- InvitéInvité
L'amour n'a pas a être parfait, il n'a qu'a juste être vrai. Primwell (Terminé)
Ven 30 Mar 2018 - 11:58
Il s’est passé tellement d’événements rien que cette semaine, et même les quelques jours avant, pour commencer, tu as eu des nouvelles de ta mère et apparemment elle reprend un peu du poil de la bête si on en croit ce que tu dis Lily, reste à savoir si elle dit la vérité ou cherche simplement à rassurer le frère qui pourtant n’est plus le même qu’autrefois. La révélation de ta colocataire a eu l’effet d’un coup de couteau dans le ventre, tu ne pensais pas une seule seconde qu’elle pourrait se faire agresser dans la rue sans rien te dire pendant plusieurs jours, tu t’en veux de n’avoir rien vu plus tôt et surtout de ne pas avoir été là au moment de l’agression pour l’empêcher et faire mordre la poussière à l’insecte qui est à l’origine du viol. Ce baiser qui ne voulait absolument rien dire et que tu ne pouvais pas prévoir, mais aucune gêne ne demeure entre-vous, après tout quand une personne est en détresse elle est capable de n’importe quoi. Tu peux donc comprendre son geste.
Mais ce qu’il se passe dans ta tête depuis un certains temps ne peut pas s’évader comme ça, tu n’as même pas envie de voir ce genre de pensées s’évaporer tant elle fait du bien à ton organisme même si tu restes dans une insouciance évidente. Cette journée avec Primerose mélangée à tous ces moments et à ce baiser qui dans un premier temps ne, c’est pas tellement si bien passé que ça, pourtant la journée s’est très bien terminé alors qu’à son tour elle t’a laissée un souvenir sur le coin des lèvres. Tu poses ta main sur la commissure de ta bouche comme pour te souvenir de la sensation avant de sourire, tu n’arrêtes pas d’y penser et n’en parler à personne a été une véritable torture même si Niamh le sait, tu n’as pas eu le choix que de tout lui raconter dans les détails pour argumenter sur ton geste. Tu as admis devant la blondinette que tu l’aimes et elle t’a demandée un peu de temps sûrement pour y réfléchir, tu n’as pas tout compris, il faut dire et l’attente et plus que compliqué, c’est un véritable calvaire de ne pas avoir de nouvelles depuis presque une semaine alors qu’habituellement, vous passez vos journées ensembles. Tu as même pendant un moment pensé que tu n’aurais pas dû te confier à elle, au moins tu continuerais à la voir, mais peut-être veut-elle simplement pouvoir y penser dans son coin. Tu ne voudrais pas qu’elle commence à te détester à cause de ça, ne serait pas agréable pour toi.
Dans le canapé du salon la télé sur la chaîne pour enfant, tu arrives à retourner en enfance quand avec ta jeune sœur vous passiez des heures à regarder des dessins animés américains dont l’humour est à son apogée. Rien de mieux pour se changer les idées alors que tu n’as pas cours aujourd’hui, Niamh et Naïa sont en sortie pour aller faire les boutiques à Myrddyn Wyllt pendant toute l’après-midi, il est 14h32 et tu n’as absolument rien à faire de la journée. Pas de devoirs et au niveau des révisions tu es bien trop en avance dans toutes les matières, aucune envie d’aller à la taverne ou de retrouver des amis en ville. En fait, tu n’arrives pas à sortir la jeune femme de ta tête et à faire autre chose que de l’imaginer dans ton esprit, de repenser à la fête foraine et à tout le reste, absolument tout depuis que tu connais Primerose jusqu’à aujourd’hui. Elle partage ta vie depuis seulement quelques mois et pourtant, tu as l’impression qu’elle a toujours été là à tes côtés écrasant presque le chapitre Avril, bien trop douloureux. Tu ne saurait même pas comment réagir si tu devais croiser à nouveau son chemin. Tu joues avec une capsule de bière alors que la sonnette d’entrée se fait entendre, tu sors de tes pensées et sursautes presque alors qu’elle ressentie une seconde fois, pourtant, tu n’attends personne. C’est sûrement quelqu’un pour l’une de tes colocataires. Tu grattes légèrement le haut de ta tête alors que le son de la télévision se baisse, en direction de la porte, tu bailles un moment. « J’arrive. » Si seulement la personne derrière cette porte pouvait partir, tu n’as envie de voir personne aujourd’hui, à par Primerose, mais ce n’est pas elle donc ça ne t’intéresse pas. Tu ouvres la porte et ouvres les paupières à son maximum, c’est impossible. « Prim ? » Tu restes bête pendant quelques secondes avant de reprendre le contrôle, tu es gêné et c’est normal quand on sait comment s’est passé votre dernière rencontre. Tu ouvres la porte brusquement rattrapé par le stress et arrives tout de même à sourire. « Ne reste pas dehors, je t’en prie. »
- InvitéInvité
Re: L'amour n'a pas a être parfait, il n'a qu'a juste être vrai. Primwell (Terminé)
Sam 7 Avr 2018 - 19:01
Love doesn't have to be perfect, it only has to be true.
Samwell & Primerose
Tourner la page. Tirer un trait sur le passé. Aller de l’avant. Faire le deuil et … Vivre, tout simplement. Combien de fois te l’a-t-on répété, Prim ? Et combien de fois as-tu essayé ? Sûrement autant de fois que tu as échouée, maudite poupée … Mais ce temps est révolu, n’est-ce pas ? Car depuis quelques jours, tu t’es vite rendu compte à quel point tu avais changé. À quel point tes sentiments avaient évolués. La belle et douce amitié que tu entretenais avec Samwell Hamilton n’était plus. Elle avait pris une tournure aussi soudaine qu’inattendue … Et avait laissé place à des sentiments bien plus forts et profonds que tu ne l’avais imaginé. Des sentiments que tu pensais ne plus jamais pouvoir ressentir – puisqu’ils t’avaient brisé le cœur quelques mois plus tôt.
Perdue dans tes pensées, la tête dans les nuages et les mains dans les poches de ton jean, tu déambules tranquillement dans les rues d’Inverness – en te demandant comment tu vas bien pouvoir gérer tout ça – lorsque ton téléphone se met à vibrer au fond de ton sac. Tu attrapes l’appareil et décroches sans faire attention à ce qui est écrit dessus. « Allô ? ». « C’est moi ! T’es où ? ». Tu reconnais la voix de Zadig et ne peux t’empêcher de sourire. « Je suis en ville Zazou. Je voulais faire quelques courses et … » « Tu as été le voir ? » Te coupe-t-il alors que tu manques de louper la marche du trottoir sur lequel tu viens de passer. « Hein ? De quoi tu parles ? » Bégaies-tu en jouant (piètrement) l’innocente. « Tu sais très bien de quoi je veux parler ! Va le voir et ensuite passes à la coloc. Ta sœur à fait un gâteau ! Bisous ma licorne » Dit-il avant de raccrocher. Tu écarquilles les yeux et entrouvres la bouche un instant avant de regarder ton téléphone. Il est sérieux ? Tu hoches la tête et te pincesfurieusement les lèvres avant de ranger le gadget moldu dans ta poche. « Oh Merlin … » Gémis-tu avant de resserrer les pans de ton manteau et de regarder tout autour de toi. Aller voir Samwell, là, tout de suite ? Mais pour lui dire quoi ? Tu mords ta lèvre inférieure et fronces légèrement les sourcils avant de peser le pour et le contre.
