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Joséphine ▬ J'ai cru la fable d'un mortel aimé, tu m'as trompée. [ended]
Mar 22 Mar 2011 - 17:16
✤ Lufkin Salut !!! Moi c'est Joséphine Sophie De Beaulieu , j'ai 20 ans , et je suis d'origine française . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis hétérosexuelle , mais aussi veuve et issu d'une famille sorciers de sang-pur . A Hungcalf, j'ai choisi Justice magique, , et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois de rose et crin de licorne, 24,1 centimètres et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de corbeau avatar Psychotik bitch || icônes fanpop |
✎...Styxx
Dans la vraie vie, j'ai 20 ans . J'ai connu ce magnifique forum grâce à je ne sais plus qui ou quoi et je ferais de mon mieux pour être là pour la présence HRP, c'est 7/7, pour le RP, c'est plus sporadique. Si j'ai un double compte? non, pour le moment . D'ailleurs, j'en avais fait la demande à personne Mon personnage est un perso inventé . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que he's back :brille: . code règlement : Ok by Capri |
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Re: Joséphine ▬ J'ai cru la fable d'un mortel aimé, tu m'as trompée. [ended]
Mar 22 Mar 2011 - 17:16
prologue. Dans l'ombre de nos vies.
(c) Lellia
Debout la tête ivre, de rêves suspendus
Je bois à nos amours infirmes,au vent que je devine,
Nos lèvres éperdues, s'offrent des noces clandestines.
REGRETS
JEAN-LOUIS MURAT & MYLENE FARMER.
Je pousse la grille du cimetière abandonné, qui s’ouvre dans un grincement sinistre. Je fais quelques pas dans la neige, ma cape flottant à ma suite dans un bruissement d’étoffe. Je tiens un bouquet de chrysanthèmes, dont les couleurs tranchent avec le gris lugubre des pierres tombales. Je m’avance dans l’allée, à pas de loups, comme si je craignais réveiller les morts en marchant trop fort. Après quelques détours, m’y voilà. Je suis devant cette pierre tombale, qui portait son nom. Son nom fraîchement gravé dans le marbre, son nom qui est comme autant d’éclats dans mon cœur exsangue. J’esquisse malgré tout un léger sourire, un sourire forcé. Tu n’es plus là, Etienne, et pourtant je dois continuer. Je n’ai pas le droit de me laisser dépérir alors que tu aurais sans doute voulu vivre plus longtemps. Je tourne la tête, et regarde la porte par où je suis passée. Je peux tout aussi bien retourner d’où je viens, partir sans regarder en arrière, mais ce serait te trahir. Je n’ai pas le droit d’écorner ta mémoire en te reléguant dans les tréfonds de mon esprit. Je dois continuer à penser à toi, mais oublier progressivement la douleur qui me tord la poitrine. Un an s’est déjà passé, depuis que ce coup fatal t’a été porté, un an, et pourtant j’ai l’impression que c’était hier. Je ne dois pas m’attarder, alors je ne m’attarderai pas. Je m’agenouille alors, tout en posant le bouquet sur la stèle. Je ne me défais pas de mon sourire, ayant un certain standing à conserver. Voilà Etienne, j’ai fait ce que j’avais à faire, à présent je dois te laisser. Non, pas maintenant. J’avais oublié quelque chose d’essentiel. Je regarde l’alliance et la bague de fiançailles qui trônaient encore à mon annulaire. Digne, je les défais, quand bien même ces anneaux ne m’auraient jamais quittée. Et je les pose à côté des fleurs. Plus rien désormais ne me rattache à toi. Il ne me restera plus que ton souvenir, nos bons moments passés ensemble. Je t’aimais, oui. Mais Mère avait raison. Il était temps pour moi de me relever.
