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Maxxie ; guns need victims.
Sam 30 Jan 2010 - 20:37
Maxxie ; Lilith
ASHTRAY
© Lolixoxo |
Date et lieu de naissance : Je suis née le trente novembre mille neuf cent quatre-vingt dix à Leicester, Grande-Bretagne. Nationalité : Etant née là où je suis née, je suis donc une Anglaise pure souche. Issu(e) d'une famille : Sorcière : Cent pour cent sang pur... Et la cosanguinité, il y a tellement de liens entre les personnes cherchant la pureté parfaite que personne ne sait vraiment ce qui le lie avec autrui... Classe sociale : Aisée. Nous pourrions même dire « riche » car avec une mère rédactrice en chef, un père joueur professionnel de Quidditch, une grand-mère qui nous aime plus que tout et une fortune familiale, ce n'est pas l'argent qui manque. Options choisies : Métamorphose et Sortilèges. Patronus :Un fennec, d'ailleurs, j'utilise souvent cet animal... Baguette : Ma baguette mesure vingt centimètres. Ni plus, ni moins. Elle est couleur marron liège car son bois vient d’un chêne centenaire, elle est très résistante, et symbolise la réussite et la protection. Elle contient quelques poils de loup-garou, qui est soit disant le meilleur élément pout la métamorphose, étrange que ce soit celle là qui me convienne n’est-ce pas ? |
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© rosieslullaby
Lorsque l’on est enfant, on se forge des attentes, des rêves, des espoirs, on marche dans l’ombre de ses parents, sans s’en rendre compte. Notre futur est souvent déjà tout tracé pour nous : faire comme maman, papa bien souvent. A cet âge, tu n’as pas de vrai personnalité, tu suis le troupeau, il n’y a pas de marginal lorsque tu as trois ans, il y a quelques solitaires mais tous les enfants restent les mêmes. Puis tu grandis, tu t’aperçois que ton voisin n’est pas comme toi. Pas le même sexe, pas la même couleur, pas les mêmes vêtements, pas les mêmes jouets. Nous n’avons tous simplement pas les mêmes moyens. Et nous poursuivons notre chemin, voyant inlassablement passer les années, sans pouvoir y remédier, sans pouvoir l’arrêter. Il passe, file, court, sans nous laisser le temps de nous retourner. Nous connaissons la tristesse, les désillusions. Nos espoirs font place à des craintes. Nos certitudes deviennent des questionnements, notre futur devient incertain. Notre âme saigne de ne pouvoir faire « pause, marche arrière, réenregistrement ». Rien ni personne ne peut remplir le vide que l’on ressent. Là, tout au fond de nous. Là, dans notre cœur. D’ailleurs, en avons-nous réellement un ? La question se pose toujours lorsque l’on continu à considérer que l’autre est différent, alors que nous n’avons plus cinq ans. Selon Rabelais, le temps mûrit toute choses ; par le temps toutes choses viennent en évidence ; le temps est père de la vérité. Mais voyait-il le temps filer ? Profitait-il de lui ? Goutait-il en chaque joie que lui proposait la vie ? Ou a-t-il simplement écrit ces mots car cela rendait bien dans l’un de ses textes ? Car il y a un temps pour vivre et un temps pour mourir, le temps fuit, le passé reste, mais demeure trop loin pour que l’on puisse le revivre et en profiter pleinement. On ne se rend pas compte des meilleurs moments lorsqu’on les vit, on s’en rend compte plus tard, lorsqu’ils sont finis, lorsqu’il n’y a plus rien, lorsque tout est fini. Nous tuons simplement le temps, en attendant que le temps nous tue, sans aller chercher plus loin. Et nous continuons d’avancer, dans cette course contre le temps, dont on sait pertinemment que l’on n’en sortira pas vainqueur. Nous allons perdre fasse à lui, le temps n’a pas d’ennemi, il est le mettre incontesté de la vie, c’est lui qui nous régit… Mais nous nous forçons à garder une part de fantaisie en nous, même si nous nous perdons. Nous voulons garder ces utopies. Nous voulons croire en la liberté. En l’amour. En tout ce qui pourrait nous faire remonter à la surface. Et on prit bien souvent pour que cela arrive vite. Avant qu’il ne soit trop tard, tout simplement… Car continuer d’espérer, c’est tout simplement continuer à vivre.
- Spoiler:
Pseudo : A2 ; Maxxie :)
Age : 18 ans.
Célébrité choisie : Miss Evan Rachel Wood.
Pourquoi s'être inscrit sur Huncalf ? A cause de miss Velvet - Blue Bird! J'avais dit "plus de nouveau rpg"... Et je suis tombée amoureuse de celui-ci
Taux de présence : J'passerais quasi tous les jours mais RPgierais le Week-end seulement =S
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Re: Maxxie ; guns need victims.
Sam 30 Jan 2010 - 20:37
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I'll always remember you like a child, girl.
© Fox.
© Fox.
« Qu’ais-je fais ? Oh oui, qu’ais-je fais ô Grand Seigneur pour avoir une fille comme toi Maxyne ?! » Rugit ma mère alors que je quittais la pièce dans laquelle nous étions installées. Voyons voir ce qu’elle avait pu bien faire ? Février 1970. Ma mère, jeune diplômée d’état en magie appliquée porte une magnifique robe du soir, elle est contactée par des dizaines de personnes interpellées par son talent de jeune prodige littéraire au sang-pur. Dans la foule se trouve un jeune homme brun aux traits fins et aux yeux sombres. Il porte un costume noir parfaitement saillant, et ne regarde qu’elle, buvant un verre avec quelques uns de ses amis. Durant toute la soirée, ils s’observent, s’admirent, se touchent simplement grâce à leur regard brulant. Le désir, voilà ce que ressentent ces deux êtres, et leur amour fut consommé en une nuit. Voilà ce qu’elle avait fait pour mériter une fille comme moi. « J’aimerais que tu me respectes un peu plus ! » Encore faudrait-il le mériter n’est-ce pas ? « Attends que ton père rentre, ça va mal aller Maxyne ! » Ouais, ouais, causes toujours, mon père ne vaut pas mieux que toi maman, lui aussi a simplement été victime de ses hormones et a du subir les conséquences de ses actes. Conséquences s’avérant être : moi ! Et oui, les sorciers de l’époque ne connaissaient pas le préservatif apparemment, que voulez-vous, lorsque l’on est peace&love, il ne faut pas aller se plaindre presque vingt ans plus tard. Que pouvaient-ils dire sur mon style de vie ? Après tout, ces deux sangs-purs, riches et puissants, n’avaient dans leur mariage qu’intérêt et erreur de jeunesse. Certes, ils s’étaient aimés, passionnément, mais ils n’avaient en aucun cas l’intention de passer leur vie ensemble, mais cela était sans compter sur leurs parents respectifs qui, qui plus est, voyaient d’un très bon œil un nouveau lien entre ces deux familles. Son père était devenu très influent dans le monde sportif sorcier, étant joueur internationnal de quidditch, et sa mère une rédactrice en chef, ils avaient même apprit à s’aimer plus que lorsque cette passion les avaient enflammés, bien des années plus tôt. J’avais vu des photos de leur mariage, Anise, ma mère, portait une longue robe blanche d’une pureté immaculée, des fleurs opalines dans ses cheveux noirs de geai, et une goutte bleue en guise de pendentif, ses doigts entrecroisés avec ceux d’un homme qu’elle avait désiré mais on voyait bien qu’elle n’était pas réellement heureuse, cela se lisait dans ses yeux, ainsi que son futur mari. Chose étrange lorsque nous les regardons maintenant, à croire que l’amour s’apprend… Ma grand-mère m’avait raconté qu’ainsi, elle avait porté sa grossesse à terme, seulement, il y avait eu quelques problèmes à l’accouchement, j’avais manqué de mourir, mais c’était sans compter sur le talent incontesté et incontestables des médicomages. « C’est une fille » lui avait-on alors dit. Et voilà comment je suis née, moi, Maxxie Lilith Ashtray, sang-pur parmi tant d’autres, ce qui, en soit, ne m’apporte rien, bien que l’on n’arrête pas de me présenter la chose comme ce qui m’est arrivé de mieux… mais bon, ma grand-mère m’a avoué avoir beaucoup aimé fricoter avec de jeunes moldus dans sa folle jeunesse. J’aime, j’adore, j’adule cette femme. Elle est mon modèle et la seule qui me soutient dans chacune de mes démarches, même si elles me mènent à des échecs, car sa philosophie est que la vie est forgée par chacune de nos expériences, bonnes ou mauvaises.
