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Ericsson ― The king of Limbs
Mer 4 Mai 2011 - 21:05
✤ Summerbee Salut !!! Moi c'est Niels Victor Ericsson, j'ai 20 ans, et je suis d'origine danoise & anglaise . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis libertin, mais aussi célibataire et issu d'une famille sang mêlé . A Hungcalf, j'ai choisi médicomagie, et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois de lierre, mesurant 25 centimètres, contenant un poil de Griffon et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de lynx. avatar applestorm || icônes going backward |
✎LANE
Dans la vraie vie, j'ai 21 ans. J'ai connu ce magnifique forum grâce à C'est mon ami Aristote qui m'en a parler et je ferais de mon mieux pour être là encore une fois, beaucoup trop souvent Si j'ai un double compte? non. Mon personnage est un personnage inventé. Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que les roux domineront le monde . code règlement : Ok By Emy alias Future Femme de Niels |
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Re: Ericsson ― The king of Limbs
Mer 4 Mai 2011 - 21:05
CHAPTER 1
" L'enfance est le trou noir où l'on a été précipité par ses parents et d'où l'on doit sortir sans aucune aide. Mais la plupart des gens n'arrivent pas à sortir de ce trou qu'est l'enfance, toute leur vie ils y sont, n'en sortent pas et sont amers. "
« Niels… ? Niels Ericsson ? » L’enseignante observe la classe, posant un regard maternel sur chacune des petites têtes de la classe. J’étais assis au fond de la classe, tout près de Juliet Reynolds. Vous savez, dans chaque classe, il y a toujours la petite mademoiselle je-sais-tout, celle qui se fait un malin plaisir pour vous rabaisser, parce que vous n’êtes pas le meilleur en mathématique ou en art. Oui, c’était ce genre de fille, Juliet. Le silence s’était installé dans la pièce alors que les autres enfants attendaient un signe de vie de ma part. J’étais installé, le regard rivé sur mes mains entrecroisées. Je pensais à ma maman, qui était partie en voyage, je pensais à mon papa qui buvait toujours depuis que maman était partie, je pensais que j’étais différent de tous les autres gamins de la classe. « Il est trop concentré à compter le nombre de doigts qu’il a… » Un rire cristallin, Juliet se tient fière sur sa chaise, elle m’observe alors que je sors finalement des limbes de mes pensées d’enfant. L’enseignante esquisse un sourire sincère et poursuit l’appel. Je fronce les sourcils en direction de Reynolds, qui répond d’un ton empreint d’un sarcasme flagrant lors de son appel. « Bravo Niels, je croyais que tous les roux étaient stupides, mais toi tu viens de battre un record ! » murmura t’elle, en pointant l’étiquette de mon gilet qui se trouvait à l’avant de mon chandail. D’une moue insatisfaite, je ne pouvais que lui donner raison, m’enfermant alors dans mon mutisme naturel, les épaules vers l’intérieur et le regard rivé vers mon pupitre de bois. L’enfant est l’être le plus méchant sur terre, celui qui à le moins de pitié, qui n’hésitera pas à frapper, humilier ses pairs parce qu’il est différent. L’enfant frappe là où ça fait mal. Moi j’étais différent, j’étais la tête de turc de ma classe, de l’école. « Hey tête de citrouille! » Ces attaques étaient toujours menées par la même personne, cette ville petite blonde qui avait décidé de me prendre pour cible. Reynolds. À chaque soir, en revenant à la maison, j’éclatais en larme dans les bras de mon père, prononçant à chaque fois les mêmes mots. « Je ne veux plus être un enfant. » Je n’étais pas qu’un simple enfant, j’étais le fils d’une sorcière, le fils d’une mère absente parce qu’elle était toujours en mission pour sauver le monde, pour aider une société que je ne connaissais pas, une société qui n’étais pas la mienne, un univers qui m’étais encore inconnu, un monde fermé à clé par mon père.
