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kelian • et ta douceur à me martyriser.
Dim 17 Avr 2011 - 19:40
✤ wright Hi, bitches. Moi c'est Kelian Rosenbach, j'ai vingt-deux ans, et je suis d'origine germano-britannique. Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je n'ai aucune idée de mon orientation sexuelle, mais je suis un célibataire endurci et issue d'une famille de moldus. A Hungcalf, j'ai choisi les arts journalistiques, et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois de chêne, d'une longueur de vingt-trois centimètres, recelant en son sein un poil de Sombral et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de caméléon. avatar © ROKKU ♣ &Wanderlust || icônes © leam |
prologue
L'ENNUI EST VOISIN DU PLAISIR
« L'horreur se traduit parfois par un regard, un sentiment tristement étouffé ; l'horreur est là, dans chaque inspiration, à chaque tournant, elle nous frôle et se nourrit de l'angoisse, des déceptions et des souvenirs qu'on peine à dépoussiérer, ces choses qui devraient à jamais rester enterrées. Je l'entends me susurrer les châtiments, la vengeance, la conduite à tenir. Je la suis comme si elle était mon guide, je la sens m'entourer pour mieux m'étrangler, et j'éclate de rire, mélodie hasardeuse me délivrant mon passé. Je ferme les yeux sur la réalité, je perds pieds, et d'un geste las, j'écrase mon existence réduite en cendres, mégot inutile lancé sans même y songer, pulvérisé d'un coup de talon. Le château de cartes s'écroule. Dernière expiration. »
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Cours, cours plus vite que ton ombre, le temps file, s'écoule, quelques secondes, ignore la douleur, dis lui que tu aimes ça, ne hurle pas, souris, bats-toi obéis agenouille-toi crie plus fort à quatre pattes ta gueule n'arrive pas en retard rhabille-toi prépare le repas mais putain t'ai-je éduqué comme ça ? Étouffe les pensées, avance, petit ange. Ferme la porte en silence. « KELIAN ! Where the fuck were you ?! » Sept heures du soir, les heures avaient défilé sans qu'il ne s'en rende réellement compte, tout en se tortillant lentement, le torturant jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son dernier gémissement. Il bat des cils, gamin à l'air puéril, poussé dans le monde des adultes qu'il effleure avec appréhension, pénétré par l'horreur avant même qu'ils n'en fassent mention. « I'm sorry, mom. Mr Kellerman wanted me to help him tidying up the classroom after school. » Douce ritournelle qui s'échappe de ses lèvres, la même que la semaine dernière, à peu de choses près. Il s'avance dans la maison, pas incertains, bien vite stoppés par la silhouette trop fluette de la jeune femme qui le regarde de haut. Un rire léger, apaiser les tensions, jouer des illusions, tout va bien, maman, regarde, je suis premier de classe, je m'applique, je m'applique tellement, si tu savais... Toutes ces choses qu'il n'avouera pas, secret inébranlable cachant son innocence bafouée, et son insouciance qu'il se plaît à jeter à la tête des autres, s'accrochant avec témérité à tout ce qui lui avait été arraché. Elle s'attendrit, comme toujours, et ses doigts fins viennent ébouriffer ses cheveux avec affection. Il se raidit quelque peu, une autre main, un autre jeu, chut, tais-toi, tu es rentré à la maison. « Well, Mr Kellerman should chose an other student to help him. I never get to see you anymore ! » Il devrait, en effet. Mais il ne le fera pas, il disparaîtra l'année suivante, avant que les murmures s'élèvent et que les enfants pleurent. Kelian ne pleurera pas. Il est bien trop conditionné pour cela. Pointe des pieds, tirer sur sa manche, frôler sa joue d'un baiser, approuver sans trop en dire, il est la manipulation, la victime et au fond son propre bourreau. Elle sourit, rassérénée. L'emmène vers la cuisine, pour son dîner. Il la suit docilement, l'estomac pourtant déjà rempli de toutes les sucreries que son instituteur lui a offert, sachant pertinemment à quel point il en raffolait. M. Kellerman était gentil, il s'occupait de lui, et tout ce qu'il avait à faire en retour, c'était de se taire. Personne n'avait à savoir. Personne ne saurait jamais. L'enfant grimpa sur le tabouret, jouant avec sa fourchette sans mot dire. « I'm going out tonight, Kelian. I'll see you tomorrow. Tell your teacher I want you home by five o'clock. » Elle disparaît déjà, tendre mirage qui virevolte, ses yeux pétillent. Elle va voir un homme, il le sait, un autre de ses amants, il ne dit rien. Il hoche la tête, prend une bouchée de la lasagne froide, lui adresse un signe de la main. « Don't forget to wash your teeth. And to do your homework. And don't go to sleep too late ! Goodnight honey ! » Sa voix s'éloigne dans le brouhaha ambiant, et la porte claque, le laissant seul face à son plat. L'immensité de la cuisine le saisit, brusquement, et il tremble. Il serre les poings. Oh, je sais que tu aimes ça. Tu pourrais mettre un peu plus de cœur à l'ouvrage, tu ne crois pas ? Petit merdeux, tu n'es bon qu'à ça. Il y a des choses qui ne se disent pas. Il y a des choses qui ne se font pas. Et si la vérité se tait, la réalité ne peut qu'être vécue, inlassablement. On échappe à tout, sauf à ça. Elle est là, toujours là, elle s'insinue à l'intérieur et t'arrache le cœur sans préavis. L'assiette se brise, sous ses yeux ébahis, million de particules qui se séparent pour s'écraser sur les murs alentours, et il reste immobile, parfaitement droit dans son costume de clown.
