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(altaïr) ; astéroïde B612
Mer 20 Sep 2017 - 16:17
— Hikoboshi “Altaïr” Fujiwara
Je suis un professeur | personnage inventé
« Deuxième étoile à droite et tout droit jusqu'au matin ! »
WIZARD CARD INFORMATIONS élégant ✧ charmant ✧ calme ✧ réservé ✧ arrogant ✧ bienveillant ✧ air hautain ✧ sarcastique ✧ joueur ✧ grand enfant ✧ fainéant ✧ rêveur ✧ Peter Pan ✧ ancien Petit Prince | ©️ praimfaya ◈ hyungwon chae |
DESSINE MOI UN MOUTON
Les grandes personnes sont bien étranges, il faut tout leur expliquer.
« Il est bizarre ton dessin, Hiko. »
L’enfant leva les yeux vers son grand frère et sourit, comme si on venait de lui faire le plus beau compliment qui soit. Il avait du crayon plein les doigts et des étoiles plein les yeux, les joues rondes et les cheveux colorés ébouriffés, il avait six ans. La chaleur était écrasante, comme le regard sévère de son père sur ses petites épaules, de l’autre côté du salon. Le clan était en vacances dans la demeure familiale, loin du bruit de la ville et des moldus, le ciel y était pur et les montagnes hautes, Hiko était heureux dans cet endroit.
« Concentre-toi sur ta calligraphie, tu gribouilleras après. »
L’enfant fronça les sourcils, les lèvres pincées et les petits poings serrés. Les grandes personnes ne comprendront jamais. Et Hiko ne les comprendra jamais. Ils aiment des types de dessins, mais en chassent d’autres d’un revers de main, sans même essayer de regarder ou de comprendre ce que l’artiste a voulu dire. Les grandes personnes étaient bien tristes, à vouloir tout ranger dans des petites cases, des petites caisses toutes ternes. Hiko trouvait ses dessins beaux, parce qu’ils étaient plein de couleurs, qu’ils exprimaient ses pensées, ses questions, mais la froideur de son père le rendait triste, et plus le temps avancé, plus ses dessins devenaient ternes. Le ciel autour de lui perdait de son éclat, ses cheveux s’assombrissaient, et les nuages devaient du plomb dans son petit esprit.
Alors qu’il devenait un petit garçon modèle, il perdait son sourire, parce qu’il n’avait plus ses dessins, parce qu’il respectait à la lettre des règles qu’il trouvait idiotes. Mais parfois, il observait le ciel, et y traçait ses propres constellations, à sa manière. Sa mère le surprenait parfois, à veiller tard le soir, mais elle ne le réprimandait pas, ou plutôt, elle ne le réprimandait plus. Elle comprenait, au fond. Elle était juste heureuse quand il souriait.
+++
Sa mère fut le premier renard qu’il ait rencontré. Sa lignée familiale est bercée par une légende, bien différente de celle de son père. On racontait qu’un Kitsune était l’ancêtre de cette famille, un renard fantastique, messager d'Inari, un être aussi sage que malin, capable de se métamorphoser en une jeune femme et de séduire les mortels. Cette histoire permettait d’expliquer l’existence de ce don dans la famille, celui de métamorphomage. Et Hiko n’avait eu aucun mal à croire en cette légende car sa mère était pourvue d’une aura presque divine, et le petit garçon admirait l’élégance des sorts de sa mère. Et elle exerçait son don avec malice, avec ruse et intelligence, et son patronus, un renard joueur, laissait entrevoir cette partie d’elle qu’elle ne montrait presque jamais.
Elle restait distante, avec tout le monde, même ses enfants. Mais Hiko avait cette chance de naître avec le même don qu’elle, et quand elle estima qu’il était temps, elle prit l’habitude de l’emmener avec elle pour l’entraîner à son don. C’était dur, elle était sévère, mais ces moments les rapprochèrent, les rendant presque complices.
« Où se trouve Hikoboshi ?
- Oh, il est dans sa chambre, je lui ai demandé de s’entraîner un peu, il ne faut pas le déconcentrer. »
Elle baissa le regard la rue, pour voir un jeune garçon aux traits si peu familiers au contraire de son rire. Elle soupira et ferma la fenêtre ainsi que ses yeux. Hiko apprenait vite, un peu trop vite, mais elle ne pouvait pas lui en vouloir, elle faisait exactement pareil, enfant. Se transformer pour échapper. Heureusement, elle aimait trop son mari pour continuer d’aller danser avec de parfaits inconnus.
Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis.
« T’es pas de Mahoutokoro ?
- Si.
- Qu’est-ce que tu fous ici alors ?
- Je suis curieux. »
Le jeune homme renifla avant de lâcher un rire moqueur. Hikoboshi resta dans sa position initiale, déjà trop grand en taille pour son âge, il avait treize ans. Il était toujours aussi curieux, aussi rêveur, et il venait de s’enfuir d’une réception grandement ennuyeuse sous les traits d’un des serveurs avant de redevenir Hiko une fois dans la rue. Dans son t-shirt long, son vieux jean et ses baskets d’un autre temps (vêtements qu’il avait embarqués en douce), il n’avait pas l’apparence de son rang, mais ces jeunes sorciers n’étaient pas dupes.