« Tu es encore là, Joséphine? » Je me retourne. Sophie se tient derrière moi, droite et altière, comme à son habitude. Elle aussi a ses morts, mais rien ne transparaît sur son visage émacié. Ses lèvres sont trop rouges, son chignon trop serré. Cette femme est rigide, elle est dépourvue d’humanité. Mais ce n’est qu’une apparence. Je sais qu’au fond d’elle, il y a cette femme brisée. Ils lui ont enlevé son fils, son mari. Elle aussi est vêtue de noir, elle aussi porte le deuil de nos disparus. Mais elle a continué à vivre, quand je me suis refermée sur moi-même, telle une huître. Je me relève. Je la toise. J’ai repris mes bagues, je n’ai pas le cœur à les laisser. Surtout pas quand le premier inconnu, sans scrupules, pouvait s’en emparer et en faire ce que bon lui semble. « Oui Mère, je suis encore là. Comme j’étais là hier, et comme je serai encore là demain. » Ma réponse ne lui plaît pas. Ses yeux clairs, indéchiffrables, me sondent. Je reste sans réaction, me contentant de fixer un point derrière elle. Sa voix sèche et cassante me frappe en plein visage. « Tu sais que ce n’est pas bon pour toi. Tu sais que ce n’est pas comme ça que tu arriveras à… » Je me crispe. Je sens une vague de colère me submerger. Elle n’a pas le droit de dire ça, pas à moi. Je la coupe, agressive. « Puis-je vous demander ce que vous faites-ici, alors? » Elle soupire. En l’espace d’un instant, l’ombre d’un doute traverse son regard sombre. « Moi aussi j’ai des morts à pleurer, Joséphine. Mais rester ici à longueur de temps ne les fera pas revenir. C’est ça, être adulte. C’est accepter l’inacceptable. C’est surmonter ce genre d’épreuves. » Je ferme les yeux. Ses mots me meurtrissent. J’inspire profondément. Je la toise, une fois encore. « Alors, si c’est ça être adulte, je ne veux pas grandir. » Je m’éloigne alors, dans un bruissement de cape. Les sanglots glissant sur mes joues déjà rougies par le froid. Le sel de mes larmes n’arrangera rien.
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Re: Joséphine ▬ J'ai cru la fable d'un mortel aimé, tu m'as trompée. [ended]
Mar 22 Mar 2011 - 17:16
Chapitre 1. Il fut un temps où tout semblait facile.
(c) Lellia
Elisa, Elisa, Elisa les autres on s’en fout,
Elisa, Elisa, Elisa rien que toi, moi, nous, tes vingt ans, mes quarante
Si tu crois que cela, me tourmente, ah non vraiment Lisa
ELISA. SERGE GAINSBOURG
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Il y a ce paquet, sur mon lit. Avec une lettre. Je la décachette. C’est un mot, que tu as laissé à mon attention. Je veux que tu la mettes ce soir. Tu seras resplendissante. E. Il n’a pas eu besoin de signer pour que je le reconnaisse. Son écriture était reconnaissable entre mille. Et à chaque fois que ses mots accrochaient mes rétines, je sentais mon cœur battre à vive allure, mon sang pulser dans mes veines comme autant de bulles de champagnes. J’ouvre la boîte. J’en sors une robe argentée. L’étoffe avait dû lui couter les yeux de la tête. Mais je ne m’en plaignais pas, il avait la possibilité de m’offrir des choses coûteuses. Comme les boucles d’oreille que j’allais porter avec la robe. Je soupire, avant de me défaire de mon pull et de mon jean. Je prends la robe, j’entre dans la baignoire, pour me glisser dans ce bain brûlant qui me tendait les bras. Je m’y plonge avec délectation, sentant les effluves du bain moussant à la mandarine m’enivrer. Je me laisse flotter à la surface de l’eau, yeux fermés. Je me laisse couler, respiration coupée. Je ne me débats pas, je suis inerte. Je n’entends plus rien. Mon cœur cogne, erratique. Bientôt, une image brouillée s’invite à mes yeux. Une image qui devient floue, et qui s’anime. Je vois des silhouettes, des ombres fureter autour de moi. Ces ombres m’appellent. « Joséphine, viens avec nous. » J’entends leurs rires, qui se distinguent clairement de la masse bourdonnante. Je les vois, tous les deux, dignes princes ténébreux. Je vois la chevelure blonde de Frédéric, ses yeux d’un gris argenté, identiques aux miens. Je vois Paul, aux cheveux d’ébène et aux yeux sombres. Mon père, mon frère. Deux fantômes, qui reviennent me hanter par intermittence. Je sens Paul qui s’approche, qui me tend la main. Mon père me couve de son regard bienveillant. Il m’adresse un signe timide de la main, auquel je réponds avec mon plus beau sourire. Alors, la vision changea, au tout pour le tout. Je vois du rouge, du orange. Un incendie. Des éclairs verts qui fusent. Le monde tourne trop vite pour moi. Je vois cet homme s’approcher. Une voix dure s’écrier « Sectumsempra ». Le sang coule, un goût cuivré m’envahit la bouche. Je vois un visage, éventré par un rictus d’agonie, une écume rouge bouillonnant de ses lèvres.
