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- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
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Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Mer 20 Déc 2023 - 22:28
24/12/2023
Le nez profondément niché dans un manteau aux couleurs des inverness's shooters, Cataleya soufflait sur ses doigts rougit pour tenter de les réchauffer. Elle trouva tout de même la force de râler en ce petit matin de décembre puisque la couleur choisit par Esther et Miguel jurait affreusement avec ses cheveux, et que Charlie n'avait pas même relevé la ressemblance avec Daphné Blake -dans Scooby-doo- alors même qu'elle s'était planté devant lui dans l'espoir d'un avis capable de lui faire croire qu'elle n'était pas si laide, là, à nager dans ce manteau trop grand. Elle avait filé au petit jour, sur la pointe des pieds, un balais vieillissant sous le bras et des étoiles plein les yeux. Celui-ci ne risquait pas de casser lui avait assuré le Pajares quelques semaines plus tôt lorsque, faussement innocente, elle lui avait demandé conseils sur les trop nombreux balais qui s'amoncelaient dans un coin de sa chambre.
Quelque part sans doute ressassait-elle encore sa ridicule chute lors de la pendaison de crémaillère de Maximilien et Peter, ou bien était-ce là un moyen de se prouver qu'être de retour au manoir familial ne signifiait pas avoir perdu tout libre arbitre. N'était-ce pas pour ça qu'elle s'était efforcé à dormir loin de sa chambre les premiers jours ? Pour se prouver qu'elle pouvait le faire en dépit du regard insistant de sa mère ? D'une moue décidée, Cataleya s’accroupit finalement devant ce balais de bouleau tordu mais ne trouva pas l'énergie de lui offrir un discours chargé d'espoir : ils se casseraient certainement la gueule. Forcément, à dire vrai. Elle paniquait toujours passé une certaine hauteur.
Si l'hésitation est franchement palpable, elle tapote le bois de sa main, vague tentative d'amadouer un objet qu'elle appréhendait bien maladroitement. Il se redressa pourtant si superbement qu'elle en fut un peu surprise. Rien à voir avec le balais d'Eliott sur lequel elle avait tenté de vagues essaies, fut un temps. Quand personne ne regardais.
" Tu es toujours partant pour me donner un cours particulier ? " Textote t'elle machinalement, réalisant que la batterie était faible et qu'il serait bien compliqué de recharger ce précieux appareil chez papa /maman. " J'ai fais du chocolat chaud. " ajouta t'elle en posant son royal fessier sur le balais en lévitation derrière elle. Comme si ce simple fait pouvait convaincre un Summerbee qu'elle imaginait peu emballé au vu de l'heure et du froid mordant qui l'attendait.
431/500
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James Blackthorn est fan
- Maximilien Leroyfrench style ♔ sweet golden boy
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♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Jeu 21 Déc 2023 - 16:49
Maximilien baisse le regard sur sa montre ensorcelée, dont l’air légèrement contrarié lui indique qu’il n’a pas été aussi bon que d’habitude. D’ailleurs, c’est sa petite voix énervante qui s’élève la seconde d’après.
« Trente minutes et quarante-cinq secondes, c’est deux minutes et six secondes de plus que la dernière fois. »
« Je sais, je sais… » grommelle le Français en se demandant qui a eu l’idée merdique de donner une humanité à un tel objet. Sûrement pour se faire mousser… « Je ferai mieux la prochaine fois. »
« Vos statistiques sont en nette regress… »
D’un index furieux, il lui coupe la parole et récupère son smartphone abandonné au fond d’une poche et dont la vibration se fond avec le rythme des battements de son cœur. Cataleya l'appâte et lui rappelle, à juste titre, qu’il est attendu sur le terrain de Quidditch. S’il n’avait pas été si mauvais lors de son footing, il serait déjà sur le bon chemin mais ravalant sa fierté, il fait quelques foulées en direction de l’université.
Lui qui déteste arriver en retard est bien verni : on ne pas plus l’être. Après avoir récupéré son balai dans le stockage de matériel des Summerbee, il rejoint la rouquine là où elle l’attend, visiblement frigorifiée alors que lui manque de transpirer à grosses gouttes.
« Hey » lance-t-il pour faire remarquer son arrivée et claque une bise sur les joues glaciales de la Blackthorn, qui le font frissonner. C’est là qu’il se rend compte que son nez est aussi froid que ses joues sont brûlantes. Drôle de mélange. « Excuse le retard, je faisais mon footing. Où est le chocolat chaud ? J’en prendrais bien un là… » La simple idée d’ingérer un peu de sucre lui redonne de la vie. Ce faisant, il pose les yeux sur la tenue de l’étudiante et fronce les sourcils.
« Ah ouai, même pas de noir et or pour me remercier de t’aider ? Je suis très déçu, Blackthorn. C’est Miguel qui cherche à se faire de la pub ? » Son rire résonne dans le stade, ricoche contre les brins d’herbe encore mouillés par la rosée du matin.
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« Trente minutes et quarante-cinq secondes, c’est deux minutes et six secondes de plus que la dernière fois. »
« Je sais, je sais… » grommelle le Français en se demandant qui a eu l’idée merdique de donner une humanité à un tel objet. Sûrement pour se faire mousser… « Je ferai mieux la prochaine fois. »
« Vos statistiques sont en nette regress… »
D’un index furieux, il lui coupe la parole et récupère son smartphone abandonné au fond d’une poche et dont la vibration se fond avec le rythme des battements de son cœur. Cataleya l'appâte et lui rappelle, à juste titre, qu’il est attendu sur le terrain de Quidditch. S’il n’avait pas été si mauvais lors de son footing, il serait déjà sur le bon chemin mais ravalant sa fierté, il fait quelques foulées en direction de l’université.
Lui qui déteste arriver en retard est bien verni : on ne pas plus l’être. Après avoir récupéré son balai dans le stockage de matériel des Summerbee, il rejoint la rouquine là où elle l’attend, visiblement frigorifiée alors que lui manque de transpirer à grosses gouttes.
« Hey » lance-t-il pour faire remarquer son arrivée et claque une bise sur les joues glaciales de la Blackthorn, qui le font frissonner. C’est là qu’il se rend compte que son nez est aussi froid que ses joues sont brûlantes. Drôle de mélange. « Excuse le retard, je faisais mon footing. Où est le chocolat chaud ? J’en prendrais bien un là… » La simple idée d’ingérer un peu de sucre lui redonne de la vie. Ce faisant, il pose les yeux sur la tenue de l’étudiante et fronce les sourcils.
« Ah ouai, même pas de noir et or pour me remercier de t’aider ? Je suis très déçu, Blackthorn. C’est Miguel qui cherche à se faire de la pub ? » Son rire résonne dans le stade, ricoche contre les brins d’herbe encore mouillés par la rosée du matin.
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Jeu 28 Déc 2023 - 0:40
Le nez plongé dans son manteau trop large pour s'enivrer du parfum de Miguel et réchauffer un bout du nez gelé, Cataleya grimace en réalisant qu’il s’agit essentiellement là d’une odeur de sueur mêlé d’hormones. Rien de bien sexy, au final, quoi que la lufkin sembla s’attarder dessus plus que de raison. Relevant soudainement le visage à l’interpellation de Maximillien, la Blackthorn se para d’un large sourire, ajustant sa posture sur son balais comme pour corriger de mauvaises habitudes prises. " Tu es tout pardonné !" Jappait-elle presque, autant motivé par la perspective de voler que d’avoir retrouvé une voix -certes, encore un peu cassée- qui désespérément lui avait manqué. D’un geste gracile, elle pointe le sac abandonné dans l’herbe givré et la thermos à motif étoilé qui en dépasse. Et à voir la boîte qui se débattait furieusement contre, il ne faisait aucun doute qu’elle avait également embarqué ses expérimentations culinaires pour contrer l’hypoglycémie. L’expression n’en demeure pourtant pas moins radieuse lorsque le summerbee vient à la taquiner, et si elle s’essaye à poser sur ce vieux balais au risque de perdre l’équilibre et chuter, c’est pleinement enthousiasme qu’elle vient à lui répondre.
- " Je ferais un très mauvais panneau publicitaire Leroy ! " Le balais s'abaisse doucement pour permettre à la sorcière de poser pied à terre, lui permettant ainsi d'offrir au français une tasse de chocolat. " C’est ma tentative de placébo : j’essaye de me convaincre que je ne peux pas tomber puisque je suis sur son balais, et avec son manteau. La vérité c’est que ça sent les entraînements rigoureux et l’absence de lessive, et que je regrette doucement mon choix. Je préfère la lavande aux odeurs de vestiaires. "
La moue se fait exagérée, appuyé sur un regard de biche qui minauderait presque pour s'attirer les plaintes du journaliste. Ca ne l'empêche pourtant pas de s'enfermer plus encore dans son manteau lorsque le vent lui crache au visage un froid mordant qu'elle ne semble plus avoir l'habitude de combattre, trop souvent lové sous les couvertures depuis le début le début de l'hiver. Il lui semblait loin ce temps où, en simple robe, elle organisait un pic-nique pour se faire pardonner les horreurs crachés au visage de l'héritier de Charles.
- " Si on peut garder cet entrainement sous le couvert du privé... Je sais que Miguel et James se moquerait de moi s'ils venaient à apprendre que je reprend des cours. " C'est qu'elle pouvait se faire effroyablement ridicule, une fois le cul posé sur un balais. Elle marque une brève pause mais s'empresse d'ajouter ; " Et le taire à Marius, aussi. " Parce qu'être fiancé à un joueur de renom, quand on ne savait pas voler à plus de deux mètre cinquante, c'était un peu la loose.
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- " Je ferais un très mauvais panneau publicitaire Leroy ! " Le balais s'abaisse doucement pour permettre à la sorcière de poser pied à terre, lui permettant ainsi d'offrir au français une tasse de chocolat. " C’est ma tentative de placébo : j’essaye de me convaincre que je ne peux pas tomber puisque je suis sur son balais, et avec son manteau. La vérité c’est que ça sent les entraînements rigoureux et l’absence de lessive, et que je regrette doucement mon choix. Je préfère la lavande aux odeurs de vestiaires. "
La moue se fait exagérée, appuyé sur un regard de biche qui minauderait presque pour s'attirer les plaintes du journaliste. Ca ne l'empêche pourtant pas de s'enfermer plus encore dans son manteau lorsque le vent lui crache au visage un froid mordant qu'elle ne semble plus avoir l'habitude de combattre, trop souvent lové sous les couvertures depuis le début le début de l'hiver. Il lui semblait loin ce temps où, en simple robe, elle organisait un pic-nique pour se faire pardonner les horreurs crachés au visage de l'héritier de Charles.
- " Si on peut garder cet entrainement sous le couvert du privé... Je sais que Miguel et James se moquerait de moi s'ils venaient à apprendre que je reprend des cours. " C'est qu'elle pouvait se faire effroyablement ridicule, une fois le cul posé sur un balais. Elle marque une brève pause mais s'empresse d'ajouter ; " Et le taire à Marius, aussi. " Parce qu'être fiancé à un joueur de renom, quand on ne savait pas voler à plus de deux mètre cinquante, c'était un peu la loose.
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Ven 29 Déc 2023 - 20:39
Maximilien accepte la tasse de chocolat chaud avec un grand bonheur et l’enferme de ses doigts mordus par le froid. La chaleur se répand aussitôt dans ses mains puis le long de ses bras jusqu’à sa poitrine, lui offrant un peu de répit. Le Français grimace à l’énumération de odeurs imprégnant le blouson de Miguel et ne s’en cache pas.
« Dis donc ça donne envie d’y plonger son nez ton histoire… » ricane le Summerbee en la regardant d’un air brillant et malicieux. Il ne comprend jamais vraiment cette histoire d’odeur et préfère lui-même se laver dès qu’il a un peu trop transpiré pour s’éviter cette sensation désagréable de coller et d’être… puant.
« Je peux bien sûr, mais tu ne devrais pas t’en cacher ! Je te trouve courageuse de faire ça maintenant. Beaucoup ne s’y essayent plus. » Et c’est quelque chose de peu évident, quand on y regarde bien. L’équilibre, la position, l’utilisation de chaque muscle de son corps… Ce n’est pas toujours qu’un truc sympa à faire pour se marrer ! La chute peut tout aussi bien être fatale. Maximilien prend les choses au sérieux - mais quand est-ce qu’il ne le fait pas ? « Mais promis, motus et bouche cousue. » Un doux sourire illumine son visage battu par le froid. Terminant sa tasse de chocolat - et essuyant les quelques traces sur ses lèvres - il la pose à terre et aide la sorcière à se stabiliser son balai. Le plus important pour lui, à présent, est de faire un état des lieux de ses compétences et de ses connaissances actuelles. Impossible de commencer sans qu’il ne sache à qui il a affaire ! Et quelque chose lui dit que la Blackthorn est un phénomène à elle toute seule…
« Bien, la pendaison de crémaillère nous a prouvé que tu sais monter sur un balai et le maintenir à une petite hauteur sans trop de souci. J’ai envie de savoir, de ton point de vue, qu’est-ce qui te bloque ? Qu’est-ce qui ne va pas, selon toi ? Est-ce que c’est parce que tu as peur ? Que tu ne sais juste pas comment faire ? Si ce n’est que des manques techniques, on pourra vite y palier. » Et il serait plus simple que ce ne soit que ça. Maximilien n’est pas psychologue et il ne sait pas s’il aura les mots suffisants pour l’aider à débloquer de gros traumatismes liés à cet objet. Il se montre, comme à l’ordinaire, effroyablement doux et patient.
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« Dis donc ça donne envie d’y plonger son nez ton histoire… » ricane le Summerbee en la regardant d’un air brillant et malicieux. Il ne comprend jamais vraiment cette histoire d’odeur et préfère lui-même se laver dès qu’il a un peu trop transpiré pour s’éviter cette sensation désagréable de coller et d’être… puant.
« Je peux bien sûr, mais tu ne devrais pas t’en cacher ! Je te trouve courageuse de faire ça maintenant. Beaucoup ne s’y essayent plus. » Et c’est quelque chose de peu évident, quand on y regarde bien. L’équilibre, la position, l’utilisation de chaque muscle de son corps… Ce n’est pas toujours qu’un truc sympa à faire pour se marrer ! La chute peut tout aussi bien être fatale. Maximilien prend les choses au sérieux - mais quand est-ce qu’il ne le fait pas ? « Mais promis, motus et bouche cousue. » Un doux sourire illumine son visage battu par le froid. Terminant sa tasse de chocolat - et essuyant les quelques traces sur ses lèvres - il la pose à terre et aide la sorcière à se stabiliser son balai. Le plus important pour lui, à présent, est de faire un état des lieux de ses compétences et de ses connaissances actuelles. Impossible de commencer sans qu’il ne sache à qui il a affaire ! Et quelque chose lui dit que la Blackthorn est un phénomène à elle toute seule…
« Bien, la pendaison de crémaillère nous a prouvé que tu sais monter sur un balai et le maintenir à une petite hauteur sans trop de souci. J’ai envie de savoir, de ton point de vue, qu’est-ce qui te bloque ? Qu’est-ce qui ne va pas, selon toi ? Est-ce que c’est parce que tu as peur ? Que tu ne sais juste pas comment faire ? Si ce n’est que des manques techniques, on pourra vite y palier. » Et il serait plus simple que ce ne soit que ça. Maximilien n’est pas psychologue et il ne sait pas s’il aura les mots suffisants pour l’aider à débloquer de gros traumatismes liés à cet objet. Il se montre, comme à l’ordinaire, effroyablement doux et patient.
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Mar 2 Jan 2024 - 1:51
La malice du français provoque inexorablement le rire à la Blackthorn qui s’étouffe un peu, là, sur sa vaine tentative d’attacher ses cheveux proprement. S’il était évident qu’elle grossissait largement le trait du fait d’un nez plus sensible et dramatisme notoire, c’était pourtant ce que lui inspirait les odeurs incrustées dans le tissu. Là où les peintres détaillaient la richesse des couleurs d’une toile et les techniques appliquées, son flair d’animagus retranscrivait des perspectives que l’odorat sorcier ne pouvait qu’entrevoir. Si elle se concentrait un peu, elle pouvait sentir le gel douche de Miguel savamment tapis au loin, son enthousiasme, ses frustrations, et l’odeur d’un fastfood trop gras qu’elle jugeait allégrement. Des tas de petite touche de couleur dans un monde olfactif riche et superbe qu’elle redécouvrait avec beaucoup d’enthousiasme puisque bien plus en paix avec elle-même. Du moins, c’est ainsi qu’elle pourrait le vendre si le nez n’était pas plissé devant la très légère sensation de poisse qui maculait son si précieux épiderme. Elle ne vivait que pour les bains moussant et massage capillaire, petite Blackthorn, et avait redécouvert la salle de bain familiale avec un tel dramatisme qu’elle aurait pu forcer les larmes juste pour rendre le moment plus tragique encore. Quelque part, elle avait barboté si longuement dans son bain qu’elle ignorait si celà pouvait être considéré comme le câlin le plus long de sa vie, ou une franche infidélité faite au lit de Miguel.
“ Courageuse “ L'adjectif arrache une moue perplexe à la sorcière qui, si elle préfèrerait se dégrader en arguant qu’une sorcier au quart de siècle passé se devait de savoir tenir proprement sur un balais, fini par accepter le compliment sans trop broncher. Tapotant le balais un peu tordu sur lequel elle siégeait, comme pour se convaincre que tout au mieux se passerait.
