- InvitéInvité
On passe sa vie à dire merci, merci à qui, à quoi. {Pandora & Lola .
Mar 16 Fév 2010 - 20:08
« Dear Pandora.
Tout d’abord je tenais vraiment à m’escuser pour ne pas avoir répondu à tes cinq dernières lettres, voir ne pas même avoir donné de nouvelles depuis ces deux dernières années, je ne sais pas si tu te souviens encore de moi, ta chère amie Lola qui as récemment fermé son cœur à toute chose humaine. Oh ma jolie Pandora si tu savais tout ce qui m’est arrivée, j’ai passé deux ans en enfer au sens littéraire bien sur mais je pense qu’il n’en est pas moins. J’ai royalement sombré comme une petite idiote, me laissant dépasser par les évènements, je ne contrôlais plus rien je suis devenue misérable, si seulement tu savais comme ma vie est horrible. La mort de Lily et Tom m’avais déjà anéanti mais les années ont passé et je me suis fais au fait que je ne les reverrais jamais mais ça tu le savait déjà, de toute façon il y a eu pire. Je suis tombée enceinte de je ne sais qui et je me suis décidée à garder le bébé alors que j’avais seulement dix-sept ans mais tu ne peux même pas imaginer à quel point c’est bon et apaisant de porter un être vivant en soit, je me suis senti humaine durant tout ce temps, je n’étais plus la même. Je ne buvais plus, ne fumais plus et personne ne s’aventurait dans mon lit, au départ ce fut dur de tout arrêter comme ça d’un coup mais l’idée de porter un enfant en moi était tellement inimaginable qu’elle m’en a donné le courage, comme quoi tout est possible. Seulement j’ai fait une fausse couche au bout de quatre mois, d’ailleurs je ne sais pas même pourquoi je suis encore de ce monde et pas mon bébé, je suis devenue une morte-vivante, je suis restais assise sur mon lit pendant des jours et des jours sans rien avaler, les gens de la communauté avait beau m’apporter à manger je ne touchais à rien à par à mes petites seringues qui étaient assez puissantes pour me plonger dans un sommeil long de deux jours, et après tout le mal que je me suis donnée, toute la souffrance que j’ai enduré je ne suis toujours pas morte, oui Lola est encore vivante son âme la lachée depuis longtemps mais elle respire et elle vie, c’est injuste. Mais le pire est à venir, j’étais tellement désemparée que je me suis laissée entrainner par un homme, mais ses propositions étaient toutes alléchantes, d’abord il me faisait quitter ma léthargie et ma chambre ravagée tout ça me permettais aussi de changer d’air, après il y avait de l’argent à la clé beaucoup d’argent, il fallait juste accepter de se voir mourir mais au point ou j’en étais je ne crois pas que ma mort aurait changé quelque chose ou autre à ma vie, la mort avait déjà emporté une partie de moi lorsque Lily et Tom c’étaient éteinds et le reste à la mort de l’enfant qui avait troné en moi pendant quatre petits et innocents mois. Je n’étais plus rien, juste un corps vide et dévasté par le chagrin, je ne t’ai pas écris plus tôt car je ne voulais pas te faire partager mon chagrin et puis comme je suis partie un peu partout en Amérique je n’ai eu non plus le temps d’écrire. Pandora, si tu savais tout ce que j’ai vu, la mort partout ou j’allais, la défaite, la souffrance et plus encore mais c’était le prix à payer pour être mulet, oui je sais c’est pitoyable et et c’était inconscient de ma part de faire ça, mais après un an de folie à avaler n’importe quoi, je me suis arrêtée et j’ai décidé de recommencer à zéro, il faut dire que je n’y serais pas arrivée sans l’aide précieuse d’un certain jeune homme. Enfin maintenant je suis des cours dans une école pas comme les autres si tu savais, tous les jours sont différent et plus délurés les uns que les autres et toi tu étudies où maintenant ? J’espère que tu m’en voudras pas trop de ne pas t’avoir écris pendant tout ce temps, et je promets de me rattraper sur les années à venir. Mes amitiés sincère, je t’embrasse avec tendresse, à bientôt.
