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(lolo) - beat of the drums
Lun 28 Mai 2018 - 0:30
Je suis un Pokeby | personnage inventé, pré-lien
« Strange as it may seem, I still hope for the best, even though the best, like an interesting piece of mail, so rarely arrives, and even when it does it can be lost so easily. »
WIZARD CARD INFORMATIONS Rédigez quelques lignes sur les particularités (physiques, intellectuelles ou magiques) de votre personnage ainsi que sa baguette, son épouvantard, son animal de compagnie, sa matière préférée ... bref, tout ce qui vous passe par la tête ! T'avais plus de chien depuis deux ans, parce que Haricot était mort depuis. Tu te souvenais pas l'avoir autant aimé. Arrivé à Hungcalf, tu as découvert que ton bagage artistique était affreusement léger, et avec ça, tu comparais ton dossier aux autres pour constater à quel point tu étais certes imaginatif, mais en rien productif. Tu n'as jamais eu besoin de l'être, mais pourtant, depuis elle, tu sens comme un vide. Alors, un soir chez des amis, tu tentes quelques instruments, vaguement bourré. T'es censé suivre une chanson - Don't Stop Me Now - et on t'a installé à la batterie. Parce que la guitare, ça coupe les doigts, le chant c'est juste pas fait pour toi, le synthé est trop compliqué. Tu prends les baguettes, à l'envers, tu fermes les yeux en rigolant, parce qu'on te dit de le faire et que la situation te fais sourire, la musique repars. Au début, tu ne prends définitivement pas ça au sérieux, t'es comme dans un brouillard et y a rien qui te viens. C'est pas instinctif, jusqu'à cette note là. Pas une autre, celle-ci et MAINTENANT! tu l'entends, la caisse qui tape en fond. La musique est tellement forte que tu sais pas si c'est un tambour ou si c'est ton coeur, et là, en même temps que tes battements à toi, tu frappes. Tu t'en souviens bien, pour une soirée alcoolisée, alors comme la sensation de se sentir vivre enfin, littéralement, t'ennivres, tu continues. Tu reviens souvent chez cet ami pour bidouiller sur son instru et faut croire que ça te plaît. T'apprends seul et finalement, t'es même plutôt doué. Y a personne qui sent le beat comme toi, parce que t'en fais une histoire personnelle. Faut croire que ça fonctionne. | ©️ shiya ◈ nicholas hoult |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
Mama, didn't meant to make you cry
If i'm not back again at this time tomorrow
Carry on, carry on
As if nothing really matters
Tu t’appelles Lawrence, mais tu seras longtemps surnommé Lolo et t’es né un trois novembre venteux à Bristol. Ton nom, tu le tiens de ton père, Jude et ton deuxième prénom, du père de ta mère, Tammy.
Tu ne te souviens pas de grand-chose quant aux premières années de ta vie pour des raisons biologiques mais également car celles-ci n’avaient rien de remarquable.
Élevé le plus classiquement possible par deux parents aimants, placé dans le système éducatif moldu dès ton plus jeune âge, tu es un enfant calme et ingénieux. Tes professeurs ont tendance à te trouver trop à l’écart, à pas assez jouer avec les autres.
Toi, tu dirais plutôt que c’est l’inverse, que c’est eux qu’ils ne viennent pas, mais en réalité, ça te ne dérange pas à ce moment là.
Pour toi, il n’y a rien d’anormal. T’as des puzzles par milliers à résoudre, des bouquins à lire et des curiosités par centaine à découvrir; pour le moment, tu n’as besoin de personne d’autre que toi-même.
Bristol s’ouvre à toi et alors que tu as sept ou huit ans, tu prends l’habitude d’explorer la ville en son coeur le plus profond juste avec ton vélo et ton sac à dos. T’es curieux pas de doute et très sympathique, comme en témoignerait volontiers le SDF installé au coin du Supermarché.
À chaque fois que tu passes, t’es incapable de garder l’argent pour tes sucreries pour toi et tu lui en donnes. Quelque fois tu discutes avec lui et d’autres, tu pédales à toute vitesse en sens inverse sur ton vélo pour ne pas qu’il te voit gamberger et, ça arrivait, pleurer. Tu comprends pas pourquoi toi t’as un toit et pas lui. Pourquoi toi tu manges et pas lui. Tu ne comprends pas l’inconcevable.
