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Battle of fratery
Mer 8 Déc 2010 - 16:08
••• Battle
of fratery.
On pourrait facilement ce demander ce que je fessais là, à condition de ne pas me connaitre… L’hôpital pour moi, ce n’est pas une histoire d’amour, mais j’y allais quelque fois, et ça ne me déranger pas plus que ça. La seule chose qui me dérangeait, c’était elle. Sixtine, il fallait qu’elle soit encore dans mes pattes. Ce qu’elle m’énervé. On était devant la porte de l’hôpital je tournais ma tête blonde vers Sixtine, j’étais son ainé et c’était elle qui m’emmenait à l’hôpital… La zone. Je lui adressai un sourire idiot, et elle me jeta un regard noir. C’était n’importe quoi. En même temps, c’était Sixtine. Tout ce que je fais c’est tellement mal, mais il faut bien qu’elle s’attende à supporter ça encore un moment, car grand dieu, j’étais en colocation avec cette folle. Je crois que ma belle mère à déteint dessus ou je ne sais pas trop quoi mais c’est très grave à mon avis. Elle me tenait par le bras et me trainais sur les marches de l’hôpital alors que je me tuais à lui dire que je ne pouvais pas marcher aussi vite qu’elle, mais elle s’en fichait la frangine. Je ne m’attarder plus à râler, je serrer mes mains autours de ma blessure qui avait imbibé de sang mon chandail, il est irrécupérable, mais je m’en fiche, je ne suis pas attaché à mes vêtements comme la jeune femme à ma droite. Je fixais mes pieds et je monter les marches en posant bien mon poids sur Sixtine pour la faire transpirer un petit peu.
Un peu avant ; on était tout les deux à Norwich, plus précisément dans l’allée des croisades, c’était un endroit charmant, et comme l’idée de passer du temps, enfermés ensemble dans notre appartement ne plaisait ni à Sixtine ni à moi, nous sommes sortis, j’aurai bien voulu aller avec deux trois amis dans un pub mais voila ces messier étaient occupés avec l’élue de leurs cœur, ça me fessait vomir d’y penser. Et comme Sixtine n’avait rien à faire, je lui ai proposé par des sous entendus de venir avec moi, et elle à très bien compris le message. C’est ma sœur, je devrais l’adorer, c’est ma petite sœur, je devrais la protéger, mais je ne fais rien de tout cela, et je passe pour un abominable frère, en même temps on pense rarement positif à mon sujet. En bref je devais me trainer ma sœur avec mon gré dans les magasins et elle m’avait tellement saoulé avec les boutiques de vêtements, qu’on avait finis par y aller. Je la laisser regarder ces frusques, quand je regardais ma sœur je n’arrivais pas à voir, ce que je voyais avec les autres filles. C’est vrai quoi, je la trouver pas terrible ma sœur, pourtant beaucoup de mec bavé devant, je les comprenais pas, c’était une fille banale j’trouver. Je n’étais pas capable de me dire que ma sœur était attirante. Quand je lui disais qu’elle était moche, elle riait, elle savait bien que je la trouvais pas moche, à chaque fois que je lui dis un truc elle se marre. Elle me fatigue. Je fus alors chassé de la boutique quand ma sœur me tendit un haut en me disant qu’elle souhaiter el prendre ou s’il était beau je n’avais pas bien compris. Je lui répondis vaguement qu’elle irait bien à la nana derrière elle, c’était assez vexant j’avoue.
Je me retrouvais dehors quand je vis mon meilleur ami. Enfin… Je le suivais discrètement, de toute façon Sixtine en aurait pour trois jours. Ce type je ne l’avais jamais supporté, une raison très simple à ça, ce mec là a publié des photos de moi un peu partout alors que j’étais complètement torché. Voila un peu le topo, ce petit con avait su cultiver ma haine comme un dealeur des pousses de cannabis. J’attendais qu’on se retrouver dans une ruelle déserte, je ramassai un bloc de bâton décroché du trottoir, je visais et DANS LE MILLE ! Je pus même entendre un grognement, j’imaginais bien que ça devait faire mal. Il ramassa le petit bloc et se retrouva vers moi, quand il me reconnu, je lui adressai un petit coucou de la main, je voyais qu’il s’énervé. J’avais un don d’hypocrisie énervante. Il me lança la bloc qui vint atterrir à mes pieds, je levai un sourcil et je me mis à rire en déclara
« Juste un peu plus loin et un peu plus fort… Essaye. »
Je pris le bloc et je le jetai à nouveau vers le type, en plein dans l’intestin ! Waouh ! Ce mec était aussi rapide qu’une baleine hors de l’eau. Cela me fessait sourire à vrai dire, ce type fessait son malin devant ses potes, mais ce n’était jamais rien de plus qu’une merde. Il relança le bloc, je partis juste sur la droite pour l’éviter, c’était prévisible… Je ramassai encore le bloc et j’ajoutai avec un sourire à moitié sadique
« Essaye encore une fois… Mon pote.»