Tout d’abord je tenais vraiment à m’escuser pour ne pas avoir répondu à tes cinq dernières lettres, voir ne pas même avoir donné de nouvelles depuis ces deux dernières années, je ne sais pas si tu te souviens encore de moi, ta chère amie Lola qui as récemment fermé son cœur à toute chose humaine. Oh ma jolie Pandora si tu savais tout ce qui m’est arrivée, j’ai passé deux ans en enfer au sens littéraire bien sur mais je pense qu’il n’en est pas moins. J’ai royalement sombré comme une petite idiote, me laissant dépasser par les évènements, je ne contrôlais plus rien je suis devenue misérable, si seulement tu savais comme ma vie est horrible. La mort de Lily et Tom m’avais déjà anéanti mais les années ont passé et je me suis fais au fait que je ne les reverrais jamais mais ça tu le savait déjà, de toute façon il y a eu pire. Je suis tombée enceinte de je ne sais qui et je me suis décidée à garder le bébé alors que j’avais seulement dix-sept ans mais tu ne peux même pas imaginer à quel point c’est bon et apaisant de porter un être vivant en soit, je me suis senti humaine durant tout ce temps, je n’étais plus la même. Je ne buvais plus, ne fumais plus et personne ne s’aventurait dans mon lit, au départ ce fut dur de tout arrêter comme ça d’un coup mais l’idée de porter un enfant en moi était tellement inimaginable qu’elle m’en a donné le courage, comme quoi tout est possible. Seulement j’ai fait une fausse couche au bout de quatre mois, d’ailleurs je ne sais pas même pourquoi je suis encore de ce monde et pas mon bébé, je suis devenue une morte-vivante, je suis restais assise sur mon lit pendant des jours et des jours sans rien avaler, les gens de la communauté avait beau m’apporter à manger je ne touchais à rien à par à mes petites seringues qui étaient assez puissantes pour me plonger dans un sommeil long de deux jours, et après tout le mal que je me suis donnée, toute la souffrance que j’ai enduré je ne suis toujours pas morte, oui Lola est encore vivante son âme la lachée depuis longtemps mais elle respire et elle vie, c’est injuste. Mais le pire est à venir, j’étais tellement désemparée que je me suis laissée entrainner par un homme, mais ses propositions étaient toutes alléchantes, d’abord il me faisait quitter ma léthargie et ma chambre ravagée tout ça me permettais aussi de changer d’air, après il y avait de l’argent à la clé beaucoup d’argent, il fallait juste accepter de se voir mourir mais au point ou j’en étais je ne crois pas que ma mort aurait changé quelque chose ou autre à ma vie, la mort avait déjà emporté une partie de moi lorsque Lily et Tom c’étaient éteinds et le reste à la mort de l’enfant qui avait troné en moi pendant quatre petits et innocents mois. Je n’étais plus rien, juste un corps vide et dévasté par le chagrin, je ne t’ai pas écris plus tôt car je ne voulais pas te faire partager mon chagrin et puis comme je suis partie un peu partout en Amérique je n’ai eu non plus le temps d’écrire. Pandora, si tu savais tout ce que j’ai vu, la mort partout ou j’allais, la défaite, la souffrance et plus encore mais c’était le prix à payer pour être mulet, oui je sais c’est pitoyable et et c’était inconscient de ma part de faire ça, mais après un an de folie à avaler n’importe quoi, je me suis arrêtée et j’ai décidé de recommencer à zéro, il faut dire que je n’y serais pas arrivée sans l’aide précieuse d’un certain jeune homme. Enfin maintenant je suis des cours dans une école pas comme les autres si tu savais, tous les jours sont différent et plus délurés les uns que les autres et toi tu étudies où maintenant ? J’espère que tu m’en voudras pas trop de ne pas t’avoir écris pendant tout ce temps, et je promets de me rattraper sur les années à venir. Mes amitiés sincère, je t’embrasse avec tendresse, à bientôt.
