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- le Mer 1 Mai 2024 - 22:05
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- Sujet: Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
- Réponses: 10
- Vues: 139
Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
14.09.2023
Zooey refuse d'utiliser ce titre, bien trop vulgaire pour elle. Et si on parlais plutôt de Boursouf ?
Dans ce monde parfois complexe, l'innocence persiste comme une lueur d'espoir, douce et précieuse. Elle se manifeste dans les rires enfantins qui résonnent dans les parcs, dans les yeux pétillants de curiosité qui scrutent le monde avec émerveillement. L'innocence est cette capacité à voir la beauté là où d'autres voient la banalité, à croire en l'impossible alors que le cynisme règne en maître. C'est comme une bulle de savon multicolore, fragile et éphémère, mais qui transporte ceux qui la contemplent dans un monde de magie et de fantaisie. L'innocence se cache parfois derrière un geste, dans les sourires émus échangés lors d'une conversation, ou dans une main tendue qui n'est rien d'autre qu'une invitation à rejoindre l'aventure sans y voir d'autre messages qui dépasse, de toute façon, la jeune fille. Elle se trouve aussi dans les gestes simples et spontanés, dans les câlins réconfortants et les mots gentils échangés sans arrière-pensée. L'innocence n'est pas seulement l'apanage des enfants, elle réside également dans le cœur des grands qui gardent une part de leur enfance intacte, qui continuent à croire en la bonté intrinsèque de l'humanité malgré les épreuves. C'est un trésor précieux à protéger, à préserver, car c'est elle qui donne de la couleur à nos vies, qui nous rappelle la pureté et la simplicité des petits bonheurs quotidiens. Alors, cultivons cette innocence avec tendresse, laissons là nous guider sur le chemin de la joie et de la bienveillance, car c'est elle qui nous permet de garder un regard neuf et émerveillé sur le monde qui nous entoure.
- Oui, un peu beaucoup perrrdu même. Je devais prendre a gauche mais je crrrois que j'ai prrris à drrroite. Ou bien c'était l'inverrrse ? Je ne sais plus. Je devais me rrrendre heu... heu... - l'avait-elle mal dit en anglais la première fois ? - En cours de soin aux créatures magique !
Oui, voilà, c'est là qu'on devrait te trouver, que tu crois. Et ce, en ce gratouillant la tempe de l'index et en fronçant les sourcils. A croire qu'elle n'est pas tout à fait sûre d'elle la petite Zooey !
- Oui, un peu beaucoup perrrdu même. Je devais prendre a gauche mais je crrrois que j'ai prrris à drrroite. Ou bien c'était l'inverrrse ? Je ne sais plus. Je devais me rrrendre heu... heu... - l'avait-elle mal dit en anglais la première fois ? - En cours de soin aux créatures magique !
Oui, voilà, c'est là qu'on devrait te trouver, que tu crois. Et ce, en ce gratouillant la tempe de l'index et en fronçant les sourcils. A croire qu'elle n'est pas tout à fait sûre d'elle la petite Zooey !
- le Dim 24 Mar 2024 - 14:43
- Rechercher dans: La salle de cours de potions
- Sujet: Bonbons, potion, explosion?
- Réponses: 2
- Vues: 153
Bonbons, potion, explosion?
15.03.2024
Bonbons, potion, explosion ?
Dans l'insondable labyrinthe de l'existence, où chaque chemin s'étire dans un dédale sans fin, une âme errante se trouve emportée par le flux tumultueux du temps et de l'espace. Tel un voyageur égaré dans un rêve éveillé, elle recherche avec fébrilité un fragment de certitude, un éclat de vérité dans cet océan d'incertitudes. Mais quelle étrange danse que celle du destin, où chaque pas semble guidé par l'impérieuse nécessité de l'inconnu ! Imaginez, si vous le voulez bien, une scène étrange et merveilleuse, où les arbres s'inclinent avec déférence devant des nuages capricieux et où les rivières chuchotent des secrets millénaires à l'oreille attentive des fleurs. C'est dans cet univers onirique, où la réalité se fond avec la fantaisie, que notre protagoniste se retrouve plongé, balloté par les caprices de ses propres fantasies.
Dans ce tumulte de couleurs et de sons, chaque pas résonne comme une énigme à déchiffrer, chaque regard rencontre le reflet d'une vérité insaisissable. Car c'est là que se cache la quintessence de sa maladresse, une essence volatile et indomptable, aussi insaisissable qu'un souffle de vent par une nuit d'été. Et ainsi, dans l'errance perpétuelle, le seul cri muet qui s'élève est celui de l'espoir : "Pourvu que j'arrive quelque part." Car au-delà des sinuosités de l'aberrant et des méprises de la logique, la quête de sens demeure, énigmatique et inextinguible, telle une flamme vacillante dans l'obscurité de l'univers infini. Et peut-être, juste peut-être, au détour d'un sentier oublié ou à travers le miroir brisé du temps, notre demoiselle trouvera-t-elle enfin cette terre promise, ce havre de connaissance où les questions se taisent et où les réponses se révèlent dans un éclat de lumière.
Mais pour l'instant, dans l'immensité infinie de l’université, il n'y a que le voyage. Et c'est dans cette danse éternelle, cette étrange valse entre le connu et l'inconnu, que réside toute la beauté de… Non mais tout simplement du fait qu’elle s’est encore complètement perdue ! Paumé, vraiment. Et pourtant c’était censé être simple ; chambre – salle de cours de potion. Dans de prose qui défile pour une conclusion des plus décevante ! Elle en est presque désespérée, si l’on doit être honnête, de ne plus bien savoir si elle doit tourner à droite ou à gauche ! Mais, elle repensera à ce que Rebekah lui avait dit hier « peu importe la route que tu prendras, tant que t’arrive quelque part Mija ».
Bon, certes, la phrase s’appliquait plutôt à son avenir et quelques plans un peu plus profond que le fait d’être réellement paumé, parce que son sens de l’orientation est en carton ! On fait avec ce qu’on a, n’est-ce pas ? Enfin, peut-être, qu’on aura enfin la chance de la voir débarquer au milieu de chaudron bouillonnant et d’étagère remplit de bocaux plus ou moins esthétiquement attirant. Sans vouloir offenser les Véracrasse et leurs mucus, bien entendus !
Ou plutôt, on la retrouvera devant la porte, à se gratter la tempe avec le bout de sa baguette, un air interrogateur sur le visage. Elle n’a pas oublié un élément genre, important Rebekah ? Comme un mot de passe ou quelque chose ? Déjà que Zooey ce sentais plutôt mal de se présenter à sa place à un cours gentiment offert par une camarade de classe. Elle lui avait pourtant assurée, Rebekah « ben si vas y a ma place, t’inquiète Mija, Billie c’est une crème vous allez vous entendre comme le cheese et les nachos ! T’façon j’serais en conseil de discipline avec cette bande de ***** ». Oui, même dans ses pensée, Zooey censure la vulgarité, excusez là du peu.
Mais revenons donc à notre porte fermée. Le mot de passe. Elle le connait ? Elle l’a connu ? Ou est-ce qu’elle compte généralement sur le fait d’arriver avec ses autres camarades ? Elle cherche, elle cherche vraiment fort. Si fort qu’elle va commencer à dire absolument tout ce qui lui passe par la tête.
- Felix Felicis… heu… Œil de Triton, bave de crapaud, griffe de quintaped… Polynectar ? Oh zut !
Et en tapant du pied par terre ! Une mauvaise idée qui fera bondir les livres et parchemin qu’elle tenait sous son autre bras, droit par terre et dans un vacarme à réveiller les morts -pardon à la communauté fantômesque de l’université- zut, zut et re-zut ! Même le petit Botruc sur son pullover du jour, couleur crème, a croiser ses bras et semble bouder, à sa manière.
