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Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 1:22
✤ Wright Salut ! Je m’appelle Sara Hepburn, j'ai 20 ans, et je suis d'origines anglaises . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis bisexuelle, mais aussi, et heureusement, célibataire et issue d'une famille de sorciers. A Hungcalf, j'ai choisi Botanique et maîtrise de la faune, et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en en bouleau contenant une écaille de sirène et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de pie. avatar © NEMESIS. || icônes © Belikovs |
Un pied de taille moyenne, chaussé d’une bottine à semelle plate un peu usée, se pose fermement sur le sol orné d’un parquet doré et brillant. Un autre suit, et le son claquant qui accompagne ce geste montre une assurance certaine, une détermination infaillible. Ces deux pieds se prolongent en une paire de jambes fines, qui auraient sans doute l’air trop maigre sans le pantalon en jean qui les couvre. Des genoux cagneux se cachent derrière ce morceau de tissu, ainsi que des hanches sans doute elles aussi trop osseuses et pas assez arrondies pour une jeune femme de cet âge. Un simple tee-shirt noir, un peu trop long, accompagne cette tenue dénuée de la moindre extravagance. La main de la demoiselle se pose sur la poignée de la grande porte blanche qu'elle clôt ainsi, d’un simple mouvement de son bras blanc qui prive alors tout accès à la sombre pièce dans laquelle elle vient de pénétrer. Son regard céruléen, plus profond encore que le bleu de la mer, mais sans doute aussi moins vivant, balaie la salle, froidement, ses paupières ne clignant pas et ses pupilles ne s’arrêtant sur aucun détail. Elle ne semble pas faire de différence entre l’armoire, la fenêtre, ou l’homme assis, qui l’observe patiemment. Un léger maquillage ombreux vient ajouter un aspect troublant à ces yeux imperturbables qui décident finalement de stopper leur course sur un fauteuil de cuir, en face d’un bureau en bois verni. D’un geste las, sa longue main vient replacer une mèche de ses cheveux châtains derrière son oreille, puis se glisse dans la poche étroite du pantalon, pendant que son nez légèrement retroussé, parsemé de discrètes tâches de rousseur, respire l’air de cette pièce comme pour s’en imprégner à jamais. Ses lèvres roses se retroussent en un léger sourire en coin, ce sourire insupportable de celles qui savent déjà tout ce qui va arriver, comment elles se feront aimer et détester en même temps par leur public.
✎...S. H.
Dans la vraie vie, j'ai 18 ans. J'ai connu ce magnifique forum grâce à Loulouve et je ferais de mon mieux pour être là 5 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? nope ! . Mon personnage est un perso inventé. Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire graou. code règlement :lOKBYCALLIE |
icônes © by Starlight ☆
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Re: Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 1:33
Comment était votre enfance, Sara ?
« Aujourd’hui j’ai rencontré une fille, à l’école. Sara, elle s’appelle. Elle est gentille, on a joué ensemble à la récréation, et elle m’a dit qu’elle venait d’emménager ici avec sa maman et son papa, mais j’ai vu que sa maman à la sortie de l’école. De toute façon, il paraît que son père il est pas souvent là, parce qu’il travaille. J’aimerais pas ça, moi, que mon papa il préfère travailler plutôt que de me voir… Mais elle m’a dit que ça la dérange pas, elle m’a même dit que de toute façon, elle lui parle presque pas à son père. Je trouve ça bizarre aussi, mais j’ai rien dit, parce qu’elle est nouvelle et la maîtresse a dit qu’il fallait être gentil avec elle. Mais elle est quand même super bizarre ! Elle sourit pas beaucoup mais elle a été gentille avec moi, elle m’a dit qu’elle aimait bien mon bracelet. D’ailleurs, je le trouve plus… »
Ornella Smith, 5 ans.
