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I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Dim 22 Oct 2017 - 21:19
— Tina McKinnon
Je suis une Pokeby | Scénario de @Gideon Mckinnon
« Ladies don't start fight, they finish them. »
WIZARD CARD INFORMATIONS | ©️ moonic ◈ madelaine petsch |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
♪ Soundtrack ♫
Je n’oublierais jamais nos francs éclats de rire, les sifflements bienheureux de mon père ou encore les paroles encourageantes de ma mère lors de nos repas de famille. Il me semble que les mois d’été ont toujours été synonymes de partage, de complicité et d’amusement pour nous, les McKinnon. Loin des cours alambiqués enseignés à Poudlard, je passais le plus clair de mon temps à ébaucher le profil de mes ainés, excepté lorsqu’ils se mettaient à me tirer les cheveux ou à voler mes crayons. Dans ces cas-là, un règlement de compte s’imposait et cela tournait systématiquement à la bagarre. Du haut de mes treize ans, je ne m’en sortais pas trop mal : un ou deux hématomes de temps à autre, rien de bien méchant. Mais à tous les coups, Stephen finissait par nous séparer en soupirant bruyamment ou en grommelant un commentaire désapprobateur : « Calmez-vous un peu. J’essaye d’étudier... »
« Oui, on sait ! » pensais-je parfois à voix haute, tandis que mon rabat-joie de grand-frère levait, pour la énième fois, les yeux au ciel. Si le premier-né était légèrement agacé quant à mes remarques désinvoltes, ces dernières, en revanche, amusaient beaucoup Iwan et Gideon qui ricanaient timidement dans leurs coins. Flattée, je persistais dans ma bêtise, incapable de décevoir mon inestimable auditoire. Une comédienne avérée ! Et ne dit-on pas d’un plaisantin qu’il vit aux dépens de ceux qui l’écoutent ? Quoi qu’il en soit, les journées que Stephen vaquait à nous surveiller ne devaient pas être des plus évidentes et c’est en cela que je l’admire : sensé, calme et bienveillant. Tout ce que je ne suis pas… Entre deux réunions importantes, nos parents quittaient le Ministère de la Magie pour venir nous embrasser. Aussitôt, j’abandonnais mes allures de garçon manqué pour redevenir leur ravissante princesse.
Finalement réunis, les weekends étaient les moments que je préférais, m’offrant quelques jours de répit dans les bras protecteurs de mes proches. Mais jamais, je n'aurais pu imaginer que cette surprenante journée, si belle et ensoleillée puisse virer au cauchemar. Cela faisait deux bonnes semaines que je travaillais corps et âme sur une peinture du salon de la Renardière. Pour une raison que j'ignorais, cela m’égayait, me distrayait. Nos soirées au coin du feu, à savourer un délicieux chocolat chaud en jouant à des jeux de société comptaient parmi mes souvenirs les plus chers.
Ce matin-là, ma formidable mère était venue me réveiller, un doux sourire aux lèvres, aux environs de dix ou onze heures : « Porpentina… Tina, debout. J’ai vu ton tableau, il est magnifique. J’aimerais décorer la salle à manger pour ce soir. Souhaiterais-tu me faire part de ton savoir-faire ? » Je ne saurais dire si cette habile manœuvre était calculée ou non, mais l’un des rares mots magiques capable de me tirer instantanément de mon lourd sommeil adolescent venait d’être prononcé. Sautant, littéralement, de mon lit, je me jetais dans ses bras avant de me précipiter au rez-de-chaussée. Désert ! Les rouquins avaient déjà tous décampés, probablement aux pré-qualifications de leur championnat de bâtons volants… Des années qu’ils m’agaçaient avec ce fichu sport : Quidditch par-ci, Quidditch par-là. Au secours !