Les femmes parcellent nos vies, elles partagent les plus beaux instants, les douleurs les plus vives. Pourtant, la seule femme de notre vie est celle qui nous quitte toujours trop tôt. Ma maman, elle était toujours absente, elle ne revenait à la maison que l’espace d’un ou deux mois. Parce qu’elle sauvait les gens qu’elle me disait. Elle combattait la magie noire. Pour moi, ma mère était la femme la plus courageuse du monde, parce qu’elle nous gardait en sécurité, mon père et moi. Mais ce n’est que plus tard qu’on apprend que, lorsqu’on tente d’aseptiser, de sécuriser tout autour de soi, qu’on est incapable de se défendre contre les embuches de la vie, contre toute sa haine qu’elle déverse. Jusqu’à mes onze ans, j’ai vécu dans ce cocon. Protégé par mon père, mon père trop présent, trop peureux, trop perdu face à une réalité qui lui était inconnu. Il allait me jeter dans une fausse encore plus terrible que l’école primaire. L’adolescence.
CHAPTER 2
" La maladie de l'adolescence est de ne pas savoir ce que l'on veut et de le vouloir cependant à tout prix. "
J’étais le seul enfant du quartier qui, pour ses onze ans, eu reçu en guise de présent, un hibou sur le pas de sa porte. J’étais le seul enfant qui comme cadeau d’anniversaire recevait une lettre d’admission à la plus grande école de sorcellerie de Grande-Bretagne. Ma mère m’en avait souvent parlé, elle m’avait mit au courant de tout ce qui m’attendait pour le futur. Elle m’avait parlé de Poudlard, des balais, du Quidditch, d’Ollivanders… Mais tout ça était vague, onirique. Dans mon regard d’enfant, tout ça s’apparentait à un rêve, un conte que l’on raconte aux enfants pour les endormir. Mais le jour où ma mère m’emmena sur cette allée où tout est devenu réel. Les boutiques, remplit d’artéfacts magiques, l’achat de mes premières robes de sorciers, de mes premiers livres, de mon premier balai. À chaque pas, cette réalité semblait se construire de plus en plus. J’étais un gamin qui découvrait l’univers auquel il appartenait vraiment. Poudlard allait devenir mon monde à moi. J’abandonnai mon père, ma mère, pour me rendre vers l’inconnu, à bord de ce train qui traversait les collines écossaises pour nous mener vers cet impressionnant château qui allait devenir notre maison pour les sept prochaines années. J’étais fébrile face à toute cette nouveauté. J’étais prêt. Prêt à suivre les traces de ma mère, prêt à devenir un sorcier.
« Pourquoi tu es assis sur une branche ? » Je secouai légèrement la tête, replaçant ma tignasse rousse hors de ma vue. La petite qui se tenait devant moi m’observait avec un regard malin, une bouille unique qui, même si je l’ignorais encore à ce moment, allait marquer profondément ma vie. J’esquissai un timide sourire, avant de reposer mon regard sur mes pieds qui se balançait dans le vide avant d’hausser les épaules. « Je me cache. » Elle m’observa, fronça légèrement les sourcils, insatisfaite de ma réponse. « Tu te caches de quoi, au juste ? » J’haussai de nouveau les épaules, avant de marmonner une brève réponse. « Je me cache de Phillips, il veut voler mes chocogrenouilles. » Elle éclata de rire, un rire franc, un rire qui me fit chaud au cœur, qui me fit réaliser à quel point je n’avais pas à avoir peur des autres. « Tu peux grimper, on partagera le chocolat. » Un mince sourire sur mes lèvres se dessina, alors que je me glissai légèrement sur la branche pour lui faire une place. Les rencontres les plus marquantes se font souvent des les moments les plus inattendus, mais pourtant, les souvenirs qu’elles forgent, les liens qu’elles créent, nous définissent en tant qu’individus. À onze ans, je n’avais aucune idée de l’impact qu’allait provoquer ce partage de chocolat. « Hum… Comment tu t’appelles? » Risquais-je timidement alors que je lui tendais un bout de chocolat. « Eurydice et toi? » J’apportai un morceau de chocolat à mes lèvres avant de balancer de nouveau mes jambes dans le vide. « Niels. »
