- Maximilien Leroyfrench style ♔ sweet golden boy
- » parchemins postés : 8434
» miroir du riséd : francisco lachowski
» crédits : byweaslove (ava)
» multinick : arty / joe / keir / mag
» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» nature du sang : sang-pur
» particularité : animagus
» année d'études : /
» options obligatoires & facultatives : Ancien cursus : Journalisme
♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
» profession : chroniqueur à la Chouette Enchaînée, en attente d'un poste en France
» gallions sous la cape : 6321
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Where is Brian ? (ft. Max)
Lun 23 Jan 2023 - 15:52
Where is Brian ? ft. @Maxence Bonnamy | 23.01.23C’est sur les rotules que Max rentre en début de soirée à l’appartement qu’il partage avec son cousin Maxence et ce, depuis presque deux ans maintenant. Si longtemps qu’il ne se souvient même plus de ce que ça fait de vivre dans les dortoirs des Summerbee. On ne peut pas dire non plus qu’il soit très présent dernièrement dans la vie de son cousin, passant la plupart de ses nuits à la colocation des Friends, dans la chambre de Peter. Mais ce soir, l’un comme l’autre se sont accordés sur le fait qu’ils devaient bosser et que la présence de l’autre les distrait. C’est donc un peu de solitude que Maximilien vient chercher dans cet appartement qui a accueilli sa misère financière en mars 2021. Il ne remerciera jamais assez le Bonnamy pour cela. Il salue ce dernier après avoir passé la porte et se dirige aussitôt vers sa chambre, où il dépose ses affaires avec minutie sur un coin de son lit. Son attention est aussitôt attirée par son animal de compagnie, Brian, qui vit tranquillement sa vie de son côté.
« Bah alors mon bébé, je ne t’ai pas manqué ? Tu n’aurais pas pris un ou deux centimètres toi ? » Ce n’est probablement qu’une fausse impression. Cependant, il se rappelle à lui-même que cela fait un petit moment qu’il n’a pas pris le temps de s’occuper de Brian. Certes, n’étant ni un chien ni toute autre créature réclamant de l’affection, il n’a pas besoin d’être choyé au quotidien mais Maximilien étant qui il est, il est évident pour lui que son petit Brian a besoin de ses caresses. C’est donc avec précaution qu’il ouvre le terrarium savamment installé dans le coin de la pièce, à l’abri de ses passages les plus fréquents. Le python royal vient aussitôt trouver sa place le long de son bras et s’enroule autour de son poignet de son pouce. Tout sourire, Maximilien caresse sa peau et le regarde vagabonder sur lui deux à trois petites minutes tout en restant le plus immobile possible pour ne pas le stresser. Finalement, conscient qu’il n’avancera pas dans ses révisions comme ça, il va s’installer à son bureau et garde un œil distrait sur Brian, se promettant de le remettre dans son terrarium d’ici cinq minutes.
Trop distrait, peut-être, car il dépasse le temps imparti et met trop longtemps à se rendre compte que le reptile a quitté son épaule et qu’il n’est nulle part autour de lui. Erreur de débutant.
« Brian ? Brian, viens voir papa. » Inutile, bien sûr. Un serpent n’est pas un chien, il n’a pas de rappel. Maximilien essaye d’effacer l’inquiétude dans ses gestes et sa voix. Il n’en revient pas d’avoir fait une bêtise pareille. On lui a pourtant dit de faire attention : un serpent peut vite être perdu, surtout dans ce genre de bâtiment. Et comble de la bêtise, sa porte de chambre est restée entrouverte. Génial. Gardant un oeil sur le sol pour ne pas risquer de poser son pied au mauvais endroit, c’est Maxence qu’il interpelle une fois dans le salon.
« T’as pas vu Brian ? Il était sur moi y’a même pas une minute et je ne le trouve plus… » Cette fois-ci, il n’arrive pas à cacher son inquiétude. Il adore Brian, le perdre n’est pas envisageable…
il est libre max
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Brian is in the kitchen
Lun 23 Jan 2023 - 17:33
Plaquant une main distraite sur son épaisse tignasse, Maxence ne remarqua pas même les traces de peinture laissé là, sur une fibre capillaire revêche et malmenée. Quelque chose n'allait pas, et plus ses clairs iris grattait la toile en quête d'imperfection et plus il venait à remettre en doute chacun des traits couchés là, sur cet écrin sombre ou se détachait par éclat les derniers rayons du jour. Si la tête penche sur le côté et que l'absence de clignement de paupière confère à l'ainé Bonnamy une allure d'étrange hibou, c'est la voix de son cousin qui l'arrache au torrent de ses pensées. Brian, disparu ?
Le réflexe veut que le brun vienne à siffler comme on le ferait pour un chien mais, faute de réponse évidente, le Pokeby se laisse couler hors de son siège à la manière d'un poulpe mou.
« Brian ! On a établit des règles sur les fugues ! Tu ne peux pas chercher ta nourriture tout seul.»
A quatre patte sur son parquet, Maxence observe longuement sous les meubles de sa chambre avant de relever doucement le regard, sait-on jamais. Après tout, si seul les fourchelangues pouvaient nouer le dialogue avec eux, peut-être était-ce preuve de capacité dont on ne soupçonnait pas même l'existence. Du genre, des faculters à dominer le monde sans le plus grands des secrets. Ça expliquerait peut être le réchauffement climatique ! Après tout, le sang froid des reptiles constituaient un véritable handicape dans l'assaut du monde !
C'est après avoir nourrit quelques théories du complot sur les reptiles et sur la position de Brian dans ce nouvel ordre mondial que Maxence se dirige d'un pas assuré vers la cuisine, balayant méthodiquement le sol pour traquer le fugitif.
« La dernière fois que je l'ai perdu, il était sous mon linge sale. Il n'est pas tombé dans ta capuche ou... T'as une capuche au moins ? »
Avait-il déjà oublié comment été vêtu son cousin ? Totalement, et pria silencieusement de ne jamais devoir établir de portrait robot de sa vie tant ce constat le dépita.
Les mains portés sur les hanches, le peintre fronça un peu les sourcils et s'acharna à vérifier un à un les points chaud de l'appartement, avant de soudainement d'entrouvrir le tiroir à couvert en signe de désespoir. Pas là non plus.
Ok, Brian était vraiment perdu
« Si tu me cache une ascendance fourchelangue, c'est le moment Max. Ou si tu parles aux... Rongeurs. »
Le réflexe veut que le brun vienne à siffler comme on le ferait pour un chien mais, faute de réponse évidente, le Pokeby se laisse couler hors de son siège à la manière d'un poulpe mou.
« Brian ! On a établit des règles sur les fugues ! Tu ne peux pas chercher ta nourriture tout seul.»
A quatre patte sur son parquet, Maxence observe longuement sous les meubles de sa chambre avant de relever doucement le regard, sait-on jamais. Après tout, si seul les fourchelangues pouvaient nouer le dialogue avec eux, peut-être était-ce preuve de capacité dont on ne soupçonnait pas même l'existence. Du genre, des faculters à dominer le monde sans le plus grands des secrets. Ça expliquerait peut être le réchauffement climatique ! Après tout, le sang froid des reptiles constituaient un véritable handicape dans l'assaut du monde !
C'est après avoir nourrit quelques théories du complot sur les reptiles et sur la position de Brian dans ce nouvel ordre mondial que Maxence se dirige d'un pas assuré vers la cuisine, balayant méthodiquement le sol pour traquer le fugitif.
