- InvitéInvité
I'm going down baby.
Mar 20 Juil 2010 - 1:16
Les choses auraient du se passer différemment, dès le départ. Nell n'arrêtait pas d'y penser sans cesse, c'était comme une musique dans sa tête. Une musique incessante et horripilante. Mais à quoi ça servait de toute façon de repenser à tout ça ? De repenser au passé ? A rien. Ça allait juste la rendre dingue comme sa grand mère. Ouais, complètement dingue. Les "si j'avais" ne servent à rien.... Mais c'était comme ça, ça aurait pu être pire en y repensant bien !
Il faisait chaud dans le petit bar, et il y avait pas mal de monde, déjà. A peine 23h, pourtant. Elle avait espéré trouver quelques ploucs de-ci delà, genre les pépés habituels quoi. Ben non, y avait autant de vieux que de jeunes, et de jeunes femmes âgées peut-être, à tout cassé, de 16 ans, maquillage compris. Elles n'avaient vraiment rien d'autre à faire hormis draguer des vieux qui pourraient avoir l'âge de leurs pères ? Sans doute de l'entrainement en vu de devenir future péripatéticienne. En gros, dans un langage courant et commun : putes. Ce à quoi elles ressemblaient déjà. Telles mères telles filles hein. Non pas qu'elle avait connu les mères, mais une mère ne laisserait pas sa fille trainer aussi tard dans des lieux remplis de mâles dont les testostérones étaient aussi remplis de spermatozoïdes qu'un ballon de baudruche gonfler d'air. Nan mais n'importe quoi ! Elle s'entendait penser là ? Elle aussi, il y a un temps, avait été réduite à cela. Mais là n'était pas le sujet. Sans même s'en rendre compte, elle venait de descendre deux verres de whisky, trois shoots de vodka, et deux vodkas pommes, sa préférée. Et elle allait peut-être finir par enchainer avec un verre de whisky en plus. Elle buvait rarement autant, et l'alcool commençait déjà à lui monter à la tête. Normal, avec la chaleur, les cries, les rires, la musiques, les verres qui trinquent, la drague. C'était devenu peu à peu un endroit oppressant, perdant de sa chaleur agréable. Un peu trop pesant à son goût. Mais elle n'était même pas sûr de pouvoir se relever. Elle tenait bien l'alcool de toute manière.
Elle ne savait même pas comment elle s'était retrouvé assise au bar, à commander de l'alcool. C'était sans doute l'une de ses mystérieuses pulsions qui apparaissent genre une fois par an, à l'occasion d'un bad ultra intensif et insupportable ou insurmontable. Genre la super bonne raison de boire jusqu'à en crever, si possible, sinon go coma éthylique. Mais elle ne comptait pas aller jusque là. L'hôpital, non merci. Bref, elle observait donc tout ce beau monde du coin de l'œil, en les regardant évoluer comme des grosses merdes, et ils savent même pas qu'ils bousillent leurs vies.
Mais elle s'en foutait. Nell avait déjà sa propre putain de vie à gérer, c'est vrai. C'était déjà pas mal, un très bon début vers un futur genre rempli de pâquerettes et de coquelicots sous un soleil de plomb. Ben voyons. Et puis quoi encore. La vodka n'avait même plus de goût, en fait. Elle lui avait déchirée la gorge quelques minutes, et puis ça s'était estompé. L'habitude, sans aucun doute. Pour l'instant, elle avait besoin d'oublier, de distraction, d'une autre vision du monde. Genre un échappatoire. Sauf que ça ne faisait qu'empirer, au final. Vraiment là, elle devrait s'arrêter. Niveau alcool hein, pas autre chose. Elle n'était pas de nature suicidaire de toute façon, malgré l'alcool ingurgité. Nell n'avait jusqu'alors jamais tenté un quelconque acte regrettable, et elle était loin d'y arriver. Oh, si une fois, mais elle préfèrait oublier. Au final, son cerveau finirait par oublier tout son passé de lui même. Une voix la tira cependant de son sombre mutisme. Merde, elle voulait rester encore seul. Passer une soirée « tranquille » genre je veux voir personne. Bah non, apparemment, les gens n'étaient pas de cet avis. Shit.
[Je sais que tu me répondras pas forcément tout de suite mais au moins le rp est fait. J'espère que le rp te convient (l)]
Il faisait chaud dans le petit bar, et il y avait pas mal de monde, déjà. A peine 23h, pourtant. Elle avait espéré trouver quelques ploucs de-ci delà, genre les pépés habituels quoi. Ben non, y avait autant de vieux que de jeunes, et de jeunes femmes âgées peut-être, à tout cassé, de 16 ans, maquillage compris. Elles n'avaient vraiment rien d'autre à faire hormis draguer des vieux qui pourraient avoir l'âge de leurs pères ? Sans doute de l'entrainement en vu de devenir future péripatéticienne. En gros, dans un langage courant et commun : putes. Ce à quoi elles ressemblaient déjà. Telles mères telles filles hein. Non pas qu'elle avait connu les mères, mais une mère ne laisserait pas sa fille trainer aussi tard dans des lieux remplis de mâles dont les testostérones étaient aussi remplis de spermatozoïdes qu'un ballon de baudruche gonfler d'air. Nan mais n'importe quoi ! Elle s'entendait penser là ? Elle aussi, il y a un temps, avait été réduite à cela. Mais là n'était pas le sujet. Sans même s'en rendre compte, elle venait de descendre deux verres de whisky, trois shoots de vodka, et deux vodkas pommes, sa préférée. Et elle allait peut-être finir par enchainer avec un verre de whisky en plus. Elle buvait rarement autant, et l'alcool commençait déjà à lui monter à la tête. Normal, avec la chaleur, les cries, les rires, la musiques, les verres qui trinquent, la drague. C'était devenu peu à peu un endroit oppressant, perdant de sa chaleur agréable. Un peu trop pesant à son goût. Mais elle n'était même pas sûr de pouvoir se relever. Elle tenait bien l'alcool de toute manière.
Elle ne savait même pas comment elle s'était retrouvé assise au bar, à commander de l'alcool. C'était sans doute l'une de ses mystérieuses pulsions qui apparaissent genre une fois par an, à l'occasion d'un bad ultra intensif et insupportable ou insurmontable. Genre la super bonne raison de boire jusqu'à en crever, si possible, sinon go coma éthylique. Mais elle ne comptait pas aller jusque là. L'hôpital, non merci. Bref, elle observait donc tout ce beau monde du coin de l'œil, en les regardant évoluer comme des grosses merdes, et ils savent même pas qu'ils bousillent leurs vies.
Mais elle s'en foutait. Nell avait déjà sa propre putain de vie à gérer, c'est vrai. C'était déjà pas mal, un très bon début vers un futur genre rempli de pâquerettes et de coquelicots sous un soleil de plomb. Ben voyons. Et puis quoi encore. La vodka n'avait même plus de goût, en fait. Elle lui avait déchirée la gorge quelques minutes, et puis ça s'était estompé. L'habitude, sans aucun doute. Pour l'instant, elle avait besoin d'oublier, de distraction, d'une autre vision du monde. Genre un échappatoire. Sauf que ça ne faisait qu'empirer, au final. Vraiment là, elle devrait s'arrêter. Niveau alcool hein, pas autre chose. Elle n'était pas de nature suicidaire de toute façon, malgré l'alcool ingurgité. Nell n'avait jusqu'alors jamais tenté un quelconque acte regrettable, et elle était loin d'y arriver. Oh, si une fois, mais elle préfèrait oublier. Au final, son cerveau finirait par oublier tout son passé de lui même. Une voix la tira cependant de son sombre mutisme. Merde, elle voulait rester encore seul. Passer une soirée « tranquille » genre je veux voir personne. Bah non, apparemment, les gens n'étaient pas de cet avis. Shit.
[Je sais que tu me répondras pas forcément tout de suite mais au moins le rp est fait. J'espère que le rp te convient (l)]
- InvitéInvité
Re: I'm going down baby.
Dim 25 Juil 2010 - 0:16
- Un samedi soir bien comme les autres, sauf qu'aujourd'hui, c'était en plein milieu des vacances ce qui fait donc que la moité des élèves n'étaient pas là, et malheureusement la plupart des gens avec qui j'ai l'habitude de sortir était dans une autre ville ou même encore dans un autre pays pour la grande majorité. Ce qui fait donc que je me retrouvai seul en ce samedi soir. Après avoir pensé un bon moment à rester seul et me regarder quelques films, même que j'ai mit le popcorn en route et commencé la filme, je décidai finalement que je devais sortir. Ce n'était pas parce que personne n'était là que je devais rester seul à me morfondre dans ma chambre. Je prit donc une petite douche rapide et allai ensuite m'habiller et sorti, à pied pour me rendre au Dressing Pony, petit pub de Norwich.
Arrivé là bas il est vrai que c'était bondé et comme à son habitude, on y retrouvait de tout. De l'oncle pervers venu mater quelques jeunes femmes se faisant toute belle pour l'occasion, jusqu'à la mère qui tente de ramener une jeune étalon dans son lit. Toujours bien amusé par cette ambiance et surtout cette clientèle, je me dirigeai vers le bar lorsque je vis quelques amis dans une banquette dans le fond du bar. J'allai les rejoindre, et partageai un pichet de rousse avec eux. Ressassant le passé et tout les coups fait ensemble, le bon temps quoi. Mais plus les pichets s'accumulaient sur la table, plus la conversation devenait salée. Puis, soudain, assise au bar, vous devinerez jamais qui j'ai vu, Nell Disturbia Von Bolken. Cette stripteaseuse et ex-prostituée que je m'amusais à faire chanter, lorsque j'étais encore un drogué doublé d'un salopard. Maintenant, je me sentais un peu coupable envers elle, et je me levai donc et allai au bar et prit un tabouret à coté de celui de Nell.