« Encore la tête dans les bouquins ? » Sa voix, désormais familière, se glissa jusqu’à mes oreilles, alors que je me tenais devant un bout de parchemin vide et une pile de bouquin. Je relevai finalement la tête vers Eurydice, qui se tenait devant moi, un sourire en coin accroché à ses lèvres. « Hey… On n’est pas tous aussi doué que toi en potion… Je galère pour avoir un Acceptable dans mon bulletin… » Ma moue se transforma finalement en sourire alors que je déposai finalement ma plume sur le bureau. « Tu devrais quand même sortir un peu, t’es aussi blanc que les fantômes du château… » J’observais Eurydice, un sourire narquois au visage. « Je suis roux, j’ai le teint blanc à longueur d’année. » Pourtant, je suivis le conseil de mon amie, refermant mes livres avant de glisser le tout dans mon sac, je sortis en sa compagnie pour profiter de l’air printanier du parc. Nous devions avoir quatorze ans, si je me souviens bien, notre amitié s’était forgée depuis notre première rencontre, nous avions nagés contre vent et marée, mais depuis quelque temps, je sentais mon amie plus distante, coincée dans ses pensées. « T’es sûr que ça va Eury… ? » Je marchais, la tête baissée en direction de mes souliers usés. Je savais bien la réponse à cette question, puisque depuis les derniers jours, elle n’avait qu’un mot sur les lèvres… « C’est James… » Me mordillant l’intérieur de la joue, d’une façon machinale, je posai mon regard bleuté sur mon amie, observant ses joue rougies, son sourire discret. Ça me crevait le cœur, vraiment. La voir ainsi, papillonnant pour un Lufkin, pour un autre, ça me rongeait de l’intérieur. Parce que j’avais peur de la perdre. De perdre ce lien qui nous unissait. J’avais tellement peur de la perdre que c’était moi qui allait partir. « hmm… Mouais, Badgley, c’est ça? Il a l’air sympa. » Fouillant à l’intérieur de mon veston afin de trouver une cigarette qui allait masquer mon désarroi face à mon amie, j’allumai mon allié avant de retourner à l’observation de mes deux pieds maladroits. « J’veux dire, tu dois foncer, Eury… S’il t’intéresse vraiment, faut aller lui parler. » Le soleil discret laissait place à une légère brise, un vent d’Écosse, frais et pénétrant. Je pris finalement la main d’Eurydice, simple geste que nous avions l’habitude de faire lorsque nous étions tous les deux. Elle resta silencieuse, comme une muse éprise d’une douce mélodie, elle était pensive comme toujours. Et moi, je serrais une main qui n’était plus la mienne, une main qui disparaissait lentement dans les bras du grand Lufkin.
« Sérieusement ? Tu viens faire la jalouse? Putain, Eury, après tout ça… Tu viens vraiment piquer une crise parce que j’ai couché avec une fille ? » Je croisai les bras, observant d’un air hautain, celle que je considérais comme ma meilleure amie. « Vas te faire foutre Ericsson ! C’est pas qu’une fille, c’est ma meilleure amie ! » Nous savions tous les deux pourquoi, lors d’une nuit d’ivresse, j’avais fini avec Leah dans mon lit, elle le savait trop bien et elle savait aussi qu’elle avait la réaction que j’attendais d’elle. « Vas te faire foutre toi-même Storm ! J’endure ta putain de lune de miel avec l’autre depuis longtemps… Ne viens pas faire chier parce que je me suis amusé, une nuit, complètement bourré! » Je posai un regard sévère sur Eurydice, qui me le rendit avec brio. C’était une guerre de tranchée, une guerre de mot, une guerre qui n’allait jamais finir. « Tu sais quoi, j’en ai marre. Toi tu fais ce que tu veux, tu papillonnes, tu t’amuse avec l’autre con, mais quand il s’agit de moi, t’arrives pas à accepter