer ton verre, cependant, dont tu subtilises à nouveau une partie du liquide chatoyant, bien décidé à profiter de ses effets, et si tu le lèves hors de sa portée presque par réflexe - c'était ton verre, à l'origine, après tout, et tu n'avais aucunement l'intention de ne pas le vider - la voir sautiller presque pour tenter de s'en emparer t'amuses plus que cela ne devrait.
« Tu es cruel avec moi, James. »
Un sourire effleure tes lèvres, comme tu connais par coeur ces mimiques qu'elle utilise depuis toujours sur tout son entourage pour parvenir à ses fins. Tu mentirais si tu disais que tu n'étais pas capable d'y succomber. Non pas que tu ne repères pas le petit manège habile auquel elle se livre, bien au contraire, simplement que ne pas y répondre génère souvent plus de problème que l'inverse. Pourtant ta main reste haute, un instant encore, mais ton attention se porte à ses propos et la posture se relâche inexorablement.
« Si je suis séquestrée et que je n'ai pas le droit de piquer dans ton verre, j'espère au moins avoir un massage du cuir chevelu et... »
Ta main se trouve vide subitement, et la chevelure rousse s'écarte, fendant la foule pour rejoindre la tablée désignée plus tôt. Un rire aussi léger que bref s'extirpe de tes lèves comme tu baisses un instant la tête, la secouant légèrement devant la situation pour le moins ridicule, et si tu la suis docilement, c'est en prenant le temps de retirer ta lourde veste et retrousser tes manches, l'atmosphère étouffante de l'endroit associée à vos pas de danse ayant visiblement raison de ta semblante isothermie. Ou est-ce la chaleur de l'alcool affluant dans tes veines ? Tu la rejoins quelques enjambées plus tard, ton pas moins pressé plus large que le sien et tes épaules repoussant plus aisément peut-être les convives sur ton passages, et glisse une main dans son dos, approchant ton oreille de la sienne pour souffler dans un murmure dédié à elle seule.
-Songeais-tu vraiment avoir besoin de tel caprice pour exiger un massage ?
Ou quoi que ce soit d'autre, d'ailleurs. Tu restes persuadé de ne pas mériter la moindre marque d'affection de sa part, mais maintenant qu'elle sait tes fautes, tes tares, si elle supporte encore ton contact, alors comme tu l'as signifié quelques minutes auparavant finalement, ses désirs sont des ordres...
« Ce n'est pas tout à fait ce que j'ai dis, mais si tu souhaites vouer ta soirée à ma séquestration, tu peux toujours essayer. »
Ta tête se penche légèrement sur le côté, comme songeuse. Mais à vrai dire, ça ou rester seul accoudé au bar, quelle perspective semblerait la moins glorieuse ? Probablement pas celle de garder ton ancienne promise près de toi autant que possible, assurément. Alors quand bien même tu la sais assez fourbe pour s'extirper de ton étreinte à un moment ou à un autre, avoir encore un peu l'occasion de sentir son parfum chatouiller ton nez reste un projet plus alléchant qu'enchaîner les oubliettes et les amortensia, quelle qu'en soit la qualité.
Elle tente de récupérer ton verre, cependant, dont tu subtilises à nouveau une partie du liquide chatoyant, bien décidé à profiter de ses effets, et si tu le lèves hors de sa portée presque par réflexe - c'était ton verre, à l'origine, après tout, et tu n'avais aucunement l'intention de ne pas le vider - la voir sautiller presque pour tenter de s'en emparer t'amuses plus que cela ne devrait.
« Tu es cruel avec moi, James. »
Un sourire effleure tes lèvres, comme tu connais par coeur ces mimiques qu'elle utilise depuis toujours sur tout son entourage pour parvenir à ses fins. Tu mentirais si tu disais que tu n'étais pas capable d'y succomber. Non pas que tu ne repères pas le petit manège habile auquel elle se livre, bien au contraire, simplement que ne pas y répondre génère souvent plus de problème que l'inverse. Pourtant ta main reste haute, un instant encore, mais ton attention se porte à ses propos et la posture se relâche inexorablement.
« Si je suis séquestrée et que je n'ai pas le droit de piquer dans ton verre, j'espère au moins avoir un massage du cuir chevelu et... »
Ta main se trouve vide subitement, et la chevelure rousse s'écarte, fendant la foule pour rejoindre la tablée désignée plus tôt. Un rire aussi léger que bref s'extirpe de tes lèves comme tu baisses un instant la tête, la secouant légèrement devant la situation pour le moins ridicule, et si tu la suis docilement, c'est en prenant le temps de retirer ta lourde veste et retrousser tes manches, l'atmosphère étouffante de l'endroit associée à vos pas de danse ayant visiblement raison de ta semblante isothermie. Ou est-ce la chaleur de l'alcool affluant dans tes veines ? Tu la rejoins quelques enjambées plus tard, ton pas moins pressé plus large que le sien et tes épaules repoussant plus aisément peut-être les convives sur ton passages, et glisse une main dans son dos, approchant ton oreille de la sienne pour souffler dans un murmure dédié à elle seule.
