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NELL || La vie est une tartine de merde qu'il faut manger en souriant
Jeu 1 Juil 2010 - 20:44
- VON BOLKENNell Disturbia
♣ DATE ET LIEU DE NAISSANCE: 10 décembre 1991 ; Londres. ♣ NATIONALITE : Anglaise ♣ ISSU D'UNE FAMILLE : pauvre ♣ CLASSE SOCIALE : pauvre ♣ OPTIONS CHOISIES: Botanique, DFCM, Potions, Sortilèges. ♣ PATRONUS : Loutre ♣ BAGUETTE : Bois de houx et poile de licorne, 26 cm. |
Raconte-moi Une Belle Histoire.
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Elle était là. Elle était seule, terriblement seule, présente, mais présente pour qui ? Personne ne la voyait, et qui aurait pu dire qu'elle voyait quelqu'un à travers son regard hagard ? Mais sa main griffant machinalement son bras était le seul mouvement que faisait son corps, ses yeux étaient vides, effroyablement vides. Tout d'un coup elle se leva. Je suis bien placée pour savoir qu'aucune pensée sensée ne traversait son pauvre esprit à ce moment là, cette fille c'est moi. On m'appelle Nell. Pourquoi pas ? Mon prénom est ridicule, et je préfère que l'on ne m'appelle pas. Je ne sais pas quelle idée est passé dans la tête de mes parents pour m'appeller ainsi ? Ils ne se doutaient donc pas ? Ils ignoraient que je serais remplie de haine, de douleur, contre tous et surtout contre moi même ?
Les gens autour de moi trouvent que j'ai réussi. J'ai à peine 19 ans et j'ai tout dans la vie: un métier qui me passionne et qui me fait gagner pas mal, pas mal d'argent, une chance folle à n'importe quel jeux, ou dans la vie en générale, un mec qui m'aime passionément et qui est évidemment très beau. Quand à moi, si l'on m'a créé avec l'âme amochée ce fut bien la seule chose de loupée en moi: les hommes se retournent sur mon passage, et je ne suis pas plus bête qu'une autre, je dirais même que je suis peut être - et sans aucune vantardise - légérement au dessus. Ma vie est réussie. Certes. Mais putain qu'est ce que je m'ennuie. Et puis, je ne sais pas, la mélancolie se glisse insinuesement en moi. Allez savoir pourquoi. En faite, si, un texto de ma mère, des mots qui m'ont anéanti. Une sorcière, tu es une sorcière. Elle ne ment pas, je le sais, ma mère ne ment jamais ! Celà faisait plusieurs jours que je tournais en rond. Pour me divertir j'essayais de plus en plus haut.
C'est l'après midi du jour où je me suis retrouvée assise le regard vide, en haut des escaliers du musé qui menent à la maison de mes parents, d'un des plus pauvres quartier de Londres, que tout à commencer. L'ennui enfonçait toujours plus insiduesement sa lame en moi, quand je reçue le détonateur de ma déchéance. En ouvrant le journal sur la table d'un café glauque au possible, je tombais sur les avis de décés. C'est là que je l'ai vu: Mme & Mr Leyne ont la peine de vous annoncer le décès de leur fils, Mr Lukas Leyne.
Ce nom. Ce nom je le connaissais. Oh oui que je le connaissais, et tellement. Combien de fois n'aurais-je pas voulu l'oublier ce nom, à force de le crier à travers mes larmes ? C'était il y a bien longtemps. Lukas était un ami d'enfance. L'Ami de Mon enfance. Le compagnon de toutes mes premieres fois, l'épaule infaillible. Et un jour il a disparu. Dieu qu'il m'a manqué. Il m'avait dit de toujours avancer, car on se recroiseraient bientôt. Il m'avait donné une date. Et la date je m'en souviens, oh que oui, la date, l'échéance, c'est la semaine prochaine. Vous avez déjà vu Jeux d'enfant ? On a voulu faire pareil sans doute. Cap ou pas de ne pas se voir pendant un laps de temps ? Il est vrai que nous étions trop fusionels, & que notre vie ne pouvait se construire sans empiéter sur celle de l'autre. L'espoir de le voir la semaine prochaine était la seule chose qui m'avait retenu de tomber trop bas. Et maintenant, maintenant, non seulement j'avais de la haine contre ma vie, contre celui qui l'avait tué, mais j'en avais contre tous, car ils étaient en vie, et que lui non. Et j'en avais contre moi. Contre la vie en général. Oh oui.
Lukas était la seule chose, le seul espoir qui m'avait permis de contenir toute la rage qui m'habitait. Je décidais de la laisser s'écouler. Toujours installée sur la table, je commandais, recommandais, encore et encore, de quoi boire. Toutes émotions avaient quittées mon corps. La seule chose que je ressentais, c'était un besoin immense de me salir, de me faire du mal.
