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Re: (! shalia) i'll show mine if you show yours - hot
Jeu 14 Mar 2019 - 12:35
Les aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer.
shalia
Elle changeait la poupée et même si elle ne s’en apercevait pas réellement, la fleur était plus apte à s’ouvrir et faire des efforts. Un sourire aux lèvres, Laelia parlait de son cher fiancé sans animosité, elle était passée au-dessus de cela. À leur rythme, ils se dirigeaient vers l’atelier où le serpent dégainait deux maillots. Il y avait de la malice dans ses iris et elle se faisait désirer la sorcière, s’évaporant comme de la fumée de la pièce, s’éloignant de ce corps qu’elle pourrait bouffer une seconde fois, de cette attraction maudite. Sa remarque l’avait fait rire dans le couloir jusqu’à la piscine où elle se changeait avant de se plonger dans le jacuzzi. Si au départ, les jets lui faisaient plus mal qu’autre chose, Lae se détendait petit à petit jusqu’à ce que Sasha la rejoigne. « Si tu pars. » Sourire en coin, sa main passait contre sa nuque et la massait un instant avant de se baisser pour laisser la machine s’occuper de ses zones tendues.
L’évocation d’Ethan lui faisait un petit pincement au cœur, signe de la culpabilité qui l’envahissait. Des fois, elle détestait ce qu’elle avait été et même si Laelia ne pouvait pas changer entièrement, la violence était plus ou moins derrière, (jusqu’à la prochaine rechute). « Sauf que... Je devrai en épouser un autre. » Inconsciemment, la Trejo s’était mise dans une merde sans nom mais que pouvait-elle faire face à un homme qui la faisait trembler ? Rien, absolument rien. Sa jambe glissait entre celles de Sasha, d’abord pour le taquiner jusqu’à ce que le brun caresse sa peau dorée. Elle aimait ça, Laelia, les petites caresses délicates contre sa peau. Ses prunelles claires se posaient sur son visage, se laissant amplement faire. « J’aimerai bien. » Le serpent fermait un instant les paupières. « Que tu reviennes. »
Quelques secondes passaient et l’étudiante glissait à sa gauche, ses doigts cherchaient les siens sous l’eau jusqu’à caresser lentement l’intérieur de sa paume libre. L’orchidée le fixait, la vapeur détendait d’une manière délicieuse son corps tendu. Les caresses de Sasha ne cessaient pas et cela la faisait sourire malgré elle. Entre eux il y avait toujours eu une tendresse inouïe, sans limites. Sa jambe galbée glissait contre celles du dixième année, nouant par moments leurs doigts ensemble. « Ma porte te sera toujours ouverte, même si je ne le montre pas. » Pas la plus expressive, Sasha avait eu accès à une fleur différente et sous toutes ses formes, de la plus folle à la plus dévastée et adorable. Les gestes affectueux du brun glissaient contre l’intérieur de sa cuisse et cela la faisait sourire, pinçant ses lèvres pleines entre elles. « Ça m’a manqué, ça. » Les caresses, la tendresse, l’affection, leur relation, lui.
L’évocation d’Ethan lui faisait un petit pincement au cœur, signe de la culpabilité qui l’envahissait. Des fois, elle détestait ce qu’elle avait été et même si Laelia ne pouvait pas changer entièrement, la violence était plus ou moins derrière, (jusqu’à la prochaine rechute). « Sauf que... Je devrai en épouser un autre. » Inconsciemment, la Trejo s’était mise dans une merde sans nom mais que pouvait-elle faire face à un homme qui la faisait trembler ? Rien, absolument rien. Sa jambe glissait entre celles de Sasha, d’abord pour le taquiner jusqu’à ce que le brun caresse sa peau dorée. Elle aimait ça, Laelia, les petites caresses délicates contre sa peau. Ses prunelles claires se posaient sur son visage, se laissant amplement faire. « J’aimerai bien. » Le serpent fermait un instant les paupières. « Que tu reviennes. »
Quelques secondes passaient et l’étudiante glissait à sa gauche, ses doigts cherchaient les siens sous l’eau jusqu’à caresser lentement l’intérieur de sa paume libre. L’orchidée le fixait, la vapeur détendait d’une manière délicieuse son corps tendu. Les caresses de Sasha ne cessaient pas et cela la faisait sourire malgré elle. Entre eux il y avait toujours eu une tendresse inouïe, sans limites. Sa jambe galbée glissait contre celles du dixième année, nouant par moments leurs doigts ensemble. « Ma porte te sera toujours ouverte, même si je ne le montre pas. » Pas la plus expressive, Sasha avait eu accès à une fleur différente et sous toutes ses formes, de la plus folle à la plus dévastée et adorable. Les gestes affectueux du brun glissaient contre l’intérieur de sa cuisse et cela la faisait sourire, pinçant ses lèvres pleines entre elles. « Ça m’a manqué, ça. » Les caresses, la tendresse, l’affection, leur relation, lui.
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Re: (! shalia) i'll show mine if you show yours - hot
Ven 15 Mar 2019 - 9:59
Les aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer
shalia
Sourcil haussé, amusement lisible sur ton visage, et je partirais... réponds-tu en souriant, t'as des enfants qui comptent sur toi, tu ne peux pas les laisser à ta cousine de manière indéfinie et ce, même si la tentation s'avérait bien plus grande. Bien sûr, tu aurais du savoir qu'une annulation ne va pas sans un nouvel engagement derrière, tu détestes cette logique dans laquelle tu as été pris plus d'une fois. Je me serais bien porté volontaire, mais je ne crois pas que Lazaro me porte dans son coeur, petit rire amère, t'as toujours pensé qu'un mariage arrangé n'était pas pour toi, mais visiblement un mariage non plus, alors c'est vrai que si tu pouvais aider la jeune femme, tu l'aurais fait avec un certain plaisir. Elle n'aurait eut pour unique obligation, celle de porter ton nom, mais la conjoncture actuelle des choses rend la proposition totalement impossible, même si l'idée t'amuse beaucoup.
J'aimerais bien, que tu reviennes. La surprise doit se lire dans tes iris, si tu avais compris qu'elle s'adoucissait un peu, qu'elle acceptait une certaine rédemption, tu n'avais pas l'impression qu'elle te pardonnerait aussi facilement. Tes doigts caressent sa jambe, délicatement, les yeux fermés, tu profites de cette chaleur, de cette douceur jusqu'à ce que la jolie se déplace, se rapprochant un peu plus de toi. Je m'en souviendrais, les doigts qui se cherchent, jouent, se mêlent et se démêlent, c'est comme si tu n'étais jamais partis. ça . Tu souris en la regardant, jolie fleur qui tente de s'épanouir malgré l'adversité, malgré un sol stérile, elle a poussé, est devenue belle et tu es certain qu'elle à énormément à donner. Sans rien dire, tu écartes les jambes et, aidé par l'eau, tu fais glisser la jolie au milieu, tes mains glissant contre ses épaules, descendant dans son dos, sur ses cuisses, toi aussi, tu m'as manqué, à peine un murmure à son oreille. Doigts habiles, ils détaillent la peau dorée de la jolie, remontent jusqu'à sa nuque, que tu as perçue comme tendue, pour offrir un moment de détente, massage doux, caresses expertes, à la créatrice.