-
Ou quoi que ce soit d'autre, d'ailleurs. Tu restes persuadé de ne pas mériter la moindre marque d'affection de sa part, mais maintenant qu'elle sait tes fautes, tes tares, si elle supporte encore ton contact, alors comme tu l'as signifié quelques minutes auparavant finalement, ses désirs sont des ordres...
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Re: Nouvel an - En aparté - ft. Cat (terminé)
Mar 24 Jan 2023 - 10:00
Véritable tornade rousse, Cataleya file à la manière d'un renard parmi la foule et plonge sans mal aucun dans cette étrange marée humaine. Hélas, si échapper à James fut chose aisé, force est d'admettre que sa fuite est irrémédiablement stoppée par des gens statique et franchement peu effrayé par la mine enjoué d'Impératrice Cataleya Quarta Blackthorn. Raison de plus pour froncer au quotidien les sourcils et prendre des airs hostiles ; elle n'avait généralement pas ce souci là. Mais l'habitude ne prêtait pas à l'héritière d'Aloysius un tel épanouissement, et encore moins un sourire si ravissant. Piégé donc, James la rattrape le plus lentement du monde et c'est un peu frustrée qu'elle s'impatiente devant ce mur épais de sorcier paré de mille couleur.
La main glisse dans son dos, suivant sans mal aucun un frisson qui la grise jusqu'aux hanches et, irrémédiablement, Cataleya s’appuie contre le corps de James lorsqu'il se penche sur elle.
Si ses grands yeux bleus se perdent longuement dans ceux du blond, quelque peu surpris par la désinhibition de James et du caractère entreprenant dont se drape la soirée, c'est dans un soupire d'aise que la rousse s'abandonne un instant. Clos son regard mais ne parvient pas à réprimer son sourire lorsque les mots la berce. « Voyons James. Le caprice, c'est pour la forme. » Parce qu'elle aimait verser dans le dramatisme et jouer les princesses trop choyé. En témoignait chaque année cette st valentin où elle se célébrait elle même, là, entourée de roses, nichée dans une robe où elle était incapable de se mouvoir, souhaitant le plus sincèrement du monde des jetés de pétales à chacun de ses pas. Les doigts joliment posés sur sa harpe pour ponctuer des exigences plus improbables les unes que les autres, elle se couronnait reine et usait du quinze février -sacro-saint anniversaire- pour étendre son règne à sa famille toute entière.
D'un geste habile, Cataleya noue ses doigts à ceux de James derrière son dos et ramène sa main à ses lèvres pour la couronner d'un chaste baisé. Morgane seule sait ô combien James lui avait manqué. Ô combien elle s'était pétrit d'angoisse et culpabilité ces quinze derniers jours, incapable de l'extraire à ce marasme infâme et informe qui le faisait doucement sombrer. Si quelque chose s'était indéniablement brisé, force fut pourtant de constater que c'est encore amoureuse qu'elle tourna ses grands yeux bleu vers le Pokeby avant de se perdre dans un timide sourire. Il était évident que l'alcool tenait le premier rôle dans cet éclat soudain et surprenant de confiance que lui offrait James et pourtant, que ce trait était délicieux lorsque posé sur le visage de son aimé. @Jeremiah Shenton parvenait-il à pareil résultat sans user de l'alcool ? Certainement. Ses qualités de peintre ne pouvaient jouer que le plus justement du monde les exutoires et épanouir sans mal aucun une partie de James que les Blactkhorn réprimaient. Cherchaient en tout point à briser, quand bien même cela signifiait se priver d'un grandiose que Cataleya ne pouvait que silencieusement contempler.
James méritait de s'épanouir, et plus le temps filait sous leurs doigts noués et plus Cataleya craignait ne pas avoir les capacités pour assumer ce desseins sur lequel pourtant elle veillait ; si elle n'arrivait qu'avec peine et armée d'alcool à tirer un rire au blond, comment pouvait-'elle espérer le rendre heureux ?
« Rejoignons les autres. » Un tendre baisé sacre le dos de cette main noué à la sienne pour mettre fin aux digression de son esprit inquiet. « Parce que si tu ne touches pas à mes cheveux dans les dix prochaines minutes, je sens que je vais dépérir comme une rose sous le soleil brûlant d'aout. » et que si elle exigeait de son elfe qu'il lui brosse les cheveux tout les soirs pour la tranquilliser, force était d'admettre que c'était tout de même moins satisfaisant que lorsque James ou Tertia le faisait.