Au début, je n’aimais pas trop cette nouvelle ville, cette nouvelle maison, cette nouvelle école. Et puis finalement, je m’y suis faite, comme toujours. J’étais jeune, je m’adaptais facilement au changement, et il faut dire que ma vie était beaucoup plus simple à l’époque. Evidemment, je me demandais pourquoi mon père n’était à la maison qu’un ou deux soirs par semaine, mais c’était un médicomage, alors je comprenais qu’il ait des urgences. De toute façon, je préférais être toute seule avec ma mère. Quand il était là, je ne la voyais presque pas, elle était tellement occupée à s’affairer pour lui faire plaisir… Donc, je disais, je venais d’emménager dans cette toute petite ville, qui me changeait vraiment de Londres, où j’avais un groupe d’amis, où tout le monde dans le quartier me connaissait, mais où je pouvais aisément me perdre et découvrir sans cesse de nouveaux endroits, tous plus fascinants les uns que les autres. Au départ, j’ai beaucoup fait la gueule, j’en voulais à ma mère d’avoir emménagé ici, et elle ne voulait pas m’expliquer ses raisons. J’ai compris bien plus tard que c’était juste pour se rapprocher de mon père. Finalement, au bout de quelques mois, j’avais repris mes habitudes, je m’étais fait quelques amis et m’amusais à impressionner les moldus du coin avec mes prouesses, dans lesquelles ils cherchaient toujours un « truc ». Evidemment, je savais que j’étais une sorcière, ma mère ne me l’avait pas caché, et elle et mon père avaient tous les deux fait leurs études à Poudlard, dont j’espérais recevoir une lettre au plus vite. C’est finalement arrivé, et j’ai dit au revoir à mes petits camarades, annonçant que je m’en allais dans une grande école prestigieuse et fictive au nom imprononçable, pour étudier des choses dont ils n’avaient même pas idée. Ce n’était pas réellement un mensonge, bien sûr, je ne pouvais pas leur dire ce que j’allais faire à Poudlard, et de toute façon, ils m’auraient certainement prise pour une folle ! Si ce n’était pas déjà le cas.
Ornella Smith, 5 ans.
Au début, je n’aimais pas trop cette nouvelle ville, cette nouvelle maison, cette nouvelle école. Et puis finalement, je m’y suis faite, comme toujours. J’étais jeune, je m’adaptais facilement au changement, et il faut dire que ma vie était beaucoup plus simple à l’époque. Evidemment, je me demandais pourquoi mon père n’était à la maison qu’un ou deux soirs par semaine, mais c’était un médicomage, alors je comprenais qu’il ait des urgences. De toute façon, je préférais être toute seule avec ma mère. Quand il était là, je ne la voyais presque pas, elle était tellement occupée à s’affairer pour lui faire plaisir… Donc, je disais, je venais d’emménager dans cette toute petite ville, qui me changeait vraiment de Londres, où j’avais un groupe d’amis, où tout le monde dans le quartier me connaissait, mais où je pouvais aisément me perdre et découvrir sans cesse de nouveaux endroits, tous plus fascinants les uns que les autres. Au départ, j’ai beaucoup fait la gueule, j’en voulais à ma mère d’avoir emménagé ici, et elle ne voulait pas m’expliquer ses raisons. J’ai compris bien plus tard que c’était juste pour se rapprocher de mon père. Finalement, au bout de quelques mois, j’avais repris mes habitudes, je m’étais fait quelques amis et m’amusais à impressionner les moldus du coin avec mes prouesses, dans lesquelles ils cherchaient toujours un « truc ». Evidemment, je savais que j’étais une sorcière, ma mère ne me l’avait pas caché, et elle et mon père avaient tous les deux fait leurs études à Poudlard, dont j’espérais recevoir une lettre au plus vite. C’est finalement arrivé, et j’ai dit au revoir à mes petits camarades, annonçant que je m’en allais dans une grande école prestigieuse et fictive au nom imprononçable, pour étudier des choses dont ils n’avaient même pas idée. Ce n’était pas réellement un mensonge, bien sûr, je ne pouvais pas leur dire ce que j’allais faire à Poudlard, et de toute façon, ils m’auraient certainement prise pour une folle ! Si ce n’était pas déjà le cas.
Et Poudlard, comment c’était ?
« Bien sûr que je sais qui est Sara Hepburn, on peut pas vraiment la louper. Tout le monde en parle, surtout les gars d’ailleurs. C’est bizarre, en fait… Elle est à Serdaigle, et elle correspond bien à la maison, y a pas de problème pour ça ! On la voit souvent à la bibliothèque, et il paraît qu’elle a souvent des O ou des A, donc c’est pas étonnant qu’elle soit là-bas… C’est une fille sérieuse, qui est toute sage il paraît. Mais je sais pas, y a un truc qui cloche j’ai l’impression. Un jour, elle m’a regardé avec des yeux qui voulaient tout dire. Enfin je vous dirai pas quoi, vous voyez bien quoi. Ca a duré deux secondes, et après, elle s’était replongée dans son bouquin. Il paraît que c’est arrivé qu’elle fasse ça à d’autres, ce petit regard de « je sais ce que tu aimerais bien que je te fasse ». Bah oui, parce que bon, c’est vrai qu’elle est sacrément jolie. Enfin bref. Je sais pas vraiment quoi penser de cette fille, mais je pense que si elle travaille autant, c’est certainement pas parce qu’elle est heureuse et comblée ! »
Tom Reeves, 15 ans, Poufsouffle.
