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Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Mar 19 Avr 2011 - 23:22
✤ L’Architecte Magique So Frenchy Bonsoir à tous ! Moi c'est Alan Francis Ferry, j'ai 35 ans et pour faire dans le détail, je suis né le 02 Juillet 1976. Je suis d'origine Française . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis hétérosexuel , mais aussi fiancé à Cassandra Ledoux et issu d'une famille de sorciers anglais du côté paternel et français du côté maternel. A Hungcalf, je n’y ai jamais mis les pieds car comme tout bon sorcier français j’ai étudié à BeauxBâtons puis, je suis allé à l’école d’Etude Supérieur d’Architecture Magique (ESAM) de Paris. Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en Noisetier et Crin de Licorne de 23,4 cm et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de Géocoucou (Geococcyx californianus) avatar & Icônes © Tael || Staring Jude Law |
this is my story
Je suis né en 1976. Une année tout ce qu’il y a de plus commun dans un pays tout ce qu’il y a de plus commun : la France. Certes, beaucoup me diront que c’est un pays à la haute gastronomie plus que renommée, où il fait bon vivre, où les filles sont jolies. Mais je ne suis pas chauvin au point de me voiler les yeux sur ce qu’est la réalité. La nourriture y est bonne mais un peu surfaite, il est fait bon vivre que lorsque l’on est français de souche et les filles… bon là j’avouerais que je ne cracherais jamais sur les femmes française car c’est en la personne d’une d’elle que j’ai trouvé le bonheur.
Fréjus est le nom de la ville où je suis né, ville à l’époque sans grande prétention en bord de mer méditerrané. Les moldus qui la dirige ont sut bien vite tirer profit de ce don géographique pour amasser tout l’argent qu’il pouvait et faire de cette charmante petite ville un de plus grand et plus pathétique repère de moldus riches, encrassés jusqu’à la moelle de leur bêtise, cette bêtise qui les fait dépenser l’argent mal acquis en objet mal imaginé pour une utilisation mal avisée. Mes parents sont morts d’un trop plein d’argent. Pas le leur mais celui d’un homme qui s’est alors sentit invincible.
Fréjus est le nom de la ville où je suis né, ville à l’époque sans grande prétention en bord de mer méditerrané. Les moldus qui la dirige ont sut bien vite tirer profit de ce don géographique pour amasser tout l’argent qu’il pouvait et faire de cette charmante petite ville un de plus grand et plus pathétique repère de moldus riches, encrassés jusqu’à la moelle de leur bêtise, cette bêtise qui les fait dépenser l’argent mal acquis en objet mal imaginé pour une utilisation mal avisée. Mes parents sont morts d’un trop plein d’argent. Pas le leur mais celui d’un homme qui s’est alors sentit invincible.
Accident mortel en monde moldu.
C’est ce matin vers 06 heures 30 que Josh Ferry et Marie Lebrun-Ferry sont décédés à l’hôpital moldu de la Salpêtrière. Ils avaient été fauchés une heure plus tôt par un moldu ivre. Ils laissent derrière eux un fils désormais orphelin.
C’est ce matin vers 06 heures 30 que Josh Ferry et Marie Lebrun-Ferry sont décédés à l’hôpital moldu de la Salpêtrière. Ils avaient été fauchés une heure plus tôt par un moldu ivre. Ils laissent derrière eux un fils désormais orphelin.
Comme tout un chacun pour l’imaginer, il est assez difficile pour un enfant de cinq ans de comprendre qu’il ne reverra plus jamais ses parents et peut être que ma vocation est née de cette perte : je me rappelle très nettement avoir maintes fois expliqué que je voulais construire ‘des maisons très grandes pour qu’un jour j’aille voir papa et maman au ciel’. Mignon, pathétique, triste, je vous laisse le soin de vous faire votre propre opinion de moi : j’en ai que faire.
