Résumé:

Étudiant.e.s concerné.e.s :

@"Alba Pajares", @Maximilien Leroy, @Miguel Pajares, @Peter Drummond, @"Briseis Jenkins", @"Isaac Rosewood", et tout autre volontaire, car Isabelle laisse la porte ouverte aux étudiant·e·s de toutes les filières.

Indications :

• Je posterai la suite du cours chaque mois (promis !).
  
• Vous pouvez interagir plusieurs fois en attendant la réponse du professeur, dans l’ordre que vous voudrez.
  
• Privilégiez s’il-vous-plaît les réponses courtes.
  
• N’oubliez pas de résumer votre poste en deux-trois phrases, s’il-vous-plaît.
  
• Ce cours impliquera des lancés de dés de magie avant ou après votre réponse : n’hésitez pas à vous laisser surprendre par leurs résultats.
  

Premier arrivé, quelle surprise ! Bon, non, clairement pas. Maximilien ressemblait un peu trop à ces élèves parfaits et énervants qui arrivaient non pas à l’heure en classe, mais en avance. Comme si cela allait changer quoi que ce soit à leur évaluation finale… C’était un principe et il respectait trop la Professeure D’Essenault pour ne serait-ce que penser à arriver après la sonnerie de début de cours. Il la gratifia d’un sourire aimable et poli avant de s’installer à l’une des tables, en plein centre du côté droit de l’enseignante. Quelle drôle d’idée d’avoir placé les meubles de cette façon ! Cela le rend d’autant plus curieux. Il interpelle Isaac et Peter pour qu’ils s’installent près de lui - au cas où il y ait des travaux pratiques communs, on ne sait jamais même si le Drummond pouvait trop aisément le distraire - puis reporta toute son attention sur la fumée qui se mettait à les envahir. Okay, là il était vraiment intrigué.

Écoutant la D’Essenault comme si ses paroles étaient divines (après tout, elle l’avait admirablement bien aidé avec son animagus, il lui devait au moins son attention plein et entière (et un peu de dévotion parce que oui, c’était une prof badass)), il regrettait que le cours ne soit pas en Français malgré la nationalité de celle qui le dirigeait. À sa question, Maximilien requit aussitôt la parole (exaspérant).

« Parce que la fumée n’est pas à proprement dit un état de la matière comme le liquide, le solide ou le gaz, mais un nuage de micro-particules solides qu’il est donc plus difficile de transformer car leurs tailles sont variables. Cela rend la transformation plus complexe. »


Résumé : Maximilien est le premier arrivé en cours. Il s'installe sur la droite d'@Isabelle D'Essenault, en plein centre de la table et invite @Isaac Rosewood et @Peter Drummondà le rejoindre. À la première question de la professeure, il formule une réponse plus scienfitique.

l'eau nébuleuse | 20.03.23

Certaines choses n’étaient pas faites pour être répétées. Elles surprenaient les plus avertis et faisaient généralement tourner les regards. Rebelles, elles résistaient à la ritournelle du temps et se précipitaient dans la direction opposée. Certainement pour le plus grand étonnement de son cher et tendre, @Maximilien Leroy, Peter était à l’heure. Il s’était levé ce matin-là pour aller courir et pour aller lancer quelques souafles dans les cercles dorés qui s’élevaient sur le terrain de Quidditch entretenu par l’université. Le garçon s’était entraîné quelques dizaines de minutes puis, décidant qu’il en avait assez fait, avait atterri sur la pelouse pour se diriger vers les vestiaires, où une douche revigorante l’attendait chaudement. Le savon parfumait sa peau et emportait la sueur de l’exercice dans les caniveaux. Il fut rapidement chassé par une pluie ardente qui, elle aussi, fut éliminée par la douceur d’une serviette en coton qu’on frottait sur la peau. Peter laissa le drap de bain tomber sur le sol des vestiaires. C’était une habitude qui horripilait son maniaque de petit ami. Il ouvrit son casier et s’empara des sous-vêtements qu’il enfila aussitôt, avant de terminer de s’habiller. Peter prit sa baguette magique et abandonna ses affaires pour s’approcher d’un lavabo. Il se regarda un instant dans le miroir et usa d’un sortilège de sécheresse pour chasser l’humidité de sa crinière noire. Sa peau semblait faite d’or, dans le reflet du miroir.