A Poudlard, jusqu’à mes 15 ans bien sûr, tout se passait bien. Les profs m’aimaient bien parce que j’étais jolie et intelligente, les autres élèves de Serdaigle m’appréciaient car j’acceptais toujours de partager une discussion sur des sujets plus inintéressants les uns que les autres, et les garçons pré-pubères pensaient à moi avant de s’endormir le soir. Je m’amusais d’ailleurs souvent à les titiller un peu, en leur lançant un regard un peu lascif, un peu provocant, qui ne durait pas longtemps et aurait très bien pu être un effet de leur imagination. Mais je ne me donnais pas, je me contentais de m’amuser un peu de ce jeu innocent qui n’avait aucune conséquence. C’est au début de l’été entre ma quatrième et ma cinquième année que tout a basculé. Mon père, ce lâche, m’a envoyé une lettre à la fin du mois de juin, quelques jours avant que je rentre à la maison pour les vacances. Tenez, si vous voulez la voir, je l’ai apportée avec moi…
Chère Sara,
J’ai aujourd’hui quelque chose à t’annoncer qui risque fortement de te choquer, alors, s’il te plaît, prend une chaise et assied-toi. Tout d’abord, je voudrais que tu saches que je t’aime comme ma fille, et de toute façon, tu es ma fille. Mais ça, tu le sais déjà, j’espère. Bref, je ne sais pas vraiment par où commencer.
Avant ta naissance, j’étais marié, mais ce n’était pas avec ta mère. J’ai eu un enfant avec cette autre femme, une fille, qui est née un an avant toi. Bien sûr, j’aimais déjà ta mère et lorsque cette petite fille a vu le jour, tu étais déjà en route. Cet enfant est donc née, et je n’ai pas pu tout de suite aller vivre avec ta mère et toi, je n’avais pas le courage de tout laisser tomber. Ce n’est que lorsque tu as eu cinq ans que je me suis décidée à quitter cette autre femme, et je suis venue vivre avec vous pour de vrai. Je ne sais pas si tu t’en souviens un peu, mais ne t’inquiète pas, je ne suis pas un lâche, j’ai continué à voir Lou-Virginia, mon autre fille, qui est aussi à Poudlard, peut-être la connais-tu, mais simplement je n’avais pas le courage de te le dire. Maintenant, mon ex-femme est gravement malade, et ses jours sont comptés, je veux donc t’annoncer qu’il y a de fortes chances que Lou-Virginia vienne vivre avec nous à la maison.
Je t’embrasse,
Papa.
Je suppose que vous êtes d’accord avec moi. Il est vraiment gonflé. Sur le moment, je me suis sentie mal, et j’ai déchiré la lettre. Je l’ai réparée seulement quelques jours après avec un sort, mais vous n’imaginez pas combien je lui en voulais. Il m’avait caché tout ça. Il appelait la mère de Louve « l’autre femme ». Ce n’était pas elle, c’était ma mère, l’autre femme. Celle qui avait brisé une famille. Et moi, j’étais le fruit de cet amour interdit, j’en étais la concrétisation, je suis celle qui a ruiné l’enfance d’une autre fille. Jamais je ne me le pardonnerai. Je devenais l’intruse, comme une tâche sur une jolie photo de famille. Finalement, la mère de Louve est morte, et j’ai pu rencontrer ma demi-sœur à l’enterrement. C’était vraiment étrange. J’avais l’impression de voir le portrait craché de mon père et je suis sûre qu’elle s’est dit la même chose. Je l’avais déjà croisée à Poudlard évidemment, mais nous n’avions jamais parlé ni échangé un réel regard, et je n’avais pas remarqué à quel point nous nous ressemblions. Elle ne m’a pas dit un mot ce jour là, elle ne pleurait pas et ne regardait personne, fixant simplement le cercueil de sa mère, enfoui quelques mètres plus bas, en train de se faire recouvrir de petits tas de terre. Moi, je n’ai pas pu détacher mon regard de son visage, essayant de me souvenir de ce qu’on avait pu me dire à propos d’elle à Poudlard. Je savais simplement qu’elle était à Gryffondor, sinon, rien. Je me demandais même s’il était possible de connaître aussi peu de choses à propos de quelqu’un de sa propre école, de sa propre famille. Elle est venue vivre à la maison, et il faut dire qu’elle ne s’entendait pas vraiment bien avec ma mère. Moi, je l’observais en cachette, admirant sa nonchalance, son « je-m’en-foutisme » permanant. Son attitude désinvolte me faisait rêver, et un soir, alors qu’elle faisait le mur pour la troisième fois de