Cela fait des jours que tu n’as pas vu Sam. Des jours que tu n’as pas pris de ses nouvelles ou même cherché à le voir. Pourquoi ? Parce que tu assans doute peur de le rencontrer. Peur de l’affronter à nouveau maintenant que tu as pris pleinement conscience de tes sentiments pour lui. Sans parler du fait que tu es effrayée à l’idée de ne pas savoir quoi lui dire (ou même comment te comporter) …
Est-ce que je devrais l’embrasser la prochaine fois qu’on se verra ? Oh mon dieu ! Un nœud se forme au creux de ton ventre tandis que tes joues s’enflamment à l’instant où tu te poses cette question muette. « Stop, stop, stop » Murmures-tu avant de fermer les yeux et lâcher un petit rire nerveux. Ce n’est vraiment pas le moment de penser à ça ! Et Zadig a raison : il est grand temps d’affronter le yankee et (par extension) tes sentiments. Tu expires un bon coup pour te donner du courage et, après quelques secondes à regarder les passants flâner devant les boutiques du centre, tu prends la direction de Pembroke Street – où se trouve l’appartement de Samwell.
Tu ne mets que quelques minutes à traverser la ville et te retrouves très vite devant la petite résidence de l’Américain. Une fois à l’intérieur, tu gravis lentement les escaliers et essai de garder ton calme lorsque finalement, tu te retrouves devant sa porte. « Oh Merlin, mais qu’est-ce que je fais … » Chuchotes-tu dans ton écharpe avant de prendre ton courage à deux mains. Tu frappes timidement à la porte et attends quelques secondes avant de te rendre compte qu’il y a une petite sonnette juste à côté. « Merde » jures-tu avant d’appuyer sur le petit bouton à deux reprises. Tu attends patiemment en tordant tes doigts et tes pieds dans tous les sens lorsque finalement, la porte s’ouvre sur un Sam à l’air étonné. « Prim ? ». « Hey ! » T’exclames-tu avant d’afficher un large sourire et lui faire un petit signe de la main.
Ton cœur fait ungrand bond dans ta poitrine et se met à battre à tout rompre lorsqu’il te demande d’entrer. « Ah, merci » bredouilles-tu avant de le précéder. « J’espère que je ne te dérange pas ? » Lui demandes-tu alors que tu découvres où il vit. « Je passais dans le coin et je me suis rappelée que tu n’habitais pas très loin d’ici alors … » Alors tu t’es permis de t’incruster chez lui parce qu’il te manque ? Ou parce que Zadig t’a forcé la main et t’a demandé de passer le voir ? Sans doute un peu beaucoup des deux ... Tu te racles la gorge et entreprends de défaire rapidement ton manteau avant de te tourner vers Samwell. « Ca faisait longtemps hein ? » Demandes-tu avant de poser tes affaires sur un porte-manteau qui traînait là. « Comment tu vas ? ».
Perdue dans tes pensées, la tête dans les nuages et les mains dans les poches de ton jean, tu déambules tranquillement dans les rues d’Inverness – en te demandant comment tu vas bien pouvoir gérer tout ça – lorsque ton téléphone se met à vibrer au fond de ton sac. Tu attrapes l’appareil et décroches sans faire attention à ce qui est écrit dessus. « Allô ? ». « C’est moi ! T’es où ? ». Tu reconnais la voix de Zadig et ne peux t’empêcher de sourire. « Je suis en ville Zazou. Je voulais faire quelques courses et … » « Tu as été le voir ? » Te coupe-t-il alors que tu manques de louper la marche du trottoir sur lequel tu viens de passer. « Hein ? De quoi tu parles ? » Bégaies-tu en jouant (piètrement) l’innocente. « Tu sais très bien de quoi je veux parler ! Va le voir et ensuite passes à la coloc. Ta sœur à fait un gâteau ! Bisous ma licorne » Dit-il avant de raccrocher. Tu écarquilles les yeux et entrouvres la bouche un instant avant de regarder ton téléphone. Il est sérieux ? Tu hoches la tête et te pinces
Cela fait des jours que tu n’as pas vu Sam. Des jours que tu n’as pas pris de ses nouvelles ou même cherché à le voir. Pourquoi ? Parce que tu as
Est-ce que je devrais l’embrasser la prochaine fois qu’on se verra ? Oh mon dieu ! Un nœud se forme au creux de ton ventre tandis que tes joues s’enflamment à l’instant où tu te poses cette question muette. « Stop, stop, stop » Murmures-tu avant de fermer les yeux et lâcher un petit rire nerveux. Ce n’est vraiment pas le moment de penser à ça ! Et Zadig a raison : il est grand temps d’affronter le yankee et (par extension) tes sentiments. Tu expires un bon coup pour te donner du courage et, après quelques secondes à regarder les passants flâner devant les boutiques du centre, tu prends la direction de Pembroke Street – où se trouve l’appartement de Samwell.
Tu ne mets que quelques minutes à traverser la ville et te retrouves très vite devant la petite résidence de l’Américain. Une fois à l’intérieur, tu gravis lentement les escaliers et essai de garder ton calme lorsque finalement, tu te retrouves devant sa porte. « Oh Merlin, mais qu’est-ce que je fais … » Chuchotes-tu dans ton écharpe avant de prendre ton courage à deux mains. Tu frappes timidement à la porte et attends quelques secondes avant de te rendre compte qu’il y a une petite sonnette juste à côté. « Merde » jures-tu avant d’appuyer sur le petit bouton à deux reprises. Tu attends patiemment en tordant tes doigts et tes pieds dans tous les sens lorsque finalement, la porte s’ouvre sur un Sam à l’air étonné. « Prim ? ». « Hey ! » T’exclames-tu avant d’afficher un large sourire et lui faire un petit signe de la main.
Ton cœur fait un
electric bird.
