- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
- » parchemins postés : 258
» miroir du riséd : giacomo gianniotti
» crédits : maav
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & miguel pajares
» âge : 39 ans (depuis le 28 décembre 2024)
» situation : son âme s'est envolée en même temps que celle de son amour
» nature du sang : né-moldu
» particularité : loup-garou
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.ㅡ options facultatives :▣ Littérature magique, Histoire de la magie.
» profession : professeur d'étude des runes à Hungcalf - Directeur des Ethelred
» gallions sous la cape : 1558
Inventaire Sorcier
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choose your hubby wisely they said pv. Ethan (terminé)
Dim 4 Fév 2024 - 21:09
Elle n’était pas venue. Lui qui n’aimait pas invoquer le loup éthéré, il l’avait pourtant fait à plusieurs reprises ce soir-là. Dans l’espoir de voir la nuée de papillons survoler le lac de Serre-Ponçon, chuchotant qu’elle avait eu un empêchement, qu’elle était navrée. Mais rien. Il était minuit passé et frigorifié quand il rangea définitivement la bague dans la poche de sa cape sans savoir qu’il le ne la sortirait plus jamais.
Consterné, il avait attendu de ses nouvelles. Et le cœur s’était alourdi d’heure en heure. Il avait annulé la magnifique suite qu’il avait réservé dans un de ces gîtes qui donnaient sur sur la vallée et il était rentré à Hungcalf. Le lendemain, il s’était épuisé en transplanages jusqu’à Fontainebleau pour trouver porte close. Le surlendemain, il avait traversé l’université jusqu’au bureau des étudiants dans l’espoir d’avoir des réponses.
Il s’était passé quelque chose et il était assez désespéré pour aller voir la seule personne à qui il ne devrait jamais parler de Penny. Son mari. Ou plutôt, ex-mari. Mais encore mari quand il l’avait rencontré. Quand il l’avait séduite. Quand il était tombé infiniment amoureux d’elle.
- Lacroix. Vous avez une minute ?
C’était juste après que ces doigts repliés ne s’écrasent sur le battant de la porte qui menait aux bureaux de l’AESH. Le ton n’est pas spécialement inamical mais il est évident qu’il n’y a pas la moindre chaleur dans la voix alors qu’il s’adresse à l’Helvète qui relève le regard, abandonnant le grimoire qu’il étudiait. Le coeur tordu par l’inquiétude, le jeune Professeur attend la réponse de l’étudiant.
Consterné, il avait attendu de ses nouvelles. Et le cœur s’était alourdi d’heure en heure. Il avait annulé la magnifique suite qu’il avait réservé dans un de ces gîtes qui donnaient sur sur la vallée et il était rentré à Hungcalf. Le lendemain, il s’était épuisé en transplanages jusqu’à Fontainebleau pour trouver porte close. Le surlendemain, il avait traversé l’université jusqu’au bureau des étudiants dans l’espoir d’avoir des réponses.
Il s’était passé quelque chose et il était assez désespéré pour aller voir la seule personne à qui il ne devrait jamais parler de Penny. Son mari. Ou plutôt, ex-mari. Mais encore mari quand il l’avait rencontré. Quand il l’avait séduite. Quand il était tombé infiniment amoureux d’elle.
- Lacroix. Vous avez une minute ?
C’était juste après que ces doigts repliés ne s’écrasent sur le battant de la porte qui menait aux bureaux de l’AESH. Le ton n’est pas spécialement inamical mais il est évident qu’il n’y a pas la moindre chaleur dans la voix alors qu’il s’adresse à l’Helvète qui relève le regard, abandonnant le grimoire qu’il étudiait. Le coeur tordu par l’inquiétude, le jeune Professeur attend la réponse de l’étudiant.
- InvitéInvité
Re: choose your hubby wisely they said pv. Ethan (terminé)
Lun 5 Fév 2024 - 21:24
TW : racisme envers les né-moldu
Crois-moi, je vais l'écraser. Rien... RIEN ne la sauvera. Je vais m'assurer qu'après, elle n'ait même plus la force de se relever.
Voila quels avaient été tes mots à l'époque, alors qu'à la suite d'une infraction, tu avais du contenir toute ta rage pour ne pas la laisser s'exprimer, pour ne pas embraser sa maison et celui qu'elle avait alors dans son lit, cet être immonde et répugnant, ce maudit sang-de-bourbe. Et si Calliope avait su te distraire à ce moment là, rien n'aurait pu te détourner de ton objectif. Tu avais fait joué tes contacts si privilégiés de l'asie de l'est, tu avais tissé cette toile avec patience, et @Holly De Launay t'avait finalement offert le meilleur moment pour agir. Celui qui ferait mal. Qui réduirait cette pseudo idylle parfaite avec une apothéose digne de ta famille.
Aujourd'hui, Peneloppe Schrubber était privée de liberté. La mouche qu'elle était avait fini par tenter de s'envoler dans la lumière, ne voyant pas le piège se refermer sur elle de toute part. Et depuis, elle avait simplement disparue de la vue de tous, retenue captive dans ce lieu qu'un petit groupe d'élu seulement connaissaient, un lieu dont même ta plus chère amie ne connaissait l'existence. Et sous la surveillance de ses geoliers, la sorcière endurait ses premiers supplices, s'égosillant probablement, espérant que quelqu'un ne vienne la délivrer. L'espoir pouvait parfois être la pire des tortures. Et ton ex-femme allait l'apprendre, en le payant très chèrement.
