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try again ? | Rafael L. Hayden
Ven 19 Nov 2010 - 22:27
Rafael léoHayden WRIGHT ÂGE ET DATE DE NAISSANCE : 21 ans, né le 14 Février 1989 ORIGINES : Anglais ORIENTATION SEXUELLE : Hétero OPTIONS : SACM, Astronomie & Potion ÉTAT CIVIL : célibataire ISSU D'UNE FAMILLE : sangmélé BAGUETTE : bois de saule cogneur, 30 cm, écaille de sirene PATRONUS : cerf CLASSE SOCIALE : aisée CARACTÈRE DU PERSONNAGE : Impulsif; Infidèle; Impatient; Colérique; Sentimental; Doux; Sensible; lunatique; extraverti; maladroit |
EACH OF US HIS OWN STORY
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Chapter one-the beginning.
Parce que tout a un début. Californie. Le 14 Février 1989. 14h00. J’aurais pu vous dire que le soleil brillait fort au dehors, versant sur le monde ses rayons à la douce chaleur. Quel accueil cela aurait-il été pour une nouvelle vie qui venait de fleurir ? Et bien non. En ce jour, rien n’était favorable pour prouver à l’enfant que le monde était beau et qu’il fallait voir la vie en rose. Au contraire, le petit être qui venait de naître apprendra bientôt que cette saleté de vie peu avoir un goût des plus amères. Cette existence qui venait de percer était celle de Rafael. Léo, de son deuxième nom. Hayden de son nom de famille. Et quel nom. A peine était-il né. A peine s’ouvrait-il au monde que son existence était déjà mise en évidence. A cause de son nom, à cause de son père, Hélios Lewis. Connu pour être l’un des plus grands criminels du monde de la Magie. Askaban ? Il connaissait. Et eux le connaissaient aussi. Ne me demandez pas comment avoir un enfant d’un être pareil. Dylan ne s’était jamais risqué à demander cela à sa génitrice. C’était bien trop risqué, l’enfant n’était pas suicidaire. A vrai dire, Kiara Doherty était le double féminin d’Hélios, c’était bien la le problème. Mais sa grande lâcheté l’avait heureusement empêché de finir comme son mari. Voila dans quel cadre familial Rafael se trouvait. Charmant vous ne trouvez pas ? La question est maintenant de savoir si ce jeune homme suivra les pas de son père ?
Chapter two – Childhood
L’enfance. Car tout être passe par cette période d’apprentissage de la vie, cette période où l’on aime tout essayer, tout toucher, à ces risques et périls. C’est là que l’on découvre un enfant joueur, taquin, hyperactif, ou alors calme, discret, timide, introvertie… Dylan ? C’était un peu compliqué. Jusqu'à son entrée à Poudlard, le jeune homme était très difficile à cerner. il l’est toujours mais moins. Avant la dizaine, c’était une enfance compliqué, joueur, taquin, mais colérique et capricieux. Un jour il était l’ange parfait, mignon et adorable, l’autre, c’était le diable incarnée, vrai petite peste de la cour de récré si je peux me permettre de l’expression. Personne ne savait jamais où donné de la tête avec lui. Il était vrai que ce n’était pas sa mère qui allait l’aider à trouver le bon chemin. Il n’avait qu’à se débrouiller tout seul ! Foutu gamin ! Rapidement, sa mère se mit à boire, liquide ambré, spécialité du monde moldu, avec des effets plus où moins dévastateurs. Elle ne sortait plus de chez elle et Dylan jusqu'à être capable de se débrouiller toute seul, fut confier a une vieille sorcière, qui ne voyait en lui qu’une fils de démon. Mais elle avait besoin d’argent, alors elle avait accepté de boulot. Même si rien que le nom des Lewis suffisait à la faire frémir d’horreur et de dégoût. Dylan fut regardé ainsi toute sa vie. Mais n’ayant toujours connu que cela, il ne chercha pas à comprendre. Du moins très peu. Mais il n’avait personne à qui le demander donc la question était vite réglée ! Agatha, car tel était le nom de sa gouvernante, était chargée de faire acte de présence auprès du fils de Kiara, tous les jeudis et dimanche. Et elle ne manquait pas à son devoir. Mais elle ne cherchait pas à en faire plus. Le petit Dylan pouvait toujours parler au chat, je crois que c’était toujours mieux. Si personne ne le comprenait, lui, il se comprenait très bien. Il voyait bien les regards qu’on lui jetait. Et il les comprenait maintenant. Il ne leur en voulait pas. Pourquoi ? Parce que si leur intelligence est à ce point développée qu’ils ont peur d’un garçon de huit ans, il ne peut que les plaindre. Oui, Dylan était incroyablement intelligent pour son âge, des plus précoce, bien qu’il ne le montrait pas. Il aimait se laisser aller à raisonner sur la forme d’un nuage voguant dans le ciel éclairé. Il aimait beaucoup laisser son esprit divagué. Très vite, il a apprit à se servir de cette intelligence dont il débordait. Il devint manipulateur et le chantage fut vite l’une de ces spécialités. C’était si facile ! Jusqu’au jour qui fit de lui un véritable sorcier.