« La dernière fois que je l'ai perdu, il était sous mon linge sale. Il n'est pas tombé dans ta capuche ou... T'as une capuche au moins ? »
Avait-il déjà oublié comment été vêtu son cousin ? Totalement, et pria silencieusement de ne jamais devoir établir de portrait robot de sa vie tant ce constat le dépita.
Les mains portés sur les hanches, le peintre fronça un peu les sourcils et s'acharna à vérifier un à un les points chaud de l'appartement, avant de soudainement d'entrouvrir le tiroir à couvert en signe de désespoir. Pas là non plus.
Ok, Brian était vraiment perdu
« Si tu me cache une ascendance fourchelangue, c'est le moment Max. Ou si tu parles aux... Rongeurs. »
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Re: Where is Brian ? (ft. Max)
Lun 23 Jan 2023 - 17:53
Where is Brian ? ft. @Maxence Bonnamy | 23.01.23C’est ce qui l’inquiète le plus : que Brian sorte de l’espace alloué par le propriétaire à leur vie commune et qu’il aille se faufiler sous d’autres portes. Et si quelqu’un tombait sur lui dans l’ascenseur ? Dans les escaliers ? Grabuge assuré. Le proprio de Maxence ne sait pas qu’il a une telle bête pour animal de compagnie et expliquer le pourquoi du comment n’est pas dans ses options. Il faut retrouver Brian et à l’image de son cousin, Maximilien se met à fouiller dans les moindres recoins du salon. Surtout les points les plus chauds où il aurait pu se blottir, par stress d’être dans un environnement qu’il n’explore que très rarement.
« Non, je n’ai pas de cap… COMMENT ça “la dernière fois que je l’ai perdu” ??? Me dis pas que ça t’arrive souvent hein ! » Il sent déjà son cœur battre à tout rompre. Si en plus, Maxence lui cache des informations… Mais ce n’est pas le moment de s’en inquiéter. La priorité, c’est de retrouver le python royal avant qu’il ne se fasse la malle. Maximilien se rend seulement compte maintenant de la taille de l’appartement dans lequel il vit, qui lui semble beaucoup plus petit quand il ne doit pas rechercher son serpent.
Faisant chou blanc dans le salon, il rejoint son cousin dans la cuisine. La salle de bain, elle, est correctement fermée donc il n’y a pas de raison que Brian s’y trouve. Suppose-t-il. Mais vérifier un peu plus tard ne sera pas de trop. Malheureusement pour eux, la cuisine regorge de petits coins où se terrer, ils n’ont pas fini de chercher…
« Ça ne me fait pas trop rigoler… » lâche-t-il d’un ton sec qui n’est pas voulu et il se redresse aussitôt pour regarder son cousin d’un air désolé. « Excuse-moi, je ne voulais pas paraître méchant. C’est juste que ça me stresse beaucoup, que j’ai encore pas mal de boulot et que passer la soirée à le chercher n’était pas dans mes plans. C’est moi l’inconscient, pas toi. » Tout ceci est de sa faute, il n’y a pas d’autre façon de le dire. Il aurait dû être plus vigilant. Il l’est toujours, normalement ! Maximilien a toujours été le garçon responsable sur qui on peut se reposer… il n’aime pas prouver le contraire. Surtout quand c’est Brian qui doit en payer le prix. Évitant les mouvements brusques, il se met à plat ventre sur le sol de la cuisine pour inspecter chaque dessous de meuble, à chaque fois convaincu que “cette fois, ce sera la bonne !”. Puis il se redresse, dépité, inquiet. Où est Brian ? A-t-il bien fouillé sa chambre ? Et s’il y était retourné entre-temps ?
« Ah ! » Il retient un cri et baisse aussitôt l’intonation de sa voix pour ne pas stresser davantage l’animal qui s’est terré derrière le four. Ouf, Brian est dans la cuisine ! « Il est là. Faut juste que j’arrive à le choper sans qu’un de nous deux ne panique. Tu peux immobiliser le four s’il-te-plaît ? » demande-t-il avant d’amorcer un mouvement en direction du reptile.
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Re: Where is Brian ? (ft. Max)
Sam 4 Fév 2023 - 19:33
Maximilien panique, tout bonnement, lorsque son cousin survole cette fameuse fois où il avait oublié de remettre le verrou du terrarium et que le poids du python posé sur la vitre lui avait offert les clefs de la liberté. Si Maxence avait pleinement paniqué lui aussi, et s'était retenu de spammer l'abeille de sms, force était d'admettre qu'il s'était émerveillé devant cette échappée belle et avait depuis offert à Brian de superbe soirée film d'espionnage tout les vendredi soir à ses côtés. Il avait passé plus d'une heure et demi à quatre pattes avant de réaliser que le python rampait sous ses t-shirts roulé en boule dans un coin de sa chambre mais gardait un très bon souvenir de cette aventure qui lui avait inspiré une toile.
« Ce n'est arrivé qu'une fois, tout va bien Max. » La voix est profondément douce et si elle tient de l'habitude, force est d'admettre qu'elle détonne infiniment dans cette situation d'urgence. Il s'en maudit d'ailleurs un peu et tente de se faire plus confiant lorsqu'il reprend. « On va le retrouver. » Mouais. Heureusement que Maxence n'avait pas emprunté la voie de la justice magique sans quoi ses clients seraient rentré dans un état de panique à chacune de ses phrases...
Il s'était essayé à jouer les chevaliers plus d'une fois mais Marie brillait bien mieux que lui dans ce rôle, et la dernière fois qu'il avait tenté de revêtir cette armure c'était en présence d'uneCatalina (Catleya ?) Cataleya Blackthorn sur la défensive après avoir contré une énième joute verbale contre Charles Leroy et... Ca s'était soldé par cette furie rousse lui crachant qu'elle lui briserait le poignet s'il daignait encore une fois lui adresser la parole. Pas franchement une réussite, avouons le. Quoi que lui tresser les cheveux alors qu'elle s'acharnait à poignarder ses macarons à coup de fourchette semblait l'avoir un peu apaisée... « Ça ne me fait pas trop rigoler… »
« Pardon.. Tu sais que je fais des blagues nulles quand je commence à stresser... » Maximilien s'excuse pourtant instantanément et c'est un peu paniqué que Maxence surenchéri, désolé que son cousin ait à s'excuser. « T'es pas inconscient Max, juste un peu débordé.. Si on ne le retrouve pas dans les dix minutes je le chercherai seul ; je n'ai pas grand chose à faire ce so- Oh ! J'ai trouvé un... » Comment son carnet à dessin avait échoué sous le meuble de l'évier ? L'exclamation du summerbee fait soudainement redresser la tête à l'étudiant en architecture qui, maladroitement, se cogne déjà la tête contre le meuble sous lequel il explorait sans grâce aucune. Arf ! Le crâne raisonne un peu mais c'est vif que le brun se poste non loin du four pour l'immobiliser.
