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d i c a l v e t t i - power of three
Dim 2 Avr 2017 - 19:12
Le dimanche, certains vont à la messe, certains font la grasse matinée. Chacun a ses petites habitudes, sa routine qu’il est difficile de ne pas suivre tant c’est automatique. Pour les Di Calvetti, le dimanche, c’est petite réunion de famille au bar d’Eufemia. Rituel dominical instauré depuis quelques années maintenant, et que l’on suit par plaisir autant que par habitude.
Ta nuit, elle a été courte. Comme en témoignent les draps défaits, encore chauds, les coussins éparpillés et surtout, l’homme massif à tes côtés. Åsmund. Tu retrouves cette sensation étrange d’il y a dix-sept d’être à la fois plus forte en sa présence, et minuscule au creux de ses bras. Doucement, pour ne pas le réveiller, tu t’extirpes des draps emmêlés pour te redresser, encore dénudée. Tes gestes lui font quand même ouvrir ses beaux yeux et tu te penches pour souffler quelques mots en Norvégien contre ses lèvres. « Je vais voir mes sœurs, je reviens bientôt. » Visiblement, il n’en faut pas plus au sauvage épuisé pour refermer ses lourdes paupières. Tu souris, tendrement Morrigan, et après un baiser sur son crâne tatoué tu te lèves pour prendre une douche. C’est rapidement plié et en une dizaine de minutes, tu es habillée et prête à transplaner.
C’est dans une ruelle non loin du Pub d’Effy que tu atterris, en profitant pour passer à la boulangerie la plus proche afin de te procurer des viennoiseries pour le petit déjeuner. Tu ne sais pas pour tes sœurs mais personnellement, tu meurs de faim à cause de ta nuit… mouvementée. Mais le pire, c’est sans doute ce petit sourire stupide qui flotte sur tes lèvres sans que tu ne puisses l’en empêcher. Un sourire que même tes sœurs n’ont pas pu voir sur ton visage depuis… depuis presque vingt ans. Et tes joues rosées, on en parle ? Non, il vaut mieux éviter.
Alors tu pénètres dans l’établissement désert en cette matinée, un peu comme si tu étais chez toi. A force, tu connais bien les lieux de toutes façons, et tu déposes les viennoiseries sur la table où vous vous asseyez toujours, en espérant que l’une de tes sœurs ai la merveilleuse et ingénieuse idée d’apporter du café. Et du vrai, pas ce jus de chaussettes qu’on trouve à tous les coins de rues. Vous êtes italiennes, faut pas vous arnaquer.
Di Calvetti
power of three
Ta nuit, elle a été courte. Comme en témoignent les draps défaits, encore chauds, les coussins éparpillés et surtout, l’homme massif à tes côtés. Åsmund. Tu retrouves cette sensation étrange d’il y a dix-sept d’être à la fois plus forte en sa présence, et minuscule au creux de ses bras. Doucement, pour ne pas le réveiller, tu t’extirpes des draps emmêlés pour te redresser, encore dénudée. Tes gestes lui font quand même ouvrir ses beaux yeux et tu te penches pour souffler quelques mots en Norvégien contre ses lèvres. « Je vais voir mes sœurs, je reviens bientôt. » Visiblement, il n’en faut pas plus au sauvage épuisé pour refermer ses lourdes paupières. Tu souris, tendrement Morrigan, et après un baiser sur son crâne tatoué tu te lèves pour prendre une douche. C’est rapidement plié et en une dizaine de minutes, tu es habillée et prête à transplaner.
C’est dans une ruelle non loin du Pub d’Effy que tu atterris, en profitant pour passer à la boulangerie la plus proche afin de te procurer des viennoiseries pour le petit déjeuner. Tu ne sais pas pour tes sœurs mais personnellement, tu meurs de faim à cause de ta nuit… mouvementée. Mais le pire, c’est sans doute ce petit sourire stupide qui flotte sur tes lèvres sans que tu ne puisses l’en empêcher. Un sourire que même tes sœurs n’ont pas pu voir sur ton visage depuis… depuis presque vingt ans. Et tes joues rosées, on en parle ? Non, il vaut mieux éviter.