Dans ce tumulte de couleurs et de sons, chaque pas résonne comme une énigme à déchiffrer, chaque regard rencontre le reflet d'une vérité insaisissable. Car c'est là que se cache la quintessence de sa maladresse, une essence volatile et indomptable, aussi insaisissable qu'un souffle de vent par une nuit d'été. Et ainsi, dans l'errance perpétuelle, le seul cri muet qui s'élève est celui de l'espoir : "Pourvu que j'arrive quelque part." Car au-delà des sinuosités de l'aberrant et des méprises de la logique, la quête de sens demeure, énigmatique et inextinguible, telle une flamme vacillante dans l'obscurité de l'univers infini. Et peut-être, juste peut-être, au détour d'un sentier oublié ou à travers le miroir brisé du temps, notre demoiselle trouvera-t-elle enfin cette terre promise, ce havre de connaissance où les questions se taisent et où les réponses se révèlent dans un éclat de lumière.
Mais pour l'instant, dans l'immensité infinie de l’université, il n'y a que le voyage. Et c'est dans cette danse éternelle, cette étrange valse entre le connu et l'inconnu, que réside toute la beauté de… Non mais tout simplement du fait qu’elle s’est encore complètement perdue ! Paumé, vraiment. Et pourtant c’était censé être simple ; chambre – salle de cours de potion. Dans de prose qui défile pour une conclusion des plus décevante ! Elle en est presque désespérée, si l’on doit être honnête, de ne plus bien savoir si elle doit tourner à droite ou à gauche ! Mais, elle repensera à ce que Rebekah lui avait dit hier « peu importe la route que tu prendras, tant que t’arrive quelque part Mija ».
Bon, certes, la phrase s’appliquait plutôt à son avenir et quelques plans un peu plus profond que le fait d’être réellement paumé, parce que son sens de l’orientation est en carton ! On fait avec ce qu’on a, n’est-ce pas ? Enfin, peut-être, qu’on aura enfin la chance de la voir débarquer au milieu de chaudron bouillonnant et d’étagère remplit de bocaux plus ou moins esthétiquement attirant. Sans vouloir offenser les Véracrasse et leurs mucus, bien entendus !
Ou plutôt, on la retrouvera devant la porte, à se gratter la tempe avec le bout de sa baguette, un air interrogateur sur le visage. Elle n’a pas oublié un élément genre, important Rebekah ? Comme un mot de passe ou quelque chose ? Déjà que Zooey ce sentais plutôt mal de se présenter à sa place à un cours gentiment offert par une camarade de classe. Elle lui avait pourtant assurée, Rebekah « ben si vas y a ma place, t’inquiète Mija, Billie c’est une crème vous allez vous entendre comme le cheese et les nachos ! T’façon j’serais en conseil de discipline avec cette bande de ***** ». Oui, même dans ses pensée, Zooey censure la vulgarité, excusez là du peu.
Mais revenons donc à notre porte fermée. Le mot de passe. Elle le connait ? Elle l’a connu ? Ou est-ce qu’elle compte généralement sur le fait d’arriver avec ses autres camarades ? Elle cherche, elle cherche vraiment fort. Si fort qu’elle va commencer à dire absolument tout ce qui lui passe par la tête.
- Felix Felicis… heu… Œil de Triton, bave de crapaud, griffe de quintaped… Polynectar ? Oh zut !
Et en tapant du pied par terre ! Une mauvaise idée qui fera bondir les livres et parchemin qu’elle tenait sous son autre bras, droit par terre et dans un vacarme à réveiller les morts -pardon à la communauté fantômesque de l’université- zut, zut et re-zut ! Même le petit Botruc sur son pullover du jour, couleur crème, a croiser ses bras et semble bouder, à sa manière.
- le Dim 24 Mar 2024 - 12:56
- Rechercher dans: La Moufette Enchantée
- Sujet: MÍA. ¡Será MÍA! ft. Maximilien
- Réponses: 7
- Vues: 141
MÍA. ¡Será MÍA! ft. Maximilien
07.02.2024
En réalité, ça prédécesseure était une mouette ! "amouah amouah amouah"
UUne fois l’expression faciale d’un Surricate pris dans les phares d’une voiture moldu passée, Zooey sera soulager de voir que ses petit « démons » intérieur ne se sont, pour une fois, pas matérialisés sur son visage par la peur. C’est que toutes les moues qu’elle avait eu étaient bel et bien humaine et tout simplement naturelle pour elle qui se laisse facilement lire comme un livre ouvert. Le sac tendu sera récupéré par son propriétaire légitime. Et si Zooey est contrariée, quelque part, de voir que son petit déjeuner est tout écrabouillée, ça ne sera pas sa priorité dans l’immédiat.
- J’ai pas fait grand-chose, j’étais juste au mauvais endroit au bon moment ?
C’est vrai qu’elle n’avait rien fait d’autre que de ce faire rentrer dedans par la Mexicaine, en s’accrochant a la première chose qu’elle pouvait -le sac donc- comme une moule à son rocher. Et c’est visiblement toujours une petite hallucination pour Zooey qui va regarder le jeune homme devant elle un demi-quart de seconde avec ses grand yeux rond de Demiguise, les clignant par deux fois, avant de les baisser à nouveau. Et si on pouvait voir à travers son long manteau rose pâle, on pourrait observer la créature qui se trouve sur son pull du jour -un fléreur- en faire de même.
- Non, non. Je crois que mon petit déjeuné est plus à plaindre que moi. La terre n’est pas si basse !
Petite boutade en plaçant sa main à plat au-dessus de sa propre tête dans un geste qui tendrais presque à mesurer la distance entre sa personne et le bitume. Le sourire est revenu il y a quelque instant déjà sur son visage, s’étirant avec facilité comme a son habitude. Sa main retombe et va s’enrouler autour de la sangle de son propre sac. Elle penche la tête de côté et observe le sac, prise de curiosité.
- C’est une cargaison précieuse ?
- J’ai pas fait grand-chose, j’étais juste au mauvais endroit au bon moment ?
C’est vrai qu’elle n’avait rien fait d’autre que de ce faire rentrer dedans par la Mexicaine, en s’accrochant a la première chose qu’elle pouvait -le sac donc- comme une moule à son rocher. Et c’est visiblement toujours une petite hallucination pour Zooey qui va regarder le jeune homme devant elle un demi-quart de seconde avec ses grand yeux rond de Demiguise, les clignant par deux fois, avant de les baisser à nouveau. Et si on pouvait voir à travers son long manteau rose pâle, on pourrait observer la créature qui se trouve sur son pull du jour -un fléreur- en faire de même.
- Non, non. Je crois que mon petit déjeuné est plus à plaindre que moi. La terre n’est pas si basse !
Petite boutade en plaçant sa main à plat au-dessus de sa propre tête dans un geste qui tendrais presque à mesurer la distance entre sa personne et le bitume. Le sourire est revenu il y a quelque instant déjà sur son visage, s’étirant avec facilité comme a son habitude. Sa main retombe et va s’enrouler autour de la sangle de son propre sac. Elle penche la tête de côté et observe le sac, prise de curiosité.
- C’est une cargaison précieuse ?
- le Dim 24 Mar 2024 - 12:45
- Rechercher dans: Eden Court Theater
- Sujet: [Bal de Yule - contre-soirée] J'ai vu de la lumière, je suis rentré... (libre)
- Réponses: 10
- Vues: 212
[Bal de Yule - contre-soirée] J'ai vu de la lumière, je suis rentré... (libre)
21.12.2023
Bal de Yule - contre-soirée ;
j'ai vu de la lumière, je suis rentré...
Si Rebekah ne perd pas ce petit sourire en coin qui la caractérise tant, ça n’empêchera pas son regard de se perdre dans le sweet-shirt de la lilliputienne qui est entrée dans le bar, il faut croire qu’elle non plus n’est pas insensible aux charmes que la demi-Vélane essai pourtant d’enterrer à grand coup de pelle. Petite blonde qui d’ailleurs sirote sa grenadine a la paille et sans y mettre les mains, ce qui appelle à la catastrophe. Mais nous y reviendrons plus tard. Il ne faudrait tout de même pas que la Mexicaine en oublis son interlocuteur principal, n’est-ce pas ?