Chapter three – discovery
Ce jour, c’était le lendemain de l’anniversaire de l’enfant. Nous étions donc le 15 Février. Dylan venait d’avoir neuf ans. C’était une soirée comme les autres, le soleil déclinant doucement derrière l’horizon insaisissable. Dylan, se baladait dans les couloirs de la demeure familiale. Il comptait rejoindre ce qui lui servait de chambre, juste à coté de celle de son grand frère, celui-ci étant déjà à Poudlard. Mais une silhouette apparut alors qu’il entrait dans une pièce qui lui permettait d’accéder à l’escalier. Enfin, je ne compte pas vous faire le plan de la maison, ce serait bien trop compliqué. Cette silhouette, c’était celle de Madame Lewis. Bien que Kiara ne mérite pas le prestige d’être appelé par ce nom de famille qu’elle affectionnait tant. Ivre. En voyant son garçon, grand pour son âge, d’une finesse enfantine, à la tignasse brune qui s’élevait non loin de la maison. Elle tendit alors une main vers lui, bras mou. Parfois, Dylan se demandait si sa mère n’était pas possédée. Elle en avait tellement de symptômes.
« Viens mon chéri, n’ai pas peur… »
Mais il n’était pas dupe, pas après être déjà tombé dans le panneau. Il se dépêcha de s’éloigner de cet être qui ne lui voulait que du mal, ce qui ne plus guère à Kiara.
« Je t’ai dit de venir sale gamin ! »
Elle lui coupa la route, tendant sa main vers la joue de Dylan. Il frissonna à ce contact moite de sa génitrice qu’il haïssait tant. Il se dégagea rapidement, passant entre les jambes de la grande femme brune.
« Pauvre imbécile, si tu crois pouvoir m’échapper si facilement ! »
D’un geste rageur, elle sortit sa baguette, légère et courte, la pointant sur Dylan. Ce n’était pas la première fois que sa mère était dans un état de folie comme celui-ci, mais jamais elle n’avait menacé son enfant d’un sort. Dylan vit alors le vase explosé près de lui, jaillissant dans un millier d’éclat. Pour la première fois de sa vie, Dylan eut peur. Peur de sa mère. Il ne savait ce qu’elle craignait le plus. Cette sensation était indescriptible. Il voulait fuir. Non, il devait fuir. Mais où ? Pourquoi ? L’instinct ? Il ne sut jamais. Mais alors que sa mère esquivait un mouvement avec sa baguette, elle fut projetée en arrière, atterrissant sur la table basse, dans un fracas de verre. Puis le silence retomba. Elle ne bougeait plus. Une idée traversa l’esprit vif de Dylan. Etait-elle morte ? Son cœur battait la chamade, si fort dans sa poitrine enfantine qu’il n’entendait plus que lui et le souffle saccader de sa respiration. Alors il fit demi-tour et vint se réconforter sous l’épaisse couette de son lit. La panique qu’il avait éprouvé eut vite raison de lui et le sommeil le gagna. Il savait très bien ce qu’il venait de faire. Il venait d’utiliser la magie, pour la première fois. Bien que cet usage soit plutôt flou, dévastateur et totalement incontrôlé.