Mes premières années de vie avaient donc démarrées sous de mauvais hospice mais mon passé n’est pas entaché de d’autres souvenir maussade : l’orphelinat dans lequel je fus envoyé était loin d’être miteux et les différentes institutions magiques de mon pays veilla à ce que je ne manquai de rien.
Je vécu donc toujours en contact avec le monde la sorcellerie ce qui eu pour résultat de n’éveiller aucune surprise en moi le jour où un hibou vint me remettre une lettre m’annonçant que j’étais le bienvenu à l’école de BeauxBâtons où il me serait enseigné comment maîtriser au mieux mes pouvoirs et où je pourrais boire un bouillon de connaissance jusqu’à plus soif. Proposition assez alléchante pour moi qui, déjà très jeune, était adepte des longues journées d’études et de travail car malgré mon jeune âge j’avais eu la maturité de ne pas rester les mains dans les poches à vivre au frais de l’état : je passais tout mon temps dans la petite bibliothèque de l’orphelinat à lire et relire des ouvrages qui étaient d’ordinaire destinés aux enfants un peu plus âgés. Etonnement, quand je lisais un livre sur l’Egypte Antique, c’était les pyramides qui m’attrayaient le plus et quand je passais à la mythologie Grecque, c’était Dédale et son labyrinthe…
Je fis donc mes études à BeauxBâtons où je vécu une adolescence plus que banale pleine d’éclats de rires, de secrets, de bêtises, d’amourette, d’étude, et je parvins à m’en sortir avec des résultats satisfaisants. J’eu même un optimal en Histoire de la Magie, comme quoi la lecture des livres sur l’Egypte, la Grèce et autres ne m’avait pas été inutile. Je n’avais plus que le choix de faire ce que je voulais tant que ce n’était pas trop select… enfin c’est ce que je pensais.
Ayant parcourus les nombres couloirs et passages secrets de BeauxBâtons, je ne pouvais qu’admirer le génie des fondateurs de cette école et surtout leur génie architecturale. Comment pouvait-on faire tenir toute ces pièces, toutes ces salles, tous ces couloirs en un seul et même bâtiment ? Les élèves lambda s’en fichait éperdument ou, dans le meilleur des cas, s’en arrêté à un ‘wouha ils étaient trop fort les fondateurs’ mais ça n’était pas assez pour moi. Je sentais au fond de moi le besoin irrépressible de tout disséquer, tout analyser en profondeur pour en comprendre les moindres petites ficelles. C’est ce que je ferais plus tard mais à cette époque, je ne voyais qu’un seul moyen d’y parvenir : entrer dans la prestigieuse école d’Etudes Supérieures en Architecture Magique.
Et j’y parvins car croyais le ou non mais un optimal dans une matière quel qu’elle soit et amplement suffisant pour entrer dans cette institution et mon optimal en Histoire de la Magie était plus que le bienvenu et je commençai bien vite mes études, longue succession d’analyse de bâtiments magiques, de la simple cabine téléphonique ascenseur à la grande école de Poudlard, et d’histoire d’architecte et d’architecture magique. Bref, tout ce qui a mes yeux comptait le plus. Au bout de six ans, je finissais mes études, surpassant mes compagnons d’étude.
Mes premières années de vie avaient donc démarrées sous de mauvais hospice mais mon passé n’est pas entaché de d’autres souvenir maussade : l’orphelinat dans lequel je fus envoyé était loin d’être miteux et les différentes institutions magiques de mon pays veilla à ce que je ne manquai de rien.