- C’est une expression chéri. – aura-t-elle préciser en lien, toujours avec le Dragon, riant a moitié – Celles dont je parle n’ont pas d’écailles, juste les ongles acérée. – petite précision en montrant sa propre manucure qui laisserais des points d’interrogation dans les yeux de Zooey qui semble avoir capter leurs conversation à défaut de savoir ce qu’elle est censé faire de sa personne dans ce genre d’endroit. Vraiment, comment on fait avec des trucs aussi longs ? C’est joli, certes. Mais comment on manie sa baguette ? On boit ? On mange ? On utilise son téléphone… ? D’ailleurs elle va en regarder ses propres ongles pas très entretenus, encore plus l’ongle de ce pouce qu’elle maltraite régulièrement et dès qu’elle est stressée.
- Crois moi Mijo, t’est plus en sécurité avec un camp de Dragon en Roumanie qu’avec ceux dont je parle. – on disait que les dragon arrive sous plusieurs formes différent ? Ou quelque chose du genre ? Elle l’a perdu non le petit bonbon venu d’Asie ? C’est l’analyse qu’elle aura en levant un sourcil quand sa prochaine question viendra. Ce qui fera lever un sourcil à notre Mexicaine qui reporte, de nouveau, son regard sur la demi-Vélane.
Demoiselle qui par ailleurs, à trop vouloir faire de comparaison en se disant qu’elle devrait peut-être essayer de se faire des mains un peu plus jolies va en oublier la paille entre ses lèvres et laisser glisser son verre quand elle tournera la tête avec un peu trop de vigueur pour ne pas montrer l’intérêt qu’elle avait pour ses voisins. Maladresse qui réveillera l’Occamy sur son pull. La créature ouvrant les yeux et, si elle pouvait faire un bond en arrière, nul doute qu’elle l’aurais fait. D’ailleurs, on en parle du fait que le dessin vint d’aller se cacher dans le bas de son dos ? Ce qui aura fait ce lever la minipouce qui commence à se contorsionner en tirant ledit pull pour capter la créature.
- Pardon, pardon. Je ne voulais pas te tâcher. Va pas te cacher les moldus pourrait te voir !
Qu’elle murmure à la hâte, bien bas, mais peut-être pas assez pour ne pas être entendu de ses voisins cependant. Notamment Rebekah qui va lever, de nouveau, un sourcils ; elle parle vraiment à un pull là ? Un peu perché la demoiselle, elle prend quoi ? Parce que ça a l’air d’être de la bonne, elle en veut bien.
- C’est une expression chéri. – aura-t-elle préciser en lien, toujours avec le Dragon, riant a moitié – Celles dont je parle n’ont pas d’écailles, juste les ongles acérée. – petite précision en montrant sa propre manucure qui laisserais des points d’interrogation dans les yeux de Zooey qui semble avoir capter leurs conversation à défaut de savoir ce qu’elle est censé faire de sa personne dans ce genre d’endroit. Vraiment, comment on fait avec des trucs aussi longs ? C’est joli, certes. Mais comment on manie sa baguette ? On boit ? On mange ? On utilise son téléphone… ? D’ailleurs elle va en regarder ses propres ongles pas très entretenus, encore plus l’ongle de ce pouce qu’elle maltraite régulièrement et dès qu’elle est stressée.
- Crois moi Mijo, t’est plus en sécurité avec un camp de Dragon en Roumanie qu’avec ceux dont je parle. – on disait que les dragon arrive sous plusieurs formes différent ? Ou quelque chose du genre ? Elle l’a perdu non le petit bonbon venu d’Asie ? C’est l’analyse qu’elle aura en levant un sourcil quand sa prochaine question viendra. Ce qui fera lever un sourcil à notre Mexicaine qui reporte, de nouveau, son regard sur la demi-Vélane.
Demoiselle qui par ailleurs, à trop vouloir faire de comparaison en se disant qu’elle devrait peut-être essayer de se faire des mains un peu plus jolies va en oublier la paille entre ses lèvres et laisser glisser son verre quand elle tournera la tête avec un peu trop de vigueur pour ne pas montrer l’intérêt qu’elle avait pour ses voisins. Maladresse qui réveillera l’Occamy sur son pull. La créature ouvrant les yeux et, si elle pouvait faire un bond en arrière, nul doute qu’elle l’aurais fait. D’ailleurs, on en parle du fait que le dessin vint d’aller se cacher dans le bas de son dos ? Ce qui aura fait ce lever la minipouce qui commence à se contorsionner en tirant ledit pull pour capter la créature.
- Pardon, pardon. Je ne voulais pas te tâcher. Va pas te cacher les moldus pourrait te voir !
Qu’elle murmure à la hâte, bien bas, mais peut-être pas assez pour ne pas être entendu de ses voisins cependant. Notamment Rebekah qui va lever, de nouveau, un sourcils ; elle parle vraiment à un pull là ? Un peu perché la demoiselle, elle prend quoi ? Parce que ça a l’air d’être de la bonne, elle en veut bien.
- le Lun 18 Mar 2024 - 19:37
- Rechercher dans: Pensine et histoires magiques
- Sujet: Zooey ๑ l'innocence, cœur romantique.
- Réponses: 1
- Vues: 151
Zooey ๑ l'innocence, cœur romantique.
10.03.2024
S’il est impossible de ne pas penser à quelque chose, il reste encore possible de penser à autre chose.
Dans les méandres du labyrinthe de l’esprit humain, une équation inextricable se dessine, une énigme dont les contours semblent flous et changeants. Au cœur de cet enchevêtrement de pensées, l'échec, tel un démon sournois, se tapit dans l'ombre, attendant son heure pour surgir et semer le doute. Chaque pensée, chaque réflexion, est comme une pièce de puzzle manquante, une absence qui pèse sur l'esprit comme une chape de plomb. Tenter d'échapper à ces pensées intrusives est semblable à une danse folle, un pas de deux avec l'angoisse comme partenaires. Tel un acrobate sur le fil du rasoir, l'esprit oscille entre la peur de l'échec et le besoin désespéré de trouver un répit entre pile de parchemin à ne plus voir que quelques mèches qui dépassent et tâches d’encre sur le bout du nez à finir par s’endormir sur ses travaux. Mais même lorsque les pensées se bousculent comme des spectres affamés, il reste encore un rai de lumière vacillant dans les ténèbres.
C'est dans ces moments d'égarement, lorsque l'esprit semble sur le point de céder sous le poids de ses propres tourments, que surgit une étrange magie. Comme un tour de passe-passe dans un spectacle de cirque, l'esprit trouve soudain la force de détourner son regard, de dévier sa trajectoire vers des horizons inexplorés. Car même lorsque l'échec semble inéluctable, il reste encore cette possibilité, infime mais tangible, de se perdre dans les méandres de l'imagination, d'explorer des mondes nouveaux où les règles de la réalité sont suspendues. C’est ce qu’on appelle… Des rêves. Rêves qui accompagnent d’ailleurs le filet de bave qui coule présentement au coin des lèvres de la petite blonde qui finira bien par ce réveiller à un moment, ou à un autre avec la trace de tout ce qui encombre son bureau comme nouveau tatouage directement gravé sur la peau. Quelle chance !
C’est le tambourinement à sa porte, martellement à réveiller même les morts, qui la feront sortir du monde ses songes dans un sursaut qui la déséquilibrera et sa chaise avec. Et PAF là semi-vélane qui va pouvoir voir le lino de sa chambre d’un peu trop près. C’est en se redressant et frottant l’arrière de son crâne avec une petite moue boudeuse que ses yeux traîneront vers l’horloge et qu’un vent de panique s’insinuera en elle.
- J’arrive… J’arrive ! – effectivement, elle arrive.
- Cariño, où est le sac que je t’ai passé la dernière fois ?
- Uh ? Ah ta collection de Bavboule ? Sous mon lit, là-bas. Je l’ai caché et je n’ai pas regardé dedans, comme tu m’avais dit.
- C’est bien, Cariño, je vais le prendre maintenant, ok ? Et n’oublie pas, motus et bouche cousue !