Ta jolie Lola. »
- InvitéInvité
Re: On passe sa vie à dire merci, merci à qui, à quoi. {Pandora & Lola .
Mer 17 Fév 2010 - 2:54
Lola && Pandora
« Ma Douce Lola,
Ne t’excuse pas, jamais.. Pas avec moi. Tu sais que ce mot est proscrit entre nous. Ma Lola, que c’est bon de recevoir ce papier jauni qui me manquait tant, de déchiffrer ta petite écriture, de sentir l’effluve de ta peau cubaine s’échapper de cette enveloppe opaline pour venir chatouiller mes narines, me replongeant dans les tourments de notre enfance. Voila de sombres mots auxquels je n’avais plus fait face depuis bien longtemps. Deux années, mon dieu ! Ma douce amie, je t’ai crue perdue dans l’au-delà, je t’ai crue volé par un ange funeste et perfide que je haïssais déjà de tout mon être. J’ai pensé ton cœur arrêté, tandis que le mien saignait abondamment de ne plus être relié au tien par ces bouts de papiers, fragiles messagers de nos malheurs passés. Ne te blâme pas de n’avoir eu le temps de m’écrire, mais je t’en conjure ne me plonge plus dans un silence si pesant, partage ton chagrin avec moi, toujours écris moi, un mot, une phrase, pour m’assurer que le souffle instable de la vie ne t’a pas quitté brutalement. Le sort qui s’est abattu sur toi m’attriste, et je brûle de douleur pour toi. Je ne puis comprendre la souffrance de la perte d’un enfant. Je ne sais le sentiment qui nous relie à cet être, mais cette émotion que tu me décris avec tant de ferveur me semble être l’amour le plus noble qu’il puisse exister. Tu l’as aimé d’un amour inconcevable pour la satyre esseulée que je suis. Mais je sais que bien souvent, aimer est chose aisée. Mais perdre est une épreuve atroce que les mots ont peine à décrire et grandir, l'ultime but à atteindre. Ma Lola, je ne peux concevoir ce que tes mots suivants m’indiquent, un homme t’as entrainé ? Qu’était-ce mon ange ? Que t’a-t’il fait faire ? Qu’as-tu fais ma Lola ? Si je pouvais ma belle cubaine, si je pouvais te sortir de cet enfer qui te ronge intérieurement, s’il m’était possible de t’offrir des ailes pour unique salut vers le paradis, seul lieu sacré qui mérite ta présence céleste ma douce, je le ferais sans attendre un instant. Je me veux libératrice, mais je ne puis qu’être un bourreau.. Pardonne-moi de ne pouvoir te sortir des abysses qui m’emprisonnent moi-même. Je ne puis t’apporter aucune recommandation, ma vie n’est qu’une suite de douleurs et de frasques sans fin. L’autodestruction et la perversion sont devenus les maîtres mots de ma conduite. Je me suis enfoncé dans un univers dont je suis devenue moi-même l’épicentre, embarquant avec moi des êtres innocents pour les offrir au diable. Je fais des erreurs et je suis perdue. Je voudrais tellement l’être avec toi, me plonger dans cette solitude qui me ronge à tes côtés, mêler ma souffrance à la tienne pour mieux pouvoir les supporter de nos quatre bras joints. Je me console de savoir qu’un être, doux messie, t’ait sorti de cette léthargie qui ronge mes entrailles comme elle a consumé les tiennes. Offre-moi son nom dans ta prochaine lettre je t‘en prie, que je puisse admirer de par son simple prénom, cet être qui t’a ramené à moi. Je me hâte de terminer ma correspondance pour pouvoir plus rapidement recevoir de tes nouvelles. Je ne sais où mon écriture se perdra, Lola, où te remettra-t-on cette lettre ? Je ne sais où tu es, ange volatil, ma tendre nomade… Est-ce Cuba qui te retient dans ton éternelle douleur ? Es-tu sur ta terre d’argile ? Où t’es-tu perdue dans une contrée