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(zadig) smile again, mercutio.
Sam 4 Nov 2017 - 17:28
— Zadig Zhihao Crowley
Je suis un Ethelred | personnage (re)inventé
WIZARD CARD INFORMATIONS | ©️ suture ◈ jackson wang |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
Serré dans le creux de ta hanche, ton corps engourdi se laisse bercer par la respiration de ta mère. Tu as trois ans et vous êtes deux exilés à la recherche d’une vie meilleure, loin du vice d’un mari et d’un père violent aux poings aussi durs que ses insultes. L’avion vous emporte, loin de la terre qui t’a vu naître, cette terre qui voit les larmes silencieuses de sa fille enfin libérée du mal(e) qui lui a causé tant de tort. Toi, si petit, tu ne sais pas ce que tu laisses à cette terre qui te deviendra sûrement étrangère, mais tu sais ce que tu emmènes dans ton petit sac à dos. Tu emmènes un bout de papier avec ton prénom, Zhihao, griffonné dessus, mais ce n’est pas tout. Tu emmènes aussi des souvenirs qu’aucun enfant ne devrait avoir, de la violence suintant des coups et des bouches, une colère sourde pour cet homme que tu n’as jamais appelé « papa ». Tu emmènes avec toi une brûlure que tu ne définis pas du haut de tes quatre ans, mais c'est normal, tu ne peux pas encore comprendre. Mais tu emmènes aussi, enfui dans ta poche, ce désir d’une vie que tu feras meilleure, une vie pour toi et pour ta mère, une femme courageuse et capable de tout affronter. Un héros, ce désir que tu as et qui ne va jamais te quitter, tu l’as eu en sentant cette force dans sa respiration calme de ta mère qui te berce doucement.
Tes yeux sondent la foule, à la recherche du regard fier de tes parents. Tu portes fièrement ta cape et ta petite épée de bois, alors que ta maîtresse au premier rang te sourit avec gentillesse. Ton petit cheveu sur la langue et ta bouille ronde attendrissent les spectateurs alors que tu sauves ta petite camarade d’un affreux dragon en carton. Ton anglais est à présent presque parfait, mais tu fais encore quelques fautes bêtes, tu oublies le « s » à la troisième personne ou tu lâches un ou deux mots en cantonais. Les autres enfants se moquent parfois, mais ce n’est pas grave, tu as l’habitude et ta mère t’a toujours dit que ton sourire envoyait valser la cruauté des autres enfants.
Quand vient l’heure des applaudissements, tu salues la foule avant de sauter de scène (sous les cris des mères inquiètes) et tu te précipites dans les bras de ton beau-père qui te récupère, hilare.
« Ils ne voulaient pas que ze soit Zuperman, mais z’est pas grave z’ai quand même une cape ! »
L’homme, Edward Crowley, celui que ta mère a épousé après quelques mois passés en Écosse, t’ébouriffe les cheveux. Il sent le parfum et la barba papa que vous avez mangé avant le spectacle. Patient et attentionné, en te conduisant dans ta salle de classe désertée pour récupérer tes affaires, il te laisse te pavaner avec ta cape fabriquée avec deux bouts de draps. Ce n’est pas de la haute-couture, mais cela va à ton imagination. Puis tu en remarques une autre, de cape. Un drôle de tissu, avec des fils de toutes les couleurs et qui s’emmêlent pour former d’étranges symboles, tu n’en reconnais aucun et c’est normal, tu n’y connais encore rien à cette époque. Puis tu remarques que ta mère est à côté de cette fameuse cape et qu’elle a l’air perturbée derrière son sourire habituelle. Alors, comme tout bon garçon, tu viens te placer entre elle et le monsieur. Il veut quoi celui-là ? C’est sûrement un méchant, il n'y a que les méchants pour porter des fringues aussi bizarres !
Puis il parle. Et peu à peu, tu réalises que tu allais bientôt changer de cape et troquer tes batarangs contre une baguette. Des étoiles montent dans tes yeux et tu serres la main de ta mère alors que des larmes de joie débordent sur vos joues.
C’est à ce moment que tu réalises, Zadig. C’est à ce moment que tu réalises que derrière tes sourires, derrière la bonne humeur que tu distribues, derrière la moindre de tes paroles, tu t’es toujours senti si seul. Malgré les mains tenues, malgré les soirées passées à courir après un ballon ovale ou rond, tu t’es toujours senti seul, différent. Tu n’es pas juste un garçon un peu étrange et plein d’imagination. Tu es Zadig, tu es un sorcier, tu seras le super-héros que tu rêves d’être.
.YOU MIGHT BELONG IN GRYFFINDOR,
WHERE DWELL THE BRAVE AT HEART,
THEIR DARING, NERVE, AND CHIVALRY
SET GRYFFINDORS APART.
