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Mya E. Barett- Lorsqu'une poussière d'ange nous tombe dedant....
Jeu 12 Aoû 2010 - 20:16
- BarettMya Elizabeth
DATE ET LIEU DE NAISSANCE: 15 octobre 1986 ; Dublin. NATIONALITE : Irlandaise ISSU D'UNE FAMILLE : sorcière CLASSE SOCIALE : aisée OPTIONS CHOISIES: Potion, DCFM, Sortilège, etude des runes PATRONUS : Un chat BAGUETTE : 22 centimètres, bois de Sureau, crin de licorne. |
Raconte-moi Une Belle Histoire.
.
«Dis papa quand je vais avoir ma lettre?»
«Dans deux ans»
«Mais… c’est long deux ans!»
«Je sais princesse, mais c’est comme ça»
J’avais neuf ans, et maintenant je boudais malgré l’immense crème glacée devant moi. Il était rare que je voie mon père et je n’avais pas envie de faire la gueule les rares moments que l’on se voyait. Mais il me manquait terriblement et je m’en rappelais à chaque fois que je le voyais. Aujourd’hui, c’était ma fête et il m’avait emmené dans mon restaurant favori, comme à chaque année depuis le divorce d’avec maman. Dans cette séparation, maman était partie avec la maison, la voiture et moi. Elle acceptait à contrecœur de me partager avec mon père le temps de quelques journées. Rares étaient les fois où j’avais pu passer plus qu’un jour entier avec lui. Possessive, maman avait peur qu’un jour je fugue et je me réfugie chez mon père. Elle faisait donc tout pour que je puisse le connaître le moins possible. Mais elle ne se rendait pas compte que ses efforts ne fonctionnaient pas. J’adorais mon père et de toute façon à mes 11 ans j’irais vivre chez lui. C’était entendu depuis leur séparation et j’attendais ce moment avec impatience. Papa soupira, vint me prendre dans ses bras et comme d’habitude, il réussit à me faire rire, à me changer les idées, à redevenir le papa que j’aimais. Une fois revenue à la maison, je pris le calendrier que Larry, le nouveau mari de ma mère, m’avait donné pour ma fête et j’y inscris une croix. Je comptai les jours qui me séparaient de mon déménagement depuis.
À onze ans j’entrai finalement à Poudlard, après mon premier été passé chez mon père. J’avais appris à connaître un homme que finalement je ne connaissais pas. Mais lentement mais sûrement, il devint l’homme que je respectais le plus au monde. Mes études à l’école de magie se passèrent sous la bannière jaune et noire. Élève modèle et studieuse, j’arrivais a être première de classe dans tous les domaines. Mais je travaillais durement pour obtenir ces points. Je revins donc chez mon père avec un bulletin qui découragea ma mère de l’accusé d’une quelconque mauvaise influence. De toute façon, papa était assez strict avec l’école : il ne dirait rien sur mes activités scolaires tant que mes notes seraient acceptables. Et pour lui, pour le rendre fier, je me suis surpassée. Surtout en Défense contre les forces du mal puisqu’il était un auror enseignant cette matière à Hungcalf lors de mes premières années à l’école.
Dans mes amis, il eut Charles Wisterson. Un garçon qui me faisait rire et qui était franchement maladroit. Cette gaucherie m’avait attendrie et à l’âge de douze ans, nous avons décidé de former un couple. Bien sûr, à cet âge, on ne comprend pas réellement ce qu’est l’amour et on tente d’imiter les plus vieux. Mais, rapidement, je compris ce qu’était ce sentiment et je découvris le profond amour que j’avais pour Charles. Bien qu’il eut des hauts et des bas dans notre couple, jamais nous ne nous sommes quittés. Nous étions devenus LE couple de l’école, ceux que les gens ne pouvaient pas voir séparer. C’était bien ainsi. Car jamais je ne me serais vu séparer de Charles. Je graduai de Poudlard, en septième année, avec une mention d’honneur et le ministère de la magie m’attribua une bourse d’études pour continuer mes études à Hungcalf afin de devenir Auror, tout comme mon père. Charles décida de me suivre à l’Université et nous nous installâmes à Norwich dans notre premier appartement. Notre premier nid d’amour.