Chapter four – Poudlard
C’était le grand jour si je pouvais me permettre. Dylan avait onze ans. Et il devait partir aujourd’hui pour Poudlard. Pressé ? Non. Anxieux ? Non plus. Excité peut-être ? Encore moins. Non, pour le jeune homme aujourd’hui était un jour comme les autres. Il n’y avait aucune raison qu’il change quoi que ce soit à sa façon de se comporter. Il devait être autour des sept heures du matin. Mais Dylan n’était plus couché depuis quelques bonnes minutes déjà. Dans sa chemise de nuit, il avait fait se qu’il aimait faire depuis quelques temps tout les matins et soir. Il avait ouvert la fenêtre, et c’était glissé dehors, alors que le ciel était encore recouvert du voile de la nuit. Il était grimpé de quelques tuiles, pour venir s’asseoir sur le haut du toit. De la, il dominait bien toute la demeure des Lewis et avait vu sur les champs de blé qui entourait sur plusieurs hectares la maison solitaire. Alors le soleil avait commencé à se montrer. Il était monté, timide astre lumineux, dévoilant ses rayons qui étendirent leurs bras chaleureux sur le monde. Un sourire satisfait apparut alors sur les lèvres de l’enfant. Il aimait beaucoup assisté au levé et couché du soleil. Pourquoi ? Pourquoi tenir à ce point à voir s’écouler le temps ? Afin de pouvoir se dire que l’on vit. Afin d’être sur que son existence s’écoule, à heure, à minutes, à secondes régulières. Afin de pouvoir contempler la vie, de se convaincre que l’éternité n’est que fiction. Combien de temps resta-t-il là ? C’était une bonne question. Dylan ne se posait jamais la question des horaires, d’ailleurs était-il quelqu’un de très peu ponctuel. Mais il y avait toujours quelqu’un pour lui rappeler ces écarts de toute façon.
« Jeune Monsieur ! Voulez-vous redescendre immédiatement ! Votre mère va être folle de rage si elle apprend que vous n’êtes pas prêt ! »
Quand on parle du loup. C’était le signe du départ ! Dans un soupir las, il redescendit agilement de son perchoir, pour finir de s’habiller. Petit déjeuner ? il mangerait dans le train, il devait bien y avoir quelque chose à grignoter. il enfila sa robe de sorcier, dernière génération, car même si sa mère n’en avait que faire de son fils, elle pensait avant tout à sa propre réputation. Et Dylan avait intérêt à se montrer digne de la famille. Vu comme ça, il avait qu’à tuer toute l’école, sûrement serait-il encore loin du record personnel de son père. Mais le jeune homme ne se permettait aucun commentaire. Depuis le jour où il avait découvert ses pouvoirs, il avait changé. Du moins s’était-il stabilisé. Il ne se battait plus avec sa mère ou qui que ce soit, bien qu’il soit sensiblement d’un avis contraire. Il laissait aller. De toute façon, il savait pertinemment qu’il avait raison alors pourquoi s’entêter à le prouver ? Il n’y avait rien à prouver. C’était comme ça et pas autrement. Cette phrase là serait une belle représentation du caractère partielle de Dylan. En un rien de temps et dans le silence le plus complet, il se retrouva dans le train, quai 9 ¾. Il trouva un compartiment ou seul une fille qui devait avoir son âge ou un peu plus s’y trouvait déjà. Elle n’avait pas l’air des plus chiante, ce serait mieux qu’auprès d’une bande de pouffeuse hystérique. Ses affaires étaient bien rangées, toute de la qualité la meilleure possible, on connaissait déjà le milieu duquel était issu la jeune garçon sans pour autant connaître son nom. Sa baguette se trouvait dans l’un des nombreux « rangements » de sa robe de sorcier. D’un noir profond, la rumeur court que c’était la première baguette de son père, avant qu’on lui retire, et qu’il en retrouve une deuxième bien entendu ! La vie paternelle était tellement intéressante quand on y réfléchissait ! Mieux qu’un thriller.
Dylan était arrivé depuis peu. il gravissait avec les autres première année, les marches qui la mènerait à la Grande Salle. Et tout le monde sait quelle est la première action qui se passe lorsque l’on arrive dans cette école. La répartition. Etape qui nous attribut une maison, un blason. Ou alors était-ce nous qui étions attribuée à la maison ? Ce serait un bon sujet de philosophie qui méritait d’être réfléchi. Dylan s’était quelque fois demandez où il serait reparti. Son père et sûrement tout le monde dans la famille paternel, étaient des Serpentard pur et dur. Mais rien ne dit qu’il s’y retrouverait pour autant. Il avait souvent passé en revu les quatre maisons. Sur de lui ? Il l’était. Arrogant ? Il pouvait l’être. Irrespectueux ? Sans aucun doute, ce qui lui valait d’être dans le collimateur de ses enseignants. son père était un célèbre Serpentard qui avait fait grand bruit dans cette maison. Mais ne serait-ce pas justement un point positif ? Le prestige parental aide beaucoup pour se faire une place dans la société, surtout dans la classe haute.
