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(kashlyn) symphonie onirique.
Lun 25 Mar 2019 - 21:22
symphonie onirique
Kashlyn
La campagne écossaise avait un charme incomparable et unique. Un lieu apaisant, qui reprenait ses couleurs vives après un hiver rude. Le soleil brillait, la rosée matinale avait humidifié l’herbe et les fleurs, les plantes étaient en forme, gorgées de vitamines et de minéraux. Plus loin, une vaste étendue verdoyante qui ne semblait pas avoir connu l’agressivité du vent et l’humidité de la neige. Une maison se tenait au centre, une sorte de chalet confortable que le jeune couple avait loué pour le fameux jour de l’union, leur symbiose. Il n’y avait aucune civilisation autour, juste eux. Une petite structure en bois se tenait un peu plus loin, sur le dessus, tenait une arche garnie de fleurs. Le tout avait été construit par les futurs mariés, quelque chose à leur image : simple et naturel. À l’intérieur de la maison, Evelyn se préparait. Les sentiments qu’elle ressentait étaient indescriptibles, mélange d’anxiété, de stress, d’inquiétude et d’excitation. Jamais dans sa vie, la Blackwood ne s’était imaginée dans une telle situation : elle, sur le point de se marier. Il y avait donc, sur cette terre, quelqu’un d’assez fou pour oser la demander en mariage.
La discussion avait toujours été un fort chez eux, de manière à se mettre d’accord sur le cadre et l’organisation. Ils voulaient se retrouver eux deux et un membre du ministère pour les unir officiellement. Evelyn avait recoupé ses cheveux, un carré droit. Sa chevelure brune était d’ailleurs dépourvue de coiffure, juste coiffée, des mèches coincées derrière les oreilles. À peine maquillée, c’était ainsi que la libraire se sentait belle. Et puis, venu le temps de la robe. C’était une élève en textile qui avait fabriqué sa robe et la tornade la trouvait magnifique. Elle l’enfilait, plus belle que jamais.
Perchée sur ses talons aiguilles, Eve sortait de la cabane et marchait le long du chemin en bois qui menait à la place centrale où Kashmiri ainsi que le mage l’attendait. Son sourire illuminait son visage, ils étaient tous éclairés par l’astre rayonnant. Ses doigts glissaient contre la paume tendue du Libanais, l’émotion était déjà présente. « Tu es magnifique. » Le voile glissait contre ses épaules et Victor était installé sur l’épaule du mage. Ses paumes dans celles de Kashmiri, Evie le regardait, des étoiles pleins les yeux, l’amour, le vrai, les cœurs qui battaient à l’unisson.
La discussion avait toujours été un fort chez eux, de manière à se mettre d’accord sur le cadre et l’organisation. Ils voulaient se retrouver eux deux et un membre du ministère pour les unir officiellement. Evelyn avait recoupé ses cheveux, un carré droit. Sa chevelure brune était d’ailleurs dépourvue de coiffure, juste coiffée, des mèches coincées derrière les oreilles. À peine maquillée, c’était ainsi que la libraire se sentait belle. Et puis, venu le temps de la robe. C’était une élève en textile qui avait fabriqué sa robe et la tornade la trouvait magnifique. Elle l’enfilait, plus belle que jamais.
Perchée sur ses talons aiguilles, Eve sortait de la cabane et marchait le long du chemin en bois qui menait à la place centrale où Kashmiri ainsi que le mage l’attendait. Son sourire illuminait son visage, ils étaient tous éclairés par l’astre rayonnant. Ses doigts glissaient contre la paume tendue du Libanais, l’émotion était déjà présente. « Tu es magnifique. » Le voile glissait contre ses épaules et Victor était installé sur l’épaule du mage. Ses paumes dans celles de Kashmiri, Evie le regardait, des étoiles pleins les yeux, l’amour, le vrai, les cœurs qui battaient à l’unisson.
(c) DΛNDELION
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Re: (kashlyn) symphonie onirique.
Mer 27 Mar 2019 - 21:19
« symphonie onirique »
Apaisante et stimulante, la campagne écossaise allait accueillir l’union de la tempétueuse Blackwood et du calme Sanahuja. Un mariage fou, certainement dingue, mais assurément désiré. Cette union était détonante, mais quoiqu’on en dise il fallait admettre qu’ils se complétaient bien tous les deux. Depuis l’épisode de la ville aquatique italienne, Kashmiri ne s’était plus absenté. Et surtout, il s’était repris, totalement repris. Il n’avait plus touché à aucune substance illicite – ce qui d’ailleurs en soi ne lui ressemblait pas – et puis il avait assidument repris le cours de ses études de médicomagie. Dans quelques mois à peine elles seraient terminées et il faudrait penser à l’avenir. Avenir qu’il dessinait dès aujourd’hui avec sa compagne, celle qui avait accepté de vivre à ses côtés. Alors ils avaient décidé de s’unir officiellement l’un à l’autre et pour ce faire, ils avaient construit un formidable petit chalet de bois aux allures d’antan. L’élément dont le sorcier était le plus fier résidait en l’arche de fleurs qui ornait paisiblement la maisonnette. Lorsqu’il admirait ce petit coin de paradis, il se disait qu’il leur ressemblait. L’adéquation était totale. L’adéquation était parfaite.