- Lacroix. Vous avez une minute ?
Ton regard se relève en direction de cette voix que tu reconnais, bien que tu ne suives pas le cours que donne ce professeur. Parce que c'était lui, l'infame sang-de-bourbe que tu avais du regarder, cacher par un sort d'invisibilité. C'était lui le dernier en date à avoir profaner ton ancien lit conjugal. Et la seule idée qu'il soit un impur t'avait écœuré au plus haut point, révulser comme définitivement pas permis.
J'ai toujours du temps pour mes amis, Hill, même quand je suis occupé. Malheureusement pour vous, vous n'êtes pas mon ami, et je suis très occupé.
Existait-il meilleur manière de lui répondre que celle-ci ? Le plus amusant aurait encore été que ce cher professeur s'offusque de cette réponse, te donnant ainsi une parfaite occasion de lui rappeler qu'il s'était ouvertement affiché au bras de ton ex-femme à un bal récent, événement que Siegliede n'avait pas appréciée apprendre. Mais pouvait-on reprocher à @Verena Lacroix-Muller d'en avoir parlé à la doyenne ?
Qu'est-ce que vous voulez ?
Au dela de ton humeur, tu te forces cependant à respecter ce lieu et le fait qu'un membre du corps professoral vienne te solliciter. Mais au fond, derrière ce masque froid et hautain, tu espères vraiment lire dans le regard de cet homme un sentiment qui t'apportera cette satisfaction d'avoir définitivement séparé ce qu'il appelle sa Belle de la Bête innommable qu'il est.
Crois-moi, je vais l'écraser. Rien... RIEN ne la sauvera. Je vais m'assurer qu'après, elle n'ait même plus la force de se relever.
Voila quels avaient été tes mots à l'époque, alors qu'à la suite d'une infraction, tu avais du contenir toute ta rage pour ne pas la laisser s'exprimer, pour ne pas embraser sa maison et celui qu'elle avait alors dans son lit, cet être immonde et répugnant, ce maudit sang-de-bourbe. Et si Calliope avait su te distraire à ce moment là, rien n'aurait pu te détourner de ton objectif. Tu avais fait joué tes contacts si privilégiés de l'asie de l'est, tu avais tissé cette toile avec patience, et @Holly De Launay t'avait finalement offert le meilleur moment pour agir. Celui qui ferait mal. Qui réduirait cette pseudo idylle parfaite avec une apothéose digne de ta famille.
Aujourd'hui, Peneloppe Schrubber était privée de liberté. La mouche qu'elle était avait fini par tenter de s'envoler dans la lumière, ne voyant pas le piège se refermer sur elle de toute part. Et depuis, elle avait simplement disparue de la vue de tous, retenue captive dans ce lieu qu'un petit groupe d'élu seulement connaissaient, un lieu dont même ta plus chère amie ne connaissait l'existence. Et sous la surveillance de ses geoliers, la sorcière endurait ses premiers supplices, s'égosillant probablement, espérant que quelqu'un ne vienne la délivrer. L'espoir pouvait parfois être la pire des tortures. Et ton ex-femme allait l'apprendre, en le payant très chèrement.
- Lacroix. Vous avez une minute ?
Ton regard se relève en direction de cette voix que tu reconnais, bien que tu ne suives pas le cours que donne ce professeur. Parce que c'était lui, l'infame sang-de-bourbe que tu avais du regarder, cacher par un sort d'invisibilité. C'était lui le dernier en date à avoir profaner ton ancien lit conjugal. Et la seule idée qu'il soit un impur t'avait écœuré au plus haut point, révulser comme définitivement pas permis.
J'ai toujours du temps pour mes amis, Hill, même quand je suis occupé. Malheureusement pour vous, vous n'êtes pas mon ami, et je suis très occupé.
Existait-il meilleur manière de lui répondre que celle-ci ? Le plus amusant aurait encore été que ce cher professeur s'offusque de cette réponse, te donnant ainsi une parfaite occasion de lui rappeler qu'il s'était ouvertement affiché au bras de ton ex-femme à un bal récent, événement que Siegliede n'avait pas appréciée apprendre. Mais pouvait-on reprocher à @Verena Lacroix-Muller d'en avoir parlé à la doyenne ?
Qu'est-ce que vous voulez ?
Au dela de ton humeur, tu te forces cependant à respecter ce lieu et le fait qu'un membre du corps professoral vienne te solliciter. Mais au fond, derrière ce masque froid et hautain, tu espères vraiment lire dans le regard de cet homme un sentiment qui t'apportera cette satisfaction d'avoir définitivement séparé ce qu'il appelle sa Belle de la Bête innommable qu'il est.
- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
- » parchemins postés : 258
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» âge : 39 ans (depuis le 28 décembre 2024)
» situation : son âme s'est envolée en même temps que celle de son amour
» nature du sang : né-moldu
» particularité : loup-garou
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.ㅡ options facultatives :▣ Littérature magique, Histoire de la magie.