la semaine, j’ai décidé de la suivre. Je me suis retrouvée dans un night-club moldu, dans lequel j’ai pu entrer en me faufilant à travers un groupe de jeunes déjà ivres, qui glissèrent un billet au videur, sans doute habituer à fermer ses yeux sur leur âge, trop jeune de toute évidence. Dès que je suis entrée, un mec est venu me voir et m’a proposé une petite pilule rose, me promettant que je m’amuserais beaucoup plus. J’ai accepté, avec le désir plus ou moins secret de me faire remarquer, non seulement par Louve, mais aussi par les autres. Un peu plus tard, tout était flou autour de moi, les couleurs dansaient devant mes yeux. C’était absolument génial. Et puis, je ne sais pas à quelle heure la nuit, elle m’a vue danser au milieu de la piste, entourée de deux gars. Elle était vraiment énervée, me criait de rentrer, mais après pas mal de négociations, elle a accepté que je reste, à condition de rester pas trop loin d’elle. De toute façon, elle n’avait pas vraiment le choix. Sans que j’ai eu besoin de le dire, elle avait compris que si elle me forçait à rentrer à la maison, notre père serait au courant dès la première heure le lendemain de la façon dont Louve occupait ses nuits. Le marché était conclu. Enfin, je pouvais appartenir à son monde, rire et me défoncer avec elle. Ca a continué comme ça tout l’été. J’ai couché pour la première fois avec un gars, dans les toilettes de la boîte. Je ne me rappelle même pas son prénom, je sais juste qu’il avait de jolis yeux verts qui m’ont tout de suite fait craquer. Puis finalement, nous sommes retournées à Poudlard et là, elle était vraiment différente, sûrement une façon de faire le deuil de sa mère, je ne sais pas. Elle s’est enfermée dans le travail, passait tout son temps à bosser, tandis que je devenais moi aussi une autre. Je voulais être désirée par les autres, me sentir vivante et aimée.
Tom Reeves, 15 ans, Poufsouffle.
A Poudlard, jusqu’à mes 15 ans bien sûr, tout se passait bien. Les profs m’aimaient bien parce que j’étais jolie et intelligente, les autres élèves de Serdaigle m’appréciaient car j’acceptais toujours de partager une discussion sur des sujets plus inintéressants les uns que les autres, et les garçons pré-pubères pensaient à moi avant de s’endormir le soir. Je m’amusais d’ailleurs souvent à les titiller un peu, en leur lançant un regard un peu lascif, un peu provocant, qui ne durait pas longtemps et aurait très bien pu être un effet de leur imagination. Mais je ne me donnais pas, je me contentais de m’amuser un peu de ce jeu innocent qui n’avait aucune conséquence. C’est au début de l’été entre ma quatrième et ma cinquième année que tout a basculé. Mon père, ce lâche, m’a envoyé une lettre à la fin du mois de juin, quelques jours avant que je rentre à la maison pour les vacances. Tenez, si vous voulez la voir, je l’ai apportée avec moi…
Chère Sara,
J’ai aujourd’hui quelque chose à t’annoncer qui risque fortement de te choquer, alors, s’il te plaît, prend une chaise et assied-toi. Tout d’abord, je voudrais que tu saches que je t’aime comme ma fille, et de toute façon, tu es ma fille. Mais ça, tu le sais déjà, j’espère. Bref, je ne sais pas vraiment par où commencer.
Avant ta naissance, j’étais marié, mais ce n’était pas avec ta mère. J’ai eu un enfant avec cette autre femme, une fille, qui est née un an avant toi. Bien sûr, j’aimais déjà ta mère et lorsque cette petite fille a vu le jour, tu étais déjà en route. Cet enfant est donc née, et je n’ai pas pu tout de suite aller vivre avec ta mère et toi, je n’avais pas le courage de tout laisser tomber. Ce n’est que lorsque tu as eu cinq ans que je me suis décidée à quitter cette autre femme, et je suis venue vivre avec vous pour de vrai. Je ne sais pas si tu t’en souviens un peu, mais ne t’inquiète pas, je ne suis pas un lâche, j’ai continué à voir Lou-Virginia, mon autre fille, qui est aussi à Poudlard, peut-être la connais-tu, mais simplement je n’avais pas le courage de te le dire. Maintenant, mon ex-femme est gravement malade, et ses jours sont comptés, je veux donc t’annoncer qu’il y a de fortes chances que Lou-Virginia vienne vivre avec nous à la maison.
Je t’embrasse,
Papa.