Ils étaient déscolarisés. Enfin, ils ne rentraient pas dans les codes des sorciers japonais, et se démerdaient à leur manière, lors de la prestigieuse école de magie nippone.
« C’est pas un membre des Fujiwara ?
- Moi c’est Hiko, enchanté. »
Ils le regardèrent s’incliner rapidement, interdits. Qu’est-ce que ce gosse de riche faisait à montrer du respect pour des gosses comme eux ? Après un instant de silence, un rire surgit du groupe et une personne se détacha du lot pour venir taper l’épaule d’Hiko d’un geste amical. C’est ainsi qu’il rentra dans ce cercle si étrange d’amis. Aussi simplement. Et Hiko était heureux avec eux, il retrouvait le sourire, aussi éclatant que l’or de sa robe à Mahoutokoro.
Akihito, le garçon qui avait été le premier à l’accueillir, a été le deuxième renard de sa vie. C’est avec lui qu’il a appris l’amitié, les joies et les traquas qui en découlent.
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« C’est quoi ton histoire ?
- Le Petit Prince.
- Ah, ce truc français-là, je trouve ça un peu chiant. Je préfère Peter Pan. Je l’ai vu à un télé moldue, là.
- Pourquoi ?
- Je ne sais pas, on est un peu comme les enfants perdus, tu sais.
- Oh.
- Enfin, « on », t’es un peu des nôtres aussi, mais t’es toujours différent de nous, t’es toujours ailleurs. Comme le Petit Prince. Mais en moins chiant quand même.
- Merci. Souffla Hiko en baissant les yeux et en souriant.
- De rien. Dis, quand tu partiras en Angleterre, tu nous écriras, hein ?
- Si tu me payes des jetons à la borne d’arcades, pourquoi pas ?
- Tu ne perds pas le Nord toi, viens vite, ça va fermer et ton dragon de père ne va pas tarder à casser les couilles ! »
Les étoiles sont éclairées pour que chacun puisse un jour retrouver la sienne.
« Cher Akihito,
J’ai vu Big Ben, et j’ai essayé de repérer la deuxième étoile à droite. Je sais que c’est idiot, je n’ai aucun véritable point de repère et les lumières de la ville aveugle les étoiles, mais je pense que je l’ai vu. Elle ne scintillait pas très fort, elle était assez discrète, mais moi, je la trouve très belle et élégante. Arrête de rire (je sais que tu le fais), tu me connais, tu sais comment je suis et merci de rester à mes côtés malgré ça. Je sais que je peux être chiant. Cette étoile, j’aimerais te la montrer un jour, mais il faut que tu respectes ta promesse d’abord : travaille à l’école, on a de la chance qu’ils t’aient accepté malgré tes années de retard. Je pense que tu peux y arriver. On vit dans un monde où la magie est réelle, alors permets-moi de croire aux miracles ! (bizarrement, j’ai moins de scrupules à te taquiner quand je suis hors de porter de tes coups)
Comme prévu, les grandes personnes anglaises sont aussi coincées que les grandes personnes japonaises. Je n’arrive pas à croire que je vais devenir comme eux, ça me dégoûte. Et les adolescents, ne faut même pas en parler. Je savais que je trouvais la perle rare avec vous, mais là, les sang-purs, rien que d’y penser, j’ai des envies de meurtres. Ils pètent tellement plus haut que leur cul on ne peut plus voir le faux plafond de la grande salle. Ah oui ! À Poudlard, le plafond de la salle principale reflète le ciel extérieur, j’y suis allé cette nuit en cachette pour pouvoir les voir. La Grande Ours n’est pas exactement à la bonne place, mais je dois me retenir de faire la remarque, je ne peux pas me faire griller si facilement !
Oh, et oui, il y a de très jolies filles à Poudlard. Et de très beaux garçons. Fais pas cette tête, tu sais que tu resteras à jamais mon premier baiser (je remercie le ciel de ce défi à la con qu’on a relevé) ! Non, tire pas cette tête dégoutée, ton égo de male alpha peut bien prendre quelques blagues à ce sujet. Sérieusement, merci de ne pas m’avoir rejeté quand je te l’ai dit. J’avais peur, tu sais ? Je ne sais pas qui m’aurait soutenu, et je n’aurais jamais osé regarder mon père dans les yeux s’il l’avait appris. Et encore une fois : je ne suis pas amoureux de toi, je t’aime trop pour ce que soit le cas. (Ça fait du sens, mais prends le temps d’y penser, fais pas une surchauffe avant d’aller en cours)
Je dois écourter cette lettre, je dois encore écrire celle pour ma mère et celle pour mon père.
