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Adieu, Joséphine. (Mormont & co)
Mer 28 Fév 2018 - 20:56
Adieu, joséphine.
tomorrow is another day
and you won’t have to hide away.
you’ll be a man, boy.
but for now it’s time to run.
and you won’t have to hide away.
you’ll be a man, boy.
but for now it’s time to run.
Assis dans un recoin du petit salon, non loin de la porte-fenêtre qui mène aux jardins, tu contemples en silence la photo de Joséphine qui trône fièrement sur le buffet en noyer. Ses longs cheveux blonds – qui tombent en cascade sur ses frêles épaules – ressortent parfaitement sur sa petite robe bleu nuit alors qu’elle regarde au loin, l’air
Tu poses furtivement ta main sur celle de ta tante et lui adresses un léger signe de tête avant de te retirer. L’ambiance qui règne dans ces lieux est un véritable supplice pour tes nerfs. Et plus les minutes passent, moins tu supportes ces regards larmoyants, ces messes basses et ces lamentations. Tu sens l’atmosphère se charger jusqu’à en devenir insoutenable. Tu as besoin d’air, Landry. Tu veux sortir d’ici et t’enfuir le plus loin possible. Tu aimerais courir et hurler au monde entier que tout ceci n’est qu’une belle mascarade ! Mais tu ne fais rien, Mormont. Planté là, au beau milieu du salon, tu regardes le petit cercueil en chêne attendre son dernier voyage et tu restes muet. Tu ne fais pas attention à tes proches qui te regardent du coin de l’œil. Tu ne remarques pas non plus les marques d’affection et les condoléances que l’on t’adresse. Tu es
« Landry ? » Un soupir s’échappe du fond de ta gorge tandis que tu ressens une légère pression sur ton bras. « Il est l’heure mon garçon. » Ton père, les yeux rougis par le chagrin, te fais signe de le suivre cependant que quatre hommes soulèvent déjà le petit cercueil où se trouve ta sœur. « J’arrive. » Lui réponds-tu avant de tirer nerveusement sur les plans de ta veste. C’est l’heure … Penses-tu avant de remarquer Rosaline du coin de l’œil, tapis dans l’ombre du grand salon.
Tu la rejoins en quelques enjambées et lui prend fermement la main avant de suivre le reste du cortège qui prend la direction des jardins enneigés. Il n’est pas encore midi. Le soleil peine à se montrer, mais les quelques rayons qui percent l’épais ciel nuageux font étinceler le parc qui s’étend à perte de vue, sous l’épaisse couche de neige. Tu sers toujours la main de Rose dans la tienne lorsque vous avancez en silence, sous l’immense tilleul où doit reposer votre sœur. À quelques mètres de là, un prêtre vous attend, une bible à la main. « Approchez-vous mes enfants » Dit-il en levant mollement ses bras vers vous. Tu jettes un regard tout autour de toi et remarques le reste de ta famille s’approcher. La messe va bientôt commencer …
- HJ :
- Ce topic se situe quelques années en arrière, sur le domaine des Mormont (dans les Landes Écossaises, à Achnasheen) lors de l'enterrement de Joséphine, la cadette de la famille. Tout Momont ou proche de la famille est convié à l’enterrement. Attention : les Mormont et les Blackwood sont en froid depuis des années (cf. l'histoire des deux familles). Hello @Tobias Mormont, @Alexine Mormont, @Ethan Blackwood, @Emma Blackwood, @Caleb Blackwood.