Je le lancé à nouveau, le mec partit sur la gauche, mais juste du bassin, pas de bol, j’avais visé la face, et SBLAM ! J’éclatai de rire alors qu’il titubé légèrement se tenant le visage, je le voyais s’approcher de moi et faire un signe bizarre, j’étais trop mort de rire pour comprendre, et j’étais encore en train de me marrer quand quelqu’un me plaqua contre le mur après m’avoir collé un pain dans la tronche. Tout c’était passé vite, je disais simplement
« Toujours avec ses baby-sitter n’est ce pas ? J’me vengerai crois moi ! »
Tout le monde avait disparu j’avais mal à l’abdomen, j’avais rien compris à la vie, mais j’en bavé, et je me suis trainer comme ça, jusqu'à la boutique où était ma sœur, personne n’eut l’amabilité de m’aider ; en même temps j’avais refermé mon manteau par dessus, on devait croire que j’étais ivre ou je ne sais pas quoi. Je marchais dans la boutique on me regarder avec des yeux rond, je trouver Sixtine, que je semblais dérangé, je lui murmurai
« J’ai un petit problème. »
Elle soupira, bien sur, j’avais toujours un problème quand je venais la voir, elle devait en avoir marre de moi, et pourtant je savais malgré toute nos crasses, on pouvait toujours, compter l’un sur l’autre dans les moments vraiment graves. J’ouvris alors mon manteau et ses yeux bleus devinrent tout ronds, elle lâcha la fringue qu’elle regardait et me fit sortir de là. Je pu alors constater que j’avais prit un coup de bouteille à fon cassé dans l’abdomen, quel enfoiré je marmonné. Je savais qu’elle voudrait savoir ce qu’il c’est passer, mais je ne lui doit aucun compte.
Voila comment je me retrouver ici. Ça y est, on était arrivé en haut des marches, ce n’était pas défauts d’en avoir bavé. Sixtine ouvrit la porte, je la voyais respirer comme un buffle, j’avais beau ne pas être bien épais c’était une nana, et elle n’avait jamais eu de force. Je le vis sortir à ce moment là, l’autre crétin avec son nez cassé, je ne pu m’empêcher de tendre ma jambe et lui et il descendit les marche en fessant le tonneau, je ricaner dans mon coin, Sixtine me mit un coup de coude puis on entrait, j’étais bien content de moi, on se mit à l’accueil et on attendit derrière un type qui avait un rhume… Soudain je vis passer mon meilleur pote en civière, je me mis à rire faiblement, ce qui me fit mal à l’abdomen, je vis alors les yeux noirs que me jeter ma sœur, je lui adressai un sourire amusé. Je fus prit en charge avant qu’elle eut le temps de me questionner, j’eus le droit à quelque points de sutures, une pause et je pouvais sortir.
J’étais dans l’accueil, j’étais fatigué, il était tard, et je la vis. Elle était encore là. Sérieusement ? Elle m’avait attendu ? J’avais du mal à y croire. Je vins m’assoir a coté d’elle, elle ne me regardait même pas. J’étais assez gêné. C’est vrai quoi, ce genre de crise majeure n’était pas encore arrivé avec la présence d’elle. Je ne savais pas trop ce qu’elle pensait de moi, elle mettait toujours ça sur le dos du fait que maman était partie, alors que je me tuais à lui dire que non. La plus part des gens pensent mal à mon sujet, ses amis devait lui dire qu’elle ne devait pas avoir de chance d’avoir un frère comme moi… Je vis alors mon pote passer une bande autour du crâne et une jambe dans le plâtre, je lui adressai un grand sourire et je lui fessais mon petit signe de la main en levant mon majeur gauche. Je ne savais pas trop quoi lui dire, on restait planté là comme deux imbéciles, je savais qu’il fallait qu’elle explose alors je me risqué.