que je puisse voir d’autres filles… J’en ai marre, marre de tout ça. » Dans son regard, je pouvais voir toute la tristesse du monde, comme si je venais de tuer sa petite sœur devant ses yeux. Comme si je venais de lui arracher le cœur de mes deux mains, pour l’écraser par la suite. Et ça faisait mal, tellement mal, mais c’était une douleur nécessaire, inévitable. Je savais que j’allais devoir y mettre un terme, un jour où l’autre. C’était la fin de nos études à Poudlard. C’était la fin d’une époque, la fin d’une amitié. Avec le recul, je m’en veux terriblement de l’avoir abandonné sous l’arbre qui avait abrité toute notre amitié. « À partir de maintenant, tu fais ce que tu veux, je m’en fous. Vis ta vie, je vais vivre la mienne. » Et sur ses dernières paroles, je tournai les talons, détachant mon regard d’Eurydice pour retourner vers le château. Chaque pas qui m’éloignait de la seule femme qui avait partagé ma vie, me meurtrissait de l’intérieur, je sentais la chaleur disparaitre, je sentais la douleur transpercer chaque pore de ma peau. C’était une fin que je n’arrivais pas à m’imaginer, une fin aussi violente qu’un adieu. Je voulais me retourner, je voulais revoir son visage, mais il ne fallait pas. Il fallait passer à autre chose, car nous étions condamnés à trop nous aimer pour n’être que des amis, mais à en aimer un autre. Nous étions damnés et la fin était la seule fatalité possible.
CHAPTER 3
" La jeune génération n'est ni plus ni moins libre ou amorale que les générations qui l'on précédée. Seulement, elle néglige, elle, de tirer les rideaux. "
« Putain, ses séances de révisions sont géniales ! » J’esquisse un sourire niais alors que glisse entre mes doigts, ce petit rouleau de papier. J’apporte le joint à mes lèvres, reposant mon regard sur le livre ouvert devant moi. Lecture que j’avais abandonnée depuis bientôt une heure au profit de la petite herbe magique et d’un grand verre de Whisky pur feu. « Ericsson, passe-moi la bouteille. » J’observe alternativement la bouteille et Noah, bien installé dans son canapé. Après un long moment d’hésitation, parsemé de fou rire, je finis par lui tendre la bouteille. « T’sais quoi Noah ? Putain que j’aime cette ville… » Je lève mon verre à l’adresse de mon ami, puis poursuit mon monologue. « À notre génération d’éclopé qui se réfugie sous la coupe d’un petit bourg… Norwich c’est un teenage wastleland » Il m’observe, incertain, avant de tendre son verre et de le cogner contre le mien. « Ouais, mais on est plus à Poudlard là Niels… C’est ton avenir que t’as entre les mains… » Son ton se voulait sérieux, presque sévère alors que je m’esclaffais de nouveau, observant le joint que je tenais entre mes mains. « Ouais… Mon avenir. » Je détestais l’attitude de Noah par moment, trop lucide, trop sérieux, trop adulte. Au bout d’un moment de silence, je finis par me lever, écraser le joint dans le cendrier et vider le reste de Whisky qui flottait dans mon verre. « Bon, allez, je retourne chez moi, j’ai cours demain matin. » Noah m’observe, son regard est empreint d’une inquiétude paternelle. Il se lève à son tour, alors que je titubais à la recherche de mon manteau. « T’es sûr que tu ne veux pas pieuter ici ce soir, t’as pas l’air en état de rentrer chez toi… » Je me bombe le torse, avant de m’esclaffer. « J’suis parfaitement apte à rentrer chez moi, t’inquiète. » Le vent de mars contrastait avec la chaleur de l’appartement de Noah. Resserrant mon manteau, je descendis difficilement les quelques marches qui me séparait du sol. Les rues de Norwich étaient vides, fantomatiques en cette nuit de mars, tous les gens avaient retrouvés leurs chaumières et les quelques âmes en peine qui erraient à cette heure recherchaient désespérément un peu de chaleur. Je marchai de