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Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Ven 11 Aoû 2017 - 21:11
Rosaline Margaret Mormont
Je suis un Grymm | scénario
« C’est drôle la vie. Quand on est gosse, le temps n’en finit pas de se trainer, et puis du jour au lendemain on a comme ça 50 ans. Et l’enfance tout ce qui l’en reste ça tient dans une petite boite. Une petite boite rouillée. »
WIZARD CARD INFORMATIONS Rédigez quelques lignes sur les particularités (physiques, intellectuelles ou magiques) de votre personnage ainsi que sa baguette, son épouvantard, son animal de compagnie, sa matière préférée ... bref, tout ce qui vous passe par la tête ! ♥ Au final, Landry n'eu jamais à démentir cette idée que tu t'étais ancré en tête mais depuis ce jour, Landry devint ton modèle, ton idéal, ton tout. | © FRIMELDA ◈ Antonina Vasylchenko |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
Les enfants sont cruels entre eux.
Cette phrase n’avait de cesse de faire écho dans ton esprit depuis que tu l’avais lue quelques années plus tôt après avoir fouillé la bibliothèque familiale. Certains quittaient leur chambre en cachette pour grignoter un carré de chocolat mais toi, tu filais à la bibliothèque de votre demeure perdue au fond des landes Ecossaises. Discrète comme un chat, tu te déplaçais sans le moindre bruit, prête à passer une nuit de folie à lire, lire et encore lire. Tu étais ce genre de fille, capable de rester des heures durant à l’ombre d’un arbre, à lire un beau roman, totalement plongée dans l’intrigue à en oublier le monde qui t’entourait.
Autrement dit, tu n’étais pas comme Joséphine.
Joséphine était une fillette enjouée, belle comme un cœur et son rire n’avait jamais de cesse de retentir entre les murs de la maison. Et toi, tu lisais, lisais, lisais encore en serrant des dents, ne relevant le regard que pour la fusiller du regard quand elle osait venir te déranger alors que l’intrigue approchait son point culminant.
La situation n’avait pas toujours été ainsi. Un jour, toi aussi tu avais été la petite poupée de Maman, toi aussi elle te coiffait de tresses et rubans, te confectionnais des robes superbes et te lisais des histoires épiques d’antiques héros moldus. Quelle belle époque ! Tu ne pouvais t’empêcher de repenser avec amertume à cette période heureuse où votre mère t’aimait encore, cette époque où tu étais encore sa pupille, sa petite poupée adorée. Parce que tu l’avais été un jour ! Dernière-née, elle passait alors tout son temps avec toi, s’occupant de toi comme le prolongement d’elle-même…Jusqu’au jour où elle retomba enceinte. Et quand elle est née…Tu te souvins encore de ce moment où tu t’étais penchée par-dessus le berceau, curieuse de voir cette merveille dont tu ne cessais d’entendre parler sous le regard béat de ta mère-adorée. Quel choc ce fut pour toi de te retrouver nez à nez avec cette chose rouge et fripée ! A tes yeux de bambine, Joséphine n’était alors guère qu’une ratée qu’il aurait fallu faire disparaître avant que d’autres ne la voient et jamais ce sentiment ne disparut de ton esprit. Ta mère ne semblait pourtant pas de cet avis car elle n’en avait guère plus que pour la chose, ne quittant jamais plus sa bruyante et difforme de fille. A vrai dire, en grandissant, Joséphine devint une ravissante petite fille, suçant l’amour de ta mère comme un vampire, ne te laissait pas une seule goute pour toi et tu la détestais pour ça. Tu la détestais pour tout, t’effaçant peu à peu pour te retrancher dans tes romans plutôt que d’affronter le monde réel. Parce que tu avais trop de colère en toi pour garder le sourire, parce que tu avais trop de haine pour pouvoir jouer le jeu. Pas à cet âge-là.
C’est Landry qui inversa les pôles de ton existence.