J'aimerais bien, que tu reviennes. La surprise doit se lire dans tes iris, si tu avais compris qu'elle s'adoucissait un peu, qu'elle acceptait une certaine rédemption, tu n'avais pas l'impression qu'elle te pardonnerait aussi facilement. Tes doigts caressent sa jambe, délicatement, les yeux fermés, tu profites de cette chaleur, de cette douceur jusqu'à ce que la jolie se déplace, se rapprochant un peu plus de toi. Je m'en souviendrais, les doigts qui se cherchent, jouent, se mêlent et se démêlent, c'est comme si tu n'étais jamais partis. ça . Tu souris en la regardant, jolie fleur qui tente de s'épanouir malgré l'adversité, malgré un sol stérile, elle a poussé, est devenue belle et tu es certain qu'elle à énormément à donner. Sans rien dire, tu écartes les jambes et, aidé par l'eau, tu fais glisser la jolie au milieu, tes mains glissant contre ses épaules, descendant dans son dos, sur ses cuisses, toi aussi, tu m'as manqué, à peine un murmure à son oreille. Doigts habiles, ils détaillent la peau dorée de la jolie, remontent jusqu'à sa nuque, que tu as perçue comme tendue, pour offrir un moment de détente, massage doux, caresses expertes, à la créatrice.
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Re: (! shalia) i'll show mine if you show yours - hot
Ven 15 Mar 2019 - 16:17
Les aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer.
shalia
La frustration de s’être engagée dans un tel mode de vie, qui alternait entre soumission et mariages arrangés, ne cessait de s’immiscer en elle. Après Ethan, il y en aurait un autre et pas sûr qu’il soit aussi gentil que le sportif. Au fond, Laelia ne voulait pas un tel traitement mais elle était dans une famille où elle n’avait jamais eu son mot à dire. « Je sais, tu as des responsabilités maintenant. » Des enfants. « Je voudrai que ce soit toi. » Et c’était vrai, la fleur ne voyait pas un meilleur candidat que lui. « Personne n’a besoin de le savoir. » Mauvaise idée mais la Texane en rêvait, attirée par le danger et possiblement, cela entraînerait sa chute mais qu’importe, la femme n’était plus à un détail près. « Je suis prête à affronter les dangers, si t’es avec moi. » Il semblait lui redonner espoir le Muller mais l’étudiante n’était pas naïve et c’était stressant de ne pas savoir ce que le principal concerné en pensait.
Les confessions se faisaient plus nombreuses et Laelia lui annonçait son envie de le retrouver, qu’il revienne dans sa vie monotone. Un sourire échangé, les doigts de Sasha parcouraient sa peau jusqu’à ce qu’elle se rapproche et caressait l’intérieur de sa paume en retour, liant leurs doigts ensemble. Légère et vaporeuse, le brun l’entraînait entre ses jambes. Il caressait et parsemait sa peau de gestes délicats et enivrants, lui arrachant quelques frissons. À son tour, ses paumes glissaient contre les cuisses de Sasha, les effleurant à peine de la pulpe de ses doigts ou de ses ongles. Satisfaction personnelle en l’écoutant, l’orchidée se contentait de sourire, l’ego boosté. Les premiers mouvements contre sa nuque et ses épaules crispaient Laelia qui resserrait ces dernières, entraînant un craquement de ses os. Petit à petit, la brune se détendait, bercée par son souffle chaud contre son oreille. Après de longues minutes, sa peau était facilement marquée par les pressions du Muller, traces rouges sur sa peau typée.
La fleur entraînait les bras de Sasha autour d’elle et pendant un instant, elle restait immobile, le visage sur son épaule à caresser ses mains brûlantes. Un baiser contre sa mâchoire et le sourire aux lèvres, Lae se retournait pour lui faire face, les bras autour de ses épaules, fusion intense de leurs prunelles. « Je suis ravie que tu sois là. » Murmure qui s’échouait de ses pulpes brillantes alors que le bleu de ses yeux ne quittait pas l’obscurité des siens, les doigts se perdant contre sa chevelure qu’elle caressait lentement.
Les confessions se faisaient plus nombreuses et Laelia lui annonçait son envie de le retrouver, qu’il revienne dans sa vie monotone. Un sourire échangé, les doigts de Sasha parcouraient sa peau jusqu’à ce qu’elle se rapproche et caressait l’intérieur de sa paume en retour, liant leurs doigts ensemble. Légère et vaporeuse, le brun l’entraînait entre ses jambes. Il caressait et parsemait sa peau de gestes délicats et enivrants, lui arrachant quelques frissons. À son tour, ses paumes glissaient contre les cuisses de Sasha, les effleurant à peine de la pulpe de ses doigts ou de ses ongles. Satisfaction personnelle en l’écoutant, l’orchidée se contentait de sourire, l’ego boosté. Les premiers mouvements contre sa nuque et ses épaules crispaient Laelia qui resserrait ces dernières, entraînant un craquement de ses os. Petit à petit, la brune se détendait, bercée par son souffle chaud contre son oreille. Après de longues minutes, sa peau était facilement marquée par les pressions du Muller, traces rouges sur sa peau typée.
La fleur entraînait les bras de Sasha autour d’elle et pendant un instant, elle restait immobile, le visage sur son épaule à caresser ses mains brûlantes. Un baiser contre sa mâchoire et le sourire aux lèvres, Lae se retournait pour lui faire face, les bras autour de ses épaules, fusion intense de leurs prunelles. « Je suis ravie que tu sois là. » Murmure qui s’échouait de ses pulpes brillantes alors que le bleu de ses yeux ne quittait pas l’obscurité des siens, les doigts se perdant contre sa chevelure qu’elle caressait lentement.
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Re: (! shalia) i'll show mine if you show yours - hot
Ven 15 Mar 2019 - 19:57
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shalia
Des responsabilités, oui et pas des moindres, deux minuscules petits rôtis dont la vie n'a pas vraiment débuté dans les meilleures conditions, mais pour lesquels tu fais de ton mieux. T'espères que tu t'en sortiras ; tu feras tout pour. Son aveu te tire un maigre sourire, te sort de tes réflexions, mais tu ne sais pas vraiment quoi répondre, personne n'a besoin de le savoir . T'es pas déjà suffisamment dans la merde comme ça ? T'as vraiment envie de mettre une couche supplémentaire avec une fiancée et un mariage ? Mais, tu sais comme moi, que ça n'est pas possible, douceur dans la voix, tu ne te départis pas de ton sourire, je suis le père des enfants de ta cousine, à qui il a interdit de s'en occuper, voir probablement de me fréquenter aussi, je pense que tu risque de te faire lapider sur la place publique si tu fais ça. Oui, tu parles d'elle, parce que jusqu'à maintenant tu ne vois pas ce que ton père pourrait te réserver comme sort, t'as déjà tellement écorné le nom de cette illustre famille, toi, le vilain petit canard ; après tout, qui pourrait vraiment vouloir de toi, ou du moins s'allier à toi, malgré toutes ces histoires ?