Je vécu donc toujours en contact avec le monde la sorcellerie ce qui eu pour résultat de n’éveiller aucune surprise en moi le jour où un hibou vint me remettre une lettre m’annonçant que j’étais le bienvenu à l’école de BeauxBâtons où il me serait enseigné comment maîtriser au mieux mes pouvoirs et où je pourrais boire un bouillon de connaissance jusqu’à plus soif. Proposition assez alléchante pour moi qui, déjà très jeune, était adepte des longues journées d’études et de travail car malgré mon jeune âge j’avais eu la maturité de ne pas rester les mains dans les poches à vivre au frais de l’état : je passais tout mon temps dans la petite bibliothèque de l’orphelinat à lire et relire des ouvrages qui étaient d’ordinaire destinés aux enfants un peu plus âgés. Etonnement, quand je lisais un livre sur l’Egypte Antique, c’était les pyramides qui m’attrayaient le plus et quand je passais à la mythologie Grecque, c’était Dédale et son labyrinthe…
Je fis donc mes études à BeauxBâtons où je vécu une adolescence plus que banale pleine d’éclats de rires, de secrets, de bêtises, d’amourette, d’étude, et je parvins à m’en sortir avec des résultats satisfaisants. J’eu même un optimal en Histoire de la Magie, comme quoi la lecture des livres sur l’Egypte, la Grèce et autres ne m’avait pas été inutile. Je n’avais plus que le choix de faire ce que je voulais tant que ce n’était pas trop select… enfin c’est ce que je pensais.
Ayant parcourus les nombres couloirs et passages secrets de BeauxBâtons, je ne pouvais qu’admirer le génie des fondateurs de cette école et surtout leur génie architecturale. Comment pouvait-on faire tenir toute ces pièces, toutes ces salles, tous ces couloirs en un seul et même bâtiment ? Les élèves lambda s’en fichait éperdument ou, dans le meilleur des cas, s’en arrêté à un ‘wouha ils étaient trop fort les fondateurs’ mais ça n’était pas assez pour moi. Je sentais au fond de moi le besoin irrépressible de tout disséquer, tout analyser en profondeur pour en comprendre les moindres petites ficelles. C’est ce que je ferais plus tard mais à cette époque, je ne voyais qu’un seul moyen d’y parvenir : entrer dans la prestigieuse école d’Etudes Supérieures en Architecture Magique.
Et j’y parvins car croyais le ou non mais un optimal dans une matière quel qu’elle soit et amplement suffisant pour entrer dans cette institution et mon optimal en Histoire de la Magie était plus que le bienvenu et je commençai bien vite mes études, longue succession d’analyse de bâtiments magiques, de la simple cabine téléphonique ascenseur à la grande école de Poudlard, et d’histoire d’architecte et d’architecture magique. Bref, tout ce qui a mes yeux comptait le plus. Au bout de six ans, je finissais mes études, surpassant mes compagnons d’étude.
Résultat de fin de cycle à l’ESAM de Paris
Bermaut (Charles) – Non reçu
Chantel (Laure) – Non reçu
Ferry (Alan) – Reçu mention très bien
Hern (Pierre) – Reçu mention passable
Line (Renaud) – Non reçu
McCarthy (Ismaël) – Reçu mention très bien
Mein (Laure) – Reçu mention bien
Orte (Maïa) – Non reçu
Zhukevsko (Yevhen) – Reçu mention passable
Bermaut (Charles) – Non reçu
Chantel (Laure) – Non reçu
Ferry (Alan) – Reçu mention très bien
Hern (Pierre) – Reçu mention passable
Line (Renaud) – Non reçu
McCarthy (Ismaël) – Reçu mention très bien
Mein (Laure) – Reçu mention bien
Orte (Maïa) – Non reçu
Zhukevsko (Yevhen) – Reçu mention passable
Une fois mon diplôme en poche, je me mis directement à mon compte. L’idée de servir de jeune ‘va-chercher-le-café’ a une personne que je n’appréciais pas me déplaisait au plus au point. Je n’irais pas jusqu’à dire que je me croyais supérieur à eux. Mes études étaient finis, certes, mais je ne restais quand même qu’un novice et c’est pour cela que les premières années je ne fis que lire les écrits d’architectes qui étaient pour la plus part Britanniques car j’avoue avoir une certaine affection pour leurs œuvres. C’est d’ailleurs de cette manière que j’appris l’anglais. Bon il est évident que je sais le lire et l’écrire parfaitement mais mon accent laisse vraiment à désirer : après tout, on ne fait que lire des livres et rédiger des commentaires, on ne dialogue généralement pas avec le papier ou alors faut avoir un grain.
