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So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Mar 28 Déc 2010 - 14:27
✤ professeur Bonjour à tous. Je me nomme Spleen Azalee Walden-Andreï , j'ai 28 ans , et je suis d'origine britannique. Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, même si ça ne change rien, hétérosexuelle, , mais malheureusement, je suis veuve et issu d'une famille de sangs-purs consanguins . A Hungcalf, j'étudiais la métamorphose et l’histoire de la magie. Maintenant ? J’enseigne la métamorphose, et j'espère que mes élèves trouveront ça « cool » ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois de rose, 15 cm et contenant des poils de griffon et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme loutre marine . avatar Shiya || icônes Lipstick |
✎.. A2 pour les intimes *sbaff*
Dans la vraie vie, j'ai 19 ans. J'ai connu ce magnifique forum grâce à oulàà, depuis le temps, je ne m'en rappelle plus ! et je ferais de mon mieux pour être là 5 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? oui. D'ailleurs, j'en avais fait la demande à Emychou . Mon personnage est un perso inventé. Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que j'aime Hungcalf, que vous m'avez tous manqué et que voili voilou (l) A oui, et le vert c'est pas joli, joli XD (a) EDIT : je me remets gris (a) . code règlement : Ok By Emy |
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Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Mar 28 Déc 2010 - 14:28
« Histoire de la Magie ? » S’indigna mon père lorsque je lui parlais de la spécialité que j’allais prendre à Hungcalf. « Tu… Tu vaux… Tellement mieux ! Tu as des capacités nom d’un Scrout à Pétards ! » Oh. J’aurais du me rendre compte que lui parler si franchement était une mauvaise idée, mais que pouvons-nous faire ? Lorsque nous aimons ce que nous faisons ? Lorsque l’on est passionné… Diderot disait qu’il n’y avait que les grandes passions qui pouvaient élever l’âme aux grandes choses. Bien sûr, j’avais dix sept ans, je ne pouvais pas lui dire que non ! Je ne me spécialiserais pas en sortilèges tout ça parce que j’avais des facilités, mais tout simplement car l’histoire me passionnait. On ne peut pas changer quelqu’un après tout, je ne pouvais lui demander d’accepter ma vie, telle qu’elle était, d’accepter mes passions et mes folies tout comme je ne pouvais l’empêcher d’avoir pour seul objet de respect ce qu’il considérait comme la véritable magie : sortilèges, la défense contre les forces du mal. « Laissons la divination, runes et autre supercheries à des cracmols se prenant pour des sorciers. » . De tous temps, les sorciers se sont crus supérieurs à tout être humain pour le seul et unique fait qu’ils avaient des pouvoirs, et leurs volonté de perpétrer la race dans une pureté infinie aurait pu finir par tous nous éradiquer, si certains enfants moldus n’étaient pas nés sorciers. Parfois je me demande ce qu’ils peuvent ressentir, ceux qui n’appartiennent pas à ce monde à l’origine. Parfois je me dis qu’ils vont peut-être mieux, d’une certaine façon, car leurs parents les considèrent comme des êtres uniques, et puis je me dis que les autres élèves de Poudlard finissent par leur faire regretter leur ascendance. On n’est jamais heureux. L’homme est une créature en perpétuelle recherche d’un bonheur imaginaire et qui, lorsque l’on a la chance de pouvoir le créer, de l’inventer est si éphémère qu’au moment où il se termine, on ne se souvient plus que de la souffrance et du manque de la perte de cet objet cher. Au moment où ce petit paradis ce termine, nous retournons dans cette course effrénée pour tenter de la rattraper. Et plus l’on tend à l’approcher, plus il s’éloigne… Lorsque je me présentais devant une vieille femme. « Spécialisations ? » « Histoire de la magie. Et métamorphose. ». Mon choix était fait, et je savais qu’une page se tournait à ce moment là, j’avais désobéit.
▬ CHAPTER ONE ▬
Toute histoire a un commencement.
Situation InitialeJe suis née de l’union d’Amos et de Meryl Walden, une nuit de juin, à l’hôpital Saint-Mangouste. Oh, mais on ne peut pas vraiment dire que ce soit la plus belle chose qu’ils aient fait... Je parle bien entendu de leur mariage… Et pas de ma naissance, quoi que, l’un dans l’autre… Hum. Ce fut un mariage d’arrangement, pour protéger la lignée sang-purs. Quelle idée ! « Ne pas salir notre pureté, aucun sang-de-bourbe n’est toléré. ». Durant des années, j’ai entendu le même refrain, en plus du fait que mes parents (et grands-parents) n’étaient que des êtres passéistes, je n’avais de cesse que l’on me raconte les performances de mon grand-père, de mon père… Bien sûr, on n’insistait jamais sur le fait que les femmes également pouvaient être douées de capacités extraordinaires. Je ne vous dis pas la crise de nerfs qui ont suivit la découverte de mes « facilités », alors que dans le cadre d’une angoisse du huitième mois habituelle, le bébé crie lorsqu’il est face à un étranger, je ne bougeais pas, même si j’étais affectée. En effet, mes cheveux devenaient verts pistache. Toute ma vie, j’ai du faire avec le fait que je n’étais pas comme les autres, bien sûr, étant enfant, je trouvais cela plutôt drôle… Mes cheveux colorés avaient la fâcheuse tendance d’endormir Campbell ou de calmer Terence lorsqu’il s’énervait trop, et on pouvait dire que c’était courant, il aurait voulut être le grand, l’adulte, alors qu’il était entre deux filles, il voulait toujours prouver qu’il était doué, c’est pour cela qu’il a commencé le quidditch très jeune et qu’il est devenu un excellent attrapeur. J’ai toujours aimé m’occuper des autres, c’est peut-être ce qui me poussa, aussi longtemps après, à devenir professeur. Là n’était pas le sujet… Je suis une métamorphomage, par ma simple volonté, je peux changer d’apparence, mais j’emploie très rarement ce mot, vous le comprendrez bien assez vite par la suite… Je ne vais pas dire qu’en sortant de cela, j’étais une enfant tout ce qu’il pouvait y avoir de plus normal, pour une sorcière en tout cas. Bien sûr en bonne bourgeoise-sang-pur, je me retrouvais à devoir apprendre le français, le latin, les mathématiques, le piano et tout ce qui montrait que j’étais une fille du 17ème siècle, lorsque l’on y regarde de plus près. Bon si nous n’avions pas été en 1985, cette éducation aurait été parfaite n’est-ce pas ? Mais le contexte de ce vingtième siècle me faisait penser que notre monde n’était pas vraiment en accord avec ce vivait l’Humanité au même moment, et je m’étonnais du fait que l’on tentait de me persuader que les Moldus n’étaient pas aussi avancés que nous, après tout, nous avions surement chacun nos retards. Oh ! J’aurais du garder ma théorie à l’époque : « Sache, jeune fille, qu’à ton âge, on écoute ses parents. Tu n’as pas à avoir d’avis tranché. Tu nous écoute ! ». Soit jolie, mignonne, et tais-toi en un mot. Je pensais qu’ils comprendraient à quel point élever ainsi un enfant, ou plus, endoctriner ainsi, était néfaste pour l’enfant mais ils réitérèrent pour Terence, puis pour Campbell. Ils reproduisaient leurs erreurs, inlassablement, et l’éducation n’était pas leur pire faute ! Quoiqu’ils ont au moins réussi à détruire Terence qui est devenu le total opposé de moi : un agent du ministère bon-chic-bon-genre, et anti-moldu. Ah ! Si on l’écoutait, il y aurait des tests de pureté à l’entrée de Poudlard. Quelle idiotie ! Mais si seulement leurs erreurs s’arrêtaient à quelques principes (même totalement erronés), mais ils voulurent renouveler la bévue qui leur avait fait perdre leur jeunesse, protéger le sang à tout prix…
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Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Mar 28 Déc 2010 - 14:28
▬ CHAPTER TWO ▬
Élément Déclencheur.