Dis bonjour aux autres enfants perdus de ma part, ne vous battez pas trop. L'arcade me manque, vous aussi.
Je vous embrasse de ma nouvelle planète, qui sait, je trouverais peut-être un renard et une rose au détour d’un lampadaire !
Votre Petit Prince ✵ »
Dans un petit paquet à côté de la lettre, on peut trouver plusieurs Dragées surprises de Bertie Crochue ainsi qu’un lance-pierre enchanté venant du magasin de farces et attrapes.
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« Maman,
Je me suis installé avec les autres personnes de ma maison. Ils sont très studieux et très calmes, mais c’est assez simple de leur parler. Comme promis, je ne leur dis pas pour mon don, même si le professeur de métamorphose y a fait allusion en cours aujourd’hui. C’était dur de ne pas réagir aux (conne) aux bêtises que les autres élèves disaient, mais j’imagine que mon regard parlait pour moi. (une autre chose que j’ai héritée de toi)
Vous le savez déjà, père et toi, mais je suis parmi les Serdaigle. Je sais que père aurait préféré les Serpentards, pour que ce soit plus simples pour m’intégrer aux sangs-purs, mais je le rassure, certains d’être eux ne me sont pas antipathiques. Qu’il ne s’inquiète pas, sa santé est de plus en plus fragile et je m’inquiète de le voir d’agiter comme ça.
Merci d’avoir signé l’autorisation pour pré-au-lard, j’ai déjà eu l’occasion de faire un tour là-bas, je sais que tu m’as dit que tu ne voulais pas de cadeau, mais permets-moi de te désobéir. Je vais aussi envoyer des cadeaux pour les petits, ils me manquent, demandent leur pardon de ma part.
Prends soin de toi et de papa, je t’aime. Vous me manquez cruellement.
Le renard curieux, Hiko. »
Est accompagné de la lettre, un foulard de première main ainsi que des babioles et des livres.
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« Père,
Merci pour ta lettre et tes recommandations. Les professeurs sont satisfaits de mon travail pour l’instant, l’été passé enfermé au domaine familial porte ses fruits. Les cours ne sont pas aussi rigoureux qu’à Mahoutokoro, je le regrette de l’avouer, mais je continue à appliquer les préceptes qu’on m’a enseignés.
J’ai fait la connaissance de certains noms, ceux que tu m’as conseillés. Tout est très cordial pour l’instant, je ne suis qu’un étranger pour eux encore. Mais j’y travaille, comme je suis bon élève, je peux travailler en équipe avec quelques-uns et mon anglais semble les charmer un peu. Merci pour les cours intensifs et pour les sermons.
Je suis honoré que tu aies choisi de m’envoyer loin du Japon, de mes proches et de ma famille pour me faire découvrir l’Écosse et l’Angleterre. Quatorze ans, c’est assez vieux pour tout laisser derrière, j’imagine.
Je sais que tu comptes sur moi,
Bien à toi,
Fujiwara Hikoboshi. »
Avec la lettre se trouve un révélé de notes.
Que signifie « apprivoiser » ?
– C’est une chose trop oubliée, ça signifie « créer des liens »
– C’est une chose trop oubliée, ça signifie « créer des liens »
« Hey, la diva, on y va ! »
Hiko changea une dernière fois de haut et de couleur de cheveux avant de sortir de la chambre d’hôtel, une moue faussement hautaine sur les lèvres. Il brillait du haut de ses dix-sept ans et il sourit à la ville qui s’étendait au-delà des fenêtres. Poudlard s’était terminé à peine quelques semaines plutôt, et il était de retour au Japon, comme chaque année. Mais cette fois, il avait emmené un beau petit monde avec lui. À coups d’yeux doux et d’un grand talent d’interprète et de diplomatie, il avait fait se rencontrer ses amis japonais et ses amis so british. En effet, Hiko s’était forgé de nouvelles amitiés à Poudlard, un groupe étrangement composé de sang-purs (ceux-là même qu’Hiko ne pouvait supporter au premier regard, ça lui avait appris à juger sur la couverture), de sang-mêlé et de nés-moldus, de toutes les maisons. Et ces amis l’aimaient assez pour se laisser embarquer dans une aventure au Japon, et dans le monde moldu. Et Akihito ainsi que le reste de la bande avaient bien sûr été de la partie.
La collision des deux planètes avait été explosive, mais à présent, les deux groupes s’entendaient assez bien pour pouvoir partir en soirée ensemble.
Quand il rejoignit le groupe pas si petit dans le hall, il éclata de rire en voyant son meilleur ami japonais s’amusait à taquiner le plus Serpentard du groupe avec un anglais approximatif. Il se souvient avoir pris une photo, au côté de cette jeune Gryffondor.
Elle était son troisième renard. Plus jeune, elle n’avait pas encore fini Poudlard, mais elle avait réussi à convaincre ses parents de la laisser venir avec le reste du groupe. Une âme joueuse, qui prenait souvent Hiko de court, mais qui l’amusait au plus haut point. Elle était adorable avec lui autant que l’était sa grande sœur, aussi présente, dont Hiko était un peu, beaucoup, amoureux.
