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trop jeune pour mourir x alphonse & charlott
Jeu 17 Nov 2016 - 11:24
Un jour comme les autres à Hungcalf. Il faisait froid aujourd’hui. Particulièrement froid. Pour un mois de Novembre. C’était le début de l’hiver, et on le sentait passer. J’étais vêtue d’un gros manteau blanc en coton, une écharpe aux couleurs de ma maison, et un cache-oreilles. Si je portais autant de vêtements pour ne pas avoir froid, alors que l’université est très bien chauffée, voir un peu trop parfois j’avais l’impression d’étouffer, c’était parce qu’aujourd’hui personne n’avait cours. Et pour cause, cet après-midi, un match de Quidditch avait eu lieu entre les Grymm et les Wright. Personne ne rate un match entre les deux maisons ennemies depuis la nuit des temps. Je n’étais pas super fan de Quidditch. Personnellement, mon balais avait mis plusieurs heures avant d’obéir à mon « debout ! » en première année au cours de vol à Poudlard. Je n’avais jamais joué au Quidditch, j’avais bien essayé mais je n’étais pas douée. Le seul poste qui aurait pu m’intéresser était celui d’attrapeur, mais j’avais bien trop peur de me prendre un cognard dans la tête pour oser m’aventurer au milieu du terrain pour attraper le vif d’or.
Bien que je ne pratiquais pas ce sport, et que je ne suivais franchement pas les matchs au niveau professionnel, j’aimais aller voir les matchs à Poudlard comme j’aimais regarder ceux de Hungcalf. C’était différent, c’étaient mes amis qui jouaient, ils représentaient ma maison, et je me devais d’aller les encourager. J’étais donc allée voir le match, emmitouflée dans mes vêtements. Ignorant totalement la présence de Gulli sur le terrain histoire de ne pas rendre mon déjeuner au milieu des gradins, j’encourageais Dan du mieux que je pouvais avec ma petite voix qui ne portait pas bien loin.
Les Grymm avaient perdu. Tant pis, dommage pour Dan. Bien fait pour Gulli. J’étais ensuite rentrée pour rejoindre l’école lorsque je reçu sur le chemin un parchemin par hibou alors que je remontais le parc pour rejoindre le bâtiment. Je savais de qui il était. Une seule personne était susceptible de m’envoyer un mot de façon aussi… Aléatoire.
Je l’ouvrais, et sans surprise c’était bien ce Wright qui se fichait de moi une fois de plus, se moquant de ma tenue au match, ainsi que de notre défaite.
Je lisais le parchemin alors que je marchais dans le rez-de-chaussée, réfléchissant à une réponse assez cinglante pour lui. La tête ailleurs, et les oreilles bouchées par le cache-oreilles je n’entendis pas une personne tenter de me prévenir que je n’allais pas vers le bon chemin. Je ne me rendis compte des choses que lorsque je me trouvais nez à nez avec une statue d’un chevalier qui brandissait son épée devant moi. Enfin non, sur moi. Je l’évitais de peu, en tombant au sol sur le côté. Il levait une fois de plus son épée, prêt à fendre mon crâne en deux. Harold l’impitoyable tentait de me tuer et je n’avais aucun moyen de prendre ma baguette assez rapidement pour l’en empêcher.
Bien que je ne pratiquais pas ce sport, et que je ne suivais franchement pas les matchs au niveau professionnel, j’aimais aller voir les matchs à Poudlard comme j’aimais regarder ceux de Hungcalf. C’était différent, c’étaient mes amis qui jouaient, ils représentaient ma maison, et je me devais d’aller les encourager. J’étais donc allée voir le match, emmitouflée dans mes vêtements. Ignorant totalement la présence de Gulli sur le terrain histoire de ne pas rendre mon déjeuner au milieu des gradins, j’encourageais Dan du mieux que je pouvais avec ma petite voix qui ne portait pas bien loin.
Les Grymm avaient perdu. Tant pis, dommage pour Dan. Bien fait pour Gulli. J’étais ensuite rentrée pour rejoindre l’école lorsque je reçu sur le chemin un parchemin par hibou alors que je remontais le parc pour rejoindre le bâtiment. Je savais de qui il était. Une seule personne était susceptible de m’envoyer un mot de façon aussi… Aléatoire.
Je l’ouvrais, et sans surprise c’était bien ce Wright qui se fichait de moi une fois de plus, se moquant de ma tenue au match, ainsi que de notre défaite.
Je lisais le parchemin alors que je marchais dans le rez-de-chaussée, réfléchissant à une réponse assez cinglante pour lui. La tête ailleurs, et les oreilles bouchées par le cache-oreilles je n’entendis pas une personne tenter de me prévenir que je n’allais pas vers le bon chemin. Je ne me rendis compte des choses que lorsque je me trouvais nez à nez avec une statue d’un chevalier qui brandissait son épée devant moi. Enfin non, sur moi. Je l’évitais de peu, en tombant au sol sur le côté. Il levait une fois de plus son épée, prêt à fendre mon crâne en deux. Harold l’impitoyable tentait de me tuer et je n’avais aucun moyen de prendre ma baguette assez rapidement pour l’en empêcher.