Juillet 1999.
Je patientais dans la grande salle en attendant que l’on énonce mon nom, la peur me dévorait. Plus je tentais de me calmer, de respirer profondément, mais rien n’y faisait. Je voyais les autres entortiller nerveusement leurs cheveux, certains riaient, parlaient, d’autres révisaient encore. Et moi ? Et bien j’avais peur de ça. De ce que j’étais, après tout, ça m’avait apporté que des ennuis. Lorsque Campbell avait quelques mois, elle appréciait mes cheveux lorsqu’ils étaient bleus, mais Poudlard m’avait apporté mon lot d’anxiété. « Waarlen Oleingha » fut appelée. Oh mon Dieu non, ça allait être mon tour, dans quelques instants.
« Spleen. Calme-toi » , intima ma meilleure amie.
« Qu… Quoi ? Mais je… Je suis très, très calme. » Répondais-je, alors que je sentais pertinemment que ce n’était pas le cas.
« Tes racines ! Spleen, respire ! »
Oh pourquoi avait-elle parlé de mes cheveux ?! Maintenant je ne pouvais m’empêcher de passer mes mains sur le sommet de mon crâne et de lui demander si ça se voyait, comment c’était, et de la supplier de me dire que tout allait bien se passer. Elle me l’assurait, le répétait. Ma voisine, une satanée Serpentard rit en me disant que je pouvais me mettre les ASPICS au… enfin,… dans… Le derrière dirons-nous pour être polis… Et en rajouta sur le fait que je n’étais pas une vraie sorcière mais un monstre de foire.
« Vert, vert, vert » dit Elysaa alors que mes yeux s’humidifiaient.
J’avais simplement envie de lui dire que chut, cela suffisait, mais je ne pouvais pas articuler un seul mot, ça allait être simple ! Le dernier ASPIC passé était Histoire de la magie, et j’avais distinctement entendu un prestigieux sorcier dire à son voisin qu’avoir des cheveux rose à un examen était une preuve de son, enfin de MON, insouciance et de mon désintérêt face à la matière. Je ne pouvais pas crier que c’était l’un de mes matières préférées, et que j’étais déformée et surtout très colorée lorsque j’étais anxieuse. Oh le nombre de fois où cela m’avait paralysé était incalculable. Mais le pire avait été lors de sa répartition, son nez avait changé de forme avant même que les choixpeau se pose sur sa tête, alors que tous les regards étaient tournés vers elle. C’était à partir de ce jour là que ce qui m’avait amusé dans ma jeunesse était devenu un fardeau, une malédiction.
« Walden, Spleen Azalee! »
« Ah ah le Monstre, tu va devenir Roooose ! » ricana la Serpentard.
Je passais devant elle, attachais mes cheveux en un chignon. Je pensais que cela se verrait moins, juste ma tête au lieu d’un encadrement de cheveux roses, verts, violets. Généralement, c’était rose. Je détestais cette couleur ! Si, flashy. Généralement, j’arrivais à me transformer physiquement lors des soirées, comme le bal du printemps, où de jolis reflets bleus brillaient dans sa crinière brune, et ses yeux sombres étaient devenus clairs. Parce que lorsqu’il s’agissait de faire la fête, je n’étais pas stressée, bien au contraire ! Mes couleurs et mon physique restaient agréable, ce qui n’était pas le cas lorsque j’étais en examens. J’avançais, tremblante, et enfin je me retrouvais face à trois professeurs : une femme d’une soixantaine d’années, aux cheveux blancs, et un teint très clair, des yeux sombres et perçant, comme si elle pouvait voir au-delà de l’enveloppe corporelle. Le premier homme avait une quarantaine entamée, brun, large, surement un sportif. Et le dernier était tout petit, pas plus d’un mètre cinquante, portait un costume, ses dents étaient refaites. Analyser les gens me calmait, mais ce n’était pas le cas aujourd’hui, je continuais à mordiller nerveusement ma lèvre inférieure.
« Bien, détaillez-nous la potion nommée ‘Felix Felicis’, expliquée nous à quoi elle sert, et ainsi de suite… » , Dit la sorcière.
« Bien… » . Je tentais de me calmer, je connaissais cette potion, cela aurait dû ne pas me poser le moindre problème. Je prenais un point, derrière mes interlocuteurs, à fixer sans ciller, et commençais à parler : « La potion de ‘Felix Felicis’ est également appelée ‘chance liquide’, elle a pour propriété d’être… liquide. Dorée. Et… bah. D’apporter de la chance à quiconque la boi… La boira. » Je sentais que mes répétitions avaient commencé à me faire perdre pied, mais je tentais de rester concentrer. Je commençais à énoncer les différents ingrédients lorsque la sorcière donna un coup de coude au petit examinateur et, d’un coup de plume, me désigna.
Ça y était alors ! J’étais foutue. Et, alors que je savais pertinemment que crisper mon visage aidait aux modifications, je ne pus m’empêcher de me refermer sur moi-même, la respiration saccadée, et je vis que leur regard changeait. Je ne savais pas trop ce qui avait changé mais ils ne posaient plus de questions, ne me demandaient plus si j’étais sûre de ma réponse, et ne me guidaient plus dans mon raisonnement. J’étouffais un hoquet dû à une soudaine montée de larmes, qui, sans barrière, commencèrent à glisser le long de mes joues, et je m’enfuis de la salle. Potions. Le tout dernier examen et je le ratais en beauté ! Ma vie était foutue. Tout ça à cause d’une matière qui m’avait toujours ennuyée.
Je cessais de courir en arrivant devant la porte des toilettes des filles. « Bwah » lança l’une d’elle lorsque je passais. Et, arrivée devant le miroir, parcourut de nombreux éclats, je me contentais de voir ce que j’étais devenue. C’était la première fois que cela m’arrivait. Je n’avais pas seulement changé de couleur de cheveux, ou d’yeux, mais j’avais de longs cheveux roses, un teint hâlé, des fossettes aussi grandes que le petit homme, l’iris identique à celle du grand et des veines apparentes dans le cou. Je ne pu m’empêcher de crier, ce qui fit sursauter quelques personnes avant de me laisser glisser contre le mur. Elle avait raison cette fille de Serpentard, jusqu’à là, je n’avais été qu’un phénomène de foire. Mais ce jour là, je m’avérais être bien plus que cela : un monstre.