Je suppose que vous êtes d’accord avec moi. Il est vraiment gonflé. Sur le moment, je me suis sentie mal, et j’ai déchiré la lettre. Je l’ai réparée seulement quelques jours après avec un sort, mais vous n’imaginez pas combien je lui en voulais. Il m’avait caché tout ça. Il appelait la mère de Louve « l’autre femme ». Ce n’était pas elle, c’était ma mère, l’autre femme. Celle qui avait brisé une famille. Et moi, j’étais le fruit de cet amour interdit, j’en étais la concrétisation, je suis celle qui a ruiné l’enfance d’une autre fille. Jamais je ne me le pardonnerai. Je devenais l’intruse, comme une tâche sur une jolie photo de famille. Finalement, la mère de Louve est morte, et j’ai pu rencontrer ma demi-sœur à l’enterrement. C’était vraiment étrange. J’avais l’impression de voir le portrait craché de mon père et je suis sûre qu’elle s’est dit la même chose. Je l’avais déjà croisée à Poudlard évidemment, mais nous n’avions jamais parlé ni échangé un réel regard, et je n’avais pas remarqué à quel point nous nous ressemblions. Elle ne m’a pas dit un mot ce jour là, elle ne pleurait pas et ne regardait personne, fixant simplement le cercueil de sa mère, enfoui quelques mètres plus bas, en train de se faire recouvrir de petits tas de terre. Moi, je n’ai pas pu détacher mon regard de son visage, essayant de me souvenir de ce qu’on avait pu me dire à propos d’elle à Poudlard. Je savais simplement qu’elle était à Gryffondor, sinon, rien. Je me demandais même s’il était possible de connaître aussi peu de choses à propos de quelqu’un de sa propre école, de sa propre famille. Elle est venue vivre à la maison, et il faut dire qu’elle ne s’entendait pas vraiment bien avec ma mère. Moi, je l’observais en cachette, admirant sa nonchalance, son « je-m’en-foutisme » permanant. Son attitude désinvolte me faisait rêver, et un soir, alors qu’elle faisait le mur pour la troisième fois de la semaine, j’ai décidé de la suivre. Je me suis retrouvée dans un night-club moldu, dans lequel j’ai pu entrer en me faufilant à travers un groupe de jeunes déjà ivres, qui glissèrent un billet au videur, sans doute habituer à fermer ses yeux sur leur âge, trop jeune de toute évidence. Dès que je suis entrée, un mec est venu me voir et m’a proposé une petite pilule rose, me promettant que je m’amuserais beaucoup plus. J’ai accepté, avec le désir plus ou moins secret de me faire remarquer, non seulement par Louve, mais aussi par les autres. Un peu plus tard, tout était flou autour de moi, les couleurs dansaient devant mes yeux. C’était absolument génial. Et puis, je ne sais pas à quelle heure la nuit, elle m’a vue danser au milieu de la piste, entourée de deux gars. Elle était vraiment énervée, me criait de rentrer, mais après pas mal de négociations, elle a accepté que je reste, à condition de rester pas trop loin d’elle. De toute façon, elle n’avait pas vraiment le choix. Sans que j’ai eu besoin de le dire, elle avait compris que si elle me forçait à rentrer à la maison, notre père serait au courant dès la première heure le lendemain de la façon dont Louve occupait ses nuits. Le marché était conclu. Enfin, je pouvais appartenir à son monde, rire et me défoncer avec elle. Ca a continué comme ça tout l’été. J’ai couché pour la première fois avec un gars, dans les toilettes de la boîte. Je ne me rappelle même pas son prénom, je sais juste qu’il avait de jolis yeux verts qui m’ont tout de suite fait craquer. Puis finalement, nous sommes retournées à Poudlard et là, elle était vraiment différente, sûrement une façon de faire le deuil de sa mère, je ne sais pas. Elle s’est enfermée dans le travail, passait tout son temps à bosser, tandis que je devenais moi aussi une autre. Je voulais être désirée par les autres, me sentir vivante et aimée.
Et la fin de vos études dans cette école ?
« Sara a beaucoup changé en un été. Je ne sais pas trop ce qui lui est arrivé, mais travaille beaucoup moins et ses notes baissent en conséquence… J’ai entendu des rumeurs qui disent qu’elle a couché avec Zach McNerth, mais il y en a d’autres qui disent que c’était avec Eliot Brown. Je ne sais pas trop s’il faut croire tout ça, en tout cas, je ne la reconnais pas. Je la vois encore de temps en temps, mais comparé à avant, ce n’est pas grand-chose… Elle me garantit qu’elle est toujours mon amie, mais je n’en ai pas tellement l’impression. Je ne sais pas ce qui s’est passé, elle m’a juste dit qu’il fallait la laisser faire ce qu’elle voulait, mais je crois que si j’étais vraiment son amie, elle me dirait ce qui a provoqué tout ça. Peut-être ne le sait-elle pas elle-même, je n’en sais rien, je ne sais vraiment pas quoi penser d’elle en ce moment. C’est peut-être juste une petite crise, j’espère en tout cas. Il ne faut pas qu’elle foute ses études en l’air, elle était vraiment bonne élève avant. »
Alice Hampton, 15 ans, Serdaigle.