« Brian was in the kitchen ! » Max, on a dit stop aux blagues nulles. Surtout quand ton accent se faisait s'enlaidissait plus encore sur la fatigue. « Si t'as pas mangé chez Pete, je peux te faire une carbonnade flamande ! Vu que.. merde. Attend attend attend, je vais lâch- Ah non c"est bon ! Vu que t'as pas mal de taff ! Tu l'as récupéré ? Parce que je vais lâcher dans quinze seconde ! »
« Ce n'est arrivé qu'une fois, tout va bien Max. » La voix est profondément douce et si elle tient de l'habitude, force est d'admettre qu'elle détonne infiniment dans cette situation d'urgence. Il s'en maudit d'ailleurs un peu et tente de se faire plus confiant lorsqu'il reprend. « On va le retrouver. » Mouais. Heureusement que Maxence n'avait pas emprunté la voie de la justice magique sans quoi ses clients seraient rentré dans un état de panique à chacune de ses phrases...
Il s'était essayé à jouer les chevaliers plus d'une fois mais Marie brillait bien mieux que lui dans ce rôle, et la dernière fois qu'il avait tenté de revêtir cette armure c'était en présence d'une
« Pardon.. Tu sais que je fais des blagues nulles quand je commence à stresser... » Maximilien s'excuse pourtant instantanément et c'est un peu paniqué que Maxence surenchéri, désolé que son cousin ait à s'excuser. « T'es pas inconscient Max, juste un peu débordé.. Si on ne le retrouve pas dans les dix minutes je le chercherai seul ; je n'ai pas grand chose à faire ce so- Oh ! J'ai trouvé un... » Comment son carnet à dessin avait échoué sous le meuble de l'évier ? L'exclamation du summerbee fait soudainement redresser la tête à l'étudiant en architecture qui, maladroitement, se cogne déjà la tête contre le meuble sous lequel il explorait sans grâce aucune. Arf ! Le crâne raisonne un peu mais c'est vif que le brun se poste non loin du four pour l'immobiliser.
« Brian was in the kitchen ! » Max, on a dit stop aux blagues nulles. Surtout quand ton accent se faisait s'enlaidissait plus encore sur la fatigue. « Si t'as pas mangé chez Pete, je peux te faire une carbonnade flamande ! Vu que.. merde. Attend attend attend, je vais lâch- Ah non c"est bon ! Vu que t'as pas mal de taff ! Tu l'as récupéré ? Parce que je vais lâcher dans quinze seconde ! »
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Re: Where is Brian ? (ft. Max)
Lun 6 Fév 2023 - 13:20
Where is Brian ? ft. @Maxence Bonnamy | 23.01.23Ce n’est pas son genre d’attaquer qui que ce soit, surtout s’il est fautif. Il ne sait pas d’où ce ton lui est venu, il n’a d’ailleurs rien d’agréable. Maxence est sympa, pas prise de tête. On ne peut guère rêver mieux comme colocataire. Bien sûr qu’il sait que cette blague n’est que le résultat d’un stress qu’ils partagent et se renvoient à chaque parole, chaque regard échangé. S’il se met dans un tel état pour son serpent, qu’en serait-il si Peter venait à disparaître ? Mieux vaut ne pas y songer.
« Tu dois avoir raison. » Il n’y a même pas de doute sur le sujet. Maximilien se sait débordé et pourtant, il ferme les yeux sur cette vérité. Les cours, le club de duel, le quidditch, son nouveau boulot à la Chouette Enchaînée (et les attentes impossibles de Roman sur ses performances), les allers-retours entre les différents appartements, les révisions et Peter, il ne sait plus où donner de la tête. Il tient absolument à garder un peu de vie sociale, à ne plus fermer les portes à ses amis comme il a pu le faire lorsqu’il a eu tous ces problèmes et que l’isolement lui paraissait être la seule solution viable. Mais qui dit du temps pour les autres dit moins de temps pour lui. Et s’il n’y avait que cela ! Avec le redoublement du corbeau, il s’est mis en tête de l’aider au mieux afin qu’il réussisse son année et reprenne un rythme correct qui lui assure une bonne voie jusqu’au diplôme. Maximilien le sait, il prend trop sur lui. Tous les problèmes du monde ne le concernent pas et pourtant, il se fait comme un devoir de les résoudre. Alliez à cette fâcheuse manie le fait que James joue le muet dernièrement… il y a de quoi devenir fou. Il échangerait beaucoup de choses pour retrouver le calme que manifeste Maxence dans une telle situation.
C’est dans une exclamation qu’il indique à son cousin sa trouvaille. Un long soupire de soulagement passe ses lèvres alors même qu’il termine sa phrase et que le Pokeby vient lui porter assistance, immobilisant le four afin qu’il puisse récupérer Brian sans encombre. Voilà une inquiétude de moins à rayer de sa liste. Quel idiot il a été, aussi… La pression redescend, tant et si bien qu’il parvient même à comprendre la blague de l’artiste et à en rire. Pas l’un de ses rires les plus francs mais l’effort est là. Le Bee s’accroupit, tend le bras et invite plusieurs fois le reptile à venir s’y enrouler pour qu’il le tire de là. Brian saurait s’en sortir seul mais le but n’est pas qu’il aille se planquer dans un autre coin inaccessible de l’immeuble.
« Lâche pas, lâche pas ! » Sa voix accompagne celle de Maxence alors que leurs battements de cœur s’intensifient pendant une seconde ou deux, pas plus. Le four se stabilise, Brian comprend ce qu’il est supposé faire et il enroule son long corps autour de l’avant-bras du sorcier. Maximilien peut aisément sentir son stress se manifester par la pression qu’il exerce sur sa peau. Pas de quoi arrêter son sang de circuler, cependant.
« C’est bon, tu peux le reposer. Merci ! Plus de peur que de mal hein… » C’est ce qu’on dit. « Attends, je reviens. » C’est à pas lent et maîtrisé qu’il regagne sa chambre pour rendre au python une atmosphère plus sûre et sitôt dans son terrarium, il disparaît dans l’une de ses planques. Maximilien prend bien soin de le refermer (il vérifie même deux fois) et rejoint son cousin. « Désolé pour tout ça, j’ai l’impression d’avoir couru dix kilomètres. Je ne sais plus ce que tu disais ? Ah oui ! » Au même instant, son ventre se met à gargouiller. « Une carbonnade flamande, ce serait vraiment top. J’ai pas eu le temps d’aller chez Pete aujourd’hui. Est-ce que je peux t’aider ? » Cela lui fera sûrement du bien de se sortir la tête des cours…
il est libre max
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Re: Where is Brian ? (ft. Max)
Mer 19 Avr 2023 - 22:11
Brian en sécurité, Maximilien l'emporte dans sa chambre pour lui fournir un environnement plus doux et sécurisé que celui qu'il venait de connaître. Il faut dire que tous préfèrerait un doux paillages de coco plutôt que les dessous sale d'un four dont Maxence avait les plus grande peine à parfois dégraisser. Si l'héritier Leroy feint la maîtrise, le regard de son cousin se fait soucieux. Plus de peur que de mal se répète t'il doucement, non sans ramener plus d'une fois son regard au sorcier plus qu'au serpent. S'il savait les ophidiens soumis à leur environnement, et donc se faire bien plus fragile que ce que hurlait l'imaginaire collectif, c'était la santé et le moral du summerbee qui l'inquiéta à cet instant précis plus que celui de Brian. Est-ce que je peux t’aider ?
«Ta compagnie me suffit, installe toi ! » Répond le peintre dans un souffle, effleurant la ta table du bout des doigts avant de venir se laver les mains. Gardant un temps le silence, Maxence perd son esprit sur la cuisine comme pour s'y repérer, malgré le fait qu'il connaissait déjà, et parfaitement, la configuration du lieu. Pourtant, il ouvre les mêmes placards vides à chaque fois, et râle un peu lorsqu'il est amené à revenir sur ses pas pour récupérer la farine devant laquelle il était déjà passé.