Peter songea qu’il avait le temps de déjeuner dehors. Il s’installa à une table de la Moufette Enchantée et commanda des toasts à l’avocat, aux jeunes pousses de salade et sur lesquels étaient joliment disposés des quartiers de pamplemousse. La bouche pleine, il attira l’attention du serveur (ce n’était pas son préféré, mais la concurrence était déloyale) pour commander un café. De la vapeur s’échappa de la machine et le jeune homme lui apporta bientôt sa commande, un large sourire aux lèvres. Il le remercia et le regarda s’éloigner en buvant une gorgée. Il la recracha aussitôt en voyant l’heure sur la pendule. Il avait tout juste le temps de se rendre en cours. Un gobelin devait s’être amusé avec un retourneur de temps pour que le temps passe aussi vite. Peter se leva et sortit son porte-monnaie de sa poche pour régler sa consommation. Il jeta les pièces sur la table et se précipita dehors avant de rebrousser chemin pour récupérer son sac à dos et son sac de sport, qu’il avait oubliés sous la table.

Le jeune homme croisa un étudiant dans les couloirs (@Isaac Rosewood) et ils entrèrent de concert dans la salle de cours réconfortante. Le jeune homme sourit à son homme qui lui faisait signe de l’autre côté de la pièce.

(anglais) “Good afternoon, Professor D’Essenault.”

Il connaissait le goût prononcé de la Française pour la politesse et il n’oublia pas de la saluer en passant près d’elle pour rejoindre la table de Maximilien, où plusieurs livres s’ouvraient déjà.

(anglais) “J’ai comme qui dirait oublié mes affaires. Tu me prêtes quoi écrire ?”

Il demanda à voix basse. Son regard lubrique indiquait à Maximilien qu’il comptait bien le rembourser plus tard, d’une manière ou d’une autre.

(anglais) “Moi c’est Pete’.”

Il se présenta dans un murmure à Isaac et ne manqua pas de sourire, amusé, en voyant @Miguel Pajares entrer de justesse. Le rire coincé dans la gorge, Peter n’osa pas répondre à la professeure. Il préféra regarder la volute de fumée qui dansait dans ses mains en toute impunité.

HJ : Peter est semi-Vélane et cela peut avoir une incidence sur le comportement de votre personnage (ou pas). N'hésitez pas !

Résumé:

Étudiant.e.s concerné.e.s :

@Alba Pajares, @Maximilien Leroy, @Miguel Pajares, @Peter Drummond, @Briseis Jenkins, @Isaac Rosewood, et tout autre volontaire, car Isabelle laisse la porte ouverte aux étudiant·e·s de toutes les filières.

Indications :

• Ce cours impliquera des lancés de dés de magie avant ou après votre réponse : n’hésitez pas à vous laisser surprendre par leurs résultats.
  
• Consignes : Les étudiant.e.s disposent de dix minutes pour venir chercher quelques volutes de fumée pour leur groupe. Dans ce laps de temps, il faut décrire et reconnaître sa fumée en utilisant les cinq sens. N’oubliez pas de prendre des notes sur votre parchemin. Vous pouvez partager la découverte (un ou deux sens par personne, par exemple).
  

Un jet de dé d’intrigue par groupe par celui ou celle qui vient chercher la fumée :

1. Fumée de cigarette.*
   
2. Fumée de bois de charme qui brûle.
   
3. Fumée de dictame séché.
   
4. Fumée de prune dirigeable brûlée.
   

+ Un jet de dé d’intrigue pour chaque étudiant.e :

*. Si votre personnage a déjà fumé ou fume encore des cigarettes moldus, vous pouvez vous passer du deuxième jet de dé.
1. Votre personnage est capable de reconnaître la fumée sans l’aide de personne.
2 à 3.  Votre personnage est capable de reconnaître la fumée si au moins un.e autre étudiant.e de son groupe obtient le même résultat.
4.  Votre personnage n’est pas capable de reconnaître la fumée et doit compter sur les autres membres de son groupe de travail.

Bien sûr que Peter n’avait pas ses affaires. Il se demanda où il avait encore traîné pour ne pas avoir eu le temps de prendre ne serait-ce qu’un bout de parchemin et une plume, mais l’idée de le juger fut vite évincée par sa volonté de le soutenir dans sa nouvelle deuxième année. De toute façon, la professeure D’Essenault entamait son cours. Encore une fois, le Français fit preuve d’un trop grand dévouement en tant qu’étudiant et savait bien que, parmi ses camarades, on le trouvait un peu trop lèche-bottes avec un air de “premier de la classe”. Charles lui avait enseigné l’excellence et la perfection, et certains aspects de cette éducation persistaient dans le quotidien de Maximilien. Il voulait avoir la bonne réponse et voir l’air de fierté dans le regard de sa professeure préférée. L’entendre valider sa réponse est une satisfaction qu’il tente maladroitement de cacher en regardant ses camarades, notamment Peter qui lit en lui comme dans un livre ouvert.