Les chuchotements inquiets sont violemment balayés par les rugissements des lions qui t’accueillent à bras ouverts. Tu ne mets pas longtemps à t’intégrer à la table des Gryffondors, pourtant, tu viens juste d’être le centre de la répartition la plus longue de cette rentrée. Tes camarades trouvent ça étrange, dès les premières minutes dans le train, tous les membres de ton wagon te voyaient déjà vêtu de rouge et d’or, alors pourquoi le Choixpeau a-t-il cogité si longtemps à ta répartition ? Peut-être tu n’es pas juste une tête-brûlée de plus, qui sait. Très vite, les autres oublient cet épisode, mais pas toi Zadig. Ta petite cervelle engourdie de toutes ces découvertes fume presque par tes oreilles à cause de tous les scénarios qui se bousculaient dedans. Si tu étais tombé chez les Serdaigles, peut-être aurais-tu pu rester proche de ce garçon aussi grand qu’il est timide et doux que tu as rencontré dans le train (un né-moldu, comme toi !) ou peut-être, parmi les Serpents au nez haut, tu aurais pu continuer d’expliquer à ce garçon de bonne famille qui était Batman, tu as bien vu qu’il écoutait sans le montrer dans le wagon ! Mais ce n’est pas trop tard pour faire d’eux tes amis, ce n’est pas quelque rangée de bancs qui vont t’arrêter, hein, Zadig ? Après tout, tu es brave comme un lion et tu as une Justice League à monter, un peu plus et tu rugirais au milieu du banquet.
.YOU’RE SAYING THAT THERE WOULD BE NO ROMEO WITHOUT JULIET? LET ME LAUGH, THE TRUTH IS THAT THERE WOULD BE NO ROMEO WITHOUT MERCUTIO AND NO MERCUTIO WITHOUT BENVOLIO.
Le jeune Serpentard te regarde, les sourcils froncés. Tu ne peux t’empêcher de rire en voyant sa moue dubitative, alors que tu lui expliquais la différence entre les différents univers présents dans les comics. Il ne veut pas croire que l’Incroyable Hulk et Batman ne pouvait simplement pas se rencontrer, car ils ne sont pas de la même franchise. Après que tu aies fini ton argumentation, il hausse simplement la tête puis la plonge dans ces étranges dessins que tu appelles « bandes-dessinés ». Dire qu’il a grimacé en apprenant le statut de votre sang et a essayé de vous éviter, toi et Lucas, le fameux Serdaigle timide. Ce dernier achève son devoir pour le lendemain, enfin, plutôt son énième croquis sur son brouillon, comme quoi, les Aigles ne sont pas toujours les plus studieux. C’est la première soirée d’une longue série que vous passez véritablement ensemble, en dehors de vos maisons respectives. Sans toi acharnement, vous serez peut-être encore à vous regarder du coin de l’œil pendant les cours de Défense contre les Forces du Mal, leur amitié a été inévitable. Vous vous complétez, sans chercher à comprendre, vous vous cherchez continuellement du regard quand vous n’êtes pas ensemble. Si cette amitié est si simple, pourquoi faut-il que tout le reste soit compliqué ?
Une amitié inter-maison, ce n’est déjà pas la chose des plus simple à appliquer. Rajouter à cela deux né-moldus avec un sang-pur de haute famille et vous obtiendrez de nombreux regards en biais, même de la part des professeurs. Si tu as prévu les remarques venimeuses des Serpentards, tu as été surpris du regard réprobateur de certains de tes grands-frères lions quand tu arrives dans la Grande Salle accroché au bras de ce type. Et Lucas, de son côté, est très solitaire quand il n’est pas avec vous. C’est un choix de sa part, mais ça te trotte dans la tête quand même, tu sais aussi qu’il s’inquiète toujours pour toi et Batman (un des surnoms que tu attribues au Serpentard) quand vous n’êtes pas dans son champ de vision. Cependant, Lucas n’est pas juste passif dans cette amitié, bien au contraire, c’est souvent lui qui forme les plans pour que vous vous retrouviez. Tu te souviendras toujours de cette soirée dans les cachots, après un trimestre à trainer ensemble, quand ton Serpent préféré a murmuré :
« La prochaine fois, on devrait faire une Batcave. »
Tu t’es mordu le poing pour ne pas que ton cri de joie attire le concierge et tu as saisi tes deux meilleurs amis dans une grande accolade. Ils ont été un peu surpris, mais ils se sont habitués à tes élans d’affection soudain.
Quelques années, plus tard, tu as quatorze ans. C’est la toussaint, et tu viens d’apprendre qu’à la rentrée, tu seras le batteur de ton équipe, mais pour l’heure, tu as une autre idée en tête. Vous êtes dans ta maison, dans ta cave où tu as aménagé une sorte de Batcave pour l’anniversaire de Roméo.
« Roméo ?
- Oui, j’ai réalisé qu’on était comme Roméo, Benvolio et Mercutio en lisant Shakespeare la semaine dernière.
- Tu sais qu’ils n’ont pas la fin des plus heureuse, hein ? Répond ton Serdaigle adoré sous le regard perdu de ton Serpentard préféré.