« On rentre ou on dors ici ? »
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Re: Battle of fratery
Mer 8 Déc 2010 - 21:55
- Sixtine soufflait comme pas possible se trainant son frère (qu’elle soupçonnait d’ailleurs de mettre tout son poids sur elle). C’est qu’elle était frêle la blondinette et porter à moitié son frère tout en marchant ça l’avait vite épuisée. Pourquoi se retrouvait-elle à trainer son idiot de frère sur elle ? Tout simplement parce qu’elle l’avait laissé deux minutes tout seul ce qui lui avait suffit pour faire on-sait-quoi et s’ouvrir l’abdomen. Et voilà qu’elle le trainait avec elle jusqu’à l’hôpital pour qu’il se soigne. La miss s’appliquait à afficher un air purement agacé sur le visage même si au fond elle s’inquiétait pour son frère mais plutôt mourir que de l’admettre. Au lieu de ça elle le traita de « crétin, idiot…etc » durant tout le moment ou elle du le supporter sans pourtant le laisser là et le planter. C’était son frère et elle se voyait mal l’abandonner comme ça même s’il l’aurait surement bien cherché. C’est incroyable ça cette manie de se battre avec tout le monde –car elle supposait que c’était cela-. Toujours avec des bleus, des vêtements déchirés, des ennemis…Et évidemment au c’était toujours vers elle qu’il se tournait la plupart des gens le traitant de « con », certes ils n’avaient pas tord mais du coup Sixtine écopait de toutes les « réparations » ce qu’elle faisait tout en râlant comme pas possible mais sans l’envoyer bouler. D’une certaine manière la jeune femme s’en voulait toujours de cette période ou son frère avait était seul contre elle-même & sa mère qui le traitait de « monstre ». Puis celle-ci était tout simplement partie les abandonnant. Et elle avait été incapable de réellement consoler son frère celui-ci l’a repoussant tout le temps & elle-même étant trop jeune pour vraiment comprendre ce que ressentait son frère. Est-ce qu’elle s’était sentie trahie par sa mère ? Franchement oui mais beaucoup plus proche de son père elle avait prit tout ça assez bien passant au dessus comme d’habitude. Enfin bref là n’était pas le sujet.
Au moment ou ils arrivaient en haut un gars sortit de l’hôpital le nez casser et il se trouva en moins de deux en bas des escaliers…sans les descendre de manière habituelle disons. Six’ donna un coup de coude à son frère avec un regard noir suivit d’un « T’étonnes pas d’être blessé tu cherches tout le temps les embrouilles ! La prochaine fois tu te démerderas tout seul. » Râla Six’. C’était au moins la centième fois qu’elle le menaçait de le laisser tout seul la prochaine fois, mais elle ne m’était jamais ses menaces à exécution. Si son frère n’avait aucun instinct de protection envers elle, elle ne pouvait s’empêcher de garder une œil sur lui. C’était un réflexe qu’elle aimerait bien éliminer d’ailleurs mais bon pour le moment elle faisait avec. Alors qu’ils attendaient à l’accueil Nate se mit à rire doucement ce qui lui attira le regard noir de Six’ autant parce qu’elle ne voulait pas qu’il bouge trop pour ne pas s’ouvrir plus autant parce qu’elle se doutait que ça avait avoir à ce qu’il s’était passé. Et croyez moi elle ne manquerait pas de le questionner plus tard. Il fut alors prit en charge et Sixtine se laissa tomber sur un siège hésitant à abandonner son frère ici –il était bien assez grand pour se débrouiller tout seul non ?!- mais finalement elle préféra rester pour des raisons qui restent encore bien obscures. L’attente fut tellement loooongue. Sixtine n’en pouvait plus de tenir assise comme ça. Elle ne supportait pas l’inactivité la jolie blonde. Toujours entrain de bouger, de s’occuper enfin impossible de la tenir tranquille celle-là. Elle se leva une fois pour aller se chercher à boire, une fois pour « visiter » un peu, une fois pour manger le reste du temps elle choppa quelques magazines qu’elle feuilleta sans vraiment s’y intéresser et pianota sur son portable –et oui quand on a été élevée à la moldue on peut pas s’en passer !-. Elle commençait à presque s’endormir quand son frère surgit avec sa chemise pleine de sang qui fit grincer les dents de Sixtine. Contrairement à ce que pensait son frère d’elle, la jeune femme arrivait sans aucuns soucis à voir son frère beau. Oui elle le trouvait beau Nate avec ses cheveux blonds, son visage d’ange…Enfaite elle l’avait toujours trouvé beau depuis qu’elle était toute petite et ses « T’es moche » ne blessait même plus la blondinette qui s’était habituée aux remarques blessantes de son frère à son encontre. Elle prenait toujours ça avec le sourire en riant et en essayant de ne pas être touchée par ces multiples remarques.