"Bonsoir Nell, tu vas bien ?"
- InvitéInvité
Re: I'm going down baby.
Dim 25 Juil 2010 - 1:33
WE ARE YOUNG, WE ARE STRONG
WE'RE NOT COOL, WE ARE FREE.
Et merde. Non, pas lui. Pas ce con. Celui qui la faisait chanter, celui qui avait découvert son passé. Nell en avait honte, ouais, de ce passé merdique. Elle haïssait ce qu'elle avait été et ce qu'elle était à présent. Depuis combien de temps ce chantage durait-il ? Elle n'en savait trop rien. Bref, ça remontait quand même. Dieu qu'elle avait pût le maudire tout de même. Il était un sacré salaud, il faut le dire ! Elle détestait faire ce qu'il voulait quand il voulait, Nell détestait obéir et faire ce qu'on lui dit tout court d'ailleurs ! Même quand elle était petite, l'obéissance n'avait jamais été son fort, et les professeurs s'en plaignaient sans cesse. Elle était insolente et immorale, ça n'avait pas changé d'ailleurs. Les gens, les professeurs, ces parents même parfois, ne cessaient de lui dire qu'elle tournerait mal. Ils n'avaient pas tord au fond.
C'était un samedi soir banal tout compte fait ! Le Pony. Des gens : jeunes, vieux, chauves, poilus, rousses, bruns, sveltes, petites, blonds... De l'alcool. Des couples. De la drague. De la drogue. De la musique. Ouais, franchement banal, mais Nell aimait être là, à observer les gens, leurs mouvements, leurs paroles, leurs gestes, leurs attitudes, leurs mimiques et tout le reste.... Oui, elle avait toujours aimer observer les gens, les dévisager jusqu'à en imaginer leurs vies.
Mais sa voix, elle ne l'aurait oubliée pour rien au monde. Elle tenta de déchiffrer ses paroles, tout en restant calme et placide, comme à son éternelle habitude. Bien... Ouais, ptéte bien, qui sait. Nell resta silencieuse, buvant sa dernière gorgée. Elle préféra ne pas lui répondre, elle n'en avait ni l'envie, ni le courage, bien que les mots bien acerbes, comme à son habitude, ne lui manquaient pas. Enfin bref, elle détourna son regard du brun, l'air blasé et nulle envie de lui parler. Putain merde, non. Comme par enchantement, Nell se leva du siège au bar où elle était assise. Comme ça. La jeune femme se retrouva bien vite sur ses pieds, malgré elle, chancelante. Merde. Putain. Fait chier. Qu'est-ce qu'il lui voulait se connard encore? Elle ferma les yeux et les rouvrit. Le flou avait un peu disparu, elle ne se sentait pas mieux, mais voyait plus clair, au moins.
Elle avait pensé, qu'elle tenait l'alcool. C'est vrai quoi ! D'habitude elle tenait très bien l'alcool ! Mais depuis quelques temps elle buvait beaucoup plus qu'elle ne devrait le faire. Au moins elle n'était pas retombé dans la drogue, c'était le principal ! Elle soupira, pour la énième fois de là soirée.
- Parfaitement bien. Qu'est ce que tu me veux encore ? T'as pas quelque chose de plus intéressant à faire de ta soirée plutôt que venir perdre ton temps à me parler.
Elle savait qu'elle n'était pas particulièrement sympathique, elle ne l'était pas souvent d'ailleurs. Mais elle n'avait pas de temps à perdre avec de tels futilités, c'était ainsi. Rien chez cette fille n'avait de sens, le sort avait frappé et pouf ! Sa vie avait lâché, comme si son existence même ne tenait plus qu'à un fil, comme si rien n'avait d'importance. Mais elle était jeune, elle était conne et que rien n'avait de sens dans ces cas là. La chaleur du bar devenait vraiment insupportable. Le monde affluait vraiment à ce moment là.
C'était un samedi soir banal tout compte fait ! Le Pony. Des gens : jeunes, vieux, chauves, poilus, rousses, bruns, sveltes, petites, blonds... De l'alcool. Des couples. De la drague. De la drogue. De la musique. Ouais, franchement banal, mais Nell aimait être là, à observer les gens, leurs mouvements, leurs paroles, leurs gestes, leurs attitudes, leurs mimiques et tout le reste.... Oui, elle avait toujours aimer observer les gens, les dévisager jusqu'à en imaginer leurs vies.
Mais sa voix, elle ne l'aurait oubliée pour rien au monde. Elle tenta de déchiffrer ses paroles, tout en restant calme et placide, comme à son éternelle habitude. Bien... Ouais, ptéte bien, qui sait. Nell resta silencieuse, buvant sa dernière gorgée. Elle préféra ne pas lui répondre, elle n'en avait ni l'envie, ni le courage, bien que les mots bien acerbes, comme à son habitude, ne lui manquaient pas. Enfin bref, elle détourna son regard du brun, l'air blasé et nulle envie de lui parler. Putain merde, non. Comme par enchantement, Nell se leva du siège au bar où elle était assise. Comme ça. La jeune femme se retrouva bien vite sur ses pieds, malgré elle, chancelante. Merde. Putain. Fait chier. Qu'est-ce qu'il lui voulait se connard encore? Elle ferma les yeux et les rouvrit. Le flou avait un peu disparu, elle ne se sentait pas mieux, mais voyait plus clair, au moins.
Elle avait pensé, qu'elle tenait l'alcool. C'est vrai quoi ! D'habitude elle tenait très bien l'alcool ! Mais depuis quelques temps elle buvait beaucoup plus qu'elle ne devrait le faire. Au moins elle n'était pas retombé dans la drogue, c'était le principal ! Elle soupira, pour la énième fois de là soirée.
- Parfaitement bien. Qu'est ce que tu me veux encore ? T'as pas quelque chose de plus intéressant à faire de ta soirée plutôt que venir perdre ton temps à me parler.
Elle savait qu'elle n'était pas particulièrement sympathique, elle ne l'était pas souvent d'ailleurs. Mais elle n'avait pas de temps à perdre avec de tels futilités, c'était ainsi. Rien chez cette fille n'avait de sens, le sort avait frappé et pouf ! Sa vie avait lâché, comme si son existence même ne tenait plus qu'à un fil, comme si rien n'avait d'importance. Mais elle était jeune, elle était conne et que rien n'avait de sens dans ces cas là. La chaleur du bar devenait vraiment insupportable. Le monde affluait vraiment à ce moment là.
- InvitéInvité
Re: I'm going down baby.
Dim 25 Juil 2010 - 2:35
- Je ne savais pas du tout pourquoi je faisais tout ça. Pourquoi j'avais quitté cette banquette où j'étais bien confortable avec des amis à passer un bon moment et à boire, quitter cette ambiance que je cherchais lorsque j'étais entré ici. Tout ça pour aller parler à une fille qui me détestait et qui devait souhaiter ma mort chaque jour de sa vie. Cette overdose avait réellement du me changer, car jamais je ne serais aller la voir, à moins d'avoir un truc à lui demander bien sûr. Mais cette fois j'y était pour me faire pardonné !? C'est à s'en rendre fou, c'était peut-être là où j'en était rendu. Perdu entre l'homme que j'étais et celui que je tente de devenir. Souvent ces temps ci j'ai vraiment de la difficulté à faire le point sur ma vie et à faire les bonnes décisions, comme avec le retour de Dely'. Cette crainte de retomber dans cet enfer de la drogue, de la fuyais tout le temps, de peur de retombé dans cet attirant tourbillon brûlant dans lequel que j'étais avec elle, avec la drogue, l'alcool et les fêtes.
Je m'avançais donc vers Nell, dans le futile espoir qu'elle m'accueille avec un air autre que celui qu'elle me réservait toujours. La chance était pas avec moi ce soir tout compte fait, car si son air n'était pas l'habituel, il était bien pire. Surement qu'elle avait bu pas mal plus que je pouvait y penser. Elle semblait vraiment plus désagréable qu'elle ne l,avait jamais été à mon égard. Surement qu'avant elle avait cette petite crainte que j'aille tout révélé sur elle si elle se montrait désagréable envers moi, l'alcool avait du lui faire oublier cette peur, car si j'étais toujours le salaud que j'étais avant, je serai partit très vite tout crier sur les toits et sur les murs de Facebook. Une chance que j'avais changer, à un point tel que lorsqu'elle chancela un peu en se relevant, je m'avançai un peu pour l'aider à reprendre équilibre sur ses pieds. Lorsqu'enfin elle me répondu, je recommençai à me demander pourquoi j'avais quitté cette banquette si confortable.
Si si, bien sûr que j'avais quelques chose de plus intéressant à faire qu'à lui parler, mais cette nouvelle raison que j'avais m'avais comme levé d'elle-même pour me trainer de force devant cette jeune femme pour la confronter et m'excuser. Mais bon, j'avais beau être devenu plus calme et plus sage, elle me provoquait quand même et j'allais pas jouer les pti chien chien tout gentil et tout mignon.
"J'étais venu pour me faire pardonné et pour te dire que j'arrêtai de te demander quoi que ce soit et que ton secret, je l'emporterai dans la tombe, mais si tu veux, je repars et on reprend tout comme avant !"