It's love
Yes, all we're looking for is love from someone else
a rush
a touch
a glance
a dance
T’as bien grandis depuis Bristol. Maintenant, t’as dix ans et tu vis à Londres, avec Haricot, le cabot que t’as beau trouver trop collant, tu l’adores au fond. Y a aussi tes parents, mais maintenant ils sont séparés. Ça t’as pas vraiment fait un choc, puisque de toute façon ils passaient leur temps à s’engueuler depuis qu’à cause du nouveau job de ton père, Jude, vous avez été obligé de partir de ta ville natale. Tammy lui en veut terriblement ; son argument principal d’ailleurs, c’est toi.
Leur fils « fragile », « renfermé » qu’on oblige à changer de vie. C’est vrai que c’est très dur pour lui, de quitter le quartier vide et homogène où toutes les maisons se ressemblent, où sa mère a ses habitudes, ses amies, un travail valorisant. Plus tard t’apprendras qu’en plus, elle se tapait son boss.
Le pire, c’est que toi, t’es incapable de leur en vouloir.
Ton papa, tu sais qu’il a trimé toute sa jeunesse pour en arriver là, qu’il a pas pu faire d’études. Il est extrêmement fier de pouvoir t’offrir un toit dans une ville excessivement chère et une qualité de vie tout à fait confortable. Il voyait ça comme une opportunité, un moyen de rendre son petit chat heureux et de voir s’épanouir sa femme, qu’il sentait de plus en plus distante.
Vraiment, en tant que gosse tu voyais pas les choses en mal et aujourd’hui non plus.
Pour Tam, c’est encore différent. Si elle s’éloignait progressivement de sa famille, c’était parce qu’elle était tombée amoureuse, ailleurs. De son patron, directeur d’une ligne éditoriale régionale.
T’as longtemps été persuadé qu’elle l’aimait pour de bon, que si elle prenait tout ce temps pour aller chercher des babioles à Bristol ou retrouver ses anciennes collègues de bureau, c’était en réalité pour s’accorder quelques heures avec son Roméo. T’es loin d’être stupide, mais peut-être bien que t’as été naïf un peu trop souvent, ou alors t’as décidé de fermer les yeux, tu sais pas, parce que t’avais seulement voulu voir qu’il était le grand amour de ta mère.
Et, alors, le grand amour, on ne fuis pas devant. On l’accepte, on l’attends autant qu’il le faut et surtout, on se débrouille pour garder la flamme intacte.
En faite, c’est ta maman qui t’avais expliqué ça quand, peu après le divorce, tu lui demandais pourquoi son copain la rejoignait pas. Tammy attendait et elle attendrait longtemps. Tu l’as vue se décrépir lentement, sans pouvoir rien y faire, pendant que ton père surmontait son chagrin, se remariait, fondait une nouvelle famille et qu’elle, attendait un homme qui, de toute évidence, ne reviendrait jamais.
Pour toutes ces raisons, tu refusaient de lui faire payer ce pour quoi elle souffrait déjà et de toute façon t’en aurais pas l’occasion. Ta vie a changé du tout au tout, quand un homme à cape s’est présenté à l’appartement spacieux en bordure londonienne, une enveloppe crème à la main et ton nom noté dessus à l’encre verte.
Tu te trouvais chez ton papa cette semaine-là et t’avais pour mission de faire cuire des œufs pour le petit-déjeuner familial ; tu les as foiré, évidemment, ces œufs.
En somme, vous vous entendiez très bien tous les trois, jusqu’à ce qu’il parte à l’armée et disparaisse. T’aurais bien aimé garder contact, mais apparemment, c’est pas trop possible. Quant à Maggie, cette future intellectuelle patentée, vous êtes fusionnels.
Durant les vacances, tu prenais ton courage à deux mains et les passait toujours chez ta maman. Vieille, aigrie, triste. Invivable. T’as finis par exploser, un soir de quatrième année, tu lui as hurlé dessus, elle t’a baffé, t’as fais des bagages et t’es pas revenu l’été qui a suivi.