» profession : professeur d'étude des runes à Hungcalf - Directeur des Ethelred
» gallions sous la cape : 1558
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Re: choose your hubby wisely they said pv. Ethan (terminé)
Dim 11 Fév 2024 - 22:05
Il est nerveux, le Hill. Et s’il est convaincu de ne pas le faire transparaître, il se fustige intérieurement de se sentir ainsi. Ce n’était pas le Lacroix qui était la raison de cette fébrilité mais plutôt les informations qui pourraient découler de cet entretien auquel il ne tenait guère. Penelope lui avait mainte fois fait promettre de ne s'approcher du Suisse sous aucun pretexte . Mais il avait cette sensation terrible, celle qu’il n’avait pas le choix. Et il détestait ça, ne pas avoir le choix.
“J'ai toujours du temps pour mes amis, Hill, même quand je suis occupé. Malheureusement pour vous, vous n'êtes pas mon ami, et je suis très occupé. Qu'est-ce que vous voulez ?” . Les muscles sous les glyphes se tendent, la mâchoire se serre. L’insulte n’en est pas vraiment une mais il faudrait être sourd pour ne pas entendre le dédain qui n’est pas dissimulé entre ces mots.
- Ce sera Professeur Hill, pour vous, Lacroix.
Il n’y avait rien de jouissif à devoir rappeler ses obligations à ce petit prétentieux, mais il le fallait. Pas seulement pour prendre l’ascendant dans ce qui semblait prendre des allures de joute verbales mais ne serait-ce que par principe. Il marque une pause, pour que l’injonction s’imprime bien dans l’esprit du Lacroix.
- Je n’ai pas de nouvelles de Pénélope.
Il avait longtemps réfléchi à comment interroger le Lacroix. Que demander ? Quelle question poser ? Il n’en avait pas dormi de la nuit. Il avait imaginé et réimaginer cette échange sans parvenir à trouver le sommeil, espérant que l’Helvète puisse donner une explication à la disparition de celle qui aurait dû être sa fiancée aujourd’hui.
Il avait finalement décidé de ne pas poser de question. D’exposer un fait et de voir qu’elle serait la réaction de son interlocuteur. De faire en fonction. On ne pouvait pas prévoir l’imprévisible, de toute manière. Alors y préferait y aller étape par étape et s’adapter.
“J'ai toujours du temps pour mes amis, Hill, même quand je suis occupé. Malheureusement pour vous, vous n'êtes pas mon ami, et je suis très occupé. Qu'est-ce que vous voulez ?” . Les muscles sous les glyphes se tendent, la mâchoire se serre. L’insulte n’en est pas vraiment une mais il faudrait être sourd pour ne pas entendre le dédain qui n’est pas dissimulé entre ces mots.
- Ce sera Professeur Hill, pour vous, Lacroix.
Il n’y avait rien de jouissif à devoir rappeler ses obligations à ce petit prétentieux, mais il le fallait. Pas seulement pour prendre l’ascendant dans ce qui semblait prendre des allures de joute verbales mais ne serait-ce que par principe. Il marque une pause, pour que l’injonction s’imprime bien dans l’esprit du Lacroix.
- Je n’ai pas de nouvelles de Pénélope.
Il avait longtemps réfléchi à comment interroger le Lacroix. Que demander ? Quelle question poser ? Il n’en avait pas dormi de la nuit. Il avait imaginé et réimaginer cette échange sans parvenir à trouver le sommeil, espérant que l’Helvète puisse donner une explication à la disparition de celle qui aurait dû être sa fiancée aujourd’hui.
Il avait finalement décidé de ne pas poser de question. D’exposer un fait et de voir qu’elle serait la réaction de son interlocuteur. De faire en fonction. On ne pouvait pas prévoir l’imprévisible, de toute manière. Alors y préferait y aller étape par étape et s’adapter.
- InvitéInvité
Re: choose your hubby wisely they said pv. Ethan (terminé)
Mar 20 Fév 2024 - 21:41
- Ce sera Professeur Hill, pour vous, Lacroix.
Tu ne le caches pas, ce petit sourire qui se dessine sur le coin de tes lèvres alors que ton regard se relève vers le professeur. Il annonçait ce qu'il pensait être la couleur, mais cette demande, au fond de toi, tu savais déjà que tu n'allais pas la respecter. Il y avait ce petit quelque chose en toi qui te disait que, si tu avais raison, tu n'allais pas accéder à cette injonction qu'il te donnait.
Et tandis que ses lèvres exprimaient les mots suivants, ton esprit se délectait de voir que tu avais une nouvelle fois raison. Il était là pour elle. Parce qu'elle avait disparue. Mais devais-tu t'en étonner, toi qui avait en réalité orchestré cette disparition à l'aide de tes contacts d'asie ?
Tu ne le retiens pas, ce rire discret qui s'apparente à une réponse en premier lieu. Loin de t'esclaffer comme le ferait certain, il est indéniable tout de même que cette situation te remplit de joie.