« Quoi ? » murmure-t-il d’un air innocent, comme s’il ne venait pas de se faire prendre la main dans le sac à jouer l’élève parfait pour être apprécié du corps professoral. La Française elle-même devait s’en rendre compte mais cela ne semblait pas la déranger outre mesure. Et comme le bon élève qu’il était, il griffonna avec précision et netteté la formule qui s’inscrivit en fumée devant eux, suivant avec attention chaque mouvement de la sorcière. Il faut dire que le sujet le passionnait particulièrement. Lorsqu’il fut évoqué qu’il était possible de travailler par groupe, il se tourna aussitôt vers son petit-ami (obviously) puis vers Isaac qui se trouvait à côté d’eux.

« On fait ça à trois ? Enfin, nous trois ensemble ? Notre groupe quoi. » Okay, il s’enfonçait si profondément que plus personne n’y pouvait rien et encore moins que le Drummond qui, comme à son habitude, sautait sur chaque occasion de mauvaise prononciation de sa part pour lui faire la misère. Un rougissement plus tard, il se leva de table pour aller chercher l’une des volutes de fumée et la tint entre eux trois.

« Okay alors, utiliser nos sens… » C’est à lui de “goûter” et il n’est pas cent pour cent à l’aise avec l’idée. Pas au point, cependant, de faire faux bond à Miss D’Essenault. Il s’attelle à cette tâche mais malheureusement pour lui (et avec une honte qui le terrifie), il n’est pas capable de déterminer la fumée à laquelle ils font face. Il se tourne donc vers ses camarades, comptant sur leur participation éclairée.

« Est-ce que ça vous dit quelque chose ? On dirait un truc qui brûle non ? »


Résumé : Maximilien prend l'initiative d'aller chercher un morceau de volute de fumée pour l'analyser avec son groupe, composé de @Peter Drummond et @Isaac Rosewood. Néanmoins, il est incapable de déterminer quelle est sa provenance, ce qui le frustre énormément.

l'eau nébuleuse | 20.03.23

Peter avait sursauté lorsque @Maximilien Leroy s’était jeté sur l’occasion de répondre à la question. Il l’avait regardé avec tendresse et amusement, se retenant tout bonnement de rire lorsque celui-ci, non mécontent de l’approbation de Mlle D’Essenault, avait cherché à partager un peu de sa fierté dans le regard de son amoureux. Il se pencha à l’oreille de Max et murmura quelques mots moqueurs, mais terriblement affectueux :

(anglais) « Vous devriez prendre une chambre. »

Il trouvait touchant que son compagnon ait tant besoin de la validation de ses professeurs ; il ignorait sans doute tout de sa force et de sa valeur incommensurable et cela faisait indiscutablement partie de son charme. Sa main était occupée à noter gauchement la formule des variables à prendre en compte pour jeter un sort de métamorphose. Elle lui était si familière qu’il douta des intentions de sa professeure : avait-elle perdu toute créativité ou bien les trouvait-elle si idiots qu’il fallut revoir les bases ? Son regard perplexe s’arrondit plus qu’il ne voulut bien l’admettre (garçon trop cool qu’il était) lorsqu’elle transforma le bouquet de fumée en danse aquatique. Ses pieds se soulevèrent du sol lorsqu’elle s’écrasa sur le sol et que l’émanation se dirigea vers eux. Gêné, il regarda Maximilien et Isaac du coin de l’œil pour vérifier qu’ils n’avaient rien vu. Il nierait toute réaction si ces deux-là la mentionnaient au cours de l’exercice pratique. Isabelle, son héroïne, le sauva en donnant ses consignes à l’ensemble des étudiants présents. Il l’écouta avec un intérêt motivé par la peur de perdre la face et prit quelques notes succinctes des conseils qu’elle leur donnait par la même occasion. Sitôt qu’elle déclara la possibilité de travailler en groupe, il sentit le regard insistant du Français sur sa joue. Peter décida de l’ignorer un instant, pour le taquiner et pour raviver son intérêt. La question finit par franchir les lèvres de Maximilien qui se mit à rougir aussi vite. Le corbeau moqueur se saisit de l’occasion et se tourna vers le grand aigle, l’œil éclairé d’une lumière grivoise. Avant qu’il n’ait eu le temps de protester, il dévisagea le pauvre innocent et souffla suffisamment haut pour eux deux qu’il était outré de la proposition de son petit-ami.