Alors tu pénètres dans l’établissement désert en cette matinée, un peu comme si tu étais chez toi. A force, tu connais bien les lieux de toutes façons, et tu déposes les viennoiseries sur la table où vous vous asseyez toujours, en espérant que l’une de tes sœurs ai la merveilleuse et ingénieuse idée d’apporter du café. Et du vrai, pas ce jus de chaussettes qu’on trouve à tous les coins de rues. Vous êtes italiennes, faut pas vous arnaquer.
@Effy Di Calvetti @Rosario Di Calvetti c'est volontairement court parce que 1) flemme, 2) comme ça on avance tranquille bien vu qu'on est trois, voilà
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Re: d i c a l v e t t i - power of three
Dim 2 Avr 2017 - 20:34
Toujours la même histoire. Heureusement que tu n'es pas une lève tard, petite Rosie. Tu fronces ton nez que l'un de tes chats semble confondre avec une glace à l'eau. Tu gardes un instant les yeux fermés, essayant de deviner lequel de tes idiots de chats à finit les croquettes cette nuit, et lequel tente de te réveiller parce qu'il a une trop grosse dalle.
Après t'être débarrassé de Leonardo, l'affamé, tu réapprovisionnes tes bêtes poilues en croquettes avant de te préparer. Assise devant le miroir de ta coiffeuse, tu démêles tes longs cheveux dorés dont tu es si fière et les coiffes en tresse lâche, sur le côté de ton petit crâne. Tes cheveux et les yeux bleus qui te rendent ton regard dans la glace sont la marque des Di Calvetti. Et c'est pour ta famille que tu termines d'arranger ton apparence, et t'habilles avant de quitter ton petit appartement. Rencontre dominicale avec tes sœurs. Depuis plus de trois ans, c'était devenue une habitude. Depuis que tu étais rentrée du Japon. Depuis que votre mère était morte. Dommage qu'il ait fallut cela pour vous réunir touts les trois. Et pas uniquement géographiquement. En même temps, au vu de vos caractères respectifs...
Avant de partir tu te saisis d'une petite boite en céramique contenant des grains de café. Celles que votre père t'envois d'Italie. Tu es trop nostalgique comme fille. Mais tu aimes l'odeur de ce café, c'est celui de la maison. Alors quitte à boire de ce doux poison noir, autant qu'il soit bon. Alors tu prends de ses graines, parfaites à ton avis pour vos petits-déjeuner ensemble.Tu ne sais pas si Effy aura de quoi vous faire un bon café à la Taverne, mais tu n'as pas envie de prendre de risque. Parce que le café anglais... Non merci.
Tu prends le chemin de la taverne de ta jumelle, un instant accompagnée par tes quatre chats, qui te délaissent un à un trouvant à faire autre part. Tu marches, tu aimes ça, surtout respirer l'air frais du matin. Et puis de toute façon, ce n'est pas comme si tu avais le choix. Tu soupires à cette pensée sombre que tu chasses bien vite. Quand tu arrives au lieu de rendez-vous, un bouquet de camélias, hellébores, d'iris et de narcisses a rejoins tes bras, avec la boite de café. Tu aimes bien les fleurs. Tu franchis la porte de la taverne et ton sourire s'agrandit à la vu des longs cheveux blonds de ton aînée. « Coucou Mo' ! » Tu trottines jusqu'à elle et déposes une bise sur ses pommettes roses. Et tu la regardes un instant, l'air interloquée, tu souris et murmure « Mmmh... Tu as des choses à nous raconter, toi. » avant de filer vers le bar pour y déposer tes effets. Pas la peine de chercher à en savoir plus sans Effy. D'ailleurs ta jumelle est bien plus douée pour tirer les vers du nez que toi.