nouvelle et exotique ? Pourquoi ne pas m’en dire plus ?! tu me tortures, l’attente de ta réponse me semblera infinie tant que je ne te sais pas en sécurité. Mais je me sens déjà plus apaisée si tu m’assures que ta vie reprend un nouveau cours. Quelle-est cette école si étrange dont tu me contes si peu ? Où est-elle et qu’y fais-tu ? Tant de questions encore noient mon esprit brumeux sous l’émotion de ta correspondance, tant de questions qui vont rester sans réponses attendant tes lumières pour m’éclairer. En attendant, je tenterai de répondre à tes interrogations. J’étudie au sein d’une université anglaise réputé, même université qui abrite Tristan, récent professeur. Une université au cœur de Norwich un village froid, enneigé, une contrée diaphane qui m’offre un aperçu de l’infini. J’habite un pays où les adolescents se terrent ensemble dans la solitude, la déchéance habitent les couloirs de l’établissement que je fréquente, et j’ai obtenu pour seule protection celle du diable. Je t’embrasse ma Lola, répond moi, au plus vite, je meurs de te savoir peut-être en danger. N’oublie pas l’amitié sincère que je te porte et offre moi je t’en prie une faveur.. Cette nuit ma douce, regarde la Lune en pensant à moi, qui vieille sur toi à l’autre bout de l’univers, dans une contrée éloignée et infiniment plus glaciale que la tienne. Pense à Tristan qui brûle de douleur en t’imaginant morte, pense à Cuba, l’été de tes 8 ans, et imagine ta vie avec intensité, imagine la, ferme les yeux fort et bouche toi les oreilles, tu entendras que je suis à tes côtés. Je te laisse, je dois parler à Tristan, son cœur explosera de te savoir en vie.. Écris-moi, ma tendre amie, et bien longuement, et reçois les mille et un baisers de l'amitié la plus tendre et la plus vrai.
Ne t’excuse pas, jamais.. Pas avec moi. Tu sais que ce mot est proscrit entre nous. Ma Lola, que c’est bon de recevoir ce papier jauni qui me manquait tant, de déchiffrer ta petite écriture, de sentir l’effluve de ta peau cubaine s’échapper de cette enveloppe opaline pour venir chatouiller mes narines, me replongeant dans les tourments de notre enfance. Voila de sombres mots auxquels je n’avais plus fait face depuis bien longtemps. Deux années, mon dieu ! Ma douce amie, je t’ai crue perdue dans l’au-delà, je t’ai crue volé par un ange funeste et perfide que je haïssais déjà de tout mon être. J’ai pensé ton cœur arrêté, tandis que le mien saignait abondamment de ne plus être relié au tien par ces bouts de papiers, fragiles messagers de nos malheurs passés. Ne te blâme pas de n’avoir eu le temps de m’écrire, mais je t’en conjure ne me plonge plus dans un silence si pesant, partage ton chagrin avec moi, toujours écris moi, un mot, une phrase, pour m’assurer que le souffle instable de la vie ne t’a pas quitté brutalement. Le sort qui s’est abattu sur toi m’attriste, et je brûle de douleur pour toi. Je ne puis comprendre la souffrance de la perte d’un enfant. Je ne sais le sentiment qui nous relie à cet être, mais cette émotion que tu me décris avec tant de ferveur me semble être l’amour le plus noble qu’il puisse exister. Tu l’as aimé d’un amour inconcevable pour la satyre esseulée que je suis. Mais je sais que bien souvent, aimer est chose aisée. Mais perdre est une épreuve atroce que les mots ont peine à décrire et grandir, l'ultime but à atteindre. Ma Lola, je ne peux concevoir ce que tes mots suivants m’indiquent, un homme t’as entrainé ? Qu’était-ce mon ange ? Que t’a-t’il fait faire ? Qu’as-tu