Tout était différent à l’école. Mes amis me laissaient tomber, sous prétexte qu’ils ne me reconnaissaient plus, alors je m’en faisais d’autres, des Serpentards pour la plupart. Quand je suis entrée en septième année, Louve n’était plus là. Je me suis un peu ressaisie, scolairement parlant, et j’ai réussi à rattraper ce que j’avais un peu raté jusque là. J’ai eu des bonnes notes à mes ASPICS et je suis arrivée à Hungcalf, où j’ai été envoyée à Wright, ce qui me changeait de l’ambiance studieuse de Serdaigle. Pour le meilleur et pour le pire, comme on dit. Louve avait prit une année sabatique, du coup, on est arrivées en même temps. Elle n’a pas voulu me dire ce qu’elle avait fait de tout son temps libre, mais elle avait l’air changée. J’ignore encore tout de son été, mais je pense qu’elle ne l’a pas passé à étudier, si vous voyez ce que je veux dire. Tant pis, je me contente d’imaginer.
Alice Hampton, 15 ans, Serdaigle.
Tout était différent à l’école. Mes amis me laissaient tomber, sous prétexte qu’ils ne me reconnaissaient plus, alors je m’en faisais d’autres, des Serpentards pour la plupart. Quand je suis entrée en septième année, Louve n’était plus là. Je me suis un peu ressaisie, scolairement parlant, et j’ai réussi à rattraper ce que j’avais un peu raté jusque là. J’ai eu des bonnes notes à mes ASPICS et je suis arrivée à Hungcalf, où j’ai été envoyée à Wright, ce qui me changeait de l’ambiance studieuse de Serdaigle. Pour le meilleur et pour le pire, comme on dit. Louve avait prit une année sabatique, du coup, on est arrivées en même temps. Elle n’a pas voulu me dire ce qu’elle avait fait de tout son temps libre, mais elle avait l’air changée. J’ignore encore tout de son été, mais je pense qu’elle ne l’a pas passé à étudier, si vous voyez ce que je veux dire. Tant pis, je me contente d’imaginer.
Avez-vous déjà été amoureuse, Sara ?
« C’est une fille absolument géniale. On peut dire qu’elle sait faire la fête ! Elle réussit toujours à nous dégoter quelques trucs si jamais on a pas réussi à en avoir, et elle a une sacrée descente. De temps en temps, elle vient passer une nuit avec moi, et c’est toujours super, mais je sens bien que des fois elle fait exprès d’aller avec d’autres. Elle les embrasse devant moi, déjà à moitié déshabillée, et… je sais pas, je sens qu’elle veut voir ma réaction, et surtout qu’elle veut que je fasse quelque chose. Mais moi, je ne suis pas trop du genre à aller me battre pour une fille, mais je sais que c’est déjà arrivé que des mecs se cassent la gueule à cause d’elle, même si ce sont les meilleurs amis du monde. C’est comme si elle faisait en sorte de les embrouiller… mais quand même, je l’aime bien, Sara. »
Benjamin Shepard, 21 ans, Summerbee.
Pendant ma première année à Hungcalf, j’ai rencontré un gars, Benjamin. Ce mec est vraiment adorable, et puis il est plutôt mignon. Il a toujours été sympa avec moi, mais il n’était pas comme les autres. Pas aussi con, en fait. Il avait l’air de refuser de se battre pour moi, de mener une sorte de combat pour essayer de m’avoir dans son lit. Du coup, ça le rendait vraiment différent, il m’acceptait quand je venais vers lui, mais ne cherchait pas à m’avoir. Je crois que j’ai eu des sentiments pour lui, c’est bien possible. Bien sûr, je n’en ai parlé à personne, même pas à Louve. De toute façon, il est parti, je ne sais pas vraiment pourquoi, il me l’a pas dit. Un jour, il n’était plus là, c’était tout. Peut-être que j’aurai pu construire quelque chose de plus sérieux avec lui, allez savoir. De toute façon, il est parti depuis six mois sans explication, alors je n’espère même plus le revoir…
Benjamin Shepard, 21 ans, Summerbee.