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Re: Adieu, Joséphine. (Mormont & co)
Jeu 1 Mar 2018 - 0:42
Assise, les jambes pendantes, comme celles d’un pendu, tu observes le couloir sombre à travers les barreaux des escaliers. Un murmure sourd s’échappe du salon, des ombres se faufilent parfois dans les rares rayons de lumières, tu sembles si loin Alexine. Du haut de tes onze ans, sonnée, ta petite caboche se détraque de plus en plus alors que les secondes avancent, lentement, l’aiguille assourdissante de l’horloge marquant chaque temps. Trois jours se sont écoulés, trois jours depuis ce mauvais rêve, depuis cette expérience pas si ratée. Trois jours murée dans le silence, trois jours d’un cauchemar éveillé et de larmes égoïstes sur tes joues. Petite sotte qui n’a pas cru la bouche d’ombre, à présent noyée dans les sanglots de sa famille, mélodie qui la hante jour et nuit. Petite Joséphine est partie, papa a dit qu’elle porterait la robe que tu lui a offerte, pour son dernier voyage. Bleue, comme celle d’Alice alors qu’elle va plonger dans le trou du lapin blanc. Tu l’aimais beaucoup, cette robe.
« Alexine ? »
Tu lèves ton regard cerné de noir vers ton père, les siens sont rouges. Comprenant son ordre silencieux, tu te lèves, essayant de remettre ta petite robe noire en place. Tu glisses ta petite main dans la sienne, t’y accrochant comme un naufragé à une épave alors qu’il te fait descendre les escaliers pour y retrouver le reste de la famille, et Joséphine.
Après un regard encourageant, et un baiser humide sur ta joue, ton père t’abandonne devant une vieille tante qui tente de te réconforter. Mais toi, ton regard, il se pose sur Landry. Tu sais. Les larmes montent doucement, on te prend dans les bras, ton frère et à côté du cercueil, c’est naturel que l’on se fourvoie sur l’origine de tes pleurs. Tu maudis ton frère autant que tu es reconnaissante, tu lui es reconnaissante de t’avoir prouvé que tu n’es pas folle, que tu es bel et bien capable de comprendre la bouche d’ombre, de la déchiffrer. Mais ce pouvoir a fait de toi la complice de ton frère, tes épaules maladives maintenant supports d’un lourd fardeau. Tu n'as presque rien avalé depuis la mort de ta petite sœur. Ravalant tes larmes, tu remarques Rose tapie dans un coin, aussi perdue que toi dans cet océan de larmes pitoyables. Que ça s’arrête.
Ce n’est pourtant pas vers ta petite sœur que tu te diriges, c’est vers Bridget, après t’être arrêtée devant le cercueil de Joséphine. Chaque seconde à fixer cette boite en bois est une nouvelle goutte d’acide sur ton jeune esprit, des merveilles qui se tordent peu à peu, qui se corrompre. Arrivée devant ta sœur, tu ne sais pas quoi faire à part fermer ta main sur ton poignet. Pourtant, tu continues à te sentir chavirer, alors que l’on emporte le cercueild’Alicede Joséphine dans les jardins. Tu suis tant bien que mal, tu entends quelques pleurs autour de toi. Tu observes le dos de Landry, essayant de percer ses secrets, que peut penser un meurtrier à l’enterrement de sa victime ? Silence frustrant, vous vous arrêtez sous le grand tilleul. C’est beau, c’est reposant. Pourtant, tu es toujours perdue dans un chaos sourd Alexine, toi qui restes muette. Allez, un cri, une accusation, et cette mascarade est finie. Mais tu te tais, alors que tes yeux cherchent soudainement Tobias. Pauvre grand frère, celui qui est toujours venu te chercher, voilà que ton silence le trahis. Quand tu le vois, tu lui lances un appel à l’aide silencieux. Regard implorant, égoïste.
Puis le prêtre parle, on se presse peu à peu autour de lui, finissant de t’étouffer. Tu pourrais entendre les corbeaux rires au milieu de cette étendue de neige, aussi intact que ton silence, aussi immaculé que la défunte innocence.