fais ma Lola ? Si je pouvais ma belle cubaine, si je pouvais te sortir de cet enfer qui te ronge intérieurement, s’il m’était possible de t’offrir des ailes pour unique salut vers le paradis, seul lieu sacré qui mérite ta présence céleste ma douce, je le ferais sans attendre un instant. Je me veux libératrice, mais je ne puis qu’être un bourreau.. Pardonne-moi de ne pouvoir te sortir des abysses qui m’emprisonnent moi-même. Je ne puis t’apporter aucune recommandation, ma vie n’est qu’une suite de douleurs et de frasques sans fin. L’autodestruction et la perversion sont devenus les maîtres mots de ma conduite. Je me suis enfoncé dans un univers dont je suis devenue moi-même l’épicentre, embarquant avec moi des êtres innocents pour les offrir au diable. Je fais des erreurs et je suis perdue. Je voudrais tellement l’être avec toi, me plonger dans cette solitude qui me ronge à tes côtés, mêler ma souffrance à la tienne pour mieux pouvoir les supporter de nos quatre bras joints. Je me console de savoir qu’un être, doux messie, t’ait sorti de cette léthargie qui ronge mes entrailles comme elle a consumé les tiennes. Offre-moi son nom dans ta prochaine lettre je t‘en prie, que je puisse admirer de par son simple prénom, cet être qui t’a ramené à moi. Je me hâte de terminer ma correspondance pour pouvoir plus rapidement recevoir de tes nouvelles. Je ne sais où mon écriture se perdra, Lola, où te remettra-t-on cette lettre ? Je ne sais où tu es, ange volatil, ma tendre nomade… Est-ce Cuba qui te retient dans ton éternelle douleur ? Es-tu sur ta terre d’argile ? Où t’es-tu perdue dans une contrée nouvelle et exotique ? Pourquoi ne pas m’en dire plus ?! tu me tortures, l’attente de ta réponse me semblera infinie tant que je ne te sais pas en sécurité. Mais je me sens déjà plus apaisée si tu m’assures que ta vie reprend un nouveau cours. Quelle-est cette école si étrange dont tu me contes si peu ? Où est-elle et qu’y fais-tu ? Tant de questions encore noient mon esprit brumeux sous l’émotion de ta correspondance, tant de questions qui vont rester sans réponses attendant tes lumières pour m’éclairer. En attendant, je tenterai de répondre à tes interrogations. J’étudie au sein d’une université anglaise réputé, même université qui abrite Tristan, récent professeur. Une université au cœur de Norwich un village froid, enneigé, une contrée diaphane qui m’offre un aperçu de l’infini. J’habite un pays où les adolescents se terrent ensemble dans la solitude, la déchéance habitent les couloirs de l’établissement que je fréquente, et j’ai obtenu pour seule protection celle du diable. Je t’embrasse ma Lola, répond moi, au plus vite, je meurs de te savoir peut-être en danger. N’oublie pas l’amitié sincère que je te porte et offre moi je t’en prie une faveur.. Cette nuit ma douce, regarde la Lune en pensant à moi, qui vieille sur toi à l’autre bout de l’univers, dans une contrée éloignée et infiniment plus glaciale que la tienne. Pense à Tristan qui brûle de douleur en t’imaginant morte, pense à Cuba, l’été de tes 8 ans, et imagine ta vie avec intensité, imagine la, ferme les yeux fort et bouche toi les oreilles, tu entendras que je suis à tes côtés. Je te laisse, je dois parler à Tristan, son cœur explosera de te savoir en vie.. Écris-moi, ma tendre amie, et bien longuement, et reçois les mille et un baisers de l'amitié la plus tendre et la plus vrai.
Ta sincère Pandora »
- InvitéInvité
Re: On passe sa vie à dire merci, merci à qui, à quoi. {Pandora & Lola .