Tes relations avec ta fratrie furent toujours assez particulières, la plupart de tes aînés étant déjà grands, beaucoup trop pour réellement s’intéresser à toi lorsque tu n’étais qu’une enfant mais Landry, c’était différent. Landry, c’était le grand de votre bande, celui qui savait grimper aux arbres comme un singe, nager comme un danphin et courir comme un cheval à travers les landes. Landry, c’était l’homme fort de la nichée, celui qui soulèverait les foules et volerait des cœurs, celui qui briserait des os et des âmes sans sourciller. Oui, ton admiration pour ton frère était sans limite et si tu avais toujours eu pour habituer de rester à distance respectable.
Un jour, tu fis entorse à cette distance.
C’était arrivé le soir même de sa mort. Tout le monde était dans tous ses états, tout le monde pleurait la disparition de la petite Joséphine et le temps semblait s’être arrêté au manoir des Mormont. Mais pas la pluie qui venait battre les fenêtres sans relâche comme si les Dieux s’étaient emballés pour punir Landry de ce qu’il avait fait. Parce que tu savais qu’il l’avait fait. Ça n’avait pas été un accident, tu avais tout vu.
Il ne savait pas que tu étais là à ce moment à lire un ouvrage sur les plantes des marais et tu te souvenais encore t’être cachée un peu stupidement derrière les fourrées. Pourquoi ? Toi-même tu l’ignorais mais tu te souvenais parfaitement bien du sentiment de jalousie qui t’avait envahi alors que tu voyais ton idole marcher avec l’affreuse. Alors quoi ? Lui aussi la préférait maintenant ? Non. La suite des évènements te prouva le contraire et c’est avec fascination que tu l’avais regardée se débattre dans l’eau. Puis les remous avaient cessé pour laisser place à cette pluie glaciale qui n’en finit plus de tomber.
Les pleurs de ta mère t’excédaient et couchée tôt, tu n’en pouvais plus de te plaquer l’oreiller sur la tête pour étouffer ses sanglots. Tu t’étais alors levée, laissant tes pas te guider jusqu’à la chambre de Landry, te glissant dans cette dernière sans le moindre bruit. Il ne dormait pas mais il n’était pas occupé pour autant. Il était juste là, allongé dans son lit les yeux grands ouverts. Est-ce qu’il était heureux ? Tu avais du mal à le voir dans l’obscurité de la nuit mais rassemblant tout le courage dont tu étais capable, tu t’approchais de son lit dans le plus grand des silences, ne te faisait remarquer qu’au moment de grimper sur son lit. Il avait été surpris de te trouver là, bien évidemment. Il ne pensait pas te trouver là, ni ce soir ni jamais mais tu étais là et sans un mot, tu t’étais allongée contre lui, passant ton petit bras fluet autour de lui pour le serrer fort contre toi, le visage enfoui contre son torse nu. Secrètement, tu le remerciais d’avoir exaucé ton souhait et de t’avoir prouvé que les intrigues n’existaient pas que dans la littérature, Landry avait rétabli de l’ordre dans ta vie. C’était naïf de le croire mais à cet instant, tu pensais vraiment que la vie redeviendrait comme avant.
La vie ne redevint plus jamais normale au sein de la famille mais d’une certaine manière, Joséphine en disparut. Ne plus l’évoquer était pour certains une manière de lutter contre le chagrin mais toi, tu ne l’évoquais pas pour la simple et bonne raison que tu l’oubliais presque. Comme si elle n’avait jamais existé. Disparue. Et tu ne t’en portais que mieux ! Tes espoirs de retrouver ta mère furent pourtant rapidement balayés par la triste réalité : jamais plus elle ne se relèverait de ce drame alors soit…Qu’elle reste dans sa tristesse ! Tu ne cherchais pas à redevenir la parfaite petite poupée de ta mère en revanche, tu reportais toute ton adoration sur ton frère, buvant chacune de ses paroles comme d’un grand cru, toujours avec cette réserve distinguée. Comme si tu craignais de l’étouffer, lui qui t’avait libéré des années plus tôt !