▬ CHAPTER THREE ▬
PéripétiesEntre la fin de Poudlard et mon entrée à Hungcalf, je revenais à la maison, comme une gentille et obéissante petite fille. Alors que je congédiais l’elfe de maison, je commençais à défaire mes valises. Je n’avais pas encore parlé de mes dernières semaines – absolument abominables – de cours. Ma « coloration » avait valu des points en moins à ma maison. Discrimination anti métamorphomage, voilà ce que c’est. Non, mais, c’est vrai, ça avait été une gêne visuelle et un élément perturbateur quant à l’attention et à la concentration de mes camarades. Foutaises ! Ils n’avaient qu’à tout simplement pas me regarder ! « Spleen ? » appela ma mère, « Diable ! Où es-tu ?! » Voilà qu’elle commencé à jurer… « Ici Mère. », je passais ma main tremblotante dans les cheveux de Campbell, j’avais entendu les sorciers transplaner, je savais pourquoi ils allaient venir à la maison, j’avais été jusqu’à regarder par la fenêtre. Je soupirais. « Reste sage Bells Chérie. Je vais faire peur à ces personnes. Rose ou vert ? », J’entendis sa petite voix fluette me répondre « Le vert c’est l’espoir » et elle m’adressa un petit sourire, un de ceux que j’aimerais revoir aujourd’hui sur son si beau visage, elle qui m’a oubliée et qui vit sa vie comme elle l’entend. Oh, j’étais pareil à son âge après tout… L’amnésie mise à part…
Je me mordillais la lèvre inférieure, et lorsque je passais devant le grand miroir dans l’entrée, je me rendais compte à quel point le vert ne m’allait pas. Parfait ! Je m’avançais jusqu’au boudoir, d’où j’entendais s’élever des voix et quelques rires. Lorsque j’entrais dans la salle, tous se tuent immédiatement. « C’n’est pas vrai… » Murmura Meryl, ma mère à l’adresse de son époux. Celui-ci se leva instantanément et se dirigea dans ma direction « Suis-moi Lee… », Sa voix était douce et, étrangement, je voyais un sourire se dessiner sur ses lèvres pales. « Lee. », « Amos », « Hm. S’il te plait, redeviens brune. », « Oh ! Pourquoi ? Je n’ai pas ma couleur naturelle ? » Demandais-je avec un faux air outré. « Ecoute, je pense que tu as compris, tu es intelligente, Zwann est ton futur époux. », « Zwann ? C’est quoi ce nom ? » M’indignais-je. Bon ! D’accord, au moment même où j’avais vu ces gens arriver chez nous de la chambre de ma sœur, j’avais compris que j’allais rencontrer mon futur époux, mais je me disais que jamais, oh grand jamais, je ne pourrais prendre de plaisir avec un être s’appelant ainsi. Il me revenait subitement qu’il s’agissait d’un Serpentard, odieux, un mec qui m’avait insulté, comme tant d’autres me direz vous, mais mon amour propre de sang-pur (oui, je sais, d’habitude, je m’en fous, mais autant que ça serve non ?!) blindée de thunes n’acceptait pas le fait de devoir se marier avec un être la rabaissant. « Viens au moins dans le boudoir avec nous. S’il te plait. Pour ta mère. » Je secouais la tête, respirais profondément, alors que mes cheveux redevenaient sombres et d’une couleur commune.
« Enchantée Messieurs, Madame » lançais-je en rentrant derechef dans la salle. Au moins, j’avais fait mon petit effet, Mrs Andersen me regardait de travers, une petite panique dans les yeux. Son mari et ma mère me regardaient vraiment mal, et Zwann avait ce mépris dans le regard, celui que je connaissais si bien pour l’avoir vu chez tant de personnes depuis un peu plus de sept ans. Ils parlèrent tout l’après-midi, alors que je regardais par la fenêtre, les mains voyageant dans le pelage de Lorkhi, mon chat noir. Parfois, j’hochais la tête, et je participais au débat sur le moment du mariage, disant que je préférerais épouser leur fils, après mes études. Bien sûr, ils avaient été outrés, mais oui, j’avais des principes tels qu’une personne nécessite une bonne éducation pour pouvoir vivre sa vie. « Mais, nous n’avions pas prévu d’envoyer Zwann à Hungcalf. », je m’empêchais de rire, et répondais « JE veux aller à Hungcalf, je n’ai pas dit que mon probable fiancé viendrait avec moi. », « oh… mon… Dieu. Vous prenez un peu trop de liberté Azalee. », « Déjà, je m’appelle Spleen, il n’y a que ma famille qui m’appelle Azalee. Ensuite, déjà que vous souhaitez que je reste sous la coupe de Zwann lorsque nous serons mariés, j’aimerais que ça commence un peu plus tard… Si possible, bien entendu. ». Mrs Andersen se leva, apparemment, elle n’était pas vraiment heureuse de mes propos, Amos me fusillait du regard, et moi ? Et bien, je n’osais même pas regarder vers ma mère.
Lorsqu’ils partirent, je du affronter une tornade, Meryl me traita de tous les noms, mais je lui dis que c’était vrai ! Je voulais vraiment devenir une personne le plus instruit possible. « Jamais je n’ai eu aussi honte Spleen Azalee Walden ! », et finalement, je trouvais refuge dans la chambre, bientôt rejoins par Terence qui se coucha à côté de moi « Je t’aime Lee. Je n’veux pas que tu épouses cet idiot », « Vous êtes dans la même maison pourtant… », « Je n’veux pas que tu partes de Poudlard. », « Tu es grand chéri, tu vas pouvoir te débrouiller, et dans deux ans, Campbell y rentrera… Bon, elle sera surement. Gryffondor. Oui, je pense qu’elle va être une rouge et or. ». Il rit avant de me dire que nos parents auraient du faire un quatrième enfant, qu’il serait allée à Poussouffle. Je ris aussi. L’enfant qui s’endormit de mes bras ce soir-là me manque également aujourd’hui, après mon départ, les Serpentards et leur idéologie erronée l’ont rongé, il est devenu comme eux, comme les autres personnes de notre famille, ne jugeant que par les sangs-purs, obnubilé par le fait que les « sangs-de-bourbe » ne valaient pas aussi bien que les autres sorciers. Inepties.