Dim 7 Mar 2010 - 17:21
« Ma douce Pandora,
Ne m’en veux pas de m’excuser encore une fois pour le retard de ma lettre j’aurais tellement aimé t’écrire plutôt mais le destin en décide toujours autrement, j’ai l’impression que tout va bien un jour et puis le lendemain tout s’écroule autour de toi, pardonne moi et ne me dit pas que je n’ai pas d’excuses à t’offrir c’est encore plus horrible pour moi, si tu savais ce qui nous ai arrivé. Notre école s’est faite attaquer par des loups, enfin un loup, je ne sais pas comment il a pu faire ça à lui seul mais il a blessé beaucoup de monde, j’aurais du être une victime moi aussi mais j’ai séché, c’est injuste tu ne crois pas ? Alors que tout le monde se retrouve gravement blessé moi j’étais partie en ville pour tout et pour rien, et quand je suis revenue Hung, je veux dire notre école, celle ci était complètement inondé et des corps circulaient partout et par-dessus tout il y avait cette fille, oui cette fille avec le corps recouvert de sang, tu sais ce qu’il lui est arrivée ? Elle a perdu l’enfant qu’elle portait depuis si peu de temps, j’aurais aimé rester, j’aurais du rester, les aider faire quelque chose pour eux mais j’ai fuie, je n’ai rien su faire d’autre, Oh ma douce Pandora si tu savais comme c’est horrible je vois encore son visage complètement déboussolé, je me suis vue moi quand j’ai perdu l’être qui avait trouvé sa place à l’intérieur de mon ventre. Ma tendre amie, c’est l’enfer, je ne sais ou donner de la tête, alors je t’en prie par pitié dis moi que toi tu vas bien, mieux que moi ou si ce n’est pas le cas laisse moi l’imaginer. Tu me manques énormément, l’odeur qui parcours ta lette m’a elle aussi manquée, je n’aurais pas du arrêter d’écrire comme ça. J’ai lu ta lettre mainte et mainte fois afin de connaitre chacun des traits de ton écriture par cœur, j’ai fait tout ce que tu m’as dit, je me suis installée près de la fenêtre de ma chambre et j’ai admiré l’espace d’un instant la lune perçante dans la nuit noire, pensant à toi, à Tristan, rêvant de pouvoir vous serrer tous deux dans mes bras, puis j’ai fermé les yeux me laissant bercer par le bruit du vent, et les mots que nous nous échangions lorsque nous étions enfants, j’ai laissé les larmes rouler le long de mes joues tachant ta lettre à certain endroit, ce qui pour moi la rend encore plus précieuse. Ô ma Pandora nous avons tant à nous dire et tellement à apprendre, j’aimerais me livrer sans mensonge mais cela met impossible, tu me prendrais pour un monstre, ce que je suis au fond mais je ne veux point que notre amitié soit en péril à cause d’idioties. J’aimerais te parler de cette école qui a l’air aussi digne que la tienne mais je ne peux point hormis te dire que les gens là bas sont tous aussi extraordinaire les uns que les autres, si tu pouvais encore croire au conte de fées tu te croirais dans un monde remplis de magie ou celle-ci te fait vivre du matin jusqu’au soir. J’aime la façon dont tu me parles de Norwich, étrangement je vois cette petite ville d’un point de vue tout à fait différent, mais peut-être que j'ai trop vu Cuba et que ce petit bout de paradis m'a lassé, où vis-tu là bas ? Dit m’en plus je t’en supplie, parle moi des gens là bas, parle moi de tes amis, de tes amants, parle moi de toi, laisse moi m’émerveiller devant ce que tu es. Si je devais me laisser tenter par une personne se serait bien par toi, il est vrai que notre enfer serait plus agréable à deux, ne reste que la patience, je te promets de te retrouver bientôt n’importe où, n’importe quand, n’importe qu’elle heure. J’ai besoin de te voir, de sentir la chaleur de ta peau contre la mienne, d’entendre ta voix douce et cristalline, j’ai besoin de toi, de Tristan, vous êtes tous deux la seule vrai famille que j’ai eu un jour le droit d’avoir, les seuls proches que je n’ai pas perdu et que je chéri plus que mon être égoïste. Ma douce je