« DYLAN LEO LEWIS ! »
La voix s’était élevée, haute et clair, débitant le nom du jeune garçon.
Chapter five – Dead
L'adolescence, moment de doute, d'appréhension, de découverte du monde, de rebellions... C'est un moment important dans la vie d'un môme que de se frotter enfin à d'autre enfant de son âge, à leur cruauté, à leurs désirs de survivre, de vivre, de dominer... Certains en font un moment agréable, d'autre n'y survive pas et toute leur vie sera une errance éternelle basée sur un moment désagréable... L'Adolescence est la pire des choses qui puissent arriver à un enfant et pourtant c'est ce qui lui permet de devenir Adulte... Dylan venait de perdre sa mère, bien que la nouvelle ne l’ai pas si attristé que sa… notre jeune garçon sans cœur ? Oui surement, les aléas de sa vie, lui ont permis de se forger un certain « je m’en foutisme ». La réaction du père ? Il lui avait annoncé par lettre :
Père,
Maman est morte, overdose de drogue.
Elle sera enterrée demain à 10 heures.
Je sais que tu ne pourras pas venir, je mettrai des fleurs de ta part.
Dylan
C’était aussi simple que sa ? Il faut croire, de toute manière, qu’es qu’il en avait à foutre ? Elle l’avait toujours méprisé, elle n’avait d’yeux que pour la drogue et l’alcool. Son heure était venue. Point final. Dylan ne s’attarde jamais sur cette période de sa vie. Il venait d’avoir 15 ans.
Chapter six - Pride and Prejudice
Dylan ouvrit difficilement un œil, puis deux. La lumière l’aveugla tant et si bien qu’il referma aussitôt les yeux en poussant un grognement digne d’un ours mal léché. Se retournant dans le lit afin de ne plus être face à la fenêtre, il refit une tentative. Il eut alors l’impression qu’on enfonçait un millier d’aiguilles chauffées à blanc dans son crâne, tant il était douloureux. Il se redressa et regarda autour de lui, mal réveillé. Des cadavres de bouteilles jonchaient le sol ainsi que des vêtements… Dylan remarqua alors qu’il était nu et qu’il n’était pas dans sa chambre. Bon, ok, il avait tout compris. Il soupira et se frotta les yeux avant de bâiller. C’est alors qu’un léger grognement le fit sursauter et le poussa à regarder la personne à ses côtés.
Léonie L. Bing. La fille
« Putain » marmonna le jeune homme.
Beaucoup de filles étaient passées dans son lit, parce qu’il aimait les jolies choses et qu’il voulait profiter de la vie. Il aimait les seins, les formes, les cheveux longs et les cris aigus. Dylan se redressa et regarda la jeune demoiselle qui se trouvait a coté de lui, encore une fois l’emprise de la drogue et de l’alcool, à fait des ravages.
« - Léonie, je te hais. »
Il ramassa ses fringues à la vitesse de l’éclair et entreprit de se rhabiller, le rouge aux joues. Il ne savait plus trop où il en était.
- Tu comptes te tirer comme un voleur ? Fit une voix doucereuse dans son dos.
- Putain, Léo, préviens avant d’me foutre les boules ! Grogna-t-il avec humour.
- Tu préviens souvent avant d’effrayer les gens, toi ?
- Tu m’as compris.
Léonie eut un sourire en coin puis se redressa, absolument pas gêné par sa nudité. Dylan quant à lui ne savait pas où regarder tant il était gêné, pourtant il l’avait fait plusieurs fois mais il savait pertinemment au fond de lui que c’était comme un au revoir, une dernière fois.
- T’étais pas aussi coincé, hier soir.
- La ferme.
Son sourire s’agrandit et il se pencha au-dessus de Léonie afin de déposer un chaste baiser sur ses lèvres.
- Ne joue pas les vierges effarouchées, ce rôle ne te va plus, désormais.
Il se releva et s’habilla puis se dirigea vers la porte. Juste avant de claquer la porte, elle s’exclama :
- Va te faire foutre.
L’année se termina sur une rupture, les chemins des deux tourtereaux se séparèrent, pas de fin heureuse, pour le moment.
Chapter seven – Hungcalf
Dylan était différent et il aimait ça. Il adorait devoir alterner entre monde sorcier et monde moldu, camarades d’école et amis d’enfance ou voisins. Malgré les insultes qu’il pouvait recevoir de temps à autres parce qu’il était issus d’un père sorcier et d’une mère moldue, il se sentait spécial et plaignait les gens qui étaient cantonnée à une vie magique.