Lorsque je dis que je m’appelle Maxxie, ce n’est pas totalement vrai. Ma mère m’a appelé « Maxyne », mais je n’aime pas. Mon père non plus d’ailleurs. Tout comme mes grands-parents, alors vers mes quatre ou cinq ans, j’ai décidé de changer de nom, mon entourage le respecte, sauf lorsque nous nous disputons, ce que vous avez pu constater par vous-même un peu plus haut. Mais les altercations sont monnaie courante à la maison, nous sommes des caractères forts, ceci explique peut-être cela : nous ne voulons pas dire que l’autre à raison, nous sommes tous très fier, peut-être est-ce un caractère génétique courant chez les sorciers… Ou seulement est-ce dans ma famille, ce qui ne m’étonnerait guère, nous sommes du genre à aimer faire dans l’original. D’ailleurs, pour faire dans le non-conformisme, mon second prénom est Lilith. C’est un prénom très rare, et peut-être est-ce dû à sa signification. Mais nous pouvons dire qu’il est particulièrement en accord avec ma personnalité : dans la tradition rabbinique (oui, j’ai des origines juives, cela vous pose-t-il un problème ?) il s’agissait d’un démon femelle, la première femme ayant refusé d'obéir à Dieu. Et bien sûr, puisqu’il était, comment dire ? Macho. Il l’aurait transformé en cette créature infernale qui était réputée pour descendre sur les hommes endormis pour leur sucer le sang. Personnellement, je ne leur suce pas le sang, mais j’aime me pencher sur les hommes, depuis quelques années. Le plaisir de la chair, de deux corps qui dansent en un seul mouvement. D’ailleurs le sexe de la personne avec qui je suis n’a aucune importance, bien que j’avoue avoir une préférence pour les males. Mais le sexe aide tellement, et après tout, nous n’avons qu’une vie et moi, contrairement à mes parents, je connais l’usage de morceaux de latex nous protégeant de toute « erreur de jeunesse ». Il parait que notre personnalité est en lien direct avec notre identité, donc notre nom. Selon quelques bouquins, les « Maxyne » seraient animées par une grande curiosité, aurait de multiples intérêts, notamment pour tout ce qui sort de l'ordinaire. Parait-il que nous avons des difficultés d'affirmation lorsque nous sommes enfants, en même temps, lorsqu’à six ans, on apprend que l’on a une sœur qui n’a pas la même mère que nous, effectivement, on a un petit peu de mal à s’affirmer. Et oui, c’est à cet âge là que j’ai appris que Velvet était ma sœur cadette, enfin ! Nous avons un peu moins d’un mois d’écart. Nous étions bonnes copines, avant de savoir. Bien entendu, nous nous aimons, mais nous sommes plus dans la catégorie « meilleure amie » que « sœur », étrangement. Surtout elle, qui ne parle pas beaucoup, de mon côté, ça va, je ne lui en veux, c’est la faute de notre père et de nos mères, quoique la sienne est morte, donc j’évite de trop la critiquée, et oui, je suis tout de même respectueuse. Un minimum tout au moins. Parait-il que je suis du genre à passer sans transition d'une certaine réserve proche du mutisme à un bavardage incessant lorsque je me sens en confiance. Bavardage incessant me parait un peu… Comment dire ? Gros, car même si je parle, je laisse une grande part au dialogue symétrique, les tirades très peut pour moi. Quoique… Mais il m’arrive de parler seule donc il est vrai que je peux paraitre bavarde. D’après le guide des prénoms de ma mère, mes gouts créatifs, artistiques sont à encourager, ainsi que l'apprentissage des langues étrangères, de la musique ou du chant, effectivement, dans ce domaine, cet ouvrage n’avait pas tort : je suis une artiste, auteure de récits passionnants, parfois passionnés selon ses lecteurs. Une musicienne qui ne le fait pas savoir, une danseuse, une dessinatrice, une photographe. J’adore l’art, l’art me parle. Le talent. Paul Valery disait que le talent sans génie était peu de chose mais que le génie sans talent n’est rien. Où est-ce que je me situe dans cette citation ? J’espère avoir autant de génie que ce que j’ai de talent… C’est pour cela que je me répète les mots de Gustave Flaubert « pour avoir du talent, il faut être convaincu qu’on en possède. ». La littérature française, j’adore ça. Leur poésie, leur philosophie, leur langue tout simplement, j’adore la pratiquer. D’ailleurs, cela me rappelle une histoire avec un jeune français. Nous avons bien pratiqué la langue, au sens propre comme au figuré et parait-il que mon accent est merveilleux, le sien aussi était adorable, quoi de mieux que l’accent français ? Bref ! Peut-être est-il temps que je vous raconte ma vie…
Je suis née à Leicester, en Angleterre, dans un hôpital sorcier le trente novembre mille neuf cent quatre vingt dix, vers six heures du matin, bien que tout ne se soit pas vraiment passé comme prévus (ce que je vous ai dit plus haut), je suis rentrée à la maison deux ou trois jours plus tard. C’est ainsi que cela se déroule dans la majorité des cas, si mes parents avaient sut quelle personne ils avaient accueillit en leur sein. Enfin ! Vers mes trois ans (je faisais déjà de la magie, c’est rigolo non ? Bon, elle était fondamentalement instinctive, des objets qui bougeaient, volaient, d’autres qui s’incendiaient lorsque je n’étais pas spécialement contente, mais parait-il que je suis précoce. J’ai su parler, marcher, lire et écrire très tôt selon mon pédagogue. Mais peut-être a-t-il menti ? J’ai commencé jeune, très jeune, le piano, en soit, je ne comprenais pas grand-chose et trouvais cela plus qu’inutile, aujourd’hui, je me félicite d’avoir continué, car maintenant, j’adore jouer, ça a un petit côté sexy non négligeable. Bref, je venais d’avoir quatre ans lorsque j’ai déménagé pour Castle Road, à Oxford, non loin de Londres, pour rapprocher mon père de sa maitresse surement, à moins que ce fut ma mère sa maitresse et qu’ainsi je me sois trompée niveau chronologie un peu plus haut. Quoiqu’il en soit, on s’en moque comme de l’an quarante ! Bref ! Lorsque j’avais environ six ans, nous avons du accueillir dans notre famille Velvet Octhavie Cartwright, l’autre fille de mon père. Les années ont passés, nous nous sommes rapprochées, même si elle ne parle pas beaucoup, contrairement à moi. Je lui ai laissée ma chambre vers huit ou neuf ans pour aller m’exiler sous les toits, plus proche des étoiles, plus proche de l’univers, bien qu’elle ait toujours le droit de venir, elle, contrairement à mes parents. Le temps à passer, bien entendu, inéluctable, le temps n’attend personne, le temps file, le temps court et ne se retourne pas. Bientôt, ce fut le moment des grands adieux pour ma sœur et moi : Poudlard. Nous avons fini dans la même maison, nous sommes si semblables et si différentes à la fois… il faut dire que j’avais toute les caractéristiques d’une Serdaigle : calme, posée, réfléchie, artiste, gentille, patiente, travailleuse, assidue. « Oui monsieur », « bien madame », « avez-vous besoin d’aide ? ». J’étais comme ça, sans grande personnalité, fade, comme tant d’autres filles de mon âge. Mais c’est là que j’ai rencontré Noa. Miss Dashwood, mon être complémentaire, ma meilleure amie et ma pire ennemie en même temps, nous nous aimons mais n’avons aucun mal à nous dire tout ce que nous ressentons, du plus gentil au plus vulgaire, c’est comme ça que ça marche entre nous, cependant, au fil des années, certaines choses se sont mises en place, certains interdits : je ne parle pas de sa sœur, elle ne parle pas de mes parents. Point.