Sous tes airs de macho bagarreur, t'as un grand cœur, certaines personnes le savent, tu aimes prendre soin de ceux qui comptent pour toi, vérité qui se conjugue même au passé. Pour que tu cesses de t'intéresser à quelqu'un, il faut que cette personne te trahisse, c'est la seule chose que tu es incapable de pardonner, toi le loyale, le fidèle. Elle a compté pour toi, la fleur, aujourd'hui encore il y a quelque chose, un lien invisible, indicible, l'avoir dans tes bras te fait du bien, pansement malgré elle, ses caresses nourrissent les frissons le long de ton corps. Ses muscles se détendent progressivement sous tes doigts, elle se laisse aller et finalement son dos glisse contre ton torse, entourant son corps de tes bras. On n'est jamais mieux servi que par soi-même. Baiser délicat contre ta mâchoire, tes bras suivent le mouvement de son corps lorsqu'elle se tourne pour enlacer sa taille fine. Regards qui se croisent, se cherchent, tes lèvres glissent contre son épaule sans briser le lien établi par vos regards, sourire charmeur, comme toujours, c'était une bonne idée.ou pas. Doigts qui glissent contre sa peau, ils explorent ce corps familier avec intérêt, cherchant probablement si elle a changé, si de nouvelles cicatrices se sont imprimées ou si elle est restée la même. Je suis content qu'on se retrouve, pulpes rosées qui glissent sensuellement contre sa peau alors que tu relèves le visage, t'éloignant un peu de la tentation pour mieux l'observer. Qu'est-ce que j'ai manqué ? Malice et curiosité se mêlent dans ton regard, t'as envie de savoir ce que la jolie à fait, pendant tout ce temps loin de toi, même si tu constates qu'elle s'en sort très bien malgré ton absence.
Sous tes airs de macho bagarreur, t'as un grand cœur, certaines personnes le savent, tu aimes prendre soin de ceux qui comptent pour toi, vérité qui se conjugue même au passé. Pour que tu cesses de t'intéresser à quelqu'un, il faut que cette personne te trahisse, c'est la seule chose que tu es incapable de pardonner, toi le loyale, le fidèle. Elle a compté pour toi, la fleur, aujourd'hui encore il y a quelque chose, un lien invisible, indicible, l'avoir dans tes bras te fait du bien, pansement malgré elle, ses caresses nourrissent les frissons le long de ton corps. Ses muscles se détendent progressivement sous tes doigts, elle se laisse aller et finalement son dos glisse contre ton torse, entourant son corps de tes bras. On n'est jamais mieux servi que par soi-même. Baiser délicat contre ta mâchoire, tes bras suivent le mouvement de son corps lorsqu'elle se tourne pour enlacer sa taille fine. Regards qui se croisent, se cherchent, tes lèvres glissent contre son épaule sans briser le lien établi par vos regards, sourire charmeur, comme toujours, c'était une bonne idée.
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Re: (! shalia) i'll show mine if you show yours - hot
Ven 15 Mar 2019 - 21:56
Les aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer.
shalia
Lucide et les idées claires, elle savait très bien ce qui l’attendait si elle ne se tenait pas bien. Lae avait beau joué le rôle de la nièce parfaite, cette situation la rongeait et devenait pesante, lourde comme le boulet accroché à sa cheville fragile, un poids nommé Lazaro. « Tu crois m’apprendre quelque chose ? » Haussement de sourcils accompagné d’un lent soupir. « Je sais qu’il me fera du mal et me reniera, qu’il me retirera dignité et nom, qu’il me fera me sentir comme un déchet qui ne se recycle pas. Mais tu ne penses pas que je joue déjà gros avec ma marque ? Que penserait-il d’une femme qui veut être indépendante alors qu’elles sont censées être mariées et soumises aux hommes ? Tu penses qu’il me laissera faire, Sha ? » Non, Sasha n’avait aucune idée de la pression qu’il mettait sur les deux femmes Trejo et Laelia le vivait de plus en plus mal. « Mais si tu avec moi et qu’on... s’allie ? J’aurai la force de supporter tout ça, malgré tout ce qui s’est passé, se passe et se passera. » Parce que putain, c’était le premier homme pour lequel elle avait eu des sentiments et bien que la fleur ne s’en était pas rendu compte, elle appréciait sa compagnie, autant physiquement que moralement, ils ne s’étaient jamais ennuyés ensemble.
Les mains du brun pressaient fermement puis parfois délicatement ses épaules tendues, signe de son implication dans le projet Lilium. Cela traduisait également le manque de sommeil, jouant trop avec ses insomnies et l’hygiène de vie qui était instable. Il lui faisait du bien malgré tout et la fleur glissait à nouveau pour lui faire face. Des mots doux accompagnés de caresses délicates contre sa peau, pas de gêne ni de pudeur, lesmauvaises habitudes revenaient rapidement même si elle n’était qu’un pansement, fait dont la Trejo avait conscience, elle le savait mais ne voulait pas y penser. « Plaisir partagé. » Son regard se perdait dans le sien, sa peau succombait à quelques frissons. Laelia laissait un silence s’installer et détachait ses bras des épaules athlétiques du Muller. Les mains de la créatrice glissaient lentement le long de son torse, sensualité particulière de l’orchidée, ses pulpes épousaient l’arrondi de son épaule. Premier baiser contre cette peau qui lui paraissait inconnue, puis d’autres pressions de ses lèvres voluptueuses le long du trapèze. Parfois, il n’y avait qu’un effleurement, semblable au velouté d’un pétale de rose, qui effleurait la peau de l’Ethelred. Au niveau de ses reins, le brun siégeait et se séparant à peine de son corps, elle commentait la cicatrice. « Un coup de couteau. » Les agressions envers elle n’étaient pas rares, il le savait.
Baisant sa nuque sensuellement, la jeune femme s’aventurait à rythme lent et enivrant jusqu’à sa mâchoire, le saisissant parfois par le bout de ses dents, délicatement. « Des trafics secrets... » Aveu murmuré à son oreille. « J’en suis sortie depuis peu et on cherche à me faire revenir. » Tant qu’Ephrem ne lui causait pas de soucis, elle ne lui en ferait pas. « Des jouets qui n’existent plus et des soupçons concernant mes parents... » Sous-entendus concernant les périodes folles. « Je faisais ça pour trouver le meurtrier de mes parents... » Sa voix s’était changée en murmure, mélodie de sirène à l’oreille de Sasha. « Je sais que j’étais compliquée à gérer et que je ne parlais jamais de moi... » Ses lèvres se perdaient à nouveau contre sa nuque. « Mais je suis tellement honnête et sincère avec toi. » Un des seuls à avoir côtoyé une facette différente de Laelia, ce que les autres ne voyaient pas. De ses paumes, la verte caressait de bas en haut les flancs du brun, d’une lenteur folle, avant de reposer son regard clair dans le sien.
Les mains du brun pressaient fermement puis parfois délicatement ses épaules tendues, signe de son implication dans le projet Lilium. Cela traduisait également le manque de sommeil, jouant trop avec ses insomnies et l’hygiène de vie qui était instable. Il lui faisait du bien malgré tout et la fleur glissait à nouveau pour lui faire face. Des mots doux accompagnés de caresses délicates contre sa peau, pas de gêne ni de pudeur, les
Baisant sa nuque sensuellement, la jeune femme s’aventurait à rythme lent et enivrant jusqu’à sa mâchoire, le saisissant parfois par le bout de ses dents, délicatement. « Des trafics secrets... » Aveu murmuré à son oreille. « J’en suis sortie depuis peu et on cherche à me faire revenir. » Tant qu’Ephrem ne lui causait pas de soucis, elle ne lui en ferait pas. « Des jouets qui n’existent plus et des soupçons concernant mes parents... » Sous-entendus concernant les périodes folles. « Je faisais ça pour trouver le meurtrier de mes parents... » Sa voix s’était changée en murmure, mélodie de sirène à l’oreille de Sasha. « Je sais que j’étais compliquée à gérer et que je ne parlais jamais de moi... » Ses lèvres se perdaient à nouveau contre sa nuque. « Mais je suis tellement honnête et sincère avec toi. » Un des seuls à avoir côtoyé une facette différente de Laelia, ce que les autres ne voyaient pas. De ses paumes, la verte caressait de bas en haut les flancs du brun, d’une lenteur folle, avant de reposer son regard clair dans le sien.