(anglais) « Ne le prends pas mal, hein ? T’es plutôt beau gosse, » il commença avant de se tourner vers Max. « Mais j’aurais préféré qu’on en discute d’abord en privé, babe. »

Content de sa bêtise et du rouge pivoine qui lui montait aux oreilles, Peter secoua la tête, faussement désapprobateur. Fuyant la scène, l’aigle se jetait déjà sur sa nouvelle proie et volait une volute de fumée dans l’océan vaporeux. Le grand brun ne manqua pas une miette que lui offrait le dos du garçon en mouvement. Celui-ci regagna son arbre et déposa son morceau de nuage sur la table avant d’en prendre une gorgée. La grimace révéla deux choses à ceux et celles qui connaissaient le mieux le beau Français : il n’avait pas apprécié ce qu’il avait gouté et, par la barbe de Merlin, il n’avait aucune idée de la provenance de cette fumée ! Peter approcha son nez de l’objet d’étude et prit une grande inspiration. Elle lui rappelait un matin d’hiver au domaine des Drummond, lorsqu’une des cheminées était allumée pour chasser l’humidité de l’air écossais. Une nouvelle inspiration confirma qu’il s’agissait d’un morceau de bois qui brûlait.

(anglais) « C’est du bois, j’en suis sûr. Ça sent comme à la maison. »

Il tendit le cou pour voir les mines désespérées de @Miguel Pajares et de sa sœur, un peu plus bas dans la salle. Contre toute attente, ils attendaient déjà patiemment – et clairement blasés – devant leur objet inconsistant. Une vague d’esprit compétitif le submergea et il se tourna vers Isaac pour lui mettre le feu au c-haudron.

(anglais) « Et toi alors ? Sois pas si timide. T’en penses quoi ? »

Peter battit des cils, laissant son charme opéré (ou pas) pour le motiver davantage à trouver la solution. Il devait battre Miguel, en toute circonstance, partout, tout le temps. Isaac baissa les yeux et fit courir sa main dans la fumée. Il inspira et resta silencieux quelques secondes avant de déclarer :

(anglais) « C’est du bois de charme. Le piano de ma grand-mère a pris feu quand j’étais petit et les marteaux étaient en bois de charme. »

Peter ouvrit grand la bouche et regarda Maximilien, ébahi. (anglais) Prends ça, Pajares. Un sourire s’étendit sur ses lèvres. Mlle D’Essenault passait entre les rangs et arriva juste à temps pour entendre leurs premières hypothèses. Peter se leva presque de sa chaise pour être le premier à prendre la parole.

(anglais) « Nous pensons qu’il s’agit de la fumée qui résulte de la consumation du bois de charme. »

Il jeta un coup d’œil à Miguel, satisfait de lui-même.

HJ : Peter est semi-Vélane et cela peut avoir une incidence sur le comportement de votre personnage (ou pas). N'hésitez pas !

Résumé :
Jet de dé pour Peter : 2 ; Jet de dé pour Isaac : 3.

Peter s'amuse à taquiner Maximilien et à rentrer dans le jeu, au risque de mettre Isaac mal à l'aise. Il prend plusieurs inspirations de la fumée et arrive à découvrir qu'il s'agit d'un morceau de bois qui se consume. Il décide qu'il veut battre Miguel et il met la pression à ses coéquipiers pour trouver. Isaac prend plusieurs inspirations et explique qu'il s'agit de bois de charme en feu.
Isabelle circule dans les groupes et s'arrête d'abord à leur table avant de se diriger vers celle de Miguel, mais Peter les regarde avec satisfaction : il a répondu avant Alba et lui !

Résumé:

Étudiant.e.s concerné.e.s :

@Maximilien Leroy, @Miguel Pajares, @Peter Drummond, @Briseis Jenkins, @Alexander McCandless, @Luan Nguyen, @Nathan Tremblay et tout autre volontaire, car Isabelle laisse la porte ouverte aux étudiant·e·s de toutes les filières.

