- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
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[maxpete party] Jealousy, jealousy. (terminé)
Jeu 16 Nov 2023 - 21:31
Une paille pincée entre les lèvres, Cataleya se fait précieuse ainsi assise dans l’herbe. Sirotant un cocktail dont elle a oublié le nom sans perdre de vu Pajares puisque, rendu sauvage et tenu désespérément loin, il semblait cultiver entre eux une bien étrange distance. Si elle ne s’en formalisa tout d’abord pas, elle s’étonna finalement de ne pas le voir rappliquer à la manière d’un super héro puisque ses épaules mises à nue, doublé d’une robe trempée par @Alexander McCandless , lui arrachait des frisson que ne vint secourir aucune veste ou étreinte. Il savait pourtant le geste source de compliment. ; c’est qu’elle adorait gonfler l’égo du poursuiveur, petite Blackthorn. Le geste en tout point maniéré, presque irréel tant il venait à mimiquer ces frêle princesse de contes de fée, Cataleya aiguise pourtant son regard sur les tensions qui fleurissent le long de son aimé, sans pourtant en comprendre la source. L’ambiance est douce, les rires nombreux, et aucun conflit n’obscurcit le ciel de ses nuages ; Pourtant ils sont là à s’observer d’une bien étrange manière, et ce constat travaille tant l’esprit embrumé de la lufkin qu’elle finit par abattre un verre soigneusement choisis par @Jules de Gray au sol. Laborieusement elle redresse sa carcasse éméchée pour tirer le fil de cette odieuse distance et ainsi sournoisement approcher. Si elle tend vers une démarche sensuelle et féline, la vérité est qu’elle abat surtout son menton sur l’épaule de l’ancien grymm, cherchant son regard couleur whisky dans une moue rendue boudeuse par la situation.
“ T’es fâché. ” Le constat est clair, abattu sans la moindre interrogation sur la joue du madrilène avant qu’un doux baiser ne vienne l’y sceller. Pourtant, si les raisons de cette colère demeurent insaisissables, l’objet doucement se précise et lui déplaît. “ Contre moi..? “ Sinon pourquoi semblerait-il si froid à son encontre ? “ Parce que j’aime pas quand t’es faché contre moi…. “
L’expression de la rousse se fait dès lors plus soucieuse et c’est presque hésitante qu’elle raccroche ses doigts à la veste du poursuiveur, faute de verbaliser le besoin d’avoir ses mains sur ses hanches. De nicher au plus près de lui. Elle ne supporte pourtant pas cette sensation d’avoir pu décevoir et c’est une étrange nervosité qui lui tord désormais les tripes, pas certaine de savoir identifier sa faute mais bien consciente qu’il y en a forcément une puisqu’il y a entre eux ce désagréable malaise.
“ Viens ! ” Lance t’elle finalement, déliant les mains de Miguel pour les entraîner loin des regards indiscrets dans une démarche, certes hasardeuse, mais étonnamment décidée. “ On va marcher ! Il faut qu’on trouve une étoile filante avant la fin de la soirée, parce que ça porte chance quand on célèbre une nouvelle maison. ”
Elle se stoppe pourtant brutalement, entretrouvre les lèvres comme prise d’une révélation mais se contente d’offrir un regard plein de paillettes à Miguel. Subitement rayonnante. Non Cat, ce n’était pas le moment de lui proposer de vivre ensemble.
“ T’es fâché. ” Le constat est clair, abattu sans la moindre interrogation sur la joue du madrilène avant qu’un doux baiser ne vienne l’y sceller. Pourtant, si les raisons de cette colère demeurent insaisissables, l’objet doucement se précise et lui déplaît. “ Contre moi..? “ Sinon pourquoi semblerait-il si froid à son encontre ? “ Parce que j’aime pas quand t’es faché contre moi…. “
L’expression de la rousse se fait dès lors plus soucieuse et c’est presque hésitante qu’elle raccroche ses doigts à la veste du poursuiveur, faute de verbaliser le besoin d’avoir ses mains sur ses hanches. De nicher au plus près de lui. Elle ne supporte pourtant pas cette sensation d’avoir pu décevoir et c’est une étrange nervosité qui lui tord désormais les tripes, pas certaine de savoir identifier sa faute mais bien consciente qu’il y en a forcément une puisqu’il y a entre eux ce désagréable malaise.
“ Viens ! ” Lance t’elle finalement, déliant les mains de Miguel pour les entraîner loin des regards indiscrets dans une démarche, certes hasardeuse, mais étonnamment décidée. “ On va marcher ! Il faut qu’on trouve une étoile filante avant la fin de la soirée, parce que ça porte chance quand on célèbre une nouvelle maison. ”
Elle se stoppe pourtant brutalement, entretrouvre les lèvres comme prise d’une révélation mais se contente d’offrir un regard plein de paillettes à Miguel. Subitement rayonnante. Non Cat, ce n’était pas le moment de lui proposer de vivre ensemble.
Peter Drummond est fan
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
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» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & andrew hill
» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
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Re: [maxpete party] Jealousy, jealousy. (terminé)
Mar 28 Nov 2023 - 22:04
Vingt et une heures tapantes, le madrilène avait transplané devant la petite maison, vêtu de son plus beau tee-shirt blanc et de son jeans le plus classe. Il avait les cheveux encore un peu mouillé puisqu’il sortait de l’entraînement des Shooters. Rassurez vous, il avait eut l’excellente idée de prendre une douche entre deux.
La soirée était bonne mais pouvait on en espérer moins alors que l’organisateur principal était le celebrissime Drummond, @Peter Drummond de son prénom ? Absolument pas non. Le Wright avait été assez fou pour organiser un match de Quidditch sur des balais pour enfants, ce qui avait rendu possible la participation ridicule mais divertissante de @Cataleya Blackthorn , plus belle que jamais avec ses sourcils froncés qui essayait de viser.
Il était drôlement sage, ce soir. Peut-être parce que le fait de finir ivre mort à moitié porté par Cataleya quelques mois plus tôt l’avait drôlement calmé. Ca ne l’empecha pas de fumer avec Peter pendant que l'épine noire démontre qu’elle est bien plus compétente en bowling qu’en quidditch.
La soirée semble prendre une autre saveur alors que son regard s’écrase lourdement sur une Cataleya visiblement ivre, dansant collé serré contre @Alexander McCandless . C’est qu’en matière de pote qui se frotte à sa copine, Miguel avait déjà quelques mauvais souvenirs… Le clin d’oeil du Grymm semble s’étrangler dans la gorge silencieuse du Pajares qui lui porte un toast, levant sa bière.
Sauf que voila, même le fait d’avoir objectivement le plus beau torse sous son tee-short mouillé ne rassérène pas le madrilène dont le regard s’échoue systématiquement sur la rouquine. Et au lieu de passer du temps auprès d’elle, il se referme comme une huitre, si bien que c’est la Blackthorn qui finit par aborder un rapprochement. « T’es fâché. Contre moi..? Parce que j’aime pas quand t’es faché contre moi… »
Pour toute réponse, un grommellement indéfini. Il aurait aimer mieux cacher son malaise mais il ne s’en trouve pas capable. Et heureusement il n’a pas vraiment le temps de répondre qu’elle l’arrache au petit groupe qu’il constituait avec @Maximilien Leroy et @Apsara Chankimha . « Viens ! On va marcher ! Il faut qu’on trouve une étoile filante avant la fin de la soirée, parce que ça porte chance quand on célèbre une nouvelle maison. » Il se laisse embarquer et glissant tendrement sa main dans son dos, la la retire aussitôt en sentant que les pans de sa robe sont trempés. Miguel ne s’est jamais prétendu génie mais il sait additionner 1 + 1. Et il sait que ça fait deux. Jetant un oeil autour d’eux et constatant qu’ils sont seuls, il se lance :
- Il se permets toujours autant Alexander où c’est juste ce soir parce que ça l’amuse de me provoquer ?