✎ bettyM.
Dans la vraie vie, j'ai bientôt dix-huit ans, oui, sortons les mouchoirs, c'est la fin. J'ai connu ce magnifique forum grâce à ma mémoire d'éléphant un peu instable et je ferais de mon mieux pour être là 2 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? Non, on va déjà gérer pour un, hein... Mon personnage est un personnage inventé. Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que je n'avais rien d'autre à rajouter, si ce n'est que c'est dégueulasse qu'il fasse si moche après plus de deux semaines et demi ensoleillées. Non, vraiment, c'est pas juste. code règlement :OkByBarbie |
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Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Dim 17 Avr 2011 - 19:40
chapitre unique : l'histoire sans fin
SI RIEN N'EST VRAI, RIEN N'EST GRAVE
« I don't know you. Why are you talking to me ?
- You know me.
- No, I don't.
- Okay, maybe you don't. But what if you did ?
- You're crazy.
- And you're cute when you're feeling awkward, Louise.
- I wasn't feeling awkward. Now I do. My name isn't Louise.
- See. I'm right. So you do know me.
- No, I don't kn... Oh, fuck off ! »
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« Fuck this fucker ! I don't fucking care mate, he doesn't know what I'm capable of... Yeah, I'm telling you, I'm gonna destroy this motherfucker ! Who does he think he is ? Too drunk to stay in his fucking faggot bar... I don't care, I'm gonna drink elsewhere. Anywhere else, mate ! The world is ours, tonight I'm the king, I'M GONNA RULE YOU ALL !... Wait. Where is my shoe ? » La Terre tourne, un, deux, trois, wouh, les couleurs, trop vives, vives, mal de crâne. Se stabiliser. Se concentrer. Plisser les yeux, mais pas trop, voir quelque chose. « ... And hum... Mate ? Fuck, what's your fucking name again ? » Il lance un regard à la ronde, tel un clochard, claudiquant sur un pied, à la recherche de son camarade de beuverie qu'il aura tôt fait d'oublier. Quinze ans, une allure de dandy boy, et cette arrogance que l'on attribue aux têtes brûlées, à ces petits cons mégalomanes qui sont persuadés d'avoir la réponse à la question qu'on ne leur a pas encore posée – quarante-deux, il dit, le petit. Cigarette au bec, il déambule dans les rues en traînant sa chaussette devenue noire, tentant de se souvenir du chemin pour parvenir jusqu'à chez lui. Ou un endroit où il pourrait boire, ce qui revient un peu au même vu qu'il sait où se trouve la réserve de sa mère. L'alcoolisme, c'est dans les gênes. Non pas qu'il soit dépendant de quoique ce soit, si ce n'est de son reflet. Peut-on être amoureux de soi-même ? Il se déteste passionnément, à l'image de ces grands héros dramatiques qu'il ne sera jamais, car il restera pour toujours le petit ange paumé du devant de la classe, le gamin de huit ans qu'on avait trop bien éduqué. Tant pis, tant mieux, qui sait ? La nuit le cerne de toute part, et il chante, il chante à s'en tuer la gorge, il s'étouffe dans sa propre fumée nauséabonde, mais qu'importe, ce soir, le monde est beau, il s'ouvre à lui, il est libre, et tout le reste n'est que poussière. Qu'il crève en enfer, Kellerman, qu'ils crèvent tous la gueule ouverte, parce que lui, Kelian, est toujours debout... Enfin presque. « I'M THE KING OF THE WORLD ! » Il se trébuche, se rattrape à un mur, crie un peu plus fort. « SHUT YOUR FUCKING MOUTH ! » Ah, il a réveillé quelqu'un. Un geste grossier plus tard, il s'appuie contre le mur, sa clope pointant lamentablement le trottoir, les yeux fermés. Il a toujours adoré les vacances, loin de la magie et de cet endroit confiné que représentait Hogwarts à ses yeux. Si certains avaient embrasé leur nature de sorcier, il la gerbait sans hésiter. Au sens propre comme au figuré, d'ailleurs, pour l'heure. Il n'était pas fait pour tenir un bout de bois entre ses doigts, il était fait pour donner des coups, une vraie bute impulsive et pas toujours réfléchie, qui utilisait toutefois la ruse comme seconde nature. Un vrai paradoxe ambulant, ou un autre de ces adolescents qui se ressemblaient tristement, selon les points de vue. Il s'essuie la