Di Calvetti
power of three
Après t'être débarrassé de Leonardo, l'affamé, tu réapprovisionnes tes bêtes poilues en croquettes avant de te préparer. Assise devant le miroir de ta coiffeuse, tu démêles tes longs cheveux dorés dont tu es si fière et les coiffes en tresse lâche, sur le côté de ton petit crâne. Tes cheveux et les yeux bleus qui te rendent ton regard dans la glace sont la marque des Di Calvetti. Et c'est pour ta famille que tu termines d'arranger ton apparence, et t'habilles avant de quitter ton petit appartement. Rencontre dominicale avec tes sœurs. Depuis plus de trois ans, c'était devenue une habitude. Depuis que tu étais rentrée du Japon. Depuis que votre mère était morte. Dommage qu'il ait fallut cela pour vous réunir touts les trois. Et pas uniquement géographiquement. En même temps, au vu de vos caractères respectifs...
Avant de partir tu te saisis d'une petite boite en céramique contenant des grains de café. Celles que votre père t'envois d'Italie. Tu es trop nostalgique comme fille. Mais tu aimes l'odeur de ce café, c'est celui de la maison. Alors quitte à boire de ce doux poison noir, autant qu'il soit bon. Alors tu prends de ses graines, parfaites à ton avis pour vos petits-déjeuner ensemble.Tu ne sais pas si Effy aura de quoi vous faire un bon café à la Taverne, mais tu n'as pas envie de prendre de risque. Parce que le café anglais... Non merci.
Tu prends le chemin de la taverne de ta jumelle, un instant accompagnée par tes quatre chats, qui te délaissent un à un trouvant à faire autre part. Tu marches, tu aimes ça, surtout respirer l'air frais du matin. Et puis de toute façon, ce n'est pas comme si tu avais le choix. Tu soupires à cette pensée sombre que tu chasses bien vite. Quand tu arrives au lieu de rendez-vous, un bouquet de camélias, hellébores, d'iris et de narcisses a rejoins tes bras, avec la boite de café. Tu aimes bien les fleurs. Tu franchis la porte de la taverne et ton sourire s'agrandit à la vu des longs cheveux blonds de ton aînée. « Coucou Mo' ! » Tu trottines jusqu'à elle et déposes une bise sur ses pommettes roses. Et tu la regardes un instant, l'air interloquée, tu souris et murmure « Mmmh... Tu as des choses à nous raconter, toi. » avant de filer vers le bar pour y déposer tes effets. Pas la peine de chercher à en savoir plus sans Effy. D'ailleurs ta jumelle est bien plus douée pour tirer les vers du nez que toi.
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Re: d i c a l v e t t i - power of three
Lun 3 Avr 2017 - 21:49
Le matin, ça a toujours été une source d'emmerde, pour toi. Te lever, avoir à ouvrir les yeux, à ouvrir la taverne dans laquelle tu travaillais, que tu dirigeais même. Mais pourtant, ça faisait longtemps que tu avais dit adieu aux grasses matinées, au sommeil long et aux nuits calmes. Tu ne dormais souvent pas plus de quatre heure, entre l'heure de fermeture de la Taverne, le nettoyage intense que tu faisais chaque nuit, lorsque plus personne ne traînait dans tes pattes, et l'ouverture de ton lieu de travail, suffisamment tôt pour que les voyageurs puissent s'arrêter boire l'équivalent de café que tu as réussi à obtenir. Bien que, pour le coup, ton café, Effy, est l'un des meilleurs du Royaume-Unis.
Et aujourd'hui, dimanche matin, tu aurais bien fais l'impasse sur le réveil. Oui sauf que voilà, le dimanche matin, tes sœurs te rejoignent toujours à la Taverne du Troll, afin de prendre le petit déjeuner toutes les trois. Ça fais déjà quelques années que vous avez installé ce rituel, depuis le décès de votre mère en réalité. Cette épreuve vous a énormément rapproché, ça t'a en quelques sortes ramenée dans la fratrie, toi qui te sentais tellement à l'écart. Maintenant, tu te sens réellement comme une Di Calvetti. Tu te sens précieuse, et t'as presque l'impression qu'à vous trois, vous pourriez conquérir le monde. Enfin, presque, seulement, ce qui est déjà pas mal. Toujours est-il que, dimanche matin oblige, tu avais fais l'effort de te lever pour ouvrir le bal. Tu salua Josefine, qui attendait d'entrer, et tu la laisses prendre place dans le bar, elle qui le connait si bien. Avec le temps, tu as embauché quelques serveurs, parce que tu ne pouvais pas gérer l'endroit seule. Pour autant, l'équipe tournait continuellement. Josefine, au contraire, était toujours là, et tu étais persuadée que dans un an encore, elle serait toujours là. Elle avait réussi à gagner ta confiance avec le temps, et tu n'eus donc aucun problème à lui laisser la Taverne le temps d'aller prendre une rapide douche.