Je sortis passablement émméchée du club. Les gens se retournaient sur mon passage, mais leur regard exprimaient de la pitié. Je n'en voulait pas de leur putain de pitié. Je voulais voir de la honte, de l'horreur, de la rage, du dégout lorsqu'ils me regardaient. Je continuais à me faufiler à travers les rues des quartiers riches. J'entrais dans une boutique et achetais des fringues. Des fringues de pute, mais de pute moche, des fringues beaucoup trop courtes, déchiquettés, du plus mauvais goût. J'entrais dans un institut. " Vous avez rendez vous? " "Non, mais j'ai du fric & besoin d'me faire refaire la gueule, alors dépéche". La p'tite jeune de l'accueil me regarde avec des yeux oscillants entre la colère & la pitié, & me dit qu'il reste une place, mais tout de suite. J'entre en trombe. Une femme aux longs cheveux bruns rentre dans la pièce " Bonsoir, je suis Caroline, c'est moi qui vais m'occuper de vous. Alors que souhaitez vous? " " Je veux ressembler à une pute. Je veux être trop maquillée, je veux que ce soit outrancier, je veux que ce soit écoeurant, & terriblement excitant. Je veux ressembler à une salope finie. " Elle a l'air choquée, mais après quelques échanges verbaux, elle se met au travail. Lorsque c'est fini, elle me montre mon visage dans un miroir, et j'ai juste envie de la tuer " Vous trouvez vraiment que je ressemble à une pute ? Mais vous en avez déjà vue bordel ? Vendez moi de quoi me débrouiller toute seule ça ira mieux ". Les larmes aux yeux elle s'execute et je pars en laissant un gros billet sur la table. Ce qu'elle ne sait pas la brave Caroline, c'est que quand je l'insulte c'est à moi que je parle, c'est à moi que je fais mal. C'est moi qui souffre. Oh oui, je veux crever, mais pas tout de suite. Je veux d'abord avoir mal avant. J'attends quelques instants et je sens doucement les effets dans mon corps. En pleine crise d'hystérie je commence à appliquer dans tous les sens le maquillage acheté quelques temps plus tôt. Puis je me mets à réfléchir. Quels sont les choses auxquelles je tiens le plus au monde ? Me vient à l'esprit mon homme, mon boulot, quelques amis, mon corps, mon âme. Je commence par mon âme. Et soudain je me dis que tout ça c'est vain, que je n'ai besoin aucunement de chacune de ses choses. Je sais très bien que si. Mais je n'en veux plus. J'appelle mon mec. Lui balance n'importe quoi à la gueule. Ce que je veux, c'est qu'il me déteste. Et j'y arrive très bien. Il finit par m'insulter, me dire qu'il avait toujours su que j'étais une petite pute, et qu'il pensait me quitter. Je sais qu'il ment mais je veux le croire autant qu'il veut que je le croies. C'est dire. Et tour à tour, j'appelle mes amis. Mes parents. Tous. Au bout de deux heures, je sais que j'ai réduit ma vie sociale à zéro. Et jamais je n'ai autant aimé souffrir. J'appelle le directeur du lycée où je travaille également, je veux n'avoir rien auprès de quoi me raccrocher. S'il faut que je tombe, alors ce sera vraiment bas. Pas juste une perte de quelques mètres. Oh non, je tombe mais je veux m'écraser.
Et cette violence morale que je m'inflige ne me suffit plus. Je veux de la violence. De la vraie. Je me traine jusque les quartiers mal famés, le quartier où j'habite. J'insulte une pute, qui vient, me frappe, ramène ses copines et son mec. Je me prends des coups de talons dans la gueule et je ris. Oh oui je ris. Qu'est ce que ça fait du bien d'être mal ! Les quelques jours qui suivent, je les passe dans la rue, voyant joyeusement la crasse s'accumuler sur moi, les vieux déguelasses venir me voir. Je ne vis plus que pour souffrir, et je fais ça très bien. Cela fait une semaine, une semaine que je me traine, je suis couverte de bleus, de sang, de sperme. Mais ce n'est rien. Oh non ce n'est rien par rapport à l'intérieur. Car c'est l'intérieur qui est souillé et qui est sale, c'est l'intérieur qui me fait mal. J'avais réussi ma vie. J'ai réussi à la détruire en une demi journée. C'est beau non ? Et ce soir sera l'apothéose. Je me rends à l'endroit du rendez vous programmé normalement avec Lukas. Sur le pont des souvenirs. Quelle ironie n'est ce pas ? Je n'ai plus aucune notion de l'heure, c'est déjà un miracle que je ne me sois pas trompée de jour. Je me penche, et vois en bas des rochers pointus sur lesquels l'eau coule tranquillement. Parfait. Mieux encore que ce que j'esperais. J'enjambe la balustrade. Je regarde en bas, à une vingtaine de mètre sous moi. Mais je n'ai pas le courage, je tremble, je descend. Mon corps tout entier est secoué par mes larmes.