La vie reprit donc son cours pour toi et à l’instar de ta fratrie, tu fis tes premiers pas dans le monde de la Magie avec brio, survolant les années à Poudlard avec une déconcertante facilité, faisant naître en toi ce plaisir malsain de toujours finir bonne première dans tout ce que tu pouvais entreprendre et qu’on se le dise : tu refusais de prendre part à la moindre activité si tu doutais de tes capacités à triompher à la fin. Ta quête de la perfection ne s’arrêtait pourtant pas à tes résultats scolaires, tout dans ta vie se devait d’être parfait alors oui, tu es lentement devenue une de ces filles misant davantage sur les apparences, travaillant parfois dur pour toujours entretenir cette illusion de facilité. Parce que tu aimais ça, que l’on te regarde comme si tu n’étais pas tout à faire réelle, pas humaine.
Oui, tu entretenais à perfection cette illusion mais au fond de toi, tu sais très bien que tu ne serais jamais que la gamine qui souriait, allongée contre son frère qui portait encore l’odeur du crime.
Parce que dans toute cette histoire, le vrai crime avait été commis par ta mère qui avait cessé de t’aimer. Et tu souriais parce qu’elle ne s’en remettra jamais. C’était ainsi qu’il devait en être.
Cette phrase n’avait de cesse de faire écho dans ton esprit depuis que tu l’avais lue quelques années plus tôt après avoir fouillé la bibliothèque familiale. Certains quittaient leur chambre en cachette pour grignoter un carré de chocolat mais toi, tu filais à la bibliothèque de votre demeure perdue au fond des landes Ecossaises. Discrète comme un chat, tu te déplaçais sans le moindre bruit, prête à passer une nuit de folie à lire, lire et encore lire. Tu étais ce genre de fille, capable de rester des heures durant à l’ombre d’un arbre, à lire un beau roman, totalement plongée dans l’intrigue à en oublier le monde qui t’entourait.
Autrement dit, tu n’étais pas comme Joséphine.
Joséphine était une fillette enjouée, belle comme un cœur et son rire n’avait jamais de cesse de retentir entre les murs de la maison. Et toi, tu lisais, lisais, lisais encore en serrant des dents, ne relevant le regard que pour la fusiller du regard quand elle osait venir te déranger alors que l’intrigue approchait son point culminant.
La situation n’avait pas toujours été ainsi. Un jour, toi aussi tu avais été la petite poupée de Maman, toi aussi elle te coiffait de tresses et rubans, te confectionnais des robes superbes et te lisais des histoires épiques d’antiques héros moldus. Quelle belle époque ! Tu ne pouvais t’empêcher de repenser avec amertume à cette période heureuse où votre mère t’aimait encore, cette époque où tu étais encore sa pupille, sa petite poupée adorée. Parce que tu l’avais été un jour ! Dernière-née, elle passait alors tout son temps avec toi, s’occupant de toi comme le prolongement d’elle-même…Jusqu’au jour où elle retomba enceinte. Et quand elle est née…Tu te souvins encore de ce moment où tu t’étais penchée par-dessus le berceau, curieuse de voir cette merveille dont tu ne cessais d’entendre parler sous le regard béat de ta mère-adorée. Quel choc ce fut pour toi de te retrouver nez à nez avec cette chose rouge et fripée ! A tes yeux de bambine, Joséphine n’était alors guère qu’une ratée qu’il aurait fallu faire disparaître avant que d’autres ne la voient et jamais ce sentiment ne disparut de ton esprit. Ta mère ne semblait pourtant pas de cet avis car elle n’en avait guère plus que pour la chose, ne quittant jamais plus sa bruyante et difforme de fille. A vrai dire, en grandissant, Joséphine devint une ravissante petite fille, suçant l’amour de ta mère comme un vampire, ne te laissait pas une seule goute pour toi et tu la détestais pour ça. Tu la détestais pour tout, t’effaçant peu à peu pour te retrancher dans tes romans plutôt que d’affronter le monde réel. Parce que tu avais trop de colère en toi pour garder le sourire, parce que tu avais trop de haine pour pouvoir jouer le jeu. Pas à cet âge-là.