Bon, que voulez-vous ? Un peu d'humour cruel et douté c'était toujours agréable. Non ? C'est peut-être parce que vous avez pas d'humour bande de clown mal aimé. C'est donc avait un petit sourire en coin que j'attendais patiemment une réaction de sa part. Il commençait à se faire un peu plus tard et les gens entraient de plus en plus dans le petit pub. La chaleur avait donc monté considérablement et nous nous tassions tous les uns contre les autres, obligeant un rapprochement entre Nell et moi ..
- InvitéInvité
Re: I'm going down baby.
Dim 25 Juil 2010 - 12:32
I COULD BE MEAN, I COULD BE ANGRY
YOU KNOW I COULD BE JUST LIKE YOU.
Elle n'avait jamais été pressé de le revoir ça c'est sûr, après tout il lui faisait du chantage, de ce fait, elle avait toute les raisons de le haïr. Oh, bien sûr ! Techniquement, Nell se fichait de ce que les gens pouvaient penser d'elle, après tout ils trouvent toujours quelque chose à redire sur vous. Non. D'habitude ça ne l'atteignait pas, mais pas ça. Pas son passé. Depuis qu'elle était à Hung' la jeune femme avait soigneusement évité de parler de son passé, elle en avait honte de ce passé merdique, de cette vie qui l'avait trainé dans la boue. Mais au fond, elle ne voulait pas que les gens sachent ce qu'elle avait été, en vérité ça la terrifiait un peu. Nell ne voulait pas que les gens la dévisagent, dans les couloirs, aux fêtes, pendant les cours, dans la rue. Non, elle ne voulait pas de ça.
Alors oui, elle faisait ce qu'Owen, jusqu'à présent, lui avait dit de faire, parce qu'elle avait la trouille. Elle le trouvait insupportable, prétentieux et drôlement salaud. Mais en faite, la jeune femme ne le connaissait pas réellement, elle avait vu en lui ce qu'il avait voulu qu'elle voit. Elle avait trop bu, encore une fois. Une fois de trop. Sa tête tournait au rythme de la musique, douce mélodie de l'ivresse qui l'emportait. Elle avait cette impression de doux flottement, comme si rien ne pouvait venir l'importuner dans ces moments là.
Elle aurait été dans son état normal, elle n'aurait pas dit ça, parce qu'elle avait la frousse, encore et toujours. Mais là, ce soir, elle n'en avait plus rien à faire, comme si plus personne ne pouvait l'atteindre. C'était ça l'alcool, ce sentiment de puissance in mesurable mais après tous ces effets disparaissaient. God. Nell n'en croyait pas ses oreilles ! S'excuser ? sérieusement ? Il était venu pour s'excuser ? Elle sentait bizarrement le piège, elle sentait qu'elle allait se faire avoir comme pas possible. Mais, et si après tout, il disait la vérité ? Et si c'était pour de vrai ?
- T'es sérieux là ? Ça sent le traquenard mais bon, si c'est vrai, alors j'te pardonne. Mais j'te préviens si c'est un piège tu vas en baver aussi.
Elle sourit finalement à ses propres paroles. Nell n'avait rien contre Owen, rien de concret. Mais elle l'avait dit, si jamais c'était une blague ou un piège, il en baverait lui aussi. Non, Nell n'était pas et n'avait jamais été une fille bien rangé, elle était parfois complètement hystérique, loin d'être très sympathique et parfois même violente... Elle n'aimait pas qu'il y ait tant de monde, c'était étouffant, ils étaient affreusement serrés dans ce petit bar, obligeant un contact entre les deux jeunes gens.
En faite, il est vrai qu'Owen était plutôt pas mal, comme tout les garçons d'Hungcalf en faite. Mais elle ne l'avait jamais remarqué, bah c'était évident aussi, elle n'allait pas reluquer le mec qui lui faisait du chantage. Mais à vrai dire, maintenant.... *Nan, Nell sors toi cette idée de la tête, t'as bu trop d'alcool ce soir ! * Tsss, stupide conscience !
Alors oui, elle faisait ce qu'Owen, jusqu'à présent, lui avait dit de faire, parce qu'elle avait la trouille. Elle le trouvait insupportable, prétentieux et drôlement salaud. Mais en faite, la jeune femme ne le connaissait pas réellement, elle avait vu en lui ce qu'il avait voulu qu'elle voit. Elle avait trop bu, encore une fois. Une fois de trop. Sa tête tournait au rythme de la musique, douce mélodie de l'ivresse qui l'emportait. Elle avait cette impression de doux flottement, comme si rien ne pouvait venir l'importuner dans ces moments là.
Elle aurait été dans son état normal, elle n'aurait pas dit ça, parce qu'elle avait la frousse, encore et toujours. Mais là, ce soir, elle n'en avait plus rien à faire, comme si plus personne ne pouvait l'atteindre. C'était ça l'alcool, ce sentiment de puissance in mesurable mais après tous ces effets disparaissaient. God. Nell n'en croyait pas ses oreilles ! S'excuser ? sérieusement ? Il était venu pour s'excuser ? Elle sentait bizarrement le piège, elle sentait qu'elle allait se faire avoir comme pas possible. Mais, et si après tout, il disait la vérité ? Et si c'était pour de vrai ?
- T'es sérieux là ? Ça sent le traquenard mais bon, si c'est vrai, alors j'te pardonne. Mais j'te préviens si c'est un piège tu vas en baver aussi.
Elle sourit finalement à ses propres paroles. Nell n'avait rien contre Owen, rien de concret. Mais elle l'avait dit, si jamais c'était une blague ou un piège, il en baverait lui aussi. Non, Nell n'était pas et n'avait jamais été une fille bien rangé, elle était parfois complètement hystérique, loin d'être très sympathique et parfois même violente... Elle n'aimait pas qu'il y ait tant de monde, c'était étouffant, ils étaient affreusement serrés dans ce petit bar, obligeant un contact entre les deux jeunes gens.
En faite, il est vrai qu'Owen était plutôt pas mal, comme tout les garçons d'Hungcalf en faite. Mais elle ne l'avait jamais remarqué, bah c'était évident aussi, elle n'allait pas reluquer le mec qui lui faisait du chantage. Mais à vrai dire, maintenant.... *Nan, Nell sors toi cette idée de la tête, t'as bu trop d'alcool ce soir ! * Tsss, stupide conscience !
- InvitéInvité
Re: I'm going down baby.
Lun 26 Juil 2010 - 1:21
- Oui, d'habitude j'aurai du profiter de la situation avec Nell et la faire chanter pour un rien, simplement parce que ça m'amusait. Je m'amusait à la torturer avec son passé duquel elle avait honte, elle détestait ce qu'elle était et moi ça me réjouissait au plus au point, j'avais un réel plaisir à la voir souffrir. C'était semblable à piquer la sucette d'un enfant et de le regarder pleurer. Mais bon, maintenant mes nouvelles valeurs voulaient que le méchanceté gratuite soit à proscrire donc je cessai. Et il y avait aussi un peu du fait que maintenant, moi aussi j'avais un passé douteux qui me faisait honte. Pour rien au monde, je voulais redevenir celui que j'avais été pendant presque sept ans de ma vie. En plus, frôler la mort une fois dans sa vie pour de la drogue ça suffit amplement, et j'en avais eu ma dose. Ça nous faisait déjà un point en com... Mais pourquoi je me raconte ça moi !? Pourquoi je voudrais des points communs avec elle ? En plus du fait qu,elle devait me détester, par une seule fois dans ma vie je ne l'avais vu sourire. Foutu alcool, elle me faisait vraiment penser à n'importe quoi cette bitch! De toute façon, avec ce que j'avais put lui faire endurer, il y avait très peu de chance pour qu'elle puisse vouloir passer plus de temps avec ... Merde ! Encore ! J'avais vraiment du boire beaucoup pour en arrivé à de telles pensées.
Oui oui, c'était bien cela, je venais ici pour me faire pardonné et pour lui dire que j'arrêtais tout. On aurait bien put penser que c,était encore l,alcool qui se jouait de mon esprit, mais ça faisait déjà plusieurs semaines que j'y pensais, je manquais seulement d'une bonne occasion de lui parler. Cette fois c'était bien l'alcool qui m'avait poussé à aller la voir. Elle-même semblait perplexe face à mes dires, mais à ma plus grande surprise, elle me pardonna sans hésiter, mais sans pour autant ne me faire aucune menace. Riant elle même à ce qu'elle venait de dire, je ris légèrement aussi. Remarquant bien vite que c'était la première fois que je la voyais rire et même sourire. Et avec ce petit pli que sa bouche faisait, je dois avouer qu'elle était assez séduisante. Et ça, ce n'était pas l'alcool.
- "Alors, je peux t'offrir un verre pour faire la paix ?"
Peut-être un vieux réflex de charmeur, peut-être une réelle envie de signer ce traité de paix ou peut-être même avais-je envie de la connaître plus. Quoi qu'il en soit, je m'étais lancé et puis ça nous permettrais de prendre un peu plus d'air, car ici au milieu de la foule, nous étouffions, et nous étions très près l'un de l'autre. Pas que cela me dérangeait, mais c'est simplement la chaleur était un peu trop envahissante.
- InvitéInvité
Re: I'm going down baby.