«Je t’aime»
«Moi aussi»
Quelque mot susurré après une nuit charnelle où Charles m’avait fait sienne une fois de plus. Couverte de sueur, nue sous un drap, je regardai les pupilles de l’homme qui faisait battre mon cœur depuis mes douze ans. Il prit ma main, noua ses doigts au mien et vint m’embrasser avec douceur. Je frissonnai d’amour. Comment cet homme réussissait à me faire vibrer après tant d’années? Je l’ignorais. Mais je priai le ciel qu’il ne perde jamais ce secret. Alors que je me perdais dans ses yeux azur, je sentis quelque chose glissé à mon doigt, baissant les yeux je regardais cette bague qu’il me glissait avec douceur.
«Épouse-moi»
Je le regardais avec stupeur. Les yeux brillants devant cette preuve d’amour immense, j’avais la certitude maintenant que Charles était l’homme de ma vie. Lorsqu’il me demanda d’être sa femme, je réalisai à quel point je ne pouvais imaginer ma vie sans lui et que pour toujours je serais sienne. C’est les yeux brillants de larme que j’acceptai sa demande dans une autre danse charnelle sous cette lune silencieuse.
L’annonce de nos fiançailles apporta une tonne de réactions. Se marier à 18 ans (nous voulions prendre le temps de tout préparer) était certes jeune, mais Charles et moi étions ensemble depuis déjà longtemps et tout cela allait continuer. Mon père n’avait pas été trop chaud à cette idée, je pus le lire dans son visage. Mais il nous donna sa bénédiction et assura Charles que déjà, il faisait parti le la famille Barrett. Mes amis eurent à peu près cette même réaction. Surpris au départ, ils avaient rapidement approuvé ce choix et j’eus d’excellents amis pour m’aider à préparer ce mariage qui allait se tenir dans un an. Ma mère, ce fut une autre histoire. Jamais je n’ai vu quelqu’un d’aussi hystérique et paniqué dans ma vie. Larry a du retenir maman pour qu’elle ne frappe pas Charles et elle nous chassa de sa maison en pleure, me traitant d’idiote et de traîner. Cette réaction me brisa le cœur et toute la nuit, je pleurai contre mon futur époux qui était aussi déboussolé que moi. Le lendemain, ma mère vint s’excuser. Mais elle me fit rapidement comprendre qu’elle n’approuvait pas notre choix. Elle s’était mariée très jeune avec mon père et craignait le même scénario.
L’été de nos dix-huit ans, Charles et moi nous nous sommes mariés en Irlande, sur le vaste terrain du domaine de ma mère. Comme le voulait la tradition, je descendis l’allée avec au bras mon père qui avait la larme à l’œil, je vis mon Charles…celui qui allait devenir mien… Mon cœur ne battait que pour lui alors que tout le monde regardait la robe que j’avais pris une éternité à trouver. Je dis le fameux «oui je le veux» et sous un tonnerre d’applaudissements j’embrassai mon nouveau mari. J’allai ensuite serrer mes parents dans mes bras et du subir de longues heures d’exclamation sur ma robe de la part de mes amies C’est aussi là que je vis ma mère pour la dernière fois. Elle coupa les ponts envers moi et Charles depuis ce jour. J’ignore encore si elle demande de mes nouvelles à mon père.
Charles fit sa première année avec moi à Hungcalf et nous étions tout simplement heureux. Nous venions de nous acheter une maison à Norwich, nos notes scolaires étaient bonnes, nous voyons encore nos amis et nous étions totalement amoureux. Mais lorsque le bonheur est trop parfait, la réalité nous rattrape et souvent de manière très brutale. Étant né dans une famille entièrement moldu, Charles avait toujours eu de la difficulté à faire avaler à sa famille qu’il était un sorcier. Ils avaient toléré son changement scolaire –eux qui avaient rêvé d’avoir un fils médecins- et s’était résignée à ce qu’il épouse une sorcière. Mais il allait devoir faire son service militaire comme tous les membres de sa famille et cela était obligatoire.