bouche, tente de respirer convenablement, la rue tangue encore un peu plus, elle semble s'amuser de toute cette situation, elle aussi. Finalement, il ne rit plus du tout, tout cela l'ennuie, comme bien d'autres choses. Il se lasse trop vite, surtout de lui-même. Un soupir. Des phares de voiture, un rêve éveillé, elle ralentit, ralentit, elles sont deux, ou peut-être juste une, il secoue la tête pour y voir plus clair, mauvaise idée, les arbres s'agitent en même temps que lui, un autre haut-le-cœur, elle s'arrête. La vitre s'abaisse, et de grands yeux apparaissent, le jaugeant de haut en bas. Un battement de cœur, un second, boum boum boum. L'horloge s'arrête, pour une fraction de seconde. « Need a ride ? » Boum, boum, boum. Une voix rauque, assurée, il semble habitué. Lui pas, pas encore en tout cas. Il hésite, le temps que son esprit encore embrumé par l'alcool recompose la proposition. Il sait très bien de quoi il s'agit, au fond. « I guess not... » L'engin démarre, le moteur ronronne, l'homme en costume cravate ne fait déjà plus attention à lui, marchandise, une autre à un autre coin de rue, il y aura mieux, il y aura pire. Il y aura l'argent et il y aura l'enfant démuni, accroupi sur le sol en attendant que l'aube sonne. « Wait ! » Il se redresse, vacille, s'avance vers son chevalier blanc, un sourire candide adoucissant ses traits d'ivrogne. « Why not ? » Un regard échangé, et c'est comme un contrat religieusement rédigé, il embarque, n'ose dire un mot, observe les sièges en cuir et tente d'en évaluer le prix. « First time ? » Le roi du monde s'écrase, son trône s'évapore, la couronne lui échappe. « Yeah... » Le reste ne lui appartient plus, que ce soit les mots, les gestes, les sensations, il n'est plus qu'un objet mis à disposition. Le reste est de l'histoire ancienne, le reste sera son futur.
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Elle se réveille alors que je suis déjà debout, attachant mon jeans en lui tournant le dos. Je sens néanmoins sa présence, vivace, un peu craintive. Petite poupée autrefois effarouchée, petite poupée souillée il y a déjà tant d'années. « Did you sleep well, love ? » Chuchotement suave alors que je me retourne vers elle, un sourire en coin affiché sur mes traits. Oh, elle est tellement belle, nue sous les draps d'ivoire, les cheveux en bataille et l’œil encore endormi ; un vrai tableau de peintre maudit. Ceinture bouclée d'un geste habile, je me laisse tomber sur le lit, à ses côtés. « Well, you've surpassed yourself last night. Lots of practice, huh ? » Aucune congratulation dans mon regard, rien que du mépris. Je me rappelle de tout, tu sais, mon amour. De ton air prude qui m'avait diablement amusé à l'époque, de tes joues rosies par la gêne alors que je te lançai le premier compliment, de tes gémissements étouffés par timidité tandis que je me glissai tranquillement entre tes jambes. Le premier à t'enflammer, le premier à t'effleurer, et je me demande à présent combien y sont passés. Tu ne sembles pas vouloir me répondre, drapée dans ce qu'il te reste de dignité, que j'aimerais tant t'arracher. Et j'aperçois toujours dans ton regard, pourtant, cette étincelle qui brûle encore, envers et contre tout, cette même flamme qui m'avait finalement captivé quand tu te blottissais contre moi. Elle ne me remémore à présent que des souvenirs déchus, elle ne pointe du doigt que ma cruauté passée, et le pire, le pire, tu vois, c'est que je n'en ai rien à branler. Tu l'avais mérité, ou peut-être pas, peut-être était-ce juste comme ça, je ne voulais pas m'attacher, ce n'est pas toi qui allait tout changer. Oh, et tu savais, tu savais ce que je faisais quand je n'étais pas avec toi. Tu rampais toutefois tout autant à mes pieds, déchet que je me plaisais à écraser davantage, et je te malmenais, et tu en redemandais, et tout recommençait. Le prince charmant n'est jamais venu te chercher, n'est-ce pas ? Il n'est pas venu pour moi non plus, si ça peut te rassurer. Les corps s'emmêlent, les visages s'effacent, grands petits cons ou non beaux ou moches drôles ou pas c'est tous les mêmes, de l'argent, quelques