Lun 26 Juil 2010 - 2:04
Il y a des histoires qui commence par "Il était une fois" et se termine par un "Il vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants..." Pourquoi dans les contes de fée pour enfant on ne parle pas du monde tel qu'il est ? Pourquoi on leur dit pas aux enfants de ce protéger de la vie ? Pourquoi on les prévient pas que tout ceci 'est qu'un jeu dangereux. Simple rêve de notre immonde subconscient. Ils devraient voir les horreurs que l'on voit au journal télévisé : la guerre, le feu, les enlèvements, les overdoses, les suicides, les meurtres, les attentats, les viols.... Les vies brisées... Pourquoi on les protège ces enfants là ? Nell, elle, n'avait pas été protégé. Ses parents à elle avaient toujours cru bon de ne rien lui cacher du monde dans lequel ils vivaient. Au final, c'était peut-être ça qui avait détruit Nell, tout connaitre des horreurs de la vie. ouais sans doute.
Au début y avait rien au début c'était bien, la nature avançait y avait pas de chemin. Puis l'homme a débarqué avec ses gros souliers, des coups de pieds dans la gueule pour se faire respecter, des routes à sens unique qu'il s'est mis à tracer, et les flèches dans la plaine se sont multipliées .
Tout ceux en qui elle avait cru étaient tombés au bord de la route qui était sa vie, la laissant continuer sa longue traversé toute seule. Il y a bien longtemps que Nell c'était enfermer dans une sorte de mutisme, c'était là qu'avaient commencé ses crises d'hystéries... Elle gardait le silence, pour ne pas crier, pour ne pas mettre à la lumière ses faiblesses. Elle arrivait plus à rire, sourire, rigoler. La raison ? Elle ne sais pas, mais tout ce qu'elle peut vous dire est que le silence est son compagnon le plus fidèle. Pourquoi ? Puisqu'il la laisse dans ses moments de tristesse, dans ses moments de rage. Il la laisse pleurer, sans qu'il la console. Oui, consoler, elle n'en a pas besoin. Son besoin, le plus vital est de rester bouche-bée, pour entendre le silence. Les gens parlent, parlent, mais elle, Nell, elle entend que des Blabla. Elle voudrait stopper tous ces bavardages inutiles, pour enfin écouter le silence, pour réfléchir à sa vie, pour penser plus calmement. Silence. Son ami, son confident, son temps. Il l'écoute, il sait quand il doit venir, ou pas. Elle ne parle pas, pour ne pas être interrompus par ces gens-là. Nell préfère entre le néant, être seule qu'écouter une bande d'ados immatures dire des moi-je-ne-sais-rien.
Elle n'aurait pu imaginer qu'Owen décide de la laisser tranquille, elle avait toujours été tériffié à l'idée qu'il puisse raconter tout sur elle et son passé. Peut-être était ce juste l'alcool qui l'avait guidé à venir faire la paix avec elle, et que demain, peut-être, il se comporterait comme le pire des salauds. En tout cas, Owen tenait mieux l'alcool que Nell apparemment ! Le pire dans l'histoire c'est qu'il aimait voir la jeune femme souffrir. Sadique. Un verre ? Comme si elle en avait pas déjà pris assez ! Il voulait la rendre complètement saoul ou quoi ? Peut importe, ça sera son dixième verre après tout !
- Pourquoi pas.... Mais un seul hein, sinon je vais plus pouvoir tenir debout.
Alors sans ci attendre, Nell rit à nouveau. C'était étrange pour quelqu'un qui n'avait pas rit depuis si longtemps ! Les deux jeunes gens s'écartèrent de la foule envahissante pour s'installer devant le bar. C'était bizarre de discuter comme cela avec celui qui l'avait fait chanter, celui qui l'avait térifié de par son chantage et ses menaces de tout raconter.
Au début y avait rien au début c'était bien, la nature avançait y avait pas de chemin. Puis l'homme a débarqué avec ses gros souliers, des coups de pieds dans la gueule pour se faire respecter, des routes à sens unique qu'il s'est mis à tracer, et les flèches dans la plaine se sont multipliées .
Tout ceux en qui elle avait cru étaient tombés au bord de la route qui était sa vie, la laissant continuer sa longue traversé toute seule. Il y a bien longtemps que Nell c'était enfermer dans une sorte de mutisme, c'était là qu'avaient commencé ses crises d'hystéries... Elle gardait le silence, pour ne pas crier, pour ne pas mettre à la lumière ses faiblesses. Elle arrivait plus à rire, sourire, rigoler. La raison ? Elle ne sais pas, mais tout ce qu'elle peut vous dire est que le silence est son compagnon le plus fidèle. Pourquoi ? Puisqu'il la laisse dans ses moments de tristesse, dans ses moments de rage. Il la laisse pleurer, sans qu'il la console. Oui, consoler, elle n'en a pas besoin. Son besoin, le plus vital est de rester bouche-bée, pour entendre le silence. Les gens parlent, parlent, mais elle, Nell, elle entend que des Blabla. Elle voudrait stopper tous ces bavardages inutiles, pour enfin écouter le silence, pour réfléchir à sa vie, pour penser plus calmement. Silence. Son ami, son confident, son temps. Il l'écoute, il sait quand il doit venir, ou pas. Elle ne parle pas, pour ne pas être interrompus par ces gens-là. Nell préfère entre le néant, être seule qu'écouter une bande d'ados immatures dire des moi-je-ne-sais-rien.
Elle n'aurait pu imaginer qu'Owen décide de la laisser tranquille, elle avait toujours été tériffié à l'idée qu'il puisse raconter tout sur elle et son passé. Peut-être était ce juste l'alcool qui l'avait guidé à venir faire la paix avec elle, et que demain, peut-être, il se comporterait comme le pire des salauds. En tout cas, Owen tenait mieux l'alcool que Nell apparemment ! Le pire dans l'histoire c'est qu'il aimait voir la jeune femme souffrir. Sadique. Un verre ? Comme si elle en avait pas déjà pris assez ! Il voulait la rendre complètement saoul ou quoi ? Peut importe, ça sera son dixième verre après tout !
- Pourquoi pas.... Mais un seul hein, sinon je vais plus pouvoir tenir debout.
Alors sans ci attendre, Nell rit à nouveau. C'était étrange pour quelqu'un qui n'avait pas rit depuis si longtemps ! Les deux jeunes gens s'écartèrent de la foule envahissante pour s'installer devant le bar. C'était bizarre de discuter comme cela avec celui qui l'avait fait chanter, celui qui l'avait térifié de par son chantage et ses menaces de tout raconter.
- InvitéInvité
Re: I'm going down baby.
Dim 15 Aoû 2010 - 22:22
- Revenons à la base, à la naissance des comptes de fées. À vrai dire, commençons par les fées elles-même. Ces belles petites fées avec leurs petites ailes, leurs petits habits et leurs cheveux blonds. Oui oui, jeune, nous avons tous été amoureux de la fée clochette cette amie de Peter Pan. Mais si seulement nous savions ce que sont réellement les fées. Loin d'être ces petites bestioles de lumières qui remplissent votre cœur de joie. Mais plutôt d'hideuses créatures malsaines et surtout diaboliques. Souvent trop bien présentées aux yeux des enfants, elles usent de leur réputation pour assouvir leurs noirs desseins. Aussi étrange que cela puisse paraître, les fées de sont pas à l'origine des contes de fées. Et si nous retournons il y a de cela des siècles, ces contes étaient plutôt des récits effrayants, souvent plein de meurtres, de bains de sang et même de viol. Très loin de blanche-neige et ses sept nains. Ces contes de fées étaient donc bien plus près de la réalité que le sont ces contes populaires que nous racontons à nos enfants avant l'heure du couché. Mais ne nous le cachons pas, les enfants d'autres fois avaient peur, peur de tout, de ce qui avait sous leur lit, dans leur placard et même dans ce qui se cachait dans les bois. C'est surement pour leur enlever cette peur qu'on a commencé à changer ces histoires, les rendant rose et beaucoup plus joyeuses. Pourtant la peur est une émotion essentiel à l'homme. Elle lui montre la limite à ne pas franchir, elle nous permet aussi de nous surpasser. La peur est primaire et essentiel à la survis de la race humaine, car sans peur nous ne serions que des crétins téméraires.
Au début y avait rien au début c'était bien, nous étions libre, nous avions nos propre lois que nous suivions . Puis les femmes sont débarquées avec leurs talons hauts, des coups de sacs à main dans les parties pour se faire respecter, des salaires égaux, et les inégalités ont penchés dans l'autre sens.
Je n'étais pas vraiment du genre à fuir les gens ou à me tenir seul dans ma chambre. C'était plutôt l'inverse, je me noyais dans les foules, j'avais beaucoup de difficultés à passer une vendredi soir seul chez moi. Je me dois de voir des gens. C'est comme plus fort que moi, la solitude ça me va pas, je commence a sentir la dépression s'installer quand je reste seul trop longtemps. C'est surement pour ça que plus jeunes je recherchais tant les fêtes, voir et trouver du monde, inévitablement je me suis fait emporter dans leur débauche à eux aussi et me suis rapidement transformé en l'animal que j'étais, l'animal qui avait fait chanter Nell pour toutes sortes de faveurs, en échange de mon silence sur le terrible que je savait de son passé. Maintenant que j'avais changé que l'animal n'était plus, j'étais venu faire la paix. À ma grande surprise, elle semblait me croire, malgré le fait qu'elle m'ait menacé de me tuer si je m'avérais lui mentir. je lui proposa donc de scellé le tout avec un verre, après m'avoir accusé de vouloir la souler, elle accepta. Nous bougeâmes donc dans cette foule de gens dont la chaleur nous suffoquait de plus en plus. Heureusement, une fois sur les tabourets du bar ils eurent droit à une bulle d'air moins étouffante.