«Je ne veux pas»
«Mya….»
«C’est dangereux Charles. C’est la guerre. La guerre moldu. Tu ne pourras même pas te servir de ta baguette. C’est a coup de flingue et de bombe que tu vas te battre»
«J’essaierai d’être dans les convois humanitaires»
«Je ne veux pas»
«Écoute, c’est que cinq ans. Trois ans ont donné et après, ils ne diront plus rien. Sur qui je suis, sur ce que nous construisons ensemble. Que cinq ans...»
C’est à contrecœur qu’à mes dix-neuf ans je regardai mon amoureux s’inscrire dans l’armée de l’Angleterre. Comme il me l’avait promis, il réussit à se faire assigner les missions humanitaires. Je perdais ainsi mon époux plusieurs mois par années alors qu’il défendant des pays en pleine guerre civile. Pour me rassurer, pour m’éviter de trop y penser, mes amis s’occupaient de mon cas et j’avais rarement des temps à moi. Ces temps de libre, je les consacrai à aller voir mon père qui me manquait terriblement. L’école, les amis et ma famille prenant tout mon temps, j’arrivais à passer les longs mois sans mon Charles et je rattrapais le temps perdu à son retour, l’aimant encore plus fort, encore plus grand, encore plus passionnément.
Janvier de cette année nous apporta une belle surprise à Charles et moi. Alors que j’avais des doutes, un teste de grossesses me confirma que j’étais enceinte. Bébé inattendu, certes, mais tout de même espéré. J’avais commencé à songer fonder une famille avec Charles après les études, mais la vie nous avait pris de cours. En revenant d’une mission, j’appris a mon époux la merveilleuse nouvelle et, en sautant dans mes bras, il me jura qu’il quitterait l’armée le plus rapidement possible pour s’occuper de nous trois. Mon père accueillit la nouvelle avec émerveillement. Il semblait plus heureux que moi de cette nouvelle et me promis que ce nouveau brin de vie ne cesserait pas ma dernière année d’étude puisqu’il allait s’en occuper si j’en avais besoin. Les larmes aux yeux je remerciai mon père d’être si extraordinaire et je remerciai le ciel de tant d’amour. Mes amis ne furent pas surpris, après notre mariage précoce, plus rien ne les étonnait de Charles et moi. Je ne sus jamais la réaction de ma mère. Si mon père avait cru bon de me la cacher, je préférais ne pas la savoir. Charles parti donc en mission humanitaire, sa dernière, alors que j’en étais a mon deuxième mois de grossesse, il allait revenir lorsque j’en serai à sept et nous allions pouvoir préparer la maison déjà assez grande pour accueillir un enfant.
La dernière semaine d’examen à Hungcalf, je reçus une visite qui dévasta ma vie. Charles. Mon Charles. Mon adoré. Venait de se faire tuer. Toucher d’une balle lors d’une fusillade d’une guerre de gang au nord de l’Afrique. Une balle avait transpercé le cœur de celui qui faisait battre le mien. Dévastée, abattue, je dus préparer son enterrement. Je ne pus voir son visage une dernière fois puisque le cercueil avait été fermé. Mon cœur était en miette. Qu’allais-je devenir sans lui, avec cette poussière qui grandissait dans mon ventre? Ce bébé qui était une partie de Charles? J’eus droit à un psy, payé par l’armée. Psy que j’allai consulter au besoin.
Donc me voila, Mya Elizabeth Barrett. De retour après un été où je me suis coupée du reste du monde. Mon père m’a prise sous son aile et je suis restée chez lui à pleurer la mort de mon unique amour et à craindre la naissance du bébé. Maintenant enceinte de six mois, je frôle le plancher d’Hungcalf en espérant me réveiller d’un été affreux. Le bébé est attendu pour le mois de décembre et d’ici là, je tenterai de combattre ma peine. Pour moi, pour papa, pour le bébé et pour Charles qui me surveille là-haut.