Et bientôt, ils me l’accordaient. Enfin ! J’allais passer plusieurs années, dans un château, loin de ma famille consanguine, et surtout, loin de mon promis et de sa famille de dégénérés. « Tu es genre ‘fiancée’ ? HAHA ! Toi ?! Non mais c’n’est tellement pas crédible » lançais Elysaa lorsque je lui annonçais. « Non mais c’est ça, moque toi ! En attendant, c’n’est pas toi qui va finir ta vie avec un vieux plouc ! », « Et tu dis plouc ? Et tu as désobéis à ton père ! Bon Dieu, vous avez bien changé Mrs Walden ! ». Je ne pus m’empêcher de rire, la jeune fille sage commençait à changer, c’était vrai, mais je n’étais pas encore le genre de personne que l’on pouvait considérer comme rebelle ou libérée. Mais bientôt, nous allions arriver à Hungcalf, bientôt, une nouvelle page allait se tourner…
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Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Mar 28 Déc 2010 - 14:29
▬ CHAPTER FOUR ▬
La rencontreJe venais de sortir de mon cours de métamorphose, lorsque l’on m’approcha, il s’agissait d’un jeune homme à l’accent charmant, un bel être ténébreux aux yeux sombres et à la peau claire. Je ne pourrais retranscrire son accent, mais pour vous le situer il s’agissait d’un garçon russe, de près de vingt ans. « Bonjour, je m’appelle Dorian Andreï, pourrais-je me permettre de vous inviter au bal de printemps ? ». J’étais soufflée, c’était la première fois que je voyais ce sorcier, et il me demandait de l’accompagner au bal ?! C’était fou. Depuis mon entrée à Hungcalf, j’avais fait beaucoup de fêtes, rencontré beaucoup de monde, j’avais commencé à boire, à fumer, (parfois pas que des cigarettes), mais je m’étais aussi beaucoup consacré à mes cours, ce qui est normal, ici, nous pouvions tout faire, c’était génialissime. Fini les robes de sorcières, nous nous baladions en jean, fini les couvre-feux, nous allions nous coucher lorsque nous le souhaitions. Et, à vrai dire, c’était rare que nous fassions des nuits entières. Bref ! Passons les détails sur Hungcalf et retournons à nos moutons. J’étais donc là, avec mon pull pourri, car oui, avouons-le, il était vraiment moche lorsque j’y repense, et lui me posait cette question, qui me chamboulait, avec cette classe et cette prestance que je n’avais jamais remarqué chez personne avant lui. « Et bien. Oui. Je… D’accord. Je veux bien » Bredouillais-je, mes racines rosissant bien que je priais pour que ce ne soit pas le cas, il me sourit et se dit ravi. Oh ! Je pensais tellement qu’il fuirait lorsque mes cheveux seraient entièrement rose fushia… Et bientôt, galamment, il me salua et partit en cours.
« Attends… Spleenou… Jamais aucun, j’ai bien dit ‘aucun’ homme n’a eu grâce à tes yeux, même lorsqu’ils t’ont fait la cour pendant des lustres… Même ton – crétin – de fiancé. Et là, parce qu’un mec t’as juste demandé d’aller au bal avec toi, tu deviens folle ? ». Mes cheveux devinrent instantanément bleus, alors pourquoi cette couleur, je n’en avais aucune idée. « Mais. Je ne sais pas l’expliquer. Il est trop mignon, et son petit accent là, c’est. Awn, je te jure qu’il est craquant, s’il te plait, s’il te plaiiiit ma chérie, mon corps, la prunelle de mes yeux, aiiide-moi ! Je t’en pris, j’n’ai jamais eu de rencard, rien. Je suis juste bonne à bosser et à picoler. Aide. Moi. » Oui, vous pouvez le dire, j’étais totalement pitoyable, mais bon. Non, tiens, ce n’était pas moi, mais mes hormones. D’accord, tout cela ne me justifie pas. Elle m’aida donc à me préparer, à enfiler ma longue robe blanche. Ce n’est pas moi qui avait choisit la couleur, mais Ely. Je trouvais ça un peu trop prétentieux, mais pas elle, elle disait que ça m’étais le –peu – de bronzage que j’avais en valeur. Elle me demanda d’ailleurs pourquoi je n’utilisais pas mes capacités pour hâler mon teint, je fus obligée de lui avouer, qu’en fait, c’était déjà le cas. Bref, je devais avouer que cette robe blanche était parfaite, et je n’étais pas trop moche à l’intérieur.
Lorsque j’arrivais dans le hall, il était là. Elégant, bien sur, un costume trois pièces noires, une cravate, les cheveux à hauteur d’épaules, ses yeux noirs. Si noirs, si… Oh, ils auraient pu faire fondre n’importe quelle fille sur Terre. Je repoussais nerveusement une mèche derrière mon oreille et m’avançais vers lui. Il me fit un baisemain. Aw, on était au 21ème siècle et il était si galant, si… troublant. « Allons-y Spleen, si vous le souhaitez. ». J’étais sure de devenir à nouveau rose. « Dorian, si. Si vous acceptez, je préférerais que l’on se… Tutoie. ». Il me sourit, d’une manière tellement indescriptible, je tombais sous le charme des deux fossettes qui se démarquaient à cet instant précis. Je ne pouvais le quitter des yeux. Il m’invita à danser, j’avais l’impression d’être dans un film d’époque, dans Sissi ou je ne sais quelle histoire avec des bals majestueux. Je virevoltais dans ses bras, je n’avais jamais été aussi heureuse de toute ma vie. C’est étonnant n’est-ce pas, comme ce sentiment d’être appréciée, peut-être même plus, donne des ailes. Donne le sentiment que l’on est enfin libre, léger. C’était la première fois que je sortais avec quelqu’un. A 17, 18 ans et à Hungcalf, qui plus est, cela pourrait paraitre étrange puisque là-bas tout est débauche, mais c’était ainsi, et puis, je n’avais pas vraiment le droit, à vrai dire, j’étais fiancée, il ne fallait pas l’oublier. Lorsque nous arrivions devant la porte de la salle commune des Lufkin, il se pencha pour me faire un baiser sur la joue, et d’une voix sensuelle, il murmura à mon oreille « Bonne nuit. », je baissais quelques secondes les yeux, avant de replonger dans les siens, ténébreux, abyssaux. Il avait de nouveau ce sourire si charmeur et, à mon tour, je lui souhaitais une bonne nuit et rentrais, rêveuse, dans ma salle commune.
A peine montée dans notre chambre, Elysaa me sauta dessus « Alors ?! Raconte-moi. Je veux.... tout… savoir ! ». Je lui racontais, parlant des danses, de nos discussions, du bisou qu’il m’avait fait avant de me souhaiter bonne nuit. « Oh. Mince. Il a donc vu tes cheveux devenir bleu ? », Je m’étranglais. « BLEUS ?! Mais non mais dans la Grande salle, je suis passée devant un miroir, j’étais… Brune ! Enfin, j’étais totalement normale, je… Pourquoi je… Non bleue ? Je suis devenue bleue ? Oh mon Dieu non. Non. C’n’est pas possible. », Elle posa ses mains sur les genoux, qui tressautaient, « Lee. Tu es superbe bleue, ne t’en fais pas. Bon, ne t’attache pas à lui, d’accord, il t’a fait un bisou sur la joue, il veut probablement pas te sauter, et alors ? On s’en fout hein ! » On voit qu’elle faisait tout pour me remonter le moral n’est-ce pas ? « Et puis, tu es géniale, intelligente, instruite. Tu es ma meilleure amie. Je t’aime. Et s’il ne se rend pas compte que tu es celle dont rêverait tout être sain, c’est qu’il est fou ! », Les larmes aux yeux, je la prenais dans mes bras. « Je t’aime aussi Ely. ». Mais inconsciemment, j’aurais préféré qu’elle ne dise pas qu’il ne voulait pas de moi, car c’était ça le hic, personne n’avait jamais envie de moi. De cette fille trop bizarre aux cheveux colorés. Ils aimaient ma famille, mon statut social, mon argent, ça oui, mais ils n’avaient jamais été intéressés par le fait que j’avais peut être simplement envie de parler à quelqu’un, de lui tenir la main alors que l’on se promène, pouvoir être réconfortée lorsque je n’allais pas. Et depuis que Dorian m’avait parlé, j’avais envie que ce quelqu’un, ce soit lui.