- Eh bien, on changera la fin, ce n’est pas comme s’il y avait un destin ou une connerie du genre. »
Lucas rit dans son verre, il reconnaît bien en toi le Mercutio de Shakespeare et secrètement, il espère que tu n’es effectivement pas le même destin. Roméo, perdu comme à Vérone, demande des explications, il pensait être Batman et tu le rassures avant de lui offrir cette mini-collection de comics de l’homme chauve-souris. Tu les regardes, et tu réalises. Tu ne te sens plus seuls maintenant.
!MUDBLOOD, AND PROUD OF IT!
Ton poing devint blanc autour de ta batte de Quidditch et tu sens le sang que l’on vient t’insulter pulser dans tes tempes. Du coin de l’œil, tu vois ton meilleur ami, dans l’équipe adverse, fusiller du regard le capitaine de l’équipe de Serpentard visiblement fier de prononcer une telle insulte. Tu te contiens du mieux que tu peux, et ton sourire est toujours là, bien qu’assombrit par son regard noir, ah, tu sens cette colère se répandre en toi. Ce n’est pas la première fois que l’on s’en prend à toi, et ce n’est sûrement pas la dernière. Tu es aussi populaire que haït chez ceux qui se présentent comme les élites, ceux qui ne peuvent supporter qu’un né-moldu soit parmi les meilleurs éléments des cinquièmes années et de l’équipe de Quidditch.
Tu veux qu’ils se taisent, et il te faut toute ta bienveillance pour ne pas aller les empêcher de parler à coups de batte dans la mâchoire. Ça ne serait pas la première fois que tu te bats, que tu recevras une punition pour ça, mais tu refuses de salir ton honneur sur le terrain et ils le savent. Cela ne t’empêchera pas de leur faire mettre genou à terre dans les règles de l’art. Les clameurs de la foule te ramènent à l’instant présent et tu sauves de justesse ton gardien d’un Cognard, ce même Cognard qui assommera le capitaine des Serpentard plusieurs minutes plus tard dans le jeu. Tu aurais cru en la Justice divine si tu n’avais pas intercepté le regard entendu de Roméo à Benvolio, dans les tribunes. Si tu leur en veux ? Un peu. Mais sincèrement, ça te soulage un peu de savoir que tu ne croiseras pas ces types avant plusieurs semaines. Ton propre capitaine s’arrête à côté de toi, interrogateur sur ton sourire et tu hausses simplement.
« La Justice League a encore frappé. »
Plus tard, dans le jeu, on voudra t'insulter de nouveau, mais tu les ferras valser avec la grâce de ton majeur.
.WE DON’T HAVE A LOT BUT WE’VE GOT EACH OTHER.
Lucas s’amuse à taquiner Roméo sur ses derniers amours, toujours aussi tumultueux alors que tu te charges du feu. Bien, vite, le pauvre Serpentard devient la cible de vos taquineries et derrière ton sarcasme et ton apparent rejet de toute chose romantique, tu restes un peu jaloux de Roméo. Ou plutôt de son sourire quand il parle de cette fille de sa classe. Ou alors es-tu jaloux de cette fille, justement. Mais tu n’y penses pas, tu es heureux comme ça, avec eux à tes côtés. Vous profitez tant que vous le pouvez, perdus quelque part dans les Alpes ; la pression familiale de Roméo, la santé déclinante de ta mère et les cernes de plus en plus marqués de Benvolio vous pèsent de plus en plus sur les épaules. Mais vous êtes ensembles, vous êtes les Rois du monde, comme tu le fredonnes, un bout de Marshmallow accroché à une branche. Pas un seul instant, tu ne t’imagines sans eux. Pas un seul.
.CALL ME A GRAVE MAN.
Tes mains tremblent, le reste de ton corps est figé. Tu ne bouges pas, lui non plus. Tu sens que des formes bougent autour de toi, mais tu restes paralysé. Quelqu’un parle, et ça se répercute dans tout ton être, t’assommant un peu plus.
« C’est une tragédie. »
Tes mains sont rouges d’un sang que tu connais que trop bien. Ce sang est parfaitement écarlate, d’une belle robe vermeille qui t’hypnotise chaque seconde un peu plus, tes mains sont si pâles ainsi colorées de ce liquide si flamboyant. Dire que certains voient ce sang comme si impur et indigne qu’ils le font couler. Toi, tu préférais quand ce sang était encore des veines de ce cadavre chaud devant toi.
Aujourd’hui, Lucas est mort. Seul, le visage défiguré dans la douleur, dans cette salle de potions suintant d’odeurs immondes. Tu es arrivé trop tard. Et si tu pouvais rire dans ton état, tu le ferais. C’est si drôle en effet, si ironique, si tragique. Tu te sens comme un personnage de pièce de théâtre, piégé dans une impuissance qui fait de toi un spectateur d’un destin prédit par un dramaturge sadique. Tu veux rire, c’est ta seule arme. Mais alors que l’infirmière s’approche de Lucas, de ton Lucas, ton Benvolio, ton rire s’étrangle dans ta gorge et laisse place à un sanglot. Un bras passe devant ton visage et tu sens que l’on enfouit ton visage dans une épaule. Tu reconnais cette odeur, c’est Roméo. Tu ne veux pas qu’il te voie dans cet état, et tu ne veux pas le voir en pleur. Ça rendrait les choses trop réelles.