«Comment s'est passé ta semaine ? Étude, amour, boulot... » Pour sa part, pas grand chose. Son existence n'avait rien de comparable aux grandes épopées qu'ils se plaisait à lire là, niché sous ses couettes. Il adorerait pourtant verser dans ces anecdotes apéritive que son père se plaisait à distribuer à grand tour de bras pour combler le vide, faute de savoir comment aborder ses inquiétudes et, abruptement sans doute, le pokeby tourne les yeux vers le summerbee. «Parce-qu'on est d'accord que ça va, hein, toi. » La phrase tient d'un maladroit mélange d’anglicisme sur fond d'accent franchement français tant la fatigue rend l'esprit du Bonnamy un peu chaotique. Il ignore même pourquoi et comment de l'anglais a pu se glisser là et semble profondément tiquer -une expression de poulpe mort sur le visage, quelques secondes du moins, avant de revenir à la découpe de son bœuf comme si de rien n'était.
«Ta compagnie me suffit, installe toi ! » Répond le peintre dans un souffle, effleurant la ta table du bout des doigts avant de venir se laver les mains. Gardant un temps le silence, Maxence perd son esprit sur la cuisine comme pour s'y repérer, malgré le fait qu'il connaissait déjà, et parfaitement, la configuration du lieu. Pourtant, il ouvre les mêmes placards vides à chaque fois, et râle un peu lorsqu'il est amené à revenir sur ses pas pour récupérer la farine devant laquelle il était déjà passé.
«Comment s'est passé ta semaine ? Étude, amour, boulot... » Pour sa part, pas grand chose. Son existence n'avait rien de comparable aux grandes épopées qu'ils se plaisait à lire là, niché sous ses couettes. Il adorerait pourtant verser dans ces anecdotes apéritive que son père se plaisait à distribuer à grand tour de bras pour combler le vide, faute de savoir comment aborder ses inquiétudes et, abruptement sans doute, le pokeby tourne les yeux vers le summerbee. «Parce-qu'on est d'accord que ça va, hein, toi. » La phrase tient d'un maladroit mélange d’anglicisme sur fond d'accent franchement français tant la fatigue rend l'esprit du Bonnamy un peu chaotique. Il ignore même pourquoi et comment de l'anglais a pu se glisser là et semble profondément tiquer -une expression de poulpe mort sur le visage, quelques secondes du moins, avant de revenir à la découpe de son bœuf comme si de rien n'était.
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Re: Where is Brian ? (ft. Max)
Jeu 20 Avr 2023 - 15:59
Where is Brian ? ft. @Maxence Bonnamy | 23.01.23Aux mots de son cousin, il s’installe à la table de la cuisine et si sa position est au départ très guindée – comme d’habitude avec lui, il a été élevé par nul autre que Charles après tout – il finit par s’affaisser au fil des secondes. Son regard suit les mouvements de Maxence et il sourit de temps en temps en l’écoutant râler contre lui-même ou ses ingrédients, comme le bon français qu’il est. Si la question posée ne le déstabilise pas car plutôt commune dans une conversation polie, elle renvoie Maximilien à des inquiétudes de plus en plus dévorantes. Ce n'est pas pour rien qu’il a perdu de vue son python royal : la concentration n’y était pas. Le menton posé sur ses bras repliés, il s’apprête à répondre quand Maxence surenchérit à sa propre question. Qu’est-il supposé comprendre ? « ça va hein toi » dans le sens « c’est pas comme si tu pouvais te plaindre maintenant » ou qui veut plutôt dire « t’es sûr que tu n’es pas reparti sur le chemin de l’autodestruction » ? Le Summerbee fronce les sourcils. Après quelques secondes d’hésitation, il entend finalement ce que son cousin a voulu dire – ou plutôt faire – par-là : se rassurer de son état. Il pourrait être malhonnête et menteur en disant que tout va bien car se plaindre alors qu’il est un sorcier plutôt bien loti reviendrait à s’ériger en victime. Ou alors, dire la vérité et accepter que, parfois, il peut retentir comme un égocentrique. Sachant que l’inquiétude de Maxence repose sur une expérience passée plutôt traumatisante, il est normal qu’il ne cherche pas à lui cacher son état de santé aussi bien mental que physique. C’est sa façon à lui de prévenir et identifier une potentielle rechute. Son menton retourne à sa position initiale et il gratte la table de son ongle.
« Techniquement, tout va bien » dit-il plus pour se donner bonne conscience qu’autre chose. « Je suis juste très fatigué à cause des fêtes et de la reprise, comme tout le monde. Roman ne me ménage pas dans ses corrections de mes articles et en ce moment, j’ai carrément l’impression de ne pas avoir ce qu’il faut pour faire ce métier, en plus d’en gérer la pression. » Il soupire, le sorcier, conscient de sa chance d’avoir été embauché mais martelé par les doutes depuis qu’il est « l’un des leurs ». Son niveau n’est pas celui qu’il aurait espéré qu’il soit et il sait le Duvall partiellement déçu ou, tout du moins, en attente d’une nouvelle preuve de ses compétences journalistiques. Une preuve qui tarde à apparaître…
« Je ne veux rien léser, tu vois. Ni la Chouette, ni les cours, ni ma thèse et encore moins Peter. C’est juste… si compliqué de donner du temps à tout le monde tout en en gardant pour soit ! J’ai l’impression que les rares fois où j’en ai, c’est quand je dors… Et une fois réveillé, le manège reprend. En plus c’est bientôt la Saint-Valentin et j’ai aucune idée de cadeau, je crains… » Okay, pour un gars qui ne voulait pas se (faire) plaindre… il démarre mal !
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Re: Where is Brian ? (ft. Max)
Lun 15 Mai 2023 - 7:38
Tournant le dos au summerbee, Maxence ne dit mot. Il acquiesce pourtant consciencieusement devant les doutes formulés, comme pour leur donner une légitimité qu'il devine vacillante car Maximilien lui semble toujours vouloir s'effacer avant même de formuler ses plaintes. Capable de prêter mille fois attention aux besoins des autres, mais incapable d'accepter que, parfois, lui aussi avait besoin d'exprimer ses peurs et doutes Rien d'étonnant au vu du poids que plaquait sur ses épaules le patriarche Leroy. La moue du Pokeby se forme alors un peu à mesure qu'il se saisit de ses ingrédients, mais le tout s'immobilise sur le plan de travail lorsque tombe le sujet de la saint valentin. D'un geste doux, la main se tend pour effleurer l'avant bras de son cousin et l'empêcher de démarrer une spiral d’auto-flagellation, le couronnant d’emblée d'un sourire sans jugement.
« Soyons honnête une seconde, bon nombre de couple s'y prenne au dernier moment. Dirais-tu qu'ils craints ? » Non, évidemment, mais entre train de vie effréné, pression sociale et culpabilité personnelle, Maxence ne doutait pas une seule seconde que nombreux étaient ceux qui formulerait ces mêmes mots à cet instant précis, ou dans les jours à venir pour les même raison. « Tu n'arriveras à rien en lésant tes besoins, aussi fort le souhaiteras tu... Comment dis-t’ont déjà … ? « Charité bien ordonnée commence par soi-même. » ? Alors prends ta soirée. Ton cerveau en surchauffe sera bien plus performant après une pause. »
Le ton est égal -sans fausse note- comme une confidence glissé à l'oreille, et le regard infiniment doux. Souplement, Maxence ramène doucement les ingrédients sur la table et prend place face au brun, œuvrant dans une paisible nonchalance qui irriterait à coup sûr son grand père car manquant de clairement fermeté, même face à du boeuf. La vérité pourtant, c'est qu'il réfléchit minutieusement au meilleur moyen d'aider ce cousin en souffrance, là, entre ses ingrédients.