▬ CHAPTER FIVE ▬
La révélation24 décembre 2001,
J’étais allongée, la tête posée sur le torse de Dorian. « Je suis désolée » murmurais-je dans un souffle, les larmes aux yeux. Il passa la main dans mes cheveux et me serra contre lui. « Je comprends tout à fait. » murmura-t-il de sa voix suave, marqué par son accent que je trouvais si charmant, « au contraire même… » Il m’embrassa le front. « C’est pour ça que je t’aime. ». Oh je n’aurais jamais pu me lasser d’entendre ces mots. Nous sommes restés allongés, l’un contre l’autre, encore habillés. Pourquoi ? Alors que nos baisers se faisaient passionnés, je m’étais soudainement rappelé que j’étais fiancée. Il le savait, Dorian, pas Zwann, et il comprenait, c’était bizarre non ? Enfin, j’aurais été un homme, je m’aurais largué avant même d’être avec moi, mais pas lui. On avait beaucoup parlé, depuis des mois, durant l’été, nous avions échangé des hiboux, parlé, encore et encore et avions décidé de nous mettre ensemble. Il avait dit qu’il aimait beaucoup mes dons, et lorsque mes cheveux étaient bleus. Ou rose. Ou de n’importe quelle couleur à vrai dire… j’étais dingue de lui, mais cette satanée attache avec un pseudo-crétin de fiancé me freinait pour tout.
Le lendemain matin, lorsque je me réveillais, il n’était plus là. J’avais été tiré de mon sommeil par les coups de becs d’Ulysse, le hibou des Walden, donnait à la porte. Baillant, je m’étirais largement, regardant autour de moi, nous adorions venir dans la Pièce Antique, en vérité, nous adorions venir à cet étage, si fantasque, si magique. Je me levais à ouvrait le carreau, je déroulais le parchemin et lisait : « Lee, nous sommes désolés de ne pas t’avoir prévenue que les Andersen venaient au nouvel an. Vient. Bonne semaine. Tes parents. ». Oh non… Je soufflais avant de sursauter lorsque la porte se rouvrit, « Bonjour Mr Andreï. » soufflais-je au jeune homme qui s’approchait avec un petit déjeuner. Il s’assit devant moi, prit une profonde respiration et me dit : « Épouse-moi. Maintenant. Je… Je veux pas te perdre, ni que tu l’épouses lui. Je… Ne veux pas que tu sois triste avec lui alors que tu pourrais être heureuse avec moi. », Il attrapa une mèche de mes cheveux entre ses doigts alors que je commençais à trembler. Une larme perla alors que je lui avouais que j’aimerais tellement pouvoir partir avec lui, que c’était mon rêve, mais que je ne pouvais pas. « Pardon ? Mais si tu dis que c’est ton rêve… Pourquoi tu ne veux pas ? », « Ma famille Dorian, j’ai… J’ai pris des engagements, je. Je dois obéir. Tu comprends ? ». Il m’embrassa doucement, comme si je ne lui avais pas dit que non, je ne pourrais jamais être avec lui, sans que l’on se cache…
31 décembre 2001,
J’arrivais devant notre maison, les traits tirés par la fatigue, je n’avais vraiment pas envie de me retrouver parmi des sorciers anti-moldus, et, encore moins avec mon futur époux et sa famille. Heureusement que j’allais retrouver ma cadette, et mon frère. « Tu es splendide Campbell. ». Ma mère m’ordonna de monter dans la chambre et de m’habiller avant que les invités n’arrivent. AH ! Si seulement j’avais pu descendre en jogging ou si j’avais pu rester, tout simplement dans ma chambre, je serais devenue la fille la plus heureuse du monde. J’enfilais une robe, rassemblaient mes cheveux en un chignon, me maquillais légèrement. Lorsque j’entendis quelques personnes parler, je me dis qu’il était tant de descendre à mon tour. « Spleen, ‘ravie’ de vous revoir », « de même Mrs Andersen » répondis-je avec un large sourire hypocrite. Lorsque je vis Zwann et son atroce costume verdâtre, je ne pus m’empêcher de faire une mine dégoutée, avant de très vite reprendre consistance et le saluer, comme j’accueillais chacune des personnes qui s’avéraient approcher. Alors que les « bonne année » fusaient, je finissais par m’éclipser dans ma chambre, jusqu’à ce que j’entende la porte se rouvrir « Té ? Campbi ? » Demandais-je, mais seul l’écho de ma voix répondait. « Lumos » murmurais-je avant d’ouvrir de grands yeux. « Qu’est-ce que tu fais ici ? Sors Zwann ! C’est ma chambre ! », il s’approcha encore, « tu crois que je n’ai pas compris qu’en fait, tu veux qu’on te prenne de force ? », Je dois quand même avouer que je commençais à paniquer, il avait une lueur dans le regard, quelque chose qui sait que l’autre à perdu la raison.
« Je sais que tu vas aimer ça » dit-il, tout en continuant d’approcher, et, lorsqu’il se jeta sur moi, tel un animal enragé, afin de m’embrasser, j’attrapais mon manuel de Métamorphose et lui assénais un coup violent. Il titubait en reculant, et s’assit sur mon lit alors que je devenais blême, les cheveux devenant rouge sang. Je criais : « Sors d’ici ! Sors de chez moi ! », J’attrapais ma baguette « Dégage ! Je ne me priverais pas pour l’utiliser Andersen ! Casses-toi de là ! ». Il déguerpit et enfin, je pouvais me laisser aller à pleurer. Tout c’était passé tellement vite, j’avais faillit être v… Oh non, comment était-ce possible d’imaginer un seul instant pouvoir rester avec quelqu’un comme lui ?! Je courais à la volière, les cheveux toujours rouges de colère et attrapais un parchemin, une plume et écrivais : « Dorian. Si tu acceptes, j’aimerais te voir. Je t’attendrais sur les falaises de Moher. Lee » Je roulais le parchemin et l’accrochais à la patte du strigidae et lui envoyait. Je passais rapidement derrière tout le monde, qui continuait à faire la fête, à boire – picoler plutôt – et remontais rapidement à l’étage, et rentrais dans la chambre de Campbell. « Tu n’es pas à la fête Bells ? », elle soupira. Déjà blasé à son âge, quelle histoire ! Mais c’était à elle que je voulais parler, elle était celle avec qui je parlais comme à une adulte, et elle … Je m’allongeais sur son lit et dis : « Écoute mon cœur, je… Hum. Ça m’embête de te dire ça, enfin. De te demander ça… Bien. Demain, je vais partir tôt, j’aimerais que, si les parents te posent des questions, que tu dises que je suis partie à Norwich avec Elysaa. », « Tu vas où ? » je souris et répondis simplement : « Je suis amoureuse. Je ne veux pas être avec Zwann-crétin-Andersen. »
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Mar 28 Déc 2010 - 14:29
▬ CHAPTER SIX ▬
« Ils se marièrent et... »
dénouementMars 2005,
J’étais assise par terre, dans le grenier, une boite ouverte devant moi, je regardais des photos, des coupures de journaux, un air mélodieux raisonnant dans la pièce, j’étais un peu nostalgique, je ne pouvais me l’expliquer. Après tout, Saint-Exupéry disait que la nostalgie était le désir d’on ne sait quoi. « Spleen ? », « Je suis là Dorian ! », il entra, avant de se placer derrière moi. Il m’embrassa le cou avant de tendre la main vers une photo qu’il prit. « Tu es la plus belle mariée que le monde ait porté », je ris mais, en regardant cette jeune femme dans cette merveilleuse robe blanche, je devais bien avouer que oui, j’étais jolie en mariée, il m’avait juste manqué quelque chose. Ma famille. « Campbell me manque… Terence...». Il me serra dans les bras. Je sentais son souffle chaud, ses cheveux me chatouillaient le visage, je fus obligée de sourire. « Tu regrettes Lee ? » me demanda-t-il avec une telle gravité soudaine que j’en tombais des nues, je me retournais pour le regarder dans les yeux. « Non, bien sûr que non, c’est… C’est juste que j’aurais aimé qu’ils me… soutiennent. Et pas qu’ils me rejettent. Je suis devenue une pestiférée… ». Il posa mes lèvres sur les miennes, m’embrassa comme lui seul pouvait le faire et murmura dans un souffle. « Spleen Azalee Walden-Andreï, tu n’es pas une pestiférée, mais toute ma vie. », ce fut à mon tour de le prendre dans les bras, « Dorian Stanislav Andreï, vous êtes mon Monde. ».