Je me redresse, avec brusquerie. Je sens un clapotis autour de moi, l’eau qui ruisselle sur mon visage. J’ouvre de grands yeux terrifiés, la main posée contre mon cœur. Je laisse un souffle terrifié s’échapper de mes lèvres closes. Je crois bien que je tremble, en proie aux violentes émotions qui me traversent. Ce n’est pas un rêve, puisque je ne me suis pas endormie. Je viens d’avoir une vision, qui a pour effet de de me plonger dans un état de transe. Je prends mon visage entre mes mains. J’essuie les quelques larmes scélérates qui avaient coulé de mes yeux rougis par le savon.
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Je regarde, pensive, mon reflet dans le miroir. Son regard dur me toise, impitoyable. Je la vois cette étrangère, qui pourtant m’est vaguement familière. Mes doigts pianotent nerveusement le bois de la coiffeuse. Je m’empare de la brosse à cheveux, avant de commencer à les démêler, minutieusement. « C’est bon, Mère, vous pouvez entrer. » je dis, à la porte pourtant close. Quelques instants plus tard, elle s’ouvre. La silhouette frêle de Sophie se glisse dans l’embrasure, et bientôt, la noble dame est derrière moi. « Comment… » balbutie-t-elle, légèrement interloquée. « Je vous ai vue arriver. » je réponds simplement, un sourire mystérieux aux lèvres. Je vois dans le miroir le visage de Sophie se décomposer. « Oh. C’est vrai. J’avais oublié. » je hausse les épaules, avec fatalité. Il faut dire qu’avec cette caractéristique que nous possédons toutes, nous n’avons plus aucun secret les unes pour les autres. Cela peut paraître un brin utopiste, dit comme ça, mais une telle connexion, si je puis dire ainsi, est parfois lourde à porter. Je ne pouvais pas mentir, que ce soit avec Sophie ou Annabelle, j’étais sitôt démasquée. Et surtout, même si ma mère et ma grand-mère considéraient ce don comme un cadeau du ciel, en ce qui me concernait, je le voyais surtout comme une malédiction. « On ne peut pas oublier ce genre de choses, Mère. » Elle soupire. Sans doute a-t-elle deviné le fond de ma pensée. Elle s’empare de ma brosse, et entreprend elle-même de démêler ma chevelure. Je grimace légèrement. Je n’aime pas qu’on me touche les cheveux, même si, petite, j’adorais quand Grand-Mère me coiffait. J’estime être tout simplement en âge de m’occuper de ça toute seule.