La douleur, le deuil, ça se lirait sur les traits de Roméo. Ce dernier te berce, secoué de ses propres pleurs. Et toi tu marmonnes, tu parles à Benvolio. À Lucas, dont le corps vous est enlevé.
.A PLAGUE ON BOTH YOUR HOUSES.
Tu regardes tes mains. Et tu vois du rouge. Un joli rouge, mais pas aussi beau que celui de Benvolio. Tes phalanges cicatrisent lentement, alors que tu remarques des traces sur tes bras, peut-être, en as-tu sur le cou. Le lit s’affaisse à côté de toi et tu lèves les yeux vers Roméo.
« Tu t’es encore battu ce matin.
- Oui.
- Ce n’était pas une question. »
Tu hausses les épaules et remets à ta bouche ce tube à cancer que tu as récupéré auprès d’un autre né-moldu. Tu n’as pas vraiment envie que PerfectPrefect vienne te faire la morale maintenant, surtout après ce que vous veniez de faire. Ah, que dirait maman Montaigu en voyant son fils ainsi batifoler avec Mercutio ? Roméo et Mercutio, aussi invraisemblables que vrai. Sous la folie du deuil, vous avez franchi le cap de non-retour. Se caressant aussi violement que vous vous écorchez.
Toi, Zadig, tu laisses tes poings parler à ta place, quand certains ont l’audace d’évoquer Lucas sur un ton que tu n’apprécies pas. Tu te bats à la moldu, le meilleur moyen selon toi pour faire taire ces sang-consanguins qui osent sous-entendre que le Serdaigle ait mis fin à ses jours. Ah, oui. Il y a eu une enquête après la mort de Lucas, bien sûr. Mais devinez quoi ? L’affaire est non-classée. Étonnant, non ? Tu n’arrives même pas à en rire. Bien sûr qu’ils ne vont pas se casser le cul pour un né-moldu, surtout quand ce sont « eux » qui sont en cause. « Eux ». Ces tarés qui ont fait renaître de ses sens une vieille secte, le genre de secte qui devrait rester dans les vieux caveaux des familles nobles et n’exister qu’en fiction. Pour la pureté du sang, ils ont enlevé au monde le plus bel être humain qui pouvait exister. Ils vous ont arraché une part de vous-même et la plaie est encore béante chez toi. Animal blessé, tu te défends dans l’agressivité, et la nuit, tu cauchemardes. Pourtant, tu restes Mercutio aux yeux du monde, tu continues de sourire, mais quelque chose cloche. C’est sûrement ton regard, celui qui crie vengeance, qui a faim de justice et qui hait ces vieilles querelles qui ont pris ton Benvolio. Tu en veux au monde, tu en veux à Roméo aussi, tu t’en veux. A plague on both your houses, c’est ce que tu as envie de crier.
Tu te lèves, te rhabilles sans conviction et tu pars. Roméo ne te retient pas, il sait où tu vas et il ne comprend pas pourquoi tu continues à aller les voir. Les sombrals. Tu les vois maintenant. Et tu sais les faire apparaître au bout de ta baguette.
.MEN’S EYES WERE MADE TO SEE THINGS, SO LET THEM WATCH. I WON’T MOVE TO PLEASE ANYBODY.
Tu lèves un sourcil arrogant quand tu te dresses sur le chemin de ce type. Tu ne connais pas son nom, tu ne lui ferais pas cet honneur, mais tu continues de lui sourire. Toi ce que tu sais, c’est que c’est un énième fils à papa, l’hériter d’une famille de soi-disant sang-pur que tu viens littéralement d’humilier avec le sourire. Tu n’es qu’en première année, tu devrais au moins avoir la décence de te plier face à lui. Pourtant, tu ne te cèdes pas, il a utilisé ce ton condescendant que tu haïs au plus haut point et tu jubiles de le voir ainsi à terre. Pour une fois, tu laisses ton orgueil se gorger de cette vengeance. Et puis, tu ne fais rien de mal, vous êtes dans le club de duel, tu as bien le droit de te défouler un peu.
« Dis-moi Tybalt, le sang-pur se redresse à ce nom sans comprendre d’où tu pouvais sortir ce drôle de nom, ça te fait quoi d’être mis à terre par un sang-de-bourbe ? »
Sous son regard scandalisé, tu fais résonner ton rire, haut et fort puis pars des lieux après avoir reçu quelques félicitations. Tu rejoins ensuite ton dortoir, si différent de ceux de lions, tout aussi flamboyant à tes yeux. Et non, sous l’étonnement de ta famille, tu ne fais pas parti des Wrights, même ton beau-père moldu a été étonné quand il a vu ta signature se teinter de gris. Les Ethelred, ta nouvelle maison et dans laquelle tu peux déployer ton caractère si particulier. Tu ne caches plus ton ambition qui te ronge, tu veux devenir auror et occuper le plus haut poste possible. Si l’enfant en toi regrette de ne pas devenir soigneur de dragons ou fabriquant de baguette, ton deuil et tes idéaux te poussent à agir et te tourner vers les Forces Publiques.