- InvitéInvité
Re: L'amour n'a pas a être parfait, il n'a qu'a juste être vrai. Primwell (Terminé)
Dim 8 Avr 2018 - 15:04
Tu n’arrives pas à le croire et pourtant elle est bien là en ce moment même, ses iris dans les tiens avec un léger sourire d’un signe affectueux de la main, elle te saluer et tu restes un peu bête là devant la porte sans pouvoir lui rendre son bonjour. Il faut dire que tu ne pensais pas qu’elle viendrait chez toi, tu connais la jeune femme depuis plusieurs mois et c’est la première fois qu’elle vient dans ta demeure, tu ne savais même pas si elle savait où se trouve l’appartement que tu partages avec Niamh et Naïa, comme quoi tu peux encore en apprendre un peu plus tous les jours. Tu n’arrives pas à oublier ce qu’il s’est passé le week-end dernier et sûrement qu’elle doit y penser aussi, tu lui as dit qu’elle aurait tout le temps qu’elle veut et ton cœur te serre à l’idée qu’elle soit venue t’annoncer le fait qu’elle n’ai pas envie, pas besoin de toi. Tu pourrais perdre la force dans tes jambes, perdre toute envie de te réveiller à nouveau à ses simples mots, tu pourrais perdre l’envie de vivre si ton cœur se retrouve brisé une nouvelle fois. Elle rentre dans l’appartement en te remerciant alors que tu refermes la porte derrière elle avant de faire volte-face devant la jeune femme pour lui indiquer le porte manteaux. « J’espère que je ne te dérange pas ? » Tu souris tendrement alors qu’il est évident que ce n’est pas le cas, ce n’est jamais le cas en réalité. « Tu ne me déranges jamais. » Elle pose son manteau et tu viens gratter le haut de ton crâne un peu gêné parce que tu viens de dire, comme si chacune de tes phrases maintenant en présence de Primerose avaient un double sens. C’est peut-être le cas d’ailleurs. « Niamh et Naïa sont parties faire les boutiques. Je regardais un dessin animé. » Tu indiques la télé un moment avant d’aller attraper la télécommande pour couper le son, tu n’as jamais eu aucune honte d’aimer ce genre d’émission et tu assumes assez facilement chaque chose que tu fais dans ta vie. Les gens aiment ça chez toi, on te l’a dit à plusieurs reprises. « Ca faisait longtemps hein ? » Tu laisses le silence s’installer pendant quelques secondes pour songer à ce qu’elle vient de dire avant d’acquiescer légèrement. Trop longtemps. « Comment tu vas ? ». Tu viens sourire une nouvelle fois et plonges tes yeux dans ceux de la jeune blondinette. « Je vais bien… » C’est faux. Tu ne vas pas bien, elle te manque depuis plusieurs jours et tu n’arrêtes pas de penser à elle, mais elle doit le savoir. Peut-être pas en fait. « Et toi ? »
Tu attrapes la baguette sur la table basse et en quelques spirales rapides un verre vient se déposer sur le support prêt du canapé avec de l’eau, du jus d’orange ou même du soda, il faut dire que tu es prévenant et vient déposer ton partenaire de magie dans l’arrière de ta poche avant de montrer le canapé à Pris. « Fais comme chez-toi, je reviens. » Tu disparais dans le couloir avec l’air serein avant d’apparaître dans ta chambre au bord de la crise cardiaque. Tu laisses ton corps tomber sur le lit alors que la chambre est assez éloignée du salon, impossible qu’elle ne puisse t’entendre, tu regardes le plafond et vide tes poumons pendant un long moment. Primerose est dans mon salon. Ton cœur bat la chamade dans ta poitrine alors que tu viens placer une main dessus comme pour essayer de le calmer. « Tout va bien Sam. » Primerose est sur mon canapé ! Tu viens te mettre sur tes jambes et retournes dans le salon avec un grand sourire avant de venir te poser à ses côtés au fond du dossier en croisant les bras. Tu ne sais pas quoi dire. Tu ne sais VRAIMENT pas quoi dire. Réfléchis imbécile sinon elle va partir. Tu veux retourner sur ton lit et t’enfuir, mais il va falloir un peu plus de courage que ça. Tu rigoles nerveusement enfin et regardes le mur devant toi en espérant que tu n’as pas mis une mauvaise ambiance, ce n’est pas simple de rester calme dans ce genre de situation. « Je voulais m’excuser. » Oui, il faut commencer par ça avant d’aller plus loin dans la conversation, peu importe ce qu’elle dira, il faut que tu trouves la force de faire de vrai excuses. « Je… Enfin… Tu sais… Voilà quoi. » Mais ça ne veux rien dire Samwell, tu vas arriver à trouver tes mots OUI ?!
Tu regardes dans sa direction pour voir si elle t’observe alors que tu es vraiment maladroit en cet instant même, mais tu n’as pas eu le loisir de ressentir ce genre de chose depuis bien longtemps, depuis Avril. « Je n’aurais pas du t’embrasser sans ta permission. » Tu patientes un peu avant de poursuivre. « Mais je ne regrette pas de l’avoir fait. » Tu commences à rougir d’une certaine façon et pose une main presque pour cacher ton visage détournant à nouveau le regard, un homme aussi grand et robuste que toi qui se retrouve sans aucun moyen devant une jeune femme comme Primerose. « Mais je ne vais pas prendre le monopole de la parole. Tu voulais me dire quelque chose ? » C’est certains qu’elle a dit être passée dans le coin, mais pour venir chez quelqu’un il faut plus de raisons non ? Du moins, tu le penses. Elle veut forcément parler avec toi, elle aurait peut-être pris une décision. Ça fait une semaine et tu n’as pas été le seul à réfléchir à ce qu’il s’est passé au parc, c’est normal. Tu as peur de ce qu’elle pourrait dire, alors que tu viens regarder ses yeux une nouvelle fois en prenant la peine de t’y perdre totalement. Tu voudrais la prendre dans tes bras, lui dire que tu l’aimes vraiment et qu’elle ne doit jamais en douter. Il ne faut jamais douter de la sincérité d’un Summerbee, de la loyauté d’un Oiseau-Tonnerre et des sentiments d’un homme. Tu regardes ses lèvres un instant et commences à penser à ce baiser échangé l’autre jour, cette sensation unique au monde et la douceur de sa peau que tu n’arrives à sortir de ton esprit. Cette femme t’attire plus que quiconque, elle te fait tourner la tête.
- InvitéInvité
Re: L'amour n'a pas a être parfait, il n'a qu'a juste être vrai. Primwell (Terminé)
Mer 11 Avr 2018 - 19:22
Love doesn't have to be perfect, it only has to be true.
Samwell & Primerose / music
« Tu ne me déranges jamais » te répond-il alors qu’un sourire illumine son visage et que tes lèvres se fendent à leurs tours. Jamais, hein ? Je note, je note … Penses-tu avant d'arquer un sourcil. « Niamh et Naïa sont parties faire les boutiques. Je regardais un dessin animé » ajoute-t-il – comme pour se justifier – en pointant du doigt le téléviseur. Tu jettes un œil au gadget moldu et suis du regard Samwell qui s’empare d’un drôle d’engin qui semble avoir le pouvoir d’arrêter le son. Est-ce une sorte de baguette magique ? Tu fronces les sourcils et tires légèrement la moue. Bien que ton frère (Eliott) et tes amis t’aient initiée à la culture moldu (sans compter tes nombreux cours depuis Poudlard), tu as encore beaucoup de mal à comprendre leur mode de vie et toutes leurs babioles foutrement alambiquées. Pour autant, tu fais mine de ne pas être surprise. Tu n’as aucune envie que Samwell te prenne pour une ignorante. « Oh cool ! » t’exclames-tu finalement avec entrain – mimant parfaitement (ou presque) la parfaite petite sorcière pro-moldu.