Ça faisait trois longues années que j’avais vécu loin des miens mais auprès de lui, elles avaient si rapides. Notre vie n’avait été qu’une longue nuit de noce. A la fin de mes études à Hungcalf, nous sommes rentrés chez lui, en Russie, bon, j’ai énormément de mal à parler russe, encore maintenant, alors que j’y ai passé trois ans. « Я люблю тебя », « Как поживаете? », « Дайте мне соль? », « ЗЛОЙ ! ». Bref, des futilités. Mais ça a fait partie des meilleurs moments de toute ma vie. Moi qui croyais que les belles-mères étaient toutes des personnes détestant les jeunes femmes venant leur voler leur fils, et bien Evgenia Andreï s’est avéré être la plus gentille des personnes que je n’ai jamais rencontré. Elle non plus n’était pas de ce siècle, et était tout droit tirée d’un conte, et même si, lorsque son fils n’était pas là, nous avions énormément de mal à communiquer, elle a été comme une mère pour moi. Son père était malheureusement décédé quelques années plus tôt, elle n’avait plus que lui et pourtant, elle m’a accepté comme si j’étais sa propre fille. Quoi rêver de mieux ?
Mai 2006,
Alors que nous étions allongés, nos corps entrelacés, Dorian me dit soudainement « Lee… J’aimerais que l’on ait un enfant. ». Pendant quelques instants, je restais silencieuse, les doigts parcourant son torse, songeuse. Durant de longues secondes alors que je sentais l’intensité de son regard… Plus je réfléchissais, plus je me disais que 24 ans était un âge tout à fait raisonnable pour avoir un enfant lorsque l’on est une femme mariée, et plus cela me paraissait être vraiment ce qui me comblerait le plus... Je relevais donc la tête pour l’embrasser et lui souffler que j’en serais plus que ravie si je pouvais porter son enfant. Je ne l’avais jamais vu aussi heureux, ses yeux ébène pétillaient, ses fossettes étaient fortement marqué par un large sourire. Il se mordit la lèvre inférieure et me prit dans les bras, avant d’entreprendre un entrainement à la confection de bébés. Je ne pus m’empêcher d’éclater de rire, lui disant que je l’aimais. « Je t’aime aussi Mrs Andreï. ». Il rajouta avant de rire aux éclats : « En plus avec toi, je peux être avec une brune, une blonde, une rousse, tout en restant avec la même personne. » Secouant la tête, je lui dis qu’il était fou, mais après tout… Et ses bras, cela faisait plus de cinq ans que j’avais trouvé l’endroit où je me sentais le plus en sécurité. Cela pouvait paraitre bête, mais c’était ainsi, on pourrait croire que j’étais tout droit sortie d’un conte, ou d’un navet hollywoodien, d’ailleurs, si je ne l’avais pas vécu moi-même j’aurais cru que c’était une comédie romantique, avec Freddie Prinze Jr dedans, comme lorsqu’Elysaa et moi étions des adolescentes. Oui, je dois avouer que regarder ses films, c’est un peu honteux, mais cela me rappelait tellement de souvenirs…
Aout 2006,
Un médicomage s’avança lentement vers nous, des papiers dans les mains, ses rides de patte d’oie fortement marquées, un air grave affiché sur le visage. La main posée sur celle de Dorian, je parlais « Docteur, votre air me… me fait un peu peur… Tout va bien ? ». Il s’assit en face de nous, prit une profonde respiration et annonçait : « Madame, Monsieur Andreï, je suis désolée, mais… » Il s’interrompit alors que mon souffle se coupait et que la cadence de mon cœur s’accélérait effrontément. Je sentais que mon époux était dans le même état que moi car il me tenait plus fermement la jambe. « Bien. Vous avez ce que l’on appelle une grossesse extra-utérine ». Je me moquais de mes cheveux qui changeaient de couleur, des larmes qui me montaient aux yeux. « Pouvez-vous… Le sauver ? », S’étrangla Dorian, et il n’eut pour simple réponse un hochement de tête négatif de la part du médecin. Alors que nous sortions de la clinique, il passa son bras autour de mes épaules, je m’en dégageais. « Spleen, attend. », je ne pouvais le regarder, c’était plus fort que moi, je ne pouvais m’empêcher de me dire que c’était ma faute. Il n’avait fallut que quelques instants pour qu’ils m’opèrent et me retirent l’embryon, tout c’était terminé tellement vite… « Pardon Dorian. Je… Je suis une mauvaise épouse. ». J’aurais bien du me douter que transplaner dans cet état était une mauvaise idée, et je me retrouvais dans l’obligation de bénir les cieux que mon mari me connaisse si bien, car à l’instant même où j’arrivais, soutenant à peine la douleur, il apparut. J’en garde, aujourd’hui encore, quelques marques, cicatrices de ma désartibulation…
▬ CHAPTER SEVEN ▬
Situation finale19 novembre 2008
Dorian posa ses lèvres sur les miennes puis sur mon ventre rebondi, avant de me dire : « J’ai rendez-vous avec Anthem Bishop… Je… Je n’aime pas cet homme… », Je le retenais en lui attrapant la main, « pourquoi tu y vas alors ? », après un de ces sourires qui le rendait si séduisant, il me dit simplement, « je suis un homme d’affaires, je suis bien obligé de nourrir ma famille ! », « n’importe quoi chéri… », il éclatait de rire avant de reprendre son sérieux et de poursuivre « non, en vrai, je lui ai promis… Je tiens tou-jours mes promesses ». C’était quelque chose que l’on ne pouvait lui retirer, c’était l’homme le plus honnête que je n’avais jamais rencontré, c’était l’un des détails qui faisait que je l’aimais tant, outre son physique et son accent à tomber. « Seras-tu là pour diner ? », « Je ne manquerais ça pour rien au monde, avant que malyh Andreï pointe le bout de son nez... Je compte bien profiter de toi encore un peu… », je me levais et lui assurais que même après il avait intérêt à continuer de profiter de moi, et qui lui restais encore un peu moins de trois mois avant que nous ne soyons incessamment interrompus par des pleurs. « Aller, file mon cœur… »