Malgré le gris de ta maison, tu as retrouvé toutes tes couleurs, au fil des ans, tu ris avec autant d’éclats qu’auparavant. Il t’en faudra plus pour te faire taire, et tu gardes toujours dans le cœur cette volonté de rependre autour de toi cette aura de bonne humeur. Cela ne fait pourtant de toi quelqu’un d’inoffensif. Jamais tu ne t’es autant entraîné, et si le sport a toujours été une part importante de toi, tu t’es aussi beaucoup investi dans le duel. Tu as cette étrange technique que tu as développée, mêlant le duel classique sorcier et les arts du combat moldus, plus au corps-à-corps et avec des esquives efficaces. Cette discipline te permet de canaliser cette violence qui, elle non plus, ne s’est jamais tue. Elle bouillonne toujours autant dans tes veines, et si elle est plus subtile, elle est toujours aussi destructive, aussi bien pour les autres que pour toi. Elle n’attend qu’à se manifester.
Quand tu traverses le campus, saluant tes très nombreuses connaissances, tu croises le regard de Roméo. Tu t’arrêtes, et le regardes de loin quelques instants. Il est avec ses autres amis, ceux de nobles familles, ceux qui ont le droit de s’afficher ainsi avec lui. Si la jalousie te prend quelques instants, quand il se tourne vers toi et que vos regards se croisent, tu sens ce lien infaillible qui vous prend et ton cœur se réchauffe. Tout n’est pas fini. Vous continuez de vous écorcher, mais vous êtes toujours liés et inséparables, vous ne vous abandonnerez pas. Tu l’espères, parce que sans Roméo, sans lui, tu ne serais plus qu’une épave de violence. Alors, même si c’est égoïste, tu ferais tout pour garder Roméo avec toi, à tes côtes, amis, amants ou peu importe. Tu veux juste Roméo.
Une main sur ton épaule, tu te retournes une nouvelle fois et un sourire éclate sur ton visage. La reine des licornes te rend ton rictus avec cet air qui te fait penser à une fée. Elle n’est pas seule, elle est venue avec les autres membres de ce gang coloré dont tu fais partie. Une sorte de Justice League composée de sorciers très différents les uns des autres. Ils sont apparus sur ton chemin et sans que tu le remarques, tu as continué la route avec eux, rendant le paysage et l’air plus facile à supporter. Sans qu’ils le sachent, ils t’ont aidé à panser les plaies, ils ont comblé cette solitude qui te fait peur et te pèse. Quand tu es avec eux, tu ne te sens pas seul Zadig.
.YOU SAID YOU WERE WITH ME TILL THE END OF THE LINE, GUESS YOU LEARNED TO LIE.
Tu le vois de dos, avec ses soi-disant amis et leurs conversations stériles écœurantes d’hypocrisie. Tu sers les points, tu essaies de te vider la tête, de faire taire toutes ces pensées à quel point Roméo te manque, ton Roméo. Après tout, ça a été toi le premier à l’appeler comme ça, pas vrai ? C’est ton meilleur ami, ton tout, il est le seul à pouvoir comprendre ta douleur, ton deuil. Et pourtant, plus que jamais, tu sens ce gouffre qui s’étend entre vous. Tu as envie de briser ce masque souriant qui t’étouffe un peu plus chaque jour. Tu te sens seul, Lucas te manque. Lui, ses mots justes, son silence réconfortant, sa malice enfantine. Appuyé contre le mur, alors que la fête bat son plein autour de toi, tu fermes les yeux.
Tu pensais aller mieux, mais parfois, la blessure s’ouvre de nouveau. Aujourd’hui, vous fêtez la fin de la cinquième année, mais aujourd’hui aussi, Roméo t’a fait comprendre que vous ne deviez plus vous voir. Plus du tout. C’est con, mais tu te sens comme une lycéenne qui vient de se faire plaquer par son premier copain. Tu ne pensais pas que cette relation avec Roméo prendrait une telle dimension pour toi. Mais tu as joué l’aveugle, ne voulant pas le voir rougir face à une autre, tu as joué le sourd, ne voulant l’entendre dire de douces paroles à un garçon charmant, tu as joué les muets pour ne pas sonner faux à côté de lui. Tu te détestes pour ça.
Aujourd’hui, tu es allé sur la tombe de Lucas. Peu avant la fête. Tu lui as un peu parlé, nettoyé sa tombe et aller tenir compagnie à son père. Un homme sage, que tu as su faire sourire, mais qui, au moment des aurevoirs, a versé une larme en voyant que toi aussi, tu suffoques encore parfois. Mais tu survis, tu as encore des choses auxquelles te raccrocher.