+++
« Tu vas t’en remettre Hiko’ ! »
Hiko cachait ses larmes dans le bouquet de roses dans les bras. Il faisait nuit, ils n’étaient pas loin du domaine familial des Fujiwara (Hiko savait que c’était sa mère qui leur avait autorisé l’accès). Tous ses proches étaient là.
Akihito et les enfants perdus, se moquant presque ouvertement de ses larmes, mais avec une main rassurante dans son dos.
Les Comètes de Poudlard (ils étaient jaloux de ne pas avoir de nom de groupe comme les Japonais donc ils ont décidé de prendre ce nom), fiers d’avoir réussi à endormir les soupçons d’Hiko sur une éventuelle fête d’anniversaire.
Parmi eux, il y avait sa rose, la femme dont il était amoureux, qui le regardait avec tant d’affections derrière sa coquetterie et ses manières. Elle lui avait murmurait des paroles qu’il pensait ne jamais entendre et ce fut son cadeau.
Son plus vieux frère et une de ses sœurs, qui regardaient tout ce beau monde avec un regard curieux, un peu mal à l’aise de la présence de reniés. Mais ce soir, c’était un soir pour Hikoboshi, et malgré les principes familiaux, ils étaient heureux de voir leur frère sourire.
Un de ses oncles, qui avait été écarté du cercle de la famille à cause de son mariage avec une moldue sans le sou, était donc là, et avec lui ses plus ou moins jeunes enfants. Ces derniers étaient réunis autour de leur cousin et le bombardaient de questions, auxquelles Hiko peinait à répondre.
Hiko avait aussi vu quelques instants sa mère, loin des regards et avait pu la prendre dans ses bras quelques instants. Elle était la seule à avoir vu une lueur triste et mélancolique dans son regard, elle était la seule à pouvoir le lire aussi facilement, peut-être était-ce parce que c’était elle qui lui avait appris à jouer la comédie. Elle savait qu’Hiko avait peur de voir le temps qui passe, qu’il ne voulait pas grandir, parce qu’il savait que les années pouvaient tuer une amitié ou faner une rose. Elle savait qu’il pleurait de joie, une joie sincère de voir toutes ces personnes autour de lui, mais il pleurait aussi de mélancolie, car plus que jamais il se sentait seul.
+++
« Donc, tu es le descendant d’une étoile ?
- C’est la légende de ma famille paternelle. C’est pour ça que je me fais appeler Altaïr, c’est le nom que vous donnez à Hikoboshi l’étoile dont ma famille descendrait. Dans certaines versions, il est d’abord un mortel avant d’être une étoile. Orihime serait mon autre ancêtre, la fille du roi des cieux. Ce dernier lui présenta Hikoboshi dont elle tomba fortement amoureuse, ils se marièrent très vite et elle donna naissance à des enfants.
- Que se passe-t-il après ?
- Ils sont séparés.
- Pourquoi ?
- Ils s’aimaient trop, au point d’oublier leur rôle divin. Le roi des cieux les sépara par la Voie Lactée, le père et les enfants d’un côté, la mère de l’autre. Face aux pleurs de sa fille, le roi consentit à les laisser se retrouver une fois par an.
- C’est cruel. »
Hiko sourit, mais elle ne le regardait déjà plus. L’aube pointait dans l’horizon, la fête s’était terminée quelques instants auparavant et elle l’avait rejoint dans sa contemplation du ciel. Il savait qu’elle ne s’intéressait pas plus que ça à l’astronomie, mais il appréciait l’effort et la sensibilité qu’elle ne voulait pas toujours montrer. Oui, c’était une vraie rose à ses yeux.
« Je devrais aller dans la chambre, sinon je serais horrible demain. Tu devrais faire de même.
- Le soleil se lève.
- Et ?
- Je ne sais pas, j’aime les levers de soleil.
- Plus que tu n’aimes les roses ?
- Tu sais que si je viens avec toi maintenant, tu ne dormiras pas du tout ?
- Je me disais bien que t’avais autre chose en tête que des étoiles et de la littérature. »
Et c'est ainsi que je fis la connaissance du petit prince.
« Hiko,
Tu es où ? On s’inquiète pour toi, tu avais l’air paniqué. Tu as parlé d’urgence, tu avais les larmes aux yeux, j’espère que tu vas bien. Sérieux, réponds vite, fais-nous au moins un signe, même les Britishs n’ont pas su nous dire où t’étais. L’autre serpent dit que tes histoires te sont montées à la tête. C’est dans ces moments-là que j’ai envie de claquer de l’Anglais.
La rentrée est dans deux jours, je vais venir en à Hungcalf voir si tu es là si jamais tu ne réponds pas, pour te botter le cul moi-même.