« Si tu devais faire un truc maintenant, sans craindre le regard Charles ou qu'on te taxe d'égoiste, vraiment un truc que t'aimerais faire. Qu'est-ce que ça serait ? »
Il avait déjà eu ce genre de discussion avec Cataleya lorsque, tenue infiniment droite à ses côtés, elle cherchait à poignarder de ses yeux trop bleu le visage du patriarche Leroy. Ses réponses l'avaient toujours fondamentalement surpris tant elle tenait du simple, et leur exécutions leur exécutions les avaient considérablement rapproché, en plus de tranquilliser ce dragon que renfermait de temps à autre le domaine Leroy.
« Soyons honnête une seconde, bon nombre de couple s'y prenne au dernier moment. Dirais-tu qu'ils craints ? » Non, évidemment, mais entre train de vie effréné, pression sociale et culpabilité personnelle, Maxence ne doutait pas une seule seconde que nombreux étaient ceux qui formulerait ces mêmes mots à cet instant précis, ou dans les jours à venir pour les même raison. « Tu n'arriveras à rien en lésant tes besoins, aussi fort le souhaiteras tu... Comment dis-t’ont déjà … ? « Charité bien ordonnée commence par soi-même. » ? Alors prends ta soirée. Ton cerveau en surchauffe sera bien plus performant après une pause. »
Le ton est égal -sans fausse note- comme une confidence glissé à l'oreille, et le regard infiniment doux. Souplement, Maxence ramène doucement les ingrédients sur la table et prend place face au brun, œuvrant dans une paisible nonchalance qui irriterait à coup sûr son grand père car manquant de clairement fermeté, même face à du boeuf. La vérité pourtant, c'est qu'il réfléchit minutieusement au meilleur moyen d'aider ce cousin en souffrance, là, entre ses ingrédients.
« Si tu devais faire un truc maintenant, sans craindre le regard Charles ou qu'on te taxe d'égoiste, vraiment un truc que t'aimerais faire. Qu'est-ce que ça serait ? »
Il avait déjà eu ce genre de discussion avec Cataleya lorsque, tenue infiniment droite à ses côtés, elle cherchait à poignarder de ses yeux trop bleu le visage du patriarche Leroy. Ses réponses l'avaient toujours fondamentalement surpris tant elle tenait du simple, et leur exécutions leur exécutions les avaient considérablement rapproché, en plus de tranquilliser ce dragon que renfermait de temps à autre le domaine Leroy.
- Maximilien Leroyfrench style ♔ sweet golden boy
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♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
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Re: Where is Brian ? (ft. Max)
Lun 15 Mai 2023 - 13:22
Where is Brian ? ft. @Maxence Bonnamy | 23.01.23Le contact de la paume chaleureuse de Maxence sur sa peau le calme presque aussitôt. Il n’est pas surprenant qu’il soit venu se réfugier chez son cousin lorsque l’on connaît suffisamment l’animal pour comprendre qu’il a un pouvoir apaisant quasiment magique. Son attitude en elle-même suffit à calmer les plus enhardis. Maximilien se surprend à respirer plus profondément et l’angoisse qui venait de se dresser en lui commence, petit à petit, à se replier dans un coin.
« Non, bien sûr que non… » Il ne lui viendrait jamais à l’idée de critiquer qui que ce soit, encore moins d’autres couples aux vies très différentes de la sienne. Il se sent simplement dépassé par toutes ces responsabilités qu’il n’a pas vu venir et qui l’ont pris de court. Les conseils de Maxence sont plus avisés que ne laisse penser sa nonchalance perpétuelle et il prend ses paroles comme de la sagesse, s’en abreuve et s’en inspire.
« Tu as probablement raison. » Pourtant, à peine envisage-t-il de prendre la soirée pour se reposer que les pensées l’envahissent, amenant avec elles pression et culpabilité. “C’est du temps perdu” sermonne Charles dans sa tête et il ne parvient pas à lui donner tort, même en essayant de toutes ses forces. N’accorder d’attention qu’à lui-même, sans penser aux autres et à ce dont ils pourraient avoir besoin en contrepartie, lui paraît être un exercice particulièrement difficile à réaliser. Le Français observe les gestes de son cousin, l’air un peu paumé. Il ne connaît pas encore l’interrupteur permettant à son cerveau de se refroidir, étant déjà en train de calculer ses heures de sommeil afin de gagner une trentaine de minutes de travail sur son article. “Si je vais me coucher à 22 heures grand maximum, que je dors 8 bonnes heures (en partant du principe que je mets moins de 15 minutes à m’endormir), je pourrais me lever à 6h30 et…” La réflexion ne cesse de continuer, encore et encore. Les chiffres se bousculent jusqu’à ce qu’il en ait la migraine. Son regard croise alors celui, plus clair, de Maxence. Qu’est-ce qu’il aimerait faire qui puisse pousser les autres à le qualifier d’égoïste ? Il baisse les yeux, déjà honteux à l’idée de faire passer son besoin avant celui des autres. Avant celui de Maxence, de Peter ou du moindre de ses amis. Avant ses coéquipiers qui comptent sur lui pour le prochain match. Avant Roman qui lui a donné une chance de faire ses preuves dans un métier qu’il a toujours rêvé d’exercer. Il ouvre la bouche pour déclamer qu’il lui est impossible de répondre à ça, mais la referme aussitôt sachant que ce serait un mensonge. Puis, dans un souffle, il baisse les armes.
« C’est peut-être un peu bête mais… j’ai envie de me mettre en pyjama, de m’enrouler dans une couette sur le canapé et de manger n’importe quoi devant la télé jusqu’à m’endormir sans que personne ne me juge. Sans que personne ne soit là et que j’ai à bien me comporter. » Même avec Peter, il oublie parfois d’être naturel. Il pense au fait qu’il doit rester séduisant à ses yeux et que se comporter comme un paillasson éteindra la flamme plutôt que de l’alimenter. Ce qui est plutôt stupide parce que s’il y a bien une personne avec qui il parvient à être lui-même, c’est bien le Drummond.
« Tu parviens souvent à agir comme ça, toi ? À penser à tes besoins en premier. »
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Re: Where is Brian ? (ft. Max)
Jeu 25 Mai 2023 - 13:10
« C’est peut-être un peu bête mais... » Un fin sourire flotte sur les lèvres du Bonnamy qui achève sa découpe et se redresse, agitant d'une baguette un peu molle les divers ingrédients autours d'eux. Tout s'articule librement, se presse autour du feu dans une chaleureuse effusions d'odeur mais en dépit de l'agitation qui règne quelques seconde dans la cuisine, le français ne se détourne en rien de son cousin. Le regard ailleurs mais l'esprit minutieusement accrochés à ses mot. S'il ne souffle pas les pensées qui l'agite, le froncement discret de ses sourcils trahit tout de même le jugement qu'il porte à l'éducation distillée par Charles ; à la pression qu'il plaque inlassablement sur les épaules du jeune Leroy. Si Maxence demeure en tout point convaincu que Maximilien mène une vie en tout point respectable, pris au piège entre attente familiale, personnelle, et un train de vie effréné, il n'est cependant pas assez naïf pour croire que « bien » ou « respectable » soit suffisant aux yeux de son grand-père. Ou aux yeux de son cousin, à dire vrai. Alors, c'est un bref soupire qui lui échappe lorsqu'il daigne s'éloignant de la table pour récupérer quelques légumes, mais la main du pokeby revient inlassablement se percher sur l'épaule du journaliste, et ce lorsqu'il vient à s'adresser à lui.