La soirée était bonne mais pouvait on en espérer moins alors que l’organisateur principal était le celebrissime Drummond, @Peter Drummond de son prénom ? Absolument pas non. Le Wright avait été assez fou pour organiser un match de Quidditch sur des balais pour enfants, ce qui avait rendu possible la participation ridicule mais divertissante de @Cataleya Blackthorn , plus belle que jamais avec ses sourcils froncés qui essayait de viser.
Il était drôlement sage, ce soir. Peut-être parce que le fait de finir ivre mort à moitié porté par Cataleya quelques mois plus tôt l’avait drôlement calmé. Ca ne l’empecha pas de fumer avec Peter pendant que l'épine noire démontre qu’elle est bien plus compétente en bowling qu’en quidditch.
La soirée semble prendre une autre saveur alors que son regard s’écrase lourdement sur une Cataleya visiblement ivre, dansant collé serré contre @Alexander McCandless . C’est qu’en matière de pote qui se frotte à sa copine, Miguel avait déjà quelques mauvais souvenirs… Le clin d’oeil du Grymm semble s’étrangler dans la gorge silencieuse du Pajares qui lui porte un toast, levant sa bière.
Sauf que voila, même le fait d’avoir objectivement le plus beau torse sous son tee-short mouillé ne rassérène pas le madrilène dont le regard s’échoue systématiquement sur la rouquine. Et au lieu de passer du temps auprès d’elle, il se referme comme une huitre, si bien que c’est la Blackthorn qui finit par aborder un rapprochement. « T’es fâché. Contre moi..? Parce que j’aime pas quand t’es faché contre moi… »
Pour toute réponse, un grommellement indéfini. Il aurait aimer mieux cacher son malaise mais il ne s’en trouve pas capable. Et heureusement il n’a pas vraiment le temps de répondre qu’elle l’arrache au petit groupe qu’il constituait avec @Maximilien Leroy et @Apsara Chankimha . « Viens ! On va marcher ! Il faut qu’on trouve une étoile filante avant la fin de la soirée, parce que ça porte chance quand on célèbre une nouvelle maison. » Il se laisse embarquer et glissant tendrement sa main dans son dos, la la retire aussitôt en sentant que les pans de sa robe sont trempés. Miguel ne s’est jamais prétendu génie mais il sait additionner 1 + 1. Et il sait que ça fait deux. Jetant un oeil autour d’eux et constatant qu’ils sont seuls, il se lance :
- Il se permets toujours autant Alexander où c’est juste ce soir parce que ça l’amuse de me provoquer ?
GO SHOOTERS, GO !
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Re: [maxpete party] Jealousy, jealousy. (terminé)
Mer 29 Nov 2023 - 1:11
Le sourire se fane lorsque la main quitte son dos mais le regard se raccroche brillamment aux étoiles quand celui de Miguel, certainement plus vif, préfère chasser toute attention indésirables. Et elle ne le remarque pas, Cataleya, tant absorbée par sa contemplation qu’elle ne peut que sursauter lorsque la réalité la saisit au vol. Si elle ne comprend sur l’instant pas la question de l’espagnol, elle se sent terriblement stupide prise rentre ses mots ; incapable de voir où il voulait en venir, et où la question puisait ses plus profonde racines.
“De quoi tu parles ? C’est tout le temps que vous vous provoquez. ” Répond t’elle aussitôt, profondément perplexe.
Vous, parce que les tensions entre les deux hommes étaient évidentes pour qui, un minimum, les connaissait. A croire qu’ils se livraient une compétition acharnée et que la présence de la Blackthorn n’était qu’un énième prétexte pour prendre l’ascendant l’un sur l’autre. Comme elle n’avait été qu’une vulgaire arme entre les lèvres de @James Blackthorn et l’espagnol, lorsqu’en cours de potion, l’an précédent, ils s’étaient défiés. Si la moue se forme à cette réminiscence puisque sa sexualité avait été devant tous étalé, sans mal l’alcool et l’enthousiasme parviennent à la chasser. Les mains se nouent alors autour de celles du poursuiveur puisque doucement Cataleya cherche à l'entraîner, marchant à reculons pour lire dans ses yeux couleurs whisky ses plus profondes pensées. Elle se rend bien compte que ce n’est pas simplement là une question d’égo, mais éprouve les plus grande peine à choisir ses mots. Jamais elle n’avait été fine psychologue et le monde tournant étrangement autour de leur deux corps lui flanquait de bien cruelles nausées. Elle aimerait de tout cœur se contenter d’un banal “t’es jaloux ?” que démentirait certainement l’ancien grymm, mais elle avait étonnamment conscience que dormait sous ses doigts aveugles quelque chose d’important. Comme lors de cette soirée où, pleinement déchiré, Miguel s’était écroulé sur ses épaules.
“Pourquoi c’est pas toi qui est bourré…”
Elle chouinait presque petit Cataleya, si l'impersonnel de la voix émanant de son collier le lui permettait. Hélas c’est hautement frustrante qu’elle perce les tendres hululements des chouettes alors, et comme pour traduire le soudain caprice qui la tenait, c'est le plus dramatiquement du monde que la rouquine se laisse tomber en arrière. En équilibre, puisque solidement accroché aux mains de Miguel.
“Alex est toujours comme ça, amor. C’est pas contre toi. J’veux dire, à cette heure-ci il doit déjà jeter ses filets sur Ofélia ou l’une de mes cousines. Toi aussi t’aimais charmer avant que je ne te plaque à ton lit ; ça ne veut pas dire qu'il se passait quoi que ce soit.”
“De quoi tu parles ? C’est tout le temps que vous vous provoquez. ” Répond t’elle aussitôt, profondément perplexe.
Vous, parce que les tensions entre les deux hommes étaient évidentes pour qui, un minimum, les connaissait. A croire qu’ils se livraient une compétition acharnée et que la présence de la Blackthorn n’était qu’un énième prétexte pour prendre l’ascendant l’un sur l’autre. Comme elle n’avait été qu’une vulgaire arme entre les lèvres de @James Blackthorn et l’espagnol, lorsqu’en cours de potion, l’an précédent, ils s’étaient défiés. Si la moue se forme à cette réminiscence puisque sa sexualité avait été devant tous étalé, sans mal l’alcool et l’enthousiasme parviennent à la chasser. Les mains se nouent alors autour de celles du poursuiveur puisque doucement Cataleya cherche à l'entraîner, marchant à reculons pour lire dans ses yeux couleurs whisky ses plus profondes pensées. Elle se rend bien compte que ce n’est pas simplement là une question d’égo, mais éprouve les plus grande peine à choisir ses mots. Jamais elle n’avait été fine psychologue et le monde tournant étrangement autour de leur deux corps lui flanquait de bien cruelles nausées. Elle aimerait de tout cœur se contenter d’un banal “t’es jaloux ?” que démentirait certainement l’ancien grymm, mais elle avait étonnamment conscience que dormait sous ses doigts aveugles quelque chose d’important. Comme lors de cette soirée où, pleinement déchiré, Miguel s’était écroulé sur ses épaules.
“Pourquoi c’est pas toi qui est bourré…”
Elle chouinait presque petit Cataleya, si l'impersonnel de la voix émanant de son collier le lui permettait. Hélas c’est hautement frustrante qu’elle perce les tendres hululements des chouettes alors, et comme pour traduire le soudain caprice qui la tenait, c'est le plus dramatiquement du monde que la rouquine se laisse tomber en arrière. En équilibre, puisque solidement accroché aux mains de Miguel.
“Alex est toujours comme ça, amor. C’est pas contre toi. J’veux dire, à cette heure-ci il doit déjà jeter ses filets sur Ofélia ou l’une de mes cousines. Toi aussi t’aimais charmer avant que je ne te plaque à ton lit ; ça ne veut pas dire qu'il se passait quoi que ce soit.”