Alors l’organisation avait été très simple à penser : eux deux, sans rien ni personne d’autre qu’eux – sauf si l’on comptait le représentant de la loi sorcière qui serait là pour les unir. L’on pourrait se dire que ce choix est égoïste ou qu’un tel mariage serait un évènement au rabais. Or, ce n’était absolument pas le cas. Kashmiri était déjà présent aux côtés du sorcier envoyé par le Ministère de la Magie. Le soleil était radieux, resplendissant. Il était vêtu d’un costume de haute couture qu’il trouvait parfaitement en accord avec son allure typée et sa chevelure soyeuse qui lui tombait sur les épaules. Ses cheveux, étaient coiffés d’une façon tout à fait inédite. Pour la bonne cause, l’homme avait souhaité tester quelque chose de différent et il ne regrettait en rien. L’érudit lança un clin d’œil peu rassuré à son niffleur. En l’instant lui seul comprendrait son état d’anxiété : est-ce qu’elle allait venir ? Est-ce que Eve sortirait du chalet pour venir jusqu’à lui ?
Le regard du brun papillonna sur le coup. Elle était splendide, renversante depuis la distance qui les séparait. S’il s’écoutait, il se serait déjà précipité pour lui proposer son bras et l’accompagner jusqu’au lieu de la cérémonie. Mais il devait se conformer aux coutumes, et un tel acte ne saurait être toléré. Alors il patienta, l’admirant avancer jusqu’à eux dans cette robe aux reflets immaculés. Le tissu était noble et délicat à n’en pas douter. Le regard esthétique du Lufkin ne le trompait que rarement sur de tels détails. Sa nouvelle coiffure lui allait à ravir également. Ils formaient un très beau couple, et sans prétention aucune il pouvait enfin se permettre de le penser. Lui tendant la main d’un geste élégant, le libanais ne pouvait détourner les émotions qui lui montaient aux yeux. Ses iris légèrement brillants, il l’accueillit avec un sourire élargi.
- Et toi tu es resplendissante. D’ailleurs, il lui adressa un sourire avisé, pour reprendre les termes de Saint-Augustin, ‘’Quand l’amour grandit en toi, la beauté fait de même’’. Alors je ne suis pas étonné de te voir ainsi, aussi belle.
Il n’avait pu s’empêcher une telle citation. Le voilage recouvrant le visage de la mariée tomba, laissant apercevoir le regard pétillant de sa belle et tendre Evelyn. Regards légèrement embrumés par l’émotion.
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Re: (kashlyn) symphonie onirique.
Jeu 28 Mar 2019 - 9:24
symphonie onirique
Kashlyn
Plus les préparatifs avançaient, plus les pulsations de son cœur s’emballaient à n’en plus finir. La situation avait tout d’irréel et un rire nerveux franchissait la barrière de ses lèvres. Jamais, de toute sa foutue existence, la jeune femme s’était imaginée sur le point de se marier, fidèle au premier homme qui lui faisait découvrir chaque jour ce qu’était l’amour. Lentement, ses ongles glissaient contre sa chevelure et fixaient le voile délicat, se regardant un long moment. Si Evelyn avait toujours été la femme qui crachait sur l’amour et le mariage, il semblait bien que la brune ait plongé dedans, la tête la première. Ironie du sort. Enfin, la princesse quittait le chalet et avançait le long du ponton, seul le bruit de ses talons aiguilles contre le sol se faisait entendre. Elle était à couper le souffle la libraire, rayonnante à la manière d’un rayon de soleil, si ce n’était pas plusieurs, tant Evie était heureuse.
Sa paume chaude glissait dans celle de Kashmiri qui la guidait devant le mage. De là, face à elle, leurs mains étaient liées, tous deux noyés dans les iris de l’autre. Un sourire immortel aux lèvres, l’écossaise le regardait, le Lufkin était sublimé par ce costume. « Car l’amour est la beauté de l’âme. » Ajoutait la brune, complétant ainsi la citation prononcée par Kashmiri. Ses doigts se resserraient contre ceux du Libanais. Le cœur qui battait la chamade, le mage, qui était également témoin, finissait par prononcer le discours ordinaire de chaque mariage. Il rappelait qu’ils étaient ici pour célébrer l’union de deux âmes, les lier à tout jamais. Le mariage signifiait l’engagement et la fidélité à vie, demandant ainsi aux jeunes époux si c’était ainsi qu’ils percevaient le mariage. « Oui. » Le petit Niffleur semblait prendre son rôle de témoin à cœur et gazouillait lorsque le mage lui demandait s’il approuvait cette union.
Sourire attendri sur les lèvres de la jeune femme, le sorcier prenait la boîte des alliances que lui avait confié Victor. Et là, ses prunelles claires glissaient à nouveau dans celles de Kashmiri, tandis que l’homme plus âgé commençait à prononcer les vœux, voile brumeux qui rendait moins nette sa vision le temps d’un instant.
Sa paume chaude glissait dans celle de Kashmiri qui la guidait devant le mage. De là, face à elle, leurs mains étaient liées, tous deux noyés dans les iris de l’autre. Un sourire immortel aux lèvres, l’écossaise le regardait, le Lufkin était sublimé par ce costume. « Car l’amour est la beauté de l’âme. » Ajoutait la brune, complétant ainsi la citation prononcée par Kashmiri. Ses doigts se resserraient contre ceux du Libanais. Le cœur qui battait la chamade, le mage, qui était également témoin, finissait par prononcer le discours ordinaire de chaque mariage. Il rappelait qu’ils étaient ici pour célébrer l’union de deux âmes, les lier à tout jamais. Le mariage signifiait l’engagement et la fidélité à vie, demandant ainsi aux jeunes époux si c’était ainsi qu’ils percevaient le mariage. « Oui. » Le petit Niffleur semblait prendre son rôle de témoin à cœur et gazouillait lorsque le mage lui demandait s’il approuvait cette union.