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Re: (! shalia) i'll show mine if you show yours - hot
Dim 17 Mar 2019 - 12:38
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shalia
Si tu ne lui apprends rien, elle non plus. Il ne t'a pas fallu bien longtemps pour cerner le personnage qu'est le patriarche Trejo ; un gros con, comme tant d'autre. Il est de ces hommes qui pensent qu'il dispose de la vie des autres comme de pions sur un échiquier, il te rappelle ton propre père de bien des manières ; bien que Carlisle n'ait jamais interféré à ce point dans ta vie. Tu caresses sa joue délicatement, en souriant, crois-moi, ta vie sera encore pire avec moi à tes côtés, princesa, il prendra ça comme une véritable gifle et trouvera une autre façon de t'atteindre... et puis, j'ai d'autres projets pour lui. Éclair sombre dans tes iris noisettes, le feu de la rage. T'es rancunier, t'aimes pas qu'on joue avec la vie des autres, encore moins quand ça t'impacte et depuis que Jazmin t'a raconté son entrevue avec Lazaro, tu es bien décidé à tout faire pour que le padre vacille de son piédestal, qu'il se retrouve là où est sa place : à la déchetterie.
Effleurements des peaux, ses lèvres contre ton épaule, tu la laisses faire, profitant de ce moment de tendresse retrouvée. Paupières closent, sa voix, douce mélodie à ton oreille, raconte et tu écoutes ; elle à ce don la princesse, raconter des horreurs avec une certainesensualité banalité. Tu es complexe, Laelia, un mystère vivant et c'est ce qui te rend si attirante, tu le sais, bien sûr qu'elle le sait, elle maitrise l'art de la séduction, du mystère et détournement d'attention avec un certain maestria. Tes doigts effleurent une cicatrice jusque là inconnue, peut-être que si j'étais resté, ça ne serait pas arrivé, peut-être. Tu étais l'acolyte, l'assurance aussi, parfois, non seulement tu partageais sa folie, mais tu la protégeais également, des autres comme d'elle-même comme elle le faisait avec toi.
Ses paumes glissent lentement contre ton torse, bien trop lentement que pour être innocent, il n'y à jamais rien d'innocent avec elle. J'ai un conseil à te donner, ce n'est qu'un conseil, elle fera ce qu'elle en veut, reste loin des emmerdes, loin de tout ça. Plus ferme, ta main glisse contre sa nuque, tu scrutes ses pupilles avant d'ajouter, presque contre ses lèvres, tu as une opportunité qui vient de se présenter, ta vie peut changer, ne perd pas tes ambitions de vue. Il n'y a que des ambitieux qui peuvent comprendre les sacrifices que l'on doit faire pour réussir dans la vie. Rien ne compte si ce n'est le but. La réalisation. Un bras autours de sa taille, tu amènes la fleur contre toi, dialogue des iris, un rictus nait au coin de tes lèvres juste avant qu'elles ne prennent possession de celles de la texane. Caresse tendre contre ses pulpes,presque oubliées, souvenirs qui se mêlent au présent, tes dents pincent légèrement sa lèvre tandis que tu recules un petit peu. Le feu dans les yeux, comme dans chacune des veines de ton corps.
Effleurements des peaux, ses lèvres contre ton épaule, tu la laisses faire, profitant de ce moment de tendresse retrouvée. Paupières closent, sa voix, douce mélodie à ton oreille, raconte et tu écoutes ; elle à ce don la princesse, raconter des horreurs avec une certaine
Ses paumes glissent lentement contre ton torse, bien trop lentement que pour être innocent, il n'y à jamais rien d'innocent avec elle. J'ai un conseil à te donner, ce n'est qu'un conseil, elle fera ce qu'elle en veut, reste loin des emmerdes, loin de tout ça. Plus ferme, ta main glisse contre sa nuque, tu scrutes ses pupilles avant d'ajouter, presque contre ses lèvres, tu as une opportunité qui vient de se présenter, ta vie peut changer, ne perd pas tes ambitions de vue. Il n'y a que des ambitieux qui peuvent comprendre les sacrifices que l'on doit faire pour réussir dans la vie. Rien ne compte si ce n'est le but. La réalisation. Un bras autours de sa taille, tu amènes la fleur contre toi, dialogue des iris, un rictus nait au coin de tes lèvres juste avant qu'elles ne prennent possession de celles de la texane. Caresse tendre contre ses pulpes,
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Re: (! shalia) i'll show mine if you show yours - hot
Dim 17 Mar 2019 - 13:39
Les aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer.
shalia
« D’accord. » Sur ce point, il n’avait pas tort. Face à Sasha, sa marque était beaucoup plus importante et bien que le projet restait bancal car Lazaro voulait la voir pour en discuter, elle n’était pas capable de prendre le risque de tout perdre pour un caprice, pour lui. Caresse contre sa joue brune, un sourire fin étirait ses lèvres face au surnom qu’il utilisait autrefois. « Princesa. » Bien sûr, la fleur était attirante, les complications et les problèmes venaient toujours à elle. Mais lui évoquait son charme, celui que la jolie avait utilisé plus d’une fois pour avoir les autres dans sa poche. De son caractère complexe à son physique enivrant, la Trejo n’était pas naïve. L’art de la manipulation à celui de la séduction, elle maniait les différents arts avec perfection et préciosité. « Trop tard. J’ai appris à me protéger seule. » Bim. Laelia souriait contre sa peau qu’elle embrassait. S’il avait été là pour la calmer et la protéger, Sasha ne l’était plus, désormais. Elle se débrouillait seule, l’orchidée.
Parcourant sa peau de ses pulpes, elle l’embrassait et l’effleurait par moments, saisissant de ses dents l’épiderme du Muller. La fleur l’écoutait attentivement avant de capter son regard, jouant de leur proximité. Pas un seul instant les prunelles claires de la Trejo quittaient celles de Sasha. « Je ne perdrai certainement pas mes ambitions de vue. » Plutôt mourir qu’abandonner. Lilium allait devenir sa vie, une partie importante et qui méritait énormément de sacrifices. Laelia n’avait jamais été si déterminée de toute sa misérable existence. L’indépendance lui semblait si proche qu’elle ne pouvait pas renoncer, ce serait la même douleur que perdre un membre, irremplaçable. L’atelier était rapidement devenu son havre de paix, un lieu d’épanouissement où la solitude était devenue agréable, elle qui l’avait toujours crainte.