Tu te racles la gorge et entreprends de défaire rapidement ta veste avant de te tourner vers Samwell. « Ca faisait longtemps hein ? » Demandes-tu avant de poser tes affaires sur un porte-manteau qui traînait là. « Comment tu vas ? ». « Je vais bien… » Te répond-il, un sourire toujours accroché à ses lèvres pleines. « Et toi ? ». Tu plonges ton regard azur dans le sien et entrouvres la bouche avant de la refermer aussitôt. Comment … Je vais ? Tu bats rapidement des cils et réfléchis un instant à sa question avant de prendre une grande inspiration. « Ca va » Lui réponds-tu au bout d’un moment, avant d’ajouter tout bas : « Mais tu m’as manqué … ». En y pensant, ton cœur se sert au fond de ta poitrine et tu ne peux t’empêcher de regarder ailleurs alors que Samwell se dirige vers la petite table basse qui trône en plein milieu du salon. Il n’a certainement pas entendu tes derniers mots. Mais quoi de plus normal ? Ces derniers avaient franchi tes lèvres en un murmure à peine audible …
D’un rapide et léger mouvement de baguette, Sam fait apparaître des boissons sur la petite table et désigne le canapé. « Fais comme chez-toi, je reviens » te recommande-t-il avant de disparaître dans le couloir attenant à la pièce. Tu le suis une nouvelle fois du regard et t’apprêtes à lui demander si tout va bien lorsque tu le vois disparaître derrière une porte. Mais qu’est-ce que … ? Tu écarquilles légèrement les yeux – et te demande si en fin de compte, tu ne le déranges vraiment ? – avant de hausser les épaules et de t’installer dans le sofa. Une fois bien assise, tu te penches vers le plateau et attrapes un verre de jus d’orange que tu sirotestranquillement devant la télévision. Merlin, ces moldus sont vraiment … Fascinants ! Penses-tu en regardant les personnages, semblables à des dessins que l’on retrouve dans les livres ou les toiles magiques, se mouvoir avec une fluidité déconcertante dans le petit cube en plastique. Mais comment est-ce possible sans l’aide de la magie ? Tu penches la tête sur le côté et te demandes si Samwell n’a pas ensorcelé la télévision lorsque sans crier gare, tu te rappelles subitement pourquoi tu te retrouves ici, au fond de ce canapé.
« Oh merlin ! ». Tu manques de t’étrangler avec ton jus d’orange et reposes rapidement ton verre d’une main tremblante lorsque tu sens ton cœur s’emballer et tes mains devenir horriblement moites. Tu as soudainement très chaud à l’idée de devoir le confronter et lui parler de chosesplus ou moins intimes … Malheureusement, tu n’as pas le temps de te calmer ni de reprendre tes esprits, Prim, puisque le summerbee refait surface et vient s’installer à tes côtés, les bras croisés. « Je voulais m’excuser » Finit-il par t’avouer, après avoir gardé le silence. Tu le regardes, l’air perplexe, mais ne l’interrompt pas pour autant. Tu sais que la situation dans laquelle vous vous trouvez est … inhabituelle (si ce n’est gênante), et tu n’as aucune envie de le mettre encore plus mal à l’aise. « Je… Enfin… Tu sais… Voilà quoi ». Il te regarde et tu lui souris tendrement avant de poser ta main sur la sienne. « Je sais Sam. Mais ce n’est rien, tu n’as pas à t’excuser » lui réponds-tu calmement avant d’agripper ses doigts. Le fait qu’il s’en veuille et se sente obligé de te présenter des excuses te brise le cœur. Il n’a pas à se sentir coupable. Ce n’est pas de sa faute. Ça ne l’a jamais été. En fait, c’est toi la coupable dans toute cette histoire.
Tu baisses les yeux et caresses sa main du bout des doigts avant qu’il ne reprenne : « Je n’aurais pas dû t’embrasser sans ta permission … Mais je ne regrette pas de l’avoir fait ». Lorsque tu relèves la tête, ses joues ont pris une délicate couleur rosée et tu ne peux t’empêcher de sourire. Son air à la fois désolé et bravache te rappelle étrangement celui de Malcom, lorsqu’il était petit. « Mais je ne vais pas prendre le monopole de la parole. Tu voulais me dire quelque chose ? ».
Ses yeux te transpercent. Littéralement. Et tu as l’impression qu’ils peuvent sonder ton âme cependant que tes cils se mettent à papillonner à une vitesse folle et que tu retiens un léger hoquet de surprise. Bon sang ! Jures-tu intérieurement alors qu’une vague de frissons te parcours l’échine. Par où commencer ? Et quoi lui dire ? Tu fermes les yeux une seconde et expires lentement avant de te rapprocher doucement de Samwell. Tes mains trouvent les siennes, et tu les tripotes nerveusement avant de prendre ton courage à deux mains. « Oui je … ». Ta voix s’enraille et tu te racles la gorge afin de te redonner un peu d’aplomb. « Ce qui est arrivé le week-end dernier » recommences-tu avant de te forcer à le regarder dans les yeux. « Ce n’est pas de ta faute, Sam. Tu n’as pas à t’excuser ». Tu te noies dans l’océan de ses iris azurés et tu sens ton cœur s’emballer à nouveau lorsque ton regard glisse le long de son visage pour mieux terminer sur ses lèvres. « Et même si je t’ai dit que j’avais besoin de temps … Je suis contente que tu l'aies fait ».
C’est vrai … Durant toute cette semaine, tu avais eu le temps d’y réfléchir, Prim. Tu avais eu tout le loisir de repenser en long, en large et en travers à cette soirée, à votre baiser, aux promesses que t’avait fait Samwell … Et force était d’admettre qu’il avait raison sur un point : il pouvait te rendre heureuse. Il n’y avait aucun doute là-dessus. Il fallait seulement que tu lui donnes une chance. Que tu te donnes une chance.
Tes mains se séparent des siennes et tes bras s’enroulent autour de ses épaules avant que tu ne bascules sur lui. Une fois sur ses genoux, tu enfouies doucement ton visage au creux de son cou et te blottis contre lui. Tu sais que vous ne pourrez plus jamais revenir en arrière. Et que rien ne sera plus jamais comme avant mais … Cela ne te faitplus pas peur. Tu as confiance en Sam. Tu sais qu’il ne te fera jamais de mal ; pas comme tous ceux avant lui. « J’ai besoin de toi, Sam » Murmures-tu au bout d’un moment alors que tu te redresses et plonges tes yeux dans les siens. Ta main droite parcourt timidement son torse et caresse du bout des doigts son visage anguleux avant de s’enfoncer dans ses cheveux en désordre. Tu réduis la distance qui vous sépare. Ton front vient se poser doucement contre le sien et tu fermes les yeux un bref instant – tout en ignorant les battements irréguliers de ton cœur – quand soudain, tes lèvres s’approchent dangereusement des siennes.