Je suis née à Leicester, en Angleterre, dans un hôpital sorcier le trente novembre mille neuf cent quatre vingt dix, vers six heures du matin, bien que tout ne se soit pas vraiment passé comme prévus (ce que je vous ai dit plus haut), je suis rentrée à la maison deux ou trois jours plus tard. C’est ainsi que cela se déroule dans la majorité des cas, si mes parents avaient sut quelle personne ils avaient accueillit en leur sein. Enfin ! Vers mes trois ans (je faisais déjà de la magie, c’est rigolo non ? Bon, elle était fondamentalement instinctive, des objets qui bougeaient, volaient, d’autres qui s’incendiaient lorsque je n’étais pas spécialement contente, mais parait-il que je suis précoce. J’ai su parler, marcher, lire et écrire très tôt selon mon pédagogue. Mais peut-être a-t-il menti ? J’ai commencé jeune, très jeune, le piano, en soit, je ne comprenais pas grand-chose et trouvais cela plus qu’inutile, aujourd’hui, je me félicite d’avoir continué, car maintenant, j’adore jouer, ça a un petit côté sexy non négligeable. Bref, je venais d’avoir quatre ans lorsque j’ai déménagé pour Castle Road, à Oxford, non loin de Londres, pour rapprocher mon père de sa maitresse surement, à moins que ce fut ma mère sa maitresse et qu’ainsi je me sois trompée niveau chronologie un peu plus haut. Quoiqu’il en soit, on s’en moque comme de l’an quarante ! Bref ! Lorsque j’avais environ six ans, nous avons du accueillir dans notre famille Velvet Octhavie Cartwright, l’autre fille de mon père. Les années ont passés, nous nous sommes rapprochées, même si elle ne parle pas beaucoup, contrairement à moi. Je lui ai laissée ma chambre vers huit ou neuf ans pour aller m’exiler sous les toits, plus proche des étoiles, plus proche de l’univers, bien qu’elle ait toujours le droit de venir, elle, contrairement à mes parents. Le temps à passer, bien entendu, inéluctable, le temps n’attend personne, le temps file, le temps court et ne se retourne pas. Bientôt, ce fut le moment des grands adieux pour ma sœur et moi : Poudlard. Nous avons fini dans la même maison, nous sommes si semblables et si différentes à la fois… il faut dire que j’avais toute les caractéristiques d’une Serdaigle : calme, posée, réfléchie, artiste, gentille, patiente, travailleuse, assidue. « Oui monsieur », « bien madame », « avez-vous besoin d’aide ? ». J’étais comme ça, sans grande personnalité, fade, comme tant d’autres filles de mon âge. Mais c’est là que j’ai rencontré Noa. Miss Dashwood, mon être complémentaire, ma meilleure amie et ma pire ennemie en même temps, nous nous aimons mais n’avons aucun mal à nous dire tout ce que nous ressentons, du plus gentil au plus vulgaire, c’est comme ça que ça marche entre nous, cependant, au fil des années, certaines choses se sont mises en place, certains interdits : je ne parle pas de sa sœur, elle ne parle pas de mes parents. Point.
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Re: Maxxie ; guns need victims.
Sam 30 Jan 2010 - 20:37
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Fucked, forlorn, frozen, beneath the summer.
© fox
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Je ramenais le drap sur mon corps d’adolescente dénudée, le sourire aux lèvres, mon esprit vagabondant, un peu naïvement, comme une jeune femme qui croit que l’amour est immortel lorsque l’on a eu la chance de le connaitre. « Heath… ». Il était celui que j’avais toujours rêvé d’avoir, malgré le fait que je n’ai que seize : un sorcier bien entendu, un Gryffondor, charmant, beau, courageux, intelligent. L’homme parfait. Je me retournais pour pouvoir me nicher dans ses bras, rien que pour sentir son odeur, ses bras qui me serraient contre lui. J’avais passé la plus belle nuit de ma vie, j’avais découvert l’amour physique avec un bel apollon de dernière année à Poudlard, tout comme moi. Nous étions ensembles depuis la fin de l’année précédente. J’aurais donné ma vie pour lui, me serait coupé les veines, aurait fuit le monde, aurait renoncé à la magie. J’aurais tout fait pour lui, tous les sacrifices, tout ce qu’il aurait pu me demander. Je l’aurais fait pour lui. J’aurais décroché la lune, oui, j’aurais décroché les étoiles pour lui. Ma peau pâle tranchait avec son teint halé alors que nous nous étreignissions. Mes cheveux, à l’époque roux semblaient s’enflammer à son contact. Je déposais un baiser sur son torse chaud avant de me resserrer un peu plus contre lui, alors qu’il m’enlaçait plus fortement encore. Je m’endormis alors que ne le souhaitais pas. Morphée m’arracha de cette conscience d’un moment parfait. Une conscience si rare lorsque l’on vit un moment comme celui là. Je ne voulais pas m’endormir, je voulais encore profiter de sa présence, de son étreinte, de son odeur, de sa chaleur, de son corps contre le mien, mais petit à petit, je perdais tout de même pied et sombrais dans un sommeil profond. Ce fut les rayons du sommeil s’infiltrant dans les stores de la petite chambre d’un hôtel du chemin de traverse, où nous nous trouvions. Je me retournais et voyais Heathcliff se rhabiller de manière civile, je me redressais « il n’est que six heures, vient te recoucher… », Je me levais, m’entourant du drap pour couvrir une nudité qu’il avait eu largement le temps d’explorer la nuit précédente, j’allais à sa rencontre, il m’embrassa tendrement avant de me dire « Maxxie, je me suis bien amusé, s’est fini. » Sous le choc, je ne comprenais pas vraiment, je me mordis la lèvre inférieure, je détournais le regard pour ne pas qu’il voit que j’avais les larmes aux bords des yeux. « Mais je t’aime Heath. Et… Et… Tu m’as dit que tu m’aimais aussi, tu me le répétais tout le temps. Tu… ». « Tu es jeune et naïve, tu attaches trop d’importance aux mots. Je t’aime n’est qu’une phrase parmi tant d’autres, si tu savais à combien de filles je l’ai dit cette année. » Je suffoquais, je ne pouvais pas comprendre ce qu’il me disait, je ne le voulais pas. Non. Comment avait-il pu abuser de moi de la sorte ? Me faire croire qu’il m’aimait… Simplement pour me mettre dans son lit ?! Quel enfoiré ! Des tonnes de noms d’oiseaux me parcouraient l’esprit mais aucun ne voulait franchir le seuil de mes lèvres, laissant l’air s’imprégner d’un silence que rien ne semblaient pouvoir ébrécher. Je me sentais trahie. Je le trouvais si parfait. Comment avais-je pu continuer à espérer que nous continuerions à nous aimer ainsi, comme cette nuit. « Tout de même, tu t’es avérée très douée pour une débutante, cela m’a étonné. » Puis il est parti, me laissant seule, dans une pièce qui était devenue subitement froide et isolée, malgré le fait qu’elle se situe dans une rue si fréquentée…