«Dans deux ans»
«Mais… c’est long deux ans!»
«Je sais princesse, mais c’est comme ça»
J’avais neuf ans, et maintenant je boudais malgré l’immense crème glacée devant moi. Il était rare que je voie mon père et je n’avais pas envie de faire la gueule les rares moments que l’on se voyait. Mais il me manquait terriblement et je m’en rappelais à chaque fois que je le voyais. Aujourd’hui, c’était ma fête et il m’avait emmené dans mon restaurant favori, comme à chaque année depuis le divorce d’avec maman. Dans cette séparation, maman était partie avec la maison, la voiture et moi. Elle acceptait à contrecœur de me partager avec mon père le temps de quelques journées. Rares étaient les fois où j’avais pu passer plus qu’un jour entier avec lui. Possessive, maman avait peur qu’un jour je fugue et je me réfugie chez mon père. Elle faisait donc tout pour que je puisse le connaître le moins possible. Mais elle ne se rendait pas compte que ses efforts ne fonctionnaient pas. J’adorais mon père et de toute façon à mes 11 ans j’irais vivre chez lui. C’était entendu depuis leur séparation et j’attendais ce moment avec impatience. Papa soupira, vint me prendre dans ses bras et comme d’habitude, il réussit à me faire rire, à me changer les idées, à redevenir le papa que j’aimais. Une fois revenue à la maison, je pris le calendrier que Larry, le nouveau mari de ma mère, m’avait donné pour ma fête et j’y inscris une croix. Je comptai les jours qui me séparaient de mon déménagement depuis.
À onze ans j’entrai finalement à Poudlard, après mon premier été passé chez mon père. J’avais appris à connaître un homme que finalement je ne connaissais pas. Mais lentement mais sûrement, il devint l’homme que je respectais le plus au monde. Mes études à l’école de magie se passèrent sous la bannière jaune et noire. Élève modèle et studieuse, j’arrivais a être première de classe dans tous les domaines. Mais je travaillais durement pour obtenir ces points. Je revins donc chez mon père avec un bulletin qui découragea ma mère de l’accusé d’une quelconque mauvaise influence. De toute façon, papa était assez strict avec l’école : il ne dirait rien sur mes activités scolaires tant que mes notes seraient acceptables. Et pour lui, pour le rendre fier, je me suis surpassée. Surtout en Défense contre les forces du mal puisqu’il était un auror enseignant cette matière à Hungcalf lors de mes premières années à l’école.
Dans mes amis, il eut Charles Wisterson. Un garçon qui me faisait rire et qui était franchement maladroit. Cette gaucherie m’avait attendrie et à l’âge de douze ans, nous avons décidé de former un couple. Bien sûr, à cet âge, on ne comprend pas réellement ce qu’est l’amour et on tente d’imiter les plus vieux. Mais, rapidement, je compris ce qu’était ce sentiment et je découvris le profond amour que j’avais pour Charles. Bien qu’il eut des hauts et des bas dans notre couple, jamais nous ne nous sommes quittés. Nous étions devenus LE couple de l’école, ceux que les gens ne pouvaient pas voir séparer. C’était bien ainsi. Car jamais je ne me serais vu séparer de Charles. Je graduai de Poudlard, en septième année, avec une mention d’honneur et le ministère de la magie m’attribua une bourse d’études pour continuer mes études à Hungcalf afin de devenir Auror, tout comme mon père. Charles décida de me suivre à l’Université et nous nous installâmes à Norwich dans notre premier appartement. Notre premier nid d’amour.
«Je t’aime»
«Moi aussi»
Quelque mot susurré après une nuit charnelle où Charles m’avait fait sienne une fois de plus. Couverte de sueur, nue sous un drap, je regardai les pupilles de l’homme qui faisait battre mon cœur depuis mes douze ans. Il prit ma main, noua ses doigts au mien et vint m’embrasser avec douceur. Je frissonnai d’amour. Comment cet homme réussissait à me faire vibrer après tant d’années? Je l’ignorais. Mais je priai le ciel qu’il ne perde jamais ce secret. Alors que je me perdais dans ses yeux azur, je sentis quelque chose glissé à mon doigt, baissant les yeux je regardais cette bague qu’il me glissait avec douceur.