Hypnotisée par les iris de l’homme, il glissait contre ses pulpes charnues avant de les emprisonner des siennes. Au même rythme que ses paupières se fermaient, les lèvres de Laelia épousaient d’une danse lente ses jumelles. Une saveur que la jeune Texane redécouvrait, sensation indescriptible qui prenait place au fond d’elle. Un brasier qui venait d’être alimenté après avoir été étouffé pendant des années, le feu qui animait et brûlait ses veines, agitant son sang et son rythme cardiaque. Ses paumes glissaient contre son dos et elle le collait contre elle, mouvant d’une lenteur torturante leurs croissants les uns contre les autres. Fusion des iris qui se croisaient à nouveau, échange visuel intense et puissant. Et puis, ils revenaient s’embrasser, brisant la distance inexistante entre eux. Les lippes rebondies de la princesse se mêlaient sensuellement à celles de Sasha, attrapant sa lippe inférieure de ses dents, féline, fusion des prunelles, avant de se noyer à nouveau contre les lèvres de son partenaire. C’était un ballet des plus enivrants.
Parcourant sa peau de ses pulpes, elle l’embrassait et l’effleurait par moments, saisissant de ses dents l’épiderme du Muller. La fleur l’écoutait attentivement avant de capter son regard, jouant de leur proximité. Pas un seul instant les prunelles claires de la Trejo quittaient celles de Sasha. « Je ne perdrai certainement pas mes ambitions de vue. » Plutôt mourir qu’abandonner. Lilium allait devenir sa vie, une partie importante et qui méritait énormément de sacrifices. Laelia n’avait jamais été si déterminée de toute sa misérable existence. L’indépendance lui semblait si proche qu’elle ne pouvait pas renoncer, ce serait la même douleur que perdre un membre, irremplaçable. L’atelier était rapidement devenu son havre de paix, un lieu d’épanouissement où la solitude était devenue agréable, elle qui l’avait toujours crainte.
Hypnotisée par les iris de l’homme, il glissait contre ses pulpes charnues avant de les emprisonner des siennes. Au même rythme que ses paupières se fermaient, les lèvres de Laelia épousaient d’une danse lente ses jumelles. Une saveur que la jeune Texane redécouvrait, sensation indescriptible qui prenait place au fond d’elle. Un brasier qui venait d’être alimenté après avoir été étouffé pendant des années, le feu qui animait et brûlait ses veines, agitant son sang et son rythme cardiaque. Ses paumes glissaient contre son dos et elle le collait contre elle, mouvant d’une lenteur torturante leurs croissants les uns contre les autres. Fusion des iris qui se croisaient à nouveau, échange visuel intense et puissant. Et puis, ils revenaient s’embrasser, brisant la distance inexistante entre eux. Les lippes rebondies de la princesse se mêlaient sensuellement à celles de Sasha, attrapant sa lippe inférieure de ses dents, féline, fusion des prunelles, avant de se noyer à nouveau contre les lèvres de son partenaire. C’était un ballet des plus enivrants.
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Re: (! shalia) i'll show mine if you show yours - hot
Mar 19 Mar 2019 - 9:47
Les aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer
shalia
Tu aimes la voir sourire, c'est si rare quand c'est sincère, comme là, que ça rend la chose encore plus belle. La satisfaction dans son regard, tu souris à ton tour en haussant les épaules tu n'as jamais eu besoin de personne, tu es bien assez forte, pas besoin de chevalier pour la belle Laelia, moquerie légère dans la voix, tu n'en es pas moins sincère, elle n'a jamais été la jeune demoiselle en détresse, elle n'en a jamais donné l'impression en tout cas. C'est sa force, sa détermination qui t'ont séduites au premier abord, bon, après ses fesses et son regard, mais ce n'est qu'un détail. Il te semble nécessaire de lui rappeler les enjeux qui viennent de faire leur apparition dans le jeu. Agneas n'est pas le genre de femme à tolérer un scandale, aussi minime soit-il, si elle donne sa chance à la fleur, il faudra que cette dernière se montre irréprochable - et c'est ce point qui te fait un peu peur.
Tant mieux, tu n'as pas fait tout ça pour rien et qu'elle ne perde jamais ses ambitions de vue te rassure un peu, pour elle. Cédant à la tentation, tu goûtes une nouvelle fois à ses lèvres, après tout ce temps, elle est toujours aussi enivrante, beauté ensorcelante. Sa taille fine glisse entre tes mains, mains qui caressent sa peau typée tandis que tes lèvres cajolent les siennes avec un mélange de tendresse et de fougue. Corps qui se rencontrent, lenteurs des mouvements, tout revêt l'habit de la sensualité dans ce bain, son cou et sa poitrine couvert de baiser, tu dénoues le nœud qui attache le haut de son bikini avec un sourire narquois. C'est un pur souci d'équité. Bien sûr, on va y croire. Poitrine libérée, tes doigts effleurent à peine sa peau, caresses subtiles des côtes jusqu'aux mamelons, lenteur maîtrisée, tes lèvres chaudes glissent de sa gorge jusqu'à ses seins lentement, dans une procession de baiser plus ou moins appuyés, variations des plaisirs se terminant par son téton coincé entre tes dents, regard dans le sien, sourire à peine dissimulé, tu as toujours aimé jouer.
Tant mieux, tu n'as pas fait tout ça pour rien et qu'elle ne perde jamais ses ambitions de vue te rassure un peu, pour elle. Cédant à la tentation, tu goûtes une nouvelle fois à ses lèvres, après tout ce temps, elle est toujours aussi enivrante, beauté ensorcelante. Sa taille fine glisse entre tes mains, mains qui caressent sa peau typée tandis que tes lèvres cajolent les siennes avec un mélange de tendresse et de fougue. Corps qui se rencontrent, lenteurs des mouvements, tout revêt l'habit de la sensualité dans ce bain, son cou et sa poitrine couvert de baiser, tu dénoues le nœud qui attache le haut de son bikini avec un sourire narquois. C'est un pur souci d'équité. Bien sûr, on va y croire. Poitrine libérée, tes doigts effleurent à peine sa peau, caresses subtiles des côtes jusqu'aux mamelons, lenteur maîtrisée, tes lèvres chaudes glissent de sa gorge jusqu'à ses seins lentement, dans une procession de baiser plus ou moins appuyés, variations des plaisirs se terminant par son téton coincé entre tes dents, regard dans le sien, sourire à peine dissimulé, tu as toujours aimé jouer.
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Re: (! shalia) i'll show mine if you show yours - hot
Jeu 11 Avr 2019 - 20:02
Les aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer
shalia
Tu es magnifique écho à ses propres paroles, le coeur tambourinant contre les côtes, tu n'étais pas prêt à la retrouver de cette manière, tu ne t'y attendais pas et en ce moment, tu te rappelles pourquoi tu l'appréciais tant, la texane. Son feu, sa passion, cette élégante lascivité qui n'appartient qu'à elle, tu embrasses sa mâchoire, son cou, tout en la serrant contre toi. Tu m'as manqué, sourire amusé, regard narquois, tu poses ta joue contre son épaule sans la quitter du regard, l'eau te semble plus fraîche maintenant que le feu ne brûle plus en toi, l'incendie est éteint, du moins il est calmé jusqu'à la prochaine brise soufflée par la brune. Tu n'as pas envie de bouger, tu veux profiter de l'instant, même si d'autre moments s'invitent, celui-ci à quelque chose, une saveur, que les autres n'auront pas, le gout des retrouvailles.