Je partais me lavais, m’habiller, puis, sans vraiment savoir pourquoi, en quittant la chambre, je m’arrêtais devant un vieux secrétaire : je sortais une feuille de parchemin clair, une longue plume d’oie blanche, ouvrait l’encrier qui était posé là. Mon regard parti vagabonder, au delà de l’horizon, par la fenêtre embuée par la chaleur qui régnait, malgré le froid que je ressentais. A l’intérieur. Je regardais les gens marcher, les enfants sautiller ; j’entendais les personnes accouder au bar rire et chanter. Et j’étais seule, incroyablement seule. « Velvet, les hommes sont tous des ordures, même le plus parfait ne s’intéressera toujours qu’à ce qu’il pourrait te faire si tu le laisses te toucher. Les hommes sont des porcs ne méritants pas notre intérêt. Ne tombe jamais amoureuse ma belle, joue avec eux, profite de ton statut de femme, ils ne méritent pas plus, trainent les dans la boue et éprouves-en du plaisir. Dis seulement aux parents que je reviendrais une ou deux semaines avant la rentrée, au pire, Shakespeare saura où me trouver. Je viendrais chercher Baudelaire, vu qu’ils le détestent, ces triples idiots. Prends soin de toi. Maxxie. ». Mentalement, je suppliais ma chouette d’arriver, je ne sais pas pourquoi, mais c’est comme ça, entre nous. Une sorte de lien que rien ne peut détruire, un lien psychique. Je la comprends, elle me comprend. Shakespeare. C’est son nom. Je la voyais d’ailleurs arriver dans un tourbillon de plumes noires de geai. Elle vint se mettre, par de petits pas imperceptibles, sur le bureau, me saluant du hululement joyeux, avant de poser de côté sa tête, comme pour m’interroger, je lui dis que ce n’était rien d’une légère caresse sur la tête. Je cachetais enfin la lettre avant de la mettre dans le bec de mon animal de compagnie, je lui murmurais de l’amener à ma sœur et que ni ma mère, ni notre père ne devait la voir. Et elle disparu. Je me retrouvais seule. Rapidement, je prenais le Magicobus pour Oxford, en arrivant, la maison était vide, je savais que ma sœur était partie, surement pour chercher des cigarettes, elle aimait avoir des réserves, d’ailleurs, je prenais un paquet que je jetais négligemment dans mon sac, puis appelait Baudelaire. Un chat roux tigré arriva à pas feutrés, ronronnant à l’entente de son nom, jusqu’à venir se frotter sur mes jambes, emprunt d’un contentement que rien n’aurait pu égaler. « Mon amour, nous allons visiter la France. Ton nom vient de là-bas, tu vas voir mon cœur, on va aimer Paris, et toutes les merveilleuses villes françaises que nous traverserons. ». Des larmes perlèrent dans mes yeux, et roulèrent le long de mes joues, après l’incompréhension, la colère, je cherchais à fuir ce monde dans lequel j’avais était maltraitée mentalement, par celui que j’aimais. Comme si je suivais les étapes du deuil, car oui, on pouvait comparer ces deux cas. J’allais dans ma chambre, sous les toits pour faire ma valise. Je chassais tout ce qui pouvait faire croire que j’étais une sorcière, prenais des affaires moldus : jean, robes, et autres tenues civiles, quelques livres, de la musique. Etape une, le choc. Etape deux, le déni. Etape trois, la colère. Etape quatre, la tristesse ; celle-ci, je l’avais vécue dans le bus, où j’avais énormément pleuré, j’avais beaucoup parlé aussi, j’avais connu un état de désespérance avancée. Un abattement, une asthénie forte, après tout, c’était la première fois que cela m’arrivait. Je me demandais « pourquoi moi ? » alors que je savais pertinemment qu’il l’avait fait, à d’autres filles avant moi. Mais je n’étais pas comme les autres filles ! Je valais mieux ! De part ma maison tout d’abord, l’intelligence, la force, l’assiduité, j’avais des capacités intellectuelles fortes ! Mon physique également était avantageux : certes, je ne suis pas très grande avec mes un mètre soixante cinq mais j’ai une taille fine, des formes là où il faut, de longs cheveux roux, une peau semblable à de la porcelaine. Il restait à mon âme à achever encore trois étapes avant de pouvoir recommencer à vivre : la résignation, l’acceptation et enfin, la reconstruction.
Paris, Juillet 2006. Je marchais sur les Champs Elysées, flânant de boutiques en boutiques, achetant ci et là des vêtements, chaussures ou même CDs dans une célèbre boutique marquant l’un des coins des multiples carrefours de cette si célèbre rue, mais si vous savez, même si vous êtes sorcier vous savez, il y a même des avions de cette marque, et un opérateur téléphonique, ça commence par un V... Marchant avec élégance et distinction, comme à mon habitude, une cigarette à la main, je m’arrêtais avant de traverser la route, voulant aller regarder ce que Louis Vuitton avait à me proposer, j’avais dépensé tellement de Gallions, enfin, ici, la monnaie, c’était l’Euro mais en revendant mes deniers au prix de l’or (ou quelque chose comme ça), je m’étais faite une petite richesse. Un jeune homme d’environ vingt ans se tenait là, lui aussi patientant au feu rouge, les cheveux blonds cendrés, de magnifiques yeux bleus. Je le surpris en train de me contempler avec insistance, profitant de son regard, lorsque les piétons purent marcher, je le fis profiter de mon déhanché. Je ne pensais pas le recroiser en marchant sur l’esplanade de la Défense, encore moins dans les couloirs du Louvres ni même sous la Tour Eiffel. Nous avons fini par entamer la conversation, parlant de beaucoup de choses, il trouvait mon français « charmant » car même si j’avais beaucoup de vocabulaire, on ne peut pas dire que l’accent anglais soit facile à perdre. Il m’a fait découvrir la « BNF », un joyau littéraire où des centaines de livres n’attendaient que moi. Il m’a aussi fait découvrir un chef-d’œuvre moldu : « Star Wars », nous avons passés toute une journée dans son appartement à regarder ces films, tous, les uns à la suite des autres. J’étais obnubilée par cette histoire si belle et triste, trouvant des tonnes de liens entre cela et la magie. Après tout, nous aussi devions rester dans le côté clair de la force, et j’avais remarqué que l’amour nous faisait faire des conneries. Avec ce jeune français, j’ai également bien pratiqué la langue,… dans tous les sens du terme. Durant le reste de mes « vacances » prises sur un coup de tête et sans aucun consentement de la part de mes parents, nous avons vécu ensemble, j’ai alors compris que, peut-être, nous pouvions être heureux avec quelqu’un qui n’est ni de la même origine que vous (France vs Angleterre) ni de la même espèce (sorcier vs moldu), mais cet homme était intéressant, vraiment très intéressant. Et intéressé. Il était bavard mais me laissait parler, il m’a fait visiter les endroits de la ville que les touristes mettent de côté, ce qui est un tort, nous avons eu une vie de parfait petit couple. Le soleil se leva sur Paris, le vingt-cinq aout, je me redressais, ramenant les draps à moi, comme tous les matins, et je le vis arriver, un large sourire au visage, portant un plateau comprenant un jus d’orange frais, un bol et des viennoiseries. « Mattias. Je vais devoir partir, rentrer. » Il s’assit à côté de moi, et d’un geste tendre, remis une mèche de cheveux derrière mon oreille, « Je le sais mon amour. C’est le principe des histoires de vacances. », J’ouvris mes bras pour l’accueillir, en lui disant que je n’avais pas envie de le quitter. « Tu vas rejoindre ton monde, c’est mieux comme ça, tu m’accueilleras lorsque je viendrais en Angleterre. » « J’espère le pouvoir » … A la gare, il me quitta avec un baiser fougueux, jamais je ne l’oublierais.