Indications :

• Ce cours impliquera des lancés de dés de magie avant ou après votre réponse : n’hésitez pas à vous laisser surprendre par leurs résultats.
  
• Consignes : Les étudiant.e.s disposent de quinze minutes pour décrire sur un demi-rouleau de parchemin (minimum) les étapes de la transformation de la fumée en eau et peuvent inclure des dessins/schémas à leur description, qu'ils devront rendre à la fin de l'heure (= 45% de leur note finale). Ils peuvent ensuite passer à la pratique en faisant bien attention à la prononciation du sortilège pour éviter les catastrophes. Lancez tous les dés (4 intrigue + 1 magie) et additionnez la somme des dés d'intrigue pour savoir quelle en sera l'issue.
  

4 jets de dé d'intrigue pour chaque étudiant.e :

Si votre personnage est très bon.ne élève en métamorphose et/ou artiste, ajoutez +3 à la somme des dés.
Σ ≥ 14. Votre personnage est capable de jeter le sortilège du premier coup.
Σ ≥ 9.  Votre personnage est capable de jeter le sortilège après plusieurs essais.
Σ < 9.  Votre personnage n’est pas capable de jeter le sortilège de métamorphose et/ou bien une catastrophe se produit (soyez créatif·ve·s).

+ 1 jet de dé de magie pour chaque étudiant.e ayant réussi à lancer le sortilège :

1. Le sortilège se maintient quelques secondes à peine avant de redevenir vaporeux et de s'embraser : vous venez de mettre le feu à la table.
   
2. Le sortilège se maintient quelques secondes à peine avant de devenir solide : le bloc de glace s'écrase sur la table et vole en éclats.
   
3. Le sortilège se maintient, mais l'eau a l'air croupie.
   
4. Le sortilège se maintient quelques minutes.
   
5. Le sortilège se maintient et conserve son odeur initiale.
   
6. Le sortilège se maintient et danse devant vos yeux ébahis.
   

Décidément, Peter n'en aura jamais fini de le faire rougir ! Préférant ne pas répondre à sa provocation par encore plus de provocation, Maximilien griffonne sur son parchemin le processus qui l’a mené jusqu’à la réponse, même s’il y a échoué et qu’il a fallu l’assistance de ses deux partenaires pour y arriver. Il en est bien sûr un peu déçu, mais c’est ainsi que le travail d’équipe fonctionne non ? Le Français grimace lorsqu’elle leur indique la suite du cours. Il préfère toujours la pratique à la théorie, même si elle ne manque pas d’intérêt. Il se demande s’il aura recours à des dessins ou s’il saura retranscrire le tout par les mots. Il faut essayer pour le savoir non ? Dans tous les cas, il faudra qu’il s’applique car 45% de la note finale, ce n’est pas rien et il est hors de question qu’il ne réussisse pas à passer dans ce cours. La demoiselle française ne souhaite pas les laisser chômer, de toute évidence. Parchemin + exercice pratique à la clé, il doit absolument réussir ! Le voilà qui se met déjà à griffonner sur un autre parchemin, vierge de tout écrit.

La transformation de la fumée en eau repose essentiellement sur l’intention et la concentration de l’incantateur. Celui-ci se concentre sur l’idée de la transformation en visualisant le processus suivant dans son esprit, avec clarté et conviction :

la fumée dans son état naturel, le gaz, circule en belles volutes de particules disparates, insaisissables et chaudes ;
refroidit, elle se condense et prend une forme plus solide, plus concrète ;
une fois ce gaz complètement refroidit, la fumée échappe de la vapeur d’eau, qui peut être condensée et devenir des gouttelettes d’eau liquides ;

Une fois toutes ces étapes suivies, le sorcier peut libérer l’énergie accumulée et permettre à la transformation magique de se produire.

Satisfait de son parchemin, bien que toujours douteux de lui-même, il pose sa plume et passe à la partie pratique, celle qui l’intéresse le plus ! Maximilien clôt les paupières quelques secondes, expire profondément et maximise sa concentration avant de lancer le sort sur la fumée se trouvant devant lui. Suivant les étapes écrites sur son parchemin, il parvient du premier coup à transformer sa fumée en eau et un faible sourire naît sur ses lèvres fines. Son regard fixé sur la boule d’eau, il ne parvient cependant à la garder que quelques secondes sous cette forme et affiche un air dépité quand le bloc de glace se fracasse sur son bureau. Il a juste le temps de protéger son visage de son bras et souffle, dépité, en voyant les dégâts. Tout avait si bien commencé pourtant, qu’a-t-il manqué ? Et surtout, à quel point sa note va-t-elle en pâtir ?