Elle adressa une moue agacée à son frère même si elle était fort contente qu’il sorte –enfin-. Comme ça elle pouvait rentrer hallelujah \o/ . Elle ne prit pas la peine de regarder son frère les lèvres pincées, et les sourcils froncés signe d’une grosse boude de la part de Sixtine ou d’une grande explosion . « Me dis pas que tu t’es encore battu ? C’est pas possible t’es maso ou juste crétin ? » L’accusa la blondinnette. C’est qu’il devait avoir l’habitude de se faire traiter de tous les noms étant donné qu’elle ne se gênait absolument pas pour lui faire remarquer qu’il n’était pas très net dans sa tête. Néanmoins elle appréciait voir même aimait sa présence à ses côtés et se sentait seule sans lui. Allez savoir pourquoi, elle-même ne l’expliquait pas vu qu’elle ne faisait que de se plaindre de Nathaniel. « Ils t’ont recousus ? » demanda la blonde lui accordant enfin un coup d’œil montrant l’espace d’une seconde et depuis la première fois depuis qu’il lui avait montré sa blessure un signe d’inquiétude. Parfois elle avait l’impression que c’était elle l’ainé et non pas l’inverse avec la façon de se comporter de son frère, notamment avec elle.
- InvitéInvité
Re: Battle of fratery
Jeu 9 Déc 2010 - 17:48
En réalité, j’étais étonné qu’elle soit encore là, j’avais passé toute l’après midi la dedans et j’avais même sécher le repas de midi, de toute façon, pour rien au monde je n’aurai mangé un de leurs infâmes repas hospitaliers, à 0% de sel et 0% de goût. Tout ce qui se manger à l’hôpital avait un gout de carton. Sixtine aurait bien pu aller faire un tour, ou rentrer tout simplement, je n’étais pas handicapé au point de ne pas savoir prendre le magico-bus où une connerie dans ce genre là. Mais m’avait attendue, elle voulait quoi ? Que je culpabilise ù quoi ? Qu’est ce qu’elle pouvait m’énervé, et je crois qu’elle ne le fait même pas exprès. Elle semblait toujours calme, j’avais l’impression d’être un gosse et qu’elle me reprenait tout le temps, je sais qu’elle est mature, mais je ne suis pas un gamin. Dés fois, j’ai la vague sensation qu’elle essaye de remplacer ma mère, c’est peu être idiot car elle sait bien que personne ne pourra jamais la remplacer ; et je n’ai pas besoin d’être couvé par qui que se soit. Il fallait qu’elle se mette ça dans le crâne une fois pour toute, et j’en ai mare d’entendre qu’avant je n’étais pas comme ça, je le sais. J’ai compris, je ne suis qu’un sale type, c’est bon. C’est vrai, parfois je perdais complètement le nord, mais quand même, j’ai 21 ans, c’est fini tout ça. Pourquoi tout le monde me harcèle, on me demande si je suis triste sans cesse, si je n’ai pas envie de pleurer, que je pouvais me confier. Je sentais qu’a chaque fois que l’on me poser cette question, je devenais encore plus mauvais. J’avais souvent envie de coller un pain dans la tronche de Six’ ça lui fera pas de mal je crois ! Mais jamais je n’avais porté la main sur ma sœur, hors mis dans ses jeux pour l’emmerdé, où je frappe ses bras et ses cuisses pour lui faire des bleus, mais jamais je ne la frapper de toute mes forces, c’était un peine un quart de ce que j’étais capable de faire. Je serrer souvent les poings, mais jamais je ne lui avais collé mon poing dans la face, je ne sais pas ce qu’il me retenait, ça m’étais arrivé de perdre le contrôle de moi-même, de bousculer une fille, de lui faire mal sans pourtant que je me sente violent, je me retenais tant bien que moi. Sixtine, même si on me menacer de ma couper les testicules en vingt et quatre morceaux et les donner aux poissons rouges du grand bassin du ministère de la magie, je refuserai de la frapper.