Sourire attendri sur les lèvres de la jeune femme, le sorcier prenait la boîte des alliances que lui avait confié Victor. Et là, ses prunelles claires glissaient à nouveau dans celles de Kashmiri, tandis que l’homme plus âgé commençait à prononcer les vœux, voile brumeux qui rendait moins nette sa vision le temps d’un instant.
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Re: (kashlyn) symphonie onirique.
Jeu 4 Avr 2019 - 21:21
« symphonie onirique »
C’est tout comme il l’avait imaginé. Comme à la télévision, ou plutôt comme dans ces œuvres moldues. Littéraire qu’il était. S’il s’était toujours dit que le mariage n’était pas garant de la qualité d’une relation amoureuse, Kashmiri n’avait jamais cessé de penser qu’il était un acte noble et symbolique. Engageant, certes, mais d’une beauté innommable. Son caractère y était pour beaucoup. A la fois possessif et romantique, il n’en restait pas moins attaché aux valeurs de la fidélité et de l’union. Solitaire dans l’âme, le fait qu’ils soient seuls ce jour n’avait rien d’étonnant. Contact chaud de leurs mains qui se joignaient, la jolie libraire terminait la réplique du brun avec une facilité qui ne le surprenait guère. Littéraire, elle aussi. Tous deux se complétaient à merveilles, si bien même que l’on pourrait croire à un récit romantique rédigé par la main d’un artiste. Sourire illuminé par de telles déclarations, le Lufkin l’attirait davantage vers lui, sentant ses phalanges se faire plus pressantes contre les siennes. Discours classique mais toutefois rodé du représentant du Ministère de la Magie. A ces paroles, l’étudiant aurait presque été tenté de lever les yeux au ciel. Néanmoins, il eut le réflexe de se retenir, il n’était pas là pour critiquer les sphères politiques et représentatives, mais il fallait bien admettre que le tout était remarquablement cliché. Peu importe. Signe de tête approbateur suite aux mots de l’homme en question. Leur seul témoin n’était autre que Victor, leur Niffleur, car au final il avait rapidement adopté Eve. D’ailleurs, il signerait de sa patte sur le contrat de mariage. C’était un impératif auquel le libanais ne voulait pas se détourner.
Pour ses vœux, Kashmiri Sanahuja avait sélectionné un poème de Marceline Desbordes-Valmore, nommé Le Serment. Le titre était évocateur, tout comme le choix de son auteure qui témoignait des goûts du brun en terme de littérature française. Le représentant de l’Etat Sorcier débuta alors le poème sélectionné par l’étudiant qui resserrait ses mains autour de celles de sa belle. Larmes qui montaient aisément à ses yeux au fur et à mesure que la lecture de ses vœux se faisait. Fronçant légèrement les sourcils, le futur médicomage stoppa l’homme en pleine lecture.
- Je souhaiterais pouvoir lire mes propres vœux. Si vous m’en donnez la permission ?
Il reçut une réponse positive. Après tout, c’était son mariage, son épouse, alors il comptait bien y mettre les formes et exprimer ses ressentis aux travers de ses propres vœux. Sans avoir besoin de feuille de papier, Kashmiri reprit les mains de sa tempétueuse Blackwood, plaçant son regard noisette dans le sien, bien plus clair mais tout aussi délicat.
Idole de ma vie,
Mon tourment, mon plaisir,
Dis-moi si ton envie
S'accorde à mon désir ?
Comme je t'aime en mes beaux jours,
Je veux t'aimer toujours.
Donne-moi l'espérance ;
Je te l'offre en retour.
Apprends-moi la constance ;
Je t'apprendrai l'amour.
Comme je t'aime en mes beaux jours,
Je veux t'aimer toujours.
Sois d'un cœur qui t'adore
L'unique souvenir ;
Je te promets encore
Ce que j'ai d'avenir.
Comme je t'aime en mes beaux jours,
Je veux t'aimer toujours.
Vers ton âme attirée
Par le plus doux transport,
Sur ta bouche adorée
Laisse-moi dire encore :
Comme je t'aime en mes beaux jours,
Je veux t'aimer toujours.
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Re: (kashlyn) symphonie onirique.
Ven 5 Avr 2019 - 7:27
symphonie onirique
Kashlyn
Malgré l’humidité qui lui montait aux yeux, Evelyn avait un sourire gravé aux lèvres, dont elle ne pouvait se passer. L’instant était beau, bouleversant pour cette handicapée des sentiments. Ses mains étaient couvées par celles de son futur époux alors que le mage récitait les lignes de son parchemin. C’est ainsi qu’il demandait aux époux s’ils s’engageaient, à chérir l’autre dans toutes les situations, quelque chose comme cela, la brune était submergée par l’émotion, en oubliant la plupart des mots du mage. Cependant, la jolie faisait un effort et récitait convenablement les vœux. « Je m’y engage. » Le niffleur laissait émettre des bruits de satisfaction, ce qui faisait sourire la petite brune. Kashmiri, lui, décidait d’interrompre le poème choisi pour sa femme, prenant la parole tandis que des perles humides glissaient sur ses joues. Libérant une paume, celle-ci glissait contre le visage du Libanais, récoltant les précieuses d’un sourire tendre. « Je promets de t’aimer jusqu’à mon dernier souffle. »
Il semblait que le mage essuyait quelques larmes face à tant d’amour. Pas de doute à avoir, ils étaient tous si heureux. Le mage faisait flotter son parchemin désormais afin de faire signer les époux. Le niffleur mettait également la trace de sa patte sur le papier officiel, à côté de la signature du mage, avant de sortir les alliances. La sienne enfilée de manière précise par l’érudit, elle en faisait de même, sans le quitter du regard. L’union était sur le point de se terminer, il ne manquait plus qu’une étape : celle du baiser sacré. Leurs mains se défaisaient et Evie en glissait une contre sa joue, mêlant leurs lèvres ensemble sous les applaudissements enthousiastes des deux témoins. « Vous êtes officiellement mariés ! Je me charge de déposer ceci au Ministère de la Magie. » Annonçait le mage.