“ Maman ne supporte pas de me voir sur un balais.” Entame t’elle sans grande difficulté. Étonnamment consciente que l’accident qui avait mené à la mort de Cillian n’avait jamais éveillé en elle de phobie ou peur panique vis à vis de l’objet. Sans doute cela avait renforcé quelques craintes déjà existante, mais elle demeurait convaincue que son appréhension découlait de cette tendance systémique de Claudia à l’arracher fermement à son balais. “ Ca a toujours créé beaucoup de tension quand je m'essayai à voler et, si j'adore crier sur les gens, je déteste plus que tout me disputer avec elle. ” Claudia, l'amour de sa vie. Le soleil autour duquel inlassablement son enfant tournait ; Pleinement détraquée lorsqu'elle dérivait loin de son orbite. “ Mais comme tu vois, ça ne m'empêche pas de me hisser dessus ! Je pense surtout que j'ai peur de tomber. J'ai vu beaucoup d'accident, et rien que l'an passé James a chuté sur quasis chacun de ses matchs... Passé une certaine hauteur je dois évaluer les risques de blessure et paniquer, je pense.”
“ Courageuse “ L'adjectif arrache une moue perplexe à la sorcière qui, si elle préfèrerait se dégrader en arguant qu’une sorcier au quart de siècle passé se devait de savoir tenir proprement sur un balais, fini par accepter le compliment sans trop broncher. Tapotant le balais un peu tordu sur lequel elle siégeait, comme pour se convaincre que tout au mieux se passerait.
“ Maman ne supporte pas de me voir sur un balais.” Entame t’elle sans grande difficulté. Étonnamment consciente que l’accident qui avait mené à la mort de Cillian n’avait jamais éveillé en elle de phobie ou peur panique vis à vis de l’objet. Sans doute cela avait renforcé quelques craintes déjà existante, mais elle demeurait convaincue que son appréhension découlait de cette tendance systémique de Claudia à l’arracher fermement à son balais. “ Ca a toujours créé beaucoup de tension quand je m'essayai à voler et, si j'adore crier sur les gens, je déteste plus que tout me disputer avec elle. ” Claudia, l'amour de sa vie. Le soleil autour duquel inlassablement son enfant tournait ; Pleinement détraquée lorsqu'elle dérivait loin de son orbite. “ Mais comme tu vois, ça ne m'empêche pas de me hisser dessus ! Je pense surtout que j'ai peur de tomber. J'ai vu beaucoup d'accident, et rien que l'an passé James a chuté sur quasis chacun de ses matchs... Passé une certaine hauteur je dois évaluer les risques de blessure et paniquer, je pense.”
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Mer 3 Jan 2024 - 22:52
Une histoire de maman… Il aurait dû s’en douter non ? Comme si le moindre petit souci dans la vie de Cataleya n’était en aucun cas relié à la façon dont cette famille est gérée… Maximilien ravale les mots qu’il sent se bousculer contre ses dents et préfère afficher un sourire de circonstance. S’en prendre à la mère sacrée de la rouquine ne la fera pas progresser en vol et ne pourra, au mieux, que les éloigner l’un de l’autre. Il est pourtant déçu qu’après toutes leurs conversations, elle en soit encore à donner du poids à leur avis quand seules ses envies devraient compter. Mais le fait qu’elle soit là aujourd’hui lui prouve qu’elle tend vers cette direction. Du moins, il l’espère.
L’évocation des nombreuses chutes de James le fait légèrement grimacer. Il est vrai que quand on voit cela, on se dit que le vol n’a rien de rassurant. Mais ce n’est pas le cas pour tout le monde. Les mauvaises passes, ça arrive même chez les sportifs, même chez les plus doués peut-on dire ! Il va devoir la rassurer à ce sujet et ce n’est pas chose aisée.
« C’est normal de paniquer un peu, au moins au début. Je n’étais pas totalement à mon aise les premières fois que je dépassais une certaine altitude. Et puis, tu prends l’exemple de James pour les matchs mais c’est un contexte totalement différent ! En vol classique, tu n’auras aucun cognard pour te déstabiliser… » Il doute sincèrement qu’elle veuille se lancer dans le Quidditch et s’il a accepté de la voir aujourd’hui, ce n’est certainement pas pour l’y initier ! « On va commencer par du vol en basse altitude, pour commencer. J’ai envie de dire que le balai c’est comme le vélo, t’es obligé de tomber les premières fois pour apprendre. Mais je ne crois pas que tu saches ce qu’est un vélo ? » Encore un objet bien moldu tiens, il a tendance à oublier que les enfants Blackthorn ont été élevés en complet écart de ce peuple et que leurs us et coutumes ne font pas partie de leur quotidien. Si Cataleya s’ouvre de plus en plus sur le sujet, il ne peut pas non plus s’attendre à ce qu’elle ait une culture approfondie.
« Ensuite, je te ferai aller de plus en plus haut tout en t’assurant depuis le sol. Si tu viens à tomber, je serai là avec ma baguette, prêt à te rattraper avant que tu ne touches le sol, ok ? Mais n’espère pas la perfection dès le premier essai. Tu serais très déçue. » C’est qu’il commence à la connaître, la demoiselle. Elle a été habituée à réussir tout ce qu’elle entreprenait non pas par satisfaction personnelle, mais pour obtenir une reconnaissance familiale. Il n’y a rien de plus nocif aux yeux de Maximilien. Mais encore une fois, il se passe de tout commentaire sur le sujet.
« Allez, fais-moi une petite boucle, pas plus de 2 mètres du sol. »
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L’évocation des nombreuses chutes de James le fait légèrement grimacer. Il est vrai que quand on voit cela, on se dit que le vol n’a rien de rassurant. Mais ce n’est pas le cas pour tout le monde. Les mauvaises passes, ça arrive même chez les sportifs, même chez les plus doués peut-on dire ! Il va devoir la rassurer à ce sujet et ce n’est pas chose aisée.
« C’est normal de paniquer un peu, au moins au début. Je n’étais pas totalement à mon aise les premières fois que je dépassais une certaine altitude. Et puis, tu prends l’exemple de James pour les matchs mais c’est un contexte totalement différent ! En vol classique, tu n’auras aucun cognard pour te déstabiliser… » Il doute sincèrement qu’elle veuille se lancer dans le Quidditch et s’il a accepté de la voir aujourd’hui, ce n’est certainement pas pour l’y initier ! « On va commencer par du vol en basse altitude, pour commencer. J’ai envie de dire que le balai c’est comme le vélo, t’es obligé de tomber les premières fois pour apprendre. Mais je ne crois pas que tu saches ce qu’est un vélo ? » Encore un objet bien moldu tiens, il a tendance à oublier que les enfants Blackthorn ont été élevés en complet écart de ce peuple et que leurs us et coutumes ne font pas partie de leur quotidien. Si Cataleya s’ouvre de plus en plus sur le sujet, il ne peut pas non plus s’attendre à ce qu’elle ait une culture approfondie.
« Ensuite, je te ferai aller de plus en plus haut tout en t’assurant depuis le sol. Si tu viens à tomber, je serai là avec ma baguette, prêt à te rattraper avant que tu ne touches le sol, ok ? Mais n’espère pas la perfection dès le premier essai. Tu serais très déçue. » C’est qu’il commence à la connaître, la demoiselle. Elle a été habituée à réussir tout ce qu’elle entreprenait non pas par satisfaction personnelle, mais pour obtenir une reconnaissance familiale. Il n’y a rien de plus nocif aux yeux de Maximilien. Mais encore une fois, il se passe de tout commentaire sur le sujet.
« Allez, fais-moi une petite boucle, pas plus de 2 mètres du sol. »
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Sam 10 Fév 2024 - 16:06
Lissant l’écorce abimée du balais sur lequel elle siégeait, Cataleya écoute avec une attention quasi religieuse les propos du français. Bien loin de leur début houleux où chaque regard était sujet à interprétation désastreuse. Si la Blackthorn ne réalise pas tout de suite le bond qu’avait fait leur relation depuis le retour de James, force était d’admettre qu’elle acquiesçait avec tant de facilité devant les propos du brun qu’elle s’en laissa surprendre. Maximillien n’avait pourtant pas tort : aucun cognard ne guetterait ses balades en basse altitude pour lui péter le bras. Seul quelques oies sauvages ou mouettes mal lunées pourraient tenter de se prendre dans ses longs cheveux roux. L’image arrache une légère grimace à la Blackthorn, mais son attention est subitement rappelée par une question posée. “ Mais je ne crois pas que tu saches ce qu’est un vélo ?” La poitrine se penche en avant pour induire un rapprochement qui lui permettrait une réponse à voix basse, puisque doutant de la réponse à fournir. Craignant presque que le vent ne surprenne son manque de culture. Si les lèvres s’entrouvrent, c’est silencieusement qu’elle se ravise pourtant et préfère doucement secouer la tête.
Là n’étant pourtant pas le sujet, et se doutant qu’elle serait capable d’utiliser cette perche pour retarder au mieux sa mise en vol, la Blackthorn réajuste une posture qu’elle comprend mal équilibré et prend doucement de l’altitude. Son balais chancelle comme une brindille prise dans la tempête et l’obstination qu’à la rousse à fixer le sol n’aide en rien à trouver une belle trajectoire, pourtant c’est pleine de bonne volonté qu’elle effleure les un mètre cinquante, cerclant le plus maladroitement du monde autour du summerbee. Le coeur manque de rater un battement quand le bois de bouleau lui semble doucement vriller sur le côté. Et ça ne manque évidemment pas ; du bout des lèvre elle marmonne frénétiquement que c’était une mauvaise idée, quand bien même l’objet entre ses mains progresse à rythme lent. Et comme les petits cris d’hamster cardiaque qu’elle pousse à chaque fois que le bois vacille d’un côté ou de l’autre malmène effroyablement son égo, la lufkin s’efforce de faire un brin de conversation.
“Toi et Peter faites quelque chose ce soir ? ” C’est bateau un matin de noel, mais elle n’est pas certaine de vouloir parler footing alors que tout son être tente de se lover au mieux dans son manteau trop grand. “Parce que si vous avez besoin d’une étoile de noel, j’en ai achetée une dans un Gifi !”
Non, elle ne se débarrassera pas de cette anecdote qu’elle traînait comme un haut-fait en dépit du ridicule de l’action. Tout le monde avait déjà flanqué à leur sapin une étoile de noel, et la nature toute moldu de la sienne n’avait rien de bien exceptionnel. “Et j’ai dans mon sac des biscuits de noel, si tu veux de quoi grignoter ce soir.”… Ca expliquait les mouvements saccadé du sac abandonné dans l’herbe. Sa boite à biscuit était ouvertement possédée. “Ils ont un peu tendance à mordre, mais si tu les trempent dans du thé ou du lait ils perdent toute agressivit-” La phrase vole subitement en éclat, balayé par un soudain cri d'appréhension puisqu’à trop porter son poids en avant, le balais avait finit par plonger avant de se redresser sèchement, ça ne l’empêche pourtant pas d’aboyer un “En fait je n’ai rien ! Ca va !” plus qu’évident.
Là n’étant pourtant pas le sujet, et se doutant qu’elle serait capable d’utiliser cette perche pour retarder au mieux sa mise en vol, la Blackthorn réajuste une posture qu’elle comprend mal équilibré et prend doucement de l’altitude. Son balais chancelle comme une brindille prise dans la tempête et l’obstination qu’à la rousse à fixer le sol n’aide en rien à trouver une belle trajectoire, pourtant c’est pleine de bonne volonté qu’elle effleure les un mètre cinquante, cerclant le plus maladroitement du monde autour du summerbee. Le coeur manque de rater un battement quand le bois de bouleau lui semble doucement vriller sur le côté. Et ça ne manque évidemment pas ; du bout des lèvre elle marmonne frénétiquement que c’était une mauvaise idée, quand bien même l’objet entre ses mains progresse à rythme lent. Et comme les petits cris d’hamster cardiaque qu’elle pousse à chaque fois que le bois vacille d’un côté ou de l’autre malmène effroyablement son égo, la lufkin s’efforce de faire un brin de conversation.
“Toi et Peter faites quelque chose ce soir ? ” C’est bateau un matin de noel, mais elle n’est pas certaine de vouloir parler footing alors que tout son être tente de se lover au mieux dans son manteau trop grand. “Parce que si vous avez besoin d’une étoile de noel, j’en ai achetée une dans un Gifi !”
Non, elle ne se débarrassera pas de cette anecdote qu’elle traînait comme un haut-fait en dépit du ridicule de l’action. Tout le monde avait déjà flanqué à leur sapin une étoile de noel, et la nature toute moldu de la sienne n’avait rien de bien exceptionnel. “Et j’ai dans mon sac des biscuits de noel, si tu veux de quoi grignoter ce soir.”… Ca expliquait les mouvements saccadé du sac abandonné dans l’herbe. Sa boite à biscuit était ouvertement possédée. “Ils ont un peu tendance à mordre, mais si tu les trempent dans du thé ou du lait ils perdent toute agressivit-” La phrase vole subitement en éclat, balayé par un soudain cri d'appréhension puisqu’à trop porter son poids en avant, le balais avait finit par plonger avant de se redresser sèchement, ça ne l’empêche pourtant pas d’aboyer un “En fait je n’ai rien ! Ca va !” plus qu’évident.
James Blackthorn est fan
- Maximilien Leroyfrench style ♔ sweet golden boy
- » parchemins postés : 8434
» miroir du riséd : francisco lachowski
» crédits : byweaslove (ava)
» multinick : arty / joe / keir / mag
» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» nature du sang : sang-pur
» particularité : animagus
» année d'études : /
» options obligatoires & facultatives : Ancien cursus : Journalisme
♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
» profession : chroniqueur à la Chouette Enchaînée, en attente d'un poste en France
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Dim 11 Fév 2024 - 18:02
Il est difficile pour Maximilien de ne pas bêtement éclater de rire. Il faut dire que la scène qui se déroule sous ses yeux a un fort potentiel hilarant et un bon nombre de fois, il passe sa main devant ses lèvres pour cacher son sourire moqueur. Cataleya fait des petits cris d’animaux bizarres à chaque fois que son balai a un mouvement. Elle ressemble à un lapereau paniqué.
« On va passer la soirée ensemble, rien qu’à deux. On ira dans nos familles les jours suivants pour les fêtes. C’est mieux comme ça. »
Ils ont besoin de temps en tête-à-tête, surtout avec la frénésie de la fin d’année et les plans à droite et à gauche. Il faut aller au fin fond de l’Ecosse chez les Drummond, puis se déplacer jusqu’à Paris pour voir les Leroy. Tout un programme. Alors oui, Maximilien est bien heureux de se dire que ce soir, ils seront tranquilles. Pas d’attente particulière, un repas certes gastronomique mais pour deux et avec un peu de chance, ils passeront une excellente nuit. Le tableau le fait déjà rêver. Il a hâte que Peter ouvre les cadeaux qu’il lui a trouvé ! Sa joie n’est que plus importante à ses yeux en ces temps de célébration.
« Depuis quand tu traînes dans des Gifi toi ? Et avec qui ? »
Il est abasourdi et à raison. Ce n’est pas le type de magasin de luxe que fréquentent beaucoup de sorciers. La classe moyenne moldue, en revanche… Et pas que ! Il ne devrait pas être surpris, aller dans un Gifi est un acte classique dans un quotidien mais imaginer Cataleya dans ces allées lui procure une drôle d’impression. Entre ça et ses cris hystériques, il ne peut réellement s’empêcher de rire. Son regard se tourne sur le sac de la sorcière et il a une petite moue pincée en imaginant le contenu. Depuis le temps, il est de notoriété commune que la cuisine n’est pas le point fort de la Blackthorn. Et pourtant, tout le monde fait toujours un effort pour la manger, lui le premier. Elle aura au moins fait l’effort et Maximilien estime que la gentillesse n’a pas de prix.
Sa baguette se lève, s’imaginant déjà la chute au sol de la tignasse rousse – mais il n’en est rien. Le balai se redresse, reprend un peu de hauteur et Maximilien, naturellement, baisse le bras une fois s’être assuré qu’elle tient bon.
« Essaye de te maintenir parallèle au sol quand même. Juste un p’tit tip comme ça, en passant… » Il sourit avant de reprendre. « Il faut contrôler le poids de ton corps, joue avec ton bassin. Limite la pression sur tes épaules. Quand tu te sentiras suffisamment à l’aise, tu pourras retirer une main du manche, puis la deuxième. »
Son regard croise à nouveau le sac gigotant par terre et il attend que Cataleya soit de nouveau à l’aise pour reprendre leur conversation.
« Merci pour l’étoile mais on a déjà terminé notre sapin depuis un moment. Peter était plus excité qu’un gamin, je te jure ! Mais je prendrais bien un peu de tes biscuits, c’est très gentil. »
Il se déplace tout en la suivant des yeux puis lui ordonne d’agrandir son cercle. Il la trouve trop proche de lui et sent que, si elle vient à tomber, il la prendra en pleine poire. Non merci. Il se passe quelques minutes avant qu’il ne la sente un peu plus à l’aise – cela se vérifie par l’atténuation des cris de hamster au syndrome de la Tourette – puis renouvelle sa proposition.
« Pas mal ! Maintenant, lâche une main. Ou les deux, si tu te sens de le faire tout de suite. Il faut te redresser, le dos bien droit, égaliser le poids dans tout ton corps. C’est une question d’équilibre. Si tu penches trop vers l’avant, tu vas refaire un piqué ; si tu penches trop vers l’arrière, soit tu vas tomber soit tu te retrouveras tête en bas si tes jambes sont bien accrochées au balai. La position du cochon pendu, si tu préfères. Elle peut être efficace en match mais je ne te la conseille pas tout de suite. »
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« On va passer la soirée ensemble, rien qu’à deux. On ira dans nos familles les jours suivants pour les fêtes. C’est mieux comme ça. »
Ils ont besoin de temps en tête-à-tête, surtout avec la frénésie de la fin d’année et les plans à droite et à gauche. Il faut aller au fin fond de l’Ecosse chez les Drummond, puis se déplacer jusqu’à Paris pour voir les Leroy. Tout un programme. Alors oui, Maximilien est bien heureux de se dire que ce soir, ils seront tranquilles. Pas d’attente particulière, un repas certes gastronomique mais pour deux et avec un peu de chance, ils passeront une excellente nuit. Le tableau le fait déjà rêver. Il a hâte que Peter ouvre les cadeaux qu’il lui a trouvé ! Sa joie n’est que plus importante à ses yeux en ces temps de célébration.