Elle fit une moue à ma réflexion et je pus m’empêcher de sourire quand elle m’insulter de maso ou de crétins, un des deux, c’était à moi de choisir on dirait. Je ne répondais pas, je savais qu’elle m’agressera en disant que je n’avais pas répondu à sa question, je l’amendais avec un sourire en coin, elle me demanda également si on m’avait recousu. Mon sourire continuer de s’agrandir, je savais que ma sœur était une petite nature parfois, surtout quand il s’agissait de sang et tout ça, même si parfois elle en impressionné plus d’un je lui dis en soulevant ma chemise imbibée de sang
« Regarde par toi-même ! »
Je la vis alors détourner son visage, qu’est ce que j’aimais bien l’embêter et ça depuis toujours, même à l’époque où maman était là. Je me souviens de chacune des crasses que je lui ai faites. Pourtant, il m’était arrivé une fois de la défendre, madame qui détester la violence, avait été contente que son frère y soit le jour d’une sortir à prés au lard au temps où on allait à Poudlard et je l’avais aperçut dans une ruelle autour de trois alcooliques qui compensé à défroqué ma frangine, devant mes yeux ! Et je n’avais même pas voulu écouter ses remerciement, je n’avais pas fait ça pour être remercié ! D’ailleurs, je ne savais même pas pourquoi j’ai fais ça, elle était assez grande pour se débrouiller toute seule. Ce n’était pas mon genre. Je suis pas superman, j’n’ai même pas l’ambition de l’être, ça sert à quoi de passer son temps à aider les autres alors que t’es regarder comme la peste. Car même si je décider de changer (ce n’est pas du tout à l’ordre du jour), on me regardera toujours comme ce type que je suis actuellement. Alors pour moi tout étais simple, rien à changer.
Je penser parfois à l’avenir, et souvent je me demander ce que cela pourrait m’apporter de penser à ça. Je me voyais en rien, sinon je n’aurai pas continué les études, si on peu appeler ça des études. J’ai beau être un gras plutôt intelligent, je dois avouer que je passe bien trop de temps à faire autre chose que mes devoirs… J’allais finir rat d’égout. C’était pas si mal après tout, quand on pense qu’il y en a qui font ministre de la magie, j’n’imagine même pas le temps qu’ils doivent passer au boulot, l’enfer. C’n’est pas une vie. J’avais peu être trop le mot liberté qui me trotter dans la tête, il fallait dire, chez mon père, j’avais été libre de tout faire pratiquement. Il avait tout fais pour avoir mon affection, mais il ne semblait pas avoir compris que je ne donner plus rien de ce côté-là. Les gens croyant qu’on s’entendait bien, et lui aussi le croient. Je suis le seul à ne pas y croire, pour cause, je lui en veux. Je ne sais pas de quoi, à lui aussi j’ai souvent envie de lui mettre mon poing en pleine poire pour lui faire une grosse balafre avec la marque de ma chevalière que maman m’avait offerte.
Je fessais tourner cette fameuse chevalière autour de mon index, souvent on me demander pourquoi je la garder si je m’en fichais de ma mère, je répondais juste que j’aimais bien cette chevalière mais rien de sentimental… Mais au fond, c’était tout ce que j’avais de ma mère, ça et mes cheveux blond. Sixtine était son portrait craché, c’était peu être pour ça que je n’étais pas capable de voir qu’elle était belle femme. Je voyais en elle, ma mère, Six’ avait était trop petite quand elle était partie. Pour elle c’était facile… Je me souvenais d’une discutions avec elle alors qu’on était que de petits gosses…
FLASH BACK
On était dans le parc, le vent d'hiver était partit pour faire place a un soleil frêle. Mais pour les anglais ce temps rarissime était un temps a pique-nique. Comme c'était un samedi, les parcs étaient pleins à craquer, je n'avais que onze ans et ces sortie aux allures d'expédition ne me plaisaient pas vraiment. Alors que Sixtine, mon père et ma belle mère s'activaient a préparé le campement pour préparer le pique-nique, j'étais partit au bord de l'étang à lancer des pierres sur les canards qui n'avaient rien demandé à personne, ça ne me m'apportai rien de faire ça, mais je le fessai quand même. Sixtine arriva à coté de moi alors que mon caillou avait atterri en pleine tête du canard. Elle me demanda d'une voix triste.
-Pourquoi tu fais ça Nath', c'est méchant. Maman elle a toujours dis de ne pas faire mal aux animaux. Maman elle les aime les animaux.