C’est Landry qui inversa les pôles de ton existence.
Tes relations avec ta fratrie furent toujours assez particulières, la plupart de tes aînés étant déjà grands, beaucoup trop pour réellement s’intéresser à toi lorsque tu n’étais qu’une enfant mais Landry, c’était différent. Landry, c’était le grand de votre bande, celui qui savait grimper aux arbres comme un singe, nager comme un danphin et courir comme un cheval à travers les landes. Landry, c’était l’homme fort de la nichée, celui qui soulèverait les foules et volerait des cœurs, celui qui briserait des os et des âmes sans sourciller. Oui, ton admiration pour ton frère était sans limite et si tu avais toujours eu pour habituer de rester à distance respectable.
Un jour, tu fis entorse à cette distance.
C’était arrivé le soir même de sa mort. Tout le monde était dans tous ses états, tout le monde pleurait la disparition de la petite Joséphine et le temps semblait s’être arrêté au manoir des Mormont. Mais pas la pluie qui venait battre les fenêtres sans relâche comme si les Dieux s’étaient emballés pour punir Landry de ce qu’il avait fait. Parce que tu savais qu’il l’avait fait. Ça n’avait pas été un accident, tu avais tout vu.
Il ne savait pas que tu étais là à ce moment à lire un ouvrage sur les plantes des marais et tu te souvenais encore t’être cachée un peu stupidement derrière les fourrées. Pourquoi ? Toi-même tu l’ignorais mais tu te souvenais parfaitement bien du sentiment de jalousie qui t’avait envahi alors que tu voyais ton idole marcher avec l’affreuse. Alors quoi ? Lui aussi la préférait maintenant ? Non. La suite des évènements te prouva le contraire et c’est avec fascination que tu l’avais regardée se débattre dans l’eau. Puis les remous avaient cessé pour laisser place à cette pluie glaciale qui n’en finit plus de tomber.
Les pleurs de ta mère t’excédaient et couchée tôt, tu n’en pouvais plus de te plaquer l’oreiller sur la tête pour étouffer ses sanglots. Tu t’étais alors levée, laissant tes pas te guider jusqu’à la chambre de Landry, te glissant dans cette dernière sans le moindre bruit. Il ne dormait pas mais il n’était pas occupé pour autant. Il était juste là, allongé dans son lit les yeux grands ouverts. Est-ce qu’il était heureux ? Tu avais du mal à le voir dans l’obscurité de la nuit mais rassemblant tout le courage dont tu étais capable, tu t’approchais de son lit dans le plus grand des silences, ne te faisait remarquer qu’au moment de grimper sur son lit. Il avait été surpris de te trouver là, bien évidemment. Il ne pensait pas te trouver là, ni ce soir ni jamais mais tu étais là et sans un mot, tu t’étais allongée contre lui, passant ton petit bras fluet autour de lui pour le serrer fort contre toi, le visage enfoui contre son torse nu. Secrètement, tu le remerciais d’avoir exaucé ton souhait et de t’avoir prouvé que les intrigues n’existaient pas que dans la littérature, Landry avait rétabli de l’ordre dans ta vie. C’était naïf de le croire mais à cet instant, tu pensais vraiment que la vie redeviendrait comme avant.
La vie ne redevint plus jamais normale au sein de la famille mais d’une certaine manière, Joséphine en disparut. Ne plus l’évoquer était pour certains une manière de lutter contre le chagrin mais toi, tu ne l’évoquais pas pour la simple et bonne raison que tu l’oubliais presque. Comme si elle n’avait jamais existé. Disparue. Et tu ne t’en portais que mieux ! Tes espoirs de retrouver ta mère furent pourtant rapidement balayés par la triste réalité : jamais plus elle ne se relèverait de ce drame alors soit…Qu’elle reste dans sa tristesse ! Tu ne cherchais pas à redevenir la parfaite petite poupée de ta mère en revanche, tu reportais toute ton adoration sur ton frère, buvant chacune de ses paroles comme d’un grand cru, toujours avec cette réserve distinguée. Comme si tu craignais de l’étouffer, lui qui t’avait libéré des années plus tôt !
