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comme une enfant, qui rêve au prince charmant | Noah ♥
Mar 14 Déc 2010 - 21:25
Comme une enfant, qui rêve au prince charmant, un sentiment qui trouble et qui surprend … L’amour je ne connaissais pas, jamais ressentie, et surtout jamais vécu, souffrir sa ne sert a rien, les histoires d’amour de mes copines m’ont suffit à combler ce manque en moi. Personne ne comprend, surtout pas les filles, mais jouer c’est si mieux … D’ailleurs a ce jeu, je suis bien la meilleure et personne ne le contredira, mais dans ce domaine, c’est mieux d’être deux, j’ai mon partenaire personnel pour le jeu du chat et de la souris : Noah Woodman. C’est le meilleur aussi dans ce jeu la, quelques fois surement on va loin, lequel fera le plus souffrir l’autre ? Je pense gagner, mais le jeu laisse souvent place a l’amour, mais comment pourrais-je savoir l’aimais si moi-même je ne connais pas ce mot ? Et pourtant, une journée sans le croiser dans les couloirs, pour se charrier, sans avoir personne pour ce moquer, juste un blanc dans une journée si banale, sa devient quasiment lassant et intitule, mes journées sont programmer, je sais quand il passe dans les couloirs et quand je peux l’atteindre au plus profond de son âme. Mais je sais qu’une journée sans lui, c’est comme une journée sans le sourire de maman, une journée sans soleil. Ne pas voir son sourire moqueur et son regard supérieur me manque chaque jour. C’est le jeu mon chère ami …
Une journée amer commençait sur notre jolie ville, un froid glacial traversée toute les chambres, comme une soirée d’hiver, comme si le soleil se couchait pour laisser place au plus beau crépuscule, mais non … Un brouillard insistant, le soleil perdu dans les nuages, comme le cri d’un oiseau se perd dans l’immensité de l’océan. Je retirais mes couvertures, petit à petit, me retrouvant dans mon pyjama, un boxer et un débardeur pas très colorée. Je regardais autour de moi et ne voyais personne, une chambre vide sans aucun garçon, j’avais dormi seule cette nuit. Je me dirigeais très vite dans la salle de douche, après une bonne demi-heure sous cette douche, j’enlevais la serviette qui enveloppée mes cheveux, se mettant sur mes épaules, je le séchais pendant un bon moment, je mis ma mèche habituelle sur le coté et les laissaient ondulées. Je mis une paire de collants noirs et enfilais une robe par-dessus, une magnifique robe bleu, qui s’arrêtait juste au dessus de mes genoux. J’enfilais un petit gilet par-dessus et ma veste en cuir, des chaussures, de magnifique bottes et j’étais enfin prête. Je pris mes livres de cours et partait dans les couloirs. Je poussais la porte d’une salle d’études, m’avançant vers une table près d’un chauffage, le froid n’avait pas l’air de se lever. Je regardais autour de moi, personne dans cette salle, tout le monde avait l’air de dormir. Je sortais mes livres de cours, tous posais sur la table, j’en prenais un parmi les trois, histoire de la magie, dans quelques heures, j’avais un contrôle écrit puis orale sur ce thème la. Je soupirais, regardant une dernière fois autour de moi, les salles me paraissait bien vide, d’habitude, il est quasiment impossible de trouver une place, sortant une sorte de bloc note, je l’ouvrais prenant la première feuille qui venait. Je commençais a lire et a écrire les mots les plus important, regardant mon téléphone, le fond d’écran s’allumer, une photo de Noah, prise quand il passait dans les couloirs, lors de nos jeux sacrée. Je souriais, et continuais a écrire, le crayon a papier, pris comme son envol, lorsque trois lettre ce placer sur ma feuille : NMW, comme Noah M. Woodman. Je regardais autour de moi et vis une tête passer devant la fenêtre, je ne fis pas vraiment attention et retournais ma tête, mais très vite elle revenait vers la vitre, Noah arrivait. Je prenais, mon téléphone et le posais un peu plus loin pour qu’il ne voit pas mon fond d’écran. Puis essayant de cacher les initiales, je bougeais ma main, les laissant a la vue de tous, il ne pouvait pas se douter que c’était lui et puis au pire ? Je reprenais ma lecture, mais je sentais rapidement son parfum et sa présence entrant dans la salle, je levais ma tête, lui lançant un regard et repartait dans ma lecture, aujourd’hui c’est lui qui vendrait.