Tu ne sais pas vraiment ce que tu fais, à cet instant précis, mais tu ressens le besoin viscéral de l’embrasser. Le besoin primaire de le sentir tout contre toi ; sentir ses lèvres contre les tiennes comme pour mieux sceller sa promesse d’un avenir commun. Un avenir à deux. Un avenir heureux.
Un souffle s’échappe de ta bouche et tu t’empares doucement de ses lèvres avant d’approfondir ton baiser – qui finit par devenir de plus en plus intense. Tes mains s’emparent alors de son visage. Tu te presses tout contre lui – comme si tu avais peur qu’il s’échappe – et tu sens de légers fourmillements naître au creux de ton ventre lorsque tu sens qu’il te rend toute ta tendresse. Collés l’un à l’autre, le monde semble s’être tout bonnement arrêté de tourner, et pourtant … Pourtant, le temps passe et tu finis par interrompre votre élan d’affection, le souffle court. Tu regardes Samwell, les joues rouges et les yeux humides avant de te mordre l’intérieur des joues. « Je … C’était … » Bredouilles-tu avant de secouer la tête et lâcher un petit rire nerveux. Bien ? Trop bien ? Tu piques un fard et regardes ailleurs avant de croiser le regard de Sam.
Tu te racles la gorge et entreprends de défaire rapidement ta veste avant de te tourner vers Samwell. « Ca faisait longtemps hein ? » Demandes-tu avant de poser tes affaires sur un porte-manteau qui traînait là. « Comment tu vas ? ». « Je vais bien… » Te répond-il, un sourire toujours accroché à ses lèvres pleines. « Et toi ? ». Tu plonges ton regard azur dans le sien et entrouvres la bouche avant de la refermer aussitôt. Comment … Je vais ? Tu bats rapidement des cils et réfléchis un instant à sa question avant de prendre une grande inspiration. « Ca va » Lui réponds-tu au bout d’un moment, avant d’ajouter tout bas : « Mais tu m’as manqué … ». En y pensant, ton cœur se sert au fond de ta poitrine et tu ne peux t’empêcher de regarder ailleurs alors que Samwell se dirige vers la petite table basse qui trône en plein milieu du salon. Il n’a certainement pas entendu tes derniers mots. Mais quoi de plus normal ? Ces derniers avaient franchi tes lèvres en un murmure à peine audible …
D’un rapide et léger mouvement de baguette, Sam fait apparaître des boissons sur la petite table et désigne le canapé. « Fais comme chez-toi, je reviens » te recommande-t-il avant de disparaître dans le couloir attenant à la pièce. Tu le suis une nouvelle fois du regard et t’apprêtes à lui demander si tout va bien lorsque tu le vois disparaître derrière une porte. Mais qu’est-ce que … ? Tu écarquilles légèrement les yeux – et te demande si en fin de compte, tu ne le déranges vraiment ? – avant de hausser les épaules et de t’installer dans le sofa. Une fois bien assise, tu te penches vers le plateau et attrapes un verre de jus d’orange que tu sirotes
« Oh merlin ! ». Tu manques de t’étrangler avec ton jus d’orange et reposes rapidement ton verre d’une main tremblante lorsque tu sens ton cœur s’emballer et tes mains devenir horriblement moites. Tu as soudainement très chaud à l’idée de devoir le confronter et lui parler de choses
Tu baisses les yeux et caresses sa main du bout des doigts avant qu’il ne reprenne : « Je n’aurais pas dû t’embrasser sans ta permission … Mais je ne regrette pas de l’avoir fait ». Lorsque tu relèves la tête, ses joues ont pris une délicate couleur rosée et tu ne peux t’empêcher de sourire. Son air à la fois désolé et bravache te rappelle étrangement celui de Malcom, lorsqu’il était petit. « Mais je ne vais pas prendre le monopole de la parole. Tu voulais me dire quelque chose ? ».
Ses yeux te transpercent. Littéralement. Et tu as l’impression qu’ils peuvent sonder ton âme cependant que tes cils se mettent à papillonner à une vitesse folle et que tu retiens un léger hoquet de surprise. Bon sang ! Jures-tu intérieurement alors qu’une vague de frissons te parcours l’échine. Par où commencer ? Et quoi lui dire ? Tu fermes les yeux une seconde et expires lentement avant de te rapprocher doucement de Samwell. Tes mains trouvent les siennes, et tu les tripotes nerveusement avant de prendre ton courage à deux mains. « Oui je … ». Ta voix s’enraille et tu te racles la gorge afin de te redonner un peu d’aplomb. « Ce qui est arrivé le week-end dernier » recommences-tu avant de te forcer à le regarder dans les yeux. « Ce n’est pas de ta faute, Sam. Tu n’as pas à t’excuser ». Tu te noies dans l’océan de ses iris azurés et tu sens ton cœur s’emballer à nouveau lorsque ton regard glisse le long de son visage pour mieux terminer sur ses lèvres. « Et même si je t’ai dit que j’avais besoin de temps … Je suis contente que tu l'aies fait ».
C’est vrai … Durant toute cette semaine, tu avais eu le temps d’y réfléchir, Prim. Tu avais eu tout le loisir de repenser en long, en large et en travers à cette soirée, à votre baiser, aux promesses que t’avait fait Samwell … Et force était d’admettre qu’il avait raison sur un point : il pouvait te rendre heureuse. Il n’y avait aucun doute là-dessus. Il fallait seulement que tu lui donnes une chance. Que tu te donnes une chance.
Tes mains se séparent des siennes et tes bras s’enroulent autour de ses épaules avant que tu ne bascules sur lui. Une fois sur ses genoux, tu enfouies doucement ton visage au creux de son cou et te blottis contre lui. Tu sais que vous ne pourrez plus jamais revenir en arrière. Et que rien ne sera plus jamais comme avant mais … Cela ne te fait
Tu ne sais pas vraiment ce que tu fais, à cet instant précis, mais tu ressens le besoin viscéral de l’embrasser. Le besoin primaire de le sentir tout contre toi ; sentir ses lèvres contre les tiennes comme pour mieux sceller sa promesse d’un avenir commun. Un avenir à deux. Un avenir heureux.
Un souffle s’échappe de ta bouche et tu t’empares doucement de ses lèvres avant d’approfondir ton baiser – qui finit par devenir de plus en plus intense. Tes mains s’emparent alors de son visage. Tu te presses tout contre lui – comme si tu avais peur qu’il s’échappe – et tu sens de légers fourmillements naître au creux de ton ventre lorsque tu sens qu’il te rend toute ta tendresse. Collés l’un à l’autre, le monde semble s’être tout bonnement arrêté de tourner, et pourtant … Pourtant, le temps passe et tu finis par interrompre votre élan d’affection, le souffle court. Tu regardes Samwell, les joues rouges et les yeux humides avant de te mordre l’intérieur des joues. « Je … C’était … » Bredouilles-tu avant de secouer la tête et lâcher un petit rire nerveux. Bien ? Trop bien ? Tu piques un fard et regardes ailleurs avant de croiser le regard de Sam.
electric bird.