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Re: Adieu, Joséphine. (Mormont & co)
Ven 2 Mar 2018 - 15:46
Trois jours. Ou plutôt trois longues nuits s’étaient écoulés depuis l’impensable. Trois nuits durant lesquels tu as sacrifié ton sommeil à l’idée que l’impensable ne l’était peut-être pas tant que ça. Tu as dix-sept ans et, là encore, jamais tu n’aurais imaginé pouvoir encore te permettre de te recroqueviller dans le coin de ta chambre. Tes yeux sont rougis, tant les larmes ont coulé et n’arrivent plus à se frayer un chemin pour les humidifier. Tu entends ton père frapper à la porte, comme pour te prévenir que le petit cortège menant au lieu de la cérémonie allait débuter. Tu l’entends ensuite au rez-de-chaussée, probablement donnant les mêmes consignes à ton frère et à tes sœurs. Tu lui as promis de te taire, de ne pas provoquer de scandale en ce jour si tragique. Si tragique et pourtant, pas de répit accordé pour les apparences. Les Mormont ne peuvent pas se permettre de se relâcher. Tu n’as envie de voir personne. Tu ne sais plus vers qui te tourner. L’hypocrisie environnante te dégoûte. Pourquoi tout le monde devait-il se mordre les lèvres ? Tu ne veux pas le voir. Pas après ce qu’il a fait, pas après la violence qui avait éclatée entre vous quelques jours plus tôt. Chacun des muscles de ta mâchoire se tend, tu te mords l’intérieur des joues. Ta langue perçoit un léger goût de sang.
Tu finis par descendre, Joséphine le mérite. Ta mère le mérite. Ta poitrine se resserre. Le cortège s’est déjà attroupé autour du prêtre, dans les jardins habillés d’un épais manteau blanc. Tu marches lentement, le regard rivé vers le groupe. Ton père t’a repéré du coin de l’œil, tu peux imaginer sa nervosité à l’idée que tu laisses éclater ta rage. Tu y vois tes petites sœurs, tu y vois Landry. Tu y vois la grande et belle famille Mormont au complet, et notamment les Blackwood. Elle a beau se détester, tout le monde semble avoir répondu à l’appel en ce jour funeste. Tu as du mal à contenir ton dégoût pour cette mascarade. Vous étiez tous moqués pour être des sangs-mêlés – poison qui s’était insinué jusque dans vos propres rangs. Tu le sais, en dépit de leur jeune âge, tes cadets ont honte – plus ou moins envahissante – de leur mère, peu importe ô combien ils l’aiment. Toi, tu t’en fiches, la nature du sang n’a jamais été un problème, ni toutes ces préoccupations puritaines. Sauf que, les choses ont changé. Aujourd’hui, tu irais même jusqu’à aller à l’encontre des idéaux que ta famille portait jusqu’alors. Tu te dis que l’enterrement de ta si douce petite sœur n’est sûrement pas l’occasion idéale pour de telles revendications. En revanche, tu te fais la promesse que tu trouverais un sens à ta vie qui saurait faire honneur à cela. Tu finis par te frayer un chemin, pour arriver jusqu’au premier rang. Sans prêter attention à qui que ce soit, tu viens épauler ta mère par la droite. Littéralement. Tu passes ta main sur elle, sentant les secousses que ses sanglots frénétiques provoquent. Tu vois à quelques mètres de là Landry, il te fuit du regard. Alexine plonge ses yeux dans les tiens. Vous n’avez jamais été très complices, ou du moins très expressifs tant Alexine peut être difficile à appréhender. Néanmoins, un lien très fort vous unit. Une télépathie qui vous permet de vous passer de mots. Tu le regrettes déjà mais tu n’arrives pas à lui renvoyer un regard rassurant, comme tu savais le faire. Tu ne sais plus qui est l’ennemi aujourd’hui. Ou du moins, tu sais que ce serait désormais Landry. Bridget et Rosaline sont là. Tu n’oses pas non plus croiser leur regard. Tu n’as pas la force d’être un grand frère à l’instant. Quelque chose de mauvais s’installe en toi, quelque chose qui te changera à jamais. Quelque chose dont tes petites sœurs ne sont pas responsables, mais que ta future rancune, déjà grandissante, n’épargnera pas. Tes lèvres tremblent et tu n’as pas le droit à l’erreur, tu ne peux pas te permettre de craquer. Ta mère a besoin de toi, et dans une certaine mesure, tu veux être ce rocher intangible sur lequel elle peut s’accrocher pour ne pas se noyer dans son chagrin, pour ne pas succomber à cette terrible blessure. Tu portes des lunettes de soleil. Nous sommes en décembre 2005. Beaucoup de tes paires ont eu la même idée. A côté de Bridget, tu vois une petite fille. Tu ignores son prénom et pourtant, tu pourrais parier qu’il s’agit d’une fille Blackwood. Tu l’ignores encore, mais elle et toi seront très proches à l’avenir. Tu espères que son jeune âge ne lui permettra pas de retenir ce douloureux moment. Si seulement tes petites sœurs avaient pu être épargnées d’une telle épreuve…
