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La famille c'est sacré -Ft Marian
Sam 28 Jan 2017 - 19:40
La famille c'est sacré.
Marian & Murphy
Après une nuit fortement alcoolisé après une fête clandestine que quelques camarades et moi-même avons organisée dans notre salle communale, je m’étais hâté à assister à mes cours de la journée. La tête en vrac à cause d’une horripilante gueule de bois qui ne cessait de me frapper les tempes chaque fois qu’un rayon lumineux entrait dans mon champs de vision, j’étais d’une humeur particulièrement grognon. Fort heureusement les formes enchanteresse de ma professeur de potions allait m’aidait à illuminer ma journée. Chaque fois que j’assistais à un de mes cours de potions avancé, je n’y allais jamais à reculons. Déjà parce que l’alchimie était vraiment un domaine qui me passionnait sincèrement mais surtout parce que @Everleigh Calgarry la professeure était d’une beauté ensorcelante. Tout comme l’assistante du professeur de métamorphose, cette professeure était l’un de mes fantasmes inavouable. Premier arrivé, premier servi. Comme à chacun de mes cours de potions je me devais de faire la course avec quelque uns de mes camarades de classe qui partageaient mon gout pour les belles formes féminine afin d’être le mieux placé pour avoir le meilleur angle de vision possible sur le décolleté du professeur Calgarry. Malgré mon piteux état du jour c’était moi qui avais encore gagné cette course frénétique et j’en étais particulièrement fier. Une fierté qui malheureusement s’était amenuis lorsque j’avais raté une potion que pourtant je maîtrisais aisément. Que voulez-vous, j’ai été beaucoup trop absorbé par la beauté de la professeure pour me rendre compte que les doses que je mettais dans mon chaudron étaient particulièrement faussées. Pire encore j’avais malencontreusement mélangé deux ingrédients qui ne fallait pas. L’explosion était inévitable. Le cours fut alors interrompu et moi je m’étais pris deux bonnes heures de retenues. Ça m’apprendra à venir en cours après une nuit blanche de débauche.
Avant mon prochain cours j’avais encore deux bonnes heures devant moi. Installé sur un des bancs dans le parc un livre sur le visage afin de me masquer la lumière du jour je me reposais les yeux. Du moins j’essayais de me reposer les yeux parce que ce n’était malheureusement sans compter sur les autres étudiants qui ne cessaient de faire un de ces boucans. Vous ne savez pas comment ma baguette me démangeait. Je me retenais de ne pas leur jeter un Silencio afin d’avoir la paix une bonne fois pour toute. Parmi toutes ces conversations qui venaient me marteler les tympans, l’une d’elle me fit me relever subitement de mon banc. Pardon est ce que j’avais bien entendu ? Quelqu’un était-il vraiment en train de se moquer du mutisme dont souffrait MA COUSINE ? S’il y avait bien une chose en ce bas monde qui pouvait me faire crépiter malsainement le sang dans mes veines c’était bien quand on osait s’en prendre à ma famille. Ni une ni deux, j’avais foncé tête la première pour arriver à la hauteur du crétin qui raillait sur le handicap de l’une des personnes qui m’étais le plus chère. Le tenant fermement par le col, ma baguette pointé sous sa pomme d’Adam qui se vouait menaçante je me retenais de ne pas lui faire goûter au mordant de cette dernière. « J’ai passé une très mauvaise matinée vois-tu alors j’espère pour toi que tu obéiras sagement. Excuse-toi immédiatement, avant que l’envie de te faire retirer cet horripilant rictus que tu arbore ne devienne incontrôlable pour moi. » L’air menaçant, je ne relâchais absolument pas l’emprise que j’avais sur lui. Bien au contraire, je m’amusais même à l’amplifier afin que ce sombre sot comprenne que j’étais on ne peut plus sérieux dans ma requête. Visiblement il n’était pas aussi idiot que ce que je pensais puisque ce dernier ne tarda guère à s’excuser auprès de Marian. Une bonne chose faite c’était déjà ça. Chose promise chose du, je relâchai rapidement ma poigne et libéra ce misérable troll non sans le menacer une dernière fois précisant que si jamais l’idée de recommencer une telle absurdité lui reprenait je ne serais pas aussi conciliant. Le vaurien désormais parti, je me retrouvais seul avec ma cousine. Il était vrai que je n’étais pas aussi proche de Marian que je pouvais l’être de Winnie mais je l’aimais tout de même énormément. Elle était de mon sang et pour moi la famille c’était une chose vraiment sacré. « Est-ce que ça va ? » Lui demandais-je finalement en me passant une main derrière la nuque.
Avant mon prochain cours j’avais encore deux bonnes heures devant moi. Installé sur un des bancs dans le parc un livre sur le visage afin de me masquer la lumière du jour je me reposais les yeux. Du moins j’essayais de me reposer les yeux parce que ce n’était malheureusement sans compter sur les autres étudiants qui ne cessaient de faire un de ces boucans. Vous ne savez pas comment ma baguette me démangeait. Je me retenais de ne pas leur jeter un Silencio afin d’avoir la paix une bonne fois pour toute. Parmi toutes ces conversations qui venaient me marteler les tympans, l’une d’elle me fit me relever subitement de mon banc. Pardon est ce que j’avais bien entendu ? Quelqu’un était-il vraiment en train de se moquer du mutisme dont souffrait MA COUSINE ? S’il y avait bien une chose en ce bas monde qui pouvait me faire crépiter malsainement le sang dans mes veines c’était bien quand on osait s’en prendre à ma famille. Ni une ni deux, j’avais foncé tête la première pour arriver à la hauteur du crétin qui raillait sur le handicap de l’une des personnes qui m’étais le plus chère. Le tenant fermement par le col, ma baguette pointé sous sa pomme d’Adam qui se vouait menaçante je me retenais de ne pas lui faire goûter au mordant de cette dernière. « J’ai passé une très mauvaise matinée vois-tu alors j’espère pour toi que tu obéiras sagement. Excuse-toi immédiatement, avant que l’envie de te faire retirer cet horripilant rictus que tu arbore ne devienne incontrôlable pour moi. » L’air menaçant, je ne relâchais absolument pas l’emprise que j’avais sur lui. Bien au contraire, je m’amusais même à l’amplifier afin que ce sombre sot comprenne que j’étais on ne peut plus sérieux dans ma requête. Visiblement il n’était pas aussi idiot que ce que je pensais puisque ce dernier ne tarda guère à s’excuser auprès de Marian. Une bonne chose faite c’était déjà ça. Chose promise chose du, je relâchai rapidement ma poigne et libéra ce misérable troll non sans le menacer une dernière fois précisant que si jamais l’idée de recommencer une telle absurdité lui reprenait je ne serais pas aussi conciliant. Le vaurien désormais parti, je me retrouvais seul avec ma cousine. Il était vrai que je n’étais pas aussi proche de Marian que je pouvais l’être de Winnie mais je l’aimais tout de même énormément. Elle était de mon sang et pour moi la famille c’était une chose vraiment sacré. « Est-ce que ça va ? » Lui demandais-je finalement en me passant une main derrière la nuque.
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Re: La famille c'est sacré -Ft Marian
Dim 26 Fév 2017 - 18:55
RP archivé suite à la suppression de Murphy