Je jeta un regard noir a ma sœur, puis je retourné a mon occupation. Je savais que ça énervé Sixtine. Je fessais tout ce que notre mère ne voulait pas, je fessais du mal a tout ce que ma mère a aimé, ça me détendais. Sixtine me dit alors que c'était parce qu'elle me manquait que je fessai ça. Je lui avais répondu que non. Mais comme ma sœur était têtue elle me disait d'une voix douce que à elle aussi maman lui manqué. Sur le coup, je me suis énervé et j'ai rétorqué
« Tu es trop petite pour te souvenir d'elle! Tu ne peux pas être en manque de ce que tu connais pas! »
Je l'ai blessée, je le sais. Mais elle m'a cherché. Six' avait les yeux qui brillaient, je voyais bien qu'elle retenait ces larmes, elle me répondait que c'était faux, que maman ne m'aimait pas c'était pour ça qu'elle était partie. J'étais froissé, humilié. Je savais qu'elle ne le pensait pas, c'était la colère et j'étais trop petit pour contenir ma haine. Je la poussé des deux mains et Sixtine disparue dans un cri d'effroi. Soudain mon père se trouvait à mes côtés en hurlant le prénom de ma sœur. Je la fixé de mes yeux bleus, je reçu une bonne claque dans ma tronche par ma belle mère. Alors mon père et elle se disputèrent sur mon éducation, ces irresponsables... Pendant ce temps, la joue rouge, je regarder Sixtine se débattre dans l'eau de l'étang. Je plongeai a mon tour et je la trainais jusqu'au bord de l'eau. Elle s'excusa de m'avoir dis ça, je lui répondis que je m'en fichais et qu'elle pouvait bien crever avec maman. Je n'avais plus adressé la parole à ma sœur de la journée.
FIN DU FLASH BACK
Je regardai ma frangine, je ne savais pas pourquoi j'avais pensé à cet épisode, peut-être parce que j'avais manqué de rester sur le billard ou parce que je me demander ce que j'aurai fait si Sixtine était à ma place, ou si un jour j'apprenais qu'elle ne reviendra plus, est-ce que j'aurai la force de pleurer? Je ne sais pas de trop. Une chose est sure, je ne serai plus le même. Je tapai alors sur son épaule en lui adressant un sourire amusé. Je me fessai sage je trouvai, elle devait s'en être également aperçut.
Elle fit une moue à ma réflexion et je pus m’empêcher de sourire quand elle m’insulter de maso ou de crétins, un des deux, c’était à moi de choisir on dirait. Je ne répondais pas, je savais qu’elle m’agressera en disant que je n’avais pas répondu à sa question, je l’amendais avec un sourire en coin, elle me demanda également si on m’avait recousu. Mon sourire continuer de s’agrandir, je savais que ma sœur était une petite nature parfois, surtout quand il s’agissait de sang et tout ça, même si parfois elle en impressionné plus d’un je lui dis en soulevant ma chemise imbibée de sang
« Regarde par toi-même ! »
Je la vis alors détourner son visage, qu’est ce que j’aimais bien l’embêter et ça depuis toujours, même à l’époque où maman était là. Je me souviens de chacune des crasses que je lui ai faites. Pourtant, il m’était arrivé une fois de la défendre, madame qui détester la violence, avait été contente que son frère y soit le jour d’une sortir à prés au lard au temps où on allait à Poudlard et je l’avais aperçut dans une ruelle autour de trois alcooliques qui compensé à défroqué ma frangine, devant mes yeux ! Et je n’avais même pas voulu écouter ses remerciement, je n’avais pas fait ça pour être remercié ! D’ailleurs, je ne savais même pas pourquoi j’ai fais ça, elle était assez grande pour se débrouiller toute seule. Ce n’était pas mon genre. Je suis pas superman, j’n’ai même pas l’ambition de l’être, ça sert à quoi de passer son temps à aider les autres alors que t’es regarder comme la peste. Car même si je décider de changer (ce n’est pas du tout à l’ordre du jour), on me regardera toujours comme ce type que je suis actuellement. Alors pour moi tout étais simple, rien à changer.
Je penser parfois à l’avenir, et souvent je me demander ce que cela pourrait m’apporter de penser à ça. Je me voyais en rien, sinon je n’aurai pas continué les études, si on peu appeler ça des études. J’ai beau être un gras plutôt intelligent, je dois avouer que je passe bien trop de temps à faire autre chose que mes devoirs… J’allais finir rat d’égout. C’était pas si mal après tout, quand on pense qu’il y en a qui font ministre de la magie, j’n’imagine même pas le temps qu’ils doivent passer au boulot, l’enfer. C’n’est pas une vie. J’avais peu être trop le mot liberté qui me trotter dans la tête, il fallait dire, chez mon père, j’avais été libre de tout faire pratiquement. Il avait tout fais pour avoir mon affection, mais il ne semblait pas avoir compris que je ne donner plus rien de ce côté-là. Les gens croyant qu’on s’entendait bien, et lui aussi le croient. Je suis le seul à ne pas y croire, pour cause, je lui en veux. Je ne sais pas de quoi, à lui aussi j’ai souvent envie de lui mettre mon poing en pleine poire pour lui faire une grosse balafre avec la marque de ma chevalière que maman m’avait offerte.