Ca restera donc Hill, ou Andrew, c'est comme tu veux. La voila, ta première réponse. Un rappel qu'un sujet aussi personnel que cette catain que vous avez en commun n'a rien à voir avec la hiérarchie de l'université. Et riprimant un nouveau rire, tu continues. Et donc, tu ou vous... enfin bref, tu n'as déjà plus de nouvelles... Ton regard venait presque défier le sien. Et quoi ?... Tu m'informes que je dois m'arranger pour la garde des petites ? Si c'est ça, ne t'inquiétes pas. Mon avocate sera heureuse d'apprendre que leur mère n'en a rien à faire d'elle.
En même temps, vu l'endroit où la Schrubber était, il était clair que ton parchemin à l'intention de la mère Blackthorn était déjà prête.
Mais non, tu n'es pas là pour ça hein. Alors, Hill... commences par me demander clairement ce que tu veux. Ma garde à l'hopital commence dans moins d'une heure et Peneloppe... et bien disons que je n'en ai rien à faire de cette salope.
Le terme était fort ? Peut-être. Mais tu te rappelais encore d'avoir du regarder leur ébats lors d'une petite escapade nocturne.
Tu ne le caches pas, ce petit sourire qui se dessine sur le coin de tes lèvres alors que ton regard se relève vers le professeur. Il annonçait ce qu'il pensait être la couleur, mais cette demande, au fond de toi, tu savais déjà que tu n'allais pas la respecter. Il y avait ce petit quelque chose en toi qui te disait que, si tu avais raison, tu n'allais pas accéder à cette injonction qu'il te donnait.
Et tandis que ses lèvres exprimaient les mots suivants, ton esprit se délectait de voir que tu avais une nouvelle fois raison. Il était là pour elle. Parce qu'elle avait disparue. Mais devais-tu t'en étonner, toi qui avait en réalité orchestré cette disparition à l'aide de tes contacts d'asie ?
Tu ne le retiens pas, ce rire discret qui s'apparente à une réponse en premier lieu. Loin de t'esclaffer comme le ferait certain, il est indéniable tout de même que cette situation te remplit de joie.
Ca restera donc Hill, ou Andrew, c'est comme tu veux. La voila, ta première réponse. Un rappel qu'un sujet aussi personnel que cette catain que vous avez en commun n'a rien à voir avec la hiérarchie de l'université. Et riprimant un nouveau rire, tu continues. Et donc, tu ou vous... enfin bref, tu n'as déjà plus de nouvelles... Ton regard venait presque défier le sien. Et quoi ?... Tu m'informes que je dois m'arranger pour la garde des petites ? Si c'est ça, ne t'inquiétes pas. Mon avocate sera heureuse d'apprendre que leur mère n'en a rien à faire d'elle.
En même temps, vu l'endroit où la Schrubber était, il était clair que ton parchemin à l'intention de la mère Blackthorn était déjà prête.
Mais non, tu n'es pas là pour ça hein. Alors, Hill... commences par me demander clairement ce que tu veux. Ma garde à l'hopital commence dans moins d'une heure et Peneloppe... et bien disons que je n'en ai rien à faire de cette salope.
Le terme était fort ? Peut-être. Mais tu te rappelais encore d'avoir du regarder leur ébats lors d'une petite escapade nocturne.
- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
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» âge : 39 ans (depuis le 28 décembre 2024)
» situation : son âme s'est envolée en même temps que celle de son amour
» nature du sang : né-moldu
» particularité : loup-garou
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Re: choose your hubby wisely they said pv. Ethan (terminé)
Mar 27 Fév 2024 - 13:59
La mâchoire se serre silencieusement tandis que le visage de l’Helvète se tord en un sourire. Ce sourire que ceux seuls ceux qui se pensent bien nés arborent, persuadés d’être les maîtres du monde ou de le devenir. Andrew avait exécré ces individus toutes sa vie durant. Il n’avait pas pu les éviter mais il avait toujours fait en sorte de n’avoir rien leur demander ni à leur devoir…
Sauf qu’à cet instant, il n’avait pas le choix. Il observa attentivement le visage d’Ethan lorsqu’il mentionna Penny. L’absence du moindre signe de surprise aurait dû rassurer Andrew. C’est qu’il savait où elle était. Mais l’instinct du britannique s’inquiète d’autant plus alors que le sourire s’agrandit.
« Ca restera donc Hill, ou Andrew, c'est comme tu veux. » Il y avait des combats plus importants que d’apprendre les bases du respect à un petit merdeux de la haute. Ce qui comptait, c’était Penny. Il reste silencieux face aux allégations qui concernent leurs filles. Il considère que ça ne le concerne pas et il n’est réellement inquiet vu que c’est Penny qui avait obtenu la majorité de la garde. De toute façon, les magistrats savaient très bien que ces deux pauvres gamines étaient rarement auprès de leur père, même quand c’était ces heures de garde.
« Alors, Hill... commences par me demander clairement ce que tu veux. » C’était exactement ce qu’il ne voulait pas faire. Mais le Lacroix n’avait rien lâché. Tout ce qu’il devinait, c’est qu’il savait où était Penny. Ou en tout cas, pourquoi elle était absence. « … et bien disons que je n'en ai rien à faire de cette salope. »
Les paupières se ferment un instant. Andrew n’est pas le plus violent des hommes mais s’imaginer lancer une malédiction particulièrement douloureuse sur le Lacroix l’aide à garder ses nerfs en place. Il rouvre les yeux et sort sa baguette de sa poche, conscient que la situation pouvait dégénèrer à tout instant.