On te touche l’épaule, tu te réveilles de ton demi-songe, les prunelles humides. Tu souris à Prim, et sa main, pourtant gelée sur ton bras, te réchauffe. Ce que tu pouvais être dramatique parfois, jeune Mercutio. Elle t’invite à boire un verre et après plusieurs culs secs, te voilà aussi bruyant qu’à ton habitude sur une table. Une magnifique jeune femme vient à toi et tu la laisses te séduire pour cette nuit, impudiques et dénués de toute honte. Ton sourire se fait plus carnassier quand, dans la foule, tu vois un regard jaloux qui vous est adressé et tu l’embrasses après un nouveau rire.
.WHEN THE TWO OF US WALK IN THE CLUB, THIS ISN’T A PROBLEM, IT’S A BROBLEM.
Alex. Le genre de personne qui a toujours été là. Le type assit à l’autre bout de la classe, celui qu’on bouscule au bar dans une énième soirée, celui qui fait parti de notre paysage sans qu’on ne s’en rendre vraiment compte. Pourtant vous êtes là, à partager un étrange goûter, une sacrée gueule de bois à poncer.
« Du coup, je te disais, Wolverine bat Deadpool, fin de la conversation. »
Tu lèves ton nez de ton bol de céréales et fronces les sourcils, te demandant pourquoi il te parlait de ça maintenant. Ah. Oui, votre discutions d’hier. Tout à fait. Tu grognes un truc avant de replonger dans ton bol et s’essuie un débat incompréhensible à base de grognements, de soupirs, de grands gestes, et de longs regards. Dire que vous aviez manqué de vous battre la veille au soir. Et vous voilà chez Alex, dans ce qui lui sert de repère, à faire un sort aux céréales après avoir terminé la nuit un vieux matelas au ras du sol.
« Hey Zadig.
- Hum ?
- Tu sais, t’avais pas l’air super en forme hier. »
Tu lèves un sourcil, pourtant, tu avais réussi à tromper tout le monde. Tu as enchaîné les soirées de fin d’année, ce qui explique les cernes sous tes yeux, mais c’est le cas de tout le monde dans ta promo. Puis tu te souviens aussi qu’Alex n’a pas été des plus entreprenants ou des plus ouverts hier.
« Toi non plus, t’avais l’air d’un chaton battu. Mais pourquoi tu me dis ça ?
- Un chaton sacrément mignon en tout cas.
- Détourne pas la question, mon cerveau va exploser.
- J’me disais. Je retourne au Brésil dans les semaines qui arrivent. Je devais y aller tout seul voir des potes moldus, tout ça, mais je me dis que ça serait cool de t’y amener. C’est des types bien, t’aura pas de mal à t’intégrer.
- Pourquoi moi ?
- Parce que t’es un type bien et que ça ne te va pas de faire la gueule. »
Tu restes un instant interdit, pour un sourire malicieux se dessine sur ton visage alors que tu commencer à taquiner Alex.
« Ah, je ne pensais pas qu’Alex avait un cœur aussi tendre. ~ C’est absolument adorable chaton.
- Oh putain, ferme ta gueule Zaza ou je te vire de chez moi.
- ça serait dommage, avec le confort de ce matelas. »
.DRUNK IN BROMANCE.
C’est lourd sur ta poitrine. Ça la compresse, l’écrase, te coupe peu à peu la respiration. Tu vois des formes danser autour de toi, des tâches rougeâtres et grisâtres dans l’obscurité, la chaleur te lèche la joue alors que tu sens ta main peu à peu revenir à la vie.
Où es-tu ? Tu appelles à toi tes souvenirs. Ah, un camping, ou un truc qui y ressemble. Des personnes, de la musique, un feu, de l’alcool sur tes lèvres. Une langue que tu ne connais pas dans l’air, une langue à l’accent qui te fait chavirer, du portugais. Alex qui prend ton cou sous ton bras, une amitié si récente et pourtant si forte entre vous, et un fou rire qui t’a laissé des crampes à l’estomac. Comment es-tu arrivé là ? Un éclair dans le regard d’Alex, une urgence, il t’a tiré dans une voiture. Pas de magie, trop de moldus. Pas conduire, trop d’alcool. Mais Alex conduit quand même. Il a chauffé le mauvais type, vous lui avez joué un mauvais tour, vous devez partir. Vite.
Une bouffée d’oxygène au milieu de la fumée, tes muscles fonctionnent. Tu te dégages, cherches à tâtons ton ami, ton nouveau frère. Alex. Tu souffles son nom, ou du moins ce qui est supposé être son nom avec tes poumons éreintés. Tes jambes ne tiennent pas debout, tu saignes quelque part sans savoir où, mais tu prends toutes tes forces pour arriver à lui. Quand tu te vois, ton cœur s’arrête un instant, tu le crois mort. Tu vois du rouge partout, sur son visage et sur tes mains. Du rouge, du sang. Ce sang est parfaitement écarlate. Le monde s’arrête un instant autour de toi, et tu cries sans t’entendre.