Il semblait que le mage essuyait quelques larmes face à tant d’amour. Pas de doute à avoir, ils étaient tous si heureux. Le mage faisait flotter son parchemin désormais afin de faire signer les époux. Le niffleur mettait également la trace de sa patte sur le papier officiel, à côté de la signature du mage, avant de sortir les alliances. La sienne enfilée de manière précise par l’érudit, elle en faisait de même, sans le quitter du regard. L’union était sur le point de se terminer, il ne manquait plus qu’une étape : celle du baiser sacré. Leurs mains se défaisaient et Evie en glissait une contre sa joue, mêlant leurs lèvres ensemble sous les applaudissements enthousiastes des deux témoins. « Vous êtes officiellement mariés ! Je me charge de déposer ceci au Ministère de la Magie. » Annonçait le mage.
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Re: (kashlyn) symphonie onirique.
Sam 13 Avr 2019 - 22:24
« symphonie onirique »
Mains liées. Engagements et vœux échangés. Tu terminais le poème que tu avais sélectionné pour l’occasion. Tu es ému, tu ne saurais le cacher. L’émotion se lit clairement dans ton regard noisette, toi, le Lufkin aussi émotif qu’artiste dans l’âme. Vos tenues sont tout aussi belles que l’instant que vous partagez. Evelyn et toi avez toujours eu des goûts très prononcés en matière de mode sorcière, il était évident que vous seriez impeccables pour votre union solennelle. Au rythme de vos engagements, donc, le petit Victor caquetait et semblait réaliser une suite de gestes de ses pattes, semblable à une danse. Cette vision t’arracha un sourire amusé qui contrastait avec les quelques larmes qui coulaient sur ton visage, perles d’ivresse amoureuse rapidement recueillies par la paume de ta tendre moitié. D’un léger mouvement, tu embrassais cette main qui était tout contre ta joue.
- Et moi de te chérir jusqu’à la fin de mes jours, esquisses-tu dans un sourire ému.
Tu détournais la tête, ta chevelure de jais accompagnant ta posture avec grâce. Tu pouvais aisément lire l’émotion sur le visage du mage qui était en charge d’officialiser votre mariage. Tu laissais signer ton épouse avant de saisir toi-même la plume qu’elle te tendait, inscrivant ta signature sur le parchemin lévitant de ton écriture fine et raffinée. A l’écrit, le nom ‘’Blackwood’’ a laissé place à celui de ‘’Sanahuja’’. Tu réalises enfin vraiment ce qu’il en est. A vrai dire, il était difficile pour toi de te dire que tu serais bientôt marié. Difficile dans le sens où tu en avais toujours rêvé, sans trop savoir comment cela allait se passer. Et désormais tu y étais. Sans appréhension, sans angoisse. Rien que l’instant présent. Alliances échangées à la mesure de vos regards appuyés. Baiser sacré dont on ressentait l’amour et la passion, autant que l’émotion. Les quelques applaudissements qui arrivaient jusqu’à toi te firent sourire de plus belle. Rien ne pourrait gâcher cette journée. Alors que l’homme du gouvernement leur indiquait les formalités restantes, tu tendais un bras vers lui pour récupérer Victor qui se nichait déjà sur ton épaule, tapotant ses petites pattes avec joie. Tu remerciais chaleureusement le représentant du Ministère et le regardait partir. Enfin, tu te tournais vers celle qui était tienne, la détaillant de ton regard bienveillant.
- Madame Sanahuja est ravissante, lui adresses-tu dans un rire. Est-ce que tu réalises ?
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Re: (kashlyn) symphonie onirique.
Sam 13 Avr 2019 - 22:53
symphonie onirique
Kashlyn
Les hommes avec une sensibilité particulière avaient toujours plu à la sulfureuse libraire. De son métier, il n’était pas rare de croiser des personnes ayant un goût prononcé pour la littérature et ses multiples aspects renversants. Ainsi, Evelyn ne s’étonnait pas d’être tombée amoureuse de Kashmiri, non. Il était si différent d’elle et malgré cela, ils se trouvaient régulièrement des points communs. Le seul contraste était dans leur réaction à gérer le stress ou les soucis : là où Evie était un volcan en pleine éruption, Kashmiri était calme, trouvant toujours les bons mots pour détendre la petite brune. C’était donc tout naturellement que ses doigts récupéraient les perles humides du Libanais, les capturant contre sa chair pâle afin de les garder égoïstement pour elle.
Le mage semblait aussi ému qu’eux, au même titre que Victor qui cachait difficilement son excitation. Enfin, le sorcier finissait par disparaître au loin, transplanant avec un certain professionnalisme en direction du Ministère de la magie. Son regard croisait celui de son époux, glissant ses bras autour de ses épaules, affichant un sourire amusé. « Absolument pas. J’ai l’impression que c’est un rêve, que ce genre de chose ne peut pas m’arriver. » Le pouce d’Eve glissait contre la barbe de l’étudiant. « Sauf que c’est réel et… J’adore cette idée. » Ses yeux brillaient, le regardant avec tendresse et affection. « Mais maintenant, je pense que nous avons quelque chose de plus particulier à faire… » Les pulpes de la jeune femme se posaient contre celles de Kashmiri, l’embrassant sensuellement avant de prendre le chemin vers la cabane, plus complices que jamais.
Les jeunes mariés s’étaient laissés aller au plaisir de la chair et après cela, avaient décidé de s’allonger sur une nappe de pique-nique, à même l’herbe de la campagne. Ils n’avaient pas pris la peine de se rhabiller, leurs corps nu simplement couvert d’un plaid plus chaud. Seuls au monde dans leur bulle. Allongée sur le ventre, la tornade déposait son visage contre la ceinture abdominale de l’érudit, caressant lentement sa peau du bout de ses doigts. « Avant de te croiser, j’avais peur de me mettre en couple, de tomber amoureuse et même de me marier… » Evelyn plongeait son regard dans le sien. « Tu me fais avoir moins peur de tout, peut-être même des enfants. » Même s’il était trop tôt pour y songer, il était important aux yeux de sa belle de lui montrer tout ce qu’il avait apporté comme changements positifs dans sa vie, autrefois bancale et monotone. « Avec toi, je n’ai pas peur. » La libraire se redressait et venait lui voler quelques baisers, un sourire rayonnant aux lèvres. « Je suis folle de toi. »
Le mage semblait aussi ému qu’eux, au même titre que Victor qui cachait difficilement son excitation. Enfin, le sorcier finissait par disparaître au loin, transplanant avec un certain professionnalisme en direction du Ministère de la magie. Son regard croisait celui de son époux, glissant ses bras autour de ses épaules, affichant un sourire amusé. « Absolument pas. J’ai l’impression que c’est un rêve, que ce genre de chose ne peut pas m’arriver. » Le pouce d’Eve glissait contre la barbe de l’étudiant. « Sauf que c’est réel et… J’adore cette idée. » Ses yeux brillaient, le regardant avec tendresse et affection. « Mais maintenant, je pense que nous avons quelque chose de plus particulier à faire… » Les pulpes de la jeune femme se posaient contre celles de Kashmiri, l’embrassant sensuellement avant de prendre le chemin vers la cabane, plus complices que jamais.
Les jeunes mariés s’étaient laissés aller au plaisir de la chair et après cela, avaient décidé de s’allonger sur une nappe de pique-nique, à même l’herbe de la campagne. Ils n’avaient pas pris la peine de se rhabiller, leurs corps nu simplement couvert d’un plaid plus chaud. Seuls au monde dans leur bulle. Allongée sur le ventre, la tornade déposait son visage contre la ceinture abdominale de l’érudit, caressant lentement sa peau du bout de ses doigts. « Avant de te croiser, j’avais peur de me mettre en couple, de tomber amoureuse et même de me marier… » Evelyn plongeait son regard dans le sien. « Tu me fais avoir moins peur de tout, peut-être même des enfants. » Même s’il était trop tôt pour y songer, il était important aux yeux de sa belle de lui montrer tout ce qu’il avait apporté comme changements positifs dans sa vie, autrefois bancale et monotone. « Avec toi, je n’ai pas peur. » La libraire se redressait et venait lui voler quelques baisers, un sourire rayonnant aux lèvres. « Je suis folle de toi. »
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Re: (kashlyn) symphonie onirique.
Lun 22 Avr 2019 - 19:29
« symphonie onirique »
Toi qui seras bientôt médicomage spécialisé en psychomagie, tu sais combien les relations sociales sont influencées à divers degrés par la similitude avec autrui, mais également par la complémentarité. Tu t’es longtemps demandé ce qu’une femme au sang-pur pouvait bien trouver à un homme né-moldu. Rien que sur ce point, tu t’es questionné durant de nombreux mois au point d’être bien incapable de trouver une quelconque réponse. En fait, tu as compris que l’amour véritable n’a pas à s’attacher aux questions des différences. Mais tu gardes toutefois à l’esprit que même en 2019, il existe encore bel et bien des mentalités qui n’évolueront jamais. Alors tu as espoir, tu veux croire en le fait que votre couple changera certains regards. Ou peut-être renforcera-t-il des opinions extrémistes. Tant pis pour eux.
Tes lèvres esquissent un tendre sourire en sentant sa main récupérer les quelques larmes qui viennent de perler au coin de ton regard. Tu ne le dis pas, tu n’as pas besoin de le faire, mais tu apprécies cette attention. Tu sais qu’elle le saura. Tu apprécies qu’elle accueille avec autant de facilité ton caractère émotif. C’est important pour toi d’être accepté tel que tu es, avec tes failles, mais également avec tes forces, aussi nombreuses les unes que les autres. Tes épaules se contractent légèrement en sentant ses bras les entourer. Ce contact est agréable et réconfortant. Ton sourire s’étend un peu plus, tu soupires d’amusement à ses propos. Tu ne réalises pas non plus. Pas vraiment en tout cas. Tu fermes les paupières en sentant son pouce se balader avec affection sur ta barbe parfaitement taillée. Tu te sens beau et aimé dans son regard. Autant que dans l’instant charnel que vous venez de partager. C’est un sentiment fabuleux pour un garçon comme toi qui as peiné à se faire confiance.