« Ce n'est pas toujours aisé, je te l'accorde, mais j'ai conscience que je ne pourrais aider personne si je me laissais tout d'abord tomber. » Comme toujours, le ton est doux. Sans doute trop si on écoutait les dires de son père ou du patriarche de la famille. Néanmoins Maxence était de ceux capable de se défaire du regard des autres, de ceux incapable de se plier à leurs attente, quand bien même l'esprit s'essayait encore à se contorsionner pour rentrer dans les petites boîtes qu'inlassablement on lui tendait. Jamais il n'aurait pu endosser le rôle jeté sur le dos de Maximilien, il s'en rendait aujourd'hui compte.
La main se détache doucement de l'épaule pour s'approcher du four et en sortir une plat où repose délicieusement de large rouleau de cannelle. Le parfum est étonnamment réconfortant, à mi-chemin entre épice et sucre.
« Va te rouler sur le canapé à la manière d'un chat. Ce soir, on se moque de tout. Dessert avant le repas ! » Cette fois, le ton se fait infiniment enthousiasme, comme pour motiver le journaliste à se déplacer. D'un geste de la baguette, il engage le tourne-disque à siffler du Frank Sinatra avant de claquer sur la table une tasse. « Je peux même te préparer un chocolat chaud, et ajouter de la crème fouetté si le coeur t'en dit : personne n'en saura rien ! »
« Ce n'est pas toujours aisé, je te l'accorde, mais j'ai conscience que je ne pourrais aider personne si je me laissais tout d'abord tomber. » Comme toujours, le ton est doux. Sans doute trop si on écoutait les dires de son père ou du patriarche de la famille. Néanmoins Maxence était de ceux capable de se défaire du regard des autres, de ceux incapable de se plier à leurs attente, quand bien même l'esprit s'essayait encore à se contorsionner pour rentrer dans les petites boîtes qu'inlassablement on lui tendait. Jamais il n'aurait pu endosser le rôle jeté sur le dos de Maximilien, il s'en rendait aujourd'hui compte.
La main se détache doucement de l'épaule pour s'approcher du four et en sortir une plat où repose délicieusement de large rouleau de cannelle. Le parfum est étonnamment réconfortant, à mi-chemin entre épice et sucre.
« Va te rouler sur le canapé à la manière d'un chat. Ce soir, on se moque de tout. Dessert avant le repas ! » Cette fois, le ton se fait infiniment enthousiasme, comme pour motiver le journaliste à se déplacer. D'un geste de la baguette, il engage le tourne-disque à siffler du Frank Sinatra avant de claquer sur la table une tasse. « Je peux même te préparer un chocolat chaud, et ajouter de la crème fouetté si le coeur t'en dit : personne n'en saura rien ! »
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Re: Where is Brian ? (ft. Max)
Ven 2 Juin 2023 - 18:47
Where is Brian ? ft. @Maxence Bonnamy | 23.01.23Il y a une certaine logique dans les propos de Maxence, une logique que le Summerbee ne parvient pas toujours à appliquer à sa propre vie. Le secret, dirait-il, c’est de ne jamais se laisser tomber, tout simplement. Comme si c’était si facile. Comme s’il n’avait jamais une once de faiblesse dans le corps ou dans l’esprit. Mais Maximilien n’est pas un surhomme, ces quelques dernières années l’ont prouvées. Lui aussi, il peut tomber. Il est tombé parce que justement, il en prenait tellement sur ses épaules qu’à la moindre perturbation, tout s’est écroulé. Alors oui, au fond, il sait que son cousin est dans le vrai et que son raisonnement est beaucoup plus cohérent que le sien. Penser à soi, cela lui semble être une tâche plus compliquée que n’importe quelle autre ! Et pourtant, il parvient à mettre des mots sur cette envie de ne rien faire ou, plutôt, de prendre du temps pour lui.
Le parfum sucré enveloppe la cuisine où se trouvent les deux jeunes hommes, ouvrant un peu plus l’appétit de l’aîné. Il sent d’ailleurs la salive s’accumuler d’elle-même dans sa bouche. L’ordre lancé par Maxence le fait lever un sourcil étonné car il n’a jamais cru son cousin capable d’user d’une telle voix envers qui que ce soit. Pourtant, il se sent soulagé qu’on lui dise quoi faire et qu’il n’ait rien à y redire, surtout quand il s’agit de faire ce dont il a réellement envie. Il se lève dans un sourire, déterminé à arrêter de se prendre la tête pour le reste de la soirée.
« Sérieux ? Tu ferais ça ? Tu saurais ajouter des marshmallows dedans ? J’adore cette combinaison. » Il se retient de dire “mais si tu ne peux pas c’est pas grave !” car il sait que c’est le genre de réflexion qui montre qu’il se soucie bien trop de l’opinion des autres, jusqu’à ce que cela influe sur chacune de ses décisions de vie. Bien vite, Maximilien rejoint le salon et s’installe sur le canapé. Son bras s’étend pour attraper le plaid plié sur le dossier opposé à lui et il s’en couvre comme il a dit qu’il le ferait si l’opportunité lui était donnée. D’un geste de sa baguette, il allume la télévision et zappe plusieurs fois avant de s’arrêter sur un programme peu complexe et divertissant, un grand changement pour le sorcier qui a l’habitude de ne s’arrêter que sur les informations nationales ou mondiales. Lorsqu’il repère du mouvement sur le côté, il tourne la tête vers Maxence qui le rejoint enfin. Le simple réflexe veut qu’il se pousse au maximum pour lui laisser le plus de place possible et c’est avec force qu’il se force à ne pas agir de cette façon, au point de s’accorder moins de confort qu’à son cousin. Son regard s’attarde quelques secondes sur l’écran de son téléphone et il en supprime les notifications avec la ferme intention de ne pas se prendre la tête. Sauf s’il s’agit de Peter. Et que c’est une urgence. Déconnecter devient de plus en plus difficile !
« T’es vraiment le meilleur cousin au monde. Un peu comme un frère, en fait… si je puis dire. Est-ce que c'est bizarre ? C'est bizarre. C'est bizarre ? »
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Re: Where is Brian ? (ft. Max)
Jeu 8 Juin 2023 - 10:44
« Voyons Max, un chocolat chaud n'est pas un chocolat chaud sans marshmallow. »
Répond le pokeby en versant le lait dans une casserole. Il a cet éclat malicieux au fond des yeux, témoin d'une satisfaction toute personnelle à voir Maximilien enfin daigner lâcher prise. Essayer, du moins. S'il a parfaitement conscience de l'effort que lui demande cette fausse inaction, et du jugement qu'il s’infligera plus tard à la manière de cent coup de fouet, Maxence ne désespère pas de conduire aux portes de ce qu'il interpréterait sans doute comme de l'égoïsme. Et pourtant, comment pouvait-il espérer briller à tout niveau et répondre à chacune des exigences sociales à lesquels il se pliait s'il s'étranglait au bout de sa laisse, inlassablement ? Coincé, il le deviendrait s'il s'acharnait à tirer sur la corde, comme tout ceux qui usait corps et esprit à vouloir tout faire trop vite. Souvent, prendre son temps et s'arrêter menait plus loin que courir à tout rompre et s'effondrer trois mètres après.