Bref, ces deux première années après ma fin d’étude n’amenèrent aucun bénéfices et je vécu uniquement de l’héritage que mes parents m’avaient laissé. Même la richesse de mes parents n’étaient pas inépuisable et, comme on le dit en France, il a fallut que j’aille au charbon. Je commençai par des tout petits chantiers, en général de simple sort de repousse moldus à lancer sur un domicile ou bien un simple sort d’alarme sur les ports et fenêtres. Et puis un jour, et c’est sûrement ce qui lança ma carrière, l’orphelinat magique m’appela : un des enfants qui y été n’arrivait pas à retenir ses pouvoirs et dans un excès de colère, un pan entier de mur était tombé. Je leur étais pleinement redevable de tout ce substitut de bonheur qu’on m’avait apporté dans mon enfance et c’est pour ça que je travaillai là bas pour rien. Et puis ce n’était qu’un pan de mur me disais-je. Mais au final, je restai près d’un an là bas. Je réparai le pan de mur, puis je refis la toiture, je lançai quelques sort d’agrandissement de salle, j’appelai quelques amis à moi peintre décorateur qui firent une grande salle commune où l’on pouvait interagir avec les animaux peints sur les murs. Devant cette mobilisation solidaire ‘Paris Magique’, un journal sorcier de France m’appela pour m’interviewer et devant la qualité de mon travaille il me rappela pour que je travaille sur les plans de construction de leur nouveaux siège social.
Et c’est ainsi que je déboulai sur le marché des grands en quelques sortes, chien fou brisant les jeux de quilles de ceux qui avaient mis des décennies à se faire un nom. Le siège social du ‘Paris Magique ‘ s’avéra être un travail de longue haleine mais je le menai à bout et mes clients furent plus que satisfait et n’hésitèrent absolument pas à passer mes coordonnées aux sociétés environnantes.
En 2004, pour mes 26 ans, je pus même m’offrir le luxe de faire les plans et de construire ma propre maison, pavillon sur deux étages en périphérie de Paris et je dois dire que moi-même je me suis bluffé en réussissant ce qui devait être une œuvre d’art de l’architecture. On en venait même à me demander s’il était possible de visiter, ce que je refusais toujours fermement. Mais devant la difficulté surpassée de cette construction, on me proposa le plus gros contrat de ma vie à ce jour : la construction d’une nouvelle Banque Magique à Paris dans laquelle devait évidement être tout calculer au millimètre près pour que les biens enfermés dans cette future institution soit 100% en sécurité.
Bref, ces deux première années après ma fin d’étude n’amenèrent aucun bénéfices et je vécu uniquement de l’héritage que mes parents m’avaient laissé. Même la richesse de mes parents n’étaient pas inépuisable et, comme on le dit en France, il a fallut que j’aille au charbon. Je commençai par des tout petits chantiers, en général de simple sort de repousse moldus à lancer sur un domicile ou bien un simple sort d’alarme sur les ports et fenêtres. Et puis un jour, et c’est sûrement ce qui lança ma carrière, l’orphelinat magique m’appela : un des enfants qui y été n’arrivait pas à retenir ses pouvoirs et dans un excès de colère, un pan entier de mur était tombé. Je leur étais pleinement redevable de tout ce substitut de bonheur qu’on m’avait apporté dans mon enfance et c’est pour ça que je travaillai là bas pour rien. Et puis ce n’était qu’un pan de mur me disais-je. Mais au final, je restai près d’un an là bas. Je réparai le pan de mur, puis je refis la toiture, je lançai quelques sort d’agrandissement de salle, j’appelai quelques amis à moi peintre décorateur qui firent une grande salle commune où l’on pouvait interagir avec les animaux peints sur les murs. Devant cette mobilisation solidaire ‘Paris Magique’, un journal sorcier de France m’appela pour m’interviewer et devant la qualité de mon travaille il me rappela pour que je travaille sur les plans de construction de leur nouveaux siège social.