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Re: [maxpete party] Jealousy, jealousy. (terminé)
Lun 1 Jan 2024 - 12:00
« De quoi tu parles ? C’est tout le temps que vous vous provoquez. » Elle n’avait pas tout à fait tort, la Blackthorn. Mais pas tout a fait raison non plus. Alexander et Miguel avaient été assez proche pour que le madrilène le considère comme un ami. Mais c’était il y a longtemps. Avant Hungcalf, avant Brasilia, bien avant Cataleya. Ils étaient si proches que la rouquin oubliait parfois qu’il avait connu le McCandless bien avant elle. Miguel avait toutes les,pièces du puzzle en main mais était bien incapable de les placer…
Il ne répond pas. A peine une sorte de grommellement. Il n’avait pas comprit l’éloignement du Grymm et pour être honnête, il n’avait jamais vraiment chercher à comprendre. Peut-être parce qu’il avait légion d’autres amis. Et qu’il se croyait trop bien pour courir après l’anglais. Ou tout simplement parce qu’il avait eut la flemme.
Mains dans les mains, le Pajares ne sait pas cacher sur air contrarié. Tandis que la Blackthorn s’accroche à son regard, lui regarde derrière elle autant pour échapper à la sonde que pour s’assurer qu’elle ne trébuche pas en marchant en arrière. « Pourquoi c’est pas toi qui est bourré… »
- Croit moi, tu préfères pas.
Parce que Miguel contrarié et sobre c’était pas fun. Mais Miguel contrarié et ivre c’était… infernal. Vraiment infernal. Et même s’il ne pouvait pas se promettre que ça n’arrive pas un jour… le plus tard serait encore le mieux.
Les explications de la rouquine n’ont rien pour rassurer le Pajares qui la retient en serrant ses doigts dans les siens. Parce qu’effectivement, elle n’avait pas tort quand il s’agissait du temps où Miguel était célibataire. Il aimait plaire, évidemment.
- Donc tu reconnais qu’il essaye de te charmer ?
Le ton n’est pas agressif. Ca sonne plutôt comme une demande de confirmation. L’intestin se tort en se rendant compte de la menace qui plane sur lui. Sur eux. Sur ce qu’ils avaient construit en dépit de leurs différences et de leurs préjugés respectifs. Son histoire avec Cataleya n’avait jamais été une évidence, il n’était que trop conscient de la fragilité de leur réalité. Mais il aimait trop cette réalité, il l’aimait trop elle. Il ne pouvait pas seulement ignorer le danger.
Et si elle disait oui ?
Il ne répond pas. A peine une sorte de grommellement. Il n’avait pas comprit l’éloignement du Grymm et pour être honnête, il n’avait jamais vraiment chercher à comprendre. Peut-être parce qu’il avait légion d’autres amis. Et qu’il se croyait trop bien pour courir après l’anglais. Ou tout simplement parce qu’il avait eut la flemme.
Mains dans les mains, le Pajares ne sait pas cacher sur air contrarié. Tandis que la Blackthorn s’accroche à son regard, lui regarde derrière elle autant pour échapper à la sonde que pour s’assurer qu’elle ne trébuche pas en marchant en arrière. « Pourquoi c’est pas toi qui est bourré… »
- Croit moi, tu préfères pas.
Parce que Miguel contrarié et sobre c’était pas fun. Mais Miguel contrarié et ivre c’était… infernal. Vraiment infernal. Et même s’il ne pouvait pas se promettre que ça n’arrive pas un jour… le plus tard serait encore le mieux.
Les explications de la rouquine n’ont rien pour rassurer le Pajares qui la retient en serrant ses doigts dans les siens. Parce qu’effectivement, elle n’avait pas tort quand il s’agissait du temps où Miguel était célibataire. Il aimait plaire, évidemment.
- Donc tu reconnais qu’il essaye de te charmer ?
Le ton n’est pas agressif. Ca sonne plutôt comme une demande de confirmation. L’intestin se tort en se rendant compte de la menace qui plane sur lui. Sur eux. Sur ce qu’ils avaient construit en dépit de leurs différences et de leurs préjugés respectifs. Son histoire avec Cataleya n’avait jamais été une évidence, il n’était que trop conscient de la fragilité de leur réalité. Mais il aimait trop cette réalité, il l’aimait trop elle. Il ne pouvait pas seulement ignorer le danger.
Et si elle disait oui ?
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Cataleya Blackthorn est fan
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Re: [maxpete party] Jealousy, jealousy. (terminé)
Lun 1 Jan 2024 - 13:46
Etrangement pendue aux mains de son aimée, Cataleya observe les tensions courir sur une machoire qu’elle voudrait apaiser d’une caresse, au risque de mollement tomber sur les fesses en libérant deux ou trois doigts. Le ton usité n’est pourtant pas agressif, mais c’est peut être là ce qui alerte le plus la Blackthorn puisque le profond sérieux de la discussion parvient à se faire une place parmis le brouillard éthylique. Troquer le candide sourire dont elle s’était armée à la seule idée de chasser des étoiles et ce, pour une moue un peu plus contrarié ; Ni par la question ou l’air bougon de son doux chevalier, mais bien parce qu’elle réalisait qu’elle n’était pas dans les meilleures dispositions pour lui répondre le plus justement possible.
“ Mig… ” L’appel aurait dû se forger sur l’inneffable tendresse que le Pajares arrivait encore à arracher au cadavre du dragon Blackthorn. Dernier vestiges d’une enfance heureuse où elle rayonnait sur son parquet de danse, envoutée par les mélodies soufflée par un piano et violon. L’appel aurait dû prendre appui sur quelques douceurs induites par l’amour, mais demeure tant impersonnelle ainsi traduite par son collier que la Blackthorn le trouve presque insultant. Incapable de se faire à l’idée de devoir écorcher de la sorte le prénom du madrilène, puisque incapable de retrouver sa voix. Pour un peu elle arracherait ce foutu outil, l’exploserait sous ses talons aiguilles, mais elle en avait déjà brisé un trop grand nombre et ce serait là se priver du moyen le plus pratique pour communiquer. La moue se tord alors une seconde devant la question mais Miguel est loin d’être stupide, et répondre par la négative serait au mieux insultant pour elle, au pire dégradant pour lui.
Contractant au mieux ses inexistants abdos pour retrouver un semblant d’appui sur le sol, Cataleya ramène les mains du poursuiveur à ses lèvres et les sertit d’un doux baiser. Comme elle avait pu le faire des années durants, lorsque ses cadettes s’éveillait d’un brusque cauchemars. “ C’est avec toi que je veux des enfants. ”
…
Le visage se redresse brutalement, regard plissé par l’improbable constat échappé de son esprit aviné. Si elle ne retrousse pas le nez devant la perspective d'arracher à sa sacro-sainte matrice un sang impur, elle semble tout de même profondément perturbé par des mots qu'elle a elle-même formulé et s'empresse de dresser son index entre leurs deux corps, comme pour éviter d'avoir à rebondir sur le sujet. “ Un Ch-... Poisson rouge. ” Ouais, c'était bien un poisson rouge. Garde partagée un week-end sur deux, et connaissant l'absence d'intérêt des deux sorciers pour eux, il aurait une durée de vie d'approximativement deux jours. Courte parentalités, comme l’aimait les Blackthorn.
“ Tout ça pour dire que, oui, je pense, mais plus par jeu que réel intérêt. J'ai été cent fois plus infecte avec lui qu'avec toi et je crois qu'il garde les traces de mes canines sur sa peau... Il faut dire que je l'ai souvent mordu durant nos entrainement... ” Et réalisant soudainement qu'elle en disait trop, la lufkin ramène subitement leurs mains jointes vers elle. “ Pas dans un sens sexy hein, mais c'est lui qui m'entrainait pour la DFCM avant qu'on ne commence à parler, toi et moi. ” Rectification : Avant qu'elle ne daigne prendre en compte ton existence, Miguel. “ Et c'était plus facile de prendre forme animale pour le niaquer plutôt que lancer un stupéfix décent. Ca explique peut être que je suis mauvaise en duel... ”
“ Mig… ” L’appel aurait dû se forger sur l’inneffable tendresse que le Pajares arrivait encore à arracher au cadavre du dragon Blackthorn. Dernier vestiges d’une enfance heureuse où elle rayonnait sur son parquet de danse, envoutée par les mélodies soufflée par un piano et violon. L’appel aurait dû prendre appui sur quelques douceurs induites par l’amour, mais demeure tant impersonnelle ainsi traduite par son collier que la Blackthorn le trouve presque insultant. Incapable de se faire à l’idée de devoir écorcher de la sorte le prénom du madrilène, puisque incapable de retrouver sa voix. Pour un peu elle arracherait ce foutu outil, l’exploserait sous ses talons aiguilles, mais elle en avait déjà brisé un trop grand nombre et ce serait là se priver du moyen le plus pratique pour communiquer. La moue se tord alors une seconde devant la question mais Miguel est loin d’être stupide, et répondre par la négative serait au mieux insultant pour elle, au pire dégradant pour lui.