Tes mains glissent sur sa peau, dessinant ses courbes délicates et délicieuses, tu t'enfonces un peu dans l'eau, laissant les remous glisser sur tes épaules pour les réchauffer. C'est étrange, tu as l'impression que c'est nouveau et pourtant que rien n'a changé, comme si tu avais toujours fait partie de ces meubles, de sa vie et en même temps, tu as l'impression de la découvrir à nouveau. Tu glisses la tornade entre tes jambes, son dos collés à ton torse, tes bras formant une barrière autours de ce corps marqué par la vie, t'as envie de prendre soin d'elle, de la protéger, tu veux être la pour elle, comme tu aurais toujours dû l'être. Ta joue contre sa tête, tu observes le bout de vos pieds en souriant, qu'est-ce que tu veux manger ? Tu retiens la pensée concernant le cochon qui se trouve dans le jardin, tu ne veux pas la vexer pour une simple plaisanterie, comme réveillé par l'idée, ton estomac se manifeste, hurlant son désespoir, j'ai faim. Tu as de quoi préparer quelque chose, ou on va chercher un truc ? Tu n'as aucune idée de ses talents de cuisinière, si tu le savais, tu préviendrais les pompiers directement de même que le centre anti-poison. Heureusement que tu te débrouilles, il était hors de question pour toi de mourir de faim une fois livré à toi-même, alors tu as passé des heures dans les cuisines pour apprendre à cuisiner et ça porte ses fruits.
Tes mains glissent sur sa peau, dessinant ses courbes délicates et délicieuses, tu t'enfonces un peu dans l'eau, laissant les remous glisser sur tes épaules pour les réchauffer. C'est étrange, tu as l'impression que c'est nouveau et pourtant que rien n'a changé, comme si tu avais toujours fait partie de ces meubles, de sa vie et en même temps, tu as l'impression de la découvrir à nouveau. Tu glisses la tornade entre tes jambes, son dos collés à ton torse, tes bras formant une barrière autours de ce corps marqué par la vie, t'as envie de prendre soin d'elle, de la protéger, tu veux être la pour elle, comme tu aurais toujours dû l'être. Ta joue contre sa tête, tu observes le bout de vos pieds en souriant, qu'est-ce que tu veux manger ? Tu retiens la pensée concernant le cochon qui se trouve dans le jardin, tu ne veux pas la vexer pour une simple plaisanterie, comme réveillé par l'idée, ton estomac se manifeste, hurlant son désespoir, j'ai faim. Tu as de quoi préparer quelque chose, ou on va chercher un truc ? Tu n'as aucune idée de ses talents de cuisinière, si tu le savais, tu préviendrais les pompiers directement de même que le centre anti-poison. Heureusement que tu te débrouilles, il était hors de question pour toi de mourir de faim une fois livré à toi-même, alors tu as passé des heures dans les cuisines pour apprendre à cuisiner et ça porte ses fruits.
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Re: (! shalia) i'll show mine if you show yours - hot
Jeu 11 Avr 2019 - 20:55
Les aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer.
shalia
Les minutes s’écoulaient, délicieuse saveur de retrouvailles. Son corps contre le sien, Laelia le regardait alors que leurs bassins se frappaient, finissant par se laisser aller l’un contre l’autre. Écho des mots fleuris de la ronce, celui-ci la faisait sourire, lâchant peu à peu la fine pression exercée autour de ses épaules. L’orchidée écoutait les mots tendres que l’apollon lui murmurait à l’oreille, lui arrachant un de ses beaux sourires, là où ses dents apparaissaient. Le corps plongé dans l’eau, ils reprenaient chacun leur souffle. Ceinture autour d’elle, les doigts de la créatrice dansaient contre la peau de ses bras, glissaient jusqu’à sa cuisse qu’elle caresserait tendrement. Petit bout de femme que Sasha semblait protéger, Laelia avait l’air innocente là, un sourire simple aux lèvres, suivi d’un éclat de rire cristallin à l’écoute du mécontentement de l’estomac du Muller. « Toi. » Œillade complice. « Je suis vraiment douée pour faire à manger. » C’était si faux mais au fond, la Trejo souhaitait l’impressionner bien que l’alarme sonnait tous les jours.
Ils sortaient du jacuzzi et enfilaient des peignoirs, un plus sophistiqué pour la fleur, en soie noire, dévêtue dessous. Elle éteignait le bain à remous et montait les escaliers, sa chevelure entourée d’une serviette. Premièrement, Cerdo était allongé dans son panier et venait à nouveau courir vers sa propriétaire, lui réclamant des câlins. Cette fois-ci, il lui était impossible de résister et la jeune femme soulevait le tout petit animal entre ses bras, le portant comme un enfant tout en caressant son poil doux. Cerdo laissait entendre sa joie, elle n’avait plus aucun intérêt à le cacher : Laelia était complètement gaga du cochon, cela se lisait dans ses iris, tout cet amour débordant. « C’est Cerdo. » Petit sourire gêné, la Texane lui tendait son animal en dégainant son téléphone portable. Ainsi, la jolie allait vers la cuisine ouverte, sortant les ingrédients nécessaires à la réalisation de pâtes au saumon.
« J’ai regardé plusieurs vidéos sur Youtube. » Déterminée, la brune semblait tout donner dans la découpe du saumon. « Tu peux faire la sauce. » Indiquait-elle en désignant la vidéo qui tournait. De son côté, Laelia allumait une casserole et jetait des pâtes dedans, sans eau. Bien sûr, c’était une grosse catastrophe aux fourneaux mais pas question de se laisser démonter. Autour d’eux, le petit Cerdo gambadait en faisant des petits bruits. « Mon bébé... » Lui murmurait-elle, les étoiles dans les yeux. Enfin, la tornade versait les dés de saumon sur une poêle qui chauffait depuis un long moment, avant de reculer, regardant le travail appliqué du sorcier. Ses prunelles claires se posaient sur son visage, Laelia était heureuse, cela se voyait à la manière dont elle souriait. Et puis, d’un coup, une fumée prenait possession de la pièce, faisant sonner l’alarme incendie. « Oh non ! Pas encore ! » Affolée, l’étudiante se précipitait vers la poêle où le saumon était carbonisé, produisant de la fumée infâme. Dans la panique, Lae jetait la poêle dans l’évier, faisant couler de l’eau dessus : non, la créatrice n’était pas une bonne cuisinière.
Ils sortaient du jacuzzi et enfilaient des peignoirs, un plus sophistiqué pour la fleur, en soie noire, dévêtue dessous. Elle éteignait le bain à remous et montait les escaliers, sa chevelure entourée d’une serviette. Premièrement, Cerdo était allongé dans son panier et venait à nouveau courir vers sa propriétaire, lui réclamant des câlins. Cette fois-ci, il lui était impossible de résister et la jeune femme soulevait le tout petit animal entre ses bras, le portant comme un enfant tout en caressant son poil doux. Cerdo laissait entendre sa joie, elle n’avait plus aucun intérêt à le cacher : Laelia était complètement gaga du cochon, cela se lisait dans ses iris, tout cet amour débordant. « C’est Cerdo. » Petit sourire gêné, la Texane lui tendait son animal en dégainant son téléphone portable. Ainsi, la jolie allait vers la cuisine ouverte, sortant les ingrédients nécessaires à la réalisation de pâtes au saumon.