Lui même avait du l'apprendre, et l'apprenait encore lorsque, perché sur ses toiles, s'esquintant les doigts jusqu'aux sang, il luttait contre l'angoisse que portait ses toiles blanches. S'il se rendait parfois encore malade en se couchant sans avoir peint, il vivait un peu mieux ce que son grand père reconsidérait sans hésitation comme un échec. Mais ne considérait-il pas l'existence entière de l'ainé Bonnamy comme un échec en soit ?
Loin de l'attrister, c'est un sourire en coin qui point sur les lèvres du brun. Presque arrogant. Sa nonchalance le rendait fou, son obstination à persévérer dans les Arts aussi, et s'il est vrai que sa vie entière était dédiée à ne pas envenimer plus encore les choses -la preuve étant qu'il était partit en cursus architecte et pas en art-, Maxence tirait une certaine forme de satisfaction à aller contre les idéaux désuet du patriarche Leroy. Et s'il pouvait doucement rectifier le chaos qu'il enfonçait dans le crâne de son presque frère, Maxence n'en serait que plus heureux. Pourtant, il parait ouvertement surprit par les mots de son cousins. Si l'attention le touche fondamentalement, c'est son hésitation qui tourne ses yeux clairs vers lui, et il en rit sans méchanceté aucune.
« Tu sais, je te considère comme l'égal de Marius alors, si c'est bizarre... Nous serons bizarres tout les deux ! Mais n'ai-je pas dit que l'on se foutait de tout, ce soir ? Soyons bizarres ! »
Répond le pokeby en versant le lait dans une casserole. Il a cet éclat malicieux au fond des yeux, témoin d'une satisfaction toute personnelle à voir Maximilien enfin daigner lâcher prise. Essayer, du moins. S'il a parfaitement conscience de l'effort que lui demande cette fausse inaction, et du jugement qu'il s’infligera plus tard à la manière de cent coup de fouet, Maxence ne désespère pas de conduire aux portes de ce qu'il interpréterait sans doute comme de l'égoïsme. Et pourtant, comment pouvait-il espérer briller à tout niveau et répondre à chacune des exigences sociales à lesquels il se pliait s'il s'étranglait au bout de sa laisse, inlassablement ? Coincé, il le deviendrait s'il s'acharnait à tirer sur la corde, comme tout ceux qui usait corps et esprit à vouloir tout faire trop vite. Souvent, prendre son temps et s'arrêter menait plus loin que courir à tout rompre et s'effondrer trois mètres après.
Lui même avait du l'apprendre, et l'apprenait encore lorsque, perché sur ses toiles, s'esquintant les doigts jusqu'aux sang, il luttait contre l'angoisse que portait ses toiles blanches. S'il se rendait parfois encore malade en se couchant sans avoir peint, il vivait un peu mieux ce que son grand père reconsidérait sans hésitation comme un échec. Mais ne considérait-il pas l'existence entière de l'ainé Bonnamy comme un échec en soit ?
Loin de l'attrister, c'est un sourire en coin qui point sur les lèvres du brun. Presque arrogant. Sa nonchalance le rendait fou, son obstination à persévérer dans les Arts aussi, et s'il est vrai que sa vie entière était dédiée à ne pas envenimer plus encore les choses -la preuve étant qu'il était partit en cursus architecte et pas en art-, Maxence tirait une certaine forme de satisfaction à aller contre les idéaux désuet du patriarche Leroy. Et s'il pouvait doucement rectifier le chaos qu'il enfonçait dans le crâne de son presque frère, Maxence n'en serait que plus heureux. Pourtant, il parait ouvertement surprit par les mots de son cousins. Si l'attention le touche fondamentalement, c'est son hésitation qui tourne ses yeux clairs vers lui, et il en rit sans méchanceté aucune.
« Tu sais, je te considère comme l'égal de Marius alors, si c'est bizarre... Nous serons bizarres tout les deux ! Mais n'ai-je pas dit que l'on se foutait de tout, ce soir ? Soyons bizarres ! »
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Re: Where is Brian ? (ft. Max)
Jeu 8 Juin 2023 - 22:24
Where is Brian ? ft. @Maxence Bonnamy | 23.01.23L’hésitation se fait présente et se traduit par un balbutiement peu élégant. Voilà une chose qu’il n’aura jamais dit à voix haute, pas même en confidence à son partenaire… Maxence est parvenu à le mettre suffisamment à l’aise pour qu’il lui déclare sa flamme fraternelle et il s’en serait mordu les doigts s’il ne s’était pas souvenu qu’en face, c’est son cousin et qu’il est loin d’être le premier à juger qui que ce soit. Il paraît même surpris, à croire qu’il ait jamais douté de l’affection qu’il peut avoir pour lui. Maximilien n’est démonstratif que dans certaines situations. S’il se laisse facilement aller aux embrassades et aux sourires plus doux que le coton, il se restreint lorsqu’il est en présence de son grand-père. Ce débordement de sentiments n’est pas à son goût et peut-être qu’à force, il prend les mauvaises habitudes du doyen Leroy.
L’égal de Marius… c’est ainsi qu’il le considère, tels sont ses mots. Et rien n’aurait pu faire plus plaisir à Maximilien en cet instant, que la certitude d’être aimé par une personne partageant son sang. Étrange qu’un être aussi aimant que lui puisse douter de l’affection de ses semblables à son égard. Le traumatisme de la mort de Peter sur sa famille la plus proche reste gravé dans chacune de ses perceptions, voire même dans son mode de fonctionnement pur. Il n’est donc pas si étonnant qu’il ait mal réagi à l’annonce de la vélanité du Drummond. Toujours cette incertitude qui lui ronge la chair et le sang…
« Soyons bizarres ! » Un grand sourire s’installe sur son visage et ses yeux en amande se plissent de bonheur. Il n’y a pas à dire, Maxence sait lui redonner la pêche. Maximilien prend sa tasse, se délecte du breuvage brûlant qui lui titille le fond du palais et soupire, se permettant enfin de se détendre vraiment.
« Tu fais un très bon chocolat en tout cas. » Il ne parvient même pas à lui trouver un défaut. Il faut dire qu’il ne cherche pas à les énumérer. Personne n’est parfait, il en a conscience, mais Maximilien a toujours préféré énoncer les qualités plutôt que les passer en second plan. Et quand il voit Maxence, quand il s’arrête plus d’une seconde sur l’aura qui émane de sa longue silhouette, il se dit qu’il a face à lui un être unique en son genre aux pouvoirs phénoménaux. On ne parle pas de magie sorcière ici, mais de quelque chose de plus précieux encore : le contact humain.
« Tu t’es entraîné sur quelqu’un récemment ? » Il lève un sourcil interrogateur vers lui, sa bouche formant un rictus de malice. Il ne sait rien des histoires de cœur de son cousin et s’avère bien trop curieux pour rester dans l’ignorance plus longtemps. Son bien-être lui importe beaucoup et même s’il sait que Maxence ne saurait souffrir de la solitude, il ne souhaite pas qu’elle soit sa seule maîtresse.