Je m'apelle Nell Disturbia Von Bolken. Que suis je devenu ? Hier j'avais réussi ma vie, j'avais un bon job, un mec qui m'aimait, un appartement, des parents et des amis. Aujourd'hui je n'ai plus rien, j'ai tout gâché, la faute à qui ? A moi. A ma connerie. Il faut que je recommence tout, que je parte, que je parte loin d'ici. Clenrband Une nouvelle vie. Un nouveau départ. J'en avais besoin, c'était essentielle. Ainsi, j'ai déménagé à Clenrband, petite ville tranquille. Le genre de ville bien rangé où les pelouses sont bien tendus et où les voitures sont bien propres... Mais les choses ne vont jamais comme je l'espère, mon appartement est cher, très cher, pourtant il n'est pas grand. Alors pour cela je travaille comme infirmière le jour et stripteaseuse la nuit, je sais ce n'est pas moral mais c'est tout ce que j'ai trouvé. Ici tout semble calme. A part une chose, un type. UN gars qui est venu au club de striptease quelques fois. Travis Harvoid, père de famille et marié. C'est le genre d'homme que l'on qualifie de respectable en tout point. Alors pourquoi il me parle, pourquoi il s'occupe de moi à ce point ?
" Et ce fut comme une délivrance. Un rire innocent s'échappa de tes lèvres, ta bouche se fit sèche. Aucun mot, aucun son. Le silence pesant qui t'enveloppait t'effrayait. Tu sentais tes forces t'abandonner, et les larmes qui coulaient sur tes joues avaient cessé. Tu avais épuisé tes réserves, même les plus profondes. Tu n'avais plus rien, désormais. Pas même une dernière larme à verser, histoire d'humidifier un peu tes lèvres. Tu ne voyais plus rien, et d'ailleurs, plus personne ne te voyait. Si fragile, si chétive. Et ce sourire qui se peignait sur ton visage pâle masquait ta douleur. Même le désespoir t'avait quitté, ce soir d'automne. Ton esprit était vide, presque autant que ton regard. Et c'est presque avec des remords que tu as essayé de tout recommencé. Ce travail, tu l'aimes ? Dis moi, c'est ça ce que tu aimes faire ? Te trémousser devant des types qui oseront plus tard te souiller ? Il ne te rende pas ton humanité. Les adieux, tu as toujours détesté ça. Alors tu t'étais contentée d'un bout de papier chiffonné égaré sur la table de la cuisine. Une simple mot pour signifier la fin. Et c'est bientôt un rire sincère qui résonnait dans cette petite salle. Un rire pur, qui s'était fait si rare ces derniers mois. Tout cet enchantement s'est dissipé lorsque tu es reparti danser devant ces monstres. Mais c'est le sourire aux lèvres que tu le fais, faire comme si, tu sais si bien le faire Nell. Et c'est avec désarroi que celui qui t'aimait a retrouvé ce morceau de papier avec griffoné au dos : « On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière et on se dit : J'ai souffert souvent, je me suis trompée quelquefois, mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui. » Tu sais Nell, tu ne deçois personne, juste toi même. Arrête ça, arrête de te faire du mal. Si tu ne le fais pas pour moi, fait le au moins pour toi. "
La colère montait en moi. Je criais presque.
"Mais tais toi ! TU SAIS RIEN ! RIEN ! Tu me connais pas ! T'es venu dans ce bar combien de fois déjà ? Trois ? TROIS ! Et tu oses me juger ! T'essaies juste de me changer en faite, comme tout le monde. Retournes avec ta femme, retourne voir ton gamin et arrête de me faire plus du mal ! T'as une vie toi, t'as un gosse qui t'attends le soir, une femme a rejoindre le soir. Alors arrête, arrête de me suivre, arrête de faire comme si tu peux tout arranger, va jouer ta vie et laisse moi détruire la mienne. C'est la façon dont la vie doit être et rien d'autre...."
Je détournai les yeux, courait jusqu'à la sortie du club, j'étais habillé comme une pute, j'avais honte. Et je courais, je courais dans la rue. J'ai peur.