- " Deux Jameson 1780 Rob' "
Deux verres de mon whisky préféré, comme ça au moins, même si la discussion allait mal et que ce n'était pas des plus agréables, j'aurai quelques chose de bon pour me consoler. Ainsi, nous commençâmes à parler de tout et de rien, des cours, des vacances, des sorties, je me laissa même aller jusqu'à lui parler de l'offre que j'avais reçu pour aller jouer au Quidditch chez les pros.
- InvitéInvité
Re: I'm going down baby.
Mer 18 Aoû 2010 - 17:07
Once upon a time in a land not that far away, there was a little girl. Enfin, pas si petite que cela. She used to be everything, she used to have it all ; she used to be perfect. Elle etait la fille blonde aux yeux bleus, la fille que tous les professeurs apprecient, la fille que tous les eleves aiment. Elle ne l'etrait plus, elle n'etait plus cette fille la. What happened to thatt girl ? I think she went missing. Oui, je pense qu'elle est morte, enterree dans le fin fond de son ame, l'ame de Nell. Non, Nell n'etait pas si mauvaise que cela. Elle ne l'est pas. Mais oui, cette fille la est bien morte. En echange il n'y a plus que cette fille la, la fille qui est assise a l'instant meme au bar a discuter avec l'homme qu'elle pensait ne pouvoir que hair. Sometimes, one hearth, things dissapear and why don't know where they went. But the sad part of the story is, that we can never find those things again. Yes, sometimes things dissapear, even soul, even us...
Nell n'avait jamais franchement apprecier Owen, sans doute parce que au fond il lui ressemblait beaucoup trop. Il était trop drogué, trop manipulateur, il avait été trop content de la faire chanter pendant tout ce temps. Mais bizzarement, cela aurait pu etre une chose que Nell aurait pu faire subir a quelqu'un ! Mais maintenant, la jeune femme semblait presque apprecier Owen. Enfin, malgré tout, elle n'obliait pas, pas encore. Elle ne pouvait oublier la peur et la rancoeur qu'elle avait ressenti lorsqu'il l'avait reconnu. Quand il l'avait fait chanter pendant si longtemps. Et son sourire. Oh oui ! Son sourire quand il la regardait sachant a quel point il avait du pouvoir sur elle.
Ils se mirent a parler. De tout et de rien. Ils parlerent comme si ils étaient de vieux amis avec tellements de choses a ce dire. Les regarder en cet instant c'était comme regarder une photo de famille prise par quelqu'un d'aure. On regarde les sourires sur la photo, c'est tout ce qui compte. Mais si on prend la peine de regarder de plus pres on se rend alors compte que les sourires sont forcés, une photo ne nous dit que ce que nous voulons voir, rien d'autre. Les photos, au final, ne sont rien que des mensonges des bouts de papier qui ne refletent que notre désir de bonheur.
Owen s'arreta alors de parler, la jolie blonde s'approchait dangereusement de lui. Tout semblait etre rallenti autour d'elle. Nell pouvait a présent sentir la respiration du summerbee sur son visage. Alors la jeune femme posa ses levres sur celles du jeune homme. Avec douceur. Toujours avec douceur. And his lips on hers, it was so wrong. But it felts so right. La jeune femme s'arreta alors net. Elle le fixa alors sans sciller.
- Je ne vais pas m'excuser pour ce baiser parce que je ne suis pas désolé.
Nell n'avait jamais franchement apprecier Owen, sans doute parce que au fond il lui ressemblait beaucoup trop. Il était trop drogué, trop manipulateur, il avait été trop content de la faire chanter pendant tout ce temps. Mais bizzarement, cela aurait pu etre une chose que Nell aurait pu faire subir a quelqu'un ! Mais maintenant, la jeune femme semblait presque apprecier Owen. Enfin, malgré tout, elle n'obliait pas, pas encore. Elle ne pouvait oublier la peur et la rancoeur qu'elle avait ressenti lorsqu'il l'avait reconnu. Quand il l'avait fait chanter pendant si longtemps. Et son sourire. Oh oui ! Son sourire quand il la regardait sachant a quel point il avait du pouvoir sur elle.
Ils se mirent a parler. De tout et de rien. Ils parlerent comme si ils étaient de vieux amis avec tellements de choses a ce dire. Les regarder en cet instant c'était comme regarder une photo de famille prise par quelqu'un d'aure. On regarde les sourires sur la photo, c'est tout ce qui compte. Mais si on prend la peine de regarder de plus pres on se rend alors compte que les sourires sont forcés, une photo ne nous dit que ce que nous voulons voir, rien d'autre. Les photos, au final, ne sont rien que des mensonges des bouts de papier qui ne refletent que notre désir de bonheur.
Owen s'arreta alors de parler, la jolie blonde s'approchait dangereusement de lui. Tout semblait etre rallenti autour d'elle. Nell pouvait a présent sentir la respiration du summerbee sur son visage. Alors la jeune femme posa ses levres sur celles du jeune homme. Avec douceur. Toujours avec douceur. And his lips on hers, it was so wrong. But it felts so right. La jeune femme s'arreta alors net. Elle le fixa alors sans sciller.
- Je ne vais pas m'excuser pour ce baiser parce que je ne suis pas désolé.
- InvitéInvité
Re: I'm going down baby.
Ven 27 Aoû 2010 - 9:11
Nell Nell Nell. Une simple connaissance de Poudlard. Si seulement tout ça avait été vrai, ça aurait évité à notre pauvre blondie de souffrir de mes menaces et moi, je n'aurai pas autant de remords en ce moment. Si tout c'était passé normalement aussi, ils ne se seraient jamais vraiment adressé la parole et tout les deux continueraient leur vie bien tranquille chacun de leur coté dans vraiment à avoir à ce soucier de l'autre. Sans toujours tenter de découvrir ce qui ferait souffrir l'autre de plus en plus ou tenter de deviner les plans avant qu'il les mette en place. Si seulement ce soir là j'avais décidé que pour moi aussi la soirée était terminé. C'était il y a quelques temps, je ne serais vous le dire, c'est encore trop vague dans mon esprit, mais ça date d'il y a plus d'une année ça c'est certain. J'étais sortis, avec trois ou quatre autres de mes amis c'était l'anniversaire de l'un d'eux si je me souviens bien. Nous avons donc fait la traditionnel tourné des bars et des club de strip-tease. La soirée n'avait pas été très arrosé de mon coté revenant encore d'une semaine de profonde débauche j,avais calmé le jeu pour ce soir là. Quand finalement mes comparses fêtards décidèrent qu'ils étaient trop saouls pour continuer, je décidai de me payer une dernière petite danse privée avant de partir, après tout, elles étaient là pour ça non ? Ça serait bien triste de ne pas en profiter, un gâchis même. J'entrai donc dans ce long couloir, tassant un rideau de velours rouge et m'installant sur une banquette. Seul, je m'allumai une cigarette, attendant la compagnie d'une douce jeune femme au corps si parfait et si admiré. J'étais bien loin de savoir ce m'attendait dans cette cabine. Bien loin.
Encore aujourd'hui, je me souviens de cette danse comme la meilleure qu'une femme ne m'est jamais fait. je ne sais pas si c'est seulement la façon sensuelle que ses mouvements avaient de m'hypnotiser ou du fait que j'étais persuadé que je la connaissais, que je l'avais déjà vu quelque part. Dès que sa tête blonde passa par le velours rouge, je figeai. Comme si je venais de croiser une personne que je n,avait pas vu depuis des années. Pourtant, je devais la croiser une bonne dizaine de fois par semaines. Dansant sur moi, me volant ma cigarette et me recrachant la fumée au visage, je crois même que nous avons échangé quelques baisers. Laissant un généreux pourboire à cette dame de compagnie, je repartie chez moi et allai m'écraser sur mon lit et me laissai m'échapper dans le monde des rêves. Ce n'est que le lundi suivant que tout devint clair dans ma tête. Cette strip-teaseuse, c'était Nell. Et c'est à partir de ce moment que tout devint aussi horrible, avec le chantage et les menaces...
Aujourd'hui par contre, c'était différent, j'avais quitté ma table pour tenter de me faire pardonner, pour lui dire que ce jeu ne m'intéressait plus que c'était bel et bien finis et que je m'excusais pour le mal que je suis avait causé. Je m'attendais bien à ce qu'elle me repousse, m'insulte, me gifle ou me traite de salaud. Mais rien de tout ça, c'était surement l'alcool qui lui embrouillait l'esprit, mais j'aimais mieux ça ainsi et je décidai d'en profiter. Lui offrant un verre, nous quittâmes avec bonheur cette foule suffocante. Le seul verre qu'elle m'avait promis se dédoubla et ramena même d'autre de ses amis, enfin du mon coté. Je ne pouvais même pas dire si elle en était à son premier verre avec lui ou bien son sixième. Je ne sais pas si c,est le fait que nous nous avions presque détesté durant plus d'un an et que maintenant tout était finis, mais nous parlâmes et nous parlâmes encore. De tout de rien. C'était fou, je ne me souviens même pas avoir parlé autant de toute ma vie. Puis, dans une pause je l'admirais. Oui, elle avait dansé presque complètement nue sur moi, mais je n'avais jamais prit la peine de la regardé correctement, et je vis ses yeux. Oh c'est yeux. Qui devinrent de plus en plus gros, jusqu'à se coller presque contre moi. Sentant la douceur des lèvres de Nell sur les miennes, je fermai les yeux. Je les rouvris quelques secondes après qu,elle se soit séparé de moi. Sa remarque me fit sourire. Après tout si elle ne l'était pas, pourquoi le dire ? Suivant sa logique, je m'avançait doucement d'elle à mon tour et pressa délicatement ma bouche contre la sienne, dans la même douceur dont elle avait fait usage quelques secondes plus tôt. Ragoûtant le whisky sur ses lèvres je souris encore.