« Depuis quand tu traînes dans des Gifi toi ? Et avec qui ? »
Il est abasourdi et à raison. Ce n’est pas le type de magasin de luxe que fréquentent beaucoup de sorciers. La classe moyenne moldue, en revanche… Et pas que ! Il ne devrait pas être surpris, aller dans un Gifi est un acte classique dans un quotidien mais imaginer Cataleya dans ces allées lui procure une drôle d’impression. Entre ça et ses cris hystériques, il ne peut réellement s’empêcher de rire. Son regard se tourne sur le sac de la sorcière et il a une petite moue pincée en imaginant le contenu. Depuis le temps, il est de notoriété commune que la cuisine n’est pas le point fort de la Blackthorn. Et pourtant, tout le monde fait toujours un effort pour la manger, lui le premier. Elle aura au moins fait l’effort et Maximilien estime que la gentillesse n’a pas de prix.
Sa baguette se lève, s’imaginant déjà la chute au sol de la tignasse rousse – mais il n’en est rien. Le balai se redresse, reprend un peu de hauteur et Maximilien, naturellement, baisse le bras une fois s’être assuré qu’elle tient bon.
« Essaye de te maintenir parallèle au sol quand même. Juste un p’tit tip comme ça, en passant… » Il sourit avant de reprendre. « Il faut contrôler le poids de ton corps, joue avec ton bassin. Limite la pression sur tes épaules. Quand tu te sentiras suffisamment à l’aise, tu pourras retirer une main du manche, puis la deuxième. »
Son regard croise à nouveau le sac gigotant par terre et il attend que Cataleya soit de nouveau à l’aise pour reprendre leur conversation.
« Merci pour l’étoile mais on a déjà terminé notre sapin depuis un moment. Peter était plus excité qu’un gamin, je te jure ! Mais je prendrais bien un peu de tes biscuits, c’est très gentil. »
Il se déplace tout en la suivant des yeux puis lui ordonne d’agrandir son cercle. Il la trouve trop proche de lui et sent que, si elle vient à tomber, il la prendra en pleine poire. Non merci. Il se passe quelques minutes avant qu’il ne la sente un peu plus à l’aise – cela se vérifie par l’atténuation des cris de hamster au syndrome de la Tourette – puis renouvelle sa proposition.
« Pas mal ! Maintenant, lâche une main. Ou les deux, si tu te sens de le faire tout de suite. Il faut te redresser, le dos bien droit, égaliser le poids dans tout ton corps. C’est une question d’équilibre. Si tu penches trop vers l’avant, tu vas refaire un piqué ; si tu penches trop vers l’arrière, soit tu vas tomber soit tu te retrouveras tête en bas si tes jambes sont bien accrochées au balai. La position du cochon pendu, si tu préfères. Elle peut être efficace en match mais je ne te la conseille pas tout de suite. »
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- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Ven 1 Mar 2024 - 19:32
Passer une soirée en tête à tête n’avait en rien d’exceptionnel, pourtant cette annonce sembla tirer à la lufkin une moue brève mais foncièrement songeuse. Etait-elle égoïste d’avoir favorisé une soirée en famille plutôt que de chercher à nicher dans les bras de Miguel ? Elle peine à se positionner devant cette question, oscillant entre le fait que c’était certainement trop tôt et qu’elle ne voulait pas passer pour une fille plus flippante qu’elle ne l’était déjà, et le légendaire “Blackthorn+Noel = maison” puisqu’elle partait chaque année en croisade contre ceux qui traînait le pied à l’idée de s’asseoir autour de la table. A deux doigts de transplaner pour se saisir du col des absents et les traîner de force au manoir en hurlant que c’était là une fête familiale. Pourtant, l’image que renvoyaient Maximillien et Peter avait de quoi faire rêver tant ils semblaient en harmonie. Tant la notion de “noel en amoureux” que Cataleya leur prêtait transpirait le bonheur et la quiétude.
Une nouvelle moue se pince entre ses lèvres, et si les joues ne gonflent pas pour lui flanquer des airs de hamster c’est uniquement parce qu’elle semblait faire du rodéo sur un balais franchement bien gentil de ne pas piquer net puisqu’elle plantait ses ongles dans son bois vernis.
-Accuse Wyatt et sa propension à vouloir me moldu-ifier. C’est uniquement de sa faute si j’en viens à ce genre de lubie. Parvient pourtant-elle à lâcher entre une succession de “non non non” paniqués et des yeux qui s’écarquillaient toute les trentes seconde à la seule perspective de tomber. J’y suis allé avec un amiIIIIiiiI-ih.
Définitivement rigide, et soudainement jeté en avant puisque l’objet qu’elle chevauchait si maladroitement s’était laissé allé à un rapide zigzag, Cataleya inspire profondément. L’attention se tourne vers le français et ses conseils quand le regard, lui, s'obstine à ne surtout pas dévier de l’horizon. Pourtant un sourire en coin vient irrépressiblement poindre après quelques secondes puisque, s’imaginant voler avec Miguel dans quelques mois, le “joue avec ton bassin” prenait des airs presque libidineux. La faute à une nervosité flagrante qui conduisait l’esprit à prendre mille chemins de fuite pour ne pas paniquer plus qu’il ne le faisait déjà. Elle pouffe pourtant un peu mais perd toute notion de malice lorsque le summerbee l’enjoint de retirer une à une ses mains ; elle n’avait pas spécialement envie de mourir avant 2024.
- Alors, tu vois, la position du cochon pendue je la maîtrise super bien. Une fois le balais de James m’a trainé sur une vingtaine de mètres comme ça. Et puis j’ai lâché parce que mes muscles ne tenait plus.
Et elle était tombé connement dans les orties quand l’épuisement l’avait mordu, parce qu’elle avait refusé de lâcher bien avant. Ils avaient tenté de faire passer l'urticaire qui s'en était suivi du mieux qu'ils avaient pu mais à onze ans, leur répertoire magique était désastreux. Ca avait fini en chouinant dans les bras de Nullus, comme trop souvent.
Une nouvelle moue se pince entre ses lèvres, et si les joues ne gonflent pas pour lui flanquer des airs de hamster c’est uniquement parce qu’elle semblait faire du rodéo sur un balais franchement bien gentil de ne pas piquer net puisqu’elle plantait ses ongles dans son bois vernis.
-Accuse Wyatt et sa propension à vouloir me moldu-ifier. C’est uniquement de sa faute si j’en viens à ce genre de lubie. Parvient pourtant-elle à lâcher entre une succession de “non non non” paniqués et des yeux qui s’écarquillaient toute les trentes seconde à la seule perspective de tomber. J’y suis allé avec un amiIIIIiiiI-ih.
Définitivement rigide, et soudainement jeté en avant puisque l’objet qu’elle chevauchait si maladroitement s’était laissé allé à un rapide zigzag, Cataleya inspire profondément. L’attention se tourne vers le français et ses conseils quand le regard, lui, s'obstine à ne surtout pas dévier de l’horizon. Pourtant un sourire en coin vient irrépressiblement poindre après quelques secondes puisque, s’imaginant voler avec Miguel dans quelques mois, le “joue avec ton bassin” prenait des airs presque libidineux. La faute à une nervosité flagrante qui conduisait l’esprit à prendre mille chemins de fuite pour ne pas paniquer plus qu’il ne le faisait déjà. Elle pouffe pourtant un peu mais perd toute notion de malice lorsque le summerbee l’enjoint de retirer une à une ses mains ; elle n’avait pas spécialement envie de mourir avant 2024.
- Alors, tu vois, la position du cochon pendue je la maîtrise super bien. Une fois le balais de James m’a trainé sur une vingtaine de mètres comme ça. Et puis j’ai lâché parce que mes muscles ne tenait plus.
Et elle était tombé connement dans les orties quand l’épuisement l’avait mordu, parce qu’elle avait refusé de lâcher bien avant. Ils avaient tenté de faire passer l'urticaire qui s'en était suivi du mieux qu'ils avaient pu mais à onze ans, leur répertoire magique était désastreux. Ca avait fini en chouinant dans les bras de Nullus, comme trop souvent.
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Sam 2 Mar 2024 - 11:30
Imaginer Cataleya chez les moldus ? C’est vraiment quelque chose d’inédit, même pour une imagination comme la sienne. Forcément, elle a dû y aller avec un sang-mêlé au minimum, quelqu’un qui connaisse un peu les lieux, les us et les coutumes. Ou au moins, quelqu’un d’assez fou pour contrôler une personnalité pareille en plein territoire moldu ! Ce qui n’est pas chose aisée. Bien qu’il aurait donné beaucoup pour la voir dans cet environnement, Maximilien est bien content de ne pas avoir été cette victime.
Il ne perçoit pas son sourire et même si cela avait été le cas, il ne l’aurait pas relevé. Il est encore un peu tôt pour qu’ils s’amusent à faire des allusions libidineuses. Ce n’est pas vraiment le contenu de leur relation actuelle. De toute façon, à part avec Peter, Maximilien est très peu porté sur ce genre d’allusions avec son entourage. Confinées à la sphère du privé, elles le font passer pour un mec un peu rigide et coincé. En avoir conscience ne l’empêche pas d’y être sujet.
« Je ne te demande pas de faire des acrobaties non plus ! Et le cochon pendu n’est qu’une solution de dernier recours. Allez, tu peux le faire Cat ! Juste une main. Pour garder ton équilibre, tu peux tendre le bras vers l’extérieur, cela te stabilisera. Il n’y a qu’une seule façon de rester équilibré sur un balai : se connaître soi-même. »
Et par là, il entend : son corps. Ils sont tous fait différemment et personne ne prendra le même angle pour obtenir le même résultat. Maximilien, lui, sait très bien comment il doit se positionner pour pouvoir lâcher le manche du balai des deux mains sans perdre ni stabilité, vitesse ou trajectoire. Cela n’est dû qu’à des années d’apprentissage en entraînement. Cataleya n’a sûrement pas autant de temps devant elle certes, mais autant l’encourager à commencer tout de suite.
« T’es dans le coin pour le Nouvel An ? On pensait sûrement crasher quelques fêtes sur Inverness, il doit bien y en avoir une ou deux, à la Taverne ou au Vampire’s. Si tu veux venir avec nous. »
Maximilien préfère largement les fêtes de Noël mais sait aussi à quel point Peter adore faire la fête avec ses amis. Lui-même y prend de plus en plus goût, même si se tenir éloigné de l’alcool rend les choses toujours plus difficiles en soirée. Il parvient néanmoins à en profiter au mieux. Le simple bonheur évident sur le visage du Drummond suffit à qualifier une soirée de « réussie ». Néanmoins, il n’est pas contre s’assurer la présence de quelques personnes avec qui la discussion sera plus aisée et ne tournera pas autour du sexe.
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Il ne perçoit pas son sourire et même si cela avait été le cas, il ne l’aurait pas relevé. Il est encore un peu tôt pour qu’ils s’amusent à faire des allusions libidineuses. Ce n’est pas vraiment le contenu de leur relation actuelle. De toute façon, à part avec Peter, Maximilien est très peu porté sur ce genre d’allusions avec son entourage. Confinées à la sphère du privé, elles le font passer pour un mec un peu rigide et coincé. En avoir conscience ne l’empêche pas d’y être sujet.
« Je ne te demande pas de faire des acrobaties non plus ! Et le cochon pendu n’est qu’une solution de dernier recours. Allez, tu peux le faire Cat ! Juste une main. Pour garder ton équilibre, tu peux tendre le bras vers l’extérieur, cela te stabilisera. Il n’y a qu’une seule façon de rester équilibré sur un balai : se connaître soi-même. »
Et par là, il entend : son corps. Ils sont tous fait différemment et personne ne prendra le même angle pour obtenir le même résultat. Maximilien, lui, sait très bien comment il doit se positionner pour pouvoir lâcher le manche du balai des deux mains sans perdre ni stabilité, vitesse ou trajectoire. Cela n’est dû qu’à des années d’apprentissage en entraînement. Cataleya n’a sûrement pas autant de temps devant elle certes, mais autant l’encourager à commencer tout de suite.
« T’es dans le coin pour le Nouvel An ? On pensait sûrement crasher quelques fêtes sur Inverness, il doit bien y en avoir une ou deux, à la Taverne ou au Vampire’s. Si tu veux venir avec nous. »
Maximilien préfère largement les fêtes de Noël mais sait aussi à quel point Peter adore faire la fête avec ses amis. Lui-même y prend de plus en plus goût, même si se tenir éloigné de l’alcool rend les choses toujours plus difficiles en soirée. Il parvient néanmoins à en profiter au mieux. Le simple bonheur évident sur le visage du Drummond suffit à qualifier une soirée de « réussie ». Néanmoins, il n’est pas contre s’assurer la présence de quelques personnes avec qui la discussion sera plus aisée et ne tournera pas autour du sexe.
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Ven 22 Mar 2024 - 0:43
“Juste une main”, “juste une main”. Elle voulait l’y voir ! Les lèvres s’entrouvrent mais se ravissent aussitôt, certainement trop conscientes que c’était là le lot quotidien du Roy, et que c’était elle qui lui avait demandé de l’aide en premier lieu. Chouiner ne les avancerait à rien. Une expression de détresse hautement capricieuse répond pourtant à la sollicitation, comme un enfant qui s'agitait en tous sens parce que l’eau de la piscine était trop froide, ou qu’il fallait manger un légume franchement bizarre qui n’avait rien de ragoûtant, en dépit de tout ce qu’on pouvait dire. Elle s’y essaye tout de même, timidement d’abord, se raccrochant brutalement au manche à chaque fois qu’elle ne se sentait plus en confiance, mais persévérant tout de même dans un effort pour redresser le dos et feindre un semblant de noblesse. Lentement les doigts se décrochent un à un du bois et, si elle n’étend pas ses bras à la manière d’ailes immaculés -préférant visiblement les garder à quelques centimètres du manche devant elle- force est de constater qu’elle les a finalement lâché a la fin du dialogue. Elle ne redresse pourtant pas le regard, obnubilé par les quelques centimètres qui sépare ses mains craintives d’un manche qu’elle jure capricieux et trop sensibles.
-Tu es sûr que me jeter dans une soirée, avec Peter, soit bien sage ? Marque t’elle enfin, reposant une main sur le manche pour procéder par étape. D’abord répondre, puis se concentrer sur sa survie sans les mains. “Lors du dernier Nouvel an, on a fini écroulés sur la piste de danse, a parler amour et peine de coeur.” Et quand elle disait “écroulés”, elle prenait le sens le plus littéral du mot. Ils avaient fini littéralement couché sur la piste de danse, au milieu des autres, complètement ivres et plus chaotique que jamais. A croire que leurs imprévisibilité respectives étaient exacerbée quand mise côte à côte. “Et j’ai passé votre pendaison de crémaillère à parler avec un balais, sous ses conseils.”
Reprend t’elle, se remémorant que là aussi, elle avait fini complètement déchiré. C’était vraisemblablement une constante, puisqu’au mieux elle voulait suivre Peter dans ses consommations, au pire elle voulait l’impressionner. Le silence retombe un peu, la main se détache de nouveau du manche, et si la Blackthorn s'essaye un instant à s'étirer puisque son dos la lance étrangement, c'est maladroitement qu'elle se jette de nouveau en avant quand le balais fait un bref écart sur le côté. Puis, seulement, elle le réalise :
-Attend. Ca veut dire que tu veux vraiment passer une soirée avec moi ? C'est une profonde surprise qui tourne le visage de la rousse vers Maximillien, puisqu'elle s'était convaincue que s'il l'invitait jusqu'à présent, c'était soit par pure politesse parce qu'elle était l'ancienne fiancé de son meilleur ami, soit parce que c'était Peter qui procédait aux invitations, soit parce qu'il fallait bien sociabiliser un peu puisque, un jour, si Charles et Aloysius ne s'étripaient pas, elle deviendrait Bonnamy. Ou tu demandes ça par politesse, puisque tu as demandé à Juliet et James et que tu crains que je ne prenne mal le fait que tu m’ai oubliée ?
-Tu es sûr que me jeter dans une soirée, avec Peter, soit bien sage ? Marque t’elle enfin, reposant une main sur le manche pour procéder par étape. D’abord répondre, puis se concentrer sur sa survie sans les mains. “Lors du dernier Nouvel an, on a fini écroulés sur la piste de danse, a parler amour et peine de coeur.” Et quand elle disait “écroulés”, elle prenait le sens le plus littéral du mot. Ils avaient fini littéralement couché sur la piste de danse, au milieu des autres, complètement ivres et plus chaotique que jamais. A croire que leurs imprévisibilité respectives étaient exacerbée quand mise côte à côte. “Et j’ai passé votre pendaison de crémaillère à parler avec un balais, sous ses conseils.”
Reprend t’elle, se remémorant que là aussi, elle avait fini complètement déchiré. C’était vraisemblablement une constante, puisqu’au mieux elle voulait suivre Peter dans ses consommations, au pire elle voulait l’impressionner. Le silence retombe un peu, la main se détache de nouveau du manche, et si la Blackthorn s'essaye un instant à s'étirer puisque son dos la lance étrangement, c'est maladroitement qu'elle se jette de nouveau en avant quand le balais fait un bref écart sur le côté. Puis, seulement, elle le réalise :
-Attend. Ca veut dire que tu veux vraiment passer une soirée avec moi ? C'est une profonde surprise qui tourne le visage de la rousse vers Maximillien, puisqu'elle s'était convaincue que s'il l'invitait jusqu'à présent, c'était soit par pure politesse parce qu'elle était l'ancienne fiancé de son meilleur ami, soit parce que c'était Peter qui procédait aux invitations, soit parce qu'il fallait bien sociabiliser un peu puisque, un jour, si Charles et Aloysius ne s'étripaient pas, elle deviendrait Bonnamy. Ou tu demandes ça par politesse, puisque tu as demandé à Juliet et James et que tu crains que je ne prenne mal le fait que tu m’ai oubliée ?
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♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
» profession : chroniqueur à la Chouette Enchaînée, en attente d'un poste en France
» gallions sous la cape : 6321
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Dim 24 Mar 2024 - 15:53
Un petit sourire satisfait s’invite alors que son regard suit la tentative de Cataleya de répondre à son challenge. Elle essaye, c’est mieux que rien et une fois qu’elle aura un peu plus confiance en elle sur un balai, il est persuadé qu’elle saura faire encore bien mieux que cela. Il remarque son appréhension, la tension dans ses épaules jusqu’à ses doigts crispés, prêts à rattraper le manche à la moindre petite secousse du vent. C’est que ce dernier aurait pu être plus malicieux et qu’il se tient pour l’instant à l’écart de leurs exercices.
« Meh, faut bien qu’il le fasse avec quelqu’un et autant que ce soit avec toi ! »
Maximilien n’a pas beaucoup de souvenirs de cette fin de soirée et il ne parvient pas à se remettre en tête l'image de Cataleya parlant à un balai ; ceci dit, il est plus que disposé à la croire sur parole. Rire pour conséquence directe de cette vision rocambolesque. Il ne parvient pas à en être totalement surpris. La Blackthorn est bien plus amusante et beaucoup moins effrayante qu’il n’y paraît. Maximilien le sait, on se trompe à son sujet. On ne voit que la surface. Il est beaucoup plus facile d’en avoir peur que de creuser un peu et de réaliser toute l’étendue de sa complexité. Elle le lui prouve sur ce balai : elle est drôle, douée d’un esprit critique. Il ne la craint pas. Au pire, elle le fait sursauter de temps à autres mais c’est minime.
« Alors je sais bien que la tête du gars qui fait tout par politesse et c’est vrai que c’est un de mes gros défauts. Mais en réalité, oui, je veux passer une soirée avec toi. C’est si étrange que ça ? Promis, je ne suis pas si snob ! Je peux aussi être fun, comme Peter. Bon non, pas comme Peter… deux ou trois niveaux en-dessous de Peter. »
Elle a bien dû le voir à la crémaillère, n’est-ce pas ? Il peut s’amuser. Il sait s’amuser. Il lui faut juste plus de temps pour retirer le costume du gars propre sur lui et gentleman qu’on lui a longtemps forcé à porter. Il est si bien ajusté qu’il a parfois du mal à le retirer sans un peu d’effort. Mais ça va mieux, dernièrement. Grâce au Drummond oui, mais pas que. Ses amis lui donnent un nouveau souffle. C’est un autre Maximilien que celui d’il y a trois ans qui se tient devant Cataleya – ou plutôt dessous, vu l’angle de son balai. Il ne qualifiera pas cela de fierté bien sûr. Progrès, sûrement.
« Tu sais que je t’aime bien Blackthorn, quand même ? »
Il lui vient à l’idée que Cataleya n’a peut-être aucune idée de l’amitié qu’il a pour elle. Ce, malgré leur réconciliation sous forme de pique-nique il y a plusieurs mois. Possible qu’elle ne soit pas assez souvent jetée entre eux pour qu’elle en ait conscience…
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« Meh, faut bien qu’il le fasse avec quelqu’un et autant que ce soit avec toi ! »
Maximilien n’a pas beaucoup de souvenirs de cette fin de soirée et il ne parvient pas à se remettre en tête l'image de Cataleya parlant à un balai ; ceci dit, il est plus que disposé à la croire sur parole. Rire pour conséquence directe de cette vision rocambolesque. Il ne parvient pas à en être totalement surpris. La Blackthorn est bien plus amusante et beaucoup moins effrayante qu’il n’y paraît. Maximilien le sait, on se trompe à son sujet. On ne voit que la surface. Il est beaucoup plus facile d’en avoir peur que de creuser un peu et de réaliser toute l’étendue de sa complexité. Elle le lui prouve sur ce balai : elle est drôle, douée d’un esprit critique. Il ne la craint pas. Au pire, elle le fait sursauter de temps à autres mais c’est minime.
« Alors je sais bien que la tête du gars qui fait tout par politesse et c’est vrai que c’est un de mes gros défauts. Mais en réalité, oui, je veux passer une soirée avec toi. C’est si étrange que ça ? Promis, je ne suis pas si snob ! Je peux aussi être fun, comme Peter. Bon non, pas comme Peter… deux ou trois niveaux en-dessous de Peter. »
Elle a bien dû le voir à la crémaillère, n’est-ce pas ? Il peut s’amuser. Il sait s’amuser. Il lui faut juste plus de temps pour retirer le costume du gars propre sur lui et gentleman qu’on lui a longtemps forcé à porter. Il est si bien ajusté qu’il a parfois du mal à le retirer sans un peu d’effort. Mais ça va mieux, dernièrement. Grâce au Drummond oui, mais pas que. Ses amis lui donnent un nouveau souffle. C’est un autre Maximilien que celui d’il y a trois ans qui se tient devant Cataleya – ou plutôt dessous, vu l’angle de son balai. Il ne qualifiera pas cela de fierté bien sûr. Progrès, sûrement.
« Tu sais que je t’aime bien Blackthorn, quand même ? »
Il lui vient à l’idée que Cataleya n’a peut-être aucune idée de l’amitié qu’il a pour elle. Ce, malgré leur réconciliation sous forme de pique-nique il y a plusieurs mois. Possible qu’elle ne soit pas assez souvent jetée entre eux pour qu’elle en ait conscience…
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James Blackthorn est fan
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Dim 24 Mar 2024 - 20:14
Pinçant les lèvres pour ne pas rire, Cataleya se contente de hocher la tête devant la première affirmation du Roy. Ne réalisant pas même ô combien l’écossais pouvait exacerber le pire chez elle puisque, intuitivement, la Blackthorn s'essayer à jouer de mimétisme derrière [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et finissait toujours par verser dans un infantilisme aussi désastreux que touchant. C’est qu’elle cherchait toujours à l’impressionner, en un sens, et le suivait si vite qu’elle en oubliait souvent de réfléchir. Un comble pour une lufkin. Une petite grimace lui glisse pourtant sous le nez lorsque Maximilien vient à défendre son côté “fun”, non pas qu’elle n’en croyais mot, bien ô contraire, mais parce qu’elle se souvenait avoir persiflé plus d’une fois sur l’épaule de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qu’il était ennuyeux à mourir afin de garder son ancien fiancé entre ses bras lorsqu’elle se refusait plus encore à partager. Et ça, c’est quand elle n’avait pas écrasé l’aspect ennuyeux sur le visage du français en crachant comme un chat. Difficile d’imaginer qu’aujourd’hui il lui donnait un cours de vol, et qu’elle s’était appliquée à lui ramener un chocolat chaud pour le réchauffer.Pourtant, puisque le français, lui, à rit, la lufkin gonfle un peu les joues avant de se défendre
- “Fraise des bois était mon âme soeur sous forme de balais !” Elle en demeurait convaincue, puisque les souvenirs étaient grandement altérés par un alcool ingéré sur le même rythme que Peter, et Wyatt. Et par une compétition de bowling qui l'avait opposé à Max. Elle avait d’ailleurs oublié la taille ridicule de cette dite âme soeur, et ne se souvenait de pas grand chose hormis avoir véritablement volé (à un mètre du sol, mais elle surestimait la hauteur dans ce brouillard éthylique) et avoir éclaté Maximilien au bowling. Elle n'avait que de très vague souvenir de son échange avec [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], hormis du fait qu'elle l'avait implorer de la porter puisque ses talons aiguilles lui faisait mal au pied. “Mais c'est vrai qu'on s'était bien amusé, toi et moi ! Ca me ferait vraiment plaisir de passer une soirée avec vous. Merci Max.”
Le regard retourne accrocher l'horizon une poignée de seconde, les bras s'offrant doucement au vent pour tenter de se stabiliser un peu, quand bien même les dernier mot du summerbee finissent inexorablement par rapprocher les mains du coeur en une expression foncièrement surprise. Les traits se détendent pourtant aussitôt, et la moue s’attendrit considérablement, émue.
- “C'est la chose la plus mignonne que j'ai entendu !” L'exclamation est spontanée, quand bien même fausse. Ce n'était pas là, LA chose la plus mignonne qui ait pu effleurer son coeur, mais elle se hissait sans mal au plus haut du palmarès avec une sincérité désarmante. Elle en oublie même de se concentrer sur son équilibre ou paniquer à l'idée d'avoir lâcher son manche puisque, les mains ramené vers sa poitrine, comme pour saisir le compliment au vol et le plaquer contre son coeur, elle observe le français avec une moue radieuse. “Moi aussi je t'aime bien, Leroy. Sinon je ne me ridiculiserait pas ainsi sous tes beaux yeux. Et je n'aurais pas fait de chocolat !”
- “Fraise des bois était mon âme soeur sous forme de balais !” Elle en demeurait convaincue, puisque les souvenirs étaient grandement altérés par un alcool ingéré sur le même rythme que Peter, et Wyatt. Et par une compétition de bowling qui l'avait opposé à Max. Elle avait d’ailleurs oublié la taille ridicule de cette dite âme soeur, et ne se souvenait de pas grand chose hormis avoir véritablement volé (à un mètre du sol, mais elle surestimait la hauteur dans ce brouillard éthylique) et avoir éclaté Maximilien au bowling. Elle n'avait que de très vague souvenir de son échange avec [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], hormis du fait qu'elle l'avait implorer de la porter puisque ses talons aiguilles lui faisait mal au pied. “Mais c'est vrai qu'on s'était bien amusé, toi et moi ! Ca me ferait vraiment plaisir de passer une soirée avec vous. Merci Max.”
Le regard retourne accrocher l'horizon une poignée de seconde, les bras s'offrant doucement au vent pour tenter de se stabiliser un peu, quand bien même les dernier mot du summerbee finissent inexorablement par rapprocher les mains du coeur en une expression foncièrement surprise. Les traits se détendent pourtant aussitôt, et la moue s’attendrit considérablement, émue.
- “C'est la chose la plus mignonne que j'ai entendu !” L'exclamation est spontanée, quand bien même fausse. Ce n'était pas là, LA chose la plus mignonne qui ait pu effleurer son coeur, mais elle se hissait sans mal au plus haut du palmarès avec une sincérité désarmante. Elle en oublie même de se concentrer sur son équilibre ou paniquer à l'idée d'avoir lâcher son manche puisque, les mains ramené vers sa poitrine, comme pour saisir le compliment au vol et le plaquer contre son coeur, elle observe le français avec une moue radieuse. “Moi aussi je t'aime bien, Leroy. Sinon je ne me ridiculiserait pas ainsi sous tes beaux yeux. Et je n'aurais pas fait de chocolat !”
James Blackthorn est fan
- Maximilien Leroyfrench style ♔ sweet golden boy
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» miroir du riséd : francisco lachowski
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» multinick : arty / joe / keir / mag
» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» nature du sang : sang-pur
» particularité : animagus
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Lun 25 Mar 2024 - 17:37
Il lui faut quelques minutes pour identifier « Fraise des bois ». C’est que Cataleya n’est pas toujours facile à suivre tant elle déborde d’imagination et de verve. Maximilien fait de son mieux. Il a longtemps été habitué au mutisme de James, à son comportement discret et sans vague. Côtoyer Peter et Cataleya, en comparaison, revient à passer sa vie dans un manège à sensations. Il ne pensait pas se lier autant à la partie plus « fantasque » des Blackthorn, ignorait même qu’elle existait en eux. Chacun pour des raisons différentes. Chez le Drummond, la chose est innée. La cause à sa vélanité, il suppose. Pour la rouquine, il la soupçonne de compenser par l’exubérance et les réactions dramatiques. Ne parvient pas à lui en vouloir. Qui est-il pour juger leur façon d’accepter leurs angoisses et de les traiter au quotidien ? Quand on voit qu’il a lui-même une forte tendance à l’auto-apitoiement lorsqu’il s’agit de son frère aîné…
« Je t’en prie, merci d’accepter. »
Remerciement simple. Pas de quoi en faire grand étalage. Pourtant, le sourire sur son visage trahit une forte satisfaction. Ils reviennent de loin, tous les deux. Cataleya semblait le détester, la faute à son lien étroit avec James et la potentielle concurrence qu’il représentait sûrement à ses yeux. Puis, il avait blessé Juliet. Tout ça, Maximilien le comprend. Ce qui le rend si heureux, c’est de réaliser que malgré ce début désastreux, ils ont réussi à se frayer un chemin vers l’amitié. Cela semble évident, mais ce n’est jamais le cas. Il y a tant de raisons de se jalouser, se détester les uns les autres. De craindre autrui. Il met cette bonne entente sur ce funeste jour où aucun n’a su retenir le venin qui s’accumulait depuis de nombreux mois. Peut-être une bonne chose, en fin de compte…
« Arrête donc ton cirque » grogne-t-il, ne parvenant pas à cacher le rose de ses joues.
C’est sorti comme ça. Et ce n’est sûrement pas la chose la plus mignonne à dire. Il ne sait pas pourquoi ça le trouble autant. Probablement parce qu’il n’imaginait pas ce jour arriver et qu’il n’est toujours pas certain de savoir comment lui dire qu’il l’apprécie. Cela a au moins le don de distraire son angoisse et ses peurs, de quoi se dresser sur son balai sans trembler comme une feuille. L’équilibre est presque entier et il n’ose rien dire pour ne pas la désarçonner. Elle s’en rendra vite compte par elle-même. En parlant de chocolat, il en prend une nouvelle gorgée et fait une petite moue appréciatrice, qu’il amplifie volontairement pour se moquer un peu.
« Des compliments, des cadeaux gourmands… On pourrait presque croire que tu essayes de me courtiser. Attention Blackthorn, imagine que ça fonctionne ? »
Il se retient d’exploser de rire tant cela lui paraît improbable. Faux. Erroné. Complètement à côté de la plaque. Non pas à cause de ses sentiments profonds pour Peter ou de ses fiançailles avec Marius, mais parce qu’il ne s’imagine pas un seul instant partager cette dynamique avec la rouquine. Quelque chose… clocherait.
« Ce serait une façon plus directe de mettre la main sur l’héritage de ma famille. Ne fais pas comme si tu n’y avais jamais pensé… »
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« Je t’en prie, merci d’accepter. »
Remerciement simple. Pas de quoi en faire grand étalage. Pourtant, le sourire sur son visage trahit une forte satisfaction. Ils reviennent de loin, tous les deux. Cataleya semblait le détester, la faute à son lien étroit avec James et la potentielle concurrence qu’il représentait sûrement à ses yeux. Puis, il avait blessé Juliet. Tout ça, Maximilien le comprend. Ce qui le rend si heureux, c’est de réaliser que malgré ce début désastreux, ils ont réussi à se frayer un chemin vers l’amitié. Cela semble évident, mais ce n’est jamais le cas. Il y a tant de raisons de se jalouser, se détester les uns les autres. De craindre autrui. Il met cette bonne entente sur ce funeste jour où aucun n’a su retenir le venin qui s’accumulait depuis de nombreux mois. Peut-être une bonne chose, en fin de compte…
« Arrête donc ton cirque » grogne-t-il, ne parvenant pas à cacher le rose de ses joues.
C’est sorti comme ça. Et ce n’est sûrement pas la chose la plus mignonne à dire. Il ne sait pas pourquoi ça le trouble autant. Probablement parce qu’il n’imaginait pas ce jour arriver et qu’il n’est toujours pas certain de savoir comment lui dire qu’il l’apprécie. Cela a au moins le don de distraire son angoisse et ses peurs, de quoi se dresser sur son balai sans trembler comme une feuille. L’équilibre est presque entier et il n’ose rien dire pour ne pas la désarçonner. Elle s’en rendra vite compte par elle-même. En parlant de chocolat, il en prend une nouvelle gorgée et fait une petite moue appréciatrice, qu’il amplifie volontairement pour se moquer un peu.
« Des compliments, des cadeaux gourmands… On pourrait presque croire que tu essayes de me courtiser. Attention Blackthorn, imagine que ça fonctionne ? »
Il se retient d’exploser de rire tant cela lui paraît improbable. Faux. Erroné. Complètement à côté de la plaque. Non pas à cause de ses sentiments profonds pour Peter ou de ses fiançailles avec Marius, mais parce qu’il ne s’imagine pas un seul instant partager cette dynamique avec la rouquine. Quelque chose… clocherait.
« Ce serait une façon plus directe de mettre la main sur l’héritage de ma famille. Ne fais pas comme si tu n’y avais jamais pensé… »
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Mer 27 Mar 2024 - 21:30
C’est un éclat franc et beau qui perce le terrain de quidditch lorsque Maximilien vient à rougir, peut-être plus à cause du ton pris pour se défendre que des mots en eux même. Le parfait prince charmant venait-il de grogner ? Elle s’en délecte petite Blackthorn toujours un peu rassurée de constater que Maximillien n’était pas une entitée plastique et sans âme, en tout point parfait. Par instant, sa bonté d’âme doublé du cadre de vie presque idyllique qu’il entretenait laissait sous-entendre à la rousse que, lui, était parvenu à s’inscrire dans le cadre du Parfait. Ne trainant pour seul défaut que cette chevelure aussi sublime que la sienne. Et ça en était hautement frustrant. Aussi appréciait-elle ces fin, presque minuscule écarts, puisqu’il trahissait l’Humanité de Mr Prince Chamant Idéal.
Se penchant un peu sur le côté pour se rapprocher du summerbee, la lufkin pince ses lèvres en une expression mutine lorsqu’il émet l’idée d’un jeu de séduction qui le fait aussitôt éclater de rire. Si la Blackthorn pouffe à peine, elle chasse pourtant méthodiquement les deux fossettes qui signait son envie de rire et lui répond au contraire d’une voix lente et ourlé de velours :
-C’est bien pour ça qu’il y a de l’amortensia dans ton chocolat, Maxou-choupinou.
La voix a des allures de caresse, mais il niche dans le regard une telle intensité que les secondes égrainées après ça sont propices au doutes. Pas assez, sans doute, puisque le sursaut des zygomatiques que pinçait si habilement le rousse éclate de nouveau et ne l’entraine dans un brusque et sincère fou-rire. Elle avait déjà eu à faire face aux airs de harpie de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], et ne souhait jamais réitérer l'opération. Et puis, pas sûr que le plus puissant filtre d’amour rivalise avec le charisme légendaire de son cousin.
-Te séduire toi, non, par contre j’ai pensé -au moins une bonne semaine- à mettre quelques goutte de filtre d’amour dans le verre de ton grand père et d'augmenter peu à peu les doses pour que cela semble plus naturel. Ça l'aurait rendu plus agréable à table, et moins virulent sur mes rousseurs. Au pire ça l’aurait rendu cardiaque, incapable de gérer ses affaires, j’aurais donc prit la régence et pouf, court-circuité petit Leroy. J’aurai été ta Belle-grand-mère.
La main se rabat soudainement sur le manche puisqu'elle réalise que, pendant tout ce temps, elle l'avait lâché. Elle s'y raccroche donc vivement, et fortement, avant de réaliser qu'elle n'était pas tomber. Doucement le dos se redresse, une expression d'auto-satisfaction fondamentale gravé sur les traits et une main sur son coeur pour l'en flatter.
-Je suis trop forte, en fait. Dose, Cat, dose.
Se penchant un peu sur le côté pour se rapprocher du summerbee, la lufkin pince ses lèvres en une expression mutine lorsqu’il émet l’idée d’un jeu de séduction qui le fait aussitôt éclater de rire. Si la Blackthorn pouffe à peine, elle chasse pourtant méthodiquement les deux fossettes qui signait son envie de rire et lui répond au contraire d’une voix lente et ourlé de velours :
-C’est bien pour ça qu’il y a de l’amortensia dans ton chocolat, Maxou-choupinou.
La voix a des allures de caresse, mais il niche dans le regard une telle intensité que les secondes égrainées après ça sont propices au doutes. Pas assez, sans doute, puisque le sursaut des zygomatiques que pinçait si habilement le rousse éclate de nouveau et ne l’entraine dans un brusque et sincère fou-rire. Elle avait déjà eu à faire face aux airs de harpie de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], et ne souhait jamais réitérer l'opération. Et puis, pas sûr que le plus puissant filtre d’amour rivalise avec le charisme légendaire de son cousin.
-Te séduire toi, non, par contre j’ai pensé -au moins une bonne semaine- à mettre quelques goutte de filtre d’amour dans le verre de ton grand père et d'augmenter peu à peu les doses pour que cela semble plus naturel. Ça l'aurait rendu plus agréable à table, et moins virulent sur mes rousseurs. Au pire ça l’aurait rendu cardiaque, incapable de gérer ses affaires, j’aurais donc prit la régence et pouf, court-circuité petit Leroy. J’aurai été ta Belle-grand-mère.
La main se rabat soudainement sur le manche puisqu'elle réalise que, pendant tout ce temps, elle l'avait lâché. Elle s'y raccroche donc vivement, et fortement, avant de réaliser qu'elle n'était pas tomber. Doucement le dos se redresse, une expression d'auto-satisfaction fondamentale gravé sur les traits et une main sur son coeur pour l'en flatter.
-Je suis trop forte, en fait. Dose, Cat, dose.
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Jeu 28 Mar 2024 - 11:23
Le Français baisse les yeux sur le récipient qu’il tient dans sa main gauche et pendant une brève seconde, il doute. Il ne verrait pas l’intérêt pour elle de faire une chose pareille étant donné que cela la confronterait à son propre cousin, mais ne parvient pas à complètement rationaliser la chose. Il faut que Cataleya éclate de rire pour qu’il comprenne que ce n’est réellement qu’une blague stupide et qu’il a failli tomber dedans la tête la première, comme la naïve personne qu’il est. La moue se contracte sur ses lèvres et gonfle sensiblement ses joues quelques secondes, signe de protestation – et seul rempart contre le rire. Il s’était pourtant juré de ne pas tomber dans le panneau.
« C’est pas drôle… » maugréé-t-il.
Mais il faut bien admettre que… si, un peu. Qu’à l’instar de Peter, elle sait se jouer de lui dans les bons moments, sans que personne n’en soit blessé. C’est de sa faute, il n’a pas à être si crédule ! Il a envie de dire que cela ne se produit que parce qu’il a foi en eux mais ce serait se leurrer et minimiser son défaut de caractère. En attendant, chaque 1er avril est un enfer pour le Français.
« Je ne m’y tenterai pas. Non seulement il y a une chance qu’il le découvre et bonjour les répercussions, mais en plus même s'il venait à mourir, il te faudrait faire face à ma tante et ça… Disons qu’elle a les ongles bien accrochés. »
Une gentille façon de dire qu’elle a désormais les affaires en main et ne compte pas les céder à qui que ce soit. Maximilien n’a aucun souhait de reprendre la tête de cet empire, ce n’est pas là sa vocation. Ni celle de Marius, il le sait. Ce qui le pousse à se questionner sur les ambitions réelles de Cataleya. Elle en fait des blagues mais ne cachent-elles pas une sombre réalité ? Qu’elle est prête à tout pour mettre la main sur ce qui leur appartient car c’est ce que font les Blackthorn ? Ils annexent les familles européennes pour asseoir leur domination. Sûrement devra-t-il faire attention à l’avenir aux décisions prises dans sa famille. Il aime beaucoup Juliet et son lien à Peter est indéfectible, mais sous aucun prétexte il ne laissera la Maison Leroy devenir aussi pervertie que celle des Blackthorn. C’est une promesse qu’il se fait à lui-même. À lui, donc, de modeler la rouquine de façon à ce qu’elle pense la vie autrement que comme un grand terrain de Quidditch où il faut frapper le plus de joueurs possibles avec un cognard.
« Ce que j’aime bien chez toi c’est que tu es toute en modestie… »
Sarcasme, quand tu nous tiens.
« Si tu es si forte, pourquoi ne pas t’essayer à grimper de quelques mètres cette fois ? Tu as compris le fondement du vol sur un balai et n’as pas vraiment pris de risque pour le moment. Avec trois bons mètres de plus, la perspective change. Allez, vas-y. »
Maximilien sort sa baguette, au cas où. Si elle devait tomber, il sera plus à même de l’empêcher d’atteindre le sol.
« Et avec James, comment ça va ? Je n’ai pas trop de nouvelles dernièrement. »
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« C’est pas drôle… » maugréé-t-il.
Mais il faut bien admettre que… si, un peu. Qu’à l’instar de Peter, elle sait se jouer de lui dans les bons moments, sans que personne n’en soit blessé. C’est de sa faute, il n’a pas à être si crédule ! Il a envie de dire que cela ne se produit que parce qu’il a foi en eux mais ce serait se leurrer et minimiser son défaut de caractère. En attendant, chaque 1er avril est un enfer pour le Français.
« Je ne m’y tenterai pas. Non seulement il y a une chance qu’il le découvre et bonjour les répercussions, mais en plus même s'il venait à mourir, il te faudrait faire face à ma tante et ça… Disons qu’elle a les ongles bien accrochés. »
Une gentille façon de dire qu’elle a désormais les affaires en main et ne compte pas les céder à qui que ce soit. Maximilien n’a aucun souhait de reprendre la tête de cet empire, ce n’est pas là sa vocation. Ni celle de Marius, il le sait. Ce qui le pousse à se questionner sur les ambitions réelles de Cataleya. Elle en fait des blagues mais ne cachent-elles pas une sombre réalité ? Qu’elle est prête à tout pour mettre la main sur ce qui leur appartient car c’est ce que font les Blackthorn ? Ils annexent les familles européennes pour asseoir leur domination. Sûrement devra-t-il faire attention à l’avenir aux décisions prises dans sa famille. Il aime beaucoup Juliet et son lien à Peter est indéfectible, mais sous aucun prétexte il ne laissera la Maison Leroy devenir aussi pervertie que celle des Blackthorn. C’est une promesse qu’il se fait à lui-même. À lui, donc, de modeler la rouquine de façon à ce qu’elle pense la vie autrement que comme un grand terrain de Quidditch où il faut frapper le plus de joueurs possibles avec un cognard.
« Ce que j’aime bien chez toi c’est que tu es toute en modestie… »
Sarcasme, quand tu nous tiens.
« Si tu es si forte, pourquoi ne pas t’essayer à grimper de quelques mètres cette fois ? Tu as compris le fondement du vol sur un balai et n’as pas vraiment pris de risque pour le moment. Avec trois bons mètres de plus, la perspective change. Allez, vas-y. »
Maximilien sort sa baguette, au cas où. Si elle devait tomber, il sera plus à même de l’empêcher d’atteindre le sol.
« Et avec James, comment ça va ? Je n’ai pas trop de nouvelles dernièrement. »
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Ven 12 Avr 2024 - 15:29
Le rire redouble de force lorsque Maximilien se plaint de la blague mais se tempère devant ce qui suit, consciente que les Leroy et Bonnamy avaient eux aussi les dents longues. Quoi qu’elle aime à se répéter en voyant la brochette Maximilien-Marius-Maxence. Si les derniers nés vêtaient une singulière beauté d’âme, force était d’admettre que leur engeance était aussi nécrosé que la sienne. Rien d’étonnant à ce que Charles s'entende avec les Blackthorn pères puisqu’ils étaient faits du même bois. Le sourire de la cinquième adoptée ne faiblit pourtant pas, soucieux de conserver les apparences quant tout en elle pleurait déjà de ne pas vouloir s’unir à eux. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] était un choix pourtant rassurant puisqu’on aurait pu la promettre à bien pire mais la lufkin s’entêtait effroyablement sur l’idée que ce n’était ni ce qu’elle voulait, ni le mariage d’amour qu’elle avait toujours espéré alors, l’espace d’une seconde, elle revoit Miguel poser genoux à terre et le sourire se fait plus doux. Son mariage d’amour, elle l’aurait, même si ça signifiait renier bien des choses pour l’obtenir. « Si tu es si forte, pourquoi ne pas t’essayer à grimper de quelques mètres cette fois ? [...] » La poésie ne dure pas puisque, déjà, la Blackthorn s’offusque à demi. S’étranglant sur l’idée que Maximilien la voulait à terre, chouinant de tout son soûl puisque tombé sur les fesses ou face la première. Elle voudrait bien cracher que ce n’était pas gentil, mais en définitive, c’était l’évolution la plus logique de cet exercice. Et puis, c’était elle qui réclamait des cours de vol et Maximillien se faisait certainement meilleur professeur que Miguel et Marius ; eux, ils se moquaient sans vergogne se ses petits cris de hamster effrayé.
- Avec trois bon mètre de plus, je risque surtout la fracture. Geint-elle presque, quand bien mêle la baguette du summerbee et sa qualité propre de médicomage aurait dû la rassurer.
Elle voudrait pourtant taper du pied Cataleya, juste pour marquer son bref désaccord, mais ne peut que révulser dramatiquement la tête en arrière en chouinant plus encore des mots aux accents étranger. Arthur fronceraient pourtant les sourcils puisque le vague roumain auquel elle s’essayait n’avait aucun sens, puisque mal prononcé. A deux doigts de réclamer un serment inviolable pour s'assurer que le français ne la laisserait effectivement pas tomber, Cataleya s'étonne des derniers mots du Roy.
-Ca va, je crois. On ne parle pas trop lui et moi. Si c'était là une issue logique au besoin de pause que martelais irrépressiblement Cataleya, le fait que le brun n'ait pas de nouvelle du pokeby, par contre, relevait de l'étonnement. Je pense qu'il ne devrait pas tarder à nous annoncer le nom de sa promise. Reprend t'elle alors, donnant une impulsion sur le manche de son balais pour l'inviter à gagner en hauteur. Plus pour se concentrer sur autre chose que l'idée d'être si facilement remplacée. Maman a parié sur Laura Lacroix, et moi sur une étrangère aux relations de nos parents ! Si tu as des indices je suis preneuse, c'est mon cadeau d'anniversaire qui est en jeu.
- Avec trois bon mètre de plus, je risque surtout la fracture. Geint-elle presque, quand bien mêle la baguette du summerbee et sa qualité propre de médicomage aurait dû la rassurer.
Elle voudrait pourtant taper du pied Cataleya, juste pour marquer son bref désaccord, mais ne peut que révulser dramatiquement la tête en arrière en chouinant plus encore des mots aux accents étranger. Arthur fronceraient pourtant les sourcils puisque le vague roumain auquel elle s’essayait n’avait aucun sens, puisque mal prononcé. A deux doigts de réclamer un serment inviolable pour s'assurer que le français ne la laisserait effectivement pas tomber, Cataleya s'étonne des derniers mots du Roy.
-Ca va, je crois. On ne parle pas trop lui et moi. Si c'était là une issue logique au besoin de pause que martelais irrépressiblement Cataleya, le fait que le brun n'ait pas de nouvelle du pokeby, par contre, relevait de l'étonnement. Je pense qu'il ne devrait pas tarder à nous annoncer le nom de sa promise. Reprend t'elle alors, donnant une impulsion sur le manche de son balais pour l'inviter à gagner en hauteur. Plus pour se concentrer sur autre chose que l'idée d'être si facilement remplacée. Maman a parié sur Laura Lacroix, et moi sur une étrangère aux relations de nos parents ! Si tu as des indices je suis preneuse, c'est mon cadeau d'anniversaire qui est en jeu.
James Blackthorn est fan
- Maximilien Leroyfrench style ♔ sweet golden boy
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» multinick : arty / joe / keir / mag
» âge : vingt-huit ans
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» particularité : animagus
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» options obligatoires & facultatives : Ancien cursus : Journalisme
♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Ven 19 Avr 2024 - 16:31
Maximilien lève les yeux au ciel et savoure ce bref moment où, pour une fois, il a l’ascendant sur cette tête de mule.
« En bonne médicomage que tu es, je n’ai aucun doute sur tes capacités à gérer une ou des fractures. Allez, c’est la rançon de la gloire. »
Petit sourire narquois pour envelopper le tout. Elle ne l’a pas fait venir ici pour tricoter non plus, il est temps de passer aux choses sérieuses et de cette façon, il lui montre qu’il les prend comme tel. Il s’attend bien à ce qu’ils se quittent avec la certitude que Cataleya a progressé en vol.
De façon maladroitement nonchalante, il demande des nouvelles de James, qui se font rares récemment. Une faute commune, pense-t-il. Avec sa préparation de thèse et les engagements familiaux de part et d’autre, ils n’ont guère pris le temps de se voir. Ne l’ont pas cherché non plus, semble-t-il. Maximilien se pose forcément des questions. A-t-il fait quelque chose pour irriter le Blackthorn au point qu’il l’ait tout bonnement oublié ? Et lui, l’a-t-il oublié ? Mis de côté sans le vouloir ? Il ne sait que choisir comme réponse et de toute évidence, aucune d’elles ne le soulagera. Autant grapiller quelques informations à la jeune femme en feu. Il devrait pourtant s’attendre à ce qu’elle n’en sache pas plus, vu leur situation aux dernières nouvelles. Mais ça aussi, il n’a pas trop suivi... Ou n’aura-t-il pas osé demander, tout bêtement ? En tout cas, si confidence il y a eu, ça n’a pas été auprès de ses oreilles !
Le nom de sa promise ? Les paupières du Français papillonnent plusieurs fois à la suite. Stop stop stop, on met pause, on revient en arrière et on recommence. Une promise ? Quand ? Quoi ? Où et surtout... depuis quand ? Il lui semblait que Cataleya était sa promise ? Maximilien est complètement perdu. C’est dire à quel point il est à côté de la plaque s’il n’est même pas informé d’une si grande nouvelle. Il ne concentre plus du tout sur le balai de la Blackthorn qui prend de la hauteur. Baguette pointée vers le sol, sourcils légèrement froncés, il se demande sincèrement ce qu’il a fait pour être autant dans l’ignorance. Il pensait pourtant ne pas être un ami trop misérable...
La voix de Cataleya continue de scinder le silence du stade. S’il faisait attention, il sentirait dans sa voix une pointe d’amertume. Sauf que Maximilien ne s’en occupe pas. On a dit : ami en carton.
« Je ne pense pas pouvoir t’aider tu sais. C’est toi qui vient de m’apprendre qu’il est fiancé donc... De là à savoir avec qui. »
Amertume partagée. Le Français ne sait pas trop où il a lâché la corde et pourquoi. Le fait est que les secrets les ont toujours séparés. Il a dû apprendre sa bisexualité par l’intermédiaire de Cataleya et c’est encore elle qui lui apporte les grosses nouvelles concernant son meilleur ami. Ou ami. Il ne sait plus vraiment quel terme employer sur le moment. Ses pensées sont confuses. Il croyait pourtant être un bon confident capable de tenir sa langue et garder des secrets, même les plus intimes.
« Et toi, comment tu le prends ? »
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« En bonne médicomage que tu es, je n’ai aucun doute sur tes capacités à gérer une ou des fractures. Allez, c’est la rançon de la gloire. »
Petit sourire narquois pour envelopper le tout. Elle ne l’a pas fait venir ici pour tricoter non plus, il est temps de passer aux choses sérieuses et de cette façon, il lui montre qu’il les prend comme tel. Il s’attend bien à ce qu’ils se quittent avec la certitude que Cataleya a progressé en vol.
De façon maladroitement nonchalante, il demande des nouvelles de James, qui se font rares récemment. Une faute commune, pense-t-il. Avec sa préparation de thèse et les engagements familiaux de part et d’autre, ils n’ont guère pris le temps de se voir. Ne l’ont pas cherché non plus, semble-t-il. Maximilien se pose forcément des questions. A-t-il fait quelque chose pour irriter le Blackthorn au point qu’il l’ait tout bonnement oublié ? Et lui, l’a-t-il oublié ? Mis de côté sans le vouloir ? Il ne sait que choisir comme réponse et de toute évidence, aucune d’elles ne le soulagera. Autant grapiller quelques informations à la jeune femme en feu. Il devrait pourtant s’attendre à ce qu’elle n’en sache pas plus, vu leur situation aux dernières nouvelles. Mais ça aussi, il n’a pas trop suivi... Ou n’aura-t-il pas osé demander, tout bêtement ? En tout cas, si confidence il y a eu, ça n’a pas été auprès de ses oreilles !
Le nom de sa promise ? Les paupières du Français papillonnent plusieurs fois à la suite. Stop stop stop, on met pause, on revient en arrière et on recommence. Une promise ? Quand ? Quoi ? Où et surtout... depuis quand ? Il lui semblait que Cataleya était sa promise ? Maximilien est complètement perdu. C’est dire à quel point il est à côté de la plaque s’il n’est même pas informé d’une si grande nouvelle. Il ne concentre plus du tout sur le balai de la Blackthorn qui prend de la hauteur. Baguette pointée vers le sol, sourcils légèrement froncés, il se demande sincèrement ce qu’il a fait pour être autant dans l’ignorance. Il pensait pourtant ne pas être un ami trop misérable...
La voix de Cataleya continue de scinder le silence du stade. S’il faisait attention, il sentirait dans sa voix une pointe d’amertume. Sauf que Maximilien ne s’en occupe pas. On a dit : ami en carton.
« Je ne pense pas pouvoir t’aider tu sais. C’est toi qui vient de m’apprendre qu’il est fiancé donc... De là à savoir avec qui. »
Amertume partagée. Le Français ne sait pas trop où il a lâché la corde et pourquoi. Le fait est que les secrets les ont toujours séparés. Il a dû apprendre sa bisexualité par l’intermédiaire de Cataleya et c’est encore elle qui lui apporte les grosses nouvelles concernant son meilleur ami. Ou ami. Il ne sait plus vraiment quel terme employer sur le moment. Ses pensées sont confuses. Il croyait pourtant être un bon confident capable de tenir sa langue et garder des secrets, même les plus intimes.
« Et toi, comment tu le prends ? »
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» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Sam 27 Avr 2024 - 15:07
“C’est toi qui vient de m’apprendre qu’il est fiancé donc…” La surprise du francais trouve echo sur le visage de la Blackthorn qui s’essaye à un “mais pourquoi ?” que la distance ne portera pas jusqu’aux oreilles du summerbee. Sans doute pour le mieux. Mais puisqu’il s’acharne à lui demander comment elle, elle prend tout ça alors qu’elle s’y était préparé mentalement et qu’elle vivait aujourd’hui sa petite idylle contre nature, c’est pleine d’applomb qu’elle jette un contre uno sur la situation.
-Toi, comment tu le prend ?!
Elle semble s’être un instant indignée devant la tendance qu’avait le brun à minimiser ses propres ressentit pour faire passer ceux des autres avant, incapable de concevoir qu’il n’ait pas été mis au courant. A moins que James n’ait au final trouvé personne ? Ou qu’il soit tant dépité par cet état de fait qu’il était entré dans une forme de dépression ? Mais si tel était le cas, il aurait tout de même prévenu Maximillien n’est-ce pas ? Un peu perdue, quoi qu’encore solidement accrochée à son balais, la rousse balance nerveusement les jambes dans le vide.
-Le fait qu’on se trouve une et un nouveau fiancé était l’accord que j’ai passé auprès de ma mère, pour le ramener à la maison. Je.. Savais que ça finirai par arriver.
C’était le prix à payer, puisqu’elle n’était pas parvenue à se faufiler en Egypte pour le retrouver. Puisqu’il avait fallut vendre son âme au diable pour tenter de re-gouter à un amour qui désastreusement lui manquait. Depuis, mille chose avait changé et elle aurait aimé souffler qu’elle s’en moquait, mais force était d’admettre que vingt ans d’espoir de conte de fée laissait derrière eux beaucoup de nostalgie. Quelque part sans doute, elle voulait prier un mariage heureux puisqu'elle même trouverait peut être son bonheur entre les mains de Miguel. De l'autre, elle ne pouvait s'empêcher d'en vouloir un peu à James puis qu'elle avait sacrifié gros pour le faire revenir, et qu'elle avait aujourd'hui l'impression que ça n'avait servit à rien. Il aurait été heureux, là bas, et elle elle n'aurait pas eu à vendre son utérus si elle ne s'était pas acharnée à vouloir le "sauver".
-Je... La voix s'est faite claire, mais les pupilles tremblent un peu. Incapable de verbaliser tout à fait cette pointe de colère qui pesait si lourdement sur son coeur. Elle s'y risque pourtant, puisque c'est Max qui lui fait face et pas n'importe qui. Je crois que je lui en veut un peu. Marius est drôle, et j'aurai pu être promise à à une famille comme les Muller mais... J'ai l'impression d'avoir sacrifié des choses qui n'aurait pas dû être sacrifiée et... Je ne sais pas. Il avait quelqu'un qui l'aimait en Egypte, je me sens stupide de l'avoir ramené auprès de nos parents alors qu'il aurait pu s'épanouir là bas, tu vois. Et maintenant que Jeremiah est là, et que lui a pu choisir sa promise, je me sens perdante au change. Tu m'en veux de penser comme ça ?
Mais si Miguel ne se ravisait pas, peut être qu'elle pourrait trouver son idylle elle aussi, dans ses bras.
-Toi, comment tu le prend ?!
Elle semble s’être un instant indignée devant la tendance qu’avait le brun à minimiser ses propres ressentit pour faire passer ceux des autres avant, incapable de concevoir qu’il n’ait pas été mis au courant. A moins que James n’ait au final trouvé personne ? Ou qu’il soit tant dépité par cet état de fait qu’il était entré dans une forme de dépression ? Mais si tel était le cas, il aurait tout de même prévenu Maximillien n’est-ce pas ? Un peu perdue, quoi qu’encore solidement accrochée à son balais, la rousse balance nerveusement les jambes dans le vide.
-Le fait qu’on se trouve une et un nouveau fiancé était l’accord que j’ai passé auprès de ma mère, pour le ramener à la maison. Je.. Savais que ça finirai par arriver.
C’était le prix à payer, puisqu’elle n’était pas parvenue à se faufiler en Egypte pour le retrouver. Puisqu’il avait fallut vendre son âme au diable pour tenter de re-gouter à un amour qui désastreusement lui manquait. Depuis, mille chose avait changé et elle aurait aimé souffler qu’elle s’en moquait, mais force était d’admettre que vingt ans d’espoir de conte de fée laissait derrière eux beaucoup de nostalgie. Quelque part sans doute, elle voulait prier un mariage heureux puisqu'elle même trouverait peut être son bonheur entre les mains de Miguel. De l'autre, elle ne pouvait s'empêcher d'en vouloir un peu à James puis qu'elle avait sacrifié gros pour le faire revenir, et qu'elle avait aujourd'hui l'impression que ça n'avait servit à rien. Il aurait été heureux, là bas, et elle elle n'aurait pas eu à vendre son utérus si elle ne s'était pas acharnée à vouloir le "sauver".
-Je... La voix s'est faite claire, mais les pupilles tremblent un peu. Incapable de verbaliser tout à fait cette pointe de colère qui pesait si lourdement sur son coeur. Elle s'y risque pourtant, puisque c'est Max qui lui fait face et pas n'importe qui. Je crois que je lui en veut un peu. Marius est drôle, et j'aurai pu être promise à à une famille comme les Muller mais... J'ai l'impression d'avoir sacrifié des choses qui n'aurait pas dû être sacrifiée et... Je ne sais pas. Il avait quelqu'un qui l'aimait en Egypte, je me sens stupide de l'avoir ramené auprès de nos parents alors qu'il aurait pu s'épanouir là bas, tu vois. Et maintenant que Jeremiah est là, et que lui a pu choisir sa promise, je me sens perdante au change. Tu m'en veux de penser comme ça ?
Mais si Miguel ne se ravisait pas, peut être qu'elle pourrait trouver son idylle elle aussi, dans ses bras.
James Blackthorn est fan
- Maximilien Leroyfrench style ♔ sweet golden boy
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» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» nature du sang : sang-pur
» particularité : animagus
» année d'études : /
» options obligatoires & facultatives : Ancien cursus : Journalisme
♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Mer 1 Mai 2024 - 18:45
« Je t’ai posé la question le premier. »
Jolie parade, n’est-ce pas ? Maximilien tente de gagner du temps. S’il devait répondre tout de suite à cette question, il dirait... non, il ne sait pas. La confusion des sentiments règne en lui. Déçu, sûrement. Triste, assurément. Dans l’incompréhension la plus totale, c’est une certitude. Et en même temps, peut-être qu’il se doute de la raison de ce silence. Il n’a pas été l’ami qu’il faut pour James récemment et celui-ci, inconscient ou non, le lui fait payer.
« Ouai, il y a un monde entre savoir que ça va arriver et l’accepter le jour J. »
Il ne sait pas vraiment où elle en est de ses sentiments. Cataleya lui paraît parfois insondable, de ces personnes que l’on ne peut pas vraiment lire si on n’en possède pas le code source. Max n’est pas présomptueux au point de croire qu’il le détient. Pas dans son entièreté, en tout cas. Il y a tant de choses qu’il ne sait pas, tant de choses encore à découvrir et à comprendre de sa personnalité et jusqu’à présent, ça ne l’a jamais dérangé. Il se demande si c’est pour cela que Charles l’a choisie comme fiancée pour Marius ou si tout ça n’est que le fruit du hasard. Le vent souffle un peu plus fort et plutôt que de s’élever, les températures refroidissent. Le Français se permet une nouvelle gorgée de chocolat chaud, plaignant mentalement la sorcière sur son balai pour qui la température doit être encore plus désagréable.
Maximilien est surpris par l’intonation de la voix de Cataleya. Cela fait un moment qu’il n’a pas ressenti telle vulnérabilité chez elle. Par respect plus que tout autre chose, il la laisse parler en silence. Tout cela donne matière à réfléchir. Il n’avait pas vu la situation de cette façon et maintenant qu’elle pose des mots dessus, le Summerbee se rend compte qu’il a jugé trop légèrement.
« C’est normal d’avoir des sentiments mitigés. C’est ta vie après tout, ton avenir. »
Formule toute faite. C’est ridicule. Il devrait se montrer d’un plus grand soutien étant donné qu’elle vient d’exprimer ses sentiments avec sincérité. Maximilien se pince les lèvres. Il n’a pas envie de dire qu’elle a raison et en même temps... Qui est-il pour réfuter le moindre de ses propos ? Pour lui dire que ce qu’elle ressent est faux ? Il n’en a pas le droit. Ce n’est pas son rôle. On a beau aimer quelqu’un de plus profond de son cœur, il est une erreur de fermer les yeux sur le mal qu’il peut faire aux autres.
« Je ne t’en veux pas. Ce serait bête de ma part. T’as le droit de penser ça, que je le partage ou non n’est pas important. Je pense que je comprends ce que tu veux dire et pourquoi tu vois les choses de cette façon. C’est comme... donner de soi pour un projet qu’un autre finira par s’approprier et finir sans rien. Ni résultat, ni félicitations. Et en même temps... tu ne pouvais pas savoir qu’il était bien en Egypte. Tu ne peux pas te blâmer pour ça. Il aurait aussi pu te le dire. »
Le reste... Maximilien sait qu’il doit faire attention où il pose les pieds. Cet accord n’est pas de son ressort et il n’a aucun pouvoir décisionnaire ou exécutif dessus. L’idée, pourtant, s’échappe de ses lèvres.
« Tu souhaiterais t’échapper de l’alliance avec les Leroy, n’est-ce pas ? Avec mon aide ? »
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Jolie parade, n’est-ce pas ? Maximilien tente de gagner du temps. S’il devait répondre tout de suite à cette question, il dirait... non, il ne sait pas. La confusion des sentiments règne en lui. Déçu, sûrement. Triste, assurément. Dans l’incompréhension la plus totale, c’est une certitude. Et en même temps, peut-être qu’il se doute de la raison de ce silence. Il n’a pas été l’ami qu’il faut pour James récemment et celui-ci, inconscient ou non, le lui fait payer.
« Ouai, il y a un monde entre savoir que ça va arriver et l’accepter le jour J. »
Il ne sait pas vraiment où elle en est de ses sentiments. Cataleya lui paraît parfois insondable, de ces personnes que l’on ne peut pas vraiment lire si on n’en possède pas le code source. Max n’est pas présomptueux au point de croire qu’il le détient. Pas dans son entièreté, en tout cas. Il y a tant de choses qu’il ne sait pas, tant de choses encore à découvrir et à comprendre de sa personnalité et jusqu’à présent, ça ne l’a jamais dérangé. Il se demande si c’est pour cela que Charles l’a choisie comme fiancée pour Marius ou si tout ça n’est que le fruit du hasard. Le vent souffle un peu plus fort et plutôt que de s’élever, les températures refroidissent. Le Français se permet une nouvelle gorgée de chocolat chaud, plaignant mentalement la sorcière sur son balai pour qui la température doit être encore plus désagréable.
Maximilien est surpris par l’intonation de la voix de Cataleya. Cela fait un moment qu’il n’a pas ressenti telle vulnérabilité chez elle. Par respect plus que tout autre chose, il la laisse parler en silence. Tout cela donne matière à réfléchir. Il n’avait pas vu la situation de cette façon et maintenant qu’elle pose des mots dessus, le Summerbee se rend compte qu’il a jugé trop légèrement.
« C’est normal d’avoir des sentiments mitigés. C’est ta vie après tout, ton avenir. »
Formule toute faite. C’est ridicule. Il devrait se montrer d’un plus grand soutien étant donné qu’elle vient d’exprimer ses sentiments avec sincérité. Maximilien se pince les lèvres. Il n’a pas envie de dire qu’elle a raison et en même temps... Qui est-il pour réfuter le moindre de ses propos ? Pour lui dire que ce qu’elle ressent est faux ? Il n’en a pas le droit. Ce n’est pas son rôle. On a beau aimer quelqu’un de plus profond de son cœur, il est une erreur de fermer les yeux sur le mal qu’il peut faire aux autres.
« Je ne t’en veux pas. Ce serait bête de ma part. T’as le droit de penser ça, que je le partage ou non n’est pas important. Je pense que je comprends ce que tu veux dire et pourquoi tu vois les choses de cette façon. C’est comme... donner de soi pour un projet qu’un autre finira par s’approprier et finir sans rien. Ni résultat, ni félicitations. Et en même temps... tu ne pouvais pas savoir qu’il était bien en Egypte. Tu ne peux pas te blâmer pour ça. Il aurait aussi pu te le dire. »
Le reste... Maximilien sait qu’il doit faire attention où il pose les pieds. Cet accord n’est pas de son ressort et il n’a aucun pouvoir décisionnaire ou exécutif dessus. L’idée, pourtant, s’échappe de ses lèvres.
« Tu souhaiterais t’échapper de l’alliance avec les Leroy, n’est-ce pas ? Avec mon aide ? »
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Jeu 2 Mai 2024 - 10:12
Soudainement en proie à des courants ascendants brutaux, Cataleya s’accroche au balais mais ne se défait pas de la moue que creusait cette discussion. Pire encore, le vent ne parvient pas à lui ôter de l’esprit qu’elle est sale, effroyablement sale, puisque aujourd’hui contrainte d’enfanter d’un héritier avec un homme qu’elle n’aimera sans doute jamais. Odieusement sale, puisqu’elle avait délibérément choisi d’offrir ses cuisses pour le retour de l’être aimé. Elle avait beau se répéter que son idylle avec [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] l’arracherait à ce devoir, qu’ils leur suffisaient de fuir comme des adolescents transit d’amour et irresponsables, mais la Blackthorn n’avait de cesse de se répéter qu’elle devait respecter sa part du marché avec les Bonnamy. Plus qu’en enfant, c’était une alliance avec les Blackthorns qu’ils voulaient, et celle-ci avait par le passé été bafouée une première fois. Qu’en serait-il si elle la faisait éclater une seconde ? Les pupilles tremblent un peu, là haut, ballotté par le vent froid de décembre, puisque l’esprit impose le fait de jeter cet héritier demandé dans leurs bras comme monnaie d’échange à sa liberté. Fuir se ferait entre les sortilèges paternels, enfanter lui assurerait un statut irréfutable. C’était le mieux pour sa propre sauvegarde, pour le bien de Miguel -quoi qu’il s’en révolterait en arguant être en mesure de les protéger, et elle se jurait, là-haut, trop proche du sol et pas assez des nuages, qu’elle passerait par une grossesse in vitro et que jamais on aurait à la toucher. Il lui suffirait de porter cet enfant qu’elle savait déjà haïr neuf mois, peut être même huit si elle trouvait le courage de s’ouvrir le ventre pour l’en extraire après s’être assuré qu’il était apte à survivre hors de cette matrice autrefois sacré, et pourtant aujourd’hui vendu pour les beaux yeux de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] .