«Épouse-moi»
Je le regardais avec stupeur. Les yeux brillants devant cette preuve d’amour immense, j’avais la certitude maintenant que Charles était l’homme de ma vie. Lorsqu’il me demanda d’être sa femme, je réalisai à quel point je ne pouvais imaginer ma vie sans lui et que pour toujours je serais sienne. C’est les yeux brillants de larme que j’acceptai sa demande dans une autre danse charnelle sous cette lune silencieuse.
L’annonce de nos fiançailles apporta une tonne de réactions. Se marier à 18 ans (nous voulions prendre le temps de tout préparer) était certes jeune, mais Charles et moi étions ensemble depuis déjà longtemps et tout cela allait continuer. Mon père n’avait pas été trop chaud à cette idée, je pus le lire dans son visage. Mais il nous donna sa bénédiction et assura Charles que déjà, il faisait parti le la famille Barrett. Mes amis eurent à peu près cette même réaction. Surpris au départ, ils avaient rapidement approuvé ce choix et j’eus d’excellents amis pour m’aider à préparer ce mariage qui allait se tenir dans un an. Ma mère, ce fut une autre histoire. Jamais je n’ai vu quelqu’un d’aussi hystérique et paniqué dans ma vie. Larry a du retenir maman pour qu’elle ne frappe pas Charles et elle nous chassa de sa maison en pleure, me traitant d’idiote et de traîner. Cette réaction me brisa le cœur et toute la nuit, je pleurai contre mon futur époux qui était aussi déboussolé que moi. Le lendemain, ma mère vint s’excuser. Mais elle me fit rapidement comprendre qu’elle n’approuvait pas notre choix. Elle s’était mariée très jeune avec mon père et craignait le même scénario.
L’été de nos dix-huit ans, Charles et moi nous nous sommes mariés en Irlande, sur le vaste terrain du domaine de ma mère. Comme le voulait la tradition, je descendis l’allée avec au bras mon père qui avait la larme à l’œil, je vis mon Charles…celui qui allait devenir mien… Mon cœur ne battait que pour lui alors que tout le monde regardait la robe que j’avais pris une éternité à trouver. Je dis le fameux «oui je le veux» et sous un tonnerre d’applaudissements j’embrassai mon nouveau mari. J’allai ensuite serrer mes parents dans mes bras et du subir de longues heures d’exclamation sur ma robe de la part de mes amies C’est aussi là que je vis ma mère pour la dernière fois. Elle coupa les ponts envers moi et Charles depuis ce jour. J’ignore encore si elle demande de mes nouvelles à mon père.
Charles fit sa première année avec moi à Hungcalf et nous étions tout simplement heureux. Nous venions de nous acheter une maison à Norwich, nos notes scolaires étaient bonnes, nous voyons encore nos amis et nous étions totalement amoureux. Mais lorsque le bonheur est trop parfait, la réalité nous rattrape et souvent de manière très brutale. Étant né dans une famille entièrement moldu, Charles avait toujours eu de la difficulté à faire avaler à sa famille qu’il était un sorcier. Ils avaient toléré son changement scolaire –eux qui avaient rêvé d’avoir un fils médecins- et s’était résignée à ce qu’il épouse une sorcière. Mais il allait devoir faire son service militaire comme tous les membres de sa famille et cela était obligatoire.
«Je ne veux pas»
«Mya….»
«C’est dangereux Charles. C’est la guerre. La guerre moldu. Tu ne pourras même pas te servir de ta baguette. C’est a coup de flingue et de bombe que tu vas te battre»
«J’essaierai d’être dans les convois humanitaires»
«Je ne veux pas»
«Écoute, c’est que cinq ans. Trois ans ont donné et après, ils ne diront plus rien. Sur qui je suis, sur ce que nous construisons ensemble. Que cinq ans...»