Je partais me lavais, m’habiller, puis, sans vraiment savoir pourquoi, en quittant la chambre, je m’arrêtais devant un vieux secrétaire : je sortais une feuille de parchemin clair, une longue plume d’oie blanche, ouvrait l’encrier qui était posé là. Mon regard parti vagabonder, au delà de l’horizon, par la fenêtre embuée par la chaleur qui régnait, malgré le froid que je ressentais. A l’intérieur. Je regardais les gens marcher, les enfants sautiller ; j’entendais les personnes accouder au bar rire et chanter. Et j’étais seule, incroyablement seule. « Velvet, les hommes sont tous des ordures, même le plus parfait ne s’intéressera toujours qu’à ce qu’il pourrait te faire si tu le laisses te toucher. Les hommes sont des porcs ne méritants pas notre intérêt. Ne tombe jamais amoureuse ma belle, joue avec eux, profite de ton statut de femme, ils ne méritent pas plus, trainent les dans la boue et éprouves-en du plaisir. Dis seulement aux parents que je reviendrais une ou deux semaines avant la rentrée, au pire, Shakespeare saura où me trouver. Je viendrais chercher Baudelaire, vu qu’ils le détestent, ces triples idiots. Prends soin de toi. Maxxie. ». Mentalement, je suppliais ma chouette d’arriver, je ne sais pas pourquoi, mais c’est comme ça, entre nous. Une sorte de lien que rien ne peut détruire, un lien psychique. Je la comprends, elle me comprend. Shakespeare. C’est son nom. Je la voyais d’ailleurs arriver dans un tourbillon de plumes noires de geai. Elle vint se mettre, par de petits pas imperceptibles, sur le bureau, me saluant du hululement joyeux, avant de poser de côté sa tête, comme pour m’interroger, je lui dis que ce n’était rien d’une légère caresse sur la tête. Je cachetais enfin la lettre avant de la mettre dans le bec de mon animal de compagnie, je lui murmurais de l’amener à ma sœur et que ni ma mère, ni notre père ne devait la voir. Et elle disparu. Je me retrouvais seule. Rapidement, je prenais le Magicobus pour Oxford, en arrivant, la maison était vide, je savais que ma sœur était partie, surement pour chercher des cigarettes, elle aimait avoir des réserves, d’ailleurs, je prenais un paquet que je jetais négligemment dans mon sac, puis appelait Baudelaire. Un chat roux tigré arriva à pas feutrés, ronronnant à l’entente de son nom, jusqu’à venir se frotter sur mes jambes, emprunt d’un contentement que rien n’aurait pu égaler. « Mon amour, nous allons visiter la France. Ton nom vient de là-bas, tu vas voir mon cœur, on va aimer Paris, et toutes les merveilleuses villes françaises que nous traverserons. ». Des larmes perlèrent dans mes yeux, et roulèrent le long de mes joues, après l’incompréhension, la colère, je cherchais à fuir ce monde dans lequel j’avais était maltraitée mentalement, par celui que j’aimais. Comme si je suivais les étapes du deuil, car oui, on pouvait comparer ces deux cas. J’allais dans ma chambre, sous les toits pour faire ma valise. Je chassais tout ce qui pouvait faire croire que j’étais une sorcière, prenais des affaires moldus : jean, robes, et autres tenues civiles, quelques livres, de la musique. Etape une, le choc. Etape deux, le déni. Etape trois, la colère. Etape quatre, la tristesse ; celle-ci, je l’avais vécue dans le bus, où j’avais énormément pleuré, j’avais beaucoup parlé aussi, j’avais connu un état de désespérance avancée. Un abattement, une asthénie forte, après tout, c’était la première fois que cela m’arrivait. Je me demandais « pourquoi moi ? » alors que je savais pertinemment qu’il l’avait fait, à d’autres filles avant moi. Mais je n’étais pas comme les autres filles ! Je valais mieux ! De part ma maison tout d’abord, l’intelligence, la force, l’assiduité, j’avais des capacités intellectuelles fortes ! Mon physique également était avantageux : certes, je ne suis pas très grande avec mes un mètre soixante cinq mais j’ai une taille fine, des formes là où il faut, de longs cheveux roux, une peau semblable à de la porcelaine. Il restait à mon âme à achever encore trois étapes avant de pouvoir recommencer à vivre : la résignation, l’acceptation et enfin, la reconstruction.