Contractant au mieux ses inexistants abdos pour retrouver un semblant d’appui sur le sol, Cataleya ramène les mains du poursuiveur à ses lèvres et les sertit d’un doux baiser. Comme elle avait pu le faire des années durants, lorsque ses cadettes s’éveillait d’un brusque cauchemars. “ C’est avec toi que je veux des enfants. ”
…
Le visage se redresse brutalement, regard plissé par l’improbable constat échappé de son esprit aviné. Si elle ne retrousse pas le nez devant la perspective d'arracher à sa sacro-sainte matrice un sang impur, elle semble tout de même profondément perturbé par des mots qu'elle a elle-même formulé et s'empresse de dresser son index entre leurs deux corps, comme pour éviter d'avoir à rebondir sur le sujet. “ Un Ch-... Poisson rouge. ” Ouais, c'était bien un poisson rouge. Garde partagée un week-end sur deux, et connaissant l'absence d'intérêt des deux sorciers pour eux, il aurait une durée de vie d'approximativement deux jours. Courte parentalités, comme l’aimait les Blackthorn.
“ Tout ça pour dire que, oui, je pense, mais plus par jeu que réel intérêt. J'ai été cent fois plus infecte avec lui qu'avec toi et je crois qu'il garde les traces de mes canines sur sa peau... Il faut dire que je l'ai souvent mordu durant nos entrainement... ” Et réalisant soudainement qu'elle en disait trop, la lufkin ramène subitement leurs mains jointes vers elle. “ Pas dans un sens sexy hein, mais c'est lui qui m'entrainait pour la DFCM avant qu'on ne commence à parler, toi et moi. ” Rectification : Avant qu'elle ne daigne prendre en compte ton existence, Miguel. “ Et c'était plus facile de prendre forme animale pour le niaquer plutôt que lancer un stupéfix décent. Ca explique peut être que je suis mauvaise en duel... ”
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Re: [maxpete party] Jealousy, jealousy. (terminé)
Mar 2 Jan 2024 - 22:53
Et si elle disait oui ? Elle avait d’abord prononcé son surnom d’une voix qui n’était pas la sienne. Il pensait ne jamais s’y faire et pourtant… Pourtant l’été était passé désormais et il ne s’étonnait presque plus qu’elle n’ouvre pas la bouche. Parfois il avait plus l’impression de la comprendre en la contemplant qu’en l’écoutant.
Et si elle disait oui ? « C’est avec toi que je veux des enfants. » Il aurait moins été surprit qu’elle dise oui. Les yeux s’écarquillent, les mains manquent de lâcher leur prise sous l’effet de la surprise. Même si la rouquine se rattrape aux branches assez lamentablement pour arriver à l’animal de compagnie le plus insignifiant du monde. Ca n’empêche pas Miguel de paniquer quelques secondes dans sa tête, avant de se rappeler que sa dulcinée est plus ivre que jamais. C’est que la dernière fois qu’il avait été question d’enfant, le madrilène avait déguerpi comme un lapin sous acide. Et pourtant la nana, elle était vachement bonne.
Il aurait aimé pouvoir répondre un truc mais la vérité c’est qu’il a l’impression qu’il y a un truc qui a grillé là haut. Alors il serait presque content d’apprendre que oui, Alexander essayait de la sauter. *cool, cool, cool, cool, cool, cool…* Merveilleux. Il inspire si fort que quelque-part dans le jardin, un oiseau trouve qu’il est de bon ton d’aller voir ailleurs s’il y est. Et il n’a pas tort compte tenu des explications données par la médicomage.
- Vos entrainements !?
Le nez se plisse, comme s’il sentait quelque-chose de particulièrement mauvais sans vraiment se rendre compte que c’était l’odeur du mensonge qui emplissait ses narines.
- Ou alors c’est parce que ton prof était nul.
Mauvaise foi assumé. Il est conscient que le McCandless était excellent en DFCM. Bon peut-être pas autant que lui… Bon d’accord. Il était excellent mais ça lui arracherait la gueule de dire le contraire à voix haute. Mais se rendant compte qu’il se laissait aller à cette digression, il profite pour en revenir au sujet :
- Mais depuis quand t’es pote avec exactement ? Et pourquoi ?
Et plus important encore…
- Et c’est quoi la limite du coup ? Parce que t’es pas intéressée, j’suis censé penser que c’est tranquille ce qu'il te fait ?
Et puis comme prit d’un doute…
- T’es pas intéressée hein ?
Et si elle disait oui ? « C’est avec toi que je veux des enfants. » Il aurait moins été surprit qu’elle dise oui. Les yeux s’écarquillent, les mains manquent de lâcher leur prise sous l’effet de la surprise. Même si la rouquine se rattrape aux branches assez lamentablement pour arriver à l’animal de compagnie le plus insignifiant du monde. Ca n’empêche pas Miguel de paniquer quelques secondes dans sa tête, avant de se rappeler que sa dulcinée est plus ivre que jamais. C’est que la dernière fois qu’il avait été question d’enfant, le madrilène avait déguerpi comme un lapin sous acide. Et pourtant la nana, elle était vachement bonne.
Il aurait aimé pouvoir répondre un truc mais la vérité c’est qu’il a l’impression qu’il y a un truc qui a grillé là haut. Alors il serait presque content d’apprendre que oui, Alexander essayait de la sauter. *cool, cool, cool, cool, cool, cool…* Merveilleux. Il inspire si fort que quelque-part dans le jardin, un oiseau trouve qu’il est de bon ton d’aller voir ailleurs s’il y est. Et il n’a pas tort compte tenu des explications données par la médicomage.
- Vos entrainements !?
Le nez se plisse, comme s’il sentait quelque-chose de particulièrement mauvais sans vraiment se rendre compte que c’était l’odeur du mensonge qui emplissait ses narines.
- Ou alors c’est parce que ton prof était nul.
Mauvaise foi assumé. Il est conscient que le McCandless était excellent en DFCM. Bon peut-être pas autant que lui… Bon d’accord. Il était excellent mais ça lui arracherait la gueule de dire le contraire à voix haute. Mais se rendant compte qu’il se laissait aller à cette digression, il profite pour en revenir au sujet :
- Mais depuis quand t’es pote avec exactement ? Et pourquoi ?
Et plus important encore…
- Et c’est quoi la limite du coup ? Parce que t’es pas intéressée, j’suis censé penser que c’est tranquille ce qu'il te fait ?
Et puis comme prit d’un doute…
- T’es pas intéressée hein ?
GO SHOOTERS, GO !
Peter Drummond, Elio Cooper et Cataleya Blackthorn sont fans
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
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Re: [maxpete party] Jealousy, jealousy. (terminé)
Mer 3 Jan 2024 - 19:49
L’inspiration est profonde et si elle aurait pu se faire salutaire ou gage de calme, le ton qui suit laisse entrevoir à la lufkin qu’ils n’iront définitivement pas les chasser, ces étoiles plus tôt réclamées. Le nez de Miguel se plisse et tout dans l’air semble désormais étrange ; C’était la première fois que Cataleya le voyait réagir de la sorte. S’il était évident que l’égo de son amour était tout aussi grand que le sien, indéniablement la lufkin pressentait que ce n’était -cette fois-ci- pas la clef pour déchiffrer ses réactions alors, lorsqu’une nouvelle fois l’espagnol dénigre Alexander, Cataleya dépose un tendre baiser sur ses mains. Comme si ce simple geste pouvait lever toute les tensions qu’elle devinait, là, tapis sous la peau. Elle ignorait comment apaiser le Pajares, n’était pas même certaine que les réponses apportées puissent le tranquilliser, pourtant il planait au-dessus d’elle une tel besoin de le rassurer sur la force de son amour que la répétition de cette ultime question lui vrilla cruellement le cœur. “T’es pas intéressée hein ? ” Le visage se secoue doucement, presque timide, et d’une main pleinement douce la Blackthorn s’essaye à un contact. Du bout des doigts elle effleure la joue du Madrilène quand tout pourtant en elle lui hurle de juste abattre son front sur l’épaule de celui qu’elle aime, et l’y cogner pour solidement marquer qu’il ne s’était jamais rien passé entre elle et Alexander. Pour chasser l’effort que lui demandait toute cette discussion, surtout, puisque courir après les dates et arguments après autant de shooter n’était définitivement pas une chose aisée.