Pendant ma première année à Hungcalf, j’ai rencontré un gars, Benjamin. Ce mec est vraiment adorable, et puis il est plutôt mignon. Il a toujours été sympa avec moi, mais il n’était pas comme les autres. Pas aussi con, en fait. Il avait l’air de refuser de se battre pour moi, de mener une sorte de combat pour essayer de m’avoir dans son lit. Du coup, ça le rendait vraiment différent, il m’acceptait quand je venais vers lui, mais ne cherchait pas à m’avoir. Je crois que j’ai eu des sentiments pour lui, c’est bien possible. Bien sûr, je n’en ai parlé à personne, même pas à Louve. De toute façon, il est parti, je ne sais pas vraiment pourquoi, il me l’a pas dit. Un jour, il n’était plus là, c’était tout. Peut-être que j’aurai pu construire quelque chose de plus sérieux avec lui, allez savoir. De toute façon, il est parti depuis six mois sans explication, alors je n’espère même plus le revoir…
Parlez-moi de vos sentiments, vos ressentis...
J’aime pas trop parler de ça, vous savez ? Mais bon. Apparemment je n’ai pas tellement le choix, mon père en veut pour son argent, n’est-ce pas ? Toujours est-il que ce qui est évident, c’est que ma vie a radicalement changé l’été de mes quinze ans. Je sais pas pourquoi, mais Louve a vraiment changé ma vie. Elle est devenue une sorte de modèle. Quand je l’ai rencontrée, je voulais être comme elle. Je copiais sa façon de s’habiller, de vivre, ses tics de parole. Puis bon, au bout d’un moment, je me suis un peu calmée, ça frôlait quand même le fanatisme ! Quand j’ai appris, pour sa mère, pour elle, et tout, je me suis sentie trahie, mais finalement, ça a été quelque part l’explication de mon mal-être. Depuis toute petite, je sentais que quelque chose clochait, que je n’allais jamais vraiment bien, que je ne me sentais pas heureuse. Louve est arrivée, elle était comme moi, mais en pire. Sa mère était morte, etc., je ne pouvais rien lui envier, je sais. Mais au moins, elle, elle sait pourquoi elle va mal, et ça, c’est déjà un bon début…
Voilà, je ne vois pas vraiment ce que je pourrais dire de plus. Oui, j’aime boire, j’aime avoir des hallus, rire, j’aime les hommes tout comme j’aime les femmes, et j’en profite. Mais d’ailleurs, Docteur Wilson… Vous, les psys, de toute façon vous avez le secret professionnel !
Voilà, je ne vois pas vraiment ce que je pourrais dire de plus. Oui, j’aime boire, j’aime avoir des hallus, rire, j’aime les hommes tout comme j’aime les femmes, et j’en profite. Mais d’ailleurs, Docteur Wilson… Vous, les psys, de toute façon vous avez le secret professionnel !
« Sara Hepburn est une jeune femme tout à fait intelligente, elle sait ce qu’elle veut, et elle peut lire en vous comme dans un livre ouvert. Elle s’est créé une sorte de carapace de femme sûre d’elle, désirable et elle semble se persuader elle-même qu’elle contrôle tout. Si quelque chose lui échappe, elle devient incontrôlable et se rassure avec l’alcool, la drogue et le sexe. J’ai tout de même constaté que c’est une personne absolument fragile, qui peut se faire emporter par un simple coup de vent, et qui est touchée par beaucoup de choses, même si bien sûr, elle le cache systématiquement. Elle aime se sentir puissante et par conséquent contrôler les gens, les manipuler, comme de simples jouets, ce qui l’aide certainement à oublier ses faiblesses. Elle souffre de la distance de son père, de son absence, mais ne l’avouera certainement jamais, tout comme elle n’avouera jamais réellement envier sa demi-sœur pour sa souffrance qui a, selon elle, des raisons légitimes, alors qu’elle n’a jamais réussi à comprendre l’origine de la sienne. Elle préfère oublier tout ça en faisant la fête. J’ai compris beaucoup de choses lorsqu’elle m’a parlé de son ambition. Elle veut devenir soigneuse de dragon, et m’a dit qu’elle trouvait fascinant que des créatures aussi fortes aient besoin des hommes – faibles – pour survivre… Elle a besoin des autres, d’être entourée, de se savoir aimée et désirée, pour se sentir bien. »
Dr Bernard Wilson, 53 ans, psychiatre.
Rapport psychiatrique : [à transmettre au Dr Hepburn]
Jeune fille perturbée par des événements familiaux à l’âge de quinze ans. Fâcheuse habitude de voler un objet à chaque personne rencontrée. Non dangereuse pour les autres, mais peut-être pour elle-même.
« Non dangereuse pour les autres, mais peut-être pour elle-même ? »
Conneries.
Dr Bernard Wilson, 53 ans, psychiatre.
Rapport psychiatrique : [à transmettre au Dr Hepburn]
Jeune fille perturbée par des événements familiaux à l’âge de quinze ans. Fâcheuse habitude de voler un objet à chaque personne rencontrée. Non dangereuse pour les autres, mais peut-être pour elle-même.