- InvitéInvité
Re: L'amour n'a pas a être parfait, il n'a qu'a juste être vrai. Primwell (Terminé)
Jeu 12 Avr 2018 - 20:04
Tu es content de voir qu’elle va bien même si vous n’avez eu l’occasion de donner beaucoup de nouvelles pendant toute la semaine, pas une seule fois, il faut dire et ça ne t’as pas rendu indifférent ça serait même le contraire. Tu avais déjà la tête ailleurs après cette question ne pouvant entendre ce que murmure la jeune femme trop occupée à baisser le son de la télé, tu souris légèrement en prenant conscience que la jeune femme connais laissant ta naïveté faire le reste. Appuyé peut-être par le fait qu’il s’agit de Primerose, ça n’aurait sûrement pas le même effet avec une autre personne, mais tu ne risques pas de l’assumer ou même d’émettre cette hypothèse pour le moment. Tu aimes vivre comme tout le monde et te fondre dans le décor comme un véritable non-maj pour apprendre la façon qu’ils ont de vivre. Ils ne peuvent pas transplaner et tu te demandes bien comment ils font, c’est quand même quelque chose de tellement utile et tu ne te souviens pas d’avant ton permis. Tu disparais un moment pour revenir peu après, il fallait une minute pour reprendre ton souffle et ne pas devenir complètement malade alors que la jeune femme se trouve pour la première fois dans ton appartement depuis que tu l’as rencontré lors de ce cours le premier jour. Tu ne pourras jamais oublier ce moment. Ça fait une semaine que tu attends qu’elle donne des nouvelles et c’est enfin le moment, ton cœur tiraillé entre la douleur d’une éventuelle réponse négative et l’incommensurable amour que tu peux ressentir en cet instant même pour Primerose.
Installé confortablement sur le canapé, tu viens de présenter des excuses sincères et c’est dingue ce que ça peux être agréable, tu avais eu du mal à digérer le fait qu’elle puisse s’enfuir de cette façon et tu n’avais pas eu envie de lui faire peur. Sur le coup, tu avais l’impression que ton monde venait de s’arrêter entièrement embarquant avec elle le dernier soupçon d’espoir encore vivant dans ton âme. Pourtant, cette flamme qui demeurait encore avait continué à grandir en même temps que ton courage, tu l’avais rattrapé pour lui ouvrir ton cœur et voilà maintenant vous êtes là tous les deux dans ton appartement à attendre sûrement que l’un des deux dises quelque chose. Tu décroises les bras au moment ou elle commence à s’avancer dans ta direction sans vraiment comprendre ce qu’il se passe, dans un geste simple, tu redresses ton buste alors qu’elle s’emparer de tes mains. Tu avales nerveusement ta salive. « Oui je … » Elle est autant mal à l’aise que toi, mais il est hors de question de s’enfuir pour pouvoir mettre des mots enfin sur toute cette histoire qui vient de prendre une place considérable dans votre vie.
« Ce n’est pas de ta faute, Sam. Tu n’as pas à t’excuser » Elle plonge ses yeux dans les tiens et ton cœur fait un demi-tour sur lui-même alors que ressens des papillons dans ta poitrine, elle continue et tu oublies d’un seul coup la notion du temps. Elle t’hypnotise complètement. « Et même si je t’ai dit que j’avais besoin de temps… Je suis contente que tu l'aies fait ». Tu ne sais pas comment, mais tu arrives encore à sourire alors que tu n’as plus aucun contrôle sur chaque membre de ton corps, aspiré par sa voix si envoûtante. Tu ne pouvais qu’attendre, elle avait besoin de temps et c’est normal de lui en donner. Ce qui pour toi est naturel ne l’est sûrement pas pour tout le monde, certains pensent peut-être qu’il faut tout avoir de suite, c’est une grosse erreur à ne jamais commettre. Elle lâche tes mains et tu sens un poids dans ta poitrine, tu aimerais qu’elle continue à jouer avec, mais c’est avant de te rendre compte qu’elle vient d’enrouler ses bras autour de ton cou pour se retrouver sur toi. Tu ouvres deux yeux ronds et reste silencieux. C’est plutôt positif ce qu’elle fait là non ? Tu commences à poser la question à toi-même connaissant déjà la réponse. D’instinct, tu poses une paume dans le dos de la jeune femme et l’autre sur sa taille pour ne pas qu’elle trébuche. Son souffle vient se perdre dans ton cou, ce qui a pour effet de légèrement te faire frissonner. « J’ai besoin de toi, Sam » Tu comprend alors ce qu’elle veut dire et elle n’a pas besoin de donner une réponse, à partir de ce moment même vous pouvez dire clairement que vous êtes ensembles. Une vague d’émotion s’empare de ton cœur. « Prim… » Tu n’as pas le temps de continuer, elle se redresse et son regard vient à nouveau se poser sur toi, le premier regard non plus d’une amie, mais d’une petite amie. Ce qu’elle est magnifique.
Sa main qui voyage sur toi à l’effet d’un électrochoc alors qu’elle hésite une seconde avant d’avancer dans ta direction, tu ne peux pas prendre le temps de comprendre tant le geste est rapide, mais tu laisses un sourire s’afficher sur ton visage alors que son front rencontre le tiens. Son souffle se perd une dernière fois contre ta bouche alors qu’elle s’empare de tes lèvres. Tu fermes les yeux et laisses la douceur de ce moment te guider, lui rendant ce baiser pleins de tendresse qui vient sceller votre union. Elle se colle à toi comme pour que ce baiser ne puisse jamais s’arrêter et tu donnerais n’importe quoi pour que se soit le cas, mais chaque chose à une fin. Elle recule alors et détourne le regard en rigolant nerveusement. « Je … C’était … » Tu respires un instant alors que tout ça parait iréel et pourtant, Primerose se trouve bien au-dessus de toi le goût de ses lèvres dans ton esprit et son odeur qui vient s’inviter pour prendre possession de toi. Elle finit par te regarder à nouveau, l’envie de retrouver ses lèvres est bien trop grande et tu n’arrives pas à résister à la tentation. « Encore ! » Tu poses une main sur sa nuque et l’attires à toi posant tes lèvres une nouvelle fois contre les siennes dans un baiser pleins d’envie et de dévotion. Tout cet amour pour elle que tu n’arrivais pas à expliquer, obligé de le conserver au plus profond de toi, tu peux enfin le relâcher et lui offrir. C’est dans ce baiser que se trouve toute la passion que tu ressens pour cette jeune femme. Alors qu’une nouvelle fois, tu quittes ses lèvres elle se redresse et ta main vient se perdre sur sa joue, tu n’arrives pas à la quitter des yeux. « Tu es si belle. » Tu peux ressentir la chaleur de son corps et l’intensité de ses iris transpercés ton âme alors qu’un sourire sincère s’empare de toi. Tu entremêles les doigts de vos deux mains en continuant de l’observer. « Je t’avais bien dit que les yankees sont des tombeurs. » Tu accordes un clin d’œil à la jeune femme alors que tu viens de retrouver cet humour qu’elle aime tant et qui caractérise si bien votre relation. Vous n’avez pas changé, vous êtes exactement les mêmes au détail près que vos cœurs dès aujourd’hui vont battre à l’unisson.