ruelle en ruelle, pour finalement tombé sur quelques oiseaux nocturnes comme moi. Ils étaient trois et semblaient discuter d’un pari qu’ils venaient de faire. « Hey! » Lançais-je d’une voix maladroite. « Vous auriez pas un peu de feu ? » L’un des hommes se retourne vers moi, apportant sa cigarette à ses lèvres. « Fous le camp, tête de citrouille, t’as rien à faire ici… » En temps normal, j’aurais suivis le conseil de l’homme, mais complètement bourré, il m’arrivait souvent d’en dire plus que je devrais. « Fuck you… J’veux juste des allumettes, c’est tout. » Alors que je m’apprêtais à reprendre mon chemin, l’homme s’approcha de moi, un sourire presque sadique aux lèvres. « T’as intérêt à la boucler petit con, tu ne sais pas à qui tu as affaire. » Je fronce les sourcils, ne bougeant pas d’un poil alors que l’homme se tenait devant moi. « Je t’emmerde le vieux. » Et à peine ses mots eurent traversés ma gorge que la baguette de l’homme se tenait contre celle-ci. Je reculai d’un pas, puis un autre, pour finalement m’appuyer contre le mur de brique. « Tu vas payer ton insolence, petit con. » Les deux acolytes s’approchèrent de moi pour m’infliger une série de coup. J’étais encore trop bourré pour vraiment ressentir la douleur, pour réaliser à que le sang sur la neige était le mien. J’étais anesthésié par la douleur, par la peur, par une réalité terrifiante qui venait de s’offrir à moi. Je me réveillai le lendemain, dans une chambre d’hôpital, le visage enflée, une migraine incroyable et l’épaule disloquée. Mais les blessures les plus profondes, les plus ancrées, elles étaient dans mon âme, et ses blessures me transformèrent lentement en monstre, en une bête sadique et égoïste.
" MEA CULPA "
La vie nous apporte un bon nombre d’épreuves, de défis à relever, de montagnes à franchir. La vie n’épargne personne. On finit par s’attacher à ceux qui nous ressemblent, un troupeau de brebis perdues. On se détruit de peur d’avoir mal, on calme nos torpeurs dans l’alcool, la drogue, le sexe. Jusqu’à ce qu’on se rende compte que tout ça, ce n’est rien, ça n’existe pas, que seule la douleur est réelle. J’ai toujours tout pris à la légère, on me l’a souvent reproché, on m’a souvent reproché de ne pas réaliser l’ampleur de me geste. Tout ce qu’il me reste à faire, c’est de me pardonner mon temps perdu. Je mérite ma solitude, je mérite cette douleur interne depuis l’attaque, je mérite ma douleur, ma souffrance. J’ai abandonné ma meilleure amie alors qu’elle avait besoin de moi. J’ai tout foutu en l’air parce que j’étais trop paresseux pour faire les efforts. Oui, j’étais un putain de connard, un connard enfermé dans sa tour de solitude. Jusqu’à un jour de printemps où cette vie a décidé de m’offrir une seconde chance, une chance de me faire pardonner. Alors que j’étais en cours de sortilège, profitant de la pause pour aller fumer une clope, j’entendis ces quelques mots qui allaient se graver en moi. « T’as entendu… Leah Miles est décédée… Ouais, genre, quelques mois après son mari… La rumeur cours qu’elle se serait suicidée… » La meilleure amie d’Eurydice. Ma gorge se serra. J’avais passé mon adolescence en sa compagnie, j’avais partagé beaucoup plus que je ne l’aurais voulu, mais la mort de Leah me laissa un goût amer en bouche. Alors je fis ce que j’avais à faire, affronter les vieux démons du passé. On dit que notre histoire ne commence que lorsqu’on est face à soi-même. Mon histoire commençait ici. Eurydice et moi n’étions plus les enfants qui, jadis, se balançaient sur une branche d’arbre en partageant un morceau de chocolat. Nous étions devenus deux épaves écorchées par une vie d’excès. Ma vie commençait là, devant le cercueil d’une femme. Devant la mort. Ma vie commençait à cet instant où tout semble réduit à néant.