Tout se passa si vite, vers 17 heures, alors que j’avais demandé à Domohozyaĭka (l’Elfe de Maison, que j’appelais « Domo ») de me laisser préparer le diner pour Dorian, je ressentis comme une forte pression au cœur, j’eus du mal à respirer, s’en suivit une douleur au ventre. « Dom… Domo… Oh my fucking god, not yet! »… Je tentais de reprendre mon calme, de respirer mais rien n’y faisait. « Domo ! » L’elfe apparue, je ne pus souffler que trois mots : « aide-moi, hôpital ». En un claquement de doigts, nous y étions, je reconnaissais l’endroit, c’était là que l’on m’avait dit que ma première grossesse ne mènerait à rien, c’était ici que j’allais mettre au monde, beaucoup trop tôt, mon enfant. La petite Elfe apparue et, paniquée, répétait sans cesse : « Je ne trouve pas maitre Dorian, je ne trouve pas maitre Dorian », et alors que je tentais de contenir mes douleurs utérines quelques instants afin de lui parler, elle disparut. J’en fus que plus angoissée encore. Un jeune medicomage fit son entrée dans la pièce dans laquelle on m’avait mis, et que je découvrais seulement maintenant, « bonsoir, bonsoir, je vais m’occuper de vous… Madame… Andreï. Oh, on a un autre Andreï ici, un homme… Vous êtes donc enceinte,... c’est pas super, enfin, la poch… », Je n’avais pas entendu la fin de sa phrase, mon cœur s’était arrêté, je parvins à peine à articuler « Dorian Stanislav Andreï ? », Intrigué le jeune homme regarda dans ses fiches avant d’affirmer que c’était bien le nom qui était écrit. Je crois que je n’ai jamais croisé une telle hystérique que l’être que je devenais à cet instant. Je n’écoutais même plus la douleur qui me déchirait l’être mais simplement le fait qu’il était Tout pour moi. « Il… Où est-il ? Je veux voir mon mari, s’il vous plait, où est-ce qu’il est ? Je… Où est mon époux ? » Oui, je répétais la même question, inlassablement, comme notre elfe quelques instants plus tôt, le médecin tenta de m’empêcher d’aller voir le « grand blessé » qu’il était, mais je quittais la pièce afin de me rendre à son chevet.
« Il sera surement mort avant demain » murmura une infirmière alors que j’arrivais, cela n’eut pour effet que d’amplifier mon tremblement et d’accroitre les douleurs que je ressentais. Je poussais la porte qui me séparait de lui. « Dorian ? » Je n’entendis qu’un faible bougonnement, comme lorsque je lui parlais avant qu’il ne se réveille. Je m’approchais de lui, m’asseyais, et lui prenait la main. Il était si froid, si immobile. Ses cheveux noirs tranchaient tellement avec sa peau. J’étais habituée, mais je n’avais jamais vu que c’était si marqué. « Dorian… Oh Dorian… » Murmurais-je, alors que des larmes commençaient à perler. « Spleen. Ne pleure pas… Hey. », Je lui caressais le visage, passant les doigts sur sa barbe de quelques jours, bien taillée. Il posa sa main sur ma jambe avant de paraitre effaré. « Tu saignes Spleen. Va te faire soigner aller ! Ca peut être dangereux pour le bébé. ». « Non. Je reste avec toi, je m’en fiche, je veux rester avec toi, Dorian… », il m’invita à m’allonger contre lui, visiblement conscient de son état « si tu dis encore une fois mon prénom de ce ton là… Je ne sais pas ce que je te ferais моя любовь. », « Je ne veux pas te perdre. Je vais perdre mon second enfant, je ne veux pas te perdre en plus… Oh Do… » Les larmes coulaient à présent à flot, j’avais énormément de mal à me contenir. « Donne-moi ta baguette Lee. » Demanda-t-il. Et lorsque je lui donnais, il la mit sur sa tempe, jusqu’à en extraire des filaments argentés. « Une pensine est dans le grenier, il y a toute ma vie. Plus aujourd’hui, et les souvenirs que j’ai avec toi. De mon enfance à maintenant, mon crépuscule. Il y a tout. » Il m’embrassa soudainement, avec fougue, malgré son état, et la souffrance que cela lui infligeait à lui comme à moi. « Je t’aime Spleen. Tu es toute ma vie » murmura-t-il, quelques temps plus tard, une heure, peut-être deux. La tête posée sur son torse, continuant de perdre mon sang, je lui répondis que je l’aimais plus que ma propre existence. Et lorsque j’eus fini de prononcer ses mots, je sentis que sa poitrine arrêtait de se soulever, avec ce rythme faible et régulier auquel je m’étais habituée ce soir là.
14 mars 2009,
« Je sors Domo. » dis-je simplement à l’elfe de maison qui s’inclina devant moi. Passant devant le miroir de l’entrée, j’évitais de regarder mon reflet. Ça y était. J’étais devant ma porte d’entrée, et je n’y arrivais pas. Toucher la poignée me semblait insurmontable. A vrai dire, depuis l’enterrement de Dorian et de Lorcan, mon fils (mort avant même sa naissance), je n’étais pas sortie, préférant me complaindre dans mon malheur. Ne m’alimentant presque plus, gardant les fenêtres fermées, pleurant, me détestant, le détestant parfois, rarement. Mais je devais sortir parce que j’avais un but, je portais un jogging, un sac noir. Je savais où j’allais, je savais ce que j’allais faire, comment j’allais le faire, et les conséquences de mes actes. Enfin je sortais, le soleil me brulait les yeux. Je décidais cependant de marcher, et non de transplaner, après près d’une heure de marche, j’arrivais là où tout allait se passer. Je m’accroupissais, ôtais ma baguette du sac et pétrifiais un sorcier qui se trouvait à l’extérieur de l’entrepôt où la marche m’avait conduite. Instantanément, je prenais la sienne et rangeais la mienne. J’entrais discrètement, il n’y avait personne. Étrange. Si ! Là. Un homme d’une quarantaine d’années passées. Je le reconnaissais nettement pour l’avoir haït durant près de cinq mois, sans relâche. « Expelliarmus » lançais-je alors qu’il se retournait vers moi. « Petreficus Totalus ». Ses pupilles bougeaient tellement vite dans ses yeux que je crois qu’il comprit les raisons de ma visite… Je frottais mes cheveux désormais courts et murmura « Я мстительная вдова… », il écarquilla un peu plus les yeux, de la sueur commençais à perler sur son front. Alors que je jetais la baguette de l’autre sorcier au loin, il semblait soulager. Mais alors que mes cheveux devenaient rouges, il me vit sortir autre chose de mon sac. « C’est fou, n’est-ce pas ? Ce que les Moldus peuvent-être dénués de toute humanité. C’est fou également qu’ils aient des outils aussi spécifiques, n’est-ce pas ? Vous n’auriez jamais dû le toucher lui… » Je tendais le bras, posait mon doigt sur la détente et tirais. L’éclaboussure de sang qui m’atteignit alors me fit retrouver les esprits. Je regardais quelques instants son corps, désormais hors de tous maléfices et sortilèges, libéré.