J’espère que tu vas bien, que ce n’est pas trop grave,
Akihito, l’enfant perdu. »
La lettre est presque illisible, à cause de l’écriture précipitée.
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« Fujiwara Hikoboshi,
Reviens immédiatement au domaine principal.
Fujiwara Genjiro. »
La lettre est marquée du sceau de la famille, mais certaines lettres sont tremblantes d’un sentiment inconnu.
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« Hikoboshi,
Reviens-nous vite, on sait tous que tu n’es pas en Écosse. Tu es devenu si pâle quand tu as lu cette lettre, je pensais que tu avais appris à gérer tes émotions. Sois sûr d’avoir repris des forces quand tu reviendras, tu en auras besoin pour faire face à ton père. Mais il n’osera pas te renier, s’il le fait, il aura à dire adieu à la protection de mes ancêtres, et même s’il ne l’avoue pas ouvertement, ton imagination ne vient pas seulement de moi.
Ton père est fou d’inquiétude et de rage, ta sœur parle d’un déshonneur que tu aurais jeté sur notre famille. J’ai toujours été de ton côté, alors pourquoi tu ne m’en as pas parlé ? J’aimerais te dire que je te fais confiance, mais je reste une mère, et toi, tu es mon fils. Ton silence n’arrange rien.
Dis-moi, petit renard, est-ce vrai que je vais être grand-mère ?
Maman. »
L’écriture est élégante, mais certaines lettres sont moins nettes que d’autres, l’encre n’ayant pas bien séchée dans la précipitation.
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« Altaïr,
Ta rose est à l’hôpital sorcier de Munich. Dépêche-toi.
Une renarde. »
Le mot est froissé, et fourré dans la poche d’un sorcier essoufflé.
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« Maman,
Tu es grand-mère. »
Le papier est ondulé par endroits de larmes.
Car elle ne voulait pas qu'il la vît pleurer. C'était une fleur tellement orgueilleuse...
« Hiko, c’est quoi cette gueule ? »
Akihito se précipita sur son ami pour observer les dégâts, mais celui-ci le repoussa pour lui intimider de se taire en montrant une petite forme endormie dans le lit à côté de lui. Hiko était assis à terre, méconnaissable, des hématomes lui déformant le visage. Il venait de revenir d’Allemagne, pays d’origine de sa rose, enfin, son ancienne rose.
Ils n’étaient déjà plus ensemble quand la grossesse était devenue trop voyante pour être ignorée, elle lui avait préféré un jeune homme qui entrait beaucoup plus dans les critères de ses parents. Hiko avait beau avoir le sang aussi pur, le fait qu’il ne se destinait pas à un métier de ministre et ses extravagances ne faisaient pas de lui le gendre idéal. Cependant, il avait aussi initié la séparation : il la trouvait trop capricieuse et coquète, et il ne se sentait pas aimé.
Elle avait vite compris l’identité du père de son enfant, mais l’avait caché.
Car pendant ces quelques mois, Hiko avait montré une part de lui assez peu… Enfantine ? Sa débauche, qui existait déjà avant, mais dans un degré un peu moindre comme les boissons qu’il consommait, était certes teintée de son chagrin, mais il avait aussi eu envie de dépenser sa jeunesse tant qu’il était encore temps. Il voyait la vieillesse comme un fardeau, et il avait essayé les substances que son ami Serpentard lui proposait. « C’est le genre de choses qui répond à toutes les énigmes » lui avait-il dit alors qu’Hiko repartait dans une galaxie dont il n’avait même pas connaissance. Dans cette période, il participa de manières beaucoup plus actives aux « activités » pas tout à fait légales ou sans dangers de ses amis nippons, jouant avec sa nature pacifiste et son apparence inoffensive. Il se révéla être un excellent duelliste quand la situation l'exigeait.
Ce fut une période courte et intense, il continuait de jouer le fils modèle avec sa famille, mais le regard de ses proches laissaient paraître leurs soupçons. Akihito l’avait déjà porté à bout de bras pour le ramener chez eux, et depuis, il s’entend assez mal avec celui qu’il appelle « le Serpent british ».
Mais la lettre de la renarde l’avait ramené violemment sur terre, et il avait disparu pour venir à Munich. Bien sûr, le petit ami, ou plutôt, le fiancé, ne l’avait pas accueilli les bras ouverts.
« Il t’a frappé ?
- Oui.
- Et toi, pacifiste de mes couilles que tu es, tu n’as pas répliqué, hein ?
- Je suis tellement gentil, je lui ai permis de rester au côté de sa femme en lui donnant une raison valable de rester à l’hôpital.
- Il t’a énervé à ce point ?
- Il m’a appelé le chinois de service.
- Rassure-moi, tu lui as arraché la langue au passage ? »
Ils rirent un peu, avant de plonger dans un lourd silence. Akihito regarda le visage meurtri de son ami avant de demander :
« Et ton petit prince ? Il va bien ?
- Oui. Il est resté endormi pendant toute l’altercation, c’est moi qui vais m’en occuper à présent.