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Re: comme une enfant, qui rêve au prince charmant | Noah ♥
Ven 24 Déc 2010 - 2:13
Est-ce possible d'aimer quelqu'un de cette façon, de lui porter tant d'attention sans pourtant l'aimer de l'amour inconditionnel ? Est-ce normale de vouloir croiser ses yeux, d'entendre sa voix, de toucher son cœur et d'être avec elle sans lui donner votre cœur ? Et pourtant, je lui laisserait bien ce dernier. Qu'elle le prenne et qu'elle en fasse ce qu'elle en veut. On sait qu'elle y fera attention. Et c'est justement ce qui est le plus étrange. Être confronter a l'amour de votre vie, mais que la frôler avec envie. Sans vouloir aller plus loin. Et pourtant on voudrait plus, on voudrait pouvoir mélanger nos ames, mais une force nous en empêche. Non que son cœur soit déja pris, même s'il est déja conquis, elle pourrait être la plus simple des cibles de cupidon. Mais pour l'instαnt, mon cœur ne peut pas aller plus loin. Bien qu'il aimerai, il en est incapable. Et c'est peut-être cela qui est merveilleux. D'aimer une personne a un point tel que même la vie nous empêche de la perdre. Et que si un jour, l'amour que l'on éprouve l'un envers l'autre deviendrais réciproque, nos cœurs pourraient s'ouvrir et s'abandonner. Mais pour l'instant, un lien si fort nous unis que rien ne pourrait nous séparer, et c'est ça qui a de plus beau. Jude, ce prénom est gravé en moi.~*~
Etendue dans mon lit, jen’arrivais pas à retrouver le sommeil. Il devait être près de minuit quand je renonça à dormir, pour m’asseoir sur le rebord de mon lit, enfouissant mon visage dans mes mains me demandant bien ce qui m’empêchait de trouver le chemin des bras de Morphée. J'avais chaud, et j'étouffais. mon front était trempe d’une sueur moite que je balayais d’un geste impatient de la main. En plus de l’inconfort je ne cessé de me rejouer dans mon cerveau la soirée d’hier soir avec ces amis d'enfancce. j'avais passé des années à être en leur compagnie. je me levais, marcha droit vers la fenêtre que j'ouvris largement, espérant que la température extérieur rafraichisse ma chambre et peut être même mon esprit embuais par tout un tas de certitude et de désir tous aussi différents les uns que les autres. Un ciel remplis d’étoile. je fermais les yeux quelques seconde, profitant de l’air frais qui me balayais le visage pour faire le tri dans ma tête. En définitive la sensation était si agréable que je décidais de sortir carrément prendre l’air. Pour m’habiller, je ne fis pas grand effort. Un jean, un pull qui pouvait lui tenir assez chaud … Et vue que le temps ne semblait pas au beau fixe, je ne me fit pas prier pour l’enfiler. Une paire de basket aux pieds, je sortis de la salle commune. Toute la maison dormait, tant mieux, en même temps a cette heure là. je ne savais pas trop où j' allais, mais après un quart d’heure de marche, mon sac de cours à mon épaule, où cas ou je trainerai dans le parc, je n'aurai pas à faire de détour à ma salle. je me dirigea vers la salle d'étude. Un petit sourire habitais mes lèvres, à forces de faire ce chemin pour aller retrouver Jude, je le faisais sans même m’en rendre conte. Au moment où je ressentis l’envie d’aller tirer celle-ci de son lit et de l’énerver pour le seul plaisir de … bah de l’énerver . Je l'apercu en pleine lecture. elle paraissait concentré sur sa lecture, et l'envie de l'embeter fit tilt dans ma tête, attitude très puerile de ma part n'es-pas? mais c'est le jeu. Elle me jeta un regard furtif, et le détourna aussitôt. Je me trouvais encore à l'opposé et parla à haute, voix, pour qu'elle puisse entendre et en même temps le peu d'élève s'y trouvant «Fais comme si tu ne m'avais pas vu !» je le fixais dans les yeux, attendant sa réaction, un sourire moqueur fit son apparition sur mon visage. «Tu veux pas de mes calins? Je sais que tu aimes sa!» et je tendis les bras bien ouvert, en signe d'attente, elle viendrait comme d'habitude la première.