C’est à peine si tu répondais à ses coups de téléphone, qui dans un univers merveilleux, se seraient teintés d’excuses. Rien du tout, nada. Tu lui demandais peu, après toutes ces années passées en tant qu’épaule d’inconditionnel soutient moral, parfois même physique et toi et ton sens de la justice si aiguë, vous en avez eu ras le popotin ; vous vous êtes contentés de visites éparpillées sur le calendrier, sans plus d’événements. Tam n’a, de toute façon, jamais cherché à en savoir plus. Tant mieux, tu n’en attendais pas moins d’elle.
Pourtant, une fois entre les murs de pierre du château et même au chaud dans ton confortable fauteuil de Poufsouffle tu culpabilisais. Malgré tout t’étais incapable de la détester, ta mère.
Heureusement, cette vie de famille compliquée était parfaitement contrebalancée par une scolarité à ton image, que tu t’étais façonnée avec talent.
Réparti chez les blaireaux pour ton coté bourreau de travail, tu faisais partie des têtes de ta promo et faut croire que ça te plaisait bien, d’apprendre des choses ; tu cumulais les cours particuliers et les options. Merlin sait à quel point ça t’as réussis.
En plus de ça, tu as appris à garder autour de toi quelques amis avec lesquels tu as tissé un lien fort et un réseau de souvenirs tous plus uniques les uns que les autres.
T’as toujours su ne retenir que le positif de tes histoires mais effacer cette part de toi-même se serait comme te faire rouler dessus par le Magicobus; tout bonnement impossible.
You may say I'm a dreamer
But I'm not the only one
Heureusement que t’étais pas tout seul dans l’aventure, parce que tu te serais probablement noyé. Ton adolescence t’a paru extérieurement paisible, calme mais comme l’océan, à l’intérieur c’était le déchaînement. Tu passais de tourbillons en tourbillons sans jamais savoir quand est ce que cela allait s’arrêter, toutes ces questions, toute cette douleur.
T’as des plaies béantes au fond de ton âme qui s’ouvrent sans crier gare quand tu souris à une fille, quand tu regardes un match de Quidditch, sous la douche, en plein repas, devant les autres, seul, n’importe quand et n’importe où. Ça prévient pas, jamais, c’est comme ça.
Tu te demandes pourquoi tu te voilais la face sur le monde, pourquoi t’as refusé de voir que le SDF de Bristol il était pas tout seul, qu’il y en a mille et mille des comme lui, que toi t’es là, dans le faste et tu profites, mais tu comprends pas, tu comprends rien à cette logique, est-ce que c’est ça la justice ? Pour toi y a quelque chose qui cloche mais tu saurais pas dire quoi, y a comme le néant entre tes poumons quand t’es trop triste, tu sens tout et tu sens rien en même temps.
Ça va, ça vient ; toi t’as peur de finir à Sainte Mangouste, on dirait que tu deviens fou, barjot.
Tu sais plus quoi faire pour te remettre les idées en place.
T’entres en sixième année et t’as deux ans encore avant d’être en véritable roue libre. En bref, 730 jours c’est ce qu’il te reste pour trouver un truc, n’importe quoi, qui te ramènes à la surface.
C’est pas gagné mais tu perds pas espoir. C’est la dernière marche avant le chaos, sauf que tu peux pas te le permettre alors tu bosses encore plus que d’habitude. Tu gardes toutes tes matières de BUSEs, tu t’accroches à la seule chose qui ai un semblant de sens dans ton univers tourbillonnant et tu t’y enfonces.
T’hésites jamais à refaire le monde avec quelques uns de tes amis. Tu fais des plans sur la comète avec cette fille, Emily, tu t’imagines déjà avec elle jusqu’à la fin de ta vie.
Tu vas MIEUX.
Ou, du moins, tu as grandis et c’était le petit coup de pouce nécessaire pour décoller.
If we'd go again
All the way from the start
I would try to change
The things that killed our love
Sans surprise, mis à part la tienne, tu es pris à Hungcalf. Grâce aux conseils avisés de ta directrice de maison, tu choisis cette voie afin d’être à l’avenir formé pour devenir juge dans la Justice Magique. Cette idée, elle te plaît bien et tu regrettes de ne pas y avoir pensé tout seul.
Alors dans une relation depuis l’été précédent avec Emily, tu fais ta rentrée dans cette nouvelle école comme sur un petit nuage. Les trois premières années, dont celle de ta spécialisation, se passent à la perfection, ce qui te paraît irréaliste. Tes vieux démons te titillent toujours la tête, mais comme vous êtes deux, c’est beaucoup plus facile de leur faire des pieds de nez.
Tu te débrouilles bien, mais surtout, tu fais mine de ne pas voir qu’au bout de quatre ans, ta relation avec celle que tu considères comme l’amour de ta vie s’effrite. Elle s’effrite d’une manière que tu connais bien, pour l’avoir à l’œuvre au sein de ta propre famille.
T’aurais pu agir, tu savais quoi faire mais t’étais tétanisé à l’idée que ça arrive vraiment, alors t’as rien fais, t’as laissé couler, t’as espéré sans agir que ça se tasse. Que le froid entre vous finisse pas s’estomper avec le temps.
Mais pire encore qu’avec ton père, la rupture de communication a produit un phénomène dont tu ne te remets pas : la fuite. Pas la tienne, bien que tu y ai déjà plusieurs fois pensé, celle de ta dulcinée.
Évaporée, comme ça. Du jour au lendemain, tu rentres chez vous et ses affaires ont disparu. Certaine de tes valises ne sont plus là.
À croire qu’un raz de marée a tout emporté, tant l’appartement te paraît vide.
Tu te demandes si t’es pas entrain de rêver, alors tu frappes la table, tu pètes un verre. Tu saignes, mais surtout, tu pleures et là encore, tu ne comprends pas.
Inside my heart is breaking
My make-up may be flaking
but my smiles still stays on
(...)
I'll face it with a grin
I'm never giving in
Évidemment, ça fait mal, ça te blesse profondément. Pendant quelques mois, t’es qu’une loque. Tu suis tes cours, toujours avec assiduité, mais dans ta tête ça tourne pas rond. Comme toujours, tu te poses des questions, les mêmes en boucle et en boucle, t’as un mal fou à sortir de ta spirale infernale.
Encore une fois, tu as la sensation que tu en fais trop, que ta sensibilité à fleur de peau ne se manifeste pas comme elle devrait et tu prends alors exemple sur les mâles de ton entourage. Le fait qu’ils soient à plusieurs conquêtes déjà mis de coté, tu observes et tu constates : tu n’as aucune légitimité à être une épave.
Une rupture ça arrive. Une rupture sans rupture… ça doit pas être si exceptionnel que ça.
En grand inconnu dans le domaine du deuil relationnel, tu réprimes ton envie de choper la première borne wifi pour regarder un épisode d’How I Met Your Mother dès ta sortie de l’université et suis les conseils de tout nouveau cercle d’ami.
On te dit qu’il serait une bonne idée de t’ouvrir au monde, à autre chose que ce que tu connais déjà si bien ; dans cette optique, tu t’achètes des caisses claires, deux cymbales, en bref de quoi te faire ta batterie avec les économies originellement prévues pour embarquer dans le premier vol pour Fort Fort Lointain, tu l’installes dans un garage et là, BAM ! Tu progresses vite, tu te donnes à fond. T’as du mal à doser tes efforts, alors t’es un boulet de canon dans tous les domaines que tu choisis ; les études, la musique maintenant, tes relations. Tu t’épuises pour rien, parce que tu es persuadé que ça finira par payer. Ça ne pourrait pas en être autrement.
To believe I walk alone
Is a lie that I've been told
So let your heart hold fast
For this soon shall pass
Like the high tide takes the sand
Mai 2018, tu termines ta huitième année. Des jours quelque peu compliqués viennent marquer d’une pierre blanche ce nouveau départ, mais tes résultats ont baissé.