Et c’est ainsi que je déboulai sur le marché des grands en quelques sortes, chien fou brisant les jeux de quilles de ceux qui avaient mis des décennies à se faire un nom. Le siège social du ‘Paris Magique ‘ s’avéra être un travail de longue haleine mais je le menai à bout et mes clients furent plus que satisfait et n’hésitèrent absolument pas à passer mes coordonnées aux sociétés environnantes.
En 2004, pour mes 26 ans, je pus même m’offrir le luxe de faire les plans et de construire ma propre maison, pavillon sur deux étages en périphérie de Paris et je dois dire que moi-même je me suis bluffé en réussissant ce qui devait être une œuvre d’art de l’architecture. On en venait même à me demander s’il était possible de visiter, ce que je refusais toujours fermement. Mais devant la difficulté surpassée de cette construction, on me proposa le plus gros contrat de ma vie à ce jour : la construction d’une nouvelle Banque Magique à Paris dans laquelle devait évidement être tout calculer au millimètre près pour que les biens enfermés dans cette future institution soit 100% en sécurité.
La banque de Paris en de bonnes mains.
Après le terrible accident qui avait causé 6 morts il y a trois mois à la Banque Magique de Paris, le gouvernement a décidé de mobiliser suffisamment de fond pour avoir une banque où la sécurité y est assurée à 100%. Le Chantier sera accordé au jeune architecte Alan Ferry à qui l’on doit déjà la construction du nouveau siège social du ‘Paris Magique’, journal sorcier français.
Après le terrible accident qui avait causé 6 morts il y a trois mois à la Banque Magique de Paris, le gouvernement a décidé de mobiliser suffisamment de fond pour avoir une banque où la sécurité y est assurée à 100%. Le Chantier sera accordé au jeune architecte Alan Ferry à qui l’on doit déjà la construction du nouveau siège social du ‘Paris Magique’, journal sorcier français.
Et ce fut une pure réussite : savant mélange de savoir faire français avec un soupçon d’architecture anglaise. Les commanditaires furent bien évidement aux nues et mon compte en banque aussi. J’avais d’ailleurs calculé qu’avec ce qu’on m’avait payé pour l’édification de cette banque et le bonus pour que je garde le secret sur son agencement, je pouvais menais mon train de vie actuel jusqu’à mon dernier jour sans à avoir à travailler… mais ça n’était pas spécialement dans ma mentalité de rester sur des acquis et de ne plus rien faire. Je pris donc d’autre chantier, certains où je gagnais pas mal d’argent et d’autres que j’effectuais bénévolement quand la cause me semblait juste.
Quelques années passèrent dans une vie des plus monotones. Bien que je ne côtoyais jamais tout le temps les même personnes, pour moi ce n’était qu’une longue succession de personnalités, toutes identiques en tout point. C’est de toute façon toujours la même chose dès que vous commencez à être un peu connu et à avoir un peu d’argent : vautours, hyènes et chacals viennent rôder en périphérie de votre vu pour mieux se jeter sur vous quand vous donnerez des signes de faiblesses. Puis je la vis.