- Ecoute moi bien petit merdeux. Tu te crois intouchable et t’as sûrement en partie raison. Mais là entre ces quatre murs t’es pas vraiment à l’abri de la colère d’un homme inquiet pour celle que tu viens d’insulter. J’aimerais autant que possible ne pas avoir à justifier pourquoi j’ai du te refaire le portrait mais s’il le faut, je le ferais volontiers.
Il marque une pause avant de poser sa baguette sur la table, sous sa main bien à plat.
- Où est Pénélope ?
La question était on ne peut plus claire. Et dans le regard d’Andrew, on lisait qu’il était homme à tenir ses promesses.
Sauf qu’à cet instant, il n’avait pas le choix. Il observa attentivement le visage d’Ethan lorsqu’il mentionna Penny. L’absence du moindre signe de surprise aurait dû rassurer Andrew. C’est qu’il savait où elle était. Mais l’instinct du britannique s’inquiète d’autant plus alors que le sourire s’agrandit.
« Ca restera donc Hill, ou Andrew, c'est comme tu veux. » Il y avait des combats plus importants que d’apprendre les bases du respect à un petit merdeux de la haute. Ce qui comptait, c’était Penny. Il reste silencieux face aux allégations qui concernent leurs filles. Il considère que ça ne le concerne pas et il n’est réellement inquiet vu que c’est Penny qui avait obtenu la majorité de la garde. De toute façon, les magistrats savaient très bien que ces deux pauvres gamines étaient rarement auprès de leur père, même quand c’était ces heures de garde.
« Alors, Hill... commences par me demander clairement ce que tu veux. » C’était exactement ce qu’il ne voulait pas faire. Mais le Lacroix n’avait rien lâché. Tout ce qu’il devinait, c’est qu’il savait où était Penny. Ou en tout cas, pourquoi elle était absence. « … et bien disons que je n'en ai rien à faire de cette salope. »
Les paupières se ferment un instant. Andrew n’est pas le plus violent des hommes mais s’imaginer lancer une malédiction particulièrement douloureuse sur le Lacroix l’aide à garder ses nerfs en place. Il rouvre les yeux et sort sa baguette de sa poche, conscient que la situation pouvait dégénèrer à tout instant.
- Ecoute moi bien petit merdeux. Tu te crois intouchable et t’as sûrement en partie raison. Mais là entre ces quatre murs t’es pas vraiment à l’abri de la colère d’un homme inquiet pour celle que tu viens d’insulter. J’aimerais autant que possible ne pas avoir à justifier pourquoi j’ai du te refaire le portrait mais s’il le faut, je le ferais volontiers.
Il marque une pause avant de poser sa baguette sur la table, sous sa main bien à plat.
- Où est Pénélope ?
La question était on ne peut plus claire. Et dans le regard d’Andrew, on lisait qu’il était homme à tenir ses promesses.
- InvitéInvité
Re: choose your hubby wisely they said pv. Ethan (terminé)
Lun 11 Mar 2024 - 21:12
Du regard d'Andrew, tu portes ton attention sur sa baguette. Et tu reviens à son regard. Ce qu'il était plaisant de voir cette scène. De la vivre. Pourtant, cette jouissance, tu la retiens, tu la gardes pour toi. Et tandis que ton regard croise une nouvelle fois celui de l'enseignant, tu réponds : Oh je suis sur qu'Ezechiel serait enchanté de recevoir un courrier du président de l'AESH pour apprendre qu'un membre du corps professoral se laisse aller en menaces à l'encontre d'un membre du comité. Enchanté. Un mot choisi avec soin pour illustrer la parfaite ironie de la situation. Et sincèrement, je ne donnerai cher pour voir sa tête s'il apprenait le motif de cette altercation. Un motif si privé dans un lieu comme celui-ci, une chose que même lui ne pourrait pas éviter.
Et la situation, tu la trouvais tellement risible. Tellement ironique. Parce que face à toi, c'était lui : LE prof de runes. Etait-il un autre pour qui la logique était plus nécessaire ? Mais voila que sa logique se résumait à menacer celui dont il pensait pouvoir obtenir la moindre info.
Tu veux que je te réponde, Hill. Et bien soit, je vais le faire. Je ne sais pas où est ta chère Pénélope. Tu avais pris le temps d'articuler chacun des mots pour qu'il s'imprime bien dans la tête de cet homme face à toi. Tu veux que je te le redise sous véritaserum ? Est-ce que tu avais peur ? Non, pas le moins du monde. Parce qu'il aurait fallu d'une part que l'utilisation sur un étudiant soit autorisé -et signer l'acte de renvoi de cet abruti t'aurait parfaitement fait plaisir-, et parce qu'ensuite, il aurait du te poser une meilleure question que celle la.
Pénélope, c'est mon ex-femme. Ce qu'elle fait, où elle est, tant que ça ne concerne pas mes filles, je n'en ai rien à faire. Je me fous d'où elle est, de ce qu'elle fait, d'avec qui elle s'envoie en l'air et de si tu es au courant ou non... Parce que oui, tu te plaisais à lui rappeler qu'infidèle, elle l'avait été. Et si elle l'avait été avec toi, elle pouvait parfaitement l'être avec lui. Maintenant, qu'il soit trop idiot pour tirer cette conclusion, ça...