Tu finis par descendre, Joséphine le mérite. Ta mère le mérite. Ta poitrine se resserre. Le cortège s’est déjà attroupé autour du prêtre, dans les jardins habillés d’un épais manteau blanc. Tu marches lentement, le regard rivé vers le groupe. Ton père t’a repéré du coin de l’œil, tu peux imaginer sa nervosité à l’idée que tu laisses éclater ta rage. Tu y vois tes petites sœurs, tu y vois Landry. Tu y vois la grande et belle famille Mormont au complet, et notamment les Blackwood. Elle a beau se détester, tout le monde semble avoir répondu à l’appel en ce jour funeste. Tu as du mal à contenir ton dégoût pour cette mascarade. Vous étiez tous moqués pour être des sangs-mêlés – poison qui s’était insinué jusque dans vos propres rangs. Tu le sais, en dépit de leur jeune âge, tes cadets ont honte – plus ou moins envahissante – de leur mère, peu importe ô combien ils l’aiment. Toi, tu t’en fiches, la nature du sang n’a jamais été un problème, ni toutes ces préoccupations puritaines. Sauf que, les choses ont changé. Aujourd’hui, tu irais même jusqu’à aller à l’encontre des idéaux que ta famille portait jusqu’alors. Tu te dis que l’enterrement de ta si douce petite sœur n’est sûrement pas l’occasion idéale pour de telles revendications. En revanche, tu te fais la promesse que tu trouverais un sens à ta vie qui saurait faire honneur à cela. Tu finis par te frayer un chemin, pour arriver jusqu’au premier rang. Sans prêter attention à qui que ce soit, tu viens épauler ta mère par la droite. Littéralement. Tu passes ta main sur elle, sentant les secousses que ses sanglots frénétiques provoquent. Tu vois à quelques mètres de là Landry, il te fuit du regard. Alexine plonge ses yeux dans les tiens. Vous n’avez jamais été très complices, ou du moins très expressifs tant Alexine peut être difficile à appréhender. Néanmoins, un lien très fort vous unit. Une télépathie qui vous permet de vous passer de mots. Tu le regrettes déjà mais tu n’arrives pas à lui renvoyer un regard rassurant, comme tu savais le faire. Tu ne sais plus qui est l’ennemi aujourd’hui. Ou du moins, tu sais que ce serait désormais Landry. Bridget et Rosaline sont là. Tu n’oses pas non plus croiser leur regard. Tu n’as pas la force d’être un grand frère à l’instant. Quelque chose de mauvais s’installe en toi, quelque chose qui te changera à jamais. Quelque chose dont tes petites sœurs ne sont pas responsables, mais que ta future rancune, déjà grandissante, n’épargnera pas. Tes lèvres tremblent et tu n’as pas le droit à l’erreur, tu ne peux pas te permettre de craquer. Ta mère a besoin de toi, et dans une certaine mesure, tu veux être ce rocher intangible sur lequel elle peut s’accrocher pour ne pas se noyer dans son chagrin, pour ne pas succomber à cette terrible blessure. Tu portes des lunettes de soleil. Nous sommes en décembre 2005. Beaucoup de tes paires ont eu la même idée. A côté de Bridget, tu vois une petite fille. Tu ignores son prénom et pourtant, tu pourrais parier qu’il s’agit d’une fille Blackwood. Tu l’ignores encore, mais elle et toi seront très proches à l’avenir. Tu espères que son jeune âge ne lui permettra pas de retenir ce douloureux moment. Si seulement tes petites sœurs avaient pu être épargnées d’une telle épreuve…
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Re: Adieu, Joséphine. (Mormont & co)
Mar 20 Mar 2018 - 16:26
Adieu, joséphine.
tomorrow is another day
and you won’t have to hide away.
you’ll be a man, boy.
but for now it’s time to run.
and you won’t have to hide away.
you’ll be a man, boy.
but for now it’s time to run.