Je fessais tourner cette fameuse chevalière autour de mon index, souvent on me demander pourquoi je la garder si je m’en fichais de ma mère, je répondais juste que j’aimais bien cette chevalière mais rien de sentimental… Mais au fond, c’était tout ce que j’avais de ma mère, ça et mes cheveux blond. Sixtine était son portrait craché, c’était peu être pour ça que je n’étais pas capable de voir qu’elle était belle femme. Je voyais en elle, ma mère, Six’ avait était trop petite quand elle était partie. Pour elle c’était facile… Je me souvenais d’une discutions avec elle alors qu’on était que de petits gosses…
FLASH BACK
On était dans le parc, le vent d'hiver était partit pour faire place a un soleil frêle. Mais pour les anglais ce temps rarissime était un temps a pique-nique. Comme c'était un samedi, les parcs étaient pleins à craquer, je n'avais que onze ans et ces sortie aux allures d'expédition ne me plaisaient pas vraiment. Alors que Sixtine, mon père et ma belle mère s'activaient a préparé le campement pour préparer le pique-nique, j'étais partit au bord de l'étang à lancer des pierres sur les canards qui n'avaient rien demandé à personne, ça ne me m'apportai rien de faire ça, mais je le fessai quand même. Sixtine arriva à coté de moi alors que mon caillou avait atterri en pleine tête du canard. Elle me demanda d'une voix triste.
-Pourquoi tu fais ça Nath', c'est méchant. Maman elle a toujours dis de ne pas faire mal aux animaux. Maman elle les aime les animaux.
Je jeta un regard noir a ma sœur, puis je retourné a mon occupation. Je savais que ça énervé Sixtine. Je fessais tout ce que notre mère ne voulait pas, je fessais du mal a tout ce que ma mère a aimé, ça me détendais. Sixtine me dit alors que c'était parce qu'elle me manquait que je fessai ça. Je lui avais répondu que non. Mais comme ma sœur était têtue elle me disait d'une voix douce que à elle aussi maman lui manqué. Sur le coup, je me suis énervé et j'ai rétorqué
« Tu es trop petite pour te souvenir d'elle! Tu ne peux pas être en manque de ce que tu connais pas! »
Je l'ai blessée, je le sais. Mais elle m'a cherché. Six' avait les yeux qui brillaient, je voyais bien qu'elle retenait ces larmes, elle me répondait que c'était faux, que maman ne m'aimait pas c'était pour ça qu'elle était partie. J'étais froissé, humilié. Je savais qu'elle ne le pensait pas, c'était la colère et j'étais trop petit pour contenir ma haine. Je la poussé des deux mains et Sixtine disparue dans un cri d'effroi. Soudain mon père se trouvait à mes côtés en hurlant le prénom de ma sœur. Je la fixé de mes yeux bleus, je reçu une bonne claque dans ma tronche par ma belle mère. Alors mon père et elle se disputèrent sur mon éducation, ces irresponsables... Pendant ce temps, la joue rouge, je regarder Sixtine se débattre dans l'eau de l'étang. Je plongeai a mon tour et je la trainais jusqu'au bord de l'eau. Elle s'excusa de m'avoir dis ça, je lui répondis que je m'en fichais et qu'elle pouvait bien crever avec maman. Je n'avais plus adressé la parole à ma sœur de la journée.
FIN DU FLASH BACK
Je regardai ma frangine, je ne savais pas pourquoi j'avais pensé à cet épisode, peut-être parce que j'avais manqué de rester sur le billard ou parce que je me demander ce que j'aurai fait si Sixtine était à ma place, ou si un jour j'apprenais qu'elle ne reviendra plus, est-ce que j'aurai la force de pleurer? Je ne sais pas de trop. Une chose est sure, je ne serai plus le même. Je tapai alors sur son épaule en lui adressant un sourire amusé. Je me fessai sage je trouvai, elle devait s'en être également aperçut.