Et la situation, tu la trouvais tellement risible. Tellement ironique. Parce que face à toi, c'était lui : LE prof de runes. Etait-il un autre pour qui la logique était plus nécessaire ? Mais voila que sa logique se résumait à menacer celui dont il pensait pouvoir obtenir la moindre info.
Tu veux que je te réponde, Hill. Et bien soit, je vais le faire. Je ne sais pas où est ta chère Pénélope. Tu avais pris le temps d'articuler chacun des mots pour qu'il s'imprime bien dans la tête de cet homme face à toi. Tu veux que je te le redise sous véritaserum ? Est-ce que tu avais peur ? Non, pas le moins du monde. Parce qu'il aurait fallu d'une part que l'utilisation sur un étudiant soit autorisé -et signer l'acte de renvoi de cet abruti t'aurait parfaitement fait plaisir-, et parce qu'ensuite, il aurait du te poser une meilleure question que celle la.
Pénélope, c'est mon ex-femme. Ce qu'elle fait, où elle est, tant que ça ne concerne pas mes filles, je n'en ai rien à faire. Je me fous d'où elle est, de ce qu'elle fait, d'avec qui elle s'envoie en l'air et de si tu es au courant ou non... Parce que oui, tu te plaisais à lui rappeler qu'infidèle, elle l'avait été. Et si elle l'avait été avec toi, elle pouvait parfaitement l'être avec lui. Maintenant, qu'il soit trop idiot pour tirer cette conclusion, ça...
- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
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» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & miguel pajares
» âge : 39 ans (depuis le 28 décembre 2024)
» situation : son âme s'est envolée en même temps que celle de son amour
» nature du sang : né-moldu
» particularité : loup-garou
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.ㅡ options facultatives :▣ Littérature magique, Histoire de la magie.
» profession : professeur d'étude des runes à Hungcalf - Directeur des Ethelred
» gallions sous la cape : 1558
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: choose your hubby wisely they said pv. Ethan (terminé)
Mar 26 Mar 2024 - 20:18
Espérait il vraiment être rassuré en se tournant vers l’ex-mari de celle qui aurait dû être sa fiancée ? Avec un peu de recul, c’était stupide d’espérer ainsi. Au mieux il aurait peut être trouvé réponse à ses questions mais visiblement, le Lacroix ne lui ferait même pas cet honneur.
La menace absolument pas voilée du médicomage lui aurait sûrement arraché un rictus sardonique en d’autres circonstance tant il le trouvait ridicule. Il était plus convainquant en jouant la carte du petit fils de bonne famille qu’en président d’une association estudiantine aussi incorporelle qu’insignifiante.
- Ca sera ta parole contre la mienne.
Lâcha-t-il sans lâcher le regard de l’Helvète. Il y avait fort à parier que le brave Ezechiel ait plus tendance à bien vouloir croire un Professeur émérite plutôt qu’un petit prétentieux d’étudiante.
« Je ne sais pas où est ta chère Pénélope. » Toutes les fibres du corps du Britannique hurlent au mensonge éhonté. Pas une seule seconde le Hill ne peut le croire. « Tu veux que je te le redise sous véritaserum ? » et l’hésitation peut alors se lire dans le regard du Professeur l’espace d’une seconde. Ca serait si simple… Activer l’une ou l’autre de ses connaissances parmi les Capes Noires pour se procurer le sérum de vérité. Il ne lui suffirait que de quelques minutes…
Le plaidoyer qui suit n’est guère plus convainquant. Et sil ‘espère semer le doute dans l’esprit et le coeur du Hill, Ethan se fourre la baguette dans l’oeil. Il connaissait tout de sa relation avec Ethan et des raisons qui l’avaient poussé à fuir ce mariage bien avant que le divorce ne fut prononcer. Il pouvait inventer toutes les horreurs sur Penny qu’Andrew ne les entendrait que comme des insultes mensongères.
- Dans ce cas tu ne verras pas d’objection à ce que je contacte les aurors, j’imagine. Puisque tu sembles être le dernier à l’avoir vu.
La menace absolument pas voilée du médicomage lui aurait sûrement arraché un rictus sardonique en d’autres circonstance tant il le trouvait ridicule. Il était plus convainquant en jouant la carte du petit fils de bonne famille qu’en président d’une association estudiantine aussi incorporelle qu’insignifiante.
- Ca sera ta parole contre la mienne.
Lâcha-t-il sans lâcher le regard de l’Helvète. Il y avait fort à parier que le brave Ezechiel ait plus tendance à bien vouloir croire un Professeur émérite plutôt qu’un petit prétentieux d’étudiante.
« Je ne sais pas où est ta chère Pénélope. » Toutes les fibres du corps du Britannique hurlent au mensonge éhonté. Pas une seule seconde le Hill ne peut le croire. « Tu veux que je te le redise sous véritaserum ? » et l’hésitation peut alors se lire dans le regard du Professeur l’espace d’une seconde. Ca serait si simple… Activer l’une ou l’autre de ses connaissances parmi les Capes Noires pour se procurer le sérum de vérité. Il ne lui suffirait que de quelques minutes…
Le plaidoyer qui suit n’est guère plus convainquant. Et sil ‘espère semer le doute dans l’esprit et le coeur du Hill, Ethan se fourre la baguette dans l’oeil. Il connaissait tout de sa relation avec Ethan et des raisons qui l’avaient poussé à fuir ce mariage bien avant que le divorce ne fut prononcer. Il pouvait inventer toutes les horreurs sur Penny qu’Andrew ne les entendrait que comme des insultes mensongères.