« Joséphine a su plaire à Dieu, et Dieu l’a aimée » Déclare le curé, une bible dans sa main gauche et un chapelet dans sa main droite. « Elle vivait dans ce monde pécheur : elle en fut retirée. Elle a été reprise, de peur que le mal ne corrompe sa conscience ; pour que le mensonge n’égare pas son âme ... Car les séductions faciles font perdre de vue le bien, et l’entraînement de la passion trouble un cœur innocent. Parce qu’elle plaisait au Seigneur, celui-ci, sans attendre, l’a retirée de ce monde … » La mine grave, tu fais mine d’écouter le père Barclay tandis que tu remarques le reste de ta fratrie. Tobias, le visage fermé et les paupières lourdes se tient à quelques mètres de toi. Il semble à bout de nerfs – même si son visage impassible tend à prouver le contraire. Mais tu connais bien ton frère, Landry. Tu sais à quel point il aimait Joséphine ; combien sa perte l’avait affecté. Ta mâchoire s’en souvient encore …
« Tu crois que ce sera long ? » Ton regard se pose à nouveau sur Rose – qui vient de se coller tout contre toi – et tu passes un bras autour de ses épaules avant de l’étreindre. « Je ne sais pas Rosie » Finis-tu par lâcher, l’air grave. « Mais vu l’état dans lequel se trouve Mélinda, nous risquons fort d’être rentrés avant midi … » Murmures-tu avant de tourner lentement ta tête vers votre mère qui – après avoir pleuré toutes les larmes de son corps durant des jours – semble absente dans les bras de ton cadet. « Regarde là » Chuchotes-tu cependant qu’une grimace de dégout déforme ton visage rougi par le froid. Elle est si faible … Ne peux-tu t’empêcher de penser avant d’afficher, pour la énième fois, le masque du deuil. Celui qui fait de toi une brebis égarée, un enfant de Dieu parmi tant d'autres.
« Et maintenant, j’invite la famille et les proches à venir rendre un dernier hommage à Joséphine » Déclare le prêtre avant de poser son regard fatigué sur toi. Merlin … Un soupir s’échappe de tes lèvres tandis que tu libères – à contre cœur – ta douce Rosaline. Tu sais qu’il est l’heure de faire tes adieux à ta cadette. Qu’il est temps qu’elle rejoigne vos aïeuls. Qu’elle aille tout leur raconter pour que tu ne puisses pas trouver le repos éternel, contrairement à elle. Tu le sais, mais tu n’es pas prêt Landry. Du moins, pas encore. Pas tout de suite. Et pour preuve : tu n’as rien préparé. Pas même un petit discours fait à la va vite sur un petit bout de parchemin. Pourtant, tu avais eu largement le temps de le faire …
Tu rejoins en quelques enjambées le père Barclay et te poste à ses côtés – non loin du petit cercueil où repose ta sœur – lorsque tu croises pour la première fois (depuis bien longtemps) les prunelles
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- Ce topic se situe quelques années en arrière, sur le domaine des Mormont (dans les Landes Écossaises, à Achnasheen) lors de l'enterrement de Joséphine, la cadette de la famille. Tout Momont ou proche de la famille est convié à l’enterrement. Attention : les Mormont et les Blackwood sont en froid depuis des années (cf. l'histoire des deux familles). Hello @Tobias Mormont, @Alexine Mormont, @Ethan Blackwood, @Emma Blackwood, @Caleb Blackwood.