C’est à contrecœur qu’à mes dix-neuf ans je regardai mon amoureux s’inscrire dans l’armée de l’Angleterre. Comme il me l’avait promis, il réussit à se faire assigner les missions humanitaires. Je perdais ainsi mon époux plusieurs mois par années alors qu’il défendant des pays en pleine guerre civile. Pour me rassurer, pour m’éviter de trop y penser, mes amis s’occupaient de mon cas et j’avais rarement des temps à moi. Ces temps de libre, je les consacrai à aller voir mon père qui me manquait terriblement. L’école, les amis et ma famille prenant tout mon temps, j’arrivais à passer les longs mois sans mon Charles et je rattrapais le temps perdu à son retour, l’aimant encore plus fort, encore plus grand, encore plus passionnément.
Janvier de cette année nous apporta une belle surprise à Charles et moi. Alors que j’avais des doutes, un teste de grossesses me confirma que j’étais enceinte. Bébé inattendu, certes, mais tout de même espéré. J’avais commencé à songer fonder une famille avec Charles après les études, mais la vie nous avait pris de cours. En revenant d’une mission, j’appris a mon époux la merveilleuse nouvelle et, en sautant dans mes bras, il me jura qu’il quitterait l’armée le plus rapidement possible pour s’occuper de nous trois. Mon père accueillit la nouvelle avec émerveillement. Il semblait plus heureux que moi de cette nouvelle et me promis que ce nouveau brin de vie ne cesserait pas ma dernière année d’étude puisqu’il allait s’en occuper si j’en avais besoin. Les larmes aux yeux je remerciai mon père d’être si extraordinaire et je remerciai le ciel de tant d’amour. Mes amis ne furent pas surpris, après notre mariage précoce, plus rien ne les étonnait de Charles et moi. Je ne sus jamais la réaction de ma mère. Si mon père avait cru bon de me la cacher, je préférais ne pas la savoir. Charles parti donc en mission humanitaire, sa dernière, alors que j’en étais a mon deuxième mois de grossesse, il allait revenir lorsque j’en serai à sept et nous allions pouvoir préparer la maison déjà assez grande pour accueillir un enfant.
La dernière semaine d’examen à Hungcalf, je reçus une visite qui dévasta ma vie. Charles. Mon Charles. Mon adoré. Venait de se faire tuer. Toucher d’une balle lors d’une fusillade d’une guerre de gang au nord de l’Afrique. Une balle avait transpercé le cœur de celui qui faisait battre le mien. Dévastée, abattue, je dus préparer son enterrement. Je ne pus voir son visage une dernière fois puisque le cercueil avait été fermé. Mon cœur était en miette. Qu’allais-je devenir sans lui, avec cette poussière qui grandissait dans mon ventre? Ce bébé qui était une partie de Charles? J’eus droit à un psy, payé par l’armée. Psy que j’allai consulter au besoin.
Donc me voila, Mya Elizabeth Barrett. De retour après un été où je me suis coupée du reste du monde. Mon père m’a prise sous son aile et je suis restée chez lui à pleurer la mort de mon unique amour et à craindre la naissance du bébé. Maintenant enceinte de six mois, je frôle le plancher d’Hungcalf en espérant me réveiller d’un été affreux. Le bébé est attendu pour le mois de décembre et d’ici là, je tenterai de combattre ma peine. Pour moi, pour papa, pour le bébé et pour Charles qui me surveille là-haut.
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PSEUDO : Gizmo
ÂGE : 20 ans tout rond
CELEBRITE CHOISIE : Alexi Bledel
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU HUNGCALF ? DC de Leah et Sean…donc cest plus un TC…. XD
PERSONNAGE INVENTE OU SCENARIO : Inventé
TAUX DE PRESENCE :... 102/ 7
- InvitéInvité
Re: Mya E. Barett- Lorsqu'une poussière d'ange nous tombe dedant....