- Dans ce cas tu ne verras pas d’objection à ce que je contacte les aurors, j’imagine. Puisque tu sembles être le dernier à l’avoir vu.
- InvitéInvité
Re: choose your hubby wisely they said pv. Ethan (terminé)
Lun 15 Avr 2024 - 15:53
Tu aimerais hein, me le faire boire ce véritaserum que je te propose. Ca te plairait, ne serait-ce que pour m'entendre dire que je sais où elle est, que je sais ce que je vais lui faire, comment je vais la punir de m'avoir bafoué en se donnant à toi. C'est si délicieux d'entendre ton esprit hurler et se fracasser sur quoi, le mur de ta raison. De ta bienséance. Si tu étais ne serait qu'un instant conscient du traitement qu'elle va subir, je gage que ce poing pourrait finir sa course sur ma joue, qu'il te plairait de laisser couler ta colère et de l'écrire sur mon visage. Mais tu l'ignores. Tu ignores tout et tu te retrouves désemparé. Tu es rentré dans un cercle où tu n'avais clairement pas ta place, pensant que je te laisserai cracher sur mon honneur. Elle a eu la sottise de te le laisser croire et voila le résultat.
Cette dernière menace, à peine voilée, que de m'envoyer les aurors, penses-tu réellement qu'elle m'inquiète ? Me crois-tu à ce point incapable de couvrir mes traces ? J'aimerais tellement rire, te faire comprendre que même eux ne peuvent rien. Mais suis-je bête ? Je peux. Et c'est un rire étouffé qui s'échappe, un sourire amusé qui nait sur mes lèvres. Parce que chacune de tes menaces ne fait que renforcer mon envie de la punir, et de t'atteindre par la même occasion, si facilement.
J'ignore ce qui te fait croire que je suis le dernier à l'avoir vu, mais dans ce cas-là, envoie les aurors à tous ceux qui étaient présents à la dernière audience. Si tu penses que cela peut aider... Est-ce que j'allais prétendre que je ne l'avais pas vu depuis ? Oui. Pourquoi pas. Tu pouvais tenter tes minables coups de bluff, ça ne changeait rien à mon sens. Rien du tout.
Mais pourquoi m'arrêter là ? Pourquoi me contenter de cette rivalité qui semble nous opposer quand je peux encore m'amuser, te torturer et te tourmenter ? Refermant le dossier ouvert sur la table près de nous, je venais poser une jambe dessus, pour t'accorder cette minute que tu m'avais initialement demandé.
Sincèrement Hill, je ne l'ai pas vu. Je ne dirais pas que je regrette ta situation ou même que j'en suis désolé, mais je ne l'ai pas vu depuis l'audience. Tu me crois ou non, j'ai pas de temps à passer pour te convaincre. Mais je peux te promettre une chose : si je la vois, ou que j'apprend quoi que ce soit, je ferais tout pour qu'elle te revienne. Quitte à te la ramener moi-même de force. L'idée de l'obliger n'était pas même pour me déplaire. Tu as demandé à sa famille ? Parfois... enfin, il fut un temps, elle rendait visite à sa soeur en Allemagne. Une visite qu'elle n'avait plus fait depuis longtemps, tu en étais bien conscient.
Cette dernière menace, à peine voilée, que de m'envoyer les aurors, penses-tu réellement qu'elle m'inquiète ? Me crois-tu à ce point incapable de couvrir mes traces ? J'aimerais tellement rire, te faire comprendre que même eux ne peuvent rien. Mais suis-je bête ? Je peux. Et c'est un rire étouffé qui s'échappe, un sourire amusé qui nait sur mes lèvres. Parce que chacune de tes menaces ne fait que renforcer mon envie de la punir, et de t'atteindre par la même occasion, si facilement.
J'ignore ce qui te fait croire que je suis le dernier à l'avoir vu, mais dans ce cas-là, envoie les aurors à tous ceux qui étaient présents à la dernière audience. Si tu penses que cela peut aider... Est-ce que j'allais prétendre que je ne l'avais pas vu depuis ? Oui. Pourquoi pas. Tu pouvais tenter tes minables coups de bluff, ça ne changeait rien à mon sens. Rien du tout.
Mais pourquoi m'arrêter là ? Pourquoi me contenter de cette rivalité qui semble nous opposer quand je peux encore m'amuser, te torturer et te tourmenter ? Refermant le dossier ouvert sur la table près de nous, je venais poser une jambe dessus, pour t'accorder cette minute que tu m'avais initialement demandé.