Peut-être sans originalité puisqu'elle venait de me sortir la même chose quelques secondes plus tôt, mais les mots étaient dit, et ni rien ni personne ne pouvait les reprendre. Comme les gestes, une fois posés ils sont là et restent. On doit ensuite apprendre à vivre avec...
Encore aujourd'hui, je me souviens de cette danse comme la meilleure qu'une femme ne m'est jamais fait. je ne sais pas si c'est seulement la façon sensuelle que ses mouvements avaient de m'hypnotiser ou du fait que j'étais persuadé que je la connaissais, que je l'avais déjà vu quelque part. Dès que sa tête blonde passa par le velours rouge, je figeai. Comme si je venais de croiser une personne que je n,avait pas vu depuis des années. Pourtant, je devais la croiser une bonne dizaine de fois par semaines. Dansant sur moi, me volant ma cigarette et me recrachant la fumée au visage, je crois même que nous avons échangé quelques baisers. Laissant un généreux pourboire à cette dame de compagnie, je repartie chez moi et allai m'écraser sur mon lit et me laissai m'échapper dans le monde des rêves. Ce n'est que le lundi suivant que tout devint clair dans ma tête. Cette strip-teaseuse, c'était Nell. Et c'est à partir de ce moment que tout devint aussi horrible, avec le chantage et les menaces...
Aujourd'hui par contre, c'était différent, j'avais quitté ma table pour tenter de me faire pardonner, pour lui dire que ce jeu ne m'intéressait plus que c'était bel et bien finis et que je m'excusais pour le mal que je suis avait causé. Je m'attendais bien à ce qu'elle me repousse, m'insulte, me gifle ou me traite de salaud. Mais rien de tout ça, c'était surement l'alcool qui lui embrouillait l'esprit, mais j'aimais mieux ça ainsi et je décidai d'en profiter. Lui offrant un verre, nous quittâmes avec bonheur cette foule suffocante. Le seul verre qu'elle m'avait promis se dédoubla et ramena même d'autre de ses amis, enfin du mon coté. Je ne pouvais même pas dire si elle en était à son premier verre avec lui ou bien son sixième. Je ne sais pas si c,est le fait que nous nous avions presque détesté durant plus d'un an et que maintenant tout était finis, mais nous parlâmes et nous parlâmes encore. De tout de rien. C'était fou, je ne me souviens même pas avoir parlé autant de toute ma vie. Puis, dans une pause je l'admirais. Oui, elle avait dansé presque complètement nue sur moi, mais je n'avais jamais prit la peine de la regardé correctement, et je vis ses yeux. Oh c'est yeux. Qui devinrent de plus en plus gros, jusqu'à se coller presque contre moi. Sentant la douceur des lèvres de Nell sur les miennes, je fermai les yeux. Je les rouvris quelques secondes après qu,elle se soit séparé de moi. Sa remarque me fit sourire. Après tout si elle ne l'était pas, pourquoi le dire ? Suivant sa logique, je m'avançait doucement d'elle à mon tour et pressa délicatement ma bouche contre la sienne, dans la même douceur dont elle avait fait usage quelques secondes plus tôt. Ragoûtant le whisky sur ses lèvres je souris encore.
- "Je ne le suis pas non plus"
Peut-être sans originalité puisqu'elle venait de me sortir la même chose quelques secondes plus tôt, mais les mots étaient dit, et ni rien ni personne ne pouvait les reprendre. Comme les gestes, une fois posés ils sont là et restent. On doit ensuite apprendre à vivre avec...
- InvitéInvité
Re: I'm going down baby.
Lun 30 Aoû 2010 - 4:12
I can't escape myself
So many times I've lied
But there's still rage inside
Somebody get me through this nightmare
I can't control myself
- Fermez les yeux quelques secondes. Imaginez vous, vous detestez une personne depuis tellement longtemps que vous ne vous rapellez meme plus quand tout cela a commencer. Et bien sur, vous avez toutes les raisons du monde de detester cet individu. Et pourtant vous discuter avec cette personne comme si c'etait la personne que vous aimez le plus au monde, comme si c'etait le seul etre qui comptait pour le moment. Mais regardez plus pres. Vous voyez ce que je vois ? Oui ? Oui. Vous embrassez cette personne, la seule personne qui vous degoutait le plus au monde, la personne que vous vous etiez jurer de detruire. Et bien c'est ce qui arrive a Nell. Ce n'est pas simple croyez moi, tous ces sentiments contradictoires, c'est trop pour son petit coeur. Il n'y a rien de tel que le coup de foudre, ce genre de chose n'existe pas. Cela n'existe que dans les films moldus, il n'y a pas d'amour au premier regard. En tout cas pas avec Nell. Et croyez moi, moi qui compte l'histoire de cette demoiselle, il m'est difficile de suivre tout ce qui se passe dans sa tete ! Au baiser d'Owen elle se sentait comme electriser. Alors c'etait cela le sentiment qui vous envahissait quand vous embrassez votre pire ennemi ?
Pourquoi est ce qu'elle agissait ainsi ? Nell n'en avait pas la moindre idee. Mais on ne pouvait pas mettre cela sur le compte de l'alcohol, cela n'avait rien a voir avec le taux d'alcohol qui circulait dans ses veines au moment meme. Elle pouvait faire n'importe quoi : lui hurler dessus, le traiter de con, de salaud, de pouritture, le frapper, ne rien dire et lui tourner le dos.... Tellement de choses et de solutions possible, mais pas cela. Pas l'embrasser ! Nell ce rapellait de cette soiree au club de striptease ou elle travaillait, la soiree ou le cauchemar commenca... Qu'est ce qu'elle aurait fait si ce soir la, elle avait su ce qui se passerait ? Pour la jolie blonde il n'avait ete qu'un client parmi tant d'autre, un homme parmi tant d'autre. Mais pas apres. Apres il etait l'homme qui la faisait chanter, le pire homme qu'elle est jamais rencontrer... L'homme qui lui rerssemblait trop. A quel moment avait-il realiser qu'elle etait la fille du club de striptease ? Quand elle avait passer la porte de la bibliotheque ? Ou alors quand elle l'avait bousculer dans le hall sans faire expres le lundi matin ? Quand ? Quand, encore, avait il eu l'idee de cet horrible chantage ? Parce que, croyez moi, Nell ne voulait que personne ne sache, personne... Elle ne voulait pas avoir ce genre de reputation, elle voulait laisser son passe derriere elle pour de bon.
Alors pourquoi est ce qu'elle appreciait le gout des levres d'Owen ? Pourquoi est ce qu'elle appreciait la façon dont Owen avait de la devisager chaque minute un peu plus ? Pourquoi est ce qu'elle aimait la façon dont les levres du jeune homme formait un demi sourire quand elle parlait ? C'etait des questions ausquelles elle n'avait aucune reponse. Non. Ils n'avaient pas etre desoles, c'etait un baiser. Un baiser des plus innoncents, un baiser qui ne demandait rien en retard, un baiser doux.... Et pourtant, la jeune femme leva sa main droite qui alla s'etaler avec un claquement sonore sur la joue du summerbee. Well done ! Maintenant elle passait pour une fille qui ne savait pas ce qu'elle voulait, mais au fond elle etait comme cela. Elle etait en colere, heureuse et en meme temps incertaine...
- T'es vraiment un salaud tu sais. Tu crois que cest si facile d'oublier un an de chantage ? Tu sais ce que j'ai ressenti pendant tout ce temps ? Nan ? ET bien je vais te le dire, j'avais peur. ET la peur, crois moi, c'est pire que tout. C'est le pire de tout les sentiments au monde. Nell respira profondement, elle etait a present debout. Parce que la peur cela te rend plus fragile que tout, et l'aut5re le sait, l'autre en profite. Comme le lion profite de sa proie. Et aujourd'hui c'est terminer. C'etait une gentille soiree, merci pour tout mais ça ne change pas le fait que t'es le pire des salauds.
Et sur ces mots, la jeune femme tourna le dos a Owen, elle se freyait un chemin dans la foule. Elle voulait sortir d'ici... Mais bizarrement Nell voulait qu'il la suive dans la foule, qu'il la rattrape, qu'il dise son nom. N'importe quoi pour la faire ce retrourner. Et la il s'excuserait, encore une fois. Mais non. On n'ait pas dans un film. La vie de Nell n'est pas un film. Dehors il faisait froid malgre que l'on soit en ete. Nell alluma une cigarette. Qu'est ce qu'elle attendait au final ? Une excuse ? Une vraie bonne excuse cette fois ? Oui, sans doute.
- InvitéInvité
Re: I'm going down baby.