Paris, Juillet 2006. Je marchais sur les Champs Elysées, flânant de boutiques en boutiques, achetant ci et là des vêtements, chaussures ou même CDs dans une célèbre boutique marquant l’un des coins des multiples carrefours de cette si célèbre rue, mais si vous savez, même si vous êtes sorcier vous savez, il y a même des avions de cette marque, et un opérateur téléphonique, ça commence par un V... Marchant avec élégance et distinction, comme à mon habitude, une cigarette à la main, je m’arrêtais avant de traverser la route, voulant aller regarder ce que Louis Vuitton avait à me proposer, j’avais dépensé tellement de Gallions, enfin, ici, la monnaie, c’était l’Euro mais en revendant mes deniers au prix de l’or (ou quelque chose comme ça), je m’étais faite une petite richesse. Un jeune homme d’environ vingt ans se tenait là, lui aussi patientant au feu rouge, les cheveux blonds cendrés, de magnifiques yeux bleus. Je le surpris en train de me contempler avec insistance, profitant de son regard, lorsque les piétons purent marcher, je le fis profiter de mon déhanché. Je ne pensais pas le recroiser en marchant sur l’esplanade de la Défense, encore moins dans les couloirs du Louvres ni même sous la Tour Eiffel. Nous avons fini par entamer la conversation, parlant de beaucoup de choses, il trouvait mon français « charmant » car même si j’avais beaucoup de vocabulaire, on ne peut pas dire que l’accent anglais soit facile à perdre. Il m’a fait découvrir la « BNF », un joyau littéraire où des centaines de livres n’attendaient que moi. Il m’a aussi fait découvrir un chef-d’œuvre moldu : « Star Wars », nous avons passés toute une journée dans son appartement à regarder ces films, tous, les uns à la suite des autres. J’étais obnubilée par cette histoire si belle et triste, trouvant des tonnes de liens entre cela et la magie. Après tout, nous aussi devions rester dans le côté clair de la force, et j’avais remarqué que l’amour nous faisait faire des conneries. Avec ce jeune français, j’ai également bien pratiqué la langue,… dans tous les sens du terme. Durant le reste de mes « vacances » prises sur un coup de tête et sans aucun consentement de la part de mes parents, nous avons vécu ensemble, j’ai alors compris que, peut-être, nous pouvions être heureux avec quelqu’un qui n’est ni de la même origine que vous (France vs Angleterre) ni de la même espèce (sorcier vs moldu), mais cet homme était intéressant, vraiment très intéressant. Et intéressé. Il était bavard mais me laissait parler, il m’a fait visiter les endroits de la ville que les touristes mettent de côté, ce qui est un tort, nous avons eu une vie de parfait petit couple. Le soleil se leva sur Paris, le vingt-cinq aout, je me redressais, ramenant les draps à moi, comme tous les matins, et je le vis arriver, un large sourire au visage, portant un plateau comprenant un jus d’orange frais, un bol et des viennoiseries. « Mattias. Je vais devoir partir, rentrer. » Il s’assit à côté de moi, et d’un geste tendre, remis une mèche de cheveux derrière mon oreille, « Je le sais mon amour. C’est le principe des histoires de vacances. », J’ouvris mes bras pour l’accueillir, en lui disant que je n’avais pas envie de le quitter. « Tu vas rejoindre ton monde, c’est mieux comme ça, tu m’accueilleras lorsque je viendrais en Angleterre. » « J’espère le pouvoir » … A la gare, il me quitta avec un baiser fougueux, jamais je ne l’oublierais.
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- InvitéInvité
Re: Maxxie ; guns need victims.
Sam 30 Jan 2010 - 20:38
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They will not control us, We will be victorious
© Fox
© Fox
Hungcalf. J'y suis entrée en deux-mille sept si mes souvenirs sont bons, j'y suis rentrée à la fin de ma seizième année : cinq années de poursuite scolaire après Poudlard, l'école supérieure de magie. Ça claque non ? Bref, au départ, je voulais y aller pour étudier principalement, mais je me dis que cela va également m'aider à m'amuser, après tout, nous avons notre majorité, nous nous amusons désormais, nous sommes les capitaines de nos destins, alors si nous voulons les foutre en l'air, allons-y... Après tout, c'est nous qui allons empâter de nos conneries. Mais il ne faut pas croire que par le simple fait que je sois si aigre en parlant de cette école m'empêche de participer aux beuveries, et à la débauche, bien entendu : j'aime partager ma couche avec des hommes, je ne le cache pas, on le sait, on m'aime ou l'on me déteste, je m'en contre-fiche. « Sex, drugs and Rock’nd’Roll » est pour moi plus qu’une simple phrase révolutionnaire, c’est une philosophie que j’ai décidé de suivre et d’appliquer à la lettre. La débauche, il faut s’y appliquer, il n’y a pas de bonne profusion sans philosophie et application. Quitte à aller en Enfer, autant se damner avec application n’est-ce pas ? Selon Baudelaire, « La Débauche et la Mort sont deux aimables filles, Prodigues de baisers et riches de santé, Dont le flanc toujours vierge et drapé de guenilles Sous l'éternel labeur n'a jamais enfanté. », n’est-ce pas magnifique ? Bon, mon flanc n’est pas particulièrement resté vierge au contraire, mais j’adore cette phrase, ces magnifiques vers. Nos robes ont été mises au placard, les tenues civiles ont été sorties, amusement, délires en tous genres, rires, retrouvailles, dans un somptueux château de Norwich. Le premier soir, une soirée était déjà organisée, je retrouvais une Noa qui me trouvait changée et beaucoup plus « à son gout » niveau festivité, même si je n’avais jamais été en reste sur l’alcool, les clopes et la drogue, mais je passais à l’as lorsque les réjouissances se transformaient en orgies. Pas cette fois. Où je finissais dans les bras d’un jeune homme brun, qui allait devenir, quelques temps plus tard (plusieurs mois plus tard à vrai dire), un passe temps assez régulier, et partagé avec tant d’autres… Mais en même temps, nous le savions, le couple libertin par excellence : Maxxie Lilith Ashtray et Lust Blake Whitaker, deux êtres autant portés sur le sexe l’un que l’autre, sans grande considération pour autrui mais aimant être en sa compagnie, selon ses mots « pas tout à fait amis, mais complices, entre nous ce n'est que jeux sensuels et dangereux... Pourquoi dangereux ? Parce qu’il provoquait une sorte de dépendance mutuelle, bien sûr, malgré mes airs de Marie-Couche-Toi-Là, je n’en reste pas moins une jeune femme et je m’avérais quelque peu jalouse, lorsque j’étais seule seulement ! Pas question que je m’abaisse à dire qu’une personne me moque où quoique ce soit. En fait, je crois que je le voyais surtout comme un jeu, my yummy baby. Mais Encore maintenant, nous arrivons à sortir dans les mêmes soirées, mais depuis qu’il est avec Ekstasy, une prof et Dieu seul sait qui encore, nous avons décidé de tout arrêter, en soit, tant que nous nous retrouvons pour délirer, s’amuser, se prendre une cuite, mais plus de sexe, fini. Tant pis, chaque année, il y a tant de jeunes à dévergonder, en plus de ceux des années précédentes… L’école est un terrain de chasse parfaitement exquis.