▬ EPILOGUE ▬ Septembre 2010,
« Ça me fait plaisir de te revoir en Angleterre Spleen ! » lança Elysaa en me serrant dans ses bras, alors que je restais immobile. Mon semblant de sourire avant disparu lorsque j’avais vu l’enfant de quatre ans qui la suivait. « Je tenais à te dire que je suis désolée pour Dorian. », je restais muette, je ne parlais plus autant. Je m’étais coupée du monde bien trop longtemps. Je n’avais qu’une envie : rentrer, en Russie, loin de toute cette effervescence. « Tu vas aller voir tes parents ? », « Hum. Non, pas tout de suite… », Je voyais qu’elle était déçue mais que voulait-elle que je fasse ? Que je sautille de joie ? Que je danse le french cancan ? « Aller ! Ressaisies-toi ! », Je lui fis un sourire alors que je mourrais d’envie de lui répondre que bien sûr, on pouvait aisément oublier la perte consécutive de deux enfants, le meurtre d’un homme et de n’avoir même pas pu rester huit années entières avec l’homme de sa vie.
23 Novembre 2010,
« L’Université de Sorcellerie Hungcalf vient de perdre sa professeur de Métamorphose, blablabla… », Je poursuivais ma lecture et décidais de faire quelque chose. Je le refermais rapidement, quittais mon lit, me posais sur ce bureau qui avait tant de fois supporté que je fasse mes cours et écrivait « Mr McArthur, je viens d’apprendre que vous avez perdu votre professeur de métamorphose, et, j’aimerais poser ma candidature pour ce poste. » J’hésitais quelques instants puis reprenait. « J’ai poursuivit, dans votre établissement ma spécialisation de métamorphoses, puis avec quelques sorciers russes… » Je lui parlais de certains enchantements, de mes capacités de métamorphomage et de tellement d’autres choses. Puis, mi-décembre, je recevais un hibou, cacheté de l’estampille d’Hungcalf, ils acceptaient un entretien…
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Mar 28 Déc 2010 - 14:33
Re bienvenue ma belle :cracrac: (l) Hâte de voir ce perso :brille:
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Mar 28 Déc 2010 - 19:54
bienvenue jolie prof' (l)
je veut absolument un lien .
je veut absolument un lien .
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Mar 28 Déc 2010 - 20:11
- Merci ma Nellou (l)
Avec plaisir Noah :brille:
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Mar 28 Déc 2010 - 20:37
:brille: :hysteric: :poutouxxxx:
Gemma :baveuh:
Fais ce que tu veux de moi
Re-bienvenue ma gazelle au chocolat (l)
Gemma :baveuh:
Fais ce que tu veux de moi
Re-bienvenue ma gazelle au chocolat (l)
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Mar 28 Déc 2010 - 21:21
Note pour moi-même : changer de titre, la page est trop large *SBAFF*
EDIT : Bah c'est mieux tiens (l)
Oh mon Superman en sucre, Merci de l'accueil
EDIT : Bah c'est mieux tiens (l)
Oh mon Superman en sucre, Merci de l'accueil
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Mer 29 Déc 2010 - 12:51
Oh, un prof :)
Welcome
Welcome
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Mer 29 Déc 2010 - 22:35
je veux être ton chouchou :crocroc:
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Jeu 30 Déc 2010 - 11:18
Rebienvenue parmi nous, divin choix d'avatar (l) :brille:
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Jeu 30 Déc 2010 - 11:37
Zadig, Isaac, merci beaucoup (l),
Noah, on verra ça ! (l)
Noah, on verra ça ! (l)
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Jeu 30 Déc 2010 - 11:57
Coucou :inlove: (re) bienvenue du coup
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Jeu 30 Déc 2010 - 23:39
Merci beaucoup Euphrosyne (l)
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Ven 31 Déc 2010 - 12:24
Non mais je rêve, t'en as encore ajouté :pleure: ... même que j'ai lu :seduction:
reBienvenue mon petit Slip :lovers:
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Ven 31 Déc 2010 - 14:39
- Et encore c'est pas fini
C'est bien je suis fière Lius :)
Hum. Slip ? XDD
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Ven 31 Déc 2010 - 18:33
niaaah :hysteric:
rebienvenue ma Maxx' :lovers:
rebienvenue ma Maxx' :lovers:
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Ven 31 Déc 2010 - 19:48
- Merci ma Eksta' (l)
:lechouille: :canard:
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Sam 1 Jan 2011 - 12:03
Gemma :baveuh: :brille:
Re bienvenue ^^
Re bienvenue ^^
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Dim 2 Jan 2011 - 2:46
- Merci beaucoup Diego :)
Alors. Fiche terminée !
Je m'excuse d'avance pour la longueur...
Je bénie l'Admin qui aura le courage de se - colletiner - tout ça...
J'aime Hung, (l) :grandsyeux: il m'inspire, s'pas ma faute *SBAFF* xD.
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Dim 2 Jan 2011 - 12:47
Tout d'abord, c'est une très jolie fiche qui m'a bien fait sourire par moments X)
La question de l'âge m'embête, car afin d'être juste avec d'autres membres ayant voulu créer des personnages de moins de 28ans comme professeur, je devrais te demander de monter l'âge, même si elle les a au mois de Juin prochain. Alors je sais que pour l'histoire de quelques mois, c'est stupide, mais même si je n'aime pas suivre les règles à la lettre, je me dois tout de même d'être réglo par respect pour ces autres membres.
Est-ce que ça t'embêterait donc de la vieillir de quelques mois et de lui donner 28 ans ? =)
La question de l'âge m'embête, car afin d'être juste avec d'autres membres ayant voulu créer des personnages de moins de 28ans comme professeur, je devrais te demander de monter l'âge, même si elle les a au mois de Juin prochain. Alors je sais que pour l'histoire de quelques mois, c'est stupide, mais même si je n'aime pas suivre les règles à la lettre, je me dois tout de même d'être réglo par respect pour ces autres membres.
Est-ce que ça t'embêterait donc de la vieillir de quelques mois et de lui donner 28 ans ? =)
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Dim 2 Jan 2011 - 13:56
- HAHA! En fait, j'ai vu hier soir, juste avant d'écrire la lettre à Hung qui fallait avoir 28 ans. Genre tout mon Monde s'est écroulé, je me suis dis : "Merde ! Ma chronologie n'est plus bonne !" alors, j'ai tenté... Bah qui ne tente rien n'a rien XD... Je vais changer ça alors ^^ Tant pis
Chronologie corrigée
Spleenou a désormais 28 ans
- InvitéInvité
Re: So much has changed, Now it feels like yesterday I went away...
Dim 2 Jan 2011 - 14:07
Oui sorry, je suis pas fana du règlement suivi à la lettre, mais pour les autres membres ayant du changer leur âge, je dois le faire ><
Merci donc ♥ Je valide ta fiche, n'oublie pas de réserver ton avatar !
Merci donc ♥ Je valide ta fiche, n'oublie pas de réserver ton avatar !
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