dois t’en dire tellement des choses, elles ne sont malheureusement pas dans l’ordre, je n’ai jamais été ordonnée après tout, pas même dans mon enfance alors pourquoi le serai-je maintenant, sache que je ne peux m'empêcher de sourire à cette idée et que cela fait enrager ma colocataire, pour moi c'est une jouissance comme une autre moins forte mais tout aussi drôle. Puisque je te parle des anges qui me sont chers, l’homme ayant redonné un sens à ma vie porte le nom de Luxure de sa traduction française, cherche le en anglais, c'est un prénom qu’il porte merveilleusement bien et que je n’ai point le droit de dévoiler afin de ne pas enlever le voile sur un précieux secret que j'ai promis de garder, mais je te sais assez futée ma tendre pour que tu te débrouilles a trouver ce nom libertin toute seule sans la moindre aide. Que dois-je encore te dire, que je vais devoir arrêter d'écrire, ma lettre va finir humidifiée par les flocons qui virevoltent dans le ciel gris et viennent doucement effleurer ma peau et mouillé mon bout de papier si précieux, il faisait beau il y a peine une heure mais le temps a vite tourner de plus je ne sais que écrire en plus, j’ai laissé ta lettre dans ma chambre (oui je suis toujours tête en l'air) et je n’y retournerais pas avant ce soir, je file en ville poster cette précieuse lettre, je t’écrirais plus longuement la prochaine fois en essayant de t’en dire plus mais malheureusement je ne peux plus t’apporter d’information pour le moment. Ma douce, ma chère, je t’envois mes plus doux sentiments gardant pour moi mes plus doux regrets, embrasse Tristan avec tendresse et passion, assez fort pour que je le sente à travers toi et que tes lèvres sur sa peau m’emplisse de frissons, sache que je serais jalouse de ce moment qui m’est interdit et impossible. Garde pour toi le reste de mon cœur au chaud près du tiens, il y sera à son aise, je t’aime ma chère amie, j’attends avec impatience ta prochaine réponse.
Ne m’en veux pas de m’excuser encore une fois pour le retard de ma lettre j’aurais tellement aimé t’écrire plutôt mais le destin en décide toujours autrement, j’ai l’impression que tout va bien un jour et puis le lendemain tout s’écroule autour de toi, pardonne moi et ne me dit pas que je n’ai pas d’excuses à t’offrir c’est encore plus horrible pour moi, si tu savais ce qui nous ai arrivé. Notre école s’est faite attaquer par des loups, enfin un loup, je ne sais pas comment il a pu faire ça à lui seul mais il a blessé beaucoup de monde, j’aurais du être une victime moi aussi mais j’ai séché, c’est injuste tu ne crois pas ? Alors que tout le monde se retrouve gravement blessé moi j’étais partie en ville pour tout et pour rien, et quand je suis revenue Hung, je veux dire notre école, celle ci était complètement inondé et des corps circulaient partout et par-dessus tout il y avait cette fille, oui cette fille avec le corps recouvert de sang, tu sais ce qu’il lui est arrivée ? Elle a perdu l’enfant qu’elle portait depuis si peu de temps, j’aurais aimé rester, j’aurais du rester, les aider faire quelque chose pour eux mais j’ai fuie, je n’ai rien su faire d’autre, Oh ma douce Pandora si tu savais comme c’est horrible je vois encore son visage complètement déboussolé, je me suis vue moi quand j’ai perdu l’être qui avait trouvé sa place à l’intérieur de mon ventre. Ma tendre amie, c’est l’enfer, je ne sais ou donner de la tête, alors je t’en prie par pitié dis moi que toi tu vas bien, mieux que moi ou si ce n’est pas le cas laisse moi l’imaginer. Tu me manques énormément, l’odeur qui parcours ta lette m’a elle aussi manquée, je n’aurais pas du arrêter d’écrire comme ça. J’ai lu ta lettre mainte et mainte fois afin de connaitre chacun des traits de ton écriture par cœur, j’ai fait tout ce que tu m’as dit, je me suis installée près de la fenêtre de ma chambre et j’ai admiré l’espace d’un instant la lune perçante