Alex ne peut pas mourir. Alex ne peut pas mourir. Alex ne doit pas mourir. Alex doit vivre. Alex n’est pas mort. Alex n’est pas mort. Zadig, Alex n’est pas mort. Tu le sens, ce souffle sur tes mains. Il est faible, mais il est là. Tu trembles, tu n’oses bouger, de peur de le blesser davantage. Tu ne sais pas où vous êtes, et il a besoin de soins, en urgence. Tu ne sais pas vraiment ce que tu fais à ce moment-là, tu dégages son front pour y poser tes mains, tu sais juste que tu veux le sauver, et que seule sa mémoire peut vous aider. Alors, dans ta propre fièvre, tu entres dans son esprit.
Le lendemain matin, l’infirmière te baragouine quelques mots en portugais sans se rappeler que tu es un étranger. Tu te contentes juste de déchiffrer quelques mots à la volée et te rappeler ce que d’autres soignantes t’ont expliqué dans un anglais approximatif. Une commotion cérébrale, des malaises encore dans les prochaines semaines, des grandes plaies, mais rien de définitif.
Un ronflement vous interrompt. À côté de toi, Alex dort comme un bébé. Tu as réussi à le sauver, mais tu ne sais pas encore à quel prix.
.YOU’VE GOT A FUCKED MIND, BRO.
Tu es étonné de trouver Alex paniqué à ta porte de chambre de si bonne heure, mais tu ne poses pas de questions quand tu le laisses entrer. Tu es toi-même dans un sale état à cause d’un cauchemar et Alex a toujours des emmerdes au cul de toute façon.
« Qu’est-ce qu’il y a, tu as fait un cauchemar, chaton ?
- C’est quoi ce délire avec Lucas ? »
Tu te stoppes net avant de violemment te retourner et attraper Alex par le col. Ce n’est clairement pas le moment de parler de lui, surtout après ce sale rêve. Tes yeux laissent apparaître très clairement ta colère et tu siffles entre tes dents, poing levé :
« Comment tu connais Lucas ?
- Hé, calmes-toi, je veux juste savoir pourquoi je fais des rêves bizarres moi ! Depuis qu’on est rentré du Brésil, c’est comme ça !
- Tu veux me dire que t’es télépathe ? »
Alex te regarde comme si tu étais le plus grand abruti de la Création. Pourtant, ça ne te calme à peine, juste assez pour que tu le lâches et le laisses respirer.
« Écoute, je sais pas qui il est, mais je suis vraiment désolé pour ce qu’il lui ait arrivé. »
Tu ne réponds pas, tu te contentes juste d’écouter en allant ranger ton bureau déjà assez ordonné comme ça.
« Mais je pense qu’on a un truc tous les deux, genre un truc vraiment dingue, comment je peux rêver d’un gars que je ne connais même pas ? T’as rêvé de lui, pas vrai ?
- Rêver, ce n’est pas vraiment le bon terme, je pense. »
Calmé et intrigué, tu t’assois à terre et invites Alex à faire de même. Vous vous rendez peu à peu compte que quelques choses à bel et bien changer entre vous, les étranges souvenirs qui viennent parfois se glisser dans votre esprit, cet instinct qui vous prend aux tripes et qui vous pousse à vous chercher, ces rêves et ces cauchemars qui vous donnent des sueurs froides sans savoir pourquoi. Tu réalises que cette souffrance qui te prend parfois est celle d’Alex et inversement. Comment c’est arrivé ? Vous mettez le doigt sur l’accident de voiture, en voulant vous sauver, ton sort de légimencie a dérapé et a établi un lien permanent entre vous. Tu t’excuses, mais Alex secoue la main, il préfère que ce soit comme ça plutôt qu’être bouffé par des verts. Vous allez devoir après à vivre à ça, et à vous soutenir mutuellement. Plus tard, dans la journée, tu essayes de voir si tu arrives toujours autant à lire dans les pensées des autres. Ouf, c’est bon. C’est juste avec Alex où tu n’as pas la main.
« Putain, j’y crois pas. »
Tu lèves la tête, une moue curieuse autour de ta paille. Vous êtes sur la route du retour, prêt à continuer de défaire vos cartons.
« En plus de devoir vivre avec le type le plus tordu de la terre, je suis son putain d’âme frère.
- Âme frère ? Tu pouffes avant de continuer de boire tranquillement. No homo, bro, mais je trouve que t’es mignon quand tu rages comme ça.
- Ta gueule, Mercutio.
- Anh, c’est pas comme ça qu’on traite son héros. ~ »
.KNOW WHAT THEY SAY ABOUT ME ? THAT BOY IS A PROBLEM.