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Re: comme une enfant, qui rêve au prince charmant | Noah ♥
Dim 9 Jan 2011 - 16:33
La lecture passionnante, d’une œuvre inconditionnellement ennuyante. L’histoire de la magie, l’histoire d’une vie surement, le passage du livre, si ennuyant me semblait désastreux. Ce professeur que je ne peux que haïr, jamais je ne pouvais passer deux jours tranquillement, dans mon lit, au chaud, en bonne compagnie surement. Chaque élève devait étudiais un passage de ce livre, qu’il ose appeler une œuvre. Écrit, par un sang mêlé extrêmement connue, elle racontée toute sa vie, dans les moindres détails, de façon érotiques, ou censée, de façon incompréhensible, comme si avait bu un peu trop, avant de se penché sur sa vie regrettée. Jamais je n’ai entendue une femme, parler de ces amours, aussi mal, elle qui tombais amoureuse, qui s’entichait de toutes les mauvais hommes, les voyous, souffrir, comme si elle aimait ça, le pire dans ce passage, c’est qu’elle aimait l’amour, elle croyait au coup de foudre et a cet amour dit éternelle. Comme ci cela n’était pas assez répugnant a la lecture, ce gentil professeur m’avait donnée ce passage sur l’amour a étudié. Je soupirais, rien qu’en lisant ces pensées obscène, ces scènes qu’on ne livre qu’a son journal intimes dans une vie réels. Peut être avait elle alors tout inventée ? Qui livrerais vraisemblablement toutes ces moments érotiques en compagnies de différents hommes chaque soir.
Entendant, dans une salle légèrement plein, le son d’une voix plus grave retentir, je ne pu m’empêcher d’esquisser un sourire intérieurement. Voyant ce jeune homme du coin, de l’œil je comprenais alors, que la réponse que je cherchais depuis des heures, ce trouvais devant moi. Elle ne mentait pas, son portrait au masculin était juste devant moi, l’homme qui couche avec n’importe qui, chaque soir, sans un seule moment ce soucis de qui pourrait vraiment souffrir, de cette attaque au plus profond de son être. Le peu de gens qui restait figée dans la salle, se levait et partait lorsque que je levais ma tête, comme un signe de respect, voulant laisser seule, deux personnes strictement amis. Quasiment toute l’école est au courant des sentiments réciproque des jeunes personnes restant seule dans cette pièce, tout le monde sauf les deux concernées... nous alors. Posant mon crayon, je levais ma tête, repoussant mon téléphone, qui de mon être montrer la réalité de la vie, voyant Noah en fond d’écran. Je le regardais, esquissant un léger rire, il avait l’air d’un parfait arriérer attendant les bras ouvert, en plein milieu d’une salle vide. M’approchant doucement, je remettais correctement ma petite robe bleue. Me glissant doucement dans ces bras, comme si je pouvais avoir confiance, sans vraiment savoir qu’elle était ces arrières pensés. Les minutes passaient, et aucun de nous deux, arrêter le câlin qui avait pris nos cœurs. Comme d’habitude, j’avais commençait la première, comme d’habitude, je finirais la première. Me décollant doucement, de ce jeune homme après quelques minutes, après avoir sentie son odeur trop près de moi, et me rendre un peu confuse. Reculant, je baisais ma tête, remettant ma mèche de cheveux en bonne uniforme avant qu’il ne le fasse comme a son habitude. « C’est toi qui aime ça, oui. ». Le jeu, reprenait très vite, déjà au bout de quelques minutes ensemble. Me tournant, doucement, je remarchais les mains derrière mon dos, en espérant qu’il en attrape une. M’avançant vers ma table, je repris place sur ma chaise. Mes affaires au bord, je tournais doucement ma tête, regardant ce jeune homme toujours derrière debout, comme un idiot. « Tu comptes rester debout, c’est sur mon dos est très jolie mais … ». J’affichais a mon tour, un sourire moqueur, pourtant, je n’étais pas ce genre de fille a se trouver très jolie. Je savais contre mon cœur, qu’il avait dut passer la nuit, avec une autre fille de cette école, surement plus jolie mais je ne disais rien. Regardant ma feuille, je ne marquais rien, le titre, le numéro de la page, du chapitre et mon nom, ainsi que les trois lettres NMW, était écrite sur ma page, rien ne venait devant cette lecture, appelée œuvre intégrale par mon professeur. Faisant semblant de lire, je regardais du coin de l’œil se chère Woodman, toujours débout, surement en train de penser a sa conquête de la vieille.
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