« J’ai regardé plusieurs vidéos sur Youtube. » Déterminée, la brune semblait tout donner dans la découpe du saumon. « Tu peux faire la sauce. » Indiquait-elle en désignant la vidéo qui tournait. De son côté, Laelia allumait une casserole et jetait des pâtes dedans, sans eau. Bien sûr, c’était une grosse catastrophe aux fourneaux mais pas question de se laisser démonter. Autour d’eux, le petit Cerdo gambadait en faisant des petits bruits. « Mon bébé... » Lui murmurait-elle, les étoiles dans les yeux. Enfin, la tornade versait les dés de saumon sur une poêle qui chauffait depuis un long moment, avant de reculer, regardant le travail appliqué du sorcier. Ses prunelles claires se posaient sur son visage, Laelia était heureuse, cela se voyait à la manière dont elle souriait. Et puis, d’un coup, une fumée prenait possession de la pièce, faisant sonner l’alarme incendie. « Oh non ! Pas encore ! » Affolée, l’étudiante se précipitait vers la poêle où le saumon était carbonisé, produisant de la fumée infâme. Dans la panique, Lae jetait la poêle dans l’évier, faisant couler de l’eau dessus : non, la créatrice n’était pas une bonne cuisinière.
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Re: (! shalia) i'll show mine if you show yours - hot
Lun 15 Avr 2019 - 10:54
Les aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer
shalia
Elle vend ses dons de cuisinière et tu l'as croit, que t'es con, oeillades complices alors que vous sortez de l'eau, la sirène te tends un peignoir que tu enfiles histoire de ne pas détremper le sol le temps de remonter à l'étage. Grognement joyeux, la créatrice plaide enfin coupable pour son animal atypique, tu souris en haussant un sourcil, moi qui pensait que c'était le diner. Tu taquines sa sensibilité, tu ne pourrais jamais faire de mal à un animal, délicatement tu gratouilles la tête rose de la bestiole salut Cerdo. Tu ne peux pas t'empêcher de rire en imaginant le couple Trejo/Blackwood et leurs animaux de compagnie, c'est plus une maison, c'est une ferme qui leur faudrait. C'est la première fois que tu vois des étoiles dans son regard, attendrissante épine, elle qui ne veut pas montrer de faiblesse, le petit cochon est un trésor pour la jeune femme, tu le vois dans ses yeux et au fond, tu es heureux pour elle, qu'elle s'accroche à un autre être vivant qu'elle-même est une bonne chose.
La jolie sort son téléphone et semble sûre de ses capacités, j'ai vu une vidéo, les sang-purs ne sont plus ce qu'ils étaient réponds tu narquois. Tu peux parler, même toi, tu t'es mis à certaines de leurs habitudes depuis que tu fréquentes Fiona. C'est vrai qu'un sms est plus pratique qu'un hiboux; surtout quand ce dernier est vieillissant. Sans prêter attention à ce qu'elle fait, tu te contentes de suivre les bases de la recette, jusqu'à ce que ça sente un peu le brûler - bon, beaucoup le brûler. Pas encore. Curieux, tu regardes Laelia à la fois exaspérée et affolée, elle balance la poêle et ce qui devait être un morceau de saumon dans l'évier. Je pense qu'on ne pourra pas manger ça... C'est pas que tu penses, mais c'est que tu es certain de ne pas pouvoir manger ce truc. Un regard sur le feu, tu éteins la casserole où les pâtes risquent d'entrer en combustions spontanées, en vrai, tu ne sais pas cuisiner ? Aucune jugement, t'es même amusé et attendri par ses efforts, laisse-moi faire, on va rattraper çates conneries. En faisant comme chez toi, tu ouvres le réfrigérateur, regardes ce qu'il y a dedans, trouves quelques tomates fraiches, un oignon, c'est déjà un début.
Petite séance cuisine à deux, tu lui apprends qu'il faut absolument de l'eau pour cuire des pâtes, que c'est meilleur avec un peu de sel, une petite tomate concassée dans la poêle, fraicheur d'un plat simple aux parfums d'italie, tu as trouvé un autre bout de poisson au frais, il manque un petit peu de basilic, et ça serait parfait. Deux assiettes sur le plan de travail, tu dresses avec un peu de goût, elle n'est pas la seule à vouloir impressionner on dirait. J'ai trouvé un truc que je pourrais t'apprendre : la cuisine , sourire malicieux et complice, tu lui tends son assiette avant de regarder le cochon qui se trouve à tes pieds, quoi ? Toi aussi tu veux manger ? Note, je comprend, si elle te fait à manger comme ça tous les jours, pauvre Cerdo.
La jolie sort son téléphone et semble sûre de ses capacités, j'ai vu une vidéo, les sang-purs ne sont plus ce qu'ils étaient réponds tu narquois. Tu peux parler, même toi, tu t'es mis à certaines de leurs habitudes depuis que tu fréquentes Fiona. C'est vrai qu'un sms est plus pratique qu'un hiboux; surtout quand ce dernier est vieillissant. Sans prêter attention à ce qu'elle fait, tu te contentes de suivre les bases de la recette, jusqu'à ce que ça sente un peu le brûler - bon, beaucoup le brûler. Pas encore. Curieux, tu regardes Laelia à la fois exaspérée et affolée, elle balance la poêle et ce qui devait être un morceau de saumon dans l'évier. Je pense qu'on ne pourra pas manger ça... C'est pas que tu penses, mais c'est que tu es certain de ne pas pouvoir manger ce truc. Un regard sur le feu, tu éteins la casserole où les pâtes risquent d'entrer en combustions spontanées, en vrai, tu ne sais pas cuisiner ? Aucune jugement, t'es même amusé et attendri par ses efforts, laisse-moi faire, on va rattraper ça
Petite séance cuisine à deux, tu lui apprends qu'il faut absolument de l'eau pour cuire des pâtes, que c'est meilleur avec un peu de sel, une petite tomate concassée dans la poêle, fraicheur d'un plat simple aux parfums d'italie, tu as trouvé un autre bout de poisson au frais, il manque un petit peu de basilic, et ça serait parfait. Deux assiettes sur le plan de travail, tu dresses avec un peu de goût, elle n'est pas la seule à vouloir impressionner on dirait. J'ai trouvé un truc que je pourrais t'apprendre : la cuisine , sourire malicieux et complice, tu lui tends son assiette avant de regarder le cochon qui se trouve à tes pieds, quoi ? Toi aussi tu veux manger ? Note, je comprend, si elle te fait à manger comme ça tous les jours, pauvre Cerdo.
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Re: (! shalia) i'll show mine if you show yours - hot
Lun 15 Avr 2019 - 17:22
Les aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer.
shalia
« Non. » Elle enlaçait Cerdo, le protégeant entre ses bras frêles, même si Sasha plaisantait. Le petit cochon était précieux, cher à son cœur. Il n’était pas qu’un simple animal de compagnie mais plus que cela, son partenaire, associé et celui qui partageait sa vie de manière stable. Lui, n’était jamais parti contrairement à Sasha. Pourtant, le brun changeait rapidement d’avis en venant caresser le cochon entre les bras de la fleur. Elle le portait à la manière d’un enfant, appuyé contre son épaule à lâcher des bruits de bonheur. Ce dernier faisait sourire Laelia. L’on pouvait voir une galaxie dans ses prunelles claires, des milliers d’étoiles toutes aussi brillantes les unes des autres, pépites éclatantes de bonheur. Cerdo au sol, l’animal qui faisait à peine la taille d’un chihuahua gambadait autour du duo, plus heureux que jamais. S’il savait quelle catastrophe était en train de se préparer, il ne serait sûrement pas aussi heureux.