Jeu 12 Aoû 2010 - 20:19
PREUMSSSSSSSSSSS :brille:
Re bienvenue ma belle Bonne chance pour ta fiche, hate de lire cela ;)
ALEXIS :baveuh: :cracrac:
Re bienvenue ma belle Bonne chance pour ta fiche, hate de lire cela ;)
ALEXIS :baveuh: :cracrac:
- InvitéInvité
Re: Mya E. Barett- Lorsqu'une poussière d'ange nous tombe dedant....
Jeu 12 Aoû 2010 - 20:23
Merci :)
- InvitéInvité
Re: Mya E. Barett- Lorsqu'une poussière d'ange nous tombe dedant....
Jeu 12 Aoû 2010 - 20:52
ALEXIS WOOOOOW tu as tellement bien choisi mon amour :hysteric: :inlove:
Hâte de voir ce que ça va donner ! :D
Re-rebienvenuuuue
Hâte de voir ce que ça va donner ! :D
Re-rebienvenuuuue
- InvitéInvité
Re: Mya E. Barett- Lorsqu'une poussière d'ange nous tombe dedant....
Jeu 12 Aoû 2010 - 21:09
MERCI METEO :inlove:
- InvitéInvité
Re: Mya E. Barett- Lorsqu'une poussière d'ange nous tombe dedant....
Jeu 12 Aoû 2010 - 21:25
Re bienvenue ma belle
- InvitéInvité
Re: Mya E. Barett- Lorsqu'une poussière d'ange nous tombe dedant....
Jeu 12 Aoû 2010 - 23:20
Bienvenue Miss Barett (l)
Bon courage pour la fiche
Bon courage pour la fiche
- InvitéInvité
Re: Mya E. Barett- Lorsqu'une poussière d'ange nous tombe dedant....
Ven 13 Aoû 2010 - 6:48
DOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONE
punaise jai jamais écrit une fiche aussi rapidement
punaise jai jamais écrit une fiche aussi rapidement
- InvitéInvité
Re: Mya E. Barett- Lorsqu'une poussière d'ange nous tombe dedant....
Ven 13 Aoû 2010 - 6:54
:brille: j'aime, j'aime j'aime :hysteric:
Ma Mya!!! Le lien entre nos perso j'ai trop hate :lovers:
Ma Mya!!! Le lien entre nos perso j'ai trop hate :lovers:
- InvitéInvité
Re: Mya E. Barett- Lorsqu'une poussière d'ange nous tombe dedant....
Ven 13 Aoû 2010 - 15:29
Rebienvenue ma belle (l)(l) :brille:
J'aime bien Mya, en plus avec Alexis :brille: :baveuh:
Et son histoire avec son mari est toute triste, j'ai hâte de voir comment elle sera maintenant qu'elle a perdue celui qu'elle aime :grandsyeux:
Bref, je te valide mi amor (l)
Bon jeu avec la demoiselle !!!!!
J'aime bien Mya, en plus avec Alexis :brille: :baveuh:
Et son histoire avec son mari est toute triste, j'ai hâte de voir comment elle sera maintenant qu'elle a perdue celui qu'elle aime :grandsyeux:
Bref, je te valide mi amor (l)
Bon jeu avec la demoiselle !!!!!
- InvitéInvité
Re: Mya E. Barett- Lorsqu'une poussière d'ange nous tombe dedant....
Ven 13 Aoû 2010 - 15:30
ASHHHHHHHHHHHHHHH RILEY :cracrac: merci
- InvitéInvité
Re: Mya E. Barett- Lorsqu'une poussière d'ange nous tombe dedant....
Ven 13 Aoû 2010 - 15:34
RE-BIENVENUE BEAUTÉ
- InvitéInvité
Re: Mya E. Barett- Lorsqu'une poussière d'ange nous tombe dedant....
Ven 13 Aoû 2010 - 15:35
Merci :hysteric:
- InvitéInvité
Re: Mya E. Barett- Lorsqu'une poussière d'ange nous tombe dedant....
Ven 13 Aoû 2010 - 15:37
RE-BIENVENUE MON CANARDDD :brille: