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- le Sam 14 Oct 2023 - 20:51
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- Sujet: Ready or not, it's worth a shot (ft. Peter) [terminé]
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Ready or not, it's worth a shot (ft. Peter) [terminé]
ready or not, it's worth a shot!
(mood board) (music) (outfit) (haircut) L’urgence lui ordonnait de sortir son téléphone portable pour pianoter un message à la destination de sa meilleure amie et éclaircir la question sur le champ ; Alice et Harold étaient toutefois allergiques à la technologie des moldus et leurs appareils n’étaient pas tolérés dans la salle à manger. Le corbeau avait essayé d’en offrir un à sa mère sans succès ; il patientait toujours dans l’exil de sa boîte en carton et les ténèbres d’un placard sur le palier de la maison familiale. Il se fit la note mentale d’appeler la jolie Lune plus tard et oublia immanquablement de le faire pendant plusieurs jours. Maximilien rejoignit le chœur des proclamations et mit en évidence leur nouvelle indépendance. Il y était pour beaucoup. La force des choses avait poussé le Français à vivre de lui-même, sans compter sur la main tenue de la filiation.
“Don’t be silly, young man.”1
Peter lui-même se trouvait incapable de lire les intentions dans la voix de sa mère. Ses yeux piquants n’indiquaient pas la moindre amertume envers Maximilien, mais ils n’excluaient pas non plus l’éventualité que leur propriétaire avait simplement cherché à rester polie en éclaircissant qu’elle ne s’était jamais adressée à lui.
“Maman…” Il voulut intervenir.
“Your financial situation. It is not ideal, mon fils.”2
Si Alice Drummond était fière d’être française, elle s’était parfaitement acclimatée au flegme britannique. C’était une manière pour elle d’alerter sur sa stabilité financière, qu’elle jugeait donc catastrophique. Soulagé d’entendre qu’elle ne s’inquiétait plus vraiment de partager sa progéniture avec le fils des Leroy, Peter soupira en levant les yeux au ciel.
“Maman! Maximilien isnae the only ane wi' a joab noo. Ah'm workin' pairt-time tae.”3 Il siffla, tendrement lassé de l’approbation hésitante de sa mère.
“Rumour has it.”4 Alice lui cracha son triomphe sans que la moindre particule de purée n’ait encore franchi ses lèvres.
“Maman, Ah need tae tell ye somethin'.”5 La singerie de l’aveu faisait véritablement plaisir à la plus intraitable de ses deux parents. “A’ve taen a job at Beak an' Snout, the pet shop.”6
“So you did.”7 La chevelure de flammes dansait sous leurs yeux de mortel. Elle le savait déjà.
“Cousin Kaiden gied.”8 Il mentait éhontement et tous les deux le savaient, mais le mensonge glissait toujours mieux dans l’oreille lubrifiée par le whisky.
“He’s always been the generous kind.”9 Elle désapprouvait, naturellement.
“He definitely hus.”10 Peter avança innocemment.
“Again, I do not understand your predicament. You have so much talent - your very own nature should…”11 Le mur de glace s’effritait dans la chaleur du foyer.
“Dinnae scorch them, Alice. The lads are havin' a ceilidh.”12
Le patriarche ne se dressait pas souvent sur le chemin de sa femme, mais lorsqu’il le faisait, même Alice savait qu’il ne valait mieux pas foncer tête baissée ; elle secoua sa chevelure en guise de protestation et reporta son attention sur tante Hilda, qui assaisonnait la soupe qu’elle avait préparée et qu’elle jugeait peut-être encore insipide. Peter brillait de mille feux lorsqu’il remercia son père dans un sourire éclatant. Il se tourna vers Maximilien et l’enlaça pour mieux venir glisser quelques messes basses à son oreille.
“If ye only meant shag in every single room, we didnae hae tae find a hoose - this ain has seventy-five we could open.”13
Comme un rien, il accueillit Lady Mousse qui cherchait un peu d’attention. Son bonheur était parfait.
Peter lui-même se trouvait incapable de lire les intentions dans la voix de sa mère. Ses yeux piquants n’indiquaient pas la moindre amertume envers Maximilien, mais ils n’excluaient pas non plus l’éventualité que leur propriétaire avait simplement cherché à rester polie en éclaircissant qu’elle ne s’était jamais adressée à lui.
“Maman…” Il voulut intervenir.
Si Alice Drummond était fière d’être française, elle s’était parfaitement acclimatée au flegme britannique. C’était une manière pour elle d’alerter sur sa stabilité financière, qu’elle jugeait donc catastrophique. Soulagé d’entendre qu’elle ne s’inquiétait plus vraiment de partager sa progéniture avec le fils des Leroy, Peter soupira en levant les yeux au ciel.
“Maman! Maximilien isnae the only ane wi' a joab noo. Ah'm workin' pairt-time tae.”3 Il siffla, tendrement lassé de l’approbation hésitante de sa mère.
“Maman, Ah need tae tell ye somethin'.”5 La singerie de l’aveu faisait véritablement plaisir à la plus intraitable de ses deux parents. “A’ve taen a job at Beak an' Snout, the pet shop.”6
“Cousin Kaiden gied.”8 Il mentait éhontement et tous les deux le savaient, mais le mensonge glissait toujours mieux dans l’oreille lubrifiée par le whisky.
“He definitely hus.”10 Peter avança innocemment.
Le patriarche ne se dressait pas souvent sur le chemin de sa femme, mais lorsqu’il le faisait, même Alice savait qu’il ne valait mieux pas foncer tête baissée ; elle secoua sa chevelure en guise de protestation et reporta son attention sur tante Hilda, qui assaisonnait la soupe qu’elle avait préparée et qu’elle jugeait peut-être encore insipide. Peter brillait de mille feux lorsqu’il remercia son père dans un sourire éclatant. Il se tourna vers Maximilien et l’enlaça pour mieux venir glisser quelques messes basses à son oreille.
“If ye only meant shag in every single room, we didnae hae tae find a hoose - this ain has seventy-five we could open.”13
Comme un rien, il accueillit Lady Mousse qui cherchait un peu d’attention. Son bonheur était parfait.
- EN :
- 3. Maximilien is not the only one with a job now. I’m working part-time too.”
5. “Maman, I need to tell you something.”
6. “I’ve taken a job at Beak and Snout, the pet shop.”
8. “Cousin Kaiden offered.”
10. “He certainly has.”
12“Spare them your fire, Alice. The boys are celebrating.”
13. “If you only meant shag in every single room, we didn’t have to find a house - this one has seventy-five we could open.”
- FR :
- 1.
« Ne sois pas ridicule, jeune homme. »
2.« Ta situation financière. Elle n’est pas idéale, mon fils. »
3. « Maman ! Maximilien n’est pas le seul à avoir un job maintenant. Moi aussi, je travaille à mi-temps. »
4.« Ainsi va la rumeur. »
“Maman, Ah need tae tell ye somethin'.”5
“A’ve taen a job at Beak an' Snout, the pet shop.”6
7.« Oh, vraiment. »
8. “Cousin Kaiden l’a proposé.”
9.“Il a toujours été très généreux.”
10. “Toujours, c’est certain.”
11.“Une fois de plus, je ne comprends pas cet embarras dans lequel tu te mets. Tu as tant de talent - rien que ta nature devrait…”
12.“Ne les roussis pas, Alice. Les garçons célèbrent leur emménagement.”
Laueee & keiynan-lonsdale
Codes couleurs : #cc9900 (Tante Hilda), #666699 (Alice Drummond), #00cccc (Harold Drummond)
- le Lun 17 Juil 2023 - 16:08
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- Sujet: Ready or not, it's worth a shot (ft. Peter) [terminé]
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Ready or not, it's worth a shot (ft. Peter) [terminé]
ready or not, it's worth a shot!
(mood board) (music) (outfit) (haircut) La panique s’était invitée sous sa peau et grouillait tant et si bien qu'elle lui donnait des frissons. La proposition venait d’être faite, mais, Maximilien, incertain, commençait déjà à la retirer. Peter clignait des yeux pour essayer de chasser les nuages qui troublaient sa vue. Il voulut dire quelque chose, mais trouva sa bouche asséchée. Ses mains refusaient de bouger et il continuait de le regarder, comme une biche prise dans les phares d’une voiture moldue. Le Français était en train de changer d’avis et Peter ne parvenait pas à l’en empêcher. Il regardait l’accident se produire devant lui, sans rien pouvoir faire pour sauver l’équipage du bateau qui coulait. Un raclement de gorge le sortit de sa torpeur. Ses yeux cherchèrent d’abord sa mère, Alice, puis, ils s’abaissèrent sur la main de Maximilien qui l’ancrait dans la réalité. Il entendit alors la parole de Maximilien, essayant tant bien que mal de construire des ponts au-dessus du vide laissé par son inattention. Il n’avait pas changé d’avis. Il regrettait simplement d’avoir parlé si fort à table. Il voulait toujours de lui et lui demandait ce qu’il pensait de sa proposition.
“Yes.”
Oui à tout ce qu’il disait. Oui à sa présence dans l’appartement qu’il habitait en colocation. Oui à l’amour qu’ils se portaient l’un l’autre. Oui à l’idée de le retrouver tous les matins dans les draps, sa tête endormie sur l’oreiller. Oui à un endroit qui ne serait qu’à eux.
La réponse s’était fait tant attendre qu’elle surprît les personnes attablées et la petite boule de poil qui sursauta et se cogna dans le pied de la table. Harold massa généreusement la petite tête noire et sable sans décrocher son regard de son fils. Elle le surprit lui-même et les portes du doute s’ouvrirent à la volée. Il imagina la chambre qu’il occupait se vider de ses meubles et de ses affaires. Il sentit l’odeur de son meilleur ami, dissipée depuis longtemps des murs, s’insinuer dans sa mémoire. Il s’imagina l’annoncer à @Wyatt Mora et à toute la colocation.
“Whit aboot th' flat? Ah can’t chuck wyatt oot. And whit aboot th' others?”1
Harold se leva et quitta la table, sous le regard noir de son épouse. Le futur s’insinuait dans le présent et Peter pouvait goûter tous leurs projets sur le bout de la langue. Ils lui donnaient le tournis. Peter réalisait soudainement qu’il avait grandi. Leur relation était responsable de la maturité qu’il avait découvert enfouie en lui. Il avait trouvé l’amour, le vrai. Il s’était battu pour le vivre au grand jour. Il avait renoncé à une part de liberté qu’il avait redécouverte sous les baisers et les caresses de l’homme à qui il vouait un amour infini. Il avait renoncé en partie au confort matériel que lui offrait sa famille en échange de plus d’autonomie. Ses choix culminaient aujourd’hui et Peter réalisa encore à quel point il était heureux. Il ne laissa pas le temps à Maximilien de répondre et voulut se tourner vers lui pour l’embrasser. Son genou se coinça dans la nappe blanche et il manqua de l’emporter avec lui. Il ignora la catastrophe empêchée de justesse pas la main d’Alice et écrasa ses lèvres contre celles de Maximilien. Il l’emporta dans une tempête d’émotions et voulut lui faire oublier où ils étaient. Sa mère leva les yeux au ciel, mais il ne le vit pas. Le reniflement d’Hilda interrompit le baiser et, sans s’écarter de son petit ami, Peter vit la petite femme pleurer de joie. Alice, les yeux rivés sur le plat de purée qu’elle faisait léviter jusqu’à la table du bout de sa baguette, lui tendit sa serviette pour qu’elle puisse s’essuyer les yeux.
« Où comptez-vous emménager, exactement ? »
Elle avait profité de l’absence d’Harold pour parler français. La question lui hérissa le poil et il embrassa Maximilien du bout des lèvres pour conjurer le sort.
“Mibbie we cuid rent Pina’s auld steid? All o' her mukkers have moved oot. The steid is empty. Dae ye remember her but and ben, babe? ”2
Il répondait à sa mère sans la regarder, et voulait montrer à Maximilien que ses doutes n’étaient rien en comparaison avec son envie d’emménager avec lui. De l’autre côté de la table, Alice servait distraitement Hilda qui s’était finalement retrouvée assise à la place qu’Harold lui avait proposé un instant plus tôt. L’intéressée les regardait toujours, les yeux embués par quelque chose qui ressemblait beaucoup à de la fierté. Peter ne voyait que son Roy, la main toujours fermement enlacée avec la sienne.
« Qu’est-ce que tu en penses ? » Il demanda plus bas et en français.
Peter avait beau avoir trouvé un petit boulot et mis un pied dans la vraie vie, il n’en restait pas moins un enfant gâté. La cuillère en argent insolente trônait encore sur la table. Harold fit irruption dans la pièce, une bouteille de whisky dans la main. Il traversa la salle à grandes enjambées et déboucha l’alcool qui faisait la fierté de sa famille depuis des générations. Les yeux du corbeau s’accrochèrent aux chiffres sur la bouteille vieille de trente ans. Harold, les yeux pétillants d’alcool et de gaieté mal dissimulée, sortit un verre pour Maximilien et leur servit une grande lichette de liquide ambré. Il poursuivit sa générosité de l’autre côté de la table et leva son verre avant d’en prendre une gorgée.
“We will have to arrange a meeting with our personal bookkeeper at Gringotts, of course. Hilda?”
Alice reprit en anglaise, son verre à portée de bouche. Peter manqua de s’étouffer ; il recracha le liquide ambré dans sa bouche et s’empressa de l’avaler pour s’offusquer.
“We can manage.” Son accent écossais disparut dans son phrasé le plus snob.
Le petit ingrat reconnaissait l’approbation cachée de sa mère, mais savait qu’elle était rarement accordée sans attache.
“You’ll need tae feed yourselves, th' lot o' ye. Keek at ye, it's surely a guid thing ye'v come th'day or you’d hae disappeared. Mibbie ah kin arrange deliveries, twa times a week wid dae th' trick.”3
Tante Hilda réfléchissait maintenant à haute voix et pour elle-même, sans les convier un seul instant dans la tornade logistique.
“Yes.”
Oui à tout ce qu’il disait. Oui à sa présence dans l’appartement qu’il habitait en colocation. Oui à l’amour qu’ils se portaient l’un l’autre. Oui à l’idée de le retrouver tous les matins dans les draps, sa tête endormie sur l’oreiller. Oui à un endroit qui ne serait qu’à eux.
La réponse s’était fait tant attendre qu’elle surprît les personnes attablées et la petite boule de poil qui sursauta et se cogna dans le pied de la table. Harold massa généreusement la petite tête noire et sable sans décrocher son regard de son fils. Elle le surprit lui-même et les portes du doute s’ouvrirent à la volée. Il imagina la chambre qu’il occupait se vider de ses meubles et de ses affaires. Il sentit l’odeur de son meilleur ami, dissipée depuis longtemps des murs, s’insinuer dans sa mémoire. Il s’imagina l’annoncer à @Wyatt Mora et à toute la colocation.
“Whit aboot th' flat? Ah can’t chuck wyatt oot. And whit aboot th' others?”1
Harold se leva et quitta la table, sous le regard noir de son épouse. Le futur s’insinuait dans le présent et Peter pouvait goûter tous leurs projets sur le bout de la langue. Ils lui donnaient le tournis. Peter réalisait soudainement qu’il avait grandi. Leur relation était responsable de la maturité qu’il avait découvert enfouie en lui. Il avait trouvé l’amour, le vrai. Il s’était battu pour le vivre au grand jour. Il avait renoncé à une part de liberté qu’il avait redécouverte sous les baisers et les caresses de l’homme à qui il vouait un amour infini. Il avait renoncé en partie au confort matériel que lui offrait sa famille en échange de plus d’autonomie. Ses choix culminaient aujourd’hui et Peter réalisa encore à quel point il était heureux. Il ne laissa pas le temps à Maximilien de répondre et voulut se tourner vers lui pour l’embrasser. Son genou se coinça dans la nappe blanche et il manqua de l’emporter avec lui. Il ignora la catastrophe empêchée de justesse pas la main d’Alice et écrasa ses lèvres contre celles de Maximilien. Il l’emporta dans une tempête d’émotions et voulut lui faire oublier où ils étaient. Sa mère leva les yeux au ciel, mais il ne le vit pas. Le reniflement d’Hilda interrompit le baiser et, sans s’écarter de son petit ami, Peter vit la petite femme pleurer de joie. Alice, les yeux rivés sur le plat de purée qu’elle faisait léviter jusqu’à la table du bout de sa baguette, lui tendit sa serviette pour qu’elle puisse s’essuyer les yeux.
« Où comptez-vous emménager, exactement ? »
Elle avait profité de l’absence d’Harold pour parler français. La question lui hérissa le poil et il embrassa Maximilien du bout des lèvres pour conjurer le sort.
“Mibbie we cuid rent Pina’s auld steid? All o' her mukkers have moved oot. The steid is empty. Dae ye remember her but and ben, babe? ”2
Il répondait à sa mère sans la regarder, et voulait montrer à Maximilien que ses doutes n’étaient rien en comparaison avec son envie d’emménager avec lui. De l’autre côté de la table, Alice servait distraitement Hilda qui s’était finalement retrouvée assise à la place qu’Harold lui avait proposé un instant plus tôt. L’intéressée les regardait toujours, les yeux embués par quelque chose qui ressemblait beaucoup à de la fierté. Peter ne voyait que son Roy, la main toujours fermement enlacée avec la sienne.
« Qu’est-ce que tu en penses ? » Il demanda plus bas et en français.
Peter avait beau avoir trouvé un petit boulot et mis un pied dans la vraie vie, il n’en restait pas moins un enfant gâté. La cuillère en argent insolente trônait encore sur la table. Harold fit irruption dans la pièce, une bouteille de whisky dans la main. Il traversa la salle à grandes enjambées et déboucha l’alcool qui faisait la fierté de sa famille depuis des générations. Les yeux du corbeau s’accrochèrent aux chiffres sur la bouteille vieille de trente ans. Harold, les yeux pétillants d’alcool et de gaieté mal dissimulée, sortit un verre pour Maximilien et leur servit une grande lichette de liquide ambré. Il poursuivit sa générosité de l’autre côté de la table et leva son verre avant d’en prendre une gorgée.
“We will have to arrange a meeting with our personal bookkeeper at Gringotts, of course. Hilda?”
Alice reprit en anglaise, son verre à portée de bouche. Peter manqua de s’étouffer ; il recracha le liquide ambré dans sa bouche et s’empressa de l’avaler pour s’offusquer.
“We can manage.” Son accent écossais disparut dans son phrasé le plus snob.
Le petit ingrat reconnaissait l’approbation cachée de sa mère, mais savait qu’elle était rarement accordée sans attache.
“You’ll need tae feed yourselves, th' lot o' ye. Keek at ye, it's surely a guid thing ye'v come th'day or you’d hae disappeared. Mibbie ah kin arrange deliveries, twa times a week wid dae th' trick.”3
Tante Hilda réfléchissait maintenant à haute voix et pour elle-même, sans les convier un seul instant dans la tornade logistique.
- :
- 1. "What about the flat? I can’t chuck Wyatt out. And what about the others?"
2. “Maybe we could rent Pina’s old place? All of her mates have moved out. The place is empty. Do you remember her cottage, babe?”
3. “You’ll need to feed yourselves, the lot of you. Look at you, it’s surely a good thing you’ve come today or you’d have disappeared. Maybe I can arrange deliveries, twice a week would do the trick.”
Laueee & keiynan-lonsdale
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Love u to bits. (AND THA HOT AS HELL KIT.)
- le Lun 15 Aoû 2022 - 12:45
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- Sujet: You're the only family I need (ft. Peter)
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You're the only family I need (ft. Peter)
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- :
- 1. « Fuck, non ! »
2. « T'es la putain d'entrée, le putain de plat principal et de dessert, mon gars ! »
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- le Jeu 4 Aoû 2022 - 23:36
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You're the only family I need (ft. Peter)
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- :
- 1. « Votre prononciation est parfaite ! »
2. J'aurais pu être son p*tain de frère !
3. « Ahhh non ! Ce n'est pas la première fois ! On a de très bonnes huîtres en Écosse ! »
4. « D'ailleurs, pourquoi ne viendrez vous pas nous voir cet été ? Nous pourrions aller faire du bateau sur le lac et... séjourner quelques jours dans notre chalet privé ? C'est très joli à cette période de l'année, n'est-ce pas Pete ? »
5. = kissing
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- le Ven 22 Juil 2022 - 21:14
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- :
- 1. « Il est vrai que Peter exagère de temps en temps, mais je ne pense pas qu'il l'ait fait en ces occasions. »
2. « Comment trouvez-vous votre mise en bouche ? Fantastique, n'est-ce pas ? »
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- le Mar 19 Juil 2022 - 10:07
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- :
- 1. « Ça m'a tout l'air d'un vrai plaisir ! Je vais en prendre un. »
2. « Et bien, c'est une vraie carrière difficile que tu te façonnes, mon garçon. Il me semblait bien avoir entendu Peter dire que tu étais brillant, plus d'une fois. »
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- le Jeu 14 Avr 2022 - 15:40
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You're the only family I need (ft. Peter)
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- :
- 1. « Merlin soit loué ! Je dois admettre que mon français est un peu rouillé. Peut-être aurais-je plus de temps pour pratiquer, maintenant que Peter a enfin consenti à nous présenter officiellement. »
2. « Qu'est-ce que tu as pris dans ton verre, garçon ? Content de ton choix ? »
3. « Quelle est la matière principale que Peter m'a dit que tu avais choisi, déjà ? »
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- le Dim 27 Fév 2022 - 16:02
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You're the only family I need (ft. Peter)
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- 1. « Pour l'amour de Dieu ! »
2. « Je vous ai dit d'arrêter de bouger ! Peter sera là sera là dans une minute et il a dit que vous deviez avoir l'air décontracté ! »
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