[…]
La scène te correspondait à merveilles. Toi, le Lufkin aux allures parfois nonchalantes et étranges. Tu acceptes volontiers cette caricature de littéraire que l’on veut bien faire de toi. Alors qu’au fond, tu es et tu seras toujours un homme de science, de par tes études notamment. Mais ton esprit artistique et intellectuel est également en pleine harmonie avec la nature. Ambiance paisible que tu retrouves là, couché à même le sol et complètement nu aux côtés de ta belle et sulfureuse épouse. A peine recouverts d’un voile de tissu, tu avais sa tête au niveau de ta taille alors que ses doigts caressaient sensuellement ta peau basanée. Tu l’attirais un peu plus contre toi alors qu’elle venait te voler plusieurs baisers à la suite. Tes phalanges parcouraient son épaisse chevelure ainsi que les courbes de son corps, s’arrêtant sur la courbure féline de ses hanches.
- Je rêvais de tels instants, sans forcément trouver la bonne personne avec qui les partager. Mais maintenant que tu es là, tout cela devient plus concret. Même s’il est difficile de réaliser que nous partageons un moment si parfait, admets-tu en détaillant son dos du bout de tes doigts. Quant aux enfants, peut-être que cela viendra plus tard, nous verrons bien. Je ne te presserais sur rien. Nous prendrons le temps qu’il faudra. Tout ce que je désire, c’est profiter de cette vie que je souhaite poursuivre à tes côtés. Tu es bien plus que mon épouse, Evelyn Sanahuja. Tu es ma partenaire, ma compagne de vie, la personne avec laquelle j’ai envie de tout connaître, souffles-tu contre ses pulpes que tu saisis avec fermeté entre les tiennes.
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Re: (kashlyn) symphonie onirique.
Lun 22 Avr 2019 - 20:20
symphonie onirique
Kashlyn
Sourire étincelant aux lèvres, il n’y avait qu’en étant (nue) dans ses bras que la jeune femme se sentait réellement complète. Relation différente de celle entretenue avec Sasha, elle avait longtemps pensé qu’il n’y avait que le fils Muller capable de la rendre heureuse. Problème d’ego, la libraire tairait à jamais ces pensées, consciente de l’incendie que son honnêteté pourrait déclencher. Kashmiri était rentré de manière aléatoire dans sa vie, une période où elle ne croyait plus en grand chose, alternant entre le travail et sa cellule dorée. Le visage contre le ventre de son époux, l’océan de ses iris se posait sur ce visage aux traits parfaits, cristallisation de l’être aimé, celui dont la tornade ne pouvait se passer.
Remontant jusqu’à son faciès, ils scellaient leurs lèvres ensemble, valse sulfureuse, les souffles qui s’entrechoquaient. Les caresses de l’étudiant la faisaient frissonner, alors qu’Evelyn ne quittait pas son regard, fascinée par sa moitié. Une paume contre la joue de Kashmiri, le bout de son nez se frottait délicatement contre son jumeau, éternelle risette accrochée aux lèvres. « C’est ce que j’ai toujours aimé chez toi. Tu t’es toujours accordé à moi, qu’importent mes défauts et mes irrégularités… Tu me laisses le temps sans jamais me presser ou me frustrer, de ce point-là, tu as toujours tenu ta promesse. » Serment scellé lors d’une entrevue improvisée à la libraire, là où le jeune homme l’avait mise dans tous ses états, allant jusqu’à accepter ses préjugés sur les relations et promettre de ne pas presser les choses. « Tu es le premier et le dernier amour de ma vie. » Les yeux pleins d’étoiles, la libraire souriait à pleines dents, heureuse, épanouie.
Délicate caresse de sa joue contre son épaule, Evelyn était lovée contre le corps musclé de son mari, tous deux entourés par les bruits reposants de la nature. « J’ai envie de tout connaître avec toi, que tu sois… le père de mes enfants. Qu’on construise notre maison aussi, entourés de notre tribut, de livres et de plantes. » Un éclat de rire traversait les frontières de ses commissures. « Avec des animaux et une famille de Niffleur. » Evelyn riait tendrement, amusée par les plans dressés, mais c’était bien les contours d’une vie parfaite qui se dessinaient dans son esprit. Lentement, la tempétueuse attrapait la paume de Kashmiri afin de la déposer contre son ventre. « Tu imagines ? Il y a quelque temps, je me serai mise à pleurer et à hurler en entendant de tels propos… Être marraine m’a changé. » Depuis la venue au monde des jumeaux, la jolie s’épanouissait en s’occupant d’eux, se découvrant une facette jusqu’alors inconnue.
Remontant jusqu’à son faciès, ils scellaient leurs lèvres ensemble, valse sulfureuse, les souffles qui s’entrechoquaient. Les caresses de l’étudiant la faisaient frissonner, alors qu’Evelyn ne quittait pas son regard, fascinée par sa moitié. Une paume contre la joue de Kashmiri, le bout de son nez se frottait délicatement contre son jumeau, éternelle risette accrochée aux lèvres. « C’est ce que j’ai toujours aimé chez toi. Tu t’es toujours accordé à moi, qu’importent mes défauts et mes irrégularités… Tu me laisses le temps sans jamais me presser ou me frustrer, de ce point-là, tu as toujours tenu ta promesse. » Serment scellé lors d’une entrevue improvisée à la libraire, là où le jeune homme l’avait mise dans tous ses états, allant jusqu’à accepter ses préjugés sur les relations et promettre de ne pas presser les choses. « Tu es le premier et le dernier amour de ma vie. » Les yeux pleins d’étoiles, la libraire souriait à pleines dents, heureuse, épanouie.