dans la nuit noire, pensant à toi, à Tristan, rêvant de pouvoir vous serrer tous deux dans mes bras, puis j’ai fermé les yeux me laissant bercer par le bruit du vent, et les mots que nous nous échangions lorsque nous étions enfants, j’ai laissé les larmes rouler le long de mes joues tachant ta lettre à certain endroit, ce qui pour moi la rend encore plus précieuse. Ô ma Pandora nous avons tant à nous dire et tellement à apprendre, j’aimerais me livrer sans mensonge mais cela met impossible, tu me prendrais pour un monstre, ce que je suis au fond mais je ne veux point que notre amitié soit en péril à cause d’idioties. J’aimerais te parler de cette école qui a l’air aussi digne que la tienne mais je ne peux point hormis te dire que les gens là bas sont tous aussi extraordinaire les uns que les autres, si tu pouvais encore croire au conte de fées tu te croirais dans un monde remplis de magie ou celle-ci te fait vivre du matin jusqu’au soir. J’aime la façon dont tu me parles de Norwich, étrangement je vois cette petite ville d’un point de vue tout à fait différent, mais peut-être que j'ai trop vu Cuba et que ce petit bout de paradis m'a lassé, où vis-tu là bas ? Dit m’en plus je t’en supplie, parle moi des gens là bas, parle moi de tes amis, de tes amants, parle moi de toi, laisse moi m’émerveiller devant ce que tu es. Si je devais me laisser tenter par une personne se serait bien par toi, il est vrai que notre enfer serait plus agréable à deux, ne reste que la patience, je te promets de te retrouver bientôt n’importe où, n’importe quand, n’importe qu’elle heure. J’ai besoin de te voir, de sentir la chaleur de ta peau contre la mienne, d’entendre ta voix douce et cristalline, j’ai besoin de toi, de Tristan, vous êtes tous deux la seule vrai famille que j’ai eu un jour le droit d’avoir, les seuls proches que je n’ai pas perdu et que je chéri plus que mon être égoïste. Ma douce je dois t’en dire tellement des choses, elles ne sont malheureusement pas dans l’ordre, je n’ai jamais été ordonnée après tout, pas même dans mon enfance alors pourquoi le serai-je maintenant, sache que je ne peux m'empêcher de sourire à cette idée et que cela fait enrager ma colocataire, pour moi c'est une jouissance comme une autre moins forte mais tout aussi drôle. Puisque je te parle des anges qui me sont chers, l’homme ayant redonné un sens à ma vie porte le nom de Luxure de sa traduction française, cherche le en anglais, c'est un prénom qu’il porte merveilleusement bien et que je n’ai point le droit de dévoiler afin de ne pas enlever le voile sur un précieux secret que j'ai promis de garder, mais je te sais assez futée ma tendre pour que tu te débrouilles a trouver ce nom libertin toute seule sans la moindre aide. Que dois-je encore te dire, que je vais devoir arrêter d'écrire, ma lettre va finir humidifiée par les flocons qui virevoltent dans le ciel gris et viennent doucement effleurer ma peau et mouillé mon bout de papier si précieux, il faisait beau il y a peine une heure mais le temps a vite tourner de plus je ne sais que écrire en plus, j’ai laissé ta lettre dans ma chambre (oui je suis toujours tête en l'air) et je n’y retournerais pas avant ce soir, je file en ville poster cette précieuse lettre, je t’écrirais plus longuement la prochaine fois en essayant de t’en dire plus mais malheureusement je ne peux plus t’apporter d’information pour le moment. Ma douce, ma chère, je t’envois mes plus doux sentiments gardant pour moi mes plus doux regrets, embrasse Tristan avec tendresse et passion, assez fort pour que je le sente à travers toi et que tes lèvres sur sa peau m’emplisse de frissons, sache que je serais jalouse de ce moment qui m’est interdit et impossible. Garde pour toi le reste de mon cœur au chaud près du tiens, il y sera à son aise, je t’aime ma chère amie, j’attends avec impatience ta prochaine réponse.
Ta fidèle amie Lola. »
|
|