Fort heureusement, notre étape mère-fille se déroula sans accro et surtout sans aucune mention à cette activité saugrenue. Après avoir dévoré le plus copieux des déjeuners, je m’attelais finalement à la tâche qui m’était assignée, découpant et pliant de nombreux animaux en papier qu’un habile enchantement maintenait suspendus dans les airs. Les fleurs et ramures récoltées dans notre jardin devenaient, sous mes doigts, de fantaisistes compositions que je disposais avec allégresse sur la table de la salle à manger. Quelques chandelles colorées virent parachever mon œuvre, tandis qu’une délicieuse soupe mijotait sur le feu. C’est alors que deux McKinnon choisirent de rentrer à la maison avec leurs pieds crasseux afin d'engloutir le dîner tant convoité. Anton, Gideon et Iwan manquaient à l’appel. Apparemment, ils s'étaient mis en tête d'aller chasser la licorne dans les bois. Si seulement ils étaient rentrés eux aussi…
Il était tard lorsqu’une clé hésitante tourbillonna dans la serrure de la porte principale et que mes frères bredouillèrent ces quelques mots : « Papa… Maman… » Des murmures désespérés, cette profonde et douloureuse fêlure dans leur voix… Je pense que c’est cela qui nous a tous poussé à les recueillir dans le hall d'entrée. Escorté par Iwan et Anton, Gideon ne semblait plus lui-même, ses doigts affolés soulevèrent lentement la manche de sa chemise quadrillée, dévoilant une effroyable morsure. Je ne pense pas avoir perçu la terreur qui harponna mon père, ni le discret mouvement de recul de ma mère. En bons parents, ils étaient parvenus à contrôler leur désarroi afin de ne pas ébranler davantage mon malheureux ainé. « Tu t’es fait mal Gid' ? » demandais-je aussitôt. Ces grands hommes me barraient tous le chemin. Toutefois, je voulais le voir, je voulais comprendre ce qu’il s’était passé. Donnant des coups de coude dans les jambes d'Anton, j’essayais de m’approcher du supplicié. Vaines tentatives, car Stephen s’empara de ma main et m’éloigna hâtivement de ce drôle de remue-ménage.
Je me rappelle encore de l’inflexion paternelle, presque autoritaire dans ses paroles tandis qu’il m’expliquait avec des mots compliqués la malédiction qui venait de s’abattre sur notre famille. Affalée sur un confortable fauteuil, je l’observais tourner en rond dans le salon, tel un lion en cage. Il baragouinait des expressions que je ne saisissais pas véritablement : « Code de conduite… 1637... Attaques... Loup-garou ! » Je suis restée muette, mais au fond de moi, j’étais et reste persuadée que Gideon avait fait cela pour elle, Holly de Launay. Eprise de mon frère, mon meilleur ami, elle l’avait rendu bien sot depuis quelques mois. Je détestais le ton niais et benêt qu’il adoptait lorsqu’il me parlait de sa blondinette. Aujourd’hui encore, il dénonce un accident, une mésaventure entre frangins, mais je suppose que la réalité est toute autre : une tentative manquée pour émouvoir sa dulcinée, lui prouver sa bravoure ou je ne sais quoi. Interrompant le cours de mes pensées, Iwan nous rejoignit craintivement. Il m’étreignit un instant, me chuchotant à l’oreille : « Porc-épic… Nous ne serons plus jamais les mêmes. » Et c’est comme si mon cœur avait cessé de battre.