Tu attrapes la jeune femme par la taille une nouvelle fois et la soulève avec facilité pour te mettre sur tes jambes, elle vient instinctivement attraper ta nuque alors que ton bras gauche passe sous ses jambes, la droite dans son dos. Son visage à quelques centimètres du tien, la proximité de vos yeux, de vos bouches. Son souffle qui se perd et s’intensifie contre ta peau. Tu murmures contre ses lèvres, la voix pleine de sentiments. « Tu m’as tellement manqué. » Tu tournes doucement sur toi-même dans le salon avec la jeune femme dans tes bras alors que votre proximité fait monter à nouveau un désir intense de lui voler un nouveau baiser, comme si tu ne pouvais plus t’en passer. « Embrasse-moi. » Ce dernier murmure vient se perdre laissant place à l’intensité d’un nouveau baiser.
- InvitéInvité
Re: L'amour n'a pas a être parfait, il n'a qu'a juste être vrai. Primwell (Terminé)
Dim 15 Avr 2018 - 22:24
Love doesn't have to be perfect, it only has to be true.
Samwell & Primerose / music
« Je … C’était … » Bredouilles-tu avant de secouer la tête et lâcher un petit rire nerveux. Bien ? Trop bien ? Tu piques un fard et regardes rapidement ailleurs avant de croiser son regard. Ton geste l'a t-il surpris (autant que toi) ? Tu te mordilles la lèvre inférieure et bats doucement des cils avant de baisser les yeux. Jamais tu ne te serais crue capable d’une telle chose, Prim. Embrasser un garçon la première, prendre les devants, te montrer aussi entreprenante … Ça ne te ressemble pas vraiment ! Et tu te demandes soudain si tu n’as pas été un peu trop vite lorsque tu vois le regard médusé de Sam. « Sam … ? » Tu fronces les sourcils et t’apprêtes à lui présenter tes excuses lorsqu’il plonge sur tes lèvres en même temps que sa main glisse sur ta nuque.
Tu écarquilles légèrement les yeux – avant de les refermer tout aussi vite – et lui rends son baiser avec entrain. Tes mains fourragentdoucement ses cheveux et glissent le long de sa nuque lorsque sa langue vient chatouiller l’interstice de tes lippes. Hey ! Mais qu’est-ce que … Tu ne peux t’empêcher de sourire – à défaut de rire – et répond instinctivement à son élan passionné en te pressant un peu plus contre lui. Sa respiration saccadée fait écho à la tienne. Tu peux sentir vos deux cœurs battre à l’unisson tandis que ses mains glissent le long de ton dos et qu’une vague de frissons te parcours l’échine. Il retient sa respiration. Toi aussi. Ce qui est en train de se passer entre vous est incroyablement magique. Intense. Inattendu. Jamais tu n’aurais cru pouvoir ressentir tout cela à nouveau, Prim. Et pourtant …
Sam te libère de son étreinte et entremêle doucement vos doigts alors que tu te perds dans son regard azuré et qu’il te contemple comme un amoureux transit. « Tu es si belle » Dit-il doucement alors que tu sens tes joues s’enflammer. « Oh, euh, merci … » Bredouilles-tu maladroitement, soudainementtrès gênée par son compliment qui pourtant, devrait te faire plaisir. Tu replaces une mèche de tes cheveux derrière ton oreille et passe furtivement ta langue sur tes lèvres alors que Sam prend un air curieusement malicieux. Tu plisses les yeux et penches légèrement sur le côté quand il finit par lâcher sa connerie : « Je t’avais bien dit que les yankees sont des tombeurs » Dit-il fièrement alors que tu lèves les yeux au ciel et pouffes de rire. « Mais t’es vraiment pas possible ! » Répliques-tu avant de lui enfoncer ton index dans le torse.
Tu fronces le nez et t’apprêtes à lui tirer les oreilles quand sans crier gare, il t’attrape et se lève. « Sam ! » t’écris-tu en rigolant. Tu t’agrippes rapidement à lui en passant un bras autour de ses épaules tandis que l’autre trouve sa place sur son torse. C’est la première fois qu’il te prend ainsi dans ses bras, et le regard qu’il te lance (à cet instant) te fait littéralement fondre sur place. « Tu m’as tellement manqué » Murmure-t-il doucement alors que son souffle caresse ton visage. Tu te noies dans ses yeux azur et lui souries tendrement alors qu’il se met à tournoyer lentement sur lui-même. Lui aussi, il t’a manqué. Plus que tu ne l’aurais imaginé. Cette semaine sans le voir ni le toucher avait été atrocement longue. Vous aviez tellement prit l’habitude de vous voir tous les jours que son absence t’avait mis à mal ces derniers jours. « Toi aussi » lui réponds-tu finalement – tout en caressant sa joue du bout des doigts – lorsqu’il te demande de l’embrasser.
Tu le regardes un instant, détailles le contour de sa bouche et captures à nouveau ses lèvres avant de t’éloigner, à contre cœur. Ton palpitant est sur le point d’exploser. Toutes ces sensations, ces émotions … « Je … J’ai plus l’habitude » Finis-tu par plaisanter, le souffle court, alors que Sam te pose délicatement sur le dossier du canapé. Tu passes une main dans tes cheveux, remets en place ta crinière dorée et le regardes tendrement alors qu’il s’approche à nouveau de toi. Tu te lèves, enroules tes bras autour de sa taille et penches légèrement la tête de côté. « Dis-moi … » Reprends-tu, soudainement hésitante. « Tu comptes aller au bal de printemps ? ». Tu ne sais pas pourquoi tu penses à ça, là, tout de suite, mais … la question te semble importante. Au départ, tu avais envisagé d’y aller avec tes licornes mais maintenant que les choses avaient pris une toute autre tournure avec Sam … « Je ne sais pas trop ce que tu as prévu, mais … peut-être qu’on pourrait y aller ensemble ? » Tu le regardes avec tes grands yeux et lui souris timidement avant de te mordre les lèvres. « Mais si ce n'est pas ton truc, c’est pas grave, j’irais avec des amis » ajoutes-tu rapidement avant de baisser la tête et rougir comme une gamine.
Tu écarquilles légèrement les yeux – avant de les refermer tout aussi vite – et lui rends son baiser avec entrain. Tes mains fourragent
Sam te libère de son étreinte et entremêle doucement vos doigts alors que tu te perds dans son regard azuré et qu’il te contemple comme un amoureux transit. « Tu es si belle » Dit-il doucement alors que tu sens tes joues s’enflammer. « Oh, euh, merci … » Bredouilles-tu maladroitement, soudainement
Tu fronces le nez et t’apprêtes à lui tirer les oreilles quand sans crier gare, il t’attrape et se lève. « Sam ! » t’écris-tu en rigolant. Tu t’agrippes rapidement à lui en passant un bras autour de ses épaules tandis que l’autre trouve sa place sur son torse. C’est la première fois qu’il te prend ainsi dans ses bras, et le regard qu’il te lance (à cet instant) te fait littéralement fondre sur place. « Tu m’as tellement manqué » Murmure-t-il doucement alors que son souffle caresse ton visage. Tu te noies dans ses yeux azur et lui souries tendrement alors qu’il se met à tournoyer lentement sur lui-même. Lui aussi, il t’a manqué. Plus que tu ne l’aurais imaginé. Cette semaine sans le voir ni le toucher avait été atrocement longue. Vous aviez tellement prit l’habitude de vous voir tous les jours que son absence t’avait mis à mal ces derniers jours. « Toi aussi » lui réponds-tu finalement – tout en caressant sa joue du bout des doigts – lorsqu’il te demande de l’embrasser.