“ Pourquoi j’irai chercher ailleurs ce que tu es le seul à m’apporter ? Je suis bien avec toi, Miguel. Vraiment bien. “
Jamais elle ne s’était sentie autant apaisée que nichée dans ses bras, bercée par sa voix aux allures de caresse ou tordue sous les chatouilles, puisqu’une nouvelle fois elle avait mis en doute la puissance des Flèches. Lentement le visage de la nymphe se rapproche, et s’il serait tentant de fuir par un baiser afin de reporter cette discussion au lendemain, c’est profondément douce que la lufkin observe Miguel. Charmée par cette intimité qu’à sû induire leur retrait des festivités. Quand bien même celui-ci avait été provoqué par des appréhensions qu’enfin elle semblait saisir.
“ Est-ce que tu te sentirais mieux, si je marquais un peu de distance avec lui ? “
Si elle avait été mal lunée, sans doute aurait-elle préféré pointé du doigt sa relation avec Esther plutôt que remettre en question celle qui la liait à Alexander. D’autant plus lorsque l’image d’une Maciya, poussant la porte de l’appartement en clamant vouloir être prise sur le canapé, s’imposa à son esprit. Et si le coeur se piqua sévèrement devant cette réminiscence, jamais Miguel ne lui avait depuis laissé entrevoir le moindre doute. Au point où, naïvement sans doute, elle avait oublié cette éventualité. Et maintenant que celle-ci revenait faire son nid dans l’esprit de la rousse, c’est de sa propre fidélité qu’elle doutait. Est-ce qu’elle pourrait déraper ? Pousser un peu trop loin la limite ? Alexander était tout à fait son type d’homme et leur passif était intense ; pourrait-elle le privilégier à son idylle charmante, un soir comme celui-ci ? Ou pire, sans alcool dans le sang ? La panique lui mord brutalement le bras et c'est dans une sincère volonté de préserver son petit bout de paradis qu'elle reprend.
“ Il ne s'est jamais rien passé entre lui et moi. Je suis désolé si j'ai pu te mettre mal à l'aise ou t'en faire douter… “
“ Pourquoi j’irai chercher ailleurs ce que tu es le seul à m’apporter ? Je suis bien avec toi, Miguel. Vraiment bien. “
Jamais elle ne s’était sentie autant apaisée que nichée dans ses bras, bercée par sa voix aux allures de caresse ou tordue sous les chatouilles, puisqu’une nouvelle fois elle avait mis en doute la puissance des Flèches. Lentement le visage de la nymphe se rapproche, et s’il serait tentant de fuir par un baiser afin de reporter cette discussion au lendemain, c’est profondément douce que la lufkin observe Miguel. Charmée par cette intimité qu’à sû induire leur retrait des festivités. Quand bien même celui-ci avait été provoqué par des appréhensions qu’enfin elle semblait saisir.
“ Est-ce que tu te sentirais mieux, si je marquais un peu de distance avec lui ? “
Si elle avait été mal lunée, sans doute aurait-elle préféré pointé du doigt sa relation avec Esther plutôt que remettre en question celle qui la liait à Alexander. D’autant plus lorsque l’image d’une Maciya, poussant la porte de l’appartement en clamant vouloir être prise sur le canapé, s’imposa à son esprit. Et si le coeur se piqua sévèrement devant cette réminiscence, jamais Miguel ne lui avait depuis laissé entrevoir le moindre doute. Au point où, naïvement sans doute, elle avait oublié cette éventualité. Et maintenant que celle-ci revenait faire son nid dans l’esprit de la rousse, c’est de sa propre fidélité qu’elle doutait. Est-ce qu’elle pourrait déraper ? Pousser un peu trop loin la limite ? Alexander était tout à fait son type d’homme et leur passif était intense ; pourrait-elle le privilégier à son idylle charmante, un soir comme celui-ci ? Ou pire, sans alcool dans le sang ? La panique lui mord brutalement le bras et c'est dans une sincère volonté de préserver son petit bout de paradis qu'elle reprend.
“ Il ne s'est jamais rien passé entre lui et moi. Je suis désolé si j'ai pu te mettre mal à l'aise ou t'en faire douter… “
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» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
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Re: [maxpete party] Jealousy, jealousy. (terminé)
Ven 12 Jan 2024 - 21:49
Il reste suspendu à ses lèvres, retenant son souffle. Il avait posé une question dont il n’était pas sûr de vouloir la réponse… Ou plutôt dont il avait peur de la réponse. Il avait toujours eut pleinement conscience que Cataleya était une splendide sorcière. Il n’était pas sans savoir qu’elle était passionnée et passionnante. Mais il avait eut tant de mal à l’approcher qu’il s’était senti comme a l’abri… Comme s’il n’imaginait pas que qui que ce soit puisse avoir une telle complicité avec la rouquine.
“ Pourquoi j’irai chercher ailleurs ce que tu es le seul à m’apporter ? Je suis bien avec toi, Miguel. Vraiment bien. “ Un rire aussi jaune qu’ironique s’étouffe contre son palais. Il ne détourne pas le regard de l’océan de ses yeux pour autant. « Je suis bien avec toi » ça sonnait comme le genre de truc qu’on pouvait dire lors d’une idylle naissance ou qu’on pouvait dire à tout le monde. Il avait l’impression de ne plus en être là pourtant…
“ Est-ce que tu te sentirais mieux, si je marquais un peu de distance avec lui ? “ La question aurait du l’apaiser mais la réalité c’est qu’il a plutôt le sentiment de se sentir aussi qu’on qu’en danger.
- Est-ce que tu le ferais si je te répondais oui ?
“ Il ne s'est jamais rien passé entre lui et moi. Je suis désolé si j'ai pu te mettre mal à l'aise ou t'en faire douter… “ Dans le fond, il le sait qu’il ne s’est jamais rien passé avec lui. Demandez pas pourquoi, il le ressent. Mais ça le met tellement mal à l’aise de deviner qu’un ancien de ses potes a des vues sur sa copine, c’est indéniable.
- C’est pas toi. C’est lui !
La voix sonne accusatrice. C’était pas elle le problème. Et comme pour s’en assurer, il glisse une main contre sa mâchoire qui se niche dans ses cheveux.
“ Pourquoi j’irai chercher ailleurs ce que tu es le seul à m’apporter ? Je suis bien avec toi, Miguel. Vraiment bien. “ Un rire aussi jaune qu’ironique s’étouffe contre son palais. Il ne détourne pas le regard de l’océan de ses yeux pour autant. « Je suis bien avec toi » ça sonnait comme le genre de truc qu’on pouvait dire lors d’une idylle naissance ou qu’on pouvait dire à tout le monde. Il avait l’impression de ne plus en être là pourtant…
“ Est-ce que tu te sentirais mieux, si je marquais un peu de distance avec lui ? “ La question aurait du l’apaiser mais la réalité c’est qu’il a plutôt le sentiment de se sentir aussi qu’on qu’en danger.
- Est-ce que tu le ferais si je te répondais oui ?
“ Il ne s'est jamais rien passé entre lui et moi. Je suis désolé si j'ai pu te mettre mal à l'aise ou t'en faire douter… “ Dans le fond, il le sait qu’il ne s’est jamais rien passé avec lui. Demandez pas pourquoi, il le ressent. Mais ça le met tellement mal à l’aise de deviner qu’un ancien de ses potes a des vues sur sa copine, c’est indéniable.
