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Appartement de Dolce P. Strowtofsky & Aleksei Sinwaith
Jeu 19 Aoû 2010 - 13:56
Appartement de Dolce P. Strowtofsky & Aleksei Sinwaith
♦ Description par Dolce P. Strowtofsky ♦
« Ils nous ont promis des jours faciles
Pauvres imbéciles
Ils nous ont permis des vies dociles
Sans douce folie, sans poésie
L’ennui au fil des nuits sans fin
Fit de nous de joyeux pantins »
UNDERCONSTRUCTION
♦ Description par Aleksei Sinwaith ♦
« Citation ou phrase ou paroles de chanson. »
UNDERCONSTRUCTION
- InvitéInvité
Re: Appartement de Dolce P. Strowtofsky & Aleksei Sinwaith
Lun 27 Déc 2010 - 16:05
J'avais beaucoup de mal à réfléchir ses temps si. Je ne savais pas pourquoi c'est vrais mais c'était le cas. Je ne cherchais plus à savoir si j'allais bien ou pas, je n'en savais rien. Si j'avais bien je devrais sourire non? Je me regardais dans le miroir, je ne souriais pas pour l'instant. Je n'allais pas bien alors. Je ne savais plus réellement quoi penser de ma vie, je me laissais tout simplement aller, je faisais sans penser aux conséquences ou bien à ce qui pouvait se passer à l'intérieur de moi, dans mon cœur et dans ma tête. Je ne faisais plus tellement la différence entre ce qui est bien et ce qui est réellement du suicide, j'étais bien dans cette folie et dans cet organisation. J'étais moi même, je n'avais pas changer, j'étais forte oui. Je ne craquais pas, et je ne craquerais pas. Je devais montré le meilleur de moi, c'est mon rôle. Et puis à quoi bon déprimer sérieux? La vie est belle non? Et les oiseaux chantent dehors. Soyons heureux, merde !
J'étais allongée sur mon lit et fixais le plafond, simple, blanc mais avec quelques taches d'humidité dans les coins, beurk. J'attrapais une balle qui passait par là et la balancer sur le plafond, celui si émis un grincement avant de commencer à se fissurer légèrement « Merde ! » Je soupirais logement, ralalala, les logements moldus ils ne valent pas un clou sérieux... Je sortais ma baguette, une simple formule suffit pour que la fissure disparaisse, j'esquissais un sourire, fière de moi. Je devais sérieusement me trouver un appartement, je n'en peux plus de cette chambre d'hôtel miteuse... J'attrapais mon portable, Dieu merci, ça existe ça... Je parcourais rapidement ma liste de contact, mon regard s'arrêta net sur le nom de Dolce, un frisson parcourut ma colonne vertébrale.
flash backUn rire doux sortit de la bouche de la douce Dolce. J'étais assise sur ses genoux, très bien installer je ne comptais pas descendre, j'étais doucement appuyer contre elle, mon bras passait autour de ses épaules. Une position étrange je dois l'avouer mais sur le coup ça ne m'avait pas déranger, oui j'étais bien installée, pourquoi bouger? Je tenais ma chère bouteille de vodka à la main, je la portais soudainement à ma bouche et avalais plusieurs gorgées à la suite, j'esquissais un sourire quand la main de Dolce arriva dans la mienne pour me dérober la bouteille. Je la lui laisser, à quoi bon lutter, elle me la rendrait après de toute façon ! Je me mis à rire, c'est alors que nos regards se croisèrent. Cette envie soudaine, ce besoin de la sentir contre moi, c'était tellement étrange... Comme deux éments, nos bouches se rencontrèrent en un simple baiser, doux, chaud. Je passais une main tremblante dans les cheveux de la rousse, pressant sa tête un peu plus contre la mienne.fin du flash back
Je passais une main sur mes lèvres, je fermais les yeux puis me décider, je devais la voir, je devais lui parler... Je transplanais donc chez elle, devant sa porte. Par Merlin, Silver qu'est-ce-que tu fais?! J'approchais ma main vers la porte, prête à toquer. Je prenais une grande inspiration et toquais...
J'étais allongée sur mon lit et fixais le plafond, simple, blanc mais avec quelques taches d'humidité dans les coins, beurk. J'attrapais une balle qui passait par là et la balancer sur le plafond, celui si émis un grincement avant de commencer à se fissurer légèrement « Merde ! » Je soupirais logement, ralalala, les logements moldus ils ne valent pas un clou sérieux... Je sortais ma baguette, une simple formule suffit pour que la fissure disparaisse, j'esquissais un sourire, fière de moi. Je devais sérieusement me trouver un appartement, je n'en peux plus de cette chambre d'hôtel miteuse... J'attrapais mon portable, Dieu merci, ça existe ça... Je parcourais rapidement ma liste de contact, mon regard s'arrêta net sur le nom de Dolce, un frisson parcourut ma colonne vertébrale.
flash backUn rire doux sortit de la bouche de la douce Dolce. J'étais assise sur ses genoux, très bien installer je ne comptais pas descendre, j'étais doucement appuyer contre elle, mon bras passait autour de ses épaules. Une position étrange je dois l'avouer mais sur le coup ça ne m'avait pas déranger, oui j'étais bien installée, pourquoi bouger? Je tenais ma chère bouteille de vodka à la main, je la portais soudainement à ma bouche et avalais plusieurs gorgées à la suite, j'esquissais un sourire quand la main de Dolce arriva dans la mienne pour me dérober la bouteille. Je la lui laisser, à quoi bon lutter, elle me la rendrait après de toute façon ! Je me mis à rire, c'est alors que nos regards se croisèrent. Cette envie soudaine, ce besoin de la sentir contre moi, c'était tellement étrange... Comme deux éments, nos bouches se rencontrèrent en un simple baiser, doux, chaud. Je passais une main tremblante dans les cheveux de la rousse, pressant sa tête un peu plus contre la mienne.fin du flash back
Je passais une main sur mes lèvres, je fermais les yeux puis me décider, je devais la voir, je devais lui parler... Je transplanais donc chez elle, devant sa porte. Par Merlin, Silver qu'est-ce-que tu fais?! J'approchais ma main vers la porte, prête à toquer. Je prenais une grande inspiration et toquais...
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