Miguel avait beau renouveler ses vœux de mariage trois jours après avoir posé le genoux à terre, qu’en serait-il dans un mois ? Deux ? Trois ? Projeter un avenir n’était pas ce qu’il préférait et Cataleya craignait d’un jour s’éveiller dans ses bras et s’entendre dire qu’il voulait prendre son envol aux confins du monde, libre, et par conséquent sans elle. Certainement la rassurerait-il, son bel espagnol, si elle osait verbaliser les terreurs qui flirtaient avec son besoin irrépressible d’assumer leur idylle. De la hurler à la face du monde pour en assumer chacun des aspects. Certainement ne comprendrait-il pas pourquoi et comment elle venait à douter, quand pourtant elle ne le faisait plus depuis un an. Et certainement il finirait par s’en vexer alors, sans un mot, elle nichait plus fort dans ses bras en tentant de gérer ses anxiétés. Se rassurer sur cet avenir qui était le leur. Mais plus encore le sien.
Les larmes avaient pourtant doucement pointé, là haut, sur le balais. Le vent en balayait furieusement les stigmates mais n’avait aucune prise sur ce coeur tant alourdit qu’il cherchait à se recroqueviller. Écrasée par une amertume qu’elle redécouvrait, dirigée en partie vers James, vers le monde, mais plus encore vers elle qui avait été bien sotte de céder de la sorte devant ses parents. Pourtant, elle se savait retomber dans la même configuration aujourd’hui ; si elle avait conservé ses fiançailles, accepterait-elle que James pose une main sur ses cuisses ? Accepterait-elle de porter son enfant ? Accepterait-elle de … “Tu souhaiterais t’échapper [...], n’est-ce pas ?”. Figée devant la terreur d’un Maximilien légilimens, Cataleya laisse échapper un sanglot unique. Trop occupée à vouloir démentir. Sa voix ne portent pourtant plus jusqu’au français alors, perdant doucement de l’altitude pour poser ses bottines au sol, la rousse renifle disgracieusement pour ravaler ses larmes et faire le tri dans ses émotions.
-Ce n’est pas les Leroy. Ose t’elle et chassant prestement les vestiges de ses larmes. Je le vivrais bien plus mal si ce n’était pas les Leroy, justement, parce qu’ici il y a au moins toi et Maxence.
Et qu’en dépit du fait qu’elle s’était jurée de les briser fut un temps, force était d’admettre que se voir tresser les cheveux par Maxence à chaque fois qu’elle projetait d’arracher les yeux de Charles avec les dents avec quelque chose de cathartique et rassurant. En plus il faisait de super couronne de pissenlit.
-C’est juste que.. J’ai toujours crû que j’étais mieux lotie que les autres et que j’aurai le droit à un mariage d’amour. Un conte de fée. Mais dans les faits je réalise de plus en plus que je ne suis qu’un utérus sur patte, même pour mon père. Si je m’échappais, ou si je me révélais stérile, je n’ose imaginer ce qu’il ferait. l'Amour filial à ses limites.
Miguel avait beau renouveler ses vœux de mariage trois jours après avoir posé le genoux à terre, qu’en serait-il dans un mois ? Deux ? Trois ? Projeter un avenir n’était pas ce qu’il préférait et Cataleya craignait d’un jour s’éveiller dans ses bras et s’entendre dire qu’il voulait prendre son envol aux confins du monde, libre, et par conséquent sans elle. Certainement la rassurerait-il, son bel espagnol, si elle osait verbaliser les terreurs qui flirtaient avec son besoin irrépressible d’assumer leur idylle. De la hurler à la face du monde pour en assumer chacun des aspects. Certainement ne comprendrait-il pas pourquoi et comment elle venait à douter, quand pourtant elle ne le faisait plus depuis un an. Et certainement il finirait par s’en vexer alors, sans un mot, elle nichait plus fort dans ses bras en tentant de gérer ses anxiétés. Se rassurer sur cet avenir qui était le leur. Mais plus encore le sien.
Les larmes avaient pourtant doucement pointé, là haut, sur le balais. Le vent en balayait furieusement les stigmates mais n’avait aucune prise sur ce coeur tant alourdit qu’il cherchait à se recroqueviller. Écrasée par une amertume qu’elle redécouvrait, dirigée en partie vers James, vers le monde, mais plus encore vers elle qui avait été bien sotte de céder de la sorte devant ses parents. Pourtant, elle se savait retomber dans la même configuration aujourd’hui ; si elle avait conservé ses fiançailles, accepterait-elle que James pose une main sur ses cuisses ? Accepterait-elle de porter son enfant ? Accepterait-elle de … “Tu souhaiterais t’échapper [...], n’est-ce pas ?”. Figée devant la terreur d’un Maximilien légilimens, Cataleya laisse échapper un sanglot unique. Trop occupée à vouloir démentir. Sa voix ne portent pourtant plus jusqu’au français alors, perdant doucement de l’altitude pour poser ses bottines au sol, la rousse renifle disgracieusement pour ravaler ses larmes et faire le tri dans ses émotions.
-Ce n’est pas les Leroy. Ose t’elle et chassant prestement les vestiges de ses larmes. Je le vivrais bien plus mal si ce n’était pas les Leroy, justement, parce qu’ici il y a au moins toi et Maxence.
Et qu’en dépit du fait qu’elle s’était jurée de les briser fut un temps, force était d’admettre que se voir tresser les cheveux par Maxence à chaque fois qu’elle projetait d’arracher les yeux de Charles avec les dents avec quelque chose de cathartique et rassurant. En plus il faisait de super couronne de pissenlit.
-C’est juste que.. J’ai toujours crû que j’étais mieux lotie que les autres et que j’aurai le droit à un mariage d’amour. Un conte de fée. Mais dans les faits je réalise de plus en plus que je ne suis qu’un utérus sur patte, même pour mon père. Si je m’échappais, ou si je me révélais stérile, je n’ose imaginer ce qu’il ferait. l'Amour filial à ses limites.
James Blackthorn est fan
- Maximilien Leroyfrench style ♔ sweet golden boy
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» particularité : animagus
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♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Jeu 2 Mai 2024 - 14:43
La vulnérabilité de la rousse ne lui échappe pas mais il se garde bien d’en faire mention. C’est un sujet qu’il sait délicat même s’il ne pensait pas qu’il lui tirerait une larme. C’est qu’il oublie lui aussi parfois qu’elle n’est pas dénuée de sentiments et qu’on peut la blesser au même titre qu’une autre. Il n’évite pas ses larmes. Sa larme. La regarde bien en face pour lui faire comprendre que sa peine ne le met pas mal à l’aise, qu’il la respecte. Pieds au sol face à lui, elle paraît si petite, si fragile et en même temps, d’une force incroyable.
Maximilien contient un soupir soulagé. Il sait son grand-père peu affable et intransigeant et le rendez-vous de leur deux personnalités s’avère explosif. Cataleya est dure en affaire et se dresse à un monument français qui ne se laisse pas plus marcher sur les pieds qu’elle. Les négociations sont difficiles et les mots durs. Pourtant, ce n’est pas comme cela qu’il souhaite décrire sa famille et qu’elle s’attarde sur Maxence et lui pour en désigner les éléments positifs le rassure.
« Il ne devrait pas. » Maximilien soupire encore. « Je sais bien que je suis incroyablement naïf et t’as le droit de me le dire, mais l’amour filial ne devrait pas être sous condition ni limité. Ce n’est pas comme ça que je le conçois. »
Oui, et alors ? Ça nous fait de belles jambes, non ? C’est ce qu’il l’entend dire dans sa tête puisqu’il est bien connu que le Summerbee est trop doux, trop... malléable. Il est une chose d’avoir une pensée, il en est une autre de l’imposer. Maximilien ne sait pas imposer. Par contre, il sait exposer. Bien qu’il soit difficile de faire entendre sa voix, ça ne l’empêche pas d’essayer de plus en plus.
« Ni Maxence, ni Marius, ni moi ne te considérons comme un utérus sur patte. Si tu veux tout arrêter, on te soutiendra. Si tu veux aller au bout de cette alliance et que tu te révèles stérile, on te protégera. Tout comme, je l’espère, tu voudrais protéger Peter si je parvenais à le faire entrer légalement et juridiquement chez les Leroy. »
Il quitte sa tasse encore chaude de chocolat chaud pour la poser au sol et se rapprocher de la sorcière. Son regard est sérieux, tout comme son visage, mais son aura rayonne de chaleur et de sincérité. Il pense chaque mot qu’il délivre, jusqu’à cette promesse d’être là pour elle si les choses devaient se passer autrement que selon les plans de leurs aînés. Après tout, ils sont la génération suivante, celle qui reprendra les rênes tôt ou tard. Maximilien a beau craindre ce jour et angoisser à l’idée de ne pas être à la hauteur ou de tomber en plein jeux d’héritages, il n’y coupera pas. Ça arrivera.
« Je te le redemande, donc. Est-ce que tu veux rompre cette alliance ou pas ? Parce qu’une fois que vous serez mariés, il sera plus difficile de tout défaire. Nos familles ne sont pas obligées de se lier de cette façon. L’amitié peut suffire, aussi mièvre cela peut-il sonner. »
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Maximilien contient un soupir soulagé. Il sait son grand-père peu affable et intransigeant et le rendez-vous de leur deux personnalités s’avère explosif. Cataleya est dure en affaire et se dresse à un monument français qui ne se laisse pas plus marcher sur les pieds qu’elle. Les négociations sont difficiles et les mots durs. Pourtant, ce n’est pas comme cela qu’il souhaite décrire sa famille et qu’elle s’attarde sur Maxence et lui pour en désigner les éléments positifs le rassure.
« Il ne devrait pas. » Maximilien soupire encore. « Je sais bien que je suis incroyablement naïf et t’as le droit de me le dire, mais l’amour filial ne devrait pas être sous condition ni limité. Ce n’est pas comme ça que je le conçois. »
Oui, et alors ? Ça nous fait de belles jambes, non ? C’est ce qu’il l’entend dire dans sa tête puisqu’il est bien connu que le Summerbee est trop doux, trop... malléable. Il est une chose d’avoir une pensée, il en est une autre de l’imposer. Maximilien ne sait pas imposer. Par contre, il sait exposer. Bien qu’il soit difficile de faire entendre sa voix, ça ne l’empêche pas d’essayer de plus en plus.
« Ni Maxence, ni Marius, ni moi ne te considérons comme un utérus sur patte. Si tu veux tout arrêter, on te soutiendra. Si tu veux aller au bout de cette alliance et que tu te révèles stérile, on te protégera. Tout comme, je l’espère, tu voudrais protéger Peter si je parvenais à le faire entrer légalement et juridiquement chez les Leroy. »
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« Je te le redemande, donc. Est-ce que tu veux rompre cette alliance ou pas ? Parce qu’une fois que vous serez mariés, il sera plus difficile de tout défaire. Nos familles ne sont pas obligées de se lier de cette façon. L’amitié peut suffire, aussi mièvre cela peut-il sonner. »
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» âge : 25 ans (15 février)
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Sam 18 Mai 2024 - 18:56
“Si tu veux tout arrêter, on te soutiendra.” Le regard papillonne par trois fois, humide et surprit, mais les griffes qui s’étaient vilainement logées sous les côtes de la Blackthorn pour la protéger du monde resserrent un peu plus fort leurs prises. Du moins jusqu’à la suite. “[...]on te protégera” Le pouvaient-ils réellement ? Une partie d'elle-même voudrait en rire et pourtant le ton du Roy était si affirmé, et sa noblesse telle, que le cœur se serra de culpabilité à l'idée d'aussi bassement les abandonner. L'idée même de rompre ses vœux avait quelque chose de terrifiant puisqu'elle ignorait si Miguel voudrait encore de l’alliance qu'elle lui passerait au doigt dans cinq jours, deux semaines, six mois, et que s'il changeait d’avis elle se retrouverait définitivement seule et stupide dans le chaos qu’aurait engendré ce rêve un peu fou. Purement et simplement démunie. Et peut être même enfermée au sommet d'une tour par ses parents, jusqu'à ce qu'on la marie de force à un autre. Pourtant, le constat se faisait sourd et capricieux ; elle ne voulait pas être raisonnable. Elle ne voulait ni devenir Bonnamy, ni engendrer un héritier, et se savait devenir infâme sans amour à cueillir le matin. Elle ne voulait que de Miguel dans sa vie et était assez amoureuse pour croire qu’elle survivrait à la haine qu’elle ferait naître chez ses parents, survivrait à la perte de son statut et de ses privilèges, et pourrait se satisfaire d'une vie loin de ses châteaux et idéaux en échange d'un conte de fée. Non, elle refusait d'être raisonnable, mais la lufkin en elle plissait tout de même un peu le nez ; au moindre couac, tout était susceptible de s'effondrer. Sur elle qui plus est. Un couac, un simple couac, et elle perdait tout. Ses parents, son copain, son statut, sa fortune, une partie de sa famille puisque @Elizabeth n’avait pas hésité à lui tourner le dos lorsqu’elle avait publiquement été répudiée par Claudia. Le risque en valait la chandelle ?
Profondément perdue, elle ne réalise pas même opiner le plus intuitivement du monde devant le nom de Peter puisqu’il était Blackthorn -quand bien même pas tout à fait- et qu’il lui sembla naturel de le défendre tout croc dehors. Les Blackthorn aimait se détruire et s’éviscérer, mais ils savaient parfois faire front commun lorsqu’il s’agissait de protéger les leurs. C’était soit cette image un peu fantasmée qu’elle avait de son clan qui s’exprimait, soit le fait qu’elle tenait trop à son cousin pour laisser Charles ou un autre le piétiner. A moins que ce soit l’appel au drame puisqu’elle levait toujours la tête comme le ferait un suricate quand elle flairait le chaos. Quoi qu’il en soit, l’échange avait été accepté sans même qu’elle le réalise, puisque logique. Viscéralement logique. “Je te le redemande, donc.” Si les pupilles tremblaient jusqu’alors, c’est un sanglot irrépressible et sincère qui clôture les mots du français. Un premier du moins, qui se voit épouser un second puis un troisième, et des larmes en cascade qu’elle ne savait désespérément pas taire. Et il le lui arrache, le summerbee, ce minuscule “Je ne veux pas me marier” qu’elle gardait au fond des tripes dès l’instant où elle avait sacrifié l’idée d’être heureuse aux côtés de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] . Six mots comme on comptait les jours avant la cérémonie, terribles et angoissants. “Je ne veux pas me marier avec Marius ! ” Ca éclate avec plus de force entre les larmes, parce qu’elle s’en rend désastreusement compte Cataleya ; elle lui ferait vivre un enfer jumeaux au sien. Injuste, infâme, brûlant. Alors elle le répète, encore et encore, ramassée sur son balais comme une veuve sur le tombeau de son aimé. Elle ne veut pas écarter les cuisses pour un autre. Creusant laborieusement une tentative de reprendre son souffle en se ventilant d’une main, puis des deux, la Blackthorn finit par essuyer ses larme sur les manches de Miguel puisqu’en définitive le temps n’était ni à la grâce, ni à la noblesse. Elle ne ressemblait à rien à pleurer de la sorte sur ce foutu balais. Elle ne ressemblait à rien, mais comme à chaque fois que Maximilien se frayait un chemin vers son coeur pour y faire éclater les tumeurs.
“Je suis amoureuse d’un autre” Avoue t’elle comme le plus odieux des secrets alors qu’il suffisait de la voir accélérer le pas pour bondir sur le dos de l’ancien grymm pour se douter qu’il se passait quelque chose depuis un an. Peut être plus. Et puis, ce n’est pas comme si elle n’avait jamais roucoulé contre sa mâchoire alors que Peter n’était pas loin. C’est que, bourrée (comme souvent quand on faisait coexister le Drummond et la Blackthorn dans la même soirée) elle finissait souvent sur les genoux de l’espagnol pour observer le monde. Ca, et le fait que [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] n’avait jamais été très discret non plus. Pourtant elle suffoque un peu sous ses larmes, et s’acharne à marteler cette vérité. Quitte à la souffler un peu trop fort puisque les larmes et le bref hoquet qu’elle lui tire l’irrite au possible ; “Je ne veux plus sacrifier ma vie pour les autres ! Je veux vivre mon conte de fée ! Je me fous de manger des pâtes nulle jusqu’à mes soixantes ans ou que Miguel ne soit jamais un joueur pro je.. Je … POURQUOI JE PLEURE CIRCEE !”
Profondément perdue, elle ne réalise pas même opiner le plus intuitivement du monde devant le nom de Peter puisqu’il était Blackthorn -quand bien même pas tout à fait- et qu’il lui sembla naturel de le défendre tout croc dehors. Les Blackthorn aimait se détruire et s’éviscérer, mais ils savaient parfois faire front commun lorsqu’il s’agissait de protéger les leurs. C’était soit cette image un peu fantasmée qu’elle avait de son clan qui s’exprimait, soit le fait qu’elle tenait trop à son cousin pour laisser Charles ou un autre le piétiner. A moins que ce soit l’appel au drame puisqu’elle levait toujours la tête comme le ferait un suricate quand elle flairait le chaos. Quoi qu’il en soit, l’échange avait été accepté sans même qu’elle le réalise, puisque logique. Viscéralement logique. “Je te le redemande, donc.” Si les pupilles tremblaient jusqu’alors, c’est un sanglot irrépressible et sincère qui clôture les mots du français. Un premier du moins, qui se voit épouser un second puis un troisième, et des larmes en cascade qu’elle ne savait désespérément pas taire. Et il le lui arrache, le summerbee, ce minuscule “Je ne veux pas me marier” qu’elle gardait au fond des tripes dès l’instant où elle avait sacrifié l’idée d’être heureuse aux côtés de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] . Six mots comme on comptait les jours avant la cérémonie, terribles et angoissants. “Je ne veux pas me marier avec Marius ! ” Ca éclate avec plus de force entre les larmes, parce qu’elle s’en rend désastreusement compte Cataleya ; elle lui ferait vivre un enfer jumeaux au sien. Injuste, infâme, brûlant. Alors elle le répète, encore et encore, ramassée sur son balais comme une veuve sur le tombeau de son aimé. Elle ne veut pas écarter les cuisses pour un autre. Creusant laborieusement une tentative de reprendre son souffle en se ventilant d’une main, puis des deux, la Blackthorn finit par essuyer ses larme sur les manches de Miguel puisqu’en définitive le temps n’était ni à la grâce, ni à la noblesse. Elle ne ressemblait à rien à pleurer de la sorte sur ce foutu balais. Elle ne ressemblait à rien, mais comme à chaque fois que Maximilien se frayait un chemin vers son coeur pour y faire éclater les tumeurs.