C’était une chaude journée de juillet, j’avais fêté mes 35 ans la veille et au matin me retrouvais donc naturellement avec une bonne grosse barre de métal au front, une migraine à en tuer un éléphant. Midi, je sors de chez moi et décide de faire un tour dans Paris historique pour prendre un peu l’air. Certes c’était l’air pollué des grandes capitales moldus mais c’était toujours mieux que l’air vicié de mon habitat où effluves d’alcool et fumée de cigarette se côtoyaient. Sur les coups des treize heures je me pose en terrasse de café, bondé, mais je ne me plains pas. Après tout c’est un miracle de trouver une table de libre sur une terrasse en bord de Seine en ces jours. Peut-être ma solitude ou la place libre face à moi l’attira mais le fait était qu’une jeune femme s’installa à ma table, me demandant mon autorisation évidement. Elle était magnifique, drôle et intelligente : que demander de plus. Évidemment, en bon gentleman, je lui payai son café, nous restâmes ici à parler jusqu’à ce que le soleil se couche et, dans ces dernières secondes de jours, nous nous donnâmes rendez vous le lendemain. Pour tout vous dire, pour moi, c’était un pur coup de foudre. Mais vous me traiterez sûrement là de pauvre idéaliste naïf et niais.
Nous ne mîmes pas longtemps à nous rendre compte que nos sentiments étaient réciproques et bientôt nous nous installâmes ensemble. Nous visitâmes le pays entier et je lui présentai comme mes parents le couple qui tenait l’orphelinat, désormais à la retraite. Après tout, c’était eux qui m’avaient élevé et qui m’avait fournis tout l’amour dont j’avais besoin. Elle, elle me dit que les siens étaient morts et c’est alors que je me rendis compte qu’on était sûrement plus semblable que je ne le croyais de prime abord. C’est a peu près à cette période qu’elle prit connaissance de ma notoriété au sein des grosses compagnies de constructions magiques.
En Octobre, je lui demandai sa main. Elle accepta mais demanda un délai avant le mariage. Je ne me souviens plus trop ce qu’elle me prétexta, moi j’étais beaucoup trop heureux pour écouter ce qui se passer sur Terre. Cassandra recommença à travailler à son école anglaise. Je l’enviais un peu.
En février, elle m’apprit qu’elle était enceinte. J’étais le plus heureux des hommes et je décidais alors, pour la ménager, d’aller vivre avec elle en Angleterre.
Quelques années passèrent dans une vie des plus monotones. Bien que je ne côtoyais jamais tout le temps les même personnes, pour moi ce n’était qu’une longue succession de personnalités, toutes identiques en tout point. C’est de toute façon toujours la même chose dès que vous commencez à être un peu connu et à avoir un peu d’argent : vautours, hyènes et chacals viennent rôder en périphérie de votre vu pour mieux se jeter sur vous quand vous donnerez des signes de faiblesses. Puis je la vis.
C’était une chaude journée de juillet, j’avais fêté mes 35 ans la veille et au matin me retrouvais donc naturellement avec une bonne grosse barre de métal au front, une migraine à en tuer un éléphant. Midi, je sors de chez moi et décide de faire un tour dans Paris historique pour prendre un peu l’air. Certes c’était l’air pollué des grandes capitales moldus mais c’était toujours mieux que l’air vicié de mon habitat où effluves d’alcool et fumée de cigarette se côtoyaient. Sur les coups des treize heures je me pose en terrasse de café, bondé, mais je ne me plains pas. Après tout c’est un miracle de trouver une table de libre sur une terrasse en bord de Seine en ces jours. Peut-être ma solitude ou la place libre face à moi l’attira mais le fait était qu’une jeune femme s’installa à ma table, me demandant mon autorisation évidement. Elle était magnifique, drôle et intelligente : que demander de plus. Évidemment, en bon gentleman, je lui payai son café, nous restâmes ici à parler jusqu’à ce que le soleil se couche et, dans ces dernières secondes de jours, nous nous donnâmes rendez vous le lendemain. Pour tout vous dire, pour moi, c’était un pur coup de foudre. Mais vous me traiterez sûrement là de pauvre idéaliste naïf et niais.