Tu lis avec affection la lettre que t’adresse ta mère. C’est elle qui insiste pour t’écrire à la main au lieu de se servir de l’ordinateur, elle adore se servir du hibou de compagnie que tu lui as offert. Elle re donne des nouvelles quelque peu banales, mais pleines de chaleur et de bonne humeur, tu as bien hérité ce trait de caractère de quelqu’un. Tu essuies pensivement tes cheveux après une séance de sport intensive, tu t’es timidement essayé à la danse aujourd’hui, mais tu l’as fait à l’abri de tout regard. Tu ne sais pas vraiment pourquoi tu te caches pour faire ça, c’est ridicule à tes propres yeux, mais c’est comme ton petit secret inoffensif. C’est bien un des rares. Après, tu as enchaîné avec la boxe française puis thaïlandaise, le Quidditch intensif te manque cruellement même si tu es encore remplaçant, mais le médecin t’a conseillé d’y aller doucement depuis ton accident. Au moins, tu n’auras aucune séquelle à longs termes et tu ne sais quel dieu louer. Peut-être es-tu juste trop tenace.
Tenace, c’est sûrement ce qui énerve les quelques personnes qui voudraient bien te voir au fond du trou. Tu remues avec le sourire un nid de serpents, comme une mangouste affamée. Tu n’as toujours pas oublié, la raison pour laquelle tu travailles aussi dur pour être en haut du panier et tu ne lâcheras pas tant que tu n’auras pas rendu le monde invivable pour ceux qui t’ont détruit le tien. Toujours le même Zadig, le même rayon de soleil, le même bon pote et le même casse-cou, mais toujours la même ambition, la même colère dans les veines et la même envie de changer le monde.
RÉSERVEZ VOTRE AVATAR
- Code:
<bottin><pris>●</pris> <b>jackson wang</b> ━ zadig crowley</bottin>
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Sam 4 Nov 2017 - 18:16
Re-Bienvenue apparemment :)
Il est beau gosse ton Isaax
Ca va être très intéressant, je le sens !
Bon courage pour ta fiche
Il est beau gosse ton Isaax
Ca va être très intéressant, je le sens !
Bon courage pour ta fiche
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Sam 4 Nov 2017 - 19:22
Isaaaaaaaac !
Ma petite licrone joufflue !
Trop contente de revoir ta bouille !
Ma petite licrone joufflue !
Trop contente de revoir ta bouille !
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Sam 4 Nov 2017 - 21:09
- rebienvenue ici bonne chance pour ta fiche !
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Dim 5 Nov 2017 - 4:32
ISAAAC
Le flood nous attend à grands pas
Le flood nous attend à grands pas
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Dim 5 Nov 2017 - 8:30
rebienvenue et bon courage pour ta fiche
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Dim 5 Nov 2017 - 10:50
UN NOUVEAU REVENANT
Re-bienvenue mon tout beau
Re-bienvenue mon tout beau
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Dim 5 Nov 2017 - 23:59
bienvenue parmi nous jumeau de prénom
bonne rédaction
bonne rédaction
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Lun 6 Nov 2017 - 20:20
sttttttiiiiiiiiiiiiiiiiiitch
bienvenue
bienvenue
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Lun 6 Nov 2017 - 21:32
MERCI A TOUS BANDE DE GENS
J'ai changé de nom pour éviter le doublon, mais cela n'enlève rien à ma beauté
J'ai changé de nom pour éviter le doublon, mais cela n'enlève rien à ma beauté
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Lun 6 Nov 2017 - 22:33
Re ici toiiii
Mais oui, tu es tout choupinouuuu
Mais oui, tu es tout choupinouuuu
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Mar 7 Nov 2017 - 0:32
Grace, je l'ai envoyé se promener avec Candide
Alekto, oh, il n'est pas que choupinou le petit
Alekto, oh, il n'est pas que choupinou le petit
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Mar 7 Nov 2017 - 18:36
Ce prénom
Re-bienvenue par ici petit chat
Re-bienvenue par ici petit chat
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Mer 8 Nov 2017 - 8:52
rebienvenue chez toi, avec un autre pseudo je vois!
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Mer 8 Nov 2017 - 19:27
J'adore ce nom, moi qui me suis binge-watcher Downton Abbey pendant les vacs!
Rebienvenue et bon courage pour le reste!
Rebienvenue et bon courage pour le reste!
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Mer 8 Nov 2017 - 23:03
Merci à vous tous !!
Je pense que je vais demander un délai mes choux, j'ai malheureusement une semaine beaucoup plus hard que prévue et je suis même pas à la moitié de ce que j'avais prévu pour la fiche de Zad'
Je pense que je vais demander un délai mes choux, j'ai malheureusement une semaine beaucoup plus hard que prévue et je suis même pas à la moitié de ce que j'avais prévu pour la fiche de Zad'
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Dim 12 Nov 2017 - 19:36
Zazou, j'ai dévoré ta fiche. Encore.
Dépêche toi de la terminer, viiiiiiiite !
Dépêche toi de la terminer, viiiiiiiite !
- InvitéInvité
Re: (zadig) smile again, mercutio.
Dim 12 Nov 2017 - 23:54
bienvenue ! j'adore tellement le prénom !
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