Jeu 9 Sep 2010 - 9:07
La vie n'est pas simple, loin de là même, elle est très compliquée, complexe, beaucoup plus que vous pouvez le soupçonner. Si vous croyez que la vie est simple et facile, détrompez-vous, car tôt ou tard ça vous éclatera en pleine gueule et à ce moment là ça va faire mal, très mal, croyez-moi. avant je vivais simplement, sans me poser de questions et profitant à fond de la vie, ne vivant que pour moi-même et mes propres plaisirs. Drogues, alcools, femmes, je ne connaissais aucune limite. mais un beau jour je frappai le mur et me réveilla, me rendant compte que la vie n'était pas seulement la pour nous donner des cadeaux et des plaisirs éphémères a profusions. Ce jour là, on me retrouva dans le coin le plus sombre d'une petite ruelle de Liverpool en train de convulser. Je faisais une overdose. On m'amena dans l'hôpital moldus le plus près. Là bas en me soigna et me fit un lavage d'estomac. Là-bas, aux urgences, je suis mort. Durant un peu moins de trois minutes, mon coeur cessa de battre. Bien sûr, avec leurs instruments, ils remirent la vie en moi, mais encore aujourd'hui, quelques fois, lorsque je suis seul... je me demande s'ils ont fait le bon choix. Si je ne serais pas mieux six pieds sous terre, si le monde se porterai pas mieux sans Owen Miles, si mon entourage ne serait pas soulagé par mon absence. Mais je me trompai, comme bien souvent d'ailleurs. mes porches n'en auraient pas été soulagé si j'étais mort, loin de là ils en seraient détruits. Mais il y a bine une petite portion des gens qui aimeraient me voir mort, ou du moins malade ou blessé; mes ennemies. Et malheureusement depuis cette soirée au club de strip-tease jusqu'à ce soir, Nell en faisait partie. Mais ce n'était pas le genre de haine, car elle éprouvait bien de la haine pour moi, ce n'était pas du genre qu'on ne cherche pas, celle qui tombe du ciel sans vraiment savoir pourquoi. La haine qu'elle éprouvait envers moi, je l'avais cherché et je la méritais que trop bien.
Cette soirée au Pony avait plutôt bien commencé dans l'ensemble. Un bon pichet de bière avec les potes, puis un autres et un autre et toujours plus. La bière était bonne et les femmes étaient belles. Nous avions beaucoup de plaisir, jusqu'au moment où je me décidai à aller présenter mes excuses à Nell pour tout ce que j,avais pu lui faire endurer pendant près de cinq ans. Je m'étais donc lever après un double Jack N' Coke et m'étais avancer vers elle. Lui parlant, elle semblait me pardonner, malgré quelques menaces, beaucoup plus simple et moins violent que je ne le pensais. C'est surement cela qui me déstabilisa un peu au départ. Ne sachant plus vraiment quoi dire, je lui offris un verre qu'elle accepta avec le sourire. Chose qui était encore plus étrange avec elle, car même si je ne la connaissais pas vraiment, je ne me souvenais pas l'avoir vu rire, ni même sourire. Buvant un peu plus qu'elle, nous alimentions la conversation avec les sujets les plus banales, apprenant à faire connaissant et parlant bientôt comme deux bons amis. À croire que nous avions tout deux oubliés notre relation de départ. Puis, plus de discussion, plus de bla bla ni rien. Elle m'embrassa, Voyez-vous, à ce moment précis, je me dis: pourquoi pas ? Nous sommes jeunes, beaux et célibataires, alors pourquoi se gêner, surtout qu'il était évident que nous nous attirions mutuellement, surtout avec ce petit commentaire qu'elle me lâcha après m,avoir embrasser. Voulant répondre, je m'avançais doucement et posa mes lèvres sur les siennes dans un doux baiser, lui rendant le pareil. Mais cette fois, aucune petit commentaire coquin au programme. Seulement sa main sur ma joue, provoquant un claquement sonore digne des bons vieux films à l'eau de rose. Cette fois, je n'y comprenais plus rien, mais alors plus rien du tout. Elle me sortit ensuite son speech sur la peur et tout ce que je lui avait fait endurer, mon traitant de salaud. Cette fois, je reconnaissais bien Nell, mais je préférai tout de même l,autre, celle qui était là il y a quelques minutes, celle qui m'avait embrassé, celle qui ne me rappelait pas mes remords et mes erreurs. Mon vœux fut à demi-exaucé car oui Nell la rabat-joie partie, mais l,autre n,avait pas reprit sa place, elle était juste partie, traversant la foule rapidement pour sortir du bar.
Me retournant, je vis la foule qui y était encore, seuls au bar, je l'avais oublié. Je retrouvai mal la tête blonde de Nell parmi tout ces gens, mais je savais que je devais la suivre, m,excuser réellement, ce que j'étais venu faire dès le début. Après quelques secondes sans bouger, tentant tant bien que mal de comprendre et surtout de savoir quoi faire, je traversai à mon tour la horde de client pour sortir. Je ne le savais pas vraiment, mais je sentais qu'elle était partie, surement partit fumer une clope dans un coin sombre. N'étant pas en possession de toutes mes capacités, je heurtai quelques personnes en chemin et me retrouvai enfin dehors. Voyant Nell, fumant, à ma gauche, je me dirigeait vers elle. Je n,aurais surement pas du me lever si vite en tout cas, car maintenant debout, je ressentais encore mieux l'effet de l'alcool sur mon équilibre et mes mouvements.
" Écoute Nell. Oui j'ai été un salaud, mais je m'en excuse. Sincèrement. Crois-moi, j'ai changé, c'est pour ça que je veux m'excuser aujourd'hui. Alors sincèrement je m'en excuse, je suis désolé.
Je n'avais jamais réellement été habile avec les mots et ce n'est pas aujourd'hui que ça allait changer.
Cette soirée au Pony avait plutôt bien commencé dans l'ensemble. Un bon pichet de bière avec les potes, puis un autres et un autre et toujours plus. La bière était bonne et les femmes étaient belles. Nous avions beaucoup de plaisir, jusqu'au moment où je me décidai à aller présenter mes excuses à Nell pour tout ce que j,avais pu lui faire endurer pendant près de cinq ans. Je m'étais donc lever après un double Jack N' Coke et m'étais avancer vers elle. Lui parlant, elle semblait me pardonner, malgré quelques menaces, beaucoup plus simple et moins violent que je ne le pensais. C'est surement cela qui me déstabilisa un peu au départ. Ne sachant plus vraiment quoi dire, je lui offris un verre qu'elle accepta avec le sourire. Chose qui était encore plus étrange avec elle, car même si je ne la connaissais pas vraiment, je ne me souvenais pas l'avoir vu rire, ni même sourire. Buvant un peu plus qu'elle, nous alimentions la conversation avec les sujets les plus banales, apprenant à faire connaissant et parlant bientôt comme deux bons amis. À croire que nous avions tout deux oubliés notre relation de départ. Puis, plus de discussion, plus de bla bla ni rien. Elle m'embrassa, Voyez-vous, à ce moment précis, je me dis: pourquoi pas ? Nous sommes jeunes, beaux et célibataires, alors pourquoi se gêner, surtout qu'il était évident que nous nous attirions mutuellement, surtout avec ce petit commentaire qu'elle me lâcha après m,avoir embrasser. Voulant répondre, je m'avançais doucement et posa mes lèvres sur les siennes dans un doux baiser, lui rendant le pareil. Mais cette fois, aucune petit commentaire coquin au programme. Seulement sa main sur ma joue, provoquant un claquement sonore digne des bons vieux films à l'eau de rose. Cette fois, je n'y comprenais plus rien, mais alors plus rien du tout. Elle me sortit ensuite son speech sur la peur et tout ce que je lui avait fait endurer, mon traitant de salaud. Cette fois, je reconnaissais bien Nell, mais je préférai tout de même l,autre, celle qui était là il y a quelques minutes, celle qui m'avait embrassé, celle qui ne me rappelait pas mes remords et mes erreurs. Mon vœux fut à demi-exaucé car oui Nell la rabat-joie partie, mais l,autre n,avait pas reprit sa place, elle était juste partie, traversant la foule rapidement pour sortir du bar.
Me retournant, je vis la foule qui y était encore, seuls au bar, je l'avais oublié. Je retrouvai mal la tête blonde de Nell parmi tout ces gens, mais je savais que je devais la suivre, m,excuser réellement, ce que j'étais venu faire dès le début. Après quelques secondes sans bouger, tentant tant bien que mal de comprendre et surtout de savoir quoi faire, je traversai à mon tour la horde de client pour sortir. Je ne le savais pas vraiment, mais je sentais qu'elle était partie, surement partit fumer une clope dans un coin sombre. N'étant pas en possession de toutes mes capacités, je heurtai quelques personnes en chemin et me retrouvai enfin dehors. Voyant Nell, fumant, à ma gauche, je me dirigeait vers elle. Je n,aurais surement pas du me lever si vite en tout cas, car maintenant debout, je ressentais encore mieux l'effet de l'alcool sur mon équilibre et mes mouvements.
" Écoute Nell. Oui j'ai été un salaud, mais je m'en excuse. Sincèrement. Crois-moi, j'ai changé, c'est pour ça que je veux m'excuser aujourd'hui. Alors sincèrement je m'en excuse, je suis désolé.
Je n'avais jamais réellement été habile avec les mots et ce n'est pas aujourd'hui que ça allait changer.
- InvitéInvité
Re: I'm going down baby.
Jeu 16 Sep 2010 - 22:10
oh man, where are you?
do not forget me here
i cry in silence
can you not see my tears?
when all have left me
and hope has disappared
you find me here.
- Spoiler:
- Désolé c'est extrémement nul :snif: :haaaaa:
Il n'y avait réellement rien à faire, à quoi s'attendait elle, qu'attendait-elle réellement ? Qu'Owen s'excuse, réellement, encore une fois, des milliers de fois, parce que en réalité il n'y en aurait jamais assez. Oui, ça arrivait le chantage, il suffit de pas beaucoup mais pour Nell ça n'avait aucune importance, elle voulait qu'il se souvienne et que les remords l'atteigne plus que tout. Malheureusement pour le jeune homme, elle était dans son mauvais caractère, ce soir. Elle aurait pu, faire une vraie crise de stress si elle n'avait pas réussi à se contrôler ! Nell tremblait à chaque mouvement, sa cigarette lui échappa des mains pour tomber sur le sol sale. Ces frissons auraient pu être dû au froid mais ça ne l'était pas, et puis il ne faisait pas bien froid dehors, même à cette heure ci ! Non, Nell savait ce qui allait se passer ensuite, les paroles du jeune homme allait se flouter pour qu'elle ne finisse par entendre que un son brumeux et confu, les choses autour d'elle ne serait plus que des images sombres et floutées.... Oui, Elle savait exactement ce qui allait ce passer à chaque fois, mais elle ne pouvait rien faire pour l'empêcher et elle détestait ça. Ne rien pouvoir faire et assister à ce supplice en simple victime !