gallions au creux de ma paume, un instant, une illusion, prétendre apprécier malgré le dégoût, ce n'est pas si difficile que ça. Tu apprendras. Je ne regrette rien, je ne suis pas fait pour ça. Le néant a remplacé mon cœur depuis longtemps. Le tien bat encore sous la surface, sous ton expression revancharde, je peux le sentir, il me suffirait de tendre le bras, et tu serais à moi, encore une fois. Mais c'est un jeu que nous n'avons que trop joué, je me suis lassé, c'est terminé. « Mmh... Fire ? » Entre ses lèvres, une cigarette. Je lui tends un briquet en haussant un sourcil, moqueur. Elle fume, en plus. Toutes ces années où elle me harcelait pour que j'arrête n'avaient pas servi à grand-chose. Je l'observe, fière petite Lufkin sûre de ses charmes, et je me vois à sa place, soudainement. Les rôles s'échangent, elle se saisit du mien, l'incarne à la perfection, étouffant toute trace de pudeur et d'appréhension. « Of course. Not surprising, yeah ? You've killed everything that was good in me. You've killed me, Kelian. » Pas de grandes effusions, une simple phrase lancée lâchement, raconter un fait et puis passer au suivant, comme si rien n'était jamais arrivé. Je me redresse. Agacement, pauvre idiote qui s'y est laissée prendre, tout cela est de ta faute, arrête, arrête de m'accuser. Tu savais très bien dans quoi tu te lançais, tu t'y es brûlée, maintenant, laisse l'Enfer t'achever. D'une main, je saisis sa clope, que je cale dans ma bouche. De l'autre, je sors quelques gallions de ma poche, que je lui lance ensuite au visage. « You've killed yourself, girl, trying to be someone else. Here's your money for last night. What ? Don't tell me you didn't want it. » Un sourire amer, me saisir de ma chemise, la balancer sur mon épaule, pencher la tête. « I'm just trying to help you start your damn business. You wanna be me, princess ? » Reculer d'un pas, me diriger vers la porte. Les paroles tombent lourdement, alourdissant l'air ambiant. Je lui en veux. « So be it. But don't cry when the door shuts. Whores don't cry. » Et je m'éloigne d'un pas nonchalant, ignorant la colère qui me vrille les tympans. Cigarette jetée d'un geste las, écrasée d'un coup de talon, existence vouée à l'échec et l'ennui qui me guette. Putains de sensations, putain de condition humaine m'amenant inexorablement à la fin. Je ne comprends plus rien.
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Des cauchemars, j'en ai faits. Par dizaines, par centaines. Sa bouche contre mon oreille, son regard alors que j'allais jusqu'au tableau, je les ai revus, j'ai revisité les mêmes scènes, encore et encore, jusqu'à ce que la nausée passe mes lèvres, jusqu'à ce que je vomisse le dégoût et la haine. Tout est encore là, pourtant, je les sens à l'intérieur de moi, me donnant envie de hurler, de tout détruire sur mon passage, et je ne m'en prive pas. Certains me diront sans cœur, mais j'ai aimé. J'ai aimé mon bourreau d'un amour inconditionnel, avant de le haïr sans limite. J'en suis à présent épuisé, je n'ai plus rien à donner. J'ai alors choisi la facilité, l'argent facile, j'ai choisi la honte des hommes mariés pour étouffer la mienne, et j'ai dansé sur leur dégoût, leur offrant le mien, me rhabillant sans même réellement y songer. Ils étaient tous assez variés pour me divertir un moment, je voguais sur leurs préférences, je devenais leur plus grand fantasme, pantin malin et diablement bien entraîné. Puis je me suis lassé, et j'ai arrêté. Je me suis consacré à mes autres penchants, j'ai joué avec les extrêmes, j'ai plongé ma main dans les flammes en attendant de voir la chaire fondre, j'ai hurlé de plaisir et joui de douleur. Et le jour s'est levé, encore une fois. Le monde n'en a rien à foutre de la vérité, ce qu'il veut, c'est l'illusion, c'est la marchandise livrée sur un beau plateau. Je suis consommable, mesdames et messieurs, je suis livrable à domicile, je suis l'objet qui manque à votre collection, je suis le poison à distiller dans le verre de votre mari infidèle, je suis la perfection dans cette société qui ne prône que le mensonge éhonté et l'orgasme instantané.