- Heu… Oui ok, mais tu vas bien Rebe ? Tu veux un chocolat chaud ?
- Pas le temps, mais je t’appellerai bientôt, ok ?
- Ok ! …
SBAM que fait la porte qui se referme sur une Zooey qui ne sait pas tout à fait ce qui vient de se passer. Et si on se demande à quel moment ces deux-là ont pu devenir « amies » ou à minima « copines », bien qu’on puisse également analyser la situation comme une « mule » et … Bon bref… ça a dû arriver quelque part en chemin entre la contre-soirée du bal de Yule et l’après arrachage à la volée de sac à dos un matin beaucoup trop tôt. Chose que l’on détaillera dans le prochain épisode, peut-être, de la fin qu’aura connue miss Velazquez.
C'est dans ces moments d'égarement, lorsque l'esprit semble sur le point de céder sous le poids de ses propres tourments, que surgit une étrange magie. Comme un tour de passe-passe dans un spectacle de cirque, l'esprit trouve soudain la force de détourner son regard, de dévier sa trajectoire vers des horizons inexplorés. Car même lorsque l'échec semble inéluctable, il reste encore cette possibilité, infime mais tangible, de se perdre dans les méandres de l'imagination, d'explorer des mondes nouveaux où les règles de la réalité sont suspendues. C’est ce qu’on appelle… Des rêves. Rêves qui accompagnent d’ailleurs le filet de bave qui coule présentement au coin des lèvres de la petite blonde qui finira bien par ce réveiller à un moment, ou à un autre avec la trace de tout ce qui encombre son bureau comme nouveau tatouage directement gravé sur la peau. Quelle chance !
C’est le tambourinement à sa porte, martellement à réveiller même les morts, qui la feront sortir du monde ses songes dans un sursaut qui la déséquilibrera et sa chaise avec. Et PAF là semi-vélane qui va pouvoir voir le lino de sa chambre d’un peu trop près. C’est en se redressant et frottant l’arrière de son crâne avec une petite moue boudeuse que ses yeux traîneront vers l’horloge et qu’un vent de panique s’insinuera en elle.
- J’arrive… J’arrive ! – effectivement, elle arrive.
- Cariño, où est le sac que je t’ai passé la dernière fois ?
- Uh ? Ah ta collection de Bavboule ? Sous mon lit, là-bas. Je l’ai caché et je n’ai pas regardé dedans, comme tu m’avais dit.
- C’est bien, Cariño, je vais le prendre maintenant, ok ? Et n’oublie pas, motus et bouche cousue !
- Heu… Oui ok, mais tu vas bien Rebe ? Tu veux un chocolat chaud ?
- Pas le temps, mais je t’appellerai bientôt, ok ?
- Ok ! …
SBAM que fait la porte qui se referme sur une Zooey qui ne sait pas tout à fait ce qui vient de se passer. Et si on se demande à quel moment ces deux-là ont pu devenir « amies » ou à minima « copines », bien qu’on puisse également analyser la situation comme une « mule » et … Bon bref… ça a dû arriver quelque part en chemin entre la contre-soirée du bal de Yule et l’après arrachage à la volée de sac à dos un matin beaucoup trop tôt. Chose que l’on détaillera dans le prochain épisode, peut-être, de la fin qu’aura connue miss Velazquez.
- le Lun 18 Mar 2024 - 18:52
- Rechercher dans: Londres & le monde
- Sujet: [stirling] [td] au pied du mur (ft. students)
- Réponses: 6
- Vues: 125
[stirling] [td] au pied du mur (ft. students)
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??.03.2024
Au pied du mur.
- une introduction plutôt inutile dans notre récit:
- Imaginez-vous, si vous l'osez, plongés dans un univers fantastique où les mots dansent au gré des fantaisies et où les idées se métamorphosent en tourbillons de couleurs. C'est là que commence notre voyage, dans ce royaume étrange où les règles de la logique sont suspendues et où la réalité se plie aux désirs de l'imagination. Dans les replis capricieux son existence, une idée folle qui danse au rythme des rêveries. Oh, quelle déclaration énigmatique, tissée de fils de perplexité et de brins de sagesse, qui nous emporte dans un tourbillon de réflexions et d'interrogations que cette citation d’un livre particulièrement apprécier par Magdalena, qu’elle tenait cependant perplexe entre ses doigts, avançant bien songeuse vers son cous de métamorphose ; « Soyez ce que vous voudriez avoir l'air d'être ; ou, pour parler plus simplement : Ne vous imaginez pas être différente de ce qu'il eût pu sembler à autrui que vous fussiez ou eussiez pu être en restant identique à ce que vous fûtes sans jamais paraître autre que vous n'étiez avant d'être devenue ce que vous êtes ».
Soyez ce que vous voudriez avoir l'air d'être. Mais qu'est-ce que cela signifie vraiment ? Est-ce une invitation à jouer un rôle, à se déguiser en une version idéalisée de soi-même ? Ou bien est-ce un appel à l'authenticité, à embrasser pleinement qui nous sommes, sans crainte du regard des autres ? Ne vous imaginez pas être différente de ce qu'il eût pu sembler à autrui que vous fussiez ou eussiez pu être en restant identique à ce que vous fûtes sans jamais paraître autre que vous n'étiez avant d'être devenue ce que vous êtes. Des mots qui se tordent et s'entremêlent, formant un puzzle complexe de sens et de significations. Est-ce un avertissement contre la superficialité, nous rappelant que l'apparence peut parfois tromper ? Ou bien est-ce un encouragement à assumer pleinement notre être, même si cela signifie défier les attentes et les normes sociales ?
Dans ce pays des merveilles de la pensée, où les frontières entre le réel et l'imaginaire s'estompent, ces questions se perdent dans les méandres de l'absurdité et de la poésie. Et pourtant, au cœur de ce chaos, réside une vérité profonde et intemporelle : être soi-même, c'est le plus grand voyage que l'on puisse entreprendre.
Voilà une conclusion qu'elle est belle quand la demoiselle, toujours sans regarder devant elle, rangera l’ouvrage dans sa fidèle besace. Celle qui l’accompagne toujours et partout, même si l’usage des années en a fait une pièce de tissu rapiécée. La bandoulière faisant visiblement râler le petit Niffleur qui voulait simplement compter le petit tas d’or à ses pieds. Un Niffleur ? Où ça ? Me direz-vous ? Mais sur son sweat-shirt d’un blanc immaculé, bien sûr ! L'oversize qui pourrait presque lui arriver aux genoux - exagération du jour, bonjour - si elle ne l’avait pas coincé dans son jean pour ne le laisser dépasser que par quelques plis plus ou moins bien tombant. Elle aura également vérifié pour la centième fois - au moins ! - le lieu du rendez-vous avec la classe. Ne sait-on jamais, quelquefois qu’elle ait encore oublié son cerveau dans le fond de son lit !
En arrivant, c’est poliment et sans réel contact visuel qu’elle saluera le professeur avec un sourire timide et une légère inclinaison de la tête. "Bonjour professeur D’Essenault", "Bonjour" que les déjà présent peinerons très certainement à entendre puisque son regard est toujours lointain, ce qui expliquera qu'elle ne vois pas tout de suite le visage du garçon au sac à dos. suivis d'un second ni plus, ni moins. Et ce, en trouvant qu’elle part où rester mains croisées devant elle en se retenant - très fort - de ne pas se balancer d’avant en arrière. Elle ne sait pas ce qui la dérange le plus, l’idée de la prise d’un portoloin et plus spécifiquement, l’atterrissage qu’elle maîtrise presque autant qu’elle est à l’aise sur un balai - c’est-à-dire point du tout - ou bien l’idée simple d’un examen et de risquer de se louper. C’est que c’est fort en chocolat quand on n’a pas le moins du monde confiance en soi, ça ferait presque des Chocapic !
Résumé ; Zooey, est arrivé très probablement en avance, même si après [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Elle aura saluer son professeur [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et les autres élèves en trouvant la couleurs de ses lacets absolument passionnants !