La vie reprit donc son cours pour toi et à l’instar de ta fratrie, tu fis tes premiers pas dans le monde de la Magie avec brio, survolant les années à Poudlard avec une déconcertante facilité, faisant naître en toi ce plaisir malsain de toujours finir bonne première dans tout ce que tu pouvais entreprendre et qu’on se le dise : tu refusais de prendre part à la moindre activité si tu doutais de tes capacités à triompher à la fin. Ta quête de la perfection ne s’arrêtait pourtant pas à tes résultats scolaires, tout dans ta vie se devait d’être parfait alors oui, tu es lentement devenue une de ces filles misant davantage sur les apparences, travaillant parfois dur pour toujours entretenir cette illusion de facilité. Parce que tu aimais ça, que l’on te regarde comme si tu n’étais pas tout à faire réelle, pas humaine.
Oui, tu entretenais à perfection cette illusion mais au fond de toi, tu sais très bien que tu ne serais jamais que la gamine qui souriait, allongée contre son frère qui portait encore l’odeur du crime.
Parce que dans toute cette histoire, le vrai crime avait été commis par ta mère qui avait cessé de t’aimer. Et tu souriais parce qu’elle ne s’en remettra jamais. C’était ainsi qu’il devait en être.
RÉSERVE TON AVATAR
- Code:
<bottin><span class="pris">●</span> <b>Antonina "Tonya" Vasylchenko</b> ━ Rosie Mormont</bottin>
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Ven 11 Aoû 2017 - 21:14
bienvenue officiellement, bb Mormont!
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Ven 11 Aoû 2017 - 21:44
haaaanw l'avatar est super jolie, je connaissais pas!
j'ai hâte que tu finisse ta fiche, mormont ça à l'air prometteur!
bienvenue chez toooii
j'ai hâte que tu finisse ta fiche, mormont ça à l'air prometteur!
bienvenue chez toooii
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Ven 11 Aoû 2017 - 21:55
ROSE ! Te voilà.
Comment j'suis tellement happy de te voir ici !
Termine moi vite cette fiche ! Nous devons dominer le monde !
Si tu as des questions (sur notre lien, la famille, le scénario, etc) ma boite MP est grande ouverte ! J'suis à ta disposition !
Comment j'suis tellement happy de te voir ici !
Termine moi vite cette fiche ! Nous devons dominer le monde !
Si tu as des questions (sur notre lien, la famille, le scénario, etc) ma boite MP est grande ouverte ! J'suis à ta disposition !
- Spoiler:
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Ven 11 Aoû 2017 - 21:56
super choix de pré-lien
elle est toute jolie, je la connaissais pas
bienvenue parmi nous et courage pour ta fiche
elle est toute jolie, je la connaissais pas
bienvenue parmi nous et courage pour ta fiche
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Ven 11 Aoû 2017 - 21:57
Trop bon choix de scénario ! Je suis fan
Bienvenue par ici chaton, bonne chance pour ta fiche !
Bienvenue par ici chaton, bonne chance pour ta fiche !
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Ven 11 Aoû 2017 - 21:59
Ce scénario j'adore !!! Bienvenue parmi nous ! Hâte de lire ta fiche
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Sam 12 Aoû 2017 - 11:37
OMG LA SOEUR DE LANDRY
J'ai déjà trop hâte de vous voir interagir tous les deux, et puis on aura forcément un lien NANMAISOH
Bon courage pour ta fiche et surtout bienvenue à toisexy Mormont
J'ai déjà trop hâte de vous voir interagir tous les deux, et puis on aura forcément un lien NANMAISOH
Bon courage pour ta fiche et surtout bienvenue à toi
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Sam 12 Aoû 2017 - 16:10
bienvenue sur hungcalf!