Je n’oublierais jamais ce silence pesant, l’inquiétude dans les yeux de mon frère ou encore les larmes angoissées ruisselant sur les joues de mes parents paralysés dans le vestibule. Désemparée, je ne saisissais pas la gravité du problème, si jeune et insouciante. Un automatisme dans ces moments délicats… Installée au coin du feu, mes mains tremblantes effleuraient les cordes de mon violoncelle, mes sombres émotions se muant en une mélodie délicate et ensorcelante, amplifiant notre déchirement à tous face à ce troublant évènement. Le bruissement lourd d'un corps s'effondrant sur le plancher, un hurlement, celui de ma mère et enfin, la voix rauque d'Anton vinrent briser cette insupportable atmosphère : « Il faut l'emmener à Sainte-Mangouste ! »
Je n’oublierais jamais nos francs éclats de rire, les sifflements bienheureux de mon père ou encore les paroles encourageantes de ma mère lors de nos repas de famille. Il me semble que les mois d’été ont toujours été synonymes de partage, de complicité et d’amusement pour nous, les McKinnon. Loin des cours alambiqués enseignés à Poudlard, je passais le plus clair de mon temps à ébaucher le profil de mes ainés, excepté lorsqu’ils se mettaient à me tirer les cheveux ou à voler mes crayons. Dans ces cas-là, un règlement de compte s’imposait et cela tournait systématiquement à la bagarre. Du haut de mes treize ans, je ne m’en sortais pas trop mal : un ou deux hématomes de temps à autre, rien de bien méchant. Mais à tous les coups, Stephen finissait par nous séparer en soupirant bruyamment ou en grommelant un commentaire désapprobateur : « Calmez-vous un peu. J’essaye d’étudier... »
« Oui, on sait ! » pensais-je parfois à voix haute, tandis que mon rabat-joie de grand-frère levait, pour la énième fois, les yeux au ciel. Si le premier-né était légèrement agacé quant à mes remarques désinvoltes, ces dernières, en revanche, amusaient beaucoup Iwan et Gideon qui ricanaient timidement dans leurs coins. Flattée, je persistais dans ma bêtise, incapable de décevoir mon inestimable auditoire. Une comédienne avérée ! Et ne dit-on pas d’un plaisantin qu’il vit aux dépens de ceux qui l’écoutent ? Quoi qu’il en soit, les journées que Stephen vaquait à nous surveiller ne devaient pas être des plus évidentes et c’est en cela que je l’admire : sensé, calme et bienveillant. Tout ce que je ne suis pas… Entre deux réunions importantes, nos parents quittaient le Ministère de la Magie pour venir nous embrasser. Aussitôt, j’abandonnais mes allures de garçon manqué pour redevenir leur ravissante princesse.
Finalement réunis, les weekends étaient les moments que je préférais, m’offrant quelques jours de répit dans les bras protecteurs de mes proches. Mais jamais, je n'aurais pu imaginer que cette surprenante journée, si belle et ensoleillée puisse virer au cauchemar. Cela faisait deux bonnes semaines que je travaillais corps et âme sur une peinture du salon de la Renardière. Pour une raison que j'ignorais, cela m’égayait, me distrayait. Nos soirées au coin du feu, à savourer un délicieux chocolat chaud en jouant à des jeux de société comptaient parmi mes souvenirs les plus chers.
- La Renardière peinte par Tina:
Ce matin-là, ma formidable mère était venue me réveiller, un doux sourire aux lèvres, aux environs de dix ou onze heures : « Porpentina… Tina, debout. J’ai vu ton tableau, il est magnifique. J’aimerais décorer la salle à manger pour ce soir. Souhaiterais-tu me faire part de ton savoir-faire ? » Je ne saurais dire si cette habile manœuvre était calculée ou non, mais l’un des rares mots magiques capable de me tirer instantanément de mon lourd sommeil adolescent venait d’être prononcé. Sautant, littéralement, de mon lit, je me jetais dans ses bras avant de me précipiter au rez-de-chaussée. Désert ! Les rouquins avaient déjà tous décampés, probablement aux pré-qualifications de leur championnat de bâtons volants… Des années qu’ils m’agaçaient avec ce fichu sport : Quidditch par-ci, Quidditch par-là. Au secours !
Fort heureusement, notre étape mère-fille se déroula sans accro et surtout sans aucune mention à cette activité saugrenue. Après avoir dévoré le plus copieux des déjeuners, je m’attelais finalement à la tâche qui m’était assignée, découpant et pliant de nombreux animaux en papier qu’un habile enchantement maintenait suspendus dans les airs. Les fleurs et ramures récoltées dans notre jardin devenaient, sous mes doigts, de fantaisistes compositions que je disposais avec allégresse sur la table de la salle à manger. Quelques chandelles colorées virent parachever mon œuvre, tandis qu’une délicieuse soupe mijotait sur le feu. C’est alors que deux McKinnon choisirent de rentrer à la maison avec leurs pieds crasseux afin d'engloutir le dîner tant convoité. Anton, Gideon et Iwan manquaient à l’appel. Apparemment, ils s'étaient mis en tête d'aller chasser la licorne dans les bois. Si seulement ils étaient rentrés eux aussi…
Il était tard lorsqu’une clé hésitante tourbillonna dans la serrure de la porte principale et que mes frères bredouillèrent ces quelques mots : « Papa… Maman… » Des murmures désespérés, cette profonde et douloureuse fêlure dans leur voix… Je pense que c’est cela qui nous a tous poussé à les recueillir dans le hall d'entrée. Escorté par Iwan et Anton, Gideon ne semblait plus lui-même, ses doigts affolés soulevèrent lentement la manche de sa chemise quadrillée, dévoilant une effroyable morsure. Je ne pense pas avoir perçu la terreur qui harponna mon père, ni le discret mouvement de recul de ma mère. En bons parents, ils étaient parvenus à contrôler leur désarroi afin de ne pas ébranler davantage mon malheureux ainé. « Tu t’es fait mal Gid' ? » demandais-je aussitôt. Ces grands hommes me barraient tous le chemin. Toutefois, je voulais le voir, je voulais comprendre ce qu’il s’était passé. Donnant des coups de coude dans les jambes d'Anton, j’essayais de m’approcher du supplicié. Vaines tentatives, car Stephen s’empara de ma main et m’éloigna hâtivement de ce drôle de remue-ménage.