- le Lun 18 Mar 2024 - 17:51
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- Sujet: [Bal de Yule - contre-soirée] J'ai vu de la lumière, je suis rentré... (libre)
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[Bal de Yule - contre-soirée] J'ai vu de la lumière, je suis rentré... (libre)
21.12.2023
Bal de Yule - contre-soirée ;
j'ai vu de la lumière, je suis rentré...
Dans le tumulte des méandres de l'existence, il arrive parfois que l'on se retrouve à la croisée des chemins, égaré dans l'inconnu. C'est là, dans ces instants d'égarement, que naît l'expression intrigante : ‘sortir de sa zone de confort », ou comment ne pas avoir la moindre idée de ce qu'on fait par ici quand on est par là ; où on n'aurait jamais été de son plein gré et en toute bonne conscience. Oh, quelle déclaration énigmatique, tissée de fils de perplexité et de brins d'audace, qui nous plonge tête la première dans un océan d'incertitudes ! Imaginez-vous, si vous l'osez, dans un univers fantastique où les lois de la logique se tordent comme des branches sous l'effet d'une tempête. Les chemins se courbent, les horizons vacillent, et chaque pas nous rapproche davantage de l'inconnu, voir même pour certain -comprendre pour elle- de l’incongrue. C'est là que commence notre périple, dans ce royaume étrange où le connu et l'inconnu dansent une valse folle au clair de lune pour cette soirée de Yule. Ou comme le titre l’indique « contre soirée de Yule ».
Sortir de sa zone de confort, c'est comme plonger dans un terrier de lapin sans savoir si l'on en ressortira indemne. C'est braver l'obscurité avec un sourire timide et des yeux écarquillés de curiosité, prêt à affronter les défis les plus insensés. Car il faut bien le dire, lorsque l'on se retrouve quelque part où l'on n'aurait jamais mis les pieds de son plein gré, c'est comme si le sol se dérobait sous nos pas, nous laissant flotter dans un océan d'éventualités. Et pourtant, malgré cette confusion palpable, il y a quelque chose d'excitant dans le fait de se perdre dans les dédales de l'inexploré. C'est comme si chaque détour nous réservait une surprise, chaque rencontre nous offrait une leçon, et chaque épreuve nous rendait plus fort. Car c'est là toute la magie de l'aventure : elle nous pousse à repousser nos limites, à défier nos peurs, et à découvrir des facettes insoupçonnées de nous-mêmes. Même si tout le monde n’aura pas la même définition « d’aventure ». Mais ça, c’est de l’ordre du détail qui appartiens à chacun.
Seule l’audace et la curiosité pourront nous dire ce que réserve cette soirée. Soirée où, pour une raison qui doit être de l’ordre du défi ou bien d’une très forte suggestion que ce soit d’un camarade ou d’un collègue x ou y, Zooey se trouvera devant un… bar. Après la nuit tombée. Plutôt que le nez dans un bouquin, ou tâcher de l’encre d’une plume qui noircirait un parchemin. On l’excusera donc de n’avoir aucune idée de l’échange qui aura eu lieu entre Luan et Rebeka. En revanche, nous pourrons nous y attarder quelques instants pour la continuité de notre récit.
- Un vrai rayon de soleil, je sais bien. Même si je brûle quand on s’approche trop Mijo. – avait-on entendu répondre la Mexicaine en s’appuyant sur un rire bruyant, réponse au compliment du jeune homme qui lui faisait face. – Jure, je ne l’aurais jamais deviné. Qu’est-ce qui t’a poussé à sortir le nez de tes pavés ce soir ? Aaaaah les dragons, au sens propre ou au figuré ? Parce que j’en connais quelques-unes par chez moi qui pourraient parfaitement correspondre à la description !
On ne dira pas que tu peux même te l’appliquer à toi-même Rebe, on va être gentil vu qu’on t’a remis au placard dans les tréfonds d'un cerveau trop plein ! Et pendant que la conversation se poursuit, on pourra voir entrer timidement la Minimoys, pas franchement habillée pour la situation avec son épais pull à col roulé couleur lavande, portant un Occamy présentement endormi dans son nid vis-à-vis de la respiration paisible qui laisse voir le soulèvement de ses écailles à un rythme plutôt tranquille. Le tout à moitié mis dans un jean à la coupe droite qui s’arrête sur des chaussettes très colorées disparaissant dans une paire de baskets légèrement compensées. De quoi faire atteindre au moins le mètre cinquante-cinq à notre jeune demoiselle.
On voit l’esprit des fêtes, mais peut-être pas DE fête dans son accoutrement qui détonne sans aucun doute avec les autres âmes peuplant l’endroit. À croire qu’elle cherchait un magasin de jouets et s’est perdue en route, ou quelque chose comme ça. En tout cas, c’est ce qu’aura pensé Rebeka en la voyant approcher du bar. D’ailleurs, il n’est pas si surprenant de voir qu’on lui ait demandé sa pièce d’identité même si elle n’a commandé qu’une… grenadine. À défaut de pouvoir prendre un chocolat chaud, visiblement.
Mais revenons-en à Rebeka, qui n’a pas davantage rebondi sur l’idée des Dragons. Si l’un ne sait pas si l’autre possède une baguette ou se classe chez les non-maj, c’est la même chose pour l’autre. Et rappelons tout de même qu’elle et sa mère se sont fait chasser de leur pays par les autorités en raison de la mise en danger du secret magique international par la mère et ses petites expériences avec la vente illicite au non-maj de produits qui auraient dû être réservés aux sorciers les plus aventureux. Donc des deux côtés, ça ira visiblement à tâtons.
Sortir de sa zone de confort, c'est comme plonger dans un terrier de lapin sans savoir si l'on en ressortira indemne. C'est braver l'obscurité avec un sourire timide et des yeux écarquillés de curiosité, prêt à affronter les défis les plus insensés. Car il faut bien le dire, lorsque l'on se retrouve quelque part où l'on n'aurait jamais mis les pieds de son plein gré, c'est comme si le sol se dérobait sous nos pas, nous laissant flotter dans un océan d'éventualités. Et pourtant, malgré cette confusion palpable, il y a quelque chose d'excitant dans le fait de se perdre dans les dédales de l'inexploré. C'est comme si chaque détour nous réservait une surprise, chaque rencontre nous offrait une leçon, et chaque épreuve nous rendait plus fort. Car c'est là toute la magie de l'aventure : elle nous pousse à repousser nos limites, à défier nos peurs, et à découvrir des facettes insoupçonnées de nous-mêmes. Même si tout le monde n’aura pas la même définition « d’aventure ». Mais ça, c’est de l’ordre du détail qui appartiens à chacun.
Seule l’audace et la curiosité pourront nous dire ce que réserve cette soirée. Soirée où, pour une raison qui doit être de l’ordre du défi ou bien d’une très forte suggestion que ce soit d’un camarade ou d’un collègue x ou y, Zooey se trouvera devant un… bar. Après la nuit tombée. Plutôt que le nez dans un bouquin, ou tâcher de l’encre d’une plume qui noircirait un parchemin. On l’excusera donc de n’avoir aucune idée de l’échange qui aura eu lieu entre Luan et Rebeka. En revanche, nous pourrons nous y attarder quelques instants pour la continuité de notre récit.
- Un vrai rayon de soleil, je sais bien. Même si je brûle quand on s’approche trop Mijo. – avait-on entendu répondre la Mexicaine en s’appuyant sur un rire bruyant, réponse au compliment du jeune homme qui lui faisait face. – Jure, je ne l’aurais jamais deviné. Qu’est-ce qui t’a poussé à sortir le nez de tes pavés ce soir ? Aaaaah les dragons, au sens propre ou au figuré ? Parce que j’en connais quelques-unes par chez moi qui pourraient parfaitement correspondre à la description !