La main glisse dans son dos, suivant sans mal aucun un frisson qui la grise jusqu'aux hanches et, irrémédiablement, Cataleya s’appuie contre le corps de James lorsqu'il se penche sur elle.
Si ses grands yeux bleus se perdent longuement dans ceux du blond, quelque peu surpris par la désinhibition de James et du caractère entreprenant dont se drape la soirée, c'est dans un soupire d'aise que la rousse s'abandonne un instant. Clos son regard mais ne parvient pas à réprimer son sourire lorsque les mots la berce. « Voyons James. Le caprice, c'est pour la forme. » Parce qu'elle aimait verser dans le dramatisme et jouer les princesses trop choyé. En témoignait chaque année cette st valentin où elle se célébrait elle même, là, entourée de roses, nichée dans une robe où elle était incapable de se mouvoir, souhaitant le plus sincèrement du monde des jetés de pétales à chacun de ses pas. Les doigts joliment posés sur sa harpe pour ponctuer des exigences plus improbables les unes que les autres, elle se couronnait reine et usait du quinze février -sacro-saint anniversaire- pour étendre son règne à sa famille toute entière.
D'un geste habile, Cataleya noue ses doigts à ceux de James derrière son dos et ramène sa main à ses lèvres pour la couronner d'un chaste baisé. Morgane seule sait ô combien James lui avait manqué. Ô combien elle s'était pétrit d'angoisse et culpabilité ces quinze derniers jours, incapable de l'extraire à ce marasme infâme et informe qui le faisait doucement sombrer. Si quelque chose s'était indéniablement brisé, force fut pourtant de constater que c'est encore amoureuse qu'elle tourna ses grands yeux bleu vers le Pokeby avant de se perdre dans un timide sourire. Il était évident que l'alcool tenait le premier rôle dans cet éclat soudain et surprenant de confiance que lui offrait James et pourtant, que ce trait était délicieux lorsque posé sur le visage de son aimé. @Jeremiah Shenton parvenait-il à pareil résultat sans user de l'alcool ? Certainement. Ses qualités de peintre ne pouvaient jouer que le plus justement du monde les exutoires et épanouir sans mal aucun une partie de James que les Blactkhorn réprimaient. Cherchaient en tout point à briser, quand bien même cela signifiait se priver d'un grandiose que Cataleya ne pouvait que silencieusement contempler.
James méritait de s'épanouir, et plus le temps filait sous leurs doigts noués et plus Cataleya craignait ne pas avoir les capacités pour assumer ce desseins sur lequel pourtant elle veillait ; si elle n'arrivait qu'avec peine et armée d'alcool à tirer un rire au blond, comment pouvait-'elle espérer le rendre heureux ?
« Rejoignons les autres. » Un tendre baisé sacre le dos de cette main noué à la sienne pour mettre fin aux digression de son esprit inquiet. « Parce que si tu ne touches pas à mes cheveux dans les dix prochaines minutes, je sens que je vais dépérir comme une rose sous le soleil brûlant d'aout. » et que si elle exigeait de son elfe qu'il lui brosse les cheveux tout les soirs pour la tranquilliser, force était d'admettre que c'était tout de même moins satisfaisant que lorsque James ou Tertia le faisait.
- James BlackthornADMIN ☽ ○ ☾ Ice child of Gaïa
- » parchemins postés : 2107
» miroir du riséd : Lucky Blue Smith
» crédits : ECK ou Google est mon ami
» multinick : L'hermine (Diane De C.), le moineau (Luan N.), le soleil-arc-en-ciel (Samara G-P.)
» âge : 26 ans (26/06/1998)
» situation : marié à Tia Nsar le 11/08/2024, futur père d'un bébé-amour prévu pour février 2025 (et amoureux de plusieurs personnes, chut)
» nature du sang : sang-pur
» particularité : cherche à apprendre l'occlumancie
» année d'études : 7e année
» options obligatoires & facultatives : Options obligatoires
• Botanique
• SACM
• Astronomie
Options facultatives
• Vol/Sport
• Potions
» profession : plus ou moins apprenti potioniste pour la Lunar Society Apothecary
» gallions sous la cape : 745
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Nouvel an - En aparté - ft. Cat (terminé)
Mer 25 Jan 2023 - 15:31
Tu sens son poids plume prendre quelque peu appui sur toi pour ton plus grand plaisir. Tu as toujours aimé ces moments-là, quand bien même t'es-tu éternellement efforcé de le taire, quand conquérante, elle se juchait sur tes genoux, ou s'accrochait à ton cou. Le moindre contact, en réalité, t'a toujours grisé, bien plus que tu ne l'a jamais laissé paraître, faute de pouvoir t'autoriser le moindre laisser-aller, éducation Blackthorn oblige. Nul doute que si tu es resté distant de tous et toutes toutes ces années durant, ta sensibilité épidermique - dans tous les sens du terme - y était pour beaucoup. Il t'a toujours fallu museler toutes ces émotions et sensations qui bouillonnaient en toi, bien trop fort, de peur que leur lâcher la bride, ne serait-ce qu'un peu, laisse tout exploser.