Mais Mère ne l’entend pas de cette oreille. Elle me coiffe, avec énergie, et je grimace parce qu’elle me tire les cheveux dans la manœuvre. « Cessez de vous écouter un peu, Joséphine. Ca se voit que vous n’avez pas connu les corsages. Là, vous avez une vraie raison de souffrir. » J’arque un sourcil, n’ayant même rien dit. Elle m’énerve, avec ses manières de châtelaine, ses mœurs archaïques. La mort de Frédéric et de Paul l’aura rendu amère. Nous n’étions plus que trois. Les trois femmes, qui survivaient toujours à la malédiction. Et maintenant, il y avait Etienne. « Nous ne sommes plus au moyen-âge, mère. » je lui réponds, avec douceur. « Vous savez, aujourd’hui, les femmes portent des jeans et des chemises, c’est tout de même plus pratique pour passer inaperçue. » une ombre passe dans ses yeux clairs. Elle n’aime pas la société moderne. L’intolérance des moldus à l’égard de la magie. Pourquoi ne serions nous pas intolérants envers eux, de par le fait? Surtout, elle n’aimait pas l’Angleterre. Sa France natale lui manquait. Surtout que, dans le coin, nous n’étions pas très bien vus. Les gens n’aimaient pas trop les étrangers par ici, quels qu’ils soient. Et nous faisions partie de ces étrangers. J'étais née sur le sol anglais, mais notre famille était originaire de France. « Qu’importe, puisque de toute façon, il suffit d’évoquer notre simple nom pour tous les faire trembler. » L’amertume, encore. Je sais à qui elle pense. Son mari, son fils. Mon père, mon frère. Ses doigts fins tressaient mes cheveux, en une simple natte, tout ce qu’il y a de plus classique. Je me laisse faire, docile. Elle n’avait pas foncièrement tort. Les De Beaulieu étaient souvent associés aux crimes perpétrés par mon père et mon frère, anti-moldus à l’extrême, intolérants aux sang-mêlés et au sang-de-bourbe. Ils avaient été jugés, et condamnés pour leurs crimes, avant d’être exécutés. Je baisse la tête. J’étais de nouveau derrière mon mur, à l’abri. Là où rien ni personne ne pouvait m’atteindre. « à ce propos… » je commence, hésitante. « J’ai eu une vision, tout à l’heure, quand j’ai pris mon bain. » Ma mère me toise. Je me crispe. Elle soupire. Était-ce un soupir de soulagement? Je ne saurais en jurer. « Ainsi donc, vous n’étiez pas en train d’essayer de vous tuer? » C’est à mon tour d’arquer un sourcil. Oh, c’est vrai. Elle avait dû voir que je me laissais couler dans l’eau, sans remonter à la surface. Je me mordille la lèvre inférieure. Je fais non de la tête. Elle soupire, une fois encore. Avant de poser la brosse sur la coiffeuse. « Nous en parlerons plus tard, Joséphine. Je dois aller recevoir les premiers invités. » Bien sûr. Le contraire m’aurait étonnée. Je passais toujours après les autres, et ce quand bien même j’aurais été sa fille. La mort de Père et de Paul n’aura pas servi à nous rapprocher, bien au contraire.
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Sourire, encore et toujours. Sourire à des inconnus, pour ne pas paraître aigre, et ce quand bien même ils m’agaceraient au plus haut point. Je hais leurs sourires hypocrites, leurs manières. Leurs commentaires disgracieux, leur prétendue supériorité. J’avais été élevée dans le faste et l’opulence des soirées mondaines, mais en grandissant j’avais appris à les détester. Fréquenter les grands du monde magique ne m’attirait guère, surtout si c’est pour les fréquenter de cette façon là. Je préfère avoir de vraies relations avec les gens, plutôt que de mentir perpétuellement. Alors, je souriais, pour faire plaisir à ma mère. Pour jouer parfaitement mon rôle, comme on me l’avait demandé. Je répondais aux questions que l’on me posait. Toujours en faisant bonne figure. « alors comme ça, vous avez eu vos BUSE, récemment? » me demande une vieille dame, toute vêtue de pourpre. Je regarde ses épaules frêles et tombantes, ses cheveux poivre-sel. Ses yeux gris et chafouins qui s’attardent sur mon visage. « J’ai décroché mes ASPIC, oui. » je rectifie, tout en faisant semblant de ne pas lui tenir rigueur de son erreur. Je n’avais plus quinze ans, que diable. Un jeune homme, qui