- Pardon ?
- Elle refuse de le garder, elle dit qu’elle n’a pas le temps et qu’elle ne peut pas l’imposer à son fiancé, et qu’elle est trop jeune pour être mère.
- Elle se fout de ta gueule ? Le ton monta soudainement, et des larmes de rage commencèrent à perler. Elle te laisse derrière, comme ça, et tu dois t’occuper seul d’un gamin ?
- Ça ira, je me débrouillerai.
- Mais, ton père, ta famille…
- Je dois les voir ce soir. Dans le pire des cas, je serais renié. J’irais en Écosse pour de bons, avec mon oncle, mais promis, quand il aura un peu grandi, je viendrais vous voir. Ça ira, je te jure que ça ira.
- Arrête de mentir Hiko, tu es effrayé. »
Dessine-moi un mouton.
Le nez plongé dans ses cours, il ne vit pas arriver à ses côtés un petit bonhomme bien curieux.
« Tu fais quoi papa ?
- Je travaille Petit Prince, retourne jouer un peu avec ton cousin, d’accord ?
- Tu peux me dessiner une histoire ? Demanda le Petit Prince en ignorant la suggestion de son père.
- Quand j’aurais fini ça.
- C’est quand qu’on retourne voir mamie et papy ? »
Hiko laissa sa plume en suspend quelques instants puis se tourna vers son fils, d’un hochement de tête, il l’autorisa à monter sur ses genoux.
« On ira à Noël. Mais tonton Aki vient la semaine prochaine, si tu veux. »
Le visage de son fils s’illumina, et Hiko s’en voulu de ne pas avoir été beaucoup présent ces derniers temps. Il remerciait son oncle d’avoir accepté de les faire vivre chez eux, permettant à Hiko de continuer ses études à Hungcalf, parmi les Ethelred. Cependant, il voulait à tout prix devenir indépendant, il accumulait de nombreux petits boulots dont celui de libraire.
Toute sa vie tournait autour de son fils, même s’il tentait de garder un minimum de lien social avec l’extérieur. Ils pouvaient compter sur ses amis pour venir le tirer de ses études et jouer les baby-sitters pendant qu’Hiko écumait les bars comme tout bon étudiant.
+++
« Maman m’a écrit une lettre !
- Tu l’as lu ?
- Non, je veux que ce soit toi qui la lises.
- Tu sais lire tout seul petit bonhomme.
- Mais j’aime bien ta voix…
- Peut-être que maman te dit un secret, qu’elle ne veut pas que je sache.
- Papa, pourquoi t’es toujours triste quand on parle de maman ?
- C’est une longue histoire Petit Prince. »
Le petit garçon gonfla les joues, mais se tut, voyant que son père n’avait pas encore assez dormi cette nuit. Hiko se demandait s’il avait capable d’aimer sa rose un peu plus, de l’aimer mieux, est-ce que tout serait différent ? Mais dans sa large toile de « et si », il n’arrivait pas à imaginer un seul tableau où son petit bonhomme n’existerait pas.
+++
Le Poudlard Express. Hiko était beaucoup plus ému qu’il osait se l’avouer, sa mère était présente à ses côtés, comme la mère de son fils. Elle était en train de réarranger les vêtements du garçon sous le regard inquisiteur de son ancienne belle-mère.
« Ton père aurait aimé le voir à Mahoutokoro. Dit-elle soudainement, prenant son fils de court qui laissa sortir un rire sarcastique.
- Je ne suis pas sûr qu’il y soit le bienvenu. Ici, au moins, il a ses cousins.
- Je n’ai jamais compris ce que vous avez tous pour l’Écosse dans cette famille. Le ciel est trop couvert pour toi, et il fait affreusement froid. »
Il rit une nouvelle fois et jeta un regard attendri à sa mère, dont le regard était toujours porté sur son petit-fils.
« Et toi ? Tu ne vas pas trop te sentir seul ?
- Oh, tu sais, j’ai des milliers d’étoiles à qui parler la nuit. »
Une fois de plus, il éclata de rire face au regard ahuri de sa mère. (Il avait appris à jouer de son image de rêveur) Celle-ci s’adoucit doucement à l’entente de cette mélodie, petit bonhomme, je veux encore t'entendre rire...
C'est alors qu'apparut le renard.
Hikoboshi leva les yeux vers le tableau, à moitié somnolant. Il était des murmures curieux autour de lui, mais il ne s’en formalisa pas. Un léger sourire naquit sur ses lèvres quand une élève de première année demanda à une autre si le professeur n’était pas absent, et à quoi pouvait-il bien ressembler. Ils s’attendaient tout à un vieux croulant, à la barbe de sage et au dos voûté.
Alors, quand il se redressa et s’avança vers l’estrade, tous le regardèrent sans comprendre. Sans se presser, il installa ses affaires sur le bureau, et commence à écrire sans même regarder le tableau à la fois en idéogramme et en alphabet latin :
« Hiroboshi Fujiwara, professeur d’astronomie. »
Il dut se mordre la lèvre pour ne pas éclater de rire face à la réaction de ses élèves.
