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KITTY ϟ The scars of your love, they leave me breathless
Ven 25 Mar 2011 - 16:55
But It never seemed like you missed me,
And I guess because of it,
I stopped missing you...
✤ Sorcier Salut !!! Moi c'est Kitty Jenna Lindley , j'ai 23 ans , et je suis d'origine Ecossaise . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis hétérosexuelle , mais aussi célibataire et issu d'une famille de sorciers . A Hungcalf, j'ai choisi le parcours de Forces Publiques et je suis maintenant apprentie auror, et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en type de baguette et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de guépard. avatar disturbing mind || icônes ... ? |
this is my story
Nous vous demanderons au minimum une trentaine de lignes pour votre histoire. Cela comprend votre enfance, votre passage à Poudlard & Hungcalf. La mise en forme est libre !
✎...LUCIE
Dans la vraie vie, j'ai toujours 20 ans . J'ai connu ce magnifique forum grâce à moi-même et je ferais de mon mieux pour être là 7 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? oui, Emy :D . D'ailleurs, j'en avais fait la demande à moi-même Mon personnage est un perso inventé . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que VIVE LES CHIPS :cracrac:. code règlement : note le ici |
icônes by .... ?
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Re: KITTY ϟ The scars of your love, they leave me breathless
Mer 13 Avr 2011 - 18:37
Il est inutile de fuir ses faiblesses, il faut les affronter ou périr, et quitte à les affronter autant le faire tout de suite et aussi directement que possible.
Robert Louis Stevenson
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Je n'ai pas eu de tragédies dans mon enfance qui ont fait ce que je suis aujourd'hui. Non, je fais partie de la minorité de personnes qui ont eu une enfance heureuse, sans tracas, dans un cottage à Anglesey, île Écossaise avec mes parents et ma grande sœur. Mes parents sont des sorciers un peu originaux, décidés à éviter les grandes villes, pour se rapprocher de la si belle nature. A vrai dire, je me demande comment je peux être réellement leur fille. En effet, je suis à l'inverse de leur conception ; eux, ces hippies végétaliens qui écrivent de nombreuses thèses en Gallic sur les celtiques et moi, carnivore à souhait cherchant tout sauf une vie calme et bien rangée. Entre ces deux conceptions de la vie se trouvait ma sœur, médiatrice à défaut pour tempérer les discussions familiales.
J'ai tout du vilain petit canard de la famille qui aurait pu mal finir. C'est vrai. A cinq ans je me démarquais déjà en arrachant les tulipes de ma mère fraichement plantées. Pas que je ne les aimais pas. J'avais juste envie d'arracher quelque chose autre que de l'herbe. Vous ne pouvez même pas imaginer ma punition. Je crois que c'est la seule fois où j'ai vu mes parents si furieux. Ils avaient compris que jamais je ne comprendrais le pouvoir de la nature sur nous.
D'accord, j'avoue, quand on les écoute comme ça, mes parents passent pour des gens sous influence d'une quelconque secte. Mais non, même pas, ils ont toujours été comme ça. Et vous savez...il n'y a que moi qui fait attention à leurs manies de hippies. En fait, la plupart de mes amis les trouvent même cools. Je peux vous assurer que ça fait toujours bizarre à entendre...
Avec le temps j'ai fini par apprécier leurs petites manies de légers détraqués de la vie. Enfin, apprécié...disons que je suis réellement amusée de ne pas manger de viande pendant deux jours, et de manger des pissenlits à la place. Pendant DEUX jours. Après, mon instinct de survie me pousse réellement à aller au fast food du coin et à prendre le menu le plus gras et énorme possible.
Jusqu'à mes onze ans, j'ai vécu essentiellement chez moi, où ma mère me faisait l'école. Lecture, écriture, mathématiques...mais aussi légendes celtiques, gallic, histoire moldue ET magique et compagnie. Mes parents ont toujours eu dans l'idée que je devrais extrêmement bien connaitre d'où je venais...et à vrai dire, c'est peut être l'une des seules choses qu'ils ont pu me transmettre ; l'amour de mon pays, l'amour de ma région. Pour moi, l’Écosse est l'endroit le plus beau au monde. Et ne cherchez pas à créer une discussion sur d'autres lieux exceptionnels qui ne se trouvent pas en Écosse ; je m'en balance, littéralement. Oui, peut être bien que je suis un peu chauvine...et alors ?