“Je suis amoureuse d’un autre” Avoue t’elle comme le plus odieux des secrets alors qu’il suffisait de la voir accélérer le pas pour bondir sur le dos de l’ancien grymm pour se douter qu’il se passait quelque chose depuis un an. Peut être plus. Et puis, ce n’est pas comme si elle n’avait jamais roucoulé contre sa mâchoire alors que Peter n’était pas loin. C’est que, bourrée (comme souvent quand on faisait coexister le Drummond et la Blackthorn dans la même soirée) elle finissait souvent sur les genoux de l’espagnol pour observer le monde. Ca, et le fait que [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] n’avait jamais été très discret non plus. Pourtant elle suffoque un peu sous ses larmes, et s’acharne à marteler cette vérité. Quitte à la souffler un peu trop fort puisque les larmes et le bref hoquet qu’elle lui tire l’irrite au possible ; “Je ne veux plus sacrifier ma vie pour les autres ! Je veux vivre mon conte de fée ! Je me fous de manger des pâtes nulle jusqu’à mes soixantes ans ou que Miguel ne soit jamais un joueur pro je.. Je … POURQUOI JE PLEURE CIRCEE !”
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Lun 20 Mai 2024 - 16:15
Il ne s’attendait pas à ce qu’elle se mette à pleurer, mais peut-être l’aurait-il dû. L’habitude veut que l’on pense que Cataleya est impossible d’exprimer des émotions aussi complexes que la tristesse. Il est pourtant bien placé pour savoir qu’en plus d’être possible, c’est signe d’un grand mal-être qui ne se contient plus. Cette discussion n’aurait sûrement pas dû virer de la sorte et Maximilien s’en veut énormément d’en être l’instigateur. S’il n’avait pas abordé James ou ses fiançailles, tout ça n’aurait pas lieu... Mais est-ce vraiment un mal ? Sur qui tombent ses larmes, d’ordinaire ?
La vérité tombe, brute. Un peu amère, sûrement. Attendue. Maximilien sait déjà tout ça, c’est une évidence même, mais l’entendre lui brise le coeur. Pas parce que cela blessera Marius - il a la vague impression que cet arrangement ne lui fait pas plus plaisir qu’aux autres - mais parce que Cataleya aura tenu si longtemps sans avouer la vérité à qui que ce soit. Qu’on le lui a empêché.
Il ne dit rien, sur le moment. Intègre l’information. Ses larmes sont si fortes qu’elles appellent les siennes. Le français sent l’émotion lui monter à la gorge et piquer ses yeux. Il les refoule. Se montrer un peu plus fort en certaines circonstances est nécessaire et à cet instant, il sait que Cataleya a besoin qu’il soit un roc. Le jeune homme enfourche son balai et grimpe à sa hauteur, où la conversation sera bien plus privée et éloignée des oreilles indiscrètes. De toute façon, il n’y a qu’eux sur ce stade.
« De Miguel, oui. Ce n’est un secret pour personne dans notre cercle d’amis. »
Il ne l’a jamais jugée pour ça. Ce serait complètement hypocrite de lui faire des remarques alors que lui-même voyait Peter dans le dos de Juliet. Cela ne lui viendrait même pas à l’esprit de considérer cela comme une trahison. C’est de l’amour, ça ne s’explique pas et surtout, ne se contrôle. Maximilien fait partie de ses personnes qui estiment que Cataleya le mérite, même bien plus que n’importe qui sur cette Terre. Si sa situation le dépasse sur différents niveaux, il est au moins en mesure d’avouer cela.
Une fois là-haut, hormis l’écouter, son premier geste est de la prendre dans ses bras et de caresser tendrement sa crinière farouche. Ce cri qu’elle pousse est celui de la raison. Malgré la tristesse du moment, Maximilien a un faible sourire. La voir se battre pour elle-même est un acte qu’il espérait voir se produire un jour, et pour lequel il ne pouvait la remplacer. Maintenant, il peut se battre avec elle et le fera.
« Tu mérites le conte de fées. »
Il s’écarte un peu et essuie ses larmes de sa manche. La voir si vulnérable ne devrait pas le rendre heureux et ce n’est pas de la méchanceté qu’il y a là. De la fierté, plutôt. Il sait à quel point il est difficile pour elle de tout simplement... craquer. De dire ce qu’elle veut et de le prendre.
« A partir de maintenant, plus de sacrifices inutiles. Tu vies ta vie pour toi, avec tes pâtes nature et tes sweats qui puent la sueur. »
Le Français a un petit sourire, conscient de réduire la situation à une blague quand, en réalité, se cache un plus lourd sens à ses mots. L’autoriser à être elle-même, n’est-ce pas ce qu’elle attend de ses parents ? Il prend ses mains dans les siennes.
« Tu as tout mon soutien. Bats-toi pour toi, ne t’arrête jamais. Promets-le moi. Mais une vraie promesse, Cataleya, pas des paroles vaines pour te débarrasser du sujet. Promets-toi que tu vas te battre pour toi-même. »
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La vérité tombe, brute. Un peu amère, sûrement. Attendue. Maximilien sait déjà tout ça, c’est une évidence même, mais l’entendre lui brise le coeur. Pas parce que cela blessera Marius - il a la vague impression que cet arrangement ne lui fait pas plus plaisir qu’aux autres - mais parce que Cataleya aura tenu si longtemps sans avouer la vérité à qui que ce soit. Qu’on le lui a empêché.
Il ne dit rien, sur le moment. Intègre l’information. Ses larmes sont si fortes qu’elles appellent les siennes. Le français sent l’émotion lui monter à la gorge et piquer ses yeux. Il les refoule. Se montrer un peu plus fort en certaines circonstances est nécessaire et à cet instant, il sait que Cataleya a besoin qu’il soit un roc. Le jeune homme enfourche son balai et grimpe à sa hauteur, où la conversation sera bien plus privée et éloignée des oreilles indiscrètes. De toute façon, il n’y a qu’eux sur ce stade.
« De Miguel, oui. Ce n’est un secret pour personne dans notre cercle d’amis. »
Il ne l’a jamais jugée pour ça. Ce serait complètement hypocrite de lui faire des remarques alors que lui-même voyait Peter dans le dos de Juliet. Cela ne lui viendrait même pas à l’esprit de considérer cela comme une trahison. C’est de l’amour, ça ne s’explique pas et surtout, ne se contrôle. Maximilien fait partie de ses personnes qui estiment que Cataleya le mérite, même bien plus que n’importe qui sur cette Terre. Si sa situation le dépasse sur différents niveaux, il est au moins en mesure d’avouer cela.
Une fois là-haut, hormis l’écouter, son premier geste est de la prendre dans ses bras et de caresser tendrement sa crinière farouche. Ce cri qu’elle pousse est celui de la raison. Malgré la tristesse du moment, Maximilien a un faible sourire. La voir se battre pour elle-même est un acte qu’il espérait voir se produire un jour, et pour lequel il ne pouvait la remplacer. Maintenant, il peut se battre avec elle et le fera.
« Tu mérites le conte de fées. »
Il s’écarte un peu et essuie ses larmes de sa manche. La voir si vulnérable ne devrait pas le rendre heureux et ce n’est pas de la méchanceté qu’il y a là. De la fierté, plutôt. Il sait à quel point il est difficile pour elle de tout simplement... craquer. De dire ce qu’elle veut et de le prendre.
« A partir de maintenant, plus de sacrifices inutiles. Tu vies ta vie pour toi, avec tes pâtes nature et tes sweats qui puent la sueur. »
Le Français a un petit sourire, conscient de réduire la situation à une blague quand, en réalité, se cache un plus lourd sens à ses mots. L’autoriser à être elle-même, n’est-ce pas ce qu’elle attend de ses parents ? Il prend ses mains dans les siennes.
« Tu as tout mon soutien. Bats-toi pour toi, ne t’arrête jamais. Promets-le moi. Mais une vraie promesse, Cataleya, pas des paroles vaines pour te débarrasser du sujet. Promets-toi que tu vas te battre pour toi-même. »
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Re: Defying Gravity (Ft. Max) - Terminé
Ven 24 Mai 2024 - 7:54
L’évocation de Miguel arrache un hoquet de surprise à la Blackthorn qui, pourtant, était niché sur l’un de ses vieux balais d'entraînement, dans son manteau, aux couleurs de son équipe qui plus est. Difficile d’être moins discrète. A croire que son être tout entier voulait hurler à la face du monde la fierté qui était la sienne quand elle papillonnait autour de son madrilène, et que tout juste elle le réalisait. C’est qu’elle lui vouait une une admiration immense, oui, et un amour plus grand encore ; le taire sonnait comme la pire des insultes à proferer. Elle laisse donc échapper un hoquet de surprise, petit dragon, à moins qu’il ne soit causé par la brusque apparition de cette chevelure d’Apollon devant elle. D’une main vive la Blackthorn s’essaye à chasser les larmes qui débordent de toute part mais la prise que referme le français autour d’elle marque un relâchement total et soudain des muscles. Prétendre qu’elle pouvait se reprendre d’une seule inspiration ou que son mascara ne coulerait pas était vain, et la voix de Maximilien trop sécurisante pour qu’elle ne tente pas de prendre appui dessus et stabilise ses émotions en enfouissant le visage dans ce câlin. « Tu mérites le conte de fées. » Quelque part sans doute, et le plus égoïstement du monde, elle le savait. Parce qu’elle avait trop enduré pour ne pas avoir à la clef de cette chienne de vie quelque chose de beau. Parce que désastreusement elle essayait de se convaincre d’une quelconque méritocratie et que, si celle-ci était illusoire, alors elle écraserait les autre pour se saisir de son due. Elle le savait, oui, parce qu’elle s’en était tant convaincue qu’il n’en pouvait être autrement. Pourtant se l’entendre dire, et plus encore par Maximilien, redouble ses larmes cathartiques. Plus qu’un ex beau-frère futur beau-cousin, plus qu’un ami ou soutient, il était surtout un symbole. Maximilien était quelqu’un de bien, elle l’avait sû même dans ses plus grands sursaut de haine, quand elle s’acharnait à l’écraser de ses talons aiguilles en lui hurlant qu’il n’était qu’une odieuse serpillère. Elle l’avait sentit lors des premières discussions, jusqu’aux plus profond de ses entrailles, mais s’était tant vexée de l’existence de pareille bonté d’âme qu’elle avait préféré s’en tenir loin et lui montrer les crocs. Se convainquant que derrière cette parfaite image de prince charmant se tapissait quelques odieuses moisissures gaumés sous un neuf papier peint. Elle avait voulu le haîr, du plus profond de son âme, mais masochiste comme il l’était il avait continué à tendre la main et elle s’était bassement écroulé à ses pieds. Tout d’abord éblouie par une aura qu’elle aimait dire trop douce pour ce monde, puis convaincue de sa force de corps et d’âme, et enfin par respect. Sans se l’avouer sans doute, elle éprouvait un peu d’admiration , beaucoup, sans doute beaucoup trop d’admiration non verbalisé à son égard. Aussi, s’entendre dire qu’un homme aussi Beau dans son incarnation psychique valide son droit au bonheur la rassura immensément.
-Toi aussi Max. Il serait injuste que Peter ne puisse pas intégrer les Leroy.
Elle murmure à peine, d’une voix cassée par les larmes. S’il s’essaye à s’écarter une première fois, la Blackthorn le retient un peu, juste le temps de se remettre de ses émotions avant de lui laisser lui aussi gommer les larmes du revers de sa manche. Ils ont l’air ridicule sur leurs balais, à pleurer de la sorte, mais étrangement Cataleya en avait besoin et ne se trouve pas même capable de s’étonner du fait que ses larmes aient déclenchées des jumelles. Il y a quelques mois sans doute, pourtant, elle aurait jugé cette empathie qu’aujourd’hui elle admirait. Il fallait bien ça, pour être un chef de famille aussi efficace que respectable. Tout ce qu’Aloysius ne serait jamais.
« [...] Tu vies ta vie pour toi, avec tes pâtes nature et tes sweats qui puent la sueur. » Elle pouffe le plus sincèrement du monde, puisque plus capable de mettre des barrières, mais trouve l’audace de s’indigner dramatiquement “J’ai dis que ça sentait UN PEU la sueur” Mais la vérité c’est qu’elle se rend bien compte que si elle ne faisait pas les lessives ou retournait la chambre de Miguel avec une balais comme le ferait une furie, alors sans doute il y aurait bien plus de jugement à avoir sur son mode de vie aux antipodes du sien. De quoi, Circée, était-elle tombée amoureuse ? Elle en rit pourtant, bien loin de juger, et accueille dans une inspiration qui se veut brave les mains de Maximillien pour les serrer. Si elle semble opiner d’un air léger puisque le mouvement est à peine osé, ce qui brille sous ses étendues céruléennes et encore embrumée de larme ne laisse place à aucun doute. Rarement elle avait semblé aussi concernée que par les mots du français. Alors, sans doute resserre t’elle leurs mains un peu plus fort pour le lui prouver. Pour lui jurer en silence que tout ce qu’il avait accomplit avec elle, maintenant et par le passé, n’avait et ne saurait jamais vain.
-Tu viendrais, si un jour je venais à me marier…?
Elle répond à la question par une autre, puisque son langage corporel et cette projection sur le futur lui semblait bien plus criante qu’un vague “oui, je te le promet”. Parce que les gestes et actions seules pourraient leur prouver qu’elle avait bien apprit ses leçons. Que jamais elle ne retournerait se terrer au plus haut des tours Blackthorn, épuisée, ne trouvant repos que sur le lit de sa jeune soeur. Assoupie contre son fantôme brisé.
-Parce qu'il est clair que si un jour je me marie, je ferais des épreuves et énigmes pour vous permettre d'approcher de la cérémonie et que toi et Peter vous rapporteriez vachement de point en arrivant dans les premiers... Parce que oui, si Cataleya était autoritaire et sacrément pincée concernant l'organisation des fêtes et mariages des autres, elle avait pour les siens propres une vision aussi singulière qu'excentrique. Compliment déguisé, elle essuie les dernières larmes sur la manche de Miguel et se laisse saisir d'un nouveau rire humide : On n'est pas tombés. Et tu as du mascara sur toi.
-Toi aussi Max. Il serait injuste que Peter ne puisse pas intégrer les Leroy.
Elle murmure à peine, d’une voix cassée par les larmes. S’il s’essaye à s’écarter une première fois, la Blackthorn le retient un peu, juste le temps de se remettre de ses émotions avant de lui laisser lui aussi gommer les larmes du revers de sa manche. Ils ont l’air ridicule sur leurs balais, à pleurer de la sorte, mais étrangement Cataleya en avait besoin et ne se trouve pas même capable de s’étonner du fait que ses larmes aient déclenchées des jumelles. Il y a quelques mois sans doute, pourtant, elle aurait jugé cette empathie qu’aujourd’hui elle admirait. Il fallait bien ça, pour être un chef de famille aussi efficace que respectable. Tout ce qu’Aloysius ne serait jamais.
« [...] Tu vies ta vie pour toi, avec tes pâtes nature et tes sweats qui puent la sueur. » Elle pouffe le plus sincèrement du monde, puisque plus capable de mettre des barrières, mais trouve l’audace de s’indigner dramatiquement “J’ai dis que ça sentait UN PEU la sueur” Mais la vérité c’est qu’elle se rend bien compte que si elle ne faisait pas les lessives ou retournait la chambre de Miguel avec une balais comme le ferait une furie, alors sans doute il y aurait bien plus de jugement à avoir sur son mode de vie aux antipodes du sien. De quoi, Circée, était-elle tombée amoureuse ? Elle en rit pourtant, bien loin de juger, et accueille dans une inspiration qui se veut brave les mains de Maximillien pour les serrer. Si elle semble opiner d’un air léger puisque le mouvement est à peine osé, ce qui brille sous ses étendues céruléennes et encore embrumée de larme ne laisse place à aucun doute. Rarement elle avait semblé aussi concernée que par les mots du français. Alors, sans doute resserre t’elle leurs mains un peu plus fort pour le lui prouver. Pour lui jurer en silence que tout ce qu’il avait accomplit avec elle, maintenant et par le passé, n’avait et ne saurait jamais vain.
-Tu viendrais, si un jour je venais à me marier…?
Elle répond à la question par une autre, puisque son langage corporel et cette projection sur le futur lui semblait bien plus criante qu’un vague “oui, je te le promet”. Parce que les gestes et actions seules pourraient leur prouver qu’elle avait bien apprit ses leçons. Que jamais elle ne retournerait se terrer au plus haut des tours Blackthorn, épuisée, ne trouvant repos que sur le lit de sa jeune soeur. Assoupie contre son fantôme brisé.
-Parce qu'il est clair que si un jour je me marie, je ferais des épreuves et énigmes pour vous permettre d'approcher de la cérémonie et que toi et Peter vous rapporteriez vachement de point en arrivant dans les premiers... Parce que oui, si Cataleya était autoritaire et sacrément pincée concernant l'organisation des fêtes et mariages des autres, elle avait pour les siens propres une vision aussi singulière qu'excentrique. Compliment déguisé, elle essuie les dernières larmes sur la manche de Miguel et se laisse saisir d'un nouveau rire humide : On n'est pas tombés. Et tu as du mascara sur toi.
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