Pour voir le verre à moitié plein plutôt que l’inverse, tu dirais plutôt que ça t’as permis de mieux te connaître. Comme prévu, tu as perfectionné ta pratique de la batterie. Tu acceptes les multiples proposition littéraires de ton option préférée, t’as même commencé à décrire les bidules que tu créais dans ta tête quand t’étais enfant dans un vieux carnet Disney à l’effigie de La petite sirène piqué à Maggie. Elle a bien grandis ; tu lui envois des lettres (pour le fun) régulièrement, parfois tu favorises le texto quand c’est une urgence. Vous avez votre mode de communication bien à vous et votre père, Jude, ne pourrait pas être plus heureux.
Tammy… Tam ne donne pas vraiment de nouvelles, si ce n’est qu’elle répond tout juste aux missives que tu postes deux à trois fois par an. Elle t’en veux, ça ne fait pas de doute mais tu es trop effrayé pour la confronter à nouveau.
En trois ans, pas grand-chose n’a changé du coté de ton cœur et tu es persuadé que c’est pour le mieux. T’as bien essayé de te laisser aller de ce coté là, mais malgré tous tes efforts, ta confiance refuse de pointer le bout de son nez. C’est étrange, puisque tu sais l’accorder très facilement pour de futurs amis. Y a un blocage dans le secteur Amour et t’es pas capable de t’en défaire.
On te dit que tu réfléchis trop, que tu ressens trop aussi et tu commences enfin à croire que c’est vrai. Avant, pour toi, c’était normal de se soumettre aux lois de l’âme, mais tu commences à changer progressivement d’avis. Comme dirait Mag, t’aurais bien besoin de te sortir les doigts du cul, te lâcher quoi. Tu n’aimes pas spécialement l’idée (c’est à peine si tu supportes le goût de l’alcool) et pourtant, quelque chose te dit que ça pourrait bien résoudre ton problème.
D’un autre coté, écrire tes milles et unes idées t’amènes à inventer des systèmes, des techniques, à peu près n’importe quoi, de révolutionnaire pour pallier aux inégalités qui t’ont jadis tant perturbé.
Tu te dis que ça compense avec tes notes et t’as pas tout à fait tord de le croire. Peut-être bien qu’un jour, ce seront les trésors qui peuplent ta matière grise qui feront changer le monde, pour que ton cœur se satisfasse enfin de l’humanité qu’il voit.
Tu n’auras de cesse de chercher la paix, tu vogueras encore longtemps en eaux noires, mais t’espères voir le bout du tunnel un de ces quatre. Tu perds pas espoir, sûrement parce que t’es peut-être déjà la sortie mais t’es juste pas capable de le voir.
RÉSERVEZ VOTRE AVATAR
- Code:
<bottin><pris>●</pris> <b>nicholas hoult</b> ━ @"lawrence philby"</bottin>
- InvitéInvité
Re: (lolo) - beat of the drums
Lun 28 Mai 2018 - 2:04
Bienvenue parmi nous
Je dirais Nicholas Hoult perso
Je dirais Nicholas Hoult perso
- InvitéInvité
Re: (lolo) - beat of the drums
Lun 28 Mai 2018 - 2:08
Bienvenuuuuuue
Je vote aussi pour Nicholas
Je vote aussi pour Nicholas
- InvitéInvité
Re: (lolo) - beat of the drums
Lun 28 Mai 2018 - 7:21
bienvenue et bon courage pour ta fiche
Sinon je vote pour Nicholas
Sinon je vote pour Nicholas
- InvitéInvité
Re: (lolo) - beat of the drums
Lun 28 Mai 2018 - 8:00
Pokeby, excellent choix Nicholas est un excellent choix aussi
Bienvenue parmi nous
Bienvenue parmi nous
- InvitéInvité
Re: (lolo) - beat of the drums
Lun 28 Mai 2018 - 8:15
Bienvenue parmi-nous !
Je vote Nicholas également Le personnage à l'air for intéressant.
Bon courage pour la suite de ta fiche.
Je vote Nicholas également Le personnage à l'air for intéressant.
Bon courage pour la suite de ta fiche.