« Mademoiselle Ashtray, votre insolence n’a d’égal que votre intelligence. Vous avez votre devoir j’espère ? » « Bien entendu monsieur, celui de la semaine prochaine également » « Bien ! Si vous ne répondiez pas a tort et à travers, vous seriez un modèle pour tous. » Je sourie, à vrai dire, une insomnie m’avait poussée à travailler, rien de plus, et je m’en voyais félicitée. Un comble non ? Il nous avait donné les devoirs depuis déjà plusieurs semaines, mais je l’avais mis de côté, jusqu’au dernier moment. Comme d’habitude. En quittant le cours, je tombais sur un jeune homme assez séduisant « tu as un cours là ? » demandais-je. « Non. Et toi ? » Tenta-t-il de répliquer, me rendant lasse, je l’amenais dans une salle de classe vide afin de laisser parfaire à mes pulsions et envies sexuelles. Ce fut un échec, fiasco total, le jeune homme ne semblait pas savoir se servir de ce qu’il avait dans le pantalon, il n’eut même pas le temps d’essayer d’aller plus loin que je quittais la salle « Tu es Lufkin, je n’en parlerais pas. Estimes-toi heureux ». Arrivée dans la cours, j’allumais une cigarette que je portais à mes lèvres pâles, assise sur un socle en pierres, grises et froides comme mon cœur depuis que j’avais quitté Paris. Une fumée blanche s’échappa de ma bouche alors que je soufflais doucement, je regardais les gens. J’adorais cela. Observer. C’était l’un de mes passe-temps préféré, regarder la foule agir, gesticuler, parler, rire. Observer les gens, c’est comprendre qui ils sont, réellement, à l’intérieur. Selon Confusius, on peut connaitre la vertu d’un homme en observant ses défauts, mais ce n’est pas tout, l’examen physique amène des conclusions concrètes et bien souvent pertinentes sur le caractère psychique de ces mêmes personnes. Je fumais tranquillement, entretenant un probable futur cancer des poumons, après tout, nous mourrons tous, n’est-ce pas ? Dans ma main droite, une lettre apportée par Shakespeare, était toujours scellée. Elle venait de mes parents, et je savais que ma sœur n’avait pas reçu la même. Je regardais le Lufkin passer devant moi, de mon regard clair et profond. Je me mordis la lèvre inférieure en retournant mon attention sur le bout de papier. « Maxyne » Arf ! Ça commençait bien… Combien de fois devrais-je répéter que je ne m’appelle plus comme ça ?! « Archibald a parlé avec ton père de ce que tu avais fait avec son fils, comme quoi, il vous aurait surpris. » Pardon ?! Non, non, personne ne m’a jamais surprise en train de faire quoique ce soit, à moins qu’il se soit caché dans le placard de son fils pour prendre un peu de bon temps visuel, car je n’ai vraiment aucun souvenir de cela. Et en plus, je n’avais pas été la seule à m’amuser avec lui, avais-je appris plus tard. Bref, continuons cette lecture passionnante : « Es-tu obligée de foutre ta vie en l’air par une dépravation sans bornes ? » Borne sans S maman, apprends à écrire ! Ça se voit que tu as été engrossée jeune, jalouse de mes études supérieure peut-être, mais il ne faut pas voyons, tu as été promu rédactrice en chef, ce n’est pas rien, c’est même très prestigieux… Et je poursuivais cette lecture pleine de reproches et de sous- entendus sur ma débauche. L’énervement commençait à me prendre, si bien que je prenais « Les Fleurs du Mal », que j’y mettais la lettre, sans ménagement et entamais la lecture d’un de mes poèmes préférés. Un Spleen. Le troisième. « Je suis comme le roi d'un pays pluvieux. Riche, mais impuissant, jeune et pourtant très vieux. … ». Cette poésie, ce sublime poème parle du poids du temps qui passe et qui nous laisse impuissant, et cette esprit glacial que rien ni personne ne peut réchauffer. J’ai parfois l’impression d’être sous l’emprise d’un spleen des temps modernes, déguisés sous la forme connue des artistes maudits. Notre affliction va nous éroder, nous dégrader. Cet affaiblissement veut anéantir le « moi ». Baudelaire explique tellement mes sentiments, boire au Léthé : comment pouvoir oublier sa vie pour connaitre l’ataraxie, le moi poète s’anéanti dans l’oubli, nous devenons une ombre dans l’Enfer, parmi tant d’autres, perdu, seul. Dans le spleen précédent, le poète est encore libre, plus maintenant. Même la débauche n’est plus contrôlable, il tente encore de voir sa sensualité réveillée. En vain. Le spleen à fait son œuvre. C’est pour ça que je déteste ne pas être maitre de moi-même.
Vivre n’est rien de plus que volupté, rires et pensées. C’est s’en rendre compte qui prend du temps, et parfois, on aurait préféré resté dans l’ignorance, car c’est un coup dur qui nous a fait prendre conscience. Je reste droite, malgré le fait que j’ai perdu tout ce qui me qualifiait. Je reste fière même si j’ai été brisée. Je reste telle que j’aurais toujours voulu être, indépendante, artiste, talentueuse, mais avec quelques côtés sombres. Je suis Maxxie Lilith Ashtray, j’ai dix neuf ans et le luxe et la débauche sont ce que je suis. Point final.
« Mademoiselle Ashtray, votre insolence n’a d’égal que votre intelligence. Vous avez votre devoir j’espère ? » « Bien entendu monsieur, celui de la semaine prochaine également » « Bien ! Si vous ne répondiez pas a tort et à travers, vous seriez un modèle pour tous. » Je sourie, à vrai dire, une insomnie m’avait poussée à travailler, rien de plus, et je m’en voyais félicitée. Un comble non ? Il nous avait donné les devoirs depuis déjà plusieurs semaines, mais je l’avais mis de côté, jusqu’au dernier moment. Comme d’habitude. En quittant le cours, je tombais sur un jeune homme assez séduisant « tu as un cours là ? » demandais-je. « Non. Et toi ? » Tenta-t-il de répliquer, me rendant lasse, je l’amenais dans une salle de classe vide afin de laisser parfaire à mes pulsions et envies sexuelles. Ce fut un échec, fiasco total, le jeune homme ne semblait pas savoir se servir de ce qu’il avait dans le pantalon, il n’eut même pas le temps d’essayer d’aller plus loin que je quittais la salle « Tu es Lufkin, je n’en parlerais pas. Estimes-toi heureux ». Arrivée dans la cours, j’allumais une cigarette que je portais à mes lèvres pâles, assise sur un socle en pierres, grises et froides comme mon cœur depuis que j’avais quitté Paris. Une fumée blanche s’échappa de ma bouche alors que je soufflais doucement, je regardais les gens. J’adorais cela. Observer. C’était l’un de mes passe-temps préféré, regarder la foule agir, gesticuler, parler, rire. Observer les gens, c’est comprendre qui ils sont, réellement, à l’intérieur. Selon Confusius, on peut connaitre la vertu d’un homme en observant ses défauts, mais ce n’est pas tout, l’examen physique amène des conclusions concrètes et bien souvent pertinentes sur le caractère psychique de ces mêmes personnes. Je fumais tranquillement, entretenant un probable futur cancer des poumons, après tout, nous mourrons tous, n’est-ce pas ? Dans ma main droite, une lettre apportée par Shakespeare, était toujours scellée. Elle venait de mes parents, et je savais que ma sœur n’avait pas reçu la même. Je regardais le Lufkin passer devant moi, de mon regard clair et profond. Je me mordis la lèvre inférieure en retournant mon attention sur le bout de papier. « Maxyne » Arf ! Ça commençait bien… Combien de fois devrais-je répéter que je ne m’appelle plus comme ça ?! « Archibald a parlé avec ton père de ce que tu avais fait avec son fils, comme quoi, il vous aurait surpris. » Pardon ?! Non, non, personne ne m’a jamais surprise en train de faire quoique ce soit, à moins qu’il se soit caché dans le placard de son fils pour prendre un peu de bon temps visuel, car je n’ai vraiment aucun souvenir de cela. Et en plus, je n’avais pas été la seule à m’amuser avec lui, avais-je appris plus tard. Bref, continuons cette lecture passionnante : « Es-tu obligée de foutre ta vie en l’air par une dépravation sans bornes ? » Borne sans S maman, apprends à écrire ! Ça se voit que tu as été engrossée jeune, jalouse de mes études supérieure peut-être, mais il ne faut pas voyons, tu as été promu rédactrice en chef, ce n’est pas rien, c’est même très prestigieux… Et je poursuivais cette lecture pleine de reproches et de sous- entendus sur ma débauche. L’énervement commençait à me prendre, si bien que je prenais « Les Fleurs du Mal », que j’y mettais la lettre, sans ménagement et entamais la lecture d’un de mes poèmes préférés. Un Spleen. Le troisième. « Je suis comme le roi d'un pays pluvieux. Riche, mais impuissant, jeune et pourtant très vieux. … ». Cette poésie, ce sublime poème parle du poids du temps qui passe et qui nous laisse impuissant, et cette esprit glacial que rien ni personne ne peut réchauffer. J’ai parfois l’impression d’être sous l’emprise d’un spleen des temps modernes, déguisés sous la forme connue des artistes maudits. Notre affliction va nous éroder, nous dégrader. Cet affaiblissement veut anéantir le « moi ». Baudelaire explique tellement mes sentiments, boire au Léthé : comment pouvoir oublier sa vie pour connaitre l’ataraxie, le moi poète s’anéanti dans l’oubli, nous devenons une ombre dans l’Enfer, parmi tant d’autres, perdu, seul. Dans le spleen précédent, le poète est encore libre, plus maintenant. Même la débauche n’est plus contrôlable, il tente encore de voir sa sensualité réveillée. En vain. Le spleen à fait son œuvre. C’est pour ça que je déteste ne pas être maitre de moi-même.