- InvitéInvité
Re: Ericsson ― The king of Limbs
Mer 4 Mai 2011 - 21:08
DAMNED ! Rupert :brille:
Re-Bienvenue sur le forum poképulsif d'amour (l)
Re-Bienvenue sur le forum poképulsif d'amour (l)
- InvitéInvité
Re: Ericsson ― The king of Limbs
Mer 4 Mai 2011 - 21:09
Niels + Roux ( loooove ) + Summerbee = Oulala mon beau, on va devoir avoir un lien de la mort toi et moi :baveuh:
Bienvenueeeeeeee (l)
Bienvenueeeeeeee (l)
- InvitéInvité
Re: Ericsson ― The king of Limbs
Mer 4 Mai 2011 - 21:10
:grandsyeux: Liam va me manquer en plus j'ai même pas eu l'occasion de rp avec :pleure: Enfin bonne chance pour ton nouveau perso (l) J'suis certaine qu'il sera génial :brille:
- InvitéInvité
Re: Ericsson ― The king of Limbs
Mer 4 Mai 2011 - 21:14
ROUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUX :brille: bonne fiche (l)
- InvitéInvité
Re: Ericsson ― The king of Limbs
Mer 4 Mai 2011 - 21:17
Les roux gèrent
Merci mes gazelles :inlove:
Merci mes gazelles :inlove:
- InvitéInvité
Re: Ericsson ― The king of Limbs
Mer 4 Mai 2011 - 21:36
Oh oui, marions nous :inlove: On sera voisin du prince Harry et on prendra le thé avec lui
Merciii Lüx :brille:
Merciii Lüx :brille:
- InvitéInvité
Re: Ericsson ― The king of Limbs
Mer 4 Mai 2011 - 22:21
RUPERT ! :haaaaa: UN SUMMERBEE ! :hysteric:
re-Bienvenue ! :D (l)
peut être que les summerbee vont finir par dominer le monde ....
re-Bienvenue ! :D (l)
peut être que les summerbee vont finir par dominer le monde ....
- InvitéInvité
Re: Ericsson ― The king of Limbs
Mer 4 Mai 2011 - 22:26
Chatoon Cest avec. Moiii que tu vas te marier et pour de bon et cest obligatoire et t'as pas le chooooix :brille: :inlove: :cracrac:
- InvitéInvité
Re: Ericsson ― The king of Limbs
Mer 4 Mai 2011 - 23:59
rupert Mon acteur préféré d'HP après Rpattz
rebienvenue (l)
rebienvenue (l)
- InvitéInvité
Re: Ericsson ― The king of Limbs
Jeu 5 Mai 2011 - 6:59
oh tu changes de perso' :grandsyeux:
en tout cas re-bienvenue mon chaton :brille: :inlove: :cracrac: roux + summerbee = il nous faudra un lien qui tue tout de toute façon :baveuh:
en tout cas re-bienvenue mon chaton :brille: :inlove: :cracrac: roux + summerbee = il nous faudra un lien qui tue tout de toute façon :baveuh:
- InvitéInvité
Re: Ericsson ― The king of Limbs
Jeu 5 Mai 2011 - 11:14
Rupert t'es reservé pour 7 jours !
Bon courage pour ta fiche :)
Bon courage pour ta fiche :)
- InvitéInvité
Re: Ericsson ― The king of Limbs
Jeu 5 Mai 2011 - 16:38
Cher étudiant
Félicitations, tu es admis(e) à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
Enfin, le système de parrainage sorcier est à ta disposition à tout moment du jeu !
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : J'ai tout bonnement A-DO-RÉ (mi fa sol la si do XD)
Une fiche magnifique !
- InvitéInvité
Re: Ericsson ― The king of Limbs
Jeu 5 Mai 2011 - 16:56
un grand merci mon chaton :hug:
Je suis content que t'ai apprécié ma fiche :brille:
Je suis content que t'ai apprécié ma fiche :brille:
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