ça promet du lourd! en tout cas, très beau vava et j'ai hâte de lire la suite!
ça promet du lourd! en tout cas, très beau vava et j'ai hâte de lire la suite!
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Sam 12 Aoû 2017 - 19:24
Merci à vous tous !
Vous êtes adorables, j'espère ne pas vous décevoir !
Vous êtes adorables, j'espère ne pas vous décevoir !
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Dim 13 Aoû 2017 - 12:29
Très bon choix de scénario. Bienvenue parmi nous.
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Dim 13 Aoû 2017 - 16:40
Cousine ! Bienvenue.
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Mar 15 Aoû 2017 - 14:24
Bienvenue cousine ! Bienvenue sur le Forum. T'as fait un super bon choix de scénario, tu vas pas le regretter !
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Mer 16 Aoû 2017 - 0:07
oh, une Mormont
bienvenue parmi nous ma belle avec ce super choix de pré-lien
j'connaissais pas du tout ton avatar, mais elle est magnifique
bon courage pour ta fiche
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Mer 16 Aoû 2017 - 0:15
( J'arrive en retard. x) )
Bienvenue et bon courage pour ta fiche.
Bienvenue et bon courage pour ta fiche.
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Mer 16 Aoû 2017 - 19:03
Bienvenue !
Je ne connaissais pas la demoiselle mais elle est superbe ! Hâte de te voir en jeu, réserve-moi un lien
Je ne connaissais pas la demoiselle mais elle est superbe ! Hâte de te voir en jeu, réserve-moi un lien
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Mer 16 Aoû 2017 - 20:14
Bienvenue damoiselle Mormont !
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Mer 16 Aoû 2017 - 23:55
Merci à vous tous !
Je ne vous oublie pas même si je tarde avec cette fichette !
Je ne vous oublie pas même si je tarde avec cette fichette !
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Jeu 17 Aoû 2017 - 6:14
Bienvenue !!!!!!
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Ven 18 Aoû 2017 - 16:30
bienvenue sur le fofo bonne chance pour ta fiche
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Sam 19 Aoû 2017 - 16:22
Bienvenue mini Mormont ! T'es aussi jolie que ton bro dis moi
Bon par contre, il faut que je mette les choses au clair...
CE SONT LES MCKNACKIS QUI REGNERONT SUR LE MONDE ! NAMEHO ! J'espère que c'est clair
Bon sinon, bon courage pour la suite de ta fichette !
Bon par contre, il faut que je mette les choses au clair...
CE SONT LES MCKNACKIS QUI REGNERONT SUR LE MONDE ! NAMEHO ! J'espère que c'est clair
Bon sinon, bon courage pour la suite de ta fichette !
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Dim 20 Aoû 2017 - 10:40
Hello canari des îles !
Cela fait plus d'une semaine que tu as posté ta fiche et nous n'avons pas de nouvelles
Je déplace ta fiche dans les fiches non actives, n'hésite pas à nous dire si tu as besoin d'un délai ! Sinon, ton compte sera supprimé d'ici quelques jours ! :s:
Cela fait plus d'une semaine que tu as posté ta fiche et nous n'avons pas de nouvelles
Je déplace ta fiche dans les fiches non actives, n'hésite pas à nous dire si tu as besoin d'un délai ! Sinon, ton compte sera supprimé d'ici quelques jours ! :s:
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Dim 20 Aoû 2017 - 20:48
Han !
J'avance (très) lentement mais j'avance, je vais m'atteler à l'histoire ce soir ! :s:
J'avance (très) lentement mais j'avance, je vais m'atteler à l'histoire ce soir ! :s:
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Lun 21 Aoû 2017 - 12:43
Okay, je te rajoute un délai d'une semaine pour terminer ta fiche
- InvitéInvité
Re: Rosie - Méfiez-vous des roses, elles piquent.
Lun 21 Aoû 2017 - 12:59
Merci !
La fiche sera terminée ce soir !
La fiche sera terminée ce soir !
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