- C’est pas toi. C’est lui !
La voix sonne accusatrice. C’était pas elle le problème. Et comme pour s’en assurer, il glisse une main contre sa mâchoire qui se niche dans ses cheveux.
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Re: [maxpete party] Jealousy, jealousy. (terminé)
Mer 17 Jan 2024 - 12:32
Le rire n’a rien d’éclatant, et l’air qui pèse sur le visage de l’espagnol tire une moue profondément songeuse à sa dulcinée qui éprouve la sensation de patauger. Elle hoche pourtant par deux fois le menton devant sa question, consciente que si elle marquait effectivement de la distance en public, jamais elle ne perdrait ce qui la liait à Alexander. Aussi terrible sonnait ce constat aux oreilles de Miguel. Il leur restait les capes noires, les escapades au clair de lune, les courses sur la plage et les expérimentation un peu folle soufflées au visage des étoiles. Les loups, aussi. Tant de choses qu’elle rangeait précieusement sous son manteau - coupable - lorsqu’elle se hissait sur la pointe des pieds dans l’appartement du Pajares. Lorsqu'elle nichait amoureusement sous ses couvertures et glissait ses lèvres dans son cou pour réclamer un peu d'affection. “C’est pas toi. C’est lui ! ” Ca la peine, pourtant, de s’imaginer les deux grymm en guerre ouverte quand tout aurait pourtant dû les rapprocher. N’avaient-ils pas déjà été amis ? Pourtant, consciente que voler au secours d’Alexander lui vaudrait les foudres de Miguel, Cataleya réprime la défense qui s’armait timidement entre ses lèvres. Elle se laisse au contraire charmer par cette main posée sur sa joue, pousse un soupir d’aise lorsque celle-ci se perd dans ses cheveux, et gagne des airs de biche lorsque les battement de cils se font autant éprit que le palpitant lové entre ses seins.
“ Je lui dirais que je ne suis plus tout à fait à l'aise à l'idée qu'on soit autant collé l'un à l'autre. Il comprendra. ” Les lèvres se portent sur l'avant bras posé contre sa joue, comme pour tranquilliser un esprit qu'elle savait échauffé. “ Mais j'aurai aimé que vous vous entendiez... C'est vraiment quelqu'un de bien, tu sais."
La moue qui plane sur le visage de la lufkin tient subitement du caprice infantile, mais elle a tôt fait de l'enfouir dans le col du madrilène pour se réchauffer un peu. C'est que, trempée, elle grelotte encore sous la morsure du vent. Les mains viennent fourbement quérir un peu de chaleur sous la veste du jeune homme, et si elle ne dit mot, le doux relâchement de ses épaules trahit sans mal l'abandon total de son corps entre les bras du Pajares. Pas sûre qu'elle demeure debout s'il la relâche subitement.
“ Je retire ce que j'ai dis. Il s'est moqué de moi quand j'ai commencée à parler à Fraise des bois ; c'est pas quelqu'un de bien. ” Il faut dire qu'elle avait commencé à raconter sa vie à un bout de bois destiné pour les enfants, avant de se perdre dans un fatras botanique et une ode aux snargalouff qu'elle cultivait amoureusement depuis ses jeunes années. Profondément enfouit dans le col du Pajares, le visage de la Blackthorn se redresse subitement. Comme prit d'une révélation. “ Je l'ai perdu ! Je l'ai posé et... Mig, je fais comment pour te montrer que je ne suis pas nulle si j'ai pas mon balais...? ”
Fondamentalement désemparée, et un poil dramatique -toujours- le regard de la Blackthorn retourne nerveusement le jardin comme si sa vie en dépendait, et ce en dépit de l'effroyable sensation de chavirer sous les hauts le coeur qui la pèse. Peut être que jurer à @Peter Drummond qu'elle pouvait tenir son rythme n'avait pas été une bonne idée. A moins que ce la curiosité l'ayant poussé à avaler ce shooter de liqueur de frelon ?
“ Je lui dirais que je ne suis plus tout à fait à l'aise à l'idée qu'on soit autant collé l'un à l'autre. Il comprendra. ” Les lèvres se portent sur l'avant bras posé contre sa joue, comme pour tranquilliser un esprit qu'elle savait échauffé. “ Mais j'aurai aimé que vous vous entendiez... C'est vraiment quelqu'un de bien, tu sais."
La moue qui plane sur le visage de la lufkin tient subitement du caprice infantile, mais elle a tôt fait de l'enfouir dans le col du madrilène pour se réchauffer un peu. C'est que, trempée, elle grelotte encore sous la morsure du vent. Les mains viennent fourbement quérir un peu de chaleur sous la veste du jeune homme, et si elle ne dit mot, le doux relâchement de ses épaules trahit sans mal l'abandon total de son corps entre les bras du Pajares. Pas sûre qu'elle demeure debout s'il la relâche subitement.
“ Je retire ce que j'ai dis. Il s'est moqué de moi quand j'ai commencée à parler à Fraise des bois ; c'est pas quelqu'un de bien. ” Il faut dire qu'elle avait commencé à raconter sa vie à un bout de bois destiné pour les enfants, avant de se perdre dans un fatras botanique et une ode aux snargalouff qu'elle cultivait amoureusement depuis ses jeunes années. Profondément enfouit dans le col du Pajares, le visage de la Blackthorn se redresse subitement. Comme prit d'une révélation. “ Je l'ai perdu ! Je l'ai posé et... Mig, je fais comment pour te montrer que je ne suis pas nulle si j'ai pas mon balais...? ”
Fondamentalement désemparée, et un poil dramatique -toujours- le regard de la Blackthorn retourne nerveusement le jardin comme si sa vie en dépendait, et ce en dépit de l'effroyable sensation de chavirer sous les hauts le coeur qui la pèse. Peut être que jurer à @Peter Drummond qu'elle pouvait tenir son rythme n'avait pas été une bonne idée. A moins que ce la curiosité l'ayant poussé à avaler ce shooter de liqueur de frelon ?
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
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Re: [maxpete party] Jealousy, jealousy. (terminé)
Dim 21 Jan 2024 - 15:04
Il s’en veut un peu, d’avoir cette discussion maintenant. Alors que les paupières de la Blackthorn témoignent de son ivresse, battant au rythme de la musique qui s’échappe de la nouvelle demeure de leurs hôtes. Mais si ce n’est pas la première fois que ces pensées parasites le traversent, c’est la première fois qu’il se retient d’éclater son poing contre la pommette trop saillante du Grymm. Et puis … c’était elle qui l’avait interrogé.
“ Je lui dirais que je ne suis plus tout à fait à l'aise à l'idée qu'on soit autant collé l'un à l'autre. Il comprendra. ” L’intérieur de sa joue prise en étau entre les molaires, Miguel se retient de dire que ça l’étonnerait. Comment pourrait il comprendre ? Il suffisait de le regarder attentivement pour se rendre compte qu’il était raide dingue de la Blackthorn. Et le madrilène était bien placé pour le savoir… parce que c’était aussi son cas. Mais il préférait s’arracher la langue que de dire à la rouquine à quel point McCandless l’aimait. Trop incertain de l’issue qu’aurait une telle revelation. « Mais j'aurai aimé que vous vous entendiez... C'est vraiment quelqu'un de bien, tu sais. »
- Je sais.
La machoire se serre face à ce constat. Il sait. Il a été ami avec Alexander et même s’il commençait à entrevoir les raisons de leur éloignement, il savait qu’Alexander était un type bien. “ Je retire ce que j'ai dis. Il s'est moqué de moi quand j'ai commencée à parler à Fraise des bois ; c'est pas quelqu'un de bien. ”
- Fraise des bois ?
La voila qui s’agite, forçant le Pajares a abandonner la douce prise qu’il avait contre sa nuque. Il fronce les sourcils, cherchant à comprendre ce que la Blackthorn s’était mise à chercher soudainement… “ Je l'ai perdu ! Je l'ai posé et... Mig, je fais comment pour te montrer que je ne suis pas nulle si j'ai pas mon balais...? ”
- Fraise des bois ? Ton balai ?