semblait être son fils, s’approche alors de moi. « Vous allez donc à Hungcalf à la rentrée? » Je le toise, légèrement méfiante. « Rien n’est encore sûr. » je réponds, franchement. « Vous savez, avec la naissance de Jules…il serait indigne de ma part de le laisser aux mains de ma famille, mais j’ai fort envie de continuer mes études. » Le sort a voulu que j’aie un fils avec Etienne, qui avait presque deux fois mon âge. Pourtant, de telles différences d’âge ne choquaient personne, surtout pas dans le milieu où nous vivons. À cause de ces fichus mariages arrangés, le phénomène était même courant. Je n’avais pas échappé à la règle. Et même si j’aimais beaucoup mon mari, même si je n’avais pas encore dix-neuf ans, j’aurais préféré avoir la possibilité de choisir. « Mais en admettant que vous alliez à Hungcalf… » je perçois son ton légèrement moqueur lorsqu’il s’agit d’évoquer mon éventuelle future université. Je pince les lèvres, prête à rétorquer quoi que ce soit à la première occasion. « Ce serait pour aller dans quelle filière? »
Je soupire, ma patience commençant déjà à s’émousser. Pourquoi les adultes se sentaient-ils obligés de nous questionner pendant des heures sur notre avenir? D’autant plus qu’à mon âge, on ne savait pas encore vraiment ce que l’on allait faire par la suite. En ce qui me concerne, je n’avais que des certitudes. « Eh bien.. . » je commence, tout en mettant de l’ordre dans mes pensées. « Je pense que…Je pense que je vais me lancer dans la justice magique. Vous savez…Pour être membre du Magenmagot. Oui, juge, je crois que ça me plairait bien. » C’est bien ironique quand on y pense. Mais je sais que c’est là où je veux aller. Et que c’est là où je vais aller. Je le fais pour moi, mais aussi pour mon père, pour mon frère. Je sais que je peux y arriver. Après tout, j’étais une ancienne Serdaigle, j’avais toujours tâché d’avoir les meilleures notes possible. Je m’étais presque tuée à la tâche, obsédée par la réussite. J’avais de l’ambition à revendre, il est vrai. Et par ce biais, je voulais redorer le blason de notre famille, entaché par tous ces crimes qui y étaient rattachés. Je m’en savais capable. Les études supérieures ne me faisaient pas peur. Je devrai laisser Jules, il est vrai. Mais là où il serait, c’est-à-dire entre les mains de la gouvernante, il serait entre de bonnes mains. Je lui adresse alors un sourire crispé. « Ce n’est pas que parler avec vous me déplaît, loin de là. Mais je dois aller rejoindre mon mari. »
to be continued...
- InvitéInvité
Re: Joséphine ▬ J'ai cru la fable d'un mortel aimé, tu m'as trompée. [ended]
Mar 22 Mar 2011 - 17:52
Whiskas L. Canterburry a écrit:Mon -ancienne- amoureuseeeeeeeeeeeeeeeeeee, contente de te revoir, bonne chance pour ta fiche (l) (l)
- InvitéInvité
Re: Joséphine ▬ J'ai cru la fable d'un mortel aimé, tu m'as trompée. [ended]
Mar 22 Mar 2011 - 17:56
*se demande pourquoi Whiskas se cite *
rebienvenuuue miss :brille:
rebienvenuuue miss :brille:
- InvitéInvité
Re: Joséphine ▬ J'ai cru la fable d'un mortel aimé, tu m'as trompée. [ended]
Mar 22 Mar 2011 - 18:01
re bienvenue ! (l)
bon courage pour ta fiche =)
bon courage pour ta fiche =)
- InvitéInvité
Re: Joséphine ▬ J'ai cru la fable d'un mortel aimé, tu m'as trompée. [ended]
Mar 22 Mar 2011 - 21:00
merci mes chatons :brille: ça fait plaisir d'être de retour à la maison (l) (l) *s'en va de ce pas rédiger sa fiche*
- InvitéInvité
Re: Joséphine ▬ J'ai cru la fable d'un mortel aimé, tu m'as trompée. [ended]
Jeu 24 Mar 2011 - 9:04
Double post...Mais c'est pour vous dire que je pense avoir fini uu' C'est pas folichon, mais je n'ai pas trop le temps de m'y attarder davantage, et l'inspiration n'était guère présente. J'espère néanmoins que tous les renseignements concernant mon personnage y sont présents. Je préfère l'exploiter en RP =)
- InvitéInvité
Re: Joséphine ▬ J'ai cru la fable d'un mortel aimé, tu m'as trompée. [ended]
Jeu 24 Mar 2011 - 9:52
Chère étudiante
Félicitations, tu es admise à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
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