Délicate caresse de sa joue contre son épaule, Evelyn était lovée contre le corps musclé de son mari, tous deux entourés par les bruits reposants de la nature. « J’ai envie de tout connaître avec toi, que tu sois… le père de mes enfants. Qu’on construise notre maison aussi, entourés de notre tribut, de livres et de plantes. » Un éclat de rire traversait les frontières de ses commissures. « Avec des animaux et une famille de Niffleur. » Evelyn riait tendrement, amusée par les plans dressés, mais c’était bien les contours d’une vie parfaite qui se dessinaient dans son esprit. Lentement, la tempétueuse attrapait la paume de Kashmiri afin de la déposer contre son ventre. « Tu imagines ? Il y a quelque temps, je me serai mise à pleurer et à hurler en entendant de tels propos… Être marraine m’a changé. » Depuis la venue au monde des jumeaux, la jolie s’épanouissait en s’occupant d’eux, se découvrant une facette jusqu’alors inconnue.
(c) DΛNDELION
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Re: (kashlyn) symphonie onirique.
Sam 4 Mai 2019 - 16:46
« symphonie onirique »
Baisers échangés. Gestes tendres partagés. Le couple que vous formez a de quoi engendrer diverses émotions. Entre admiration et envie, jalousie et fascination, ce que vous dégagez en l’instant n’est que le fruit de votre amour. Sourire indéfectible accolé à tes lèvres, tu soupires d’amusement en sentant son nez se frotter au tien. Contact rassurant de sa main contre ta joue. Ses paroles bercent littéralement ton esprit. Tu n’es clairement pas un Lufkin pour rien. Tu as besoin de réfléchir à tout ce qui t’arrive, de poser des mots sur les expériences qui adviennent jusqu’à toi. En l’instant, c’est exactement ce que fait la jeune femme. Ce qu’elle vient de dire te rassures et te confortes en même temps. Pour toi, le couple c’est prendre en compte une relation tripartite : le partenaire, soi et enfin le couple. Cette conviction repose d'ailleurs sur une véritable théorie psychothérapeutique de couple que tu as étudié. C’est finalement sur ce type de relation que s’est construite la vôtre. Et c’est probablement ce qui la rend aussi solide et profonde. « Serment qui remonte à nos débuts » précises-tu dans un regard complice. Moments de séduction littéraire et d’attirance charnelle. Tu te souviens bel et bien de vos nombreux courriers échangés, rédigés et toujours donnés en main propre. Relation épistolaire encore d’actualité d’ailleurs. L’inspiration n’a de cesse.
Tes paupières se ferment un instant, tu te laisses bercer par les sons environnants. L’endroit est reposant, tu t’y sens parfaitement à l’aise. Tu te sens simplement toi. Toi-même. Sans aucune défaillance, sans aucun subterfuge. Rien. Ton regard s’éclaire lorsqu’il croise le sien suite à sa déclaration. « C’est beau, ce que tu viens de dire. Et quant à toi, tu es la dernière personne que je souhaite aimer ». Ta réponse est sincère. Cependant, te concernant tu ne peux pas prétendre ne pas avoir connu de relations sentimentales auparavant. Ce serait mentir. Mais ces relations n’avaient clairement rien à voir avec celle que tu entretiens avec ton épouse. « Personne n’a jamais su m’aimer comme toi » complètes-tu dans un baiser affectueux.
Ce qui vient ensuite te questionne légèrement. La belle mentionne l’idée que tu puisses être un jour le père de ses enfants. Tu ne t’attendais pas à cela. Jusqu’alors, tu pensais que la talentueuse Evelyn Sanahuja ne désirait pas avoir d’enfants. Tu mesures à ce sujet l’impact de ton influence sur elle. Influence positive puisqu’elle concerne une avancée de votre couple. Influence positive également dans la mesure où tu ne l’as jamais forcé sur ce point précis. Tu remontes une de tes mains sur ton torse pour saisir la sienne et l’enserrer délicatement. Tu ris en imaginant le fameux ‘’tribut de livres et de plantes’’. Vous êtes si similaires qu’il sera probablement réel ce tribut. Ton rire se mêle au sien dans un regard complice. Tu sens alors ta main guidée par ses soins jusqu’à son ventre. De toute évidence elle revient d’elle-même sur les pensées que tu as eues quelques secondes auparavant. « Je me faisais la même réflexion un peu plus tôt. Mais je ne suis pas certain que tu ais changé. Tu es restée la même, tu as évoluée, c’est tout. Une Evie 2.0 en quelque sorte » soulignes-tu dans un rire non dissimulé. « Tout comme j’évolue encore à tes côtés » confirmes-tu alors que ta main caresse lentement l’épiderme de son ventre. « Pour ce qui est de la famille de Niffleur, justement j’y songeais depuis longtemps … » admets-tu, regard fasciné, amusé.
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Re: (kashlyn) symphonie onirique.