Je me rappelle encore de l’inflexion paternelle, presque autoritaire dans ses paroles tandis qu’il m’expliquait avec des mots compliqués la malédiction qui venait de s’abattre sur notre famille. Affalée sur un confortable fauteuil, je l’observais tourner en rond dans le salon, tel un lion en cage. Il baragouinait des expressions que je ne saisissais pas véritablement : « Code de conduite… 1637... Attaques... Loup-garou ! » Je suis restée muette, mais au fond de moi, j’étais et reste persuadée que Gideon avait fait cela pour elle, Holly de Launay. Eprise de mon frère, mon meilleur ami, elle l’avait rendu bien sot depuis quelques mois. Je détestais le ton niais et benêt qu’il adoptait lorsqu’il me parlait de sa blondinette. Aujourd’hui encore, il dénonce un accident, une mésaventure entre frangins, mais je suppose que la réalité est toute autre : une tentative manquée pour émouvoir sa dulcinée, lui prouver sa bravoure ou je ne sais quoi. Interrompant le cours de mes pensées, Iwan nous rejoignit craintivement. Il m’étreignit un instant, me chuchotant à l’oreille : « Porc-épic… Nous ne serons plus jamais les mêmes. » Et c’est comme si mon cœur avait cessé de battre.
Je n’oublierais jamais ce silence pesant, l’inquiétude dans les yeux de mon frère ou encore les larmes angoissées ruisselant sur les joues de mes parents paralysés dans le vestibule. Désemparée, je ne saisissais pas la gravité du problème, si jeune et insouciante. Un automatisme dans ces moments délicats… Installée au coin du feu, mes mains tremblantes effleuraient les cordes de mon violoncelle, mes sombres émotions se muant en une mélodie délicate et ensorcelante, amplifiant notre déchirement à tous face à ce troublant évènement. Le bruissement lourd d'un corps s'effondrant sur le plancher, un hurlement, celui de ma mère et enfin, la voix rauque d'Anton vinrent briser cette insupportable atmosphère : « Il faut l'emmener à Sainte-Mangouste ! »
RÉSERVEZ VOTRE AVATAR
- Code:
<bottin><pris>●</pris> <b>madelaine petsch</b> ━ tina mckinnon</bottin>
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Dim 22 Oct 2017 - 21:24
MON PETIT PORC EPIC D'AMOUR
Tellement content de te voir parmi nous ma sista
Je veux la suiiiiite
Tellement content de te voir parmi nous ma sista
Je veux la suiiiiite
Célibataire forever oui :faye:Tina McKinnon a écrit:état civil : En couple avec le célibat jusqu’à ce que l’amour nous sépare.
- Spoiler:
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Dim 22 Oct 2017 - 21:29
Bienvenue belle mckinnon
Bonne chance pour cette nouvelle fichette ma belle
Bonne chance pour cette nouvelle fichette ma belle
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Dim 22 Oct 2017 - 21:35
re-hello tooooiiii, quel jolie minois je suis je suis !