Sincèrement Hill, je ne l'ai pas vu. Je ne dirais pas que je regrette ta situation ou même que j'en suis désolé, mais je ne l'ai pas vu depuis l'audience. Tu me crois ou non, j'ai pas de temps à passer pour te convaincre. Mais je peux te promettre une chose : si je la vois, ou que j'apprend quoi que ce soit, je ferais tout pour qu'elle te revienne. Quitte à te la ramener moi-même de force. L'idée de l'obliger n'était pas même pour me déplaire. Tu as demandé à sa famille ? Parfois... enfin, il fut un temps, elle rendait visite à sa soeur en Allemagne. Une visite qu'elle n'avait plus fait depuis longtemps, tu en étais bien conscient.
- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
- » parchemins postés : 258
» miroir du riséd : giacomo gianniotti
» crédits : maav
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & miguel pajares
» âge : 39 ans (depuis le 28 décembre 2024)
» situation : son âme s'est envolée en même temps que celle de son amour
» nature du sang : né-moldu
» particularité : loup-garou
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.ㅡ options facultatives :▣ Littérature magique, Histoire de la magie.
» profession : professeur d'étude des runes à Hungcalf - Directeur des Ethelred
» gallions sous la cape : 1558
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: choose your hubby wisely they said pv. Ethan (terminé)
Mar 30 Avr 2024 - 21:52
La carte de l’autorité légitime semble faire rire le Lacroix. Un rire à peine étouffé. Un rire qui vrille les oreilles et la raison du Professeur de Runes dont l’instinct se débat contre la raison. Le Hill avait du flair, sans mauvais jeux de mots, il avait toujours su quand on lui mentait ou quand on se jouait de lui. Et il était persuadé qu’à cet instant c’était le cas. Mais le britannique était également un homme de raison et il n’était que trop conscient qu’il n’avait aucune preuve de ce qui lui traversait l’esprit.
« J'ignore ce qui te fait croire que je suis le dernier à l'avoir vu, mais dans ce cas-là, envoie les aurors à tous ceux qui étaient présents à la dernière audience. Si tu penses que cela peut aider… » L’audience avait eut lieu plusieurs mois plus tôt. Il était évident que le Lacroix avait revu son ex-femme entre temps, ne serait ce que pour prendre le relai de la garde de leurs filles. A moins qu’ils passent par un intermédiaire ? Penny n’avait jamais mentionné un tel arrangement alors il en doutait fortement. Ainsi, la réponse du Suisse ne fait que renforcer la conviction d’Andrew qui est persuadé qu’Ethan n’est pas aussi innocent qu’il aimerait le faire croire.
« Mais je peux te promettre une chose : si je la vois, ou que j'apprend quoi que ce soit, je ferais tout pour qu'elle te revienne. Quitte à te la ramener moi-même de force. » Un frisson lui tort l’échine à l’évocation d’une telle éventualité. Il ne pouvait envisager que Penny ne soit partie de son pleins gré. Qu’elle ne le quitte sans lui donner la moindre nouvelle. Mais évidemment, le doute s’installe, pernicieux. « Tu as demandé à sa famille ? Parfois... enfin, il fut un temps, elle rendait visite à sa soeur en Allemagne. »
- Merci.
Lâche-t-il brutalement, sans en penser un mot. Et sans un regard pour le Lacroix, il quitte les locaux de l’association estudiantine. Déjà, sa main gauche fait tourner autour de sa main droite la chevalière qui porte l’obsidienne des capes noires. Comme il regrette de ne pas avoir marqué Penny comme il avait pu marquer @Cataleya Blackthorn. Il allait devoir passer par un autre procéder pour localiser magiquement la Schrubber et ça risquait d’être aussi lent que pénible…
« J'ignore ce qui te fait croire que je suis le dernier à l'avoir vu, mais dans ce cas-là, envoie les aurors à tous ceux qui étaient présents à la dernière audience. Si tu penses que cela peut aider… » L’audience avait eut lieu plusieurs mois plus tôt. Il était évident que le Lacroix avait revu son ex-femme entre temps, ne serait ce que pour prendre le relai de la garde de leurs filles. A moins qu’ils passent par un intermédiaire ? Penny n’avait jamais mentionné un tel arrangement alors il en doutait fortement. Ainsi, la réponse du Suisse ne fait que renforcer la conviction d’Andrew qui est persuadé qu’Ethan n’est pas aussi innocent qu’il aimerait le faire croire.
« Mais je peux te promettre une chose : si je la vois, ou que j'apprend quoi que ce soit, je ferais tout pour qu'elle te revienne. Quitte à te la ramener moi-même de force. » Un frisson lui tort l’échine à l’évocation d’une telle éventualité. Il ne pouvait envisager que Penny ne soit partie de son pleins gré. Qu’elle ne le quitte sans lui donner la moindre nouvelle. Mais évidemment, le doute s’installe, pernicieux. « Tu as demandé à sa famille ? Parfois... enfin, il fut un temps, elle rendait visite à sa soeur en Allemagne. »
- Merci.
Lâche-t-il brutalement, sans en penser un mot. Et sans un regard pour le Lacroix, il quitte les locaux de l’association estudiantine. Déjà, sa main gauche fait tourner autour de sa main droite la chevalière qui porte l’obsidienne des capes noires. Comme il regrette de ne pas avoir marqué Penny comme il avait pu marquer @Cataleya Blackthorn. Il allait devoir passer par un autre procéder pour localiser magiquement la Schrubber et ça risquait d’être aussi lent que pénible…