Et puis vint le temps du choixpeau magique. Hésitant, il me proposa deux maisons : les Gryffondors & les Poufsouffle. Alors, encore perdue dans ce nouveau monde bien moins tranquille que mon île, je me décidai d'aller chez les Poufsouffle, rejoignant alors ma grande sœur, maison que je trouvais ainsi plus sécurisante. J'ai rejoins alors très rapidement l'équipe de Quidditch, en tant que batteuse, révélée lors des cours de vols et de ma fougue naturelle. J'étais excellente à ce poste. A vrai dire, ça fait un bien fou d'envoyer un cognard dans la tête d'un autre joueur ! Revigorant, vivifiant, je me sentais agréablement apaisée après chaque match. Bien vite, je me créai un cercle d'amis de toutes les maisons, évitant quand même les Serpentards, qui étaient trop sombres pour moi.
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Re: KITTY ϟ The scars of your love, they leave me breathless
Mer 13 Avr 2011 - 19:53
J'avais tout réussi. Coupe des maisons. Coupe de Quidditch. Buses, Aspics. Hungcalf m'ouvrait ses portes. Je pouvais choisir n'importe quel parcours. Devenir professeur, comme ma grande soeur, ou même dresseuse de dragons. J'aurais pu me tourner vers la botanique et rendre mes parents fiers de leur fille. J'aurais pu mieux les comprendre, enfin ! Mais je ne l'ai pas fait. Car, malgré tout l'amour que j'ai pour eux, j'avais déjà une autre vision de ma vie...loin de Anglesey et des tulipes de ma mère. Auror. Le rêve de tout enfant sorcier. Comme pompier pour les moldus. Je le voulais, si fort. Quitte à passer ma vie à la bibliothèque. Quitte à abandonner le Quidditch pour m'entrainer aux sortilèges de défenses. Quitte à m'être ma vie sociale entre parenthèses. J'ai tout fait. Et ça m'a réussi. Avec brio, j'ai obtenu les meilleurs résultats de ma promotion.
Alors l'été de ma cinquième année, je me suis offert des vacances. Seule...je sais, ça parait un peu désespérée comme ça, mais la solitude ne m'avait jamais fait peur, bien au contraire. J'ai rapidement mal à la tête avec les pipelettes..Et quand j'ai mal à la tête, je lance plus facilement des sorts. Je suis donc partie à Samar, île des Philippines. Je m'étais dit que je rencontrerais sûrement quelques personnes qui deviendraient des amis...mais j'étais loin de me douter de ce qui m'attendrait. August. Auggie, pour les intimes.
Il avait ce quelque chose de différent. Un peu plus vieux que moi, il me disait travailler dans les bureau du ministère, mais s'étendait réellement peu sur le sujet. Seules ses " vacances " l'intéressaient. Il me faisait énormément rire. Provocateur à souhait, Auggie avait pour particularité de ne rien vouloir faire comme les autres. Les règles le barbaient. Dites lui de faire blanc. Il finissait toujours par faire noir. C'était presque inconscient pour lui. Râleur, Auggie pouvait très bien vous donner quelques compliments tout en s'énervant. Mais, en repensant à toute cette histoire, ce qui m'a le plus marqué, c'est sa discrétion. Jamais au cours des deux mois de notre aventure nous n'étions restés plus de quelques jours dans le même endroit. Il fallait toujours qu'on se retrouve sur des îlots abandonnés. Et puis d'un coup, lui prenait l'envie subite d'aller dans des endroits bondés de monde. Comme s'il cherchait à retrouver quelqu'un.
Et puis il est parti, comme ça, sans explication, sans le moindre mot. Disparu de la surface de la Terre, ou en tout cas, des Philippines. J'ai alors transplané vers Anglesey, mon seul et unique refuge. Je n'ai rien dit. Je n'ai même pas pleuré. J'avais décidé qu'Auggie ne méritait pas mes larmes. Il ne méritait même rien du tout, à part peut être l'oublier. Alors j'ai tout fait pour. J'ai enchainé les rendez vous galants avec n'importe qui, pensant sérieusement que ça m'aiderait à tourner la page. Grossière erreur.
Alors je me suis remise au boulot, terminant avec brio mon master de Forces Publiques. J'étais la meilleure de mon année. Ca y'est, je pouvais relâcher la pression. Le ministère m'a engagé en tant qu'apprentie auror, sous les ordres de Zachary Everett. D'accord, c'est mon supérieur, je lui dois le respect...mais vous savez, c'est dur pour des gens comme moi d’obéir facilement...alors oui...peut être que je fais quelques missions suicides...et peut être qu'il me fout une horrible correction après m'avoir sauvé...mais c'est tellement cool !
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