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Re: Where is Brian ? (ft. Max)
Jeu 13 Juil 2023 - 10:52
Tu furètes, monsieur le journaliste. Ton sourire en coin en disait déjà trop long sur tes intentions et ce seul gain d'intérêt imprima sur les traits de Maxence une expression toute malicieuse. S'entraîner sur quelqu'un ? Sur plusieurs même, mais pas dans le sens qu'espérait son cousin hélas. Maxence, là encore, était une source d'exaspération puisque peu conquérant et éternel romantique. S'il émerveillait de la beauté des femmes et couchait inlassablement leur portrait sur ses carnets durant les cours, force était d'admettre qu'il les contemplait de loin et s'en contentait la plupart du temps. Alors certes ! De belles italiennes s'étaient nichées dans ses bras durant son périples européen, des sourires s'était échangé dans l'enceinte de Hungcalf, mais cet aspect de sa vie était en définitive calme et plat. Peut être parce que Maxence ne voyait pas toujours les signaux, trop occupé à rêvasser par delà les rives de l'imaginaire.
« Sur ma fratrie, mais je m'essaie depuis quelque temps à la confection de Castella à la vanille sur Mère »
Retourné au plat du soir, Maxence se surprend à tendrement sourire à la réminiscence de la surprise qui avait illuminé le visage de la belle Lucie Bonnamy. Un vrai fils à maman, sans cesse niché dans ses jupons au plus grand dam de son père. Sans doute que naître en qualité d'aîné et de prématuré avait irrémédiablement resserré les liens entre cette mère anxieuse et ce fils en besoin perpétuel d'amour. Un soupire, pourtant lui échappe finalement.
« Ce n'est pas par manque d'envie de cuisiner pour d'autre, tu t'en doutes, mais je pense que j'ai tendance à me renfermer un peu sur mes centres d'intérêt lorsque je ne suis pas poussé à explorer. »
Jeté dans la fosse au lion, Maxence sociabilisait sans mal aucun. Il était un bon ami, une oreille attentive, mais son air constamment dans la lune et sa fâcheuse tendance à dessiner dans son coin n'était en définitive pas ses meilleures armes pour faire des rencontre en dehors des bals organisés par ses parents. Il ne suffisait que de quelques instant pour le juger plat et chiant, comme une méduse rejeté par la mer. Ouaip. Pas très sexy comme image, vous en conviendrez.
« En février je m'étais inscrit au speed dating ; une grande première ! Une belle rencontre mais sans suite, c'est.. Je ne sais pas. Ca viendra quand ça viendra. » Le regard coule en direction de Maximilien et le sourire se fait franc. « Mais tu seras le second au courant. Brian étant forcément le premier. »
« Sur ma fratrie, mais je m'essaie depuis quelque temps à la confection de Castella à la vanille sur Mère »
Retourné au plat du soir, Maxence se surprend à tendrement sourire à la réminiscence de la surprise qui avait illuminé le visage de la belle Lucie Bonnamy. Un vrai fils à maman, sans cesse niché dans ses jupons au plus grand dam de son père. Sans doute que naître en qualité d'aîné et de prématuré avait irrémédiablement resserré les liens entre cette mère anxieuse et ce fils en besoin perpétuel d'amour. Un soupire, pourtant lui échappe finalement.
« Ce n'est pas par manque d'envie de cuisiner pour d'autre, tu t'en doutes, mais je pense que j'ai tendance à me renfermer un peu sur mes centres d'intérêt lorsque je ne suis pas poussé à explorer. »
Jeté dans la fosse au lion, Maxence sociabilisait sans mal aucun. Il était un bon ami, une oreille attentive, mais son air constamment dans la lune et sa fâcheuse tendance à dessiner dans son coin n'était en définitive pas ses meilleures armes pour faire des rencontre en dehors des bals organisés par ses parents. Il ne suffisait que de quelques instant pour le juger plat et chiant, comme une méduse rejeté par la mer. Ouaip. Pas très sexy comme image, vous en conviendrez.
« En février je m'étais inscrit au speed dating ; une grande première ! Une belle rencontre mais sans suite, c'est.. Je ne sais pas. Ca viendra quand ça viendra. » Le regard coule en direction de Maximilien et le sourire se fait franc. « Mais tu seras le second au courant. Brian étant forcément le premier. »
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Re: Where is Brian ? (ft. Max)
Sam 15 Juil 2023 - 20:50
Where is Brian ? ft. @Maxence Bonnamy | 23.01.23Rien à apprendre de nouveau de ce côté-là, ce qui chagrine quelque peu le journaliste. Il va sans dire qu’il souhaite que son bonheur soit expérimenté par tous ceux qui lui sont chers, Maxence le premier. Quand il quittera ce nid qu’il s’est créé et dans lequel il lui a fait une place conséquente, qu’adviendra-t-il ? Ne se sentira-t-il pas trop seul ? Ou ne se rendra-t-il même pas compte de son absence ? Il comprend son explication cependant car, pendant longtemps, il s’est lui-même renfermé ses études au point de ne pas voir l’intérêt que les autres pouvaient lui porter. Si Peter n’avait pas mis un coup de pied dans la fourmilière parfaitement rythmée, il n’en serait pas là aujourd’hui. Qu’il l’admette est une bonne chose, en soi. Contrairement à lui à l’époque, Maxence n’est pas aveugle face à son comportement.
« Ah oui, c’est vrai… On s’y est vus ! Tu es reparti avec… Mmmmh… Inès non ? C’est dommage que ça n’ait rien donné. » Si on lui posait la question, il répondrait qu’il le verrait bien avec elle. Mais encore une fois, peu importe le nom de la personne en question, il dirait la même chose. Il veut simplement le bonheur de Maxence et n’a pas son mot à dire quant à l’identité de celle-ci. Même si, bien sûr, il saura faire usage de sa curiosité en temps voulu.
« Cela va sans dire ! » ajoute Maximilien dans un sourire tout aussi franc que celui de son cousin et cette complicité chatouille sa poitrine jusqu’à étirer ses lèvres un peu plus sur son visage. Il ne connaît personne de plus gentil avec Brian que Maxence et ce, malgré les efforts du Drummond pour apprécier cet “étrange animal de compagnie”, comme il l’appelle. Il semblerait que l’emblème des Serpentards ne ravisse pas le quotidien de son chéri…
« Tu as raison, ça viendra ! T’es un gars gentil, cool, cultivé et l’aîné de ta fratrie, qui même pourrait te refuser quoi que ce soit hein ? Je ne comprends même pas qu’on ne se jette pas déjà à tes pieds. » Il se met à pouffer. « Écoute-moi, je parle comme ma mère ! » Il rit nerveusement et remue sa tasse avant d’en prendre une gorgée. Le liquide chaud lui fait le plus grand bien et il soupire de satisfaction, continuant de regarder les mouvements de son cousin.
« Mais en vrai, si jamais tu veux que… hum… que je te présente des gens ou… je sais pas trop… Peter connaît du monde, il a accès à des fêtes, ce genre de trucs. Tu pourrais nous accompagner un de ces jours, si l’envie t’en dit ! Même pas forcément pour trouver quelqu’un hein ! C’est facultatif ça. » Même si, il ne l’avoue pas de suite, un double date sonne vraiment alléchant. Il s’imagine déjà débattre et délibérer avec son copain de l'éligibilité de la nouvelle conquête de Maxence…
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
- merci :