Nous ne mîmes pas longtemps à nous rendre compte que nos sentiments étaient réciproques et bientôt nous nous installâmes ensemble. Nous visitâmes le pays entier et je lui présentai comme mes parents le couple qui tenait l’orphelinat, désormais à la retraite. Après tout, c’était eux qui m’avaient élevé et qui m’avait fournis tout l’amour dont j’avais besoin. Elle, elle me dit que les siens étaient morts et c’est alors que je me rendis compte qu’on était sûrement plus semblable que je ne le croyais de prime abord. C’est a peu près à cette période qu’elle prit connaissance de ma notoriété au sein des grosses compagnies de constructions magiques.
En Octobre, je lui demandai sa main. Elle accepta mais demanda un délai avant le mariage. Je ne me souviens plus trop ce qu’elle me prétexta, moi j’étais beaucoup trop heureux pour écouter ce qui se passer sur Terre. Cassandra recommença à travailler à son école anglaise. Je l’enviais un peu.
En février, elle m’apprit qu’elle était enceinte. J’étais le plus heureux des hommes et je décidais alors, pour la ménager, d’aller vivre avec elle en Angleterre.
Nous l’avons appris aujourd’hui, c’est le très talentueux architecte magique Alan Ferry qui aura en charge la réhabilitation du quartier de Plomurf à Londres. Rappelons que ce dit quartier et aujourd’hui considérer comme l’un des quartiers sorciers les plus mal famé dans le monde magique.
✎ Tael
Dans la vraie vie, j'ai 22 ans. J'ai connu ce magnifique forum grâce à Cassandra Ledoux et je ferais de mon mieux pour être là 4 / 7 ! Si j'ai un double compte? non. Mon personnage est un scenar mais que j’ai volé avant qu’il ne soit publié en tant que tel. Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que ça me fait plaisir de reprendre le rp, ça faisait déjà bien longtemps que j’avais plus de forum sur lequel vivre T.T Aussi, ne m’en veuillez pas si le niveau à baissé . code règlement : Okay by Capri |
icônes © Tael
- InvitéInvité
Re: Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Mar 19 Avr 2011 - 23:24
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche =D
- InvitéInvité
Re: Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Mar 19 Avr 2011 - 23:31
Ohhh. Pauvre petit mari (a)
Bienvenue & Bon jeu!
Je te réserve DieuVivant (l) pendant 7 jours ;)
Bienvenue & Bon jeu!
Je te réserve DieuVivant (l) pendant 7 jours ;)
- InvitéInvité
Re: Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Mar 19 Avr 2011 - 23:33
Jude :hysteric: dommage qu'il perde ses cheveux :grandsyeux:
bref, c'est cool de voir Alan ici, même si je le voyais plus... blond X)
bienvenue (:
bref, c'est cool de voir Alan ici, même si je le voyais plus... blond X)
bienvenue (:
- InvitéInvité
Re: Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Mar 19 Avr 2011 - 23:35
D'un commun accord avec Cassie, on a pensé que Jude serait parfait pour le rôle (je crois que ses mots précis étaient "Classe :brille: ").
Enfin bref, merci beaucoup pour l'accueil :respect:
Enfin bref, merci beaucoup pour l'accueil :respect:
- InvitéInvité
Re: Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Mar 19 Avr 2011 - 23:36
même dans Sherlock Holmes avec sa belle moustache il est classe
bon courage pour ta fiche (l)
bon courage pour ta fiche (l)
- InvitéInvité
Re: Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Mer 20 Avr 2011 - 1:41
je me demanderais toujours pourquoi je suis la seule à la trouver passable, si ce n'est moche le Jude... Même ma mère craque sur lui *sbaf*
Bienvenue THE Alan. :D Bonne fiche (l)
Bienvenue THE Alan. :D Bonne fiche (l)
- InvitéInvité
Re: Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Mer 20 Avr 2011 - 4:59
Maxxie L. Ashtray a écrit: je me demanderais toujours pourquoi je suis la seule à la trouver passable, si ce n'est moche le Jude... Même ma mère craque sur lui *sbaf*
Bienvenue THE Alan. :D Bonne fiche (l)
NAN nan t'es pas seule, moi aussi je le trouve moche.