Résumé : Maximilien remplit une bonne moitié de son parchemin, conscient de l'importance de cet exercice dans sa note finale. Une fois qu'il l'a terminé, il réalise son incantation et réussit à transformer la fumée en eau du premier coup mais malheureusement, celle-ci ne se stabilise pas et la bulle d'eau se transforme en bloc de glace, qui s'écrase sur son bureau. (lancer de dés : intrigue 14 + magie 2)

Dès fumée:

Dès sort:

l'eau nébuleuse | 20.03.23

Une grimace tordit les traits harmonieux du garçon qui, soufflant, estima qu’un rouleau de parchemin à rendre avant la fin de l’heure n’était pas une manière appropriée pour récompenser leurs durs efforts. Enfin, ceux d’Isaac. Loin de lui l’idée de remettre en question les pratiques pédagogiques de la patronne, mais elle pouvait peut-être penser à apporter des Fizwizbiz, à la rigueur. Il se tourna vers Maximilien, qui ne lui fut d’aucun secours. Il était déjà affairé à coucher sur le papier ses idées par milliers. La grimace se transforma en moue boudeuse et Peter se gratta la tête, très peu disposé à passer le quart d’heure à faire gratter sa plume sur un rouleau de parchemin neuf. Peut-être parce qu’il se sentait mal à l’aise depuis que le Français à leur table avait suggéré un plan à trois, Isaac fuyait son regard. Le corbeau étendit ses ailes sur la table et voulut s’y allonger pour « réfléchir ». Le regard vif de Mlle D’Essenault l’obligea à se raviser ; il prétendit rattraper la plume sur le point de tomber de la table et déroula le papier, les yeux ronds dans leurs orbites. Il allongea d’abord les lettres de son prénom et de son nom de famille sur l’entête du devoir et recula ses épaules, satisfait de lui. Le bruit du sable qui tombait dans son réceptacle de verre attira son attention, tant le reste de la salle travaillait religieusement à leurs tables. Il n’y avait peut-être que Miguel pour le comprendre à cet instant précis. Peter ajouta le titre et capitula quelques secondes plus tard. Il expliqua en quelques paragraphes comment la fumée danserait dans les airs, se mettrait à tourbillonner et puis seraient écrasée sur elle-même pour être condensées en des milliards de petites gouttes d’eau pour former ensemble un liquide transparent. Il attrapa sa baguette pour faire disparaître les ratures qui tachaient le parchemin et décida qu’il était temps de passer à la pratique.

(anglais) « Aqua NEBUUUUla. » Il murmura plusieurs fois, massacrant légèrement la prononciation latine.

Confiant, il se concentra sur le bouquet qui lui avait été confié et le pointa du bout de sa baguette en incantant le sortilège à voix basse. Il s’illumina un instant, mais la lueur fut aussitôt avalée par les ténèbres. Il retenta l’expérience en articulant, mais cette fois, rien ne se produit. Il agita sa baguette sous ses yeux, comme si le bout de bois avait été cassé et s’apprêtait à incanter de nouveau lorsque son petit ami se décida à son tour. Il profita d’une petite pause pour le voir réussir du premier coup. (anglais) F*ck! Il est sexy quand il s’y met celui-ci. La fierté transforma son visage alors qu’il le dévisageait. Pourtant, sous leurs yeux, la fumée poursuivit son processus et se mua en un bloc de glace, trop lourd pour l’apesanteur, et qu’il se fracassa sur la table dans un bruit sourd. Peter leva sa baguette pour se protéger des débris et fit une grimace compatissante.

(anglais) « C’est pas de la tarte, hein ? »

Bien décidé à faire honneur à leur groupe, le sorcier se concentra à nouveau sur les volutes de fumée qui dansaient doucement devant lui. Il les visa avec sa baguette et incanta distinctement le sortilège.

(anglais) « AH-gwah-NE-biu-lə ! »

La fumée se mit à tourner sur elle-même et de plus en plus vite. (anglais) Prometteur ! Il souriait comme un lion. Elle se transforma de bas en haut et l’eau voulut s’écraser sur la table avant que Peter ne la force à léviter au-dessus d’elle. Son sourire menaçait de décrocher ses oreilles, mais il déchanta rapidement en sentant l’odeur qui émanait de l’eau tout juste créée. Celle-ci était trouble et très nettement croupie.