Cette fois, le rire est sincère alors qu’il l’observe chercher après perdu. Voila qui était improbable… Cataleya avec un balai… Cataleya qui parlait à son balai… Balai qu’elle avait appelé Fraise des Bois. Se souviendrait elle seulement de cette conversation le lendemain ? Il avait comme un doute. C'est sûrement cette pensée qui aide l'hilarité à le submerger...
“ Je lui dirais que je ne suis plus tout à fait à l'aise à l'idée qu'on soit autant collé l'un à l'autre. Il comprendra. ” L’intérieur de sa joue prise en étau entre les molaires, Miguel se retient de dire que ça l’étonnerait. Comment pourrait il comprendre ? Il suffisait de le regarder attentivement pour se rendre compte qu’il était raide dingue de la Blackthorn. Et le madrilène était bien placé pour le savoir… parce que c’était aussi son cas. Mais il préférait s’arracher la langue que de dire à la rouquine à quel point McCandless l’aimait. Trop incertain de l’issue qu’aurait une telle revelation. « Mais j'aurai aimé que vous vous entendiez... C'est vraiment quelqu'un de bien, tu sais. »
- Je sais.
La machoire se serre face à ce constat. Il sait. Il a été ami avec Alexander et même s’il commençait à entrevoir les raisons de leur éloignement, il savait qu’Alexander était un type bien. “ Je retire ce que j'ai dis. Il s'est moqué de moi quand j'ai commencée à parler à Fraise des bois ; c'est pas quelqu'un de bien. ”
- Fraise des bois ?
La voila qui s’agite, forçant le Pajares a abandonner la douce prise qu’il avait contre sa nuque. Il fronce les sourcils, cherchant à comprendre ce que la Blackthorn s’était mise à chercher soudainement… “ Je l'ai perdu ! Je l'ai posé et... Mig, je fais comment pour te montrer que je ne suis pas nulle si j'ai pas mon balais...? ”
- Fraise des bois ? Ton balai ?
Cette fois, le rire est sincère alors qu’il l’observe chercher après perdu. Voila qui était improbable… Cataleya avec un balai… Cataleya qui parlait à son balai… Balai qu’elle avait appelé Fraise des Bois. Se souviendrait elle seulement de cette conversation le lendemain ? Il avait comme un doute. C'est sûrement cette pensée qui aide l'hilarité à le submerger...
GO SHOOTERS, GO !
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» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
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Re: [maxpete party] Jealousy, jealousy. (terminé)
Ven 2 Fév 2024 - 17:03
“Fraise des bois ?” Le regard de la Blackthorn retourne aussitôt à l’espagnol, presque surprit qu’il ne parvienne pas à suivre les improbables sauts de son esprit. Les mains toujours dans son dos, bien à l’abri sous sa veste, elle s'accroche autant pour sauvegarder un équilibre vacillant que quérir un peu de chaleur, et si le rire du Pajares aurait dû balayer ce froncement léger mais caractéristique de sourcil que poussait déjà la lufkin, il accentue sa désarmante détresse. La pousse à mimer de ses lèvres un muet “c’est méchant” qui aurait prit des airs plus ridicules encore s’il avait été verbalisé. C’est qu’elle bouderait presque, Cataleya, comprenant tout de même que c’était d’elle que Miguel riait. Ses mains gelées se frayent alors un chemin sous les couches de tissus pour le faire taire, mais avant même qu’il ne puisse protester elle vient lui caler un baiser sucré au coin des lèvres ; Jubilant presque devant ce contact avant de s’en défaire.
D’une moue foncièrement décidée, la Blackthorn délaisse la peau mordoré du Pajares pour s’accroupir. Observer les buissons. Comme si la meilleure planque que puisse trouver un balais était forcément les fourrés puisque pleinement camouflé. Ils faut dire que ceux-ci prenaient des contours singulièrement louche dans la pénombre, couplé aux brumes éthyliques qui pesait sur un jugement devenu pleinement bancal. La main se pose prudemment dans l’herbe, et si le nez se fronce à mesure que le regard fixe l’ombre, c’est souplement que l’animagus se redresse finalement. Nop, pas de balais ! La soudaine fuite des ombres qui s'en suivit, et qu’elle guettait avec tant d'avidité, n’avait rien à voir avec le bois tordu de son balais.
- “Une fois j’en ai attrapé un tu sais !” Lance subitement la Blackthorn certainement trop enthousiaste, avant de pointer la direction par laquelle avait fuit ces ombres trop rapides. ”D’écureuil, j’veux dire !“
Réalisant qu’elle s’enfonçait, et que l’issue de cette histoire était tout sauf glorieuse puisque son défunt elfe avait lutté corps et âme pour lui arracher des crocs le cadavre d’un animal qu’elle avait vraisemblablement voulu bouffer, Cataleya ravale ses mots. Son regard traine longuement dans le jardin, s’attarde sur des zones un peu improbable quand ses mains ne retournent pas les autres, et doucement les secondes ressemblent à des quart d’heures. Les minutes à de trop longues heures. Rien. La tête se révulse de dépit, comme à chaque fois qu’elle s’apprêtait à se jeter dramatiquement sur le canapé ou lit de son aimé, mais ses grands yeux bleus accrochent finalement les étoiles puisque, le terrain de chasse des balais était, en toute logique, les cieux après les branchages. Meh. Brindille fille de gourgandine ! Comment Cataleya pourrait remettre la main sur ce balais fugueur s’il naviguait près des étoiles ?
- “Je voulais t’impressionner, tu sais..” Reprend t’elle sans décrocher le nez des constellations “Parce que tu es fou de tes balais, et moi de toi, alors je voulais pouvoir faire quelque chose qui te rendrait fier. Si ce n'est encore plus fou de moi... C’est un peu nul mais je me suis dite qu’un jour je pourrais te surprendre à la sortie d’un entrainement, assise sur un balais, et t’amener pic-niquer quelque part. En l’état, si je fais ça on meurt alors… J'essaye de m’entrainer avant. “
D’une moue foncièrement décidée, la Blackthorn délaisse la peau mordoré du Pajares pour s’accroupir. Observer les buissons. Comme si la meilleure planque que puisse trouver un balais était forcément les fourrés puisque pleinement camouflé. Ils faut dire que ceux-ci prenaient des contours singulièrement louche dans la pénombre, couplé aux brumes éthyliques qui pesait sur un jugement devenu pleinement bancal. La main se pose prudemment dans l’herbe, et si le nez se fronce à mesure que le regard fixe l’ombre, c’est souplement que l’animagus se redresse finalement. Nop, pas de balais ! La soudaine fuite des ombres qui s'en suivit, et qu’elle guettait avec tant d'avidité, n’avait rien à voir avec le bois tordu de son balais.
- “Une fois j’en ai attrapé un tu sais !” Lance subitement la Blackthorn certainement trop enthousiaste, avant de pointer la direction par laquelle avait fuit ces ombres trop rapides. ”D’écureuil, j’veux dire !“
Réalisant qu’elle s’enfonçait, et que l’issue de cette histoire était tout sauf glorieuse puisque son défunt elfe avait lutté corps et âme pour lui arracher des crocs le cadavre d’un animal qu’elle avait vraisemblablement voulu bouffer, Cataleya ravale ses mots. Son regard traine longuement dans le jardin, s’attarde sur des zones un peu improbable quand ses mains ne retournent pas les autres, et doucement les secondes ressemblent à des quart d’heures. Les minutes à de trop longues heures. Rien. La tête se révulse de dépit, comme à chaque fois qu’elle s’apprêtait à se jeter dramatiquement sur le canapé ou lit de son aimé, mais ses grands yeux bleus accrochent finalement les étoiles puisque, le terrain de chasse des balais était, en toute logique, les cieux après les branchages. Meh. Brindille fille de gourgandine ! Comment Cataleya pourrait remettre la main sur ce balais fugueur s’il naviguait près des étoiles ?