Sam 4 Mai 2019 - 18:26
symphonie onirique
Kashlyn
Evelyn avait toujours aimé la nature, les animaux et tout ce qui s’en rapprochait : fille de la montagne et de la campagne, c’était dans un milieu pareil qu’elle s’imaginait bâtir une maison, semblable à un chalet et s’occuper de sa famille : à savoir Kashmiri et Sasha. Elles les avaient dans la peau, les deux amours de sa vie, les moteurs de son existence. Sourire amusé, Evie regardait son époux qui se laissait également détendre par l’environnement, propice à la sérénité. Maigre caresse contre son visage, la brune le regardait un instant avant de l’imiter, les rayons du soleil frappant délicieusement leur épiderme. Couleurs de peaux qui juraient l’un contre l’autre : peau cannelle contre diaphane, de quoi lui ôter un nouveau sourire en parcourant son ventre plat de sa paume, suivi par celle du Libabais. Ensemble, ils dessinaient des formes aléatoires sur son épiderme, là où des cicatrices se trouvaient il y a quelques mois. Désormais et grâce au Lufkin, il n’y avait plus aucunes trace. « Une Evie 2.0 ? Partons sur cette idée. » Regard clair redressé vers le jeune homme, ses lèvres baisaient sa barbe, les paillettes dans les iris.
Concernant le Niffleur, l’idée plaisait à la jolie qui se redressait sur un coude, tout en ne quittant pas Kashmiri du regard. « On essaiera de trouver un élevage si tu veux ? Je serai contente d’accueillir une petite Niffleur et les enfants qui vont avec. Tu penses que Victor aimerait ? » Evelyn finissait par se redresser en tailleur en attirant le brun à ses côtés. Tendrement, elle s’allongeait et le prenait contre elle, entre ses jambes, pour l’enlacer avec affection, le visage niché sur son épaule qu’elle détaillait de ses croissants de chairs. « J’aimerai beaucoup un chat de mon côté. » Rêve d’enfant, elle qui voulait un lion et un ours plus jeune. « Quand j’étais petite, j’ai demandé un lion et un ours pour mon anniversaire... Va savoir pourquoi ils ont refusé. » Éclat de rire cristallin suite aux propos légèrement ironiques, la petite Blackwood câlinait doucement son époux. Lui, entouré par les membres miniatures de sa femme, perchée sur un petit mètre cinquante-cinq. « On va faire à manger ? » Lança la belle en glissant une main le long de la chevelure ébène de l’étudiant. « Je meurs de faim. »
Concernant le Niffleur, l’idée plaisait à la jolie qui se redressait sur un coude, tout en ne quittant pas Kashmiri du regard. « On essaiera de trouver un élevage si tu veux ? Je serai contente d’accueillir une petite Niffleur et les enfants qui vont avec. Tu penses que Victor aimerait ? » Evelyn finissait par se redresser en tailleur en attirant le brun à ses côtés. Tendrement, elle s’allongeait et le prenait contre elle, entre ses jambes, pour l’enlacer avec affection, le visage niché sur son épaule qu’elle détaillait de ses croissants de chairs. « J’aimerai beaucoup un chat de mon côté. » Rêve d’enfant, elle qui voulait un lion et un ours plus jeune. « Quand j’étais petite, j’ai demandé un lion et un ours pour mon anniversaire... Va savoir pourquoi ils ont refusé. » Éclat de rire cristallin suite aux propos légèrement ironiques, la petite Blackwood câlinait doucement son époux. Lui, entouré par les membres miniatures de sa femme, perchée sur un petit mètre cinquante-cinq. « On va faire à manger ? » Lança la belle en glissant une main le long de la chevelure ébène de l’étudiant. « Je meurs de faim. »
(c) DΛNDELION
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Re: (kashlyn) symphonie onirique.
Mer 8 Mai 2019 - 20:17
« symphonie onirique »
Avec douceur, tu accompagnais ses gestes sur sa peau, dessinant çà-et-là des formes diverses sur le corps de ton épouse. Tu te souviens de l’état de son épiderme suite à laquelle que la belle avait subi. Tu lui as prodigué des soins avec attention et rigueur. Désormais elle n’avait plus aucune cicatrice. Une nouvelle fois, tu la percevais comme une survivante. Tu l’admires autant que tu l’aimes. Tu souris, ses pulpes détaillant la barbe qui orne ton visage aux traits délicats. Donc, l’idée d’une Evie 2.0 semble lui convenir. En tout cas, c’est comme cela que tu l’imagines. Une véritable renaissance. Silencieux, tu la regardes tandis qu’elle se relève, prenant appui sur son coude. Elle ne te quitte pas du regard et cela te convient amplement. Tu te sens bien, ainsi bercé par ses iris. « Je pense qu’un peu de compagnie lui ferait du bien. Il s’ennuie parfois. Et puis, il a l’âge d’être papa, en âge Niffleur bien sûr » plaisantes-tu, échanges complices.
Tu te niches auprès de la douce libraire qui te prenait tout contre son corps alors qu’elle déposait son menton sur ton épaule solide. Tu l’écoutes, avec attention, rire traversant tes lèvres suite au souvenir d’enfance partagé. « Un chat, ça devrait bien se passer avec Victor. Un lion par contre … Et alors un ours, j’en doute encore plus ! » Rétorques-tu sur un ton amusé. « Mais c’est à réfléchir » laisses-tu entendre alors que ton visage se collait au sien dans un mouvement de tendresse. « Allons-y », glisses-tu en te relevant, saisissant son corps frêle dans tes bras, transportant la jolie mariée jusqu’à la petite maison de campagne. Là, tu feras en sorte de lui cuisiner un repas typiquement libanais, une spécialité de tes origines. Cela dit, attentif, tu t’assureras de sélectionner uniquement des ingrédients en accord avec vos convictions alimentaires. Tous deux végétariens, tu n’auras aucune peine à lui confectionner un repas digne de ce nom.
RP terminé
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