Cher Journal,
J'ai décidé aujourd'hui de noircir la blancheur de tes pages afin de me délivrer de mes démons, ce sont eux qui ont faits de moi le rêve masculin. Tu seras le seul à tout savoir, il n'y a que toi sur qui je puisse compter, les autres m'ont oublié. Eux qui pensaient que ma vie était remplie d'une trop grande allégresse, eux qui pensaient que mon bonheur était le plus important à mes yeux, s'ils savaient à quel point ils se trompaient. Je passe mes journées d'une voiture à une autre, d'une chambre d'hôtel miteuse à une autre, d'une main d'homme marié à celle d'un célibataire endurci. Le matin, j'attends seule au bord d'un trottoir vêtue d'une robe bien trop courte et d'un châle couvrant mes épaules, une cigarette à la main tentant de réchauffer vainement mon âme glaciale. Le soir, j'èrre dans les rues sombres jusqu'à ce que l'on daigne vouloir de moi et la nuit se transforme en une aliénation érotique. Chacuns de mes gestes semblent mécaniques, je ne réfléchis plus, je connais tout cela par coeur. Je me dégoute. Tu sais, lorsque je croise un miroir je ne peux m'y regarder. Voir ce que je suis devenue : une femme au teint terne, les yeux cernés de noir et affectée au plus profond de sa chair d'insanités, y voir ma déchéance porterait un dernier coup fatale au restant de mon être. Je ne représente plus qu'un objet, un morceau de viande que l'on se partage afin de profiter des ultimes délices qu'il nous offre. Maintenant tu sais avec qui tu converses, tu sais qui remplie tes pages de détails insignifiants, tu sais qui je suis : une catin médiocre.
Voilà, je n'avais plus rien. Rien. La mort de Lukas a gâché ma vie. mais surtout, surtout, la nouvelle de cette chose, la magie qui est en moi. Je la hais, je hais cet source inexplicable qui coule dans mes veines. Mais je vais m'en servir pour recommencer à nouveau, plus de Londres, plus de Clenrband. Simplement Hungclaf, j'en ai entendu parlé, c'est une sorte d'Université de Magie, pour les gens comme moi. Pour les gens comme moi.
▶ PSEUDO : Ecko
▶ ÂGE : 16 ans
▶ CELEBRITE CHOISIE : Anne-Marie Van Djik
▶ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU HUNGCALF ? Sur PRD
▶ PERSONNAGE INVENTE OU SCENARIO : Inventé
▶ TAUX DE PRESENCE :6/ 7
icone by Misery Angel.
- InvitéInvité
Re: NELL || La vie est une tartine de merde qu\'il faut manger en souriant
Jeu 1 Juil 2010 - 20:53
Bienvenue (l)
AMVD est juste sublime , et j'ai un gros coup de coeur pour ton avatar
Bref bon courage pour ta fiche
AMVD est juste sublime , et j'ai un gros coup de coeur pour ton avatar
Bref bon courage pour ta fiche
- InvitéInvité
Re: NELL || La vie est une tartine de merde qu\'il faut manger en souriant
Jeu 1 Juil 2010 - 20:57
welcome ;)
- InvitéInvité
Re: NELL || La vie est une tartine de merde qu\'il faut manger en souriant
Jeu 1 Juil 2010 - 21:08
Bienvenue Nell (l)
Bon courage pour ta fiche. :D
Bon courage pour ta fiche. :D
- InvitéInvité
Re: NELL || La vie est une tartine de merde qu\'il faut manger en souriant
Jeu 1 Juil 2010 - 21:55
Merci tout le monde (l)
Oui Lust AMVD est superbe :brille:
Bon voilà j'ai terminé ma fiche :seduction:
Oui Lust AMVD est superbe :brille:
Bon voilà j'ai terminé ma fiche :seduction:
- InvitéInvité
Re: NELL || La vie est une tartine de merde qu\'il faut manger en souriant
Jeu 1 Juil 2010 - 22:12
J'adore ta fiche, j'adore le personnage. J'exige un lien, parce que deux auto-mutilateurs comme Nell & Lust ne peuvent que donner naissance à une relation absolument orgasmique. Bref, crois-moi je lis très régulièrement des fiches, mais j'ai eu un véritable coup de coeur pour le tien.
Have fun ♥
Have fun ♥
- InvitéInvité
Re: NELL || La vie est une tartine de merde qu\'il faut manger en souriant
Ven 2 Juil 2010 - 11:18
Bienvenue Null'Choute :huhu: (l)
Amuse toi bien, et fais pas trop de bêtises avec Lust, ça va finir ensanglantée cette histoire :D
Have fun (l)
Amuse toi bien, et fais pas trop de bêtises avec Lust, ça va finir ensanglantée cette histoire :D
Have fun (l)
- InvitéInvité
Re: NELL || La vie est une tartine de merde qu\'il faut manger en souriant
Ven 2 Juil 2010 - 11:32
Lust, merci beaucoup du compliment sur ma fiche ça fait très plaisir (l) Oui un lien :hysteric: Je vais allé lire ta fiche d'ailleurs avant xD
T'inquiète pas Cass on fera rien de mal
T'inquiète pas Cass on fera rien de mal