- “Je voulais t’impressionner, tu sais..” Reprend t’elle sans décrocher le nez des constellations “Parce que tu es fou de tes balais, et moi de toi, alors je voulais pouvoir faire quelque chose qui te rendrait fier. Si ce n'est encore plus fou de moi... C’est un peu nul mais je me suis dite qu’un jour je pourrais te surprendre à la sortie d’un entrainement, assise sur un balais, et t’amener pic-niquer quelque part. En l’état, si je fais ça on meurt alors… J'essaye de m’entrainer avant. “
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
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» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
» situation : en couple avec une jolie rousse
» profession : poursuiveur des shooters d'inverness
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1330
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Re: [maxpete party] Jealousy, jealousy. (terminé)
Ven 9 Fév 2024 - 10:48
Il s’essaya même pas de s’échapper aux pincements du froid qu’il ressentit dans son dos, l’affrontant courageusement ou trop occupé à embrasser la rouquine. Il rit de plus belle, devinant les mots sur ses lèvres et déposant un baiser bienveillant sur son front comme pour lui assurer que son hilarité n’avait rien de moqueuse.
Pourtant, il essaye de pincer les lèvres pour étouffer les rires en l’observant chercher son balai, adorable à quatre pattes dans l’herbe. Elle fit pourtan peur à une nuée d’écureuils qui s’enfuirent sous l’oeil surprit du madrilène, tandis que Cataleya rajoutait à l’étonnement “- “Une fois j’en ai attrapé un tu sais ! D’écureuil, j’veux dire !”. Il était sur le point d’ouvrir la bouche pour poser une question quand il se rendit compte que c’était pas forcément la meilleure chose à faire s’il voulait préserver leurs libido.
Il était loin de se croire si patient et pourtant il observe Cataleya retourner le jardin, s’attendant presque à ce qu’elle se transforme en malinois pour flairer Fraise des Bois. C’est peut-être d’ailleurs exactement ce qu’il attend, le madrilène, car il a toujours trouvé ces transformations plus que fascinantes. Mais la rouquine cesse ses recherches, le nez dans les étoiles.
Le coeur qui se resserre face à ce qui pouvait ressembler à une déclaration d’amour de la part de la Blackthorn, il se trouve bien stupide soudainement d’avoir craint Alexander et d’avoir douté d’elle. Se glissant dans son dos, croisant ses doigts dans les siens en l’entourant de ses bras et respirant le parfum de ses ondulations, il déclame contre son oreille.
- Assurément ça m’aurait plu mais crois moi, je ne pourrais pas être plus fou de toi qu’à cet instant.
Pourtant, il essaye de pincer les lèvres pour étouffer les rires en l’observant chercher son balai, adorable à quatre pattes dans l’herbe. Elle fit pourtan peur à une nuée d’écureuils qui s’enfuirent sous l’oeil surprit du madrilène, tandis que Cataleya rajoutait à l’étonnement “- “Une fois j’en ai attrapé un tu sais ! D’écureuil, j’veux dire !”. Il était sur le point d’ouvrir la bouche pour poser une question quand il se rendit compte que c’était pas forcément la meilleure chose à faire s’il voulait préserver leurs libido.
Il était loin de se croire si patient et pourtant il observe Cataleya retourner le jardin, s’attendant presque à ce qu’elle se transforme en malinois pour flairer Fraise des Bois. C’est peut-être d’ailleurs exactement ce qu’il attend, le madrilène, car il a toujours trouvé ces transformations plus que fascinantes. Mais la rouquine cesse ses recherches, le nez dans les étoiles.
Le coeur qui se resserre face à ce qui pouvait ressembler à une déclaration d’amour de la part de la Blackthorn, il se trouve bien stupide soudainement d’avoir craint Alexander et d’avoir douté d’elle. Se glissant dans son dos, croisant ses doigts dans les siens en l’entourant de ses bras et respirant le parfum de ses ondulations, il déclame contre son oreille.
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» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
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» particularité : Animagus chien (Malinois)
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Re: [maxpete party] Jealousy, jealousy. (terminé)
Sam 10 Fév 2024 - 22:42
Inspirant profondément au contact de ces bras passés autour d’elle, Cataleya délaisse sa contemplation nocturne pour un astre plus précieux encore. Et à la manière d’un tournesol irrépressiblement tourné vers le soleil, son visage vient à chercher celui du madrilène dans un doux sourire. L’instant ne vêt aucune singularité et pourtant le geste se fait inestimable, comme si la Blackthorn réalisait enfin ô combien tout ceci lui était essentiel. Le souffle qui se perd dans ses rousses ondulations lui tire un gloussement adolescent, mais il est évident que c’est cet accent qui ravit le plus ses charmantes fossettes. Quoique ainsi ramassée dans les bras de son aimée, la Blackthorn se fait violence pour réprimer son sourire. Ses lèvres se pincent pour priver Miguel du ravissement qu’il lui procure mais l’oeil pétille tant que toute tentative se fait rapidement vaine : elle était follement amoureuse. Folle, mais purement amoureuse, et si elle ne le vocalise pas souvent de peur d’en subir les conséquences, force était d’admettre que son corps tout entier s’était mis au service de ce message trop souvent silencieux. Pourtant, ainsi couronné par les étoiles, le coeur trouve une certaine inclinaison au romantisme et ses doigts blancs viennent se poser sur les lèvres du Madrilène. “Redis le”. Elle visait la joue, à moins qu’elle ai voulu lui caresser les cheveux ? Tout est définitivement flou si ce n’est peut-être les palpitations prononcées de son cœur sous le charme.
“ Parce que je peux troquer mes révisions de demain pour un pic-nique si ça me permet d’avoir des bisous dans le cou et des “je t’aime”. ”
Bon, le problème de la conduite demeurait mais avec un peu de chance elle se hisserait derrière Miguel, sur son balais, et fermer les yeux le plus fort possible la préserverait de la crise cardiaque lorsque la vitesse et la hauteur lui boufferait les tripes.. “Je te ferais de la paella.” Non, elle irait commander de la paella lorsque la casserole bullerait visqueusement un amas qui n’avait rien de comestible. Elle avait prétendu s’exercer à la magie noire la dernière fois qu’elle avait tenté l’expérience, histoire de taire l'échec critique qu’avait été l’exécution de ce plat tiré de l’enfance du Pajares. Il faut dire qu’elle était toujours prise d’une folie créative en plein milieu de la recette, et qu’elle finissait toujours par la faire dévier vers des expérimentations hautements discutable : Kiran et Tertia étaient toujours en sueur lorsqu’elle se glissait dans leurs pattes pour prêter main forte en cuisine. C’était peut être la raison pour laquelle elle finissait toujours avec la cuillère de la pâte à gateau dans la bouche ; tout était bon pour l’occuper et l’empêcher de poser les mains sur le plan de travail… “Je suivrai la recette cette fois.” Promet-elle en rapprochant son visage de celui de l'ancien Grymm pour doucement frotter son nez au sien.
“ Parce que je peux troquer mes révisions de demain pour un pic-nique si ça me permet d’avoir des bisous dans le cou et des “je t’aime”. ”
Bon, le problème de la conduite demeurait mais avec un peu de chance elle se hisserait derrière Miguel, sur son balais, et fermer les yeux le plus fort possible la préserverait de la crise cardiaque lorsque la vitesse et la hauteur lui boufferait les tripes.. “Je te ferais de la paella.” Non, elle irait commander de la paella lorsque la casserole bullerait visqueusement un amas qui n’avait rien de comestible. Elle avait prétendu s’exercer à la magie noire la dernière fois qu’elle avait tenté l’expérience, histoire de taire l'échec critique qu’avait été l’exécution de ce plat tiré de l’enfance du Pajares. Il faut dire qu’elle était toujours prise d’une folie créative en plein milieu de la recette, et qu’elle finissait toujours par la faire dévier vers des expérimentations hautements discutable : Kiran et Tertia étaient toujours en sueur lorsqu’elle se glissait dans leurs pattes pour prêter main forte en cuisine. C’était peut être la raison pour laquelle elle finissait toujours avec la cuillère de la pâte à gateau dans la bouche ; tout était bon pour l’occuper et l’empêcher de poser les mains sur le plan de travail… “Je suivrai la recette cette fois.” Promet-elle en rapprochant son visage de celui de l'ancien Grymm pour doucement frotter son nez au sien.
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