(anglais) « C’est pas si mal… »

Il sursauta lorsque la table de Miguel prit feu et l’eau nauséabonde s’écrasa sur son devoir. (anglais) Puta*n Miguel ! Tu saoules ! Regarde mon devoir maintenant ! Il souleva le papier mouillé, décochant des flèches avec son regard, qui tenait le joueur de Quidditch responsable du fiasco.

HJ : Peter est semi-Vélane et cela peut avoir une incidence sur le comportement de votre personnage (ou pas). N'hésitez pas !

Résumé :
Jets de dés pour Peter :
Intrigue : 4+1+2+1 = 8 + 3 bonus = 11 ;
Magie = 3

Peter a du mal à se mettre au travail, mais il capitule quand il comprend qu’il n’y échappera pas. Il regarde avec fierté l’eau transformée du premier coup par @Maximilien Leroy et se protège avec sa baguette lorsque la glace vole en éclats. Il réessaie et parvient finalement à transformer sa fumée en eau, mais celle-ci est croupie. Lorsque @Miguel Pajares met le feu à sa table, il perd sa concentration et l’eau nauséabonde qu’il tenait en lévitation au-dessus de la table tombe sur son rouleau de parchemin. Miguel lui doit une bière ! Naïf, il ne voit pas comment @Nathan Tremblay les regarde.

Résumé:

Étudiant.e.s concerné.e.s :

@Maximilien Leroy, @Miguel Pajares, @Peter Drummond, @Alexander McCandless, @Luan Nguyen, @Nathan Tremblay et tout autre volontaire, car Isabelle laisse la porte ouverte aux étudiant·e·s de toutes les filières.

Indications :

• Pensez bien aux résumés pour ce sujet, car il s'agit d'un RP de groupe.
  
• Consignes : Les étudiant.e.s doivent trouver la réponse à sa question et développer la mise en garde pour que la porte d'entrée les laisse sortir. Que ne faut-il surtout pas faire avec la fumée transformée en eau ? Pourquoi ? Quelles en seraient les conséquences désastreuses ?

« Pas si mal ouai… » Difficile de ne pas rire en écoutant la prononciation hasardeuse du sort par @Peter Drummond juste à côté de lui. Maximilien doit se mordre la lèvre pour ne pas exploser de rire et énerver la professeure avec un comportement jugé trop puéril pour son âge. Il a pourtant terriblement envie de se moquer du Drummond qui, tout comme lui, ne parvient pas à garder sa métamorphose très longtemps. L’odeur qui émane de l’eau croupit sur la table d’à côté le fait grimacer. Peu d’entre eux auront réellement réussi à mener cet exercice à bien et le Leroy est très frustré de cet échec. Il n’en accepte jamais aucun.

Il regarde rapidement @Nathan Tremblay mais ne prononce aucun mot dans sa direction, avant de reporter son attention vers @Isabelle D'Essenault qui leur donne un dernier challenge avant de quitter le cours. Attendez,n’est-elle pas en train de les séquestrer là ? Et s’ils ne connaissent pas la réponse, hein ? Le Français jeta un coup d’œil à la porte fermée et fit travailler ses méninges. Une réponse lui vint aussitôt en tête, très limpide et presque logique, mais fallait-il encore la développer.

« Ne pas l’ingurgiter ? » Arf, non, il a posé une question ! Ce n’est pas une façon de répondre ça… Voilà qu’il recommence. « Il ne faut pas l’ingurgiter, peu importe sa forme. Car l’eau a été transformée une à plusieurs fois et donc, sa composition ne la rend plus potable pour l’être humain. Il pourrait y avoir empoisonnement et, potentiellement, la mort. C’est la conséquence la plus désastreuse, je crois ? » Ouuuuh humour humour… Il se tourne vers Peter, espérant que celui-ci rajoutera quelque chose qui les aide à quitter le cours avec fierté. Maximilien refuse d’être un élève médiocre, surtout dans ce cours.