On ne dira pas que tu peux même te l’appliquer à toi-même Rebe, on va être gentil vu qu’on t’a remis au placard dans les tréfonds d'un cerveau trop plein ! Et pendant que la conversation se poursuit, on pourra voir entrer timidement la Minimoys, pas franchement habillée pour la situation avec son épais pull à col roulé couleur lavande, portant un Occamy présentement endormi dans son nid vis-à-vis de la respiration paisible qui laisse voir le soulèvement de ses écailles à un rythme plutôt tranquille. Le tout à moitié mis dans un jean à la coupe droite qui s’arrête sur des chaussettes très colorées disparaissant dans une paire de baskets légèrement compensées. De quoi faire atteindre au moins le mètre cinquante-cinq à notre jeune demoiselle.
On voit l’esprit des fêtes, mais peut-être pas DE fête dans son accoutrement qui détonne sans aucun doute avec les autres âmes peuplant l’endroit. À croire qu’elle cherchait un magasin de jouets et s’est perdue en route, ou quelque chose comme ça. En tout cas, c’est ce qu’aura pensé Rebeka en la voyant approcher du bar. D’ailleurs, il n’est pas si surprenant de voir qu’on lui ait demandé sa pièce d’identité même si elle n’a commandé qu’une… grenadine. À défaut de pouvoir prendre un chocolat chaud, visiblement.
Mais revenons-en à Rebeka, qui n’a pas davantage rebondi sur l’idée des Dragons. Si l’un ne sait pas si l’autre possède une baguette ou se classe chez les non-maj, c’est la même chose pour l’autre. Et rappelons tout de même qu’elle et sa mère se sont fait chasser de leur pays par les autorités en raison de la mise en danger du secret magique international par la mère et ses petites expériences avec la vente illicite au non-maj de produits qui auraient dû être réservés aux sorciers les plus aventureux. Donc des deux côtés, ça ira visiblement à tâtons.
- le Lun 18 Mar 2024 - 17:07
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- Sujet: MÍA. ¡Será MÍA! ft. Maximilien
- Réponses: 7
- Vues: 141
MÍA. ¡Será MÍA! ft. Maximilien
07.02.2024
En réalité, ça prédécesseure était une mouette ! "amouah amouah amouah"
Une idée farfelue qui dansait joyeusement dans son esprit : celle d'être au mauvais endroit au bon moment. Oh, quelle étrangeté que cette notion, tissée de fils invisibles, qui défie les lois immuables de la logique et de la raison ! C'était comme si le destin lui-même se jouait des cartes de l'existence, jonglant avec les circonstances et les péripéties, transformant chaque instant en un tableau aussi fantastique qu'absurde. Imaginez-vous, si vous le pouvez, une scène surréaliste où les rues se tordent et les bâtiments chuchotent des secrets oubliés. C'est là, dans ce labyrinthe onirique, que se trouve notre demi-vélane, balloté par les flots tumultueux du hasard. Son nom importe peu, car il pourrait être n'importe qui : un simple passant, un errant solitaire, ou peut-être même vous-même, lecteur curieux. Mais pour ceux qui ce veulent savant, on la nommera Zooey. Avec deux « oo » comme les grands yeux ronds d’une Demiguise.
À première vue, tout semble normal, presque ordinaire. Les ombres dansent au rythme des lampadaires qui devrait bientôt perdre de leurs éclats puisque le jour prend très largement ses droits, et le vent murmure des énigmes à ceux qui osent l'écouter. Mais soudain, un frisson parcourt l'échine de notre jeune femme, car elle se rend compte qu'il est au mauvais endroit, au bon moment. Les étoiles se rient d’elle depuis leur perchoir céleste, tandis que le destin tisse sa toile invisible autour de sa personne. Et voilà qu'un événement extraordinaire se déroule sous ses yeux ébahis, comme si le monde entier avait décidé de lui offrir un spectacle improvisé. Les rencontres les plus improbables se produisent, les circonstances les plus folles se mettent en place, et notre protagoniste se retrouve embarqué dans une aventure aussi absurde que merveilleuse. Quoi que nous ne sommes pas certain que le mot « aventure » soit le plus adéquat dans une situation d’arrachage de sac à main. Ou pour être parfaitement exact, une tentative d’arrachage de sac-à-dos.
Car c'est là toute la magie de cet étrange phénomène : être au mauvais endroit au bon moment, c'est comme plonger tête la première dans un tourbillon d'imprévu. C'est embrasser l'incertitude avec un sourire audacieux - ou plutôt une moue ébahie - et se laisser porter par les courants insaisissables de l'existence. Ainsi, dans ce monde de fantaisie et de folie, où les frontières entre le réel et l'absurde s'effacent, être au mauvais endroit au bon moment devient une invitation à se mettre en travers de la route de cette brune qui aura laissé l’homme sur le pavé en voulant récupérer quelque chose qui ne devait pas lui appartenir. C’est être en train de regarder l’intérieur de son sac en papier kraft avec gourmandise et envie, mais se faire bousculer et finir les fesses sur le bitume. Et, dans un élan de peur, se raccrocher à ce pauvre sac à dos qui n’a rien demandé à personne, comme une moule à son rocher. À tel point que notre tireuse du dimanche, dans son agacement, finira par le lâcher pour s’enfuir à toute jambe avant que l’homme ne la rattrape. Ou avant qu’une quelconque âme charitable dans la boulangerie ne vienne jeter un œil à tout ce raffut.
C’est de dire « adios » dans le puit commun du cerveau de la joueuse à une Rebeka frustrée de ne pas avoir eu le fin mot de cette histoire, qu’elle ne méritait de toute façon pas. Et dire simplement bonjour à Zooey qui n’aura eu, finalement, que le malheur (?) d’être au mauvais endroit, au bon moment. Elle qui va lâcher un peu de lest sur ce pauvre amas de tissus et relever les yeux ronds comme des billes, sans trop comprendre ce qui vient de se passer, et suivre du regard les vociférations dans une langue inconnue qui ont déjà disparu au détour d’une ruelle quelconque. Elle finira peut-être aussi par se remettre sur pied, la petite blonde, regardant le sac en se demandant où est donc passé son sacro-saint petit déjeuner ? Elle qui a passé toute la nuit à étudier pour son prochain examen de botanique en aurait presque envie de pleurer, c’est qu’il lui faisait envie depuis quelques heures maintenant ce croissant roulé et fourré comme on le fait si bien outre-Atlantique et maintenant, ici aussi. C’est un soupir qui s’échappe de ses lèvres et une moue tristounette quand sa lèvre inférieure passera devant la supérieure pour prendre un peu de volume. Mais, rapidement, c’est un sourire bienveillant qui remplacera ces traits quelque peu déformés pour tendre le sac à son propriétaire avec des yeux si souriants qu'ils ne sont pas loin de faire des trémas comme on peut en voir dans les "mangas" tant appréciés par la jeunesse moldue - et peut-être même sorcière aussi ! - un vrai livre ouvert cette Zooey, je vous assure !
- Je crois que c’est à vous. tout va bien ?
À première vue, tout semble normal, presque ordinaire. Les ombres dansent au rythme des lampadaires qui devrait bientôt perdre de leurs éclats puisque le jour prend très largement ses droits, et le vent murmure des énigmes à ceux qui osent l'écouter. Mais soudain, un frisson parcourt l'échine de notre jeune femme, car elle se rend compte qu'il est au mauvais endroit, au bon moment. Les étoiles se rient d’elle depuis leur perchoir céleste, tandis que le destin tisse sa toile invisible autour de sa personne. Et voilà qu'un événement extraordinaire se déroule sous ses yeux ébahis, comme si le monde entier avait décidé de lui offrir un spectacle improvisé. Les rencontres les plus improbables se produisent, les circonstances les plus folles se mettent en place, et notre protagoniste se retrouve embarqué dans une aventure aussi absurde que merveilleuse. Quoi que nous ne sommes pas certain que le mot « aventure » soit le plus adéquat dans une situation d’arrachage de sac à main. Ou pour être parfaitement exact, une tentative d’arrachage de sac-à-dos.