L’orchidée sauvage jetait des pâtes dans une casserole ainsi que des dés de saumon dans une poêle brûlante. Tandis que la jolie admirait le travail de Sasha, une forte odeur de carboniser se rependait en même temps que le bruit strident de l’alarme incendie. Le tumulte apaisé, Laelia observait en silence les mouvements du professionnel de la gastronomie, entourant sa taille de ses bras frêles. « Je ne refuse pas des cours particuliers... » Pas sûre qu’elle reste longtemps concentrée avec un si bel enseignant. La malice dans les yeux, la jeune femme zieutait le plat du Muller avec une certaine admiration, un ravissement que la précieuse ne cachait pas. « J’ai hâte de goûter. » Ses doigts fuselés venaient pincer avec amusement sa chair au niveau de ses côtes, le poussant d’un coup de hanche bien placé. « Il est très heureux, n’est-ce pas mon bébé ? » La créatrice se baissait, attrapant l’animal qui ne cessait de sourire entre ses bras. Il y avait quelque chose d’adorable dans la contemplation de ces deux êtres opposés, un nuage d’amour et d’affection, l’un aimant éperdument l’autre.
La Texane s’en allait doucement à l’extérieur où le ciel s’était vêtu d’une teinte orangée, couleur navel. C’était d’une poésie drastique, la symbiose d’un nuancier chaleureux, tendre, rassurant. Déposant son postérieur bien en chair contre le divan extérieur, la tornade se glissait entre les bras de Sasha, allongeant avec élégance et grâce ses jambes sur le côté. L’assiette contre ses cuisses découvertes, elle goûtait lentement le plat : il n’y avait pas à dire, les plats cuisinés à la maison étaient succulents. « C’est très bon. » Le soleil était touché de cette attention. La chaleur s’immisçait en elle, sentiment de reconnaissance et de gratitude. Cela lui avait manqué, plus que Laelia osait l’imaginer. La danseuse terminait rapidement son plat, appétit monstre d’une femme à l’hygiène de vie bancale. Ses ongles passaient contre une de ses cuisses, le visage lové sur l’épaule forte du sorcier. « Tu m’as manqué. » Aucun échange visuel, la jolie n’en était pas capable. C’était si dur pour elle de parler ouvertement de ses ressentis, émotions, prisonnière d’une cellule de pudeur. « Énormément. »
L’orchidée sauvage jetait des pâtes dans une casserole ainsi que des dés de saumon dans une poêle brûlante. Tandis que la jolie admirait le travail de Sasha, une forte odeur de carboniser se rependait en même temps que le bruit strident de l’alarme incendie. Le tumulte apaisé, Laelia observait en silence les mouvements du professionnel de la gastronomie, entourant sa taille de ses bras frêles. « Je ne refuse pas des cours particuliers... » Pas sûre qu’elle reste longtemps concentrée avec un si bel enseignant. La malice dans les yeux, la jeune femme zieutait le plat du Muller avec une certaine admiration, un ravissement que la précieuse ne cachait pas. « J’ai hâte de goûter. » Ses doigts fuselés venaient pincer avec amusement sa chair au niveau de ses côtes, le poussant d’un coup de hanche bien placé. « Il est très heureux, n’est-ce pas mon bébé ? » La créatrice se baissait, attrapant l’animal qui ne cessait de sourire entre ses bras. Il y avait quelque chose d’adorable dans la contemplation de ces deux êtres opposés, un nuage d’amour et d’affection, l’un aimant éperdument l’autre.
La Texane s’en allait doucement à l’extérieur où le ciel s’était vêtu d’une teinte orangée, couleur navel. C’était d’une poésie drastique, la symbiose d’un nuancier chaleureux, tendre, rassurant. Déposant son postérieur bien en chair contre le divan extérieur, la tornade se glissait entre les bras de Sasha, allongeant avec élégance et grâce ses jambes sur le côté. L’assiette contre ses cuisses découvertes, elle goûtait lentement le plat : il n’y avait pas à dire, les plats cuisinés à la maison étaient succulents. « C’est très bon. » Le soleil était touché de cette attention. La chaleur s’immisçait en elle, sentiment de reconnaissance et de gratitude. Cela lui avait manqué, plus que Laelia osait l’imaginer. La danseuse terminait rapidement son plat, appétit monstre d’une femme à l’hygiène de vie bancale. Ses ongles passaient contre une de ses cuisses, le visage lové sur l’épaule forte du sorcier. « Tu m’as manqué. » Aucun échange visuel, la jolie n’en était pas capable. C’était si dur pour elle de parler ouvertement de ses ressentis, émotions, prisonnière d’une cellule de pudeur. « Énormément. »
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Re: (! shalia) i'll show mine if you show yours - hot
Mer 24 Avr 2019 - 19:19
Les aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer
shalia
Mélange de naïveté touchante et de protection farouche, tu ricanes face à la réaction de la demoiselle. Elle aime son animal, tu le vois, ça transparaît dans sa manière de le regarder, dans la façon presque maternelle qu'elle le porte. Une fois au sol, l'animal gambade joyeusement sous ton regard à la fois curieux et amusé. Rapidement, la cuisine délicieuse promise par la fleur tourne au vinaigre, si seulement tu avais su. Pas de panique. Gestes assurés, tu prends la relève essayant de sortir un plat correcte avec ce qu'il reste de disponible, les bras de la brune venant enserré ta taille, tu souris en la regardant on va vraiment y penser, je ne voudrais pas que tu meurs de faim dis-tu en laissant glisser ta tête sur la sienne. Le cochon semble intéressé par l'odeur, tu la taquines par le biais de l'animal et la réponse ne se fait pas attendre, ses doigts pincent ta chaire et tu ries en t'échappant maiiiis, je sais que tu ne peux pas résister à mon corps, mais s'il te plait, laisse moi terminer, j'ai faim !. Tu sers deux assiettes et suis la demoiselle à l'extérieur, prenant place sur l'un des fauteuil, rapidement rejoints par Laelia et son assiette. La brune s'installe entre tes jambes, tu lui fais de la place tout en avalant rapidement le contenu de l'assiette, tu meurs de faim et même si ce n'est pas le meilleur repas de la semaine, tu apprécies néanmoins le plat. C'est très bon, le compliment te touche sincèrement, tu souris en la regardant du coin de l’œil. Assiette terminée, tu la déposes sur le côté pour passer tes bras autour de la taille fine de la danseuse. Son visage dans ton cou, elle lâche une bombe, tu m'as manqué, tu sens son corps se tendre légèrement après cet aveux. Culpabilité monstre qui te ronge, tes doigts glissent lentement contre son côté, caresses silencieuse, tu resserres un brin l'étreinte, relevant la jambe pour plus de confort. Il aura fallu que je te retrouve pour comprendre que toi aussi, tu m'as manqué, princessa. Il aura fallu que vos routes se croisent à nouveau, que sa présence te réconforte dans un moment sombre pour que tu prennes la mesure de l'importance que la jolie fleur avait dans ta vie, pour que tu réalises que sa présence t'avait réellement manqué. Je suis con, tu le sais depuis longtemps, sourire d'excuse qu'elle ne voit pas, mais qui reste là, protecteur, tes lèvres se déposent sur le sommet de son crâne, le regard sur l'horizon, cette journée fût inattendue, mais tu ne regrettes absolument rien ; tu aimes la jeune femme qu'elle semble devenir et, cette fois, tu ne la laisseras pas tomber.
(c) DΛNDELION
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