Résumé : Maximilien manque de se moquer ouvertement de Peter mais se ravise, dans le seul but de conserver son statut d'élève modèle #tmtc Il espère que sa réponse à la dernière interrogation d'Isabelle leur permettront de partir.

l'eau nébuleuse | 20.03.23

Voir son petit ami ronger son frein de la sorte lui donnait envie de tapoter avec empathie sur le sommet de son crâne parfaitement coiffé. Peter se refusa de le faire devant l’assemblée ; c’était avant tout parce que ses doigts sentaient encore l’eau croupie. Les lèvres du jeune homme se gonflèrent pour faire la moue tandis qu’il écoutait les derniers avertissements de sa professeure. Il regardait dans le vide, en direction de la fenêtre par laquelle il aurait préféré que son parchemin se jetât vaillamment plutôt qu'il allât se poser sur le bureau pour être corrigé. Un instant plus tard, il reconnut une seconde la panique qui emplissait le regard de Maximilien quand celui-ci regarda la porte d’entrée se fermer. Sa réaction primaire fut de glousser pour se moquer, mais il se rappela aussitôt que le Français avait déjà rencontré la charmante universitaire lorsqu’elle enseignait encore en France. C’était peut-être une habitude qu’elle avait prise très tôt dans sa carrière d’enseignante ? En d’autres circonstances, Peter non plus n’aurait sûrement pas dit non de se trouver séquestré par Pr. Isabelle D’Essenault. Les deux pierres de Jade le fixèrent aussitôt, comme si elle avait vu la manifestation de ses pensées et Peter sentit la honte monter à ses oreilles. Il ne voulait pas que Maximilien pense qu’il voulait aller voir ailleurs. De toute façon, la porte était fermée et c’était aussi bien comme ça.

Les premières ébauches de réponses laissèrent la porte insensible à leurs jérémiades et à leurs supplications ; elle demeurait solidement attachée à ses gongs. Peter ne pouvait pourtant pas songer à meilleure raison pour ne pas boire l'eau qu'il avait ainsi tirée de la fumée. Quelques années auparavant, lorsqu'il était encore un jeune Serdaigle, Peter aurait peut-être fait de l'esprit et rétorqué qu'il fût bien plus désastreux de se faire exclure définitivement de sa maison, de Poudlard. Les années d'étude l'avaient vieilli et avaient tanné sa peau de rapace. Miguel redoubla de voix, espérant peut-être que les oreilles de la porte étaient aussi vieilles que le château et qu'elle n'avait tout simplement pas entendu leur bonne réponse. Peter laissa dramatiquement tomber sa tête sur le côté, trop lourde des inepties de son rival sportif.

(anglais) « C'est de la métamorphose. »


La réponse fusa de ses lèvres, simple et puissante.

(anglais) « C'est pourtant simple. La loi de Gamp sur la métamorphose élémentaire précise bien que la nourriture - et par extension l'eau propre à la consommation - ne peut pas être créée par magie et que si elles le sont, elles ne peuvent pas durer. Ce serait dangereux pour le corps, ça, non ? »

Finalement, il imaginait les douleurs occasionnées par la disparition soudaine de l’eau métamorphosée de son métabolisme, alors même que celui-ci l’avait intégré pleinement à son système. Ses professeurs de première année à Poudlard auraient sans doute fait sonner trompettes et résonner les tambours.

(anglais) « Mais alors ? Aguamenti ? En quoi est-ce si différent, finalement ? »

HJ : Peter est semi-Vélane et cela peut avoir une incidence sur le comportement de votre personnage (ou pas). N'hésitez pas !

Résumé :
Peter commence par se moquer de @Maximilien Leroy et de sa panique, mais finit par se poser la question. Il a l’impression qu’Isabelle a lu dans ses pensées et prend peur que Maximilien en soit soudainement capable, lui aussi. Il réagit dramatiquement à l’intervention de @Miguel Pajares et finit par s’exclamer à son tour une réalité aussi simple qu’efficace. Il termine sa prise de parole par une question.

Résumé:

Étudiant.e.s concerné.e.s :

@Alexander McCandless, @Luan Nguyen, @Maximilien Leroy, @Miguel Pajares, @Nathan Tremblay, @Peter Drummond, et tout autre volontaire, car Isabelle laisse la porte ouverte aux étudiant·e·s de toutes les filières.

Indications :

Je vous remercie chalheureusement pour votre implication et votre participation à ce sujet. J'espère qu'il vous aura plu et que vous serez nombreux et nombreuses au prochain cours. Je me charge de porter votre implication pour vous faire gagner quelques gallions.
Je suis ouvert à toute proposition d'entretien avec un·e étudiant·e, mais aussi à toute idée de sujet à traiter pendant les cours.
Merci et à très vite !