- InvitéInvité
Re: (lolo) - beat of the drums
Lun 28 Mai 2018 - 10:09
Bienvenue parmi nous sur Hung !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche ! Je crois que tu as de quoi ne plus hésiter pour l'avatar.
Bon courage pour la rédaction de ta fiche ! Je crois que tu as de quoi ne plus hésiter pour l'avatar.
- InvitéInvité
Re: (lolo) - beat of the drums
Lun 28 Mai 2018 - 14:34
Bienvenue et bon courage pour ta fiche Nicholas Hoult est parfait
- InvitéInvité
Re: (lolo) - beat of the drums
Lun 28 Mai 2018 - 17:06
Merci beaucou tout le monde, vous êtes adorables
Et du coup, en effet je vais garder Nicholas
Et du coup, en effet je vais garder Nicholas
- InvitéInvité
Re: (lolo) - beat of the drums
Lun 28 Mai 2018 - 17:29
Bienvenue parmi nous.
Bon courage pour ta fiche, hâte d'en savoir plus.
Bon courage pour ta fiche, hâte d'en savoir plus.
- InvitéInvité
Re: (lolo) - beat of the drums
Lun 28 Mai 2018 - 18:41
LOLO, haha ! Ce surnom de folie, j'adore !
Excellent choix de vava dude
Bienvenue et bon courage pour ta fiche
Excellent choix de vava dude
Bienvenue et bon courage pour ta fiche
- InvitéInvité
Re: (lolo) - beat of the drums
Lun 28 Mai 2018 - 20:39
bienvenue monsieur beaux yeux! t'es un prélien de qui?
- InvitéInvité
Re: (lolo) - beat of the drums
Lun 28 Mai 2018 - 20:42
@Mercy Donovan Merci Mercy
Je comptais devenir le batteur des Sugar Quill, puisqu'ils en cherchent toujours un aux dernières nouvelles
Je comptais devenir le batteur des Sugar Quill, puisqu'ils en cherchent toujours un aux dernières nouvelles
- InvitéInvité
Re: (lolo) - beat of the drums
Mar 29 Mai 2018 - 0:11
Bienvenue à toi, joli coeur
Bon courage pour ta fichette
Bon courage pour ta fichette
- InvitéInvité
Re: (lolo) - beat of the drums
Mar 29 Mai 2018 - 10:43
bienvenue
dans ta nouvelle famille
★ Le Staff de Hungcalf a l'immense plaisir de te compter parmi ses
★ Lorsque la paperasse sera enfin bouclée, tu pourras enfin commencer tes rps, faire ta fiche de liens, lire quelques annexes ou bien développer l'histoire de ton personnage dans ta bibliothèque personnelle.
★ Si le quidditch est ta passion, n'hésite pas à agrandir les rangs de l'équipe de ta maison. Tu souhaites t'investir dans un club ou une association ? Alors viens donc en rejoindre un, c'est de ce côté. Tu peux également faire un tour du côté de notre marché aux liens pour te faire des amis ! *-*
★ Si tu te cherches un copain ou une idée de RP, n'hésite pas à passer ici pour trouver un partenaire ! Et quand tu auras amassé plein de gallions, une boutique avec plein d'objets et d'avantages est à ta disposition ! *--* D'ailleurs, si tu as pris un scénario ou que tu as privilégie un groupe qui manque de membres, viens te recenser ici pour acquérir tes gallions !
★ T'es paumé ? Tu ne sais pas qui est dans quelle maison ou dans quels cours ? Tu te demandes qui sont les étudiant(e)s qui sont dans la même filière ou la même année que toi ? Tu aimerais savoir si ton voisin est un sang-pur ou un né-moldu ? Bah ne cherche plus ! Pour ça, y'a le : Référentiel de Hungcalf !
Have fun sur Hung !
PS : BIENVENUE À TOI ! J'aime beaucoup ce personnage et il va nous falloir un lien. Je ne te laisse pas le choix, en fait. Nicholas est tout simplement parfait et parler de Gladiator
- InvitéInvité
Re: (lolo) - beat of the drums
Dim 3 Juin 2018 - 10:52
Bienvenue et félicitations pour ta validation !
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