Le jeune homme passait sa scolarité en compagnie de ses amis sorciers et ses vacances avec ces plus proches amis. Lola & Loic, Ainsi, ils avaient appris à se connaître et étaient devenus très proches. Lola possédait une vivacité d’esprit et un fort caractère qui avait tout de suite plu à Dylan, ainsi elle s’était très vite intégrée dans le petit groupe qu’ils formaient à présent avec Loic. Ce dernier vivait d’ailleurs des moments pas très roses, ses parents s’étaient longuement déchirés avant de divorcer dans la haine et les regrets, ce qui avait profondément ébranlé toutes les convictions de celui ci qui avait commencé à mal tourner.
« Hé, vieux, si t’arrêtes pas de fumer cette merde, j’te l’fais bouffer par le trou de sortie, grogna Lola en regardant le joint que tenait Dylan, entre ses doigts, d’un air mauvais.
- Ça me détend. Sérieux, tu devrais essayer.
- Désolé mon pote, mais je n’ai pas envie de finir dans le même état pitoyable que toi, répliqua froidement la jeune fille avant de s’emparer du joint qu’elle jeta sur le sol avant de l’écraser d’un coup de talon. Elle plongea sa main dans la poche de la veste de Loic et en tira un paquet de cigarettes. Elle l’ouvrit et en glissa une entre les lèvres de Dylan avant de l’allumer.
- Fume ça, ce n’est pas meilleur à la santé mais au moins, ça laisse tes putains de neurones tranquilles.
Dylan eut un sourire contrit.
- Désolé.
- J’vais demander à Loic de te surveiller de plus près, moi, bougonna Lola. Tu files vraiment un mauvais coton !
- On parle de moi ? Fit une voix masculine sur un ton enjoué.
- Yep. La prochaine fois que cet abruti fini s’allume un joint, j’te donne l’autorisation de lui mettre un poing dans la figure puissance 10, compris ?
- Reçu 5 sur 5, chef, s’exclama Loic avec un sourire carnassier.
- Vous êtes ignobles. »
Son entrée dans sa nouvelle école, commençait bien.
WHO ARE YOU REALLY?
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QUEL ÂGE AS-TU ? 19 ans
COMMENT AS-TU DÉCOUVERT HUNGCALF ? PRD
TAUX DE PRÉSENCE ? 5/7
PERSO INVENTE OU SCENARIO ? Scénario de Léonie L. Bing
SI TU PARLES ZIMBABWÉEN TAPE DANS TES MAINS OK by Cole
POSSEDEZ-VOUS UN AUTRE COMPTE ? Nop
QUELQUE CHOSE À AJOUTER ? I like to move it, move it
avatar © The Eternal Love || icônes © fox
- InvitéInvité
Re: try again ? | Rafael L. Hayden
Ven 19 Nov 2010 - 22:33
YOUPI YOUPIIIIIIIIIII YAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaa :lovers:
Bienvenuuuue et bonne chance pour ta fiche
Merci d'avoir pris le scénario :respect:
Bienvenuuuue et bonne chance pour ta fiche
Merci d'avoir pris le scénario :respect:
- InvitéInvité
Re: try again ? | Rafael L. Hayden
Ven 19 Nov 2010 - 22:57
Quel accueil chaleureux :canard:
Merchi les filles
Merchi les filles
- InvitéInvité
Re: try again ? | Rafael L. Hayden
Ven 19 Nov 2010 - 23:21
Bienvenue Dylan :inlove: (l)(l)
Par contre relis bien le réglèment pour le code ;)
Bon courage pour ta fiche ! :brille:
Par contre relis bien le réglèment pour le code ;)
Bon courage pour ta fiche ! :brille:
- InvitéInvité
Re: try again ? | Rafael L. Hayden
Sam 20 Nov 2010 - 6:33
Heyyy =)
Eh bien pour moi ta fiche est superbe !
Je te valide donc, et n'oublies pas d'aller réserver ton avatar & ton patronus :)
Eh bien pour moi ta fiche est superbe !
Je te valide donc, et n'oublies pas d'aller réserver ton avatar & ton patronus :)
- InvitéInvité
Re: try again ? | Rafael L. Hayden
Dim 21 Nov 2010 - 4:30
- Bienvenue avec un peu de retard. Un nouveau BG sur le fow' .. J'ai de plus en plus de soucis à me faire :haaaaa:
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