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Re: Battle of fratery
Dim 12 Déc 2010 - 20:35
- La jolie blonde posa un regard chargé de reproches à son frère sans pour autant en rajouter une couche. En les voyant comme ça on pourrait penser que Six’ est une petite blonde toute sage, tout innocente. Mais ce n’est pas vraiment le cas. Outre son sale caractère elle avait le don de se fourrer dans toutes les situations possibles et inimaginables et dans ces cas là c’était souvent Nathaniel qu’elle contactait. (Même si avouons qu’elle cherchait avant toutes les solutions possibles n’aimant pas faire intervenir son frère). Combien de fois s’était-elle retrouvée saoule –et pas qu’à moitié- sur l’épaule de son aîné tandis qu’il l’a raccompagnait à la maison et l’a mettait au lit ? Et son frère avait déjà collé ses poings sur la tête de certains messieurs pour elle. Autant elle détestait la violence, autant quand quelqu’un l’énervait elle aimait bien qu’il se prenne une petite leçon. (Ouais, ouais elle pouvait bien faire la morale à son frère après, mais au fond elle n’était pas bien différente de son frère, aussi impulsive que lui). Certes elle-même avait déjà par de multiples fois aidé son frère mais elle savait que malgré ses remarques acides, son attitude tout à fait détestable, qu’elle pouvait compter sur son frère. Aussi elle garda ses remontrances pour elle se contentant de prendre un air dégouté devant les points de sutures de Nathaniel. Elle avait toujours eut un certains dégout par rapport au sang quand c’était sur les autres. Sur elle-même ça ne l’a dérangerait pas. Etant toujours à courir, faire sa casse-cou, exécuter les défis qu’on lui donne…Et bah elle a fini plusieurs fois à St Mangouste, avec fractures multiples, points de sutures…Enfin bref elle offrit une jolie grimace à Nate avant de détourner son regard ailleurs.
« Ah bah maintenant t’es balafré. Bravo hein ! Tu vas finir avec pleins de cicatrices partout, défiguré & tout ! » S’exclama Sixtine l’observant avec taquinerie et une sourire qui creusa des fossettes l’a rajeunissant quelque peut. C’est qu’elle pouvait parler ! Elle avait elle aussi quelques cicatrices de guerre, à peine visible maintenant dont une sur le dos de sa main droite qu’elle ne pouvait s’empêcher de toucher. La blondinette posa alors ses yeux sur la chevalière de son frère qu’il tripotait et son regard se voila subitement. Il était vrai qu’elle ne comprenait pas cet attachement qu’avait son frère pour sa mère. Sixtine elle haïssait sa mère et ce même avant qu’elle les abandonne. Elle n’avait jamais put lui pardonner le mal qu’elle avait fait à son frère, son père et elle-même. Elle aurait tellement préféré ne pas la connaître ou tout simplement que cette lâche les accepte elle et son frère pour ce qu’ils étaient : ses enfants et non pas des montres dotés de pouvoirs magiques comme on voyait dans les films. Contrairement à ce que pensait Nathaniel, elle avait des souvenirs très précis de sa mère, de la femme qu’elle était, de la nette préférence qu’elle avait pour Nathaniel avant qu’il découvre ses pouvoirs. Au fond oui elle n’avait jamais aimé cette mère. Celle-ci ne l’avait réellement aimé que lorsqu’elle avait eut la vision de son petit fils chéri en petit monstre. Seulement alors elle avait porté de l’affection sur Sixtine. Peut-être était-ce pour ça que pendant deux ans, elle avait prit le partit de leur mère, rejetant Nathaniel pour avoir une fois au moins sa mère pour elle. Mais au final elle n’avait jamais regretté de s’être tourné vers son frère sans plus se soucier de cette femme incapable de les aimer correctement. Alors pourquoi Nathaniel accordait-il de l’importance à cette femme qui les avaient rejetés ? Elle ne comprenait vraiment pas pourquoi il avait souffert du de son départ. Sixtine elle en avait été soulagée de ne plus voir cette présence fantôme dans la maison, de voir son père de nouveau avec le sourire lorsqu’il avait rencontré leur actuelle belle-mère…Evidemment elle aurait préféré que leur mère s’occupe d’eux mais bon elle respectait ce choix de partir. Mais elle ne relança pas le sujet là-dessus sachant que son frère devenait souvent mauvais quand elle commençait à aborder le sujet. Pourtant ça ne lui ferait pas de mal d’en parler parfois. Sixtine aurait vraiment aimé en parler avec lui enfaite. Mais petite elle n’osait pas trop se contentant de quelques remarques mais qui finissaient toujours par provoquer des disputes voir même des accès de violence. Alors elle avait fini par laisser tomber l’idée d’avoir toute discussion rationnelle là-dessus.
« Bon c’est pas tout mais on va pas camper ici. » Fini par dire Sixtine toujours le sourire aux lèvres. Il fallait avouer que Sixtine souffrait d’un problème de hyperactivité depuis qu’elle était gosse et même si maintenant elle gérait assez elle avait bien du mal à ne pas bouger et rien faire. D’un bond elle se leva attrapant sa veste. « Au faite t’as besoin de médicaments ? » demanda la blonde à son frère, toute pensée sur sa mère enterrée au fin fond d’elle-même. Elle saisit au passage un élastique à son poignet pour attacher à la va-vite ses cheveux blonds si semblables à ceux de son frère…En un peu plus longs.