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Dim 22 Oct 2017 - 23:25
Je te préfère quand tu es ma cousine mais tu es belle comme ça aussi ;)
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Lun 23 Oct 2017 - 0:12
Re-bienvenue le porc-epic McKinnon décidément, quand c'est pas les poils, c'est les épines dans cette famille
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Lun 23 Oct 2017 - 0:19
Bienvenue
Termine vite, on t'attends sur la CB
Termine vite, on t'attends sur la CB
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Lun 23 Oct 2017 - 1:28
rebienvenue, ma belle!!! j'ai hâte de venir t'embêter!!
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Lun 23 Oct 2017 - 2:00
Alexine Mormont a écrit:Je te préfère quand tu es ma cousine mais tu es belle comme ça aussi ;)
QUE DIRE DE PLUS ?!
(re)Bienvenue ma petite saucisse !
J'aime déjà ce que je vois/lis !
Bon courage pour la suite de ta fiche ! *--*
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Lun 23 Oct 2017 - 8:25
qu'est-ce qu'elle est mignonne et tinouuu
rebienvenue emma
rebienvenue emma
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Lun 23 Oct 2017 - 10:08
Re-bienvenue ! :xx:
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Lun 23 Oct 2017 - 14:25
Oh merci mes chatons, vous êtes adorables !
J'espère que Tina vous plaira autant qu'Emma !
@Alexine Mormont et @Landry Mormont: Blackmont forever !
J'espère que Tina vous plaira autant qu'Emma !
@Alexine Mormont et @Landry Mormont: Blackmont forever !
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Lun 23 Oct 2017 - 15:01
Tina McKinnon a écrit:Oh merci mes chatons, vous êtes adorables !
J'espère que Tina vous plaira autant qu'Emma !
@Alexine Mormont et @Landry Mormont: Blackmont forever !
BLACKMONT ! :tong:
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Lun 23 Oct 2017 - 17:57
Bienvenue parmi nous
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Lun 23 Oct 2017 - 18:14
JE REVE OU TU ES MA FILLE DANS UNE AUTRE VIE ??
Bah re-bienvenue ma belle avec ce nouveau perso !!
Bah re-bienvenue ma belle avec ce nouveau perso !!
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Mar 24 Oct 2017 - 19:25
Bienvenue !
Je suis amoureuse de ta plume
Je suis amoureuse de ta plume
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Mar 24 Oct 2017 - 21:58
Merci Iris ! Et merci Louise !
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Mar 24 Oct 2017 - 22:14
Elle est trop choupinette la petit mcknacki
- InvitéInvité
Re: I do a thing called what I want ★ Tina McKinnon
Mer 25 Oct 2017 - 0:40
bienvenue
dans ta nouvelle famille
★ Le Staff de Hungcalf a l'immense plaisir de te compter parmi ses
★ Lorsque la paperasse sera enfin bouclée, tu pourras enfin commencer tes rps, faire ta fiche de liens, lire quelques annexes ou bien développer l'histoire de ton personnage dans ta bibliothèque personnelle.
★ Si le quidditch est ta passion, n'hésite pas à agrandir les rangs de l'équipe de ta maison. Tu souhaites t'investir dans un club ou une association ? Alors viens donc en rejoindre un, c'est de ce côté. Tu peux également faire un tour du côté de notre marché aux liens pour te faire des amis ! *-*
★ Si tu te cherches un copain ou une idée de RP, n'hésite pas à passer dans notre roulette ! Et quand tu auras amassé plein de gallions, une boutique avec plein d'objets et d'avantages est à ta disposition ! *--* D'ailleurs, si tu as pris un scénario ou que tu as privilégie un groupe qui manque de membres, viens te recenser ici pour acquérir tes gallions !
★ T'es paumé ? Tu ne sais pas qui est dans quelle maison ou dans quels cours ? Tu te demandes qui sont les étudiant(e)s qui sont dans la même filière ou la même année que toi ? Tu aimerais savoir si ton voisin est un sang-pur ou un né-moldu ? Bah ne cherche plus ! Pour ça, y'a le : Référentiel de Hungcalf.
Have fun sur Hung !
PS: MA SOEUUUUR :tong: :tong: Ta fiche est parfaite : tu as su parfaitement cerner le perso de Tina, le tout avec un super coup de plume ! En plus les petites illustrations à gauche à droite, j'adore J'ai tellement hâte de voir comment tu vas la faire évoluer, et de RP avec toi ! En route pour la Renardière
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