Tu le regardes un instant, détailles le contour de sa bouche et captures à nouveau ses lèvres avant de t’éloigner, à contre cœur. Ton palpitant est sur le point d’exploser. Toutes ces sensations, ces émotions … « Je … J’ai plus l’habitude » Finis-tu par plaisanter, le souffle court, alors que Sam te pose délicatement sur le dossier du canapé. Tu passes une main dans tes cheveux, remets en place ta crinière dorée et le regardes tendrement alors qu’il s’approche à nouveau de toi. Tu te lèves, enroules tes bras autour de sa taille et penches légèrement la tête de côté. « Dis-moi … » Reprends-tu, soudainement hésitante. « Tu comptes aller au bal de printemps ? ». Tu ne sais pas pourquoi tu penses à ça, là, tout de suite, mais … la question te semble importante. Au départ, tu avais envisagé d’y aller avec tes licornes mais maintenant que les choses avaient pris une toute autre tournure avec Sam … « Je ne sais pas trop ce que tu as prévu, mais … peut-être qu’on pourrait y aller ensemble ? » Tu le regardes avec tes grands yeux et lui souris timidement avant de te mordre les lèvres. « Mais si ce n'est pas ton truc, c’est pas grave, j’irais avec des amis » ajoutes-tu rapidement avant de baisser la tête et rougir comme une gamine.
electric bird.
- InvitéInvité
Re: L'amour n'a pas a être parfait, il n'a qu'a juste être vrai. Primwell (Terminé)
Mar 17 Avr 2018 - 20:38
Le second baiser ne met pas longtemps à pointer le bout de son nez alors que la jeune femme se presse de plus en plus contre toi au même moment où tu passes tes mains dans son dos pour pas qu’elle ne tombe. Tu décides déjà par toi-même de prendre soin d’elle et de la protéger comme tu lui a promis pendant votre promenade dans les couloirs de l’école, il faut croire que tu as déjà commencé à le faire depuis un petit moment maintenant. Tu vas pouvoir continuer et cette fois en tant que petit copain, tu n’arrives toujours pas à le croire et pourtant, c’est la vérité même s’il faudra un certain temps d’adaptation pour se faire à ce changement qui risque de ne pas laisser vos amis et vos familles indifférentes. Même si tu doutes que ta mère ou ta sœur commencent à réellement se poser des questions sur ce qu’il se passe en Écosse, elles n’arrivent pas à comprendre que tu puisses vouloir le bonheur alors que tu n’es pas là pour t’occuper de ta propre famille. Pourtant, il faut aussi réaliser ses rêves et c’est ça qui l’est impossible pour elles de comprendre seulement en attendant d’avoir l’argent nécessaire, tu dois continuer de supporter la critique. Encore combien d’années ? Tu n’as aucune idée de la réponse, mais tu vas devoir avancer dans le noir et sans savoir ou demain va t’amener et pourtant, il ne faudra pas lâcher et garder espoir pour ramener à la vie cette famille qui autrefois était si soudée. Tu viens de gagner une nouvelle raison de vivre, ses lèvres contre les tiennes et le temps n’est plus qu’un lointain souvenir. Alors qu’elle commence à rigoler comme avant à tes blagues, ses yeux sont différents et sans même s’en rendre compte elle doit te regarder avec les iris d’une femme amoureuse. Une lumière dans le regard, un soupçon de bonheur capable de te faire croire aux contes de fées.
Elle t’embrasse à ta demande une nouvelle fois et le souffle court revient t’observer avec un léger sourire au coin des lèvres en s’excusant presque, il faut dire que tu es toi aussi sur une autre planète en ce moment même. « Je… J’ai plus l’habitude » Impossible de lui en vouloir, elle a raison et c’est sûrement toi qui vas trop vite alors que tu as passé toute la semaine à penser à elle sans pouvoir faire autrement. Doux poison, tendre destin. Tu prends soin de reposer la jeune femme sur dossier du canapé alors que tu viens placer les mains dans tes poches te redressant au même moment en respirant du mieux que tu peux, il faut dire que ton cœur vient de faire un demi-tour sur lui-même après ce qu’il vient de se passer. Tu n’aurais jamais pensé il y’a quelque temps que vous en seriez là aujourd’hui, elle est la blondinette que tu as rencontré au cours de soin aux créatures magiques et qui rapidement a gagné ta confiance avec son naturel et son sourire d’ange. Tu ne pensais pas que ton âme pourrait s’imprégner d’elle à ce point au point ou imaginer un seul instant qu’elle ne soit plus à tes côtés deviendrait un supplice. « Dis-moi… » Elle avait déjà repris sa place dans tes bras, tu fermes les yeux un instant. « Oui ? » Elle continue alors. « Tu comptes aller au bal de printemps ? » Tu lèves un sourcil pour prendre conscience de la situation, tu avais totalement oublié ce bal pour la simple raison que tu passes souvent le temps de ce genre de soirée enfermé dans ta chambre à réviser et terminer tes devoirs. Tu n’avais sûrement pas l’intention d’y aller en fait, mais les choses sont différentes maintenant. « Je ne sais pas trop ce que tu as prévu, mais… peut-être qu’on pourrait y aller ensemble ? » Tu avales ta salive d’un seul coup, c’est une invitation pour aller au bal ensembles, il va falloir t’habituer à ce genre de choses maintenant que vous êtes ensembles après tout et ce n’est pas le moment de dire non. Tu sais que les femmes aiment ce genre d’événement. « Mais si ce n'est pas ton truc, ce n'est pas grave, j’irais avec des amis » Tu passes les mains autour de la jeune femme et serre l’étreinte un peu plus. « Allons-y tous les deux. » Tu n’as pas besoin d’en dire plus, c’est ce qu’elle veut entendre et c’est aussi ce que tu veux pour vous deux, tu te demandes même ce qu’il va se passer quand on va vous voir main dans la main, vous avez l’habitude d’être vu ensembles, mais maintenant ça risque d’être légèrement différent. Elle baisse la tête et tu viens attraper son menton pour lui faire remonter doucement le visage alors que son regard vient croiser le tien. « Rendez-vous à l’appartement juste avant le bal. » Tu accordes un sourire à la jeune blonde. Ce soir sera le vôtre, à partir d’aujourd’hui, vous êtes un.
- Contenu sponsorisé
|
|