KR.
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Dim 17 Avr 2011 - 19:42
Oh mon prénom :brille:
Bienvenue Petite Lou endurcie, fais bon usage de mon prénom ! :D
Bienvenue Petite Lou endurcie, fais bon usage de mon prénom ! :D
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Dim 17 Avr 2011 - 19:47
Bienvenue :D
Comment ça 18 ans c'est la fin ?
Bonne chance pour ta fiche (l)
Comment ça 18 ans c'est la fin ?
Bonne chance pour ta fiche (l)
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Dim 17 Avr 2011 - 19:49
bienvenue, Taylor est à toi pour 7 jours (a)
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Dim 17 Avr 2011 - 20:01
Merciii. :brille:
LOUISE EN FORCE. \o
Non mais si, dix-huit ans, je vois les rides se pointer, là, c'est terminé, je, je... *se tait*
LOUISE EN FORCE. \o
Non mais si, dix-huit ans, je vois les rides se pointer, là, c'est terminé, je, je... *se tait*
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Dim 17 Avr 2011 - 20:03
Oh Taylor Momseeeeen :brille: Mon ancien vava :snif: Très bon choix
Bienvenue sinon (l)
Bienvenue sinon (l)
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Dim 17 Avr 2011 - 20:04
Bienvenue Miss (l)
Bon courage pour ta fiche, si t'as des questions, n'hésite pas ! :)
Bon courage pour ta fiche, si t'as des questions, n'hésite pas ! :)
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Dim 17 Avr 2011 - 20:38
bienvenue ma douce :brille: (l) bonne chance pour ta fiche !
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Dim 17 Avr 2011 - 21:12
Hééé :canne: c'est chouette d'avoir 18 ans
Dans tous les cas bienvenue à toi, bonne chance pour ta fiche (l)
Dans tous les cas bienvenue à toi, bonne chance pour ta fiche (l)
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Lun 18 Avr 2011 - 9:56
Bienvenue parmi nous ♥
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Lun 18 Avr 2011 - 9:58
TAYLOR (l) :baveuh:
BIENVENUEEEEE :hysteric:
BIENVENUEEEEE :hysteric:
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Lun 18 Avr 2011 - 12:22
Hahah, ca me donne Pretty Reckless dans la tête
Bienvenue Louise, et bon courage pour ta fiche :inlove:
Bienvenue Louise, et bon courage pour ta fiche :inlove:
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Lun 18 Avr 2011 - 12:58
Bienvenue jolie Louise (l)(l)
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Lun 18 Avr 2011 - 16:50
Eva, t'aurais pu me dire que c'était toi quand même :canne:
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Lun 18 Avr 2011 - 16:55
Merci à tous, même si ce n'est plus vraiment Louise, ni Taylor, d'ailleurs.
Elo, je voulais te faire la surpriiiiise... Bon, j'ai raté mon coup.
Elo, je voulais te faire la surpriiiiise... Bon, j'ai raté mon coup.
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Lun 18 Avr 2011 - 16:56
faut dire que t'as une adresse msn qu'on retient bien
je te réserve Cole pour 7 jours (l)
je te réserve Cole pour 7 jours (l)
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Lun 18 Avr 2011 - 18:07
oh cole est un excellent choix :baveuh: hâte de voir ton personnage =D
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Lun 18 Avr 2011 - 18:42
Je plussoie Nell :inlove: bonne chance pour ce nouveau perso :)
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Mar 19 Avr 2011 - 14:31
Ma chère adresse msn. :inlove:
Merciii. terminé. uu'
Merciii. terminé. uu'
- InvitéInvité
Re: kelian • et ta douceur à me martyriser.
Mar 19 Avr 2011 - 15:24
Cher étudiant
Félicitations, tu es admis à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
Enfin, le système de parrainage sorcier est à ta disposition à tout moment du jeu !
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : J'exige un lien d'avance, maintenant que j'ai lu ENTIÈREMENT ta fiche c'est très bien écrit, ton personnage est à la fois détestable, excitant et touchant. Enfin bref j'adore et j'adhère :hysteric: A une prochaine fois en rp qui sait.. En attendant bienvenue chez les Wright darling (l)
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