Car c'est là toute la magie de cet étrange phénomène : être au mauvais endroit au bon moment, c'est comme plonger tête la première dans un tourbillon d'imprévu. C'est embrasser l'incertitude avec un sourire audacieux - ou plutôt une moue ébahie - et se laisser porter par les courants insaisissables de l'existence. Ainsi, dans ce monde de fantaisie et de folie, où les frontières entre le réel et l'absurde s'effacent, être au mauvais endroit au bon moment devient une invitation à se mettre en travers de la route de cette brune qui aura laissé l’homme sur le pavé en voulant récupérer quelque chose qui ne devait pas lui appartenir. C’est être en train de regarder l’intérieur de son sac en papier kraft avec gourmandise et envie, mais se faire bousculer et finir les fesses sur le bitume. Et, dans un élan de peur, se raccrocher à ce pauvre sac à dos qui n’a rien demandé à personne, comme une moule à son rocher. À tel point que notre tireuse du dimanche, dans son agacement, finira par le lâcher pour s’enfuir à toute jambe avant que l’homme ne la rattrape. Ou avant qu’une quelconque âme charitable dans la boulangerie ne vienne jeter un œil à tout ce raffut.
C’est de dire « adios » dans le puit commun du cerveau de la joueuse à une Rebeka frustrée de ne pas avoir eu le fin mot de cette histoire, qu’elle ne méritait de toute façon pas. Et dire simplement bonjour à Zooey qui n’aura eu, finalement, que le malheur (?) d’être au mauvais endroit, au bon moment. Elle qui va lâcher un peu de lest sur ce pauvre amas de tissus et relever les yeux ronds comme des billes, sans trop comprendre ce qui vient de se passer, et suivre du regard les vociférations dans une langue inconnue qui ont déjà disparu au détour d’une ruelle quelconque. Elle finira peut-être aussi par se remettre sur pied, la petite blonde, regardant le sac en se demandant où est donc passé son sacro-saint petit déjeuner ? Elle qui a passé toute la nuit à étudier pour son prochain examen de botanique en aurait presque envie de pleurer, c’est qu’il lui faisait envie depuis quelques heures maintenant ce croissant roulé et fourré comme on le fait si bien outre-Atlantique et maintenant, ici aussi. C’est un soupir qui s’échappe de ses lèvres et une moue tristounette quand sa lèvre inférieure passera devant la supérieure pour prendre un peu de volume. Mais, rapidement, c’est un sourire bienveillant qui remplacera ces traits quelque peu déformés pour tendre le sac à son propriétaire avec des yeux si souriants qu'ils ne sont pas loin de faire des trémas comme on peut en voir dans les "mangas" tant appréciés par la jeunesse moldue - et peut-être même sorcière aussi ! - un vrai livre ouvert cette Zooey, je vous assure !
- Je crois que c’est à vous. tout va bien ?
- le Lun 18 Mar 2024 - 11:56
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- Sujet: Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
- Réponses: 10
- Vues: 139
Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
14.09.2023
Zooey refuse d'utiliser ce titre, bien trop vulgaire pour elle. Et si on parlais plutôt de Boursouf ?
Mais quelle idée saugrenue avait-elle eu de penser que c’était une bonne idée de visiter cette université en empruntant un chemin différent de celui qui lui avait été initialement montré. Elle savait pourtant que son sens de l’orientation laissait grandement à désirer. Et à quoi s’attendait-elle concrètement, en ajoutant la difficulté de la découverte, de "l'aventure" ? Toute curiosité n’est pas bonne à combler, c’est un fait. C’est comme si un mantra, une promesse intérieure depuis qu’elle avait rejoint les bancs de Hungalf, la poussait à sortir de sa zone de confort et à aller à la rencontre de nouvelles personnes. Sortir de sa coquille, n’est-ce pas ? Peut-être pas lorsque cela risquait de la mettre en retard pour son cours de soin aux créatures magiques…
Avec sa fidèle besace accrochée en travers et par-dessus un t-shirt noué à la taille pour le ceinturé un peu plus, au couleur pastel d’un arc en ciel digne d’une licorne et souligné de deux Focifère aux couleurs chatoyantes présentement en train de faire la course d’un bout à l’autre du tissu, et un café plus grand que de raison – ou que son visage – bien fermement tenu entre les doigts de sa main droite, la voilà partie se balader. Oui, on appellera ça se balader lorsqu'elle croise un chemin, à droite ou à gauche, et qu'elle se dit "tiens, je ne suis jamais allée par-là", haussant les épaules pour elle-même, justifiant une fois de plus pour sa propre personne que tous les chemins devaient mener à Traverse ? Ou un truc bancal du genre. Non, Zooey, tous les chemins ne te mèneront pas là où tu dois être ! Heureusement cependant, elle a la manie de partir sacrément en avance et d’arriver, fatalement, lorsque les aiguilles de sa montre lui indiquent qu'elle n'aura pas de soucis à se faire concernant sa ponctualité. Devrait-elle cependant s’inquiéter que sa lubie du jour marque une exception pour confirmer la règle ?
Que nenni ! L’aventure, c’est ce qu’elle s’est dit. Ou plutôt, ce dont elle s'est convaincue, une fois de plus et très fort. S’engouffrer là, où ici ? On ne sait pas trop. Et avancer au gré du vent en improvisant complètement. Parce qu'il aurait été trop facile de sortir la carte de l'université. Fatalement, ce qui devait arriver, arriva. Et la voilà complètement perdue, les yeux grands ouverts et brillants à la manière d’une Demiguise. Une petite ridule entre ses sourcils froncés et sa bouche formant un "o" presque parfait qui lui donnait l’air bien crédule. Ou stupide, au choix. On avait pourtant dit dans ta fiche que naïveté ne voulait pas dire stupidité, chérie, tu ne m’aides pas vraiment là…
Le tout marqué par les allées qui semblent changer au gré de leurs envies. Ce buisson, il n’était pas là l’instant d’avant ! Et voilà maintenant qu'il lui barre le chemin et l'empêche d'opérer un demi-tour. Vers où ? Elle ne sait pas non plus ! Quand elle se perd, c’est souvent parce qu’elle ne sait même plus par où elle est venue. Et à vrai dire, sans grandes enseignes colorées pour se repérer, ou avoir à minima un point d’accroche dans sa mémoire… Peut-être qu’elle pourrait simplement demander ? Après tout, elle ne doit pas être la seule par ici, ou par là. Et vu le groupe d'étudiants qui filent, un cours a dû prendre fin dans les parages ? Ou bien une compétition de Bavboule ? Tant qu’on ne lui lance pas un frisbee à dent de serpent ! Elle gérera, promis. Elle n’est pas douée pour rattraper les objets volants. Elle est meilleure pour les lancer. Et puis… Ce genre de frisbee ; ça mord !
Voilà le moment où nous allons pouvoir reporter son regard sur deux silhouettes en train d’échanger. L’une a l’air pas trop commode, le second ne donne pas non plus l’impression de vivre le meilleur jour de sa vie. Mais comme Zooey va être dénuée de tout jugement, tout ce qui va l'inquiéter et la faire hésiter, c’est l’idée de déranger. Ce qui laisse donc l’opportunité à Rebeka de nous faire un petit passage pour continuer la conversation qu’elle avait avec James.
- Eh beh Mijo, des cours de botanique, c’est tout ? C’est pas si cher payé. Je pourrais m’y faire.
Faut dire que la petite blonde n'était pas assez proche pour entendre ce qui avait précédé. Ou voir les yeux de la brune se lever bien haut dans le ciel quand le mec en face s’est pris pour Merlin avec ses leçons de vie dont elle se serait bien passée, ce qui lui a fait claquer la langue contre son palais en tirant une nouvelle latte de sa cigarette. Chose qu’elle fera également quand Zooey approchera, et qui déclenchera une petite toux chez la lilliputienne. Une façon comme une autre de marquer sa présence, même si ce n'aurait pas été son premier choix.
- Pardon de vous déranger. Mais j’ai pris un mauvais tournant. Enfin non, techniquement je me suis juste dit que c’était une bonne idée d’improviser un chemin plutôt qu’un autre pour aller en cours de soin aux créatures magiques, mais tous les chemins ne mènent peut-être pas à Rome. Ou alors pas en temps et en heure ?