Owen parlait d'excuses, elle, elle entendait sa voix, lointaine et haletant d'avoir tant couru après elle. Maintenant elle n'avait qu'une envie c'était de rentrer chez elle et de ne pas faire de crise devant Owen. Ces fameuses crises, c'était horrible vous savez ! Elle n'a le contrôle de rien dans ces moments là, même pas de son propre corps, elle entend des cris dans sa tête, des pleures dans son coeur et des hurlements au dehors, et ces hurlements c'est elle, tentant de se débattre contre ce mutisme qui l'atteint pendant ces quelques minutes. Et Nell était là, contre le sol froid et la terre humide, allongé mais consciente, consciente de tout mais inconsciente au dehors. Que devez penser Owen maintenant ? Il devait vraiment la prendre pour une folle. Et Nell se débâtait avec rage, elle voulait que ça s'arrête, que les cris dans ses oreilles s'arrêtent et que les images arrête de défiler devant ses yeux, mes images de son passé et tout ce qui y ressemblait. Le coeur de la summerbee bâtait la chamade dans sa poitrine.
Et tout ce relâcha d'un coup, comme si rien ne c'était passé. Nell pouvait voir le visage inquiet et ahuri de Owen penché vers elle. Il posait tellement de questions rien qu'avec ses yeux, s'en était déroutant ! "Je...." Nell hésita, encore sous le choc de cette nouvelle crise, "J'aurais préféré que tu ne vois pas ça, je suis désolé." La jolie blonde détourna la tête, elle ne voulait pas croiser le regard d'Owen. Il devait sûrement la trouver bizarre, après tout qui ne le penserais pas après tout cela ? "Je voulais pas te traiter comme ça, c'est vrai après tout, tu es sincère n'est ce pas ? Enfin, je veux dire dans tes excuses.... Je ne sais pas ce qui m'a pris tout à l'heure. Tu n'es pas un salaud, tu ne l'es plus... "
- InvitéInvité
Re: I'm going down baby.
Sam 18 Sep 2010 - 21:55
- Quand on y pense, dans le fond. Nell et moi nous n’étions pas si différents l’un de l’autre. Bon il est vrai qu’elle faisait dans la prostitution et le strip-tease, des boulots pas très reluisants de la société, mais bon, après tout on ne dit pas que la prostitution est le plus vieux métier du monde ? Ça doit compter au moins non ? Pas du tout ? Ah ben… Quant à moi, j’étais un drogué, un homme des bas fonds, j’étais moins que la moitié de l’homme que j’étais, trainant souvent dans des coins malfamés pour me procurer qu’une simple petite dose de mon addiction. J’étais drogué et surtout un accroc, je ne pouvais plus m’en passer, jusqu’au jour où je fis une overdose et que tout bascula, changeant mon mode de vie. Il faut dire que mourir, ça vous ouvre les yeux. Pour Nell, je ne savais pas ce qui l’avait fait changé, ce qui lui avait montré que ce qu’elle faisait n’était pas bien, que vendre son corps n’était pas une manière convenable de vivre et que se trémousser sur de la musique en enlevant ses vêtements, ce n’était pas vraiment mieux. Enfin, peu importe ce qui l’avait poussé à changer, ça avait surement fait d’elle une femme meilleure, mais bon, pour le moment je n’étais pas vraiment la personne la mieux placée pour pouvoir dire quel genre de personne Nell Von Bolken était. En faite, je ne savais pas du tout ce qui avait été l’élément déclencheur pour Nell, ce qui l’avait poussé à changer, moi ça avait été mon overdose qui m’avait ouvert les yeux sur tout, sur tout ce que je perdais et ce que je ne pourrais jamais avoir si je continuais à vivre comme ça. Peu importe ce que c’était, ça aurait bien put être un client un peu trop collant, une bagarre avec un client ou un membre de sa famille, je m’en foutais un peu, ce qui importait c’est qu’elle ait changé et qu’elle ne retourne pas dans ce milieu très peu recommandé.
J’étais enfin sortis de cette foule envahissante et surtout suffocante, car avec tout ce monde dans ce petit endroit, le mercure avait monté en flèche et ça se ressentait. C’est en bousculant quelques personnes au passage, que je sortis enfin dehors, croisant enfin Nell dehors. Je la vis échapper sa cigarette tellement elle était tremblante. Je commençais à me confondre en excuse, et incroyablement j’étais vraiment sincère et ça paraissait, mais en même temps, Nell ne semblait pas vraiment m’écouter. Puis, sans crier gare, elle tomba au sol, s’écroulant et commençant à convulser. On me raconta que c’est comme ça que je suis tombé pendant mon overdose, mais j’étais sous le choc et devant Nell, je ne pouvais rien faire. Je me réveillai lorsqu’une femme cria, alors du coup je couru prendre le portable de quelqu’un, histoire d’appeler les services d’urgence, mais à peine j’eus le temps de me retourner qu’elle était debout. Complètement ahuris, je la regardais, me demandant vraiment ce qui venait de se passer. Elle me répondit qu’elle aurait préférer que je ne vois pas ça. Mais voir quoi ? Je n’en avais aucune idée. Elle me dit ensuite qu’elle s’excusait d’avoir réagit comme elle l’avait fait plus tôt. « Oui, je sincère Nell. Je regrette vraiment ce que je t’ai fait endurer. Mais là s’il te plait viens avec moi. Après ce qui vient de ce passé, je préfère vraiment que tu rentres chez toi. »
- InvitéInvité
Re: I'm going down baby.
Mar 28 Sep 2010 - 22:44
C'était ici, la liberté.
Perdre tout espoir était la liberté.
Nell avait honte, honte d'avoir perdu le contrôle, honte de ce chantage ancien, honte d'elle même. Elle ne voulait que rentrer chez elle, se glisser dans son lit et dormir pendant des heures, s'enfouir sous les couvertures épaisses et ne plus penser à rien, même pas au lendemain. Juste dormir et oublier pendant quelques secondes le monde qui l'entourait. Elle voulait oublier les gens, ses amis, qui pourtant étaient là pour elle, mais elle n'y pouvait rien. C'était un sentiment étrange que de se sentir aussi seule et abandonnée alors que les autres essaye de vous aider. Mais c'était comme ça. Nell n'avait jamais compris pourquoi elle avait se besoin de toujours repousser les autres, de ne jamais accepter les mains qu'on lui tendait. Mais ça devait être son côté masochiste qui l'a poussait à faire ça ! Ouais, sans doute !
Il n'y a pas de mots, pas de pleures et aucun sons pour expliquer la douleur de ses fameuses crises. Nell ne ressentait que la peur et le vide puissant dans son estomac, elle ne pouvait bouger, comme coincer sur place. Et la douleur. La douleur est pire que tout, un bruit étouffé à l'intérieur d'elle même. Mais Nell sait que ces crises là ne s’arrêteront jamais, elles finiront par diminuer, mais jamais, elles ne disparaîtront... Cela, la jeune femme avait fini par le comprendre au fil du temps. Mais aujourd'hui, Owen tentait de l'aider, c'était autre chose que de la traîner dans la boue. Et Nell au fond, aimer ça l'aide du summerbee, parce que c'était inattendu mais appréciable. Nell était à présent debout, en train de s'excuser pour quelque chose que Owen ne devait sans doute pas comprendre le moins du monde ! Le jeune homme lui proposait de rentrer, de ne pas rester là, de rentrer chez elle. La jolie blonde fit un faible sourire en guise de réponse. Cette soirée était un vrai bazzart au final.... "Oui, bonne idée, je vais rentrer..." Nell marchait, laissant le jeune homme loin derrière elle, il était immobile et elle s'éloignait. Laissant les détails de cette soirée derrière.
Il n'y a pas de mots, pas de pleures et aucun sons pour expliquer la douleur de ses fameuses crises. Nell ne ressentait que la peur et le vide puissant dans son estomac, elle ne pouvait bouger, comme coincer sur place. Et la douleur. La douleur est pire que tout, un bruit étouffé à l'intérieur d'elle même. Mais Nell sait que ces crises là ne s’arrêteront jamais, elles finiront par diminuer, mais jamais, elles ne disparaîtront... Cela, la jeune femme avait fini par le comprendre au fil du temps. Mais aujourd'hui, Owen tentait de l'aider, c'était autre chose que de la traîner dans la boue. Et Nell au fond, aimer ça l'aide du summerbee, parce que c'était inattendu mais appréciable. Nell était à présent debout, en train de s'excuser pour quelque chose que Owen ne devait sans doute pas comprendre le moins du monde ! Le jeune homme lui proposait de rentrer, de ne pas rester là, de rentrer chez elle. La jolie blonde fit un faible sourire en guise de réponse. Cette soirée était un vrai bazzart au final.... "Oui, bonne idée, je vais rentrer..." Nell marchait, laissant le jeune homme loin derrière elle, il était immobile et elle s'éloignait. Laissant les détails de cette soirée derrière.
FIN DU RP
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