+++
« Monsieur ?
- Oui ?
- Vous êtes un vampire ? »
Hiko rit et replongea la tête dans son livre, il était habitué à ce genre de questions à présent et ne prenait plus la peine de donner une réponse. Il vit du mouvement du coin de l’œil et remarqua que l’élève s’était mis à genoux devant le bureau pour être à sa hauteur.
« Monsieur ?
- Oui ?
- Vous êtes beau. »
Cette fois, il leva un sourcil étonné et observa vraiment le drôle de personnage en face de lui. Ah, c’était un des élèves qu’il avait récupéré de l’ancien professeur, il n’avait les troisièmes années que quelques fois et il n’avait pas eu l’occasion de retenir les noms.
« Excuse-moi, ton nom m’échappe, tu es ? »
L’élève fit une moue triste avant que la cloche ne retentisse, après un petit cri de surprise, l’élève prit soudainement la fuite en lançant un :
« A plus tard monsieur, à la même heure ! »
+++
« Monsieur ?
- Oui ?
- On pourra faire notre cours particulier dehors la prochaine fois ? »
Hiko ne leva pas les yeux de la copie qu’il relisait, il était maintenant habitué aux lubies de son étrange élève. C’était son quatrième renard, celui qu’il n’avait pas encore complétement apprivoisé, et celui qui lui secouait le plus le cerveau et cœur. L’élève était maintenant en cinquième année, et en deux ans, ils avaient établi une étrange série de rituels, guettant chacun de son côté le premier qui oserait franchir la limite.
« Quand tu augmenteras tes notes, pour l’instant, tu ne montres pas une grande concentration en cours.
- La faute à qui ? »
Hiko soupira, mais ne répondit pas.
« Monsieur ?
- Oui ?
- Je pourrais voir votre vrai visage un jour ?
- C’est déjà mon vrai visage.
- Pardon, je ne savais pas que vous étiez Peter Pan. »
Hiko sourit, pouffa et l’élève sourit. Il aimait entendre ce rire.
« Papa ? »
Une voix les interrompit et le Petit Prince en titre entra dans la pièce. Ce dernier venait tout juste de rentrer en première année, et portait dans ses bras ce qui ressemblait à une immense pelote de laine. L’élève s’éclipsa doucement, sachant très bien que son temps était écoulé et le Petit Prince s’installa face à son père.
Ce dernier réalisa soudain que la pelote de laine était vivante. Et un sourire malicieux se dessina sur les lèvres de son fils. Tout n’était pas rose entre eux, loin de là, il y avait de nombreux orages (dû à sa mère, à l’apparence d’Hiko etc.) et le petit avait bien grandi, mais il y avait toujours entre eux ce message codé, cette grande complicité.
« Envisageons l’hypothèse que j’ai décidé d’adopter cet agneau, est-ce que tu pourrais dessiner une assez grande caisse pour le transporter ?
- Je ne veux même pas savoir où et comment tu l’as trouvé.
- Je l’ai dessiné et j’y ai cru très très fort.
- Tu m’as pris pour qui ?
- Hé, joue pas ta grande personne. »
Et il rit encore.
« Et quand tu seras consolé (on se console toujours) tu seras content de m'avoir connu. Tu seras toujours mon ami. Tu auras envie de rire avec moi. Et tu ouvriras parfois ta fenêtre, comme ça, pour le plaisir... Et tes amis seront bien étonnés de te voir rire en regardant le ciel. Alors tu leur diras : « Oui, les étoiles, ça me fait toujours rire ! » Et ils te croiront fou. Je t'aurai joué un bien vilain tour... »
Et il rit encore.
RÉSERVEZ VOTRE AVATAR
- Code:
<bottin><pris>●</pris> <b>chae hyungwon</b> ━ hikoboshi fujiwara</bottin>
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Mer 20 Sep 2017 - 17:35
Je sens que Sapphire va adorer son prof d'astronomie Bienvenue
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Mer 20 Sep 2017 - 17:41
Owi un collègue
Welcome in the team bro !
Welcome in the team bro !
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Mer 20 Sep 2017 - 18:06
BIENVENUE
J'ai hâte de te lire
(et puis Altaïr ... )
J'ai hâte de te lire
(et puis Altaïr ... )
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Mer 20 Sep 2017 - 18:11
Olalala ce prooooof (j'adore les bouilles asiatiques ), j'espère que tu vas te plaire avec ce nouveau perso
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Mer 20 Sep 2017 - 18:40
rebienvenuee
omg j'adore tout ce que tu as écrit, ça promet tout ça
omg j'adore tout ce que tu as écrit, ça promet tout ça
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Mer 20 Sep 2017 - 19:44
Aaaaaah ce nouveau perso, j'adore !
Mais il fait carrément jeune pour un prof de 37 piges nan ?