Vivre n’est rien de plus que volupté, rires et pensées. C’est s’en rendre compte qui prend du temps, et parfois, on aurait préféré resté dans l’ignorance, car c’est un coup dur qui nous a fait prendre conscience. Je reste droite, malgré le fait que j’ai perdu tout ce qui me qualifiait. Je reste fière même si j’ai été brisée. Je reste telle que j’aurais toujours voulu être, indépendante, artiste, talentueuse, mais avec quelques côtés sombres. Je suis Maxxie Lilith Ashtray, j’ai dix neuf ans et le luxe et la débauche sont ce que je suis. Point final.
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- InvitéInvité
Re: Maxxie ; guns need victims.
Sam 30 Jan 2010 - 20:42
Preum's.
EVAAAN :cracrac:
Elle est belle comme un coeur (l)
Bienvenue jolie Maxxie
EVAAAN :cracrac:
Elle est belle comme un coeur (l)
Bienvenue jolie Maxxie
- InvitéInvité
Re: Maxxie ; guns need victims.
Sam 30 Jan 2010 - 20:44
Haan je plussoie Leo (l)
WELCOME ! :D
WELCOME ! :D
- InvitéInvité
Re: Maxxie ; guns need victims.
Sam 30 Jan 2010 - 21:08
Maxxie, ça me fait tout de suite penser à Skins :D Sauf que là, c'est pas le même x)
Bienvenue à Hungcalf bien sur et bonne continuation de fiche
Si t'as des questions, hésite pas \o/
- InvitéInvité
Re: Maxxie ; guns need victims.
Sam 30 Jan 2010 - 21:43
Gaspard (LL) Merci Léo :)
Merci Blodwyn, j'aime bien ton prénom (l), Lust =).
Lunàbhee : J'adooore Skins, et Maxxie est devenu mon surnom officiel, j'l'utilise donc pour la miss :brille:
Merci Blodwyn, j'aime bien ton prénom (l), Lust =).
Lunàbhee : J'adooore Skins, et Maxxie est devenu mon surnom officiel, j'l'utilise donc pour la miss :brille:
- InvitéInvité
Re: Maxxie ; guns need victims.
Sam 30 Jan 2010 - 21:47
Vive Maxxie :baveuh: J'ai toujours dit que les plus beaux mecs étaient gays, c'est trop injuste >< Enfin :D
Et bon choix d'avatar aussi :)
- InvitéInvité
Re: Maxxie ; guns need victims.
Sam 30 Jan 2010 - 21:49
Ah non mais ça ! Carrement.
Même dans la vraie vie en plus....
:deprime:
J'vais commencer now ^.^
Même dans la vraie vie en plus....
:deprime:
J'vais commencer now ^.^
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5516
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11068
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Maxxie ; guns need victims.
Sam 30 Jan 2010 - 22:02
Bienvenue ! :D
- InvitéInvité
Re: Maxxie ; guns need victims.
Sam 30 Jan 2010 - 22:27
HHHHHAAAAAAAAAN MAXXIEEE quel pseudo :brille:
quelle merveille
je t'aime déjà :brille:
Tu me gardes un lien belle maxxie
(moi mon surnom officiel c'est Effy, donc entre surnom officiels venu de Skins tu me dois bien ça :D)
Bienvenuuue blondie :brille:
quelle merveille
je t'aime déjà :brille:
Tu me gardes un lien belle maxxie
(moi mon surnom officiel c'est Effy, donc entre surnom officiels venu de Skins tu me dois bien ça :D)
Bienvenuuue blondie :brille:
- InvitéInvité
Re: Maxxie ; guns need victims.
Sam 30 Jan 2010 - 22:38
Merci Lilou :go-heart:
Effiiiie. Merci merci (L) Bien sur ! Je serais super contente d'avoir un lien avec toi, chère partageuse de surnoms officiels tirés de Skins :) :luv:
Effiiiie. Merci merci (L) Bien sur ! Je serais super contente d'avoir un lien avec toi, chère partageuse de surnoms officiels tirés de Skins :) :luv:
- InvitéInvité
Re: Maxxie ; guns need victims.
Sam 30 Jan 2010 - 23:11
OWWWWWWW ERW (l)(l)(l)(l)
Il nous faut ABSOLUMENT un lien (a)
Bienvenue :luv:
Il nous faut ABSOLUMENT un lien (a)
Bienvenue :luv:
- InvitéInvité
Re: Maxxie ; guns need victims.
Sam 30 Jan 2010 - 23:25
Bienvenue & bonne chance pour la suite de ta fiche ;).
Si jamais tu as la moindre question, n'hésites pas hein (l).
Si jamais tu as la moindre question, n'hésites pas hein (l).
- InvitéInvité
Re: Maxxie ; guns need victims.
Dim 31 Jan 2010 - 18:21
Matis, bien sûr qu'il nous faut un lien :go-heart: et merci :)
Merci Tyler (l)
Merci Tyler (l)
- InvitéInvité
Re: Maxxie ; guns need victims.
Dim 31 Jan 2010 - 22:42
Evan Rachel Wood (l)
Bienvenue Maxxie ! :canard:
Bienvenue Maxxie ! :canard:
- InvitéInvité
Re: Maxxie ; guns need victims.
Mer 3 Fév 2010 - 12:17
Merci Emy ! Raphaël (l)
FICHE TERMINEE.
Bon, elle est un peu baclée mais je voulais vraiment rp
FICHE TERMINEE.
Bon, elle est un peu baclée mais je voulais vraiment rp
- InvitéInvité
Re: Maxxie ; guns need victims.
Ven 5 Fév 2010 - 13:14
Je suis réellement censé faire un commentaire sur ta fiche ? Non parce que je n'en vois pas l'intérêt ... Certes il y a une ou deux fautes dû sans aucun doute à l'inattention mais, sincèrement, on s'en tape royalement. Elles sont bien négligeables au vu du reste de la fiche qui est ... Parfaite ? Non elle est géniale & je ne vois aucune raison de ne pas te valider sur le champs.
- InvitéInvité
Re: Maxxie ; guns need victims.
Ven 5 Fév 2010 - 13:35
Yahoo !! Je suis validée :Haaaaaa:
J'vais aller faire ma fiche de liens (l)
J'vais aller faire ma fiche de liens (l)