Ça va le monologue, Zooey ? Tu respires ? Parce que si on va faire un interlude narratif pour décrire les expressions de Rebeka, en réalité, entre cette première partie de réplique et ce qui va suivre, il n’y aura eu aucune pause. Et la voilà qui part à comparer sa situation à une quelconque créature magique tout en partant un peu dans tous les sens, ce que nous ne détaillerons pas forcément ici mais qui pourra bourdonner dans les oreilles de James et Rebeka. On découvrira alors que quand elle est stressée, Zooey devient un moulin à paroles. Et il y en a une qui va jeter un regard en biais à la demoiselle en levant un sourcil, croisant un bras sur le second et arquant un sourcil, c’est Rebe’. Qui va bientôt lever le second pour qu’il rejoigne le premier avant que ses iris ne fassent un mouvement circulaire presque parfait dans leurs orbites et qu’elle ne claque à nouveau la langue contre son palais. Elle aura bien un regard pour James - peut-être - avant de tout simplement se barrer.
- Bonne chance.
Qu’elle aura même le culot de glisser avec un petit sourire en coin en tournant les talons, balançant son mégot par ici ou par là. Ce qui, au moins, fera enfin taire Zooey qui va papillonner du regard en suivant la trajectoire du mégot avec un air légèrement ahuri pour mieux retourner à l’observation de ses chaussures et présenter, une nouvelle fois, ses excuses pour avoir dérangé leur conversation.
Avec sa fidèle besace accrochée en travers et par-dessus un t-shirt noué à la taille pour le ceinturé un peu plus, au couleur pastel d’un arc en ciel digne d’une licorne et souligné de deux Focifère aux couleurs chatoyantes présentement en train de faire la course d’un bout à l’autre du tissu, et un café plus grand que de raison – ou que son visage – bien fermement tenu entre les doigts de sa main droite, la voilà partie se balader. Oui, on appellera ça se balader lorsqu'elle croise un chemin, à droite ou à gauche, et qu'elle se dit "tiens, je ne suis jamais allée par-là", haussant les épaules pour elle-même, justifiant une fois de plus pour sa propre personne que tous les chemins devaient mener à Traverse ? Ou un truc bancal du genre. Non, Zooey, tous les chemins ne te mèneront pas là où tu dois être ! Heureusement cependant, elle a la manie de partir sacrément en avance et d’arriver, fatalement, lorsque les aiguilles de sa montre lui indiquent qu'elle n'aura pas de soucis à se faire concernant sa ponctualité. Devrait-elle cependant s’inquiéter que sa lubie du jour marque une exception pour confirmer la règle ?
Que nenni ! L’aventure, c’est ce qu’elle s’est dit. Ou plutôt, ce dont elle s'est convaincue, une fois de plus et très fort. S’engouffrer là, où ici ? On ne sait pas trop. Et avancer au gré du vent en improvisant complètement. Parce qu'il aurait été trop facile de sortir la carte de l'université. Fatalement, ce qui devait arriver, arriva. Et la voilà complètement perdue, les yeux grands ouverts et brillants à la manière d’une Demiguise. Une petite ridule entre ses sourcils froncés et sa bouche formant un "o" presque parfait qui lui donnait l’air bien crédule. Ou stupide, au choix. On avait pourtant dit dans ta fiche que naïveté ne voulait pas dire stupidité, chérie, tu ne m’aides pas vraiment là…
Le tout marqué par les allées qui semblent changer au gré de leurs envies. Ce buisson, il n’était pas là l’instant d’avant ! Et voilà maintenant qu'il lui barre le chemin et l'empêche d'opérer un demi-tour. Vers où ? Elle ne sait pas non plus ! Quand elle se perd, c’est souvent parce qu’elle ne sait même plus par où elle est venue. Et à vrai dire, sans grandes enseignes colorées pour se repérer, ou avoir à minima un point d’accroche dans sa mémoire… Peut-être qu’elle pourrait simplement demander ? Après tout, elle ne doit pas être la seule par ici, ou par là. Et vu le groupe d'étudiants qui filent, un cours a dû prendre fin dans les parages ? Ou bien une compétition de Bavboule ? Tant qu’on ne lui lance pas un frisbee à dent de serpent ! Elle gérera, promis. Elle n’est pas douée pour rattraper les objets volants. Elle est meilleure pour les lancer. Et puis… Ce genre de frisbee ; ça mord !
Voilà le moment où nous allons pouvoir reporter son regard sur deux silhouettes en train d’échanger. L’une a l’air pas trop commode, le second ne donne pas non plus l’impression de vivre le meilleur jour de sa vie. Mais comme Zooey va être dénuée de tout jugement, tout ce qui va l'inquiéter et la faire hésiter, c’est l’idée de déranger. Ce qui laisse donc l’opportunité à Rebeka de nous faire un petit passage pour continuer la conversation qu’elle avait avec James.
- Eh beh Mijo, des cours de botanique, c’est tout ? C’est pas si cher payé. Je pourrais m’y faire.
Faut dire que la petite blonde n'était pas assez proche pour entendre ce qui avait précédé. Ou voir les yeux de la brune se lever bien haut dans le ciel quand le mec en face s’est pris pour Merlin avec ses leçons de vie dont elle se serait bien passée, ce qui lui a fait claquer la langue contre son palais en tirant une nouvelle latte de sa cigarette. Chose qu’elle fera également quand Zooey approchera, et qui déclenchera une petite toux chez la lilliputienne. Une façon comme une autre de marquer sa présence, même si ce n'aurait pas été son premier choix.
- Pardon de vous déranger. Mais j’ai pris un mauvais tournant. Enfin non, techniquement je me suis juste dit que c’était une bonne idée d’improviser un chemin plutôt qu’un autre pour aller en cours de soin aux créatures magiques, mais tous les chemins ne mènent peut-être pas à Rome. Ou alors pas en temps et en heure ?
Ça va le monologue, Zooey ? Tu respires ? Parce que si on va faire un interlude narratif pour décrire les expressions de Rebeka, en réalité, entre cette première partie de réplique et ce qui va suivre, il n’y aura eu aucune pause. Et la voilà qui part à comparer sa situation à une quelconque créature magique tout en partant un peu dans tous les sens, ce que nous ne détaillerons pas forcément ici mais qui pourra bourdonner dans les oreilles de James et Rebeka. On découvrira alors que quand elle est stressée, Zooey devient un moulin à paroles. Et il y en a une qui va jeter un regard en biais à la demoiselle en levant un sourcil, croisant un bras sur le second et arquant un sourcil, c’est Rebe’. Qui va bientôt lever le second pour qu’il rejoigne le premier avant que ses iris ne fassent un mouvement circulaire presque parfait dans leurs orbites et qu’elle ne claque à nouveau la langue contre son palais. Elle aura bien un regard pour James - peut-être - avant de tout simplement se barrer.
- Bonne chance.
Qu’elle aura même le culot de glisser avec un petit sourire en coin en tournant les talons, balançant son mégot par ici ou par là. Ce qui, au moins, fera enfin taire Zooey qui va papillonner du regard en suivant la trajectoire du mégot avec un air légèrement ahuri pour mieux retourner à l’observation de ses chaussures et présenter, une nouvelle fois, ses excuses pour avoir dérangé leur conversation.
- le Jeu 4 Jan 2024 - 23:13
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- Sujet: Zooey ๑ l'innocence, cœur romantique.
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Zooey ๑ l'innocence, cœur romantique.
Chronologie
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21.12 ๑ Bal de Yule - contre-soirée ; j'ai vu de la lumière, je suis rentré... feat. @Luan Nguyen.
07.02 ๑ MÍA. ¡Será MÍA! feat. @Maximilien Leroy.
15.03 ๑ Bonbons, potion, explosion ? feat. @Billie Shakespeare.
??.03 ๑ Au pied du mur (td de métamorphose) feat. @Isabelle D'Essenault et les étudiants concernés.
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