Quand tu revins dans la salle, un sourire prit place sur tes lèvres en découvrant tes deux sœurs, assise à la table habituelle. Tu fis un signe de tête à Josefine, attrapa la fameuse boîte en céramique qu'avait ramené Rosie, et t'affairas derrière le comptoir pour préparer le café tel que votre père le faisait. Rapidement, la mixture fut prête, et en sentant cet odeur, tu fus presque de retour en Italie, dans ta Toscane natale. Mais tu te trouvais pourtant bien à Inverness, et tes sœurs t'attendaient, alors tu te dirigea jusqu'à la fameuse table, t'installant au côté de Rosie.
« Heyyyy gurlzzzz ! » Tu ne te fais pas prier pour piocher dans le sac de viennoiseries que semble avoir ramené Morrigan, et finalement, tu prend un peu plus d'attention à regarder tes sœurs. Rosie est toujours Rosie, quant à Morrigan... « Dit moi, Mo, t'as eu une nuit agitée, non ? » Sourire narquois à tes lèvres, alors que tu fixes ton aînée de tes yeux clairs.
Di Calvetti
power of three
Et aujourd'hui, dimanche matin, tu aurais bien fais l'impasse sur le réveil. Oui sauf que voilà, le dimanche matin, tes sœurs te rejoignent toujours à la Taverne du Troll, afin de prendre le petit déjeuner toutes les trois. Ça fais déjà quelques années que vous avez installé ce rituel, depuis le décès de votre mère en réalité. Cette épreuve vous a énormément rapproché, ça t'a en quelques sortes ramenée dans la fratrie, toi qui te sentais tellement à l'écart. Maintenant, tu te sens réellement comme une Di Calvetti. Tu te sens précieuse, et t'as presque l'impression qu'à vous trois, vous pourriez conquérir le monde. Enfin, presque, seulement, ce qui est déjà pas mal. Toujours est-il que, dimanche matin oblige, tu avais fais l'effort de te lever pour ouvrir le bal. Tu salua Josefine, qui attendait d'entrer, et tu la laisses prendre place dans le bar, elle qui le connait si bien. Avec le temps, tu as embauché quelques serveurs, parce que tu ne pouvais pas gérer l'endroit seule. Pour autant, l'équipe tournait continuellement. Josefine, au contraire, était toujours là, et tu étais persuadée que dans un an encore, elle serait toujours là. Elle avait réussi à gagner ta confiance avec le temps, et tu n'eus donc aucun problème à lui laisser la Taverne le temps d'aller prendre une rapide douche.
Quand tu revins dans la salle, un sourire prit place sur tes lèvres en découvrant tes deux sœurs, assise à la table habituelle. Tu fis un signe de tête à Josefine, attrapa la fameuse boîte en céramique qu'avait ramené Rosie, et t'affairas derrière le comptoir pour préparer le café tel que votre père le faisait. Rapidement, la mixture fut prête, et en sentant cet odeur, tu fus presque de retour en Italie, dans ta Toscane natale. Mais tu te trouvais pourtant bien à Inverness, et tes sœurs t'attendaient, alors tu te dirigea jusqu'à la fameuse table, t'installant au côté de Rosie.
« Heyyyy gurlzzzz ! » Tu ne te fais pas prier pour piocher dans le sac de viennoiseries que semble avoir ramené Morrigan, et finalement, tu prend un peu plus d'attention à regarder tes sœurs. Rosie est toujours Rosie, quant à Morrigan... « Dit moi, Mo, t'as eu une nuit agitée, non ? » Sourire narquois à tes lèvres, alors que tu fixes ton aînée de tes yeux clairs.
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Re: d i c a l v e t t i - power of three
Mer 14 Juin 2017 - 11:39
archivé, plusieurs participants supprimés.