En tout cas, j'ai hâte de lire la suite !
Mais il fait carrément jeune pour un prof de 37 piges nan ?
En tout cas, j'ai hâte de lire la suite !
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Mer 20 Sep 2017 - 22:24
han làlà! il a tellement l'air d'un gamin! Lynn, elle va halluciner en le voyant!
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Mer 20 Sep 2017 - 22:29
Rebienvenue avec ce nouveau personnage !
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Mer 20 Sep 2017 - 22:38
Rebienvenue j'ai hâte de découvrir ce nouveau personnage !
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Mer 20 Sep 2017 - 22:58
Rebienvenue
UN PROF D'astronomie en plus Tu fais le bonheur de ma Louise
UN PROF D'astronomie en plus Tu fais le bonheur de ma Louise
- Margaret RoseburyThe Devil wears blue
- » parchemins postés : 921
» miroir du riséd : Jessica Chastain
» crédits : Angie
» multinick : Jules, Caël et Verena
» âge : 46 ans
» situation : Célibataire
» année d'études : .
» profession : Professeure de Sciences Politiques et Magiques & Directrice des Lufkin
» particularité : Legilimens
» nature du sang : Sang-pur
» gallions sous la cape : 1474
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Jeu 21 Sep 2017 - 14:04
Bienvenue cher collègue !
“Si vous voulez des discours, demandez à un homme. Si vous voulez des actes, demandez à une femme.” ▵ endlesslove.
La Dame ne fait pas demi-tour. ▵
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Jeu 21 Sep 2017 - 18:13
Astéroïde B612 #PetitPrince #JéLaRéphérance Re-bienvenue sur le forum et bon courage pour ce qu'il te reste à rédiger
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Jeu 21 Sep 2017 - 18:47
Re bienvenue Sensei ça donne envie de faire astronomie
Bonne chance pour la suite de ta fiche
Bonne chance pour la suite de ta fiche
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Sam 23 Sep 2017 - 12:40
Le Petit Prince moh je t'aime déjà toi !!!!
Bienvenue parmi nous Altaïr
Bienvenue parmi nous Altaïr
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Sam 23 Sep 2017 - 14:46
Comme d'habitude l'accueil est au top ici
Merci à tous pour vos gentils messages, Hiko les prendra peut-être en compte dans la notation
Landry ; Oui, il a l'air très jeune et la personnalité est très jeune aussi mais je compte le justifier dans ma demande de particularité, ne t'inquiète pas je ne brise par les règles sans une très bonne raison
Euridyce ; oui, tu as la réf j'avais peur que personne ne s'en rende compte
Venez tous en astronomie, on est bien
Merci à tous pour vos gentils messages, Hiko les prendra peut-être en compte dans la notation
Landry ; Oui, il a l'air très jeune et la personnalité est très jeune aussi mais je compte le justifier dans ma demande de particularité, ne t'inquiète pas je ne brise par les règles sans une très bonne raison
Euridyce ; oui, tu as la réf j'avais peur que personne ne s'en rende compte
Venez tous en astronomie, on est bien
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Sam 23 Sep 2017 - 18:44
j'adore le pseudo!!! dommage que je n'ai pas astronomie dans mes cours
bienvenue chez toi !
bienvenue chez toi !
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Sam 23 Sep 2017 - 20:30
Un nouveau prof. :tong: J'espère qu'on se trouvera un petit lien. Bon courage pour ta fiche.
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Mer 27 Sep 2017 - 14:28
bienvenue
dans ta nouvelle famille
★ Le Staff de Hungcalf a l'immense plaisir de te compter parmi ses
★ Lorsque la paperasse sera enfin bouclée, tu pourras enfin commencer tes rps, faire ta fiche de liens, lire quelques annexes ou bien développer l'histoire de ton personnage dans ta bibliothèque personnelle.
★ Si le quidditch est ta passion, n'hésite pas à agrandir les rangs de l'équipe de ta maison. Tu souhaites t'investir dans un club ou une association ? Alors viens donc en rejoindre un, c'est de ce côté. Tu peux également faire un tour du côté de notre marché aux liens pour te faire des amis ! *-*
★ Si tu te cherches un copain ou une idée de RP, n'hésite pas à passer dans notre roulette ! Et quand tu auras amassé plein de gallions, une boutique avec plein d'objets et d'avantages est à ta disposition ! *--* D'ailleurs, si tu as pris un scénario ou que tu as privilégie un groupe qui manque de membres, viens te recenser ici pour acquérir tes gallions !
Have fun sur Hung !
PS: encore un perso magnifiquement bien travaillé ! tu connais la maison, rebienvenue chez toi
- InvitéInvité
Re: (altaïr) ; astéroïde B612
Mer 27 Sep 2017 - 14:54
Merci à tout le monde
Merci Alarik je suis de retour pour vous jouer des mauvais tours
Merci Alarik je suis de retour pour vous jouer des mauvais tours
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