Il n'en demeure pas moins qu'il est rarement pris sur les forums et pour ça, mon ami, je te lève mon chapeau :)
Bienvenue sur hungcalf, et bonne continuation pour la fifiche :lust:
- InvitéInvité
Re: Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Mer 20 Avr 2011 - 10:07
Jude :brille: … *-*
Bienvenue à toi && bon courage pour ta fiche *-* … (je tiens quand même à dire : pauvre Alan … mais je sens que ça va être amusant de le voir joué :D)
Bienvenue à toi && bon courage pour ta fiche *-* … (je tiens quand même à dire : pauvre Alan … mais je sens que ça va être amusant de le voir joué :D)
- InvitéInvité
Re: Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Mer 20 Avr 2011 - 10:17
Bienvenue parmi nous ♥
- InvitéInvité
Re: Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Mer 20 Avr 2011 - 10:31
bienvenue! (l) à bientôt en rp!
- InvitéInvité
Re: Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Mer 20 Avr 2011 - 11:09
Alaaaaan :hysteric: Bienvenue monsieur et surtout bonne chance pour la suite, pauvre perso (aa)
- InvitéInvité
Re: Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Mer 20 Avr 2011 - 14:37
Bienvenue sexy Alan ! :brille: :inlove:
Si jamais t'as besoin de réconfort... j'suis là
* part avant de se faire taper par Cassie :haaaaa: :D *
Si jamais t'as besoin de réconfort... j'suis là
* part avant de se faire taper par Cassie :haaaaa: :D *
- InvitéInvité
Re: Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Mer 20 Avr 2011 - 15:14
Merci à tous ^^
Oui oui pauvre Alan mais bon, la vie n'est pas toujours toute rose et j'ai choisis ce perso tout en sachant ce qui se passait et ce qui allait arriver donc disons que j'ai la légère tendance à raffoler de personnages complètements tourmentés
Donc, je ferais au mieux
PS: encore un pan d'histoire écrit ce qui faire un peu plus de 50 % de fait déjà
Oui oui pauvre Alan mais bon, la vie n'est pas toujours toute rose et j'ai choisis ce perso tout en sachant ce qui se passait et ce qui allait arriver donc disons que j'ai la légère tendance à raffoler de personnages complètements tourmentés
Donc, je ferais au mieux
PS: encore un pan d'histoire écrit ce qui faire un peu plus de 50 % de fait déjà
- InvitéInvité
Re: Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Mer 20 Avr 2011 - 16:29
Han PUNAISE JUDE :brille: :hysteric: BIENVENUE
- InvitéInvité
Re: Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Mer 20 Avr 2011 - 17:14
Cher sorcier
Welcome in England !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
Enfin, le système de parrainage sorcier est à ta disposition à tout moment du jeu !
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : pour quelqu'un qui n'a pas rp depuis des lustres tu t'en sors magnifiquement bien, ta fiche se lit toute seule (l) M'est avis qu'on finira par se croiser en rp X')
Amuse-toi bien parmi nous ;)
- InvitéInvité
Re: Alan F. Ferry ♦ La Sorcellerie avec un peu de French Touch
Jeu 21 Avr 2011 - 11:15
Greg :brille:
J'adore ta fiche :baveuh: Je suis contente que tu aies accepté de prendre Alan, je sais que je peux compter sur toi pour le pourrir convenablement :huhu:
J't'aime tu sais ?
:cracrac:
(Emy, tu pourras t'en occuper quand je lui aurais brisé le coeur :grandsyeux: )
J'adore ta fiche :baveuh: Je suis contente que tu aies accepté de prendre Alan, je sais que je peux compter sur toi pour le pourrir convenablement :huhu:
J't'aime tu sais ?
:cracrac:
(Emy, tu pourras t'en occuper quand je lui aurais brisé le coeur :grandsyeux: )
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