Ce soir, cependant, tu t'interroges lourdement : à quoi bon ? A quoi bon tous ces sacrifices, toute ta vie durant ? Qu'en as-tu gagné, au final ? Ton regard se perd dans les iris pâles de ta cousine, et tu songes avec amertume à tout ce que tu as, surtout, et bien au contraire, perdu.
« Voyons James. Le caprice, c'est pour la forme. » murmure-t-elle en retour à ta question qui n'appelait finalement pas à tellement de réponse. A cet instant, de toutes les manières, probablement qu'elle pourrait exiger tout et n'importe quoi, que tu te plierais à la moindre de ses demandes. Là, ses doigts se nouant aux tiens, tu pries les esprits anciens que ce ne soit pas qu'un rêve, refusant tout bonnement de t'en éveiller. Tu l'as perdue déjà trop souvent, ta luciole, ton coeur déjà torturé par les drames familiaux éclatant un peu plus à chaque séparation. Si tu devais la perdre à nouveau, tu n'es pas sûr de savoir t'en relever. Le regard qu'elle pose sur toi à cet instant, cependant, vaut toutes les fortunes du monde, et enfle davantage encore dans ta poitrine cet amour éternel qui brûle pour elle.
« Rejoignons les autres », reprend-elle finalement, ses lèvres effleurant avec une douceur infinie le dos de ta main. « Parce que si tu ne touches pas à mes cheveux dans les dix prochaines minutes, je sens que je vais dépérir comme une rose sous le soleil brûlant d'août. »
Oh... Tu ne saurais autoriser pareille ignominie, n'est-ce pas ? Tu hoches légèrement la tête, la suis sans la moindre réticence jusqu'au groupe disparate là-bas. Si tu n'es guère à l'aise à l'idée de te mêler à une assemblée aussi nombreuse, et moins encore de faire face à certains des convives car trop nombreux sont ceux qui connaissent à présent ta fibre artistique si longtemps dissimulée, il ne te vient aucunement à l'idée de t'enfuir.
Cette fois.
Et comme pour confirmer tes dires un peu plus tôt, vous n'êtes pas installés depuis plus de quelques secondes que tu plonges déjà une main tendre main dans ses si magnifiques cheveux.
Ce soir, cependant, tu t'interroges lourdement : à quoi bon ? A quoi bon tous ces sacrifices, toute ta vie durant ? Qu'en as-tu gagné, au final ? Ton regard se perd dans les iris pâles de ta cousine, et tu songes avec amertume à tout ce que tu as, surtout, et bien au contraire, perdu.
« Voyons James. Le caprice, c'est pour la forme. » murmure-t-elle en retour à ta question qui n'appelait finalement pas à tellement de réponse. A cet instant, de toutes les manières, probablement qu'elle pourrait exiger tout et n'importe quoi, que tu te plierais à la moindre de ses demandes. Là, ses doigts se nouant aux tiens, tu pries les esprits anciens que ce ne soit pas qu'un rêve, refusant tout bonnement de t'en éveiller. Tu l'as perdue déjà trop souvent, ta luciole, ton coeur déjà torturé par les drames familiaux éclatant un peu plus à chaque séparation. Si tu devais la perdre à nouveau, tu n'es pas sûr de savoir t'en relever. Le regard qu'elle pose sur toi à cet instant, cependant, vaut toutes les fortunes du monde, et enfle davantage encore dans ta poitrine cet amour éternel qui brûle pour elle.
« Rejoignons les autres », reprend-elle finalement, ses lèvres effleurant avec une douceur infinie le dos de ta main. « Parce que si tu ne touches pas à mes cheveux dans les dix prochaines minutes, je sens que je vais dépérir comme une rose sous le soleil brûlant d'août. »
Oh... Tu ne saurais autoriser pareille ignominie, n'est-ce pas ? Tu hoches légèrement la tête, la suis sans la moindre réticence jusqu'au groupe disparate là-bas. Si tu n'es guère à l'aise à l'idée de te mêler à une assemblée aussi nombreuse, et moins encore de faire face à certains des convives car trop nombreux sont ceux qui connaissent à présent ta fibre artistique si longtemps dissimulée, il ne te vient aucunement à l'idée de t'enfuir.
Cette fois.
Et comme pour confirmer tes dires un peu plus tôt, vous n'êtes pas installés depuis plus de quelques secondes que tu plonges déjà une main tendre main dans ses si magnifiques cheveux.
– the best –