« Non dangereuse pour les autres, mais peut-être pour elle-même ? »
Conneries.
- InvitéInvité
Re: Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 1:42
MA Sara :hysteric:
Bienvenue darling (l) Tellement contente que tu t'inscrives et surtout hâte de rp à nouveau avec toi !!
Le duo de soeurs Hepburn ça promet !! 8)
Bienvenue darling (l) Tellement contente que tu t'inscrives et surtout hâte de rp à nouveau avec toi !!
Le duo de soeurs Hepburn ça promet !! 8)
- InvitéInvité
Re: Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 1:47
Merci sweety :hug: moi aussi j'ai hâte :yata!:
- InvitéInvité
Re: Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 3:33
Et surtout Xavier :brille: ça fait plaisir de le voir sur un forum, c'est rare malheureusement. Merci (l)
- InvitéInvité
Re: Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 10:17
Sara :brille: Bienvenue ma belle, et pis il nous faudra un lien hein :hysteric:
- InvitéInvité
Re: Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 11:07
KAYA :baveuh: quel choix orgasmique :brille:
Bienvenue (l)
Bienvenue (l)
- InvitéInvité
Re: Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 11:54
Avec plaisir Nathan :inlove:
LOU :yeah: évidemment qu'il nous faut un lien, c'est même pas négociable ><
Et merci Eurydice (l)
LOU :yeah: évidemment qu'il nous faut un lien, c'est même pas négociable ><
Et merci Eurydice (l)
- InvitéInvité
Re: Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 12:56
Bienvenue sur le forum :brille:
Je te réserve Kaya pour une semaine ! :huhu:
Profite de tes vacances tout de même ! Mais c'est gentil d'avoir prévenu :inlove: Si tu as besoin, n'hésite pas ! (l)
Je te réserve Kaya pour une semaine ! :huhu:
Profite de tes vacances tout de même ! Mais c'est gentil d'avoir prévenu :inlove: Si tu as besoin, n'hésite pas ! (l)
- InvitéInvité
Re: Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 12:58
Merci (l) Je vais bien profiter, j'm'inquiète pas pour ça :oh:
- InvitéInvité
Re: Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 15:05
Kaya Bienvenuuue, p'tite soeur de ma Louve :oh:
nous faudra un lien. :poke:
nous faudra un lien. :poke:
- InvitéInvité
Re: Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 15:16
Oh, Sara :brille: En tant que BFF de Louve, je demande aussi un lien :huhu: Bienvenue (l)
- InvitéInvité
Re: Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 15:18
Et j'accepte avec joie la proposition :oh: merci (l)
- InvitéInvité
Re: Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 15:31
Kayaaaaa, dès que j'ai vu qui t'avais pris comme avatar j'étais sous le charme *o*
Je me réserve directement une place dans tes liens c'est juste....obligé
Bienvenue aussi :)
Je me réserve directement une place dans tes liens c'est juste....obligé
Bienvenue aussi :)
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
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Re: Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 19:39
Kaya ! :baveuh: quel délicieux choix !
Welcome mini Hepburn ! :huhu:
Welcome mini Hepburn ! :huhu:
- InvitéInvité
Re: Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 20:51
Avec la jolie Kaya tu deviens mon idole à vie, je te préviens :brille: :baveuh: :hysteric: Cette fille est juste magnifique. Bienvenue sut Hung !
- InvitéInvité
Re: Sara ▬ I'm not scared.
Sam 30 Juil 2011 - 20:56
Abbey est pas mal non plus :brille: (l) merci beaucoup !
- InvitéInvité
Re: Sara ▬ I'm not scared.
Dim 31 Juil 2011 - 3:18
Sara Hepburn a écrit:Et surtout Xavier :brille: ça fait plaisir de le voir sur un forum, c'est rare malheureusement.
Ça fait plaisir de voir quelqu'un qui le connait, c'est assez rare aussi malheureusement :brille:
(Faut dire qu'en plus, pour décourager ceux qui voudraient le prendre, au niveau ressources graphiques ou photo, y'a pas grand chose sur l'animal )
- InvitéInvité
Re: Sara ▬ I'm not scared.
Dim 31 Juil 2011 - 12:06
Ses films sont tellement magnifiques :oh: mais c'est vrai qu'il y a pas énormément de photos, j'avais hésité à le prendre un jour et ça m'avait découragée ><.
Bon, eh bien c'est le grand jour du départ. Je reviens samedi prochain, et je posterai la fin de ma fiche, promis Tâchez de ne pas m'oublier (l)
Bon, eh bien c'est le grand jour du départ. Je reviens samedi prochain, et je posterai la fin de ma fiche, promis Tâchez de ne pas m'oublier (l)
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