- James BlackthornADMIN ☽ ○ ☾ Ice child of Gaïa
- » parchemins postés : 1903
» miroir du riséd : Lucky Blue Smith
» crédits : ECK ou Google est mon ami
» multinick : L'hermine (Holly De L.) et le moineau (Luan N.) (RIP l'alligator (Aroha H.) et le Leprechaun (Adrian O'C.))
» âge : 25 ans (26/06/1998)
» situation : fiancé et amoureux (de plusieurs personne, chut)
» année d'études : 5e année
» options obligatoires & facultatives : Options obligatoires
• Botanique
• SACM
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Boys in the street - ft. Peter (terminé)
Jeu 4 Aoû 2022 - 19:26
T'es de retour, et tu t'efforces de préparer avec méticulosité ta rentrée. T'angoisses, au fond, quoi que tu laisses paraître, et tu te rabats sur ce que tu peux contrôler. Parce que dans ta vie actuelle, il faut bien admettre que la majorité t'échappe. Et t'es pas cadré pour ça. T'as toujours tout géré de la façon que tu pensais avoir orchestrée. T'avais ta ligne de conduite, tes objectifs, tout tracés, et tu les suivais à la lettre. Pas de place pour l'imprévu, ni pour de véritables sentiments, au fond. C'était plus simple comme ça. Ta seule angoisse, c'était celle de l'échec, que tu ne t'autorisais pas un instant. Ca, et qu'on découvre tes dessins, mais Quarta et toi vous êtes toujours efforcés de tout dissimuler, et jusqu'à présent, ça a plutôt bien fonctionné.
Sauf qu'aujourd'hui, tes sources d'inquiétudes se sont multipliées. Il y a cet art qui te prend aux tripes et que tu t'efforces de museler, en premier lieu. Un des plus gros morceaux, sans doute. Parce qu'après avoir passé des mois à t'y adonner autant que tu pouvais le souhaiter, revenir le brider ici est en train de te rendre fou. La frustration est grande à chaque fois que ton regard se pose sur quelque chose qui éveille ton intérêt et ta fibre artistique, et ça, tu ne sais pas le gérer. Tu te caches toujours autant que possible mais si t'as un carnet à dessin dans ta sacoche, c'est bien une preuve que t'as de plus en plus de peine à te réfréner. C'était Cat qui en transportait un, auparavant, le reste du temps tu t'en passais dès lors que tu n'étais pas dans le secret de ta chambre.
Il y a l'état de ta cousine, aussi. Le mystère de la mort de Baby que tu ne parviens pas à élucider. Ton changement d'affectation à la rentrée. Cet aspect-là de ta rentrée, tu es pieds et poings liés, et ça bouleverse tes habitudes. Tu vas être l'ovni de ta promo, de deux ans aîné à tes pairs. Tu vas devoir faire tes preuves dans une nouvelle équipe, aussi, et regarder de loin les prouesses d'Esther et des autres. Tout ça, tu n'as aucune prise dessus.
Tu n'as aucune prise, non plus, sur l'anxiété qui te gagne chaque fois que ton esprit s'égare vers les souvenirs de l'artiste, et que tu crains qu'on vous découvre ou qu'il lui soit arrivé malheur par ta faute. Et si tu peux partager certaines de tes craintes avec ta cousine, ce point-là fait partie de ce que tu ne peux pas lui avouer, et ce secret pèse chaque jour un peu plus lourd sur ton coeur.
Alors préparer tout ton matériel - mille fois - fait partie de ce que tu peux contrôler, et tu t'y raccroches autant que tu peux. T'as pourtant tout ce qu'il faut, tu le sais bien, mais ça ne t'empêche pas de refaire le compte. De réinvestir les boutiques dédiées pour ajouter un parchemin, un ouvrage de référence, ou un ingrédient particulier à tout ton attirail. Ca doit bien faire quatre ou cinq fois que tu reviens à la griffe de l'hippo. Mais tu en pousses à nouveau la porte, tout à tes pensées.
Et t'étais clairement pas prêt à te retrouver nez-à-nez avec ton cousin. Tu t'arrêtes instantanément, figé face à lui.
-
La salutation polie passe tes lèvres sans que tu t'en rendes compte, vestige de ton éducation. Ton cerveau fuse : tu te demandes si Maximilien a tenu sa promesse, ou s'il a eu vent de ce que tu as pu dire au jaune. Tu te demandes s'il sait pour ton carnet à dessin. Et surtout, tu te demandes si lui, plus assumé que ne l'était Maximilien dans ton souvenir, saura lire dans ton regard ce que tu caches encore aux yeux de tous. T'as peur que ça soit le cas. Mais tu n'es pas prêt - oh Merlin vraiment pas ! - à t'avouer qu'au fond, t'aimerais un peu pouvoir te reposer sur eux...
@Peter Drummond
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▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.
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▣ Métamorphose, Sortilèges et Littérature Magique.
ㅡ objet de thèse :
▣ Fruit de l'hybridation : sa reproduction magique en laboratoire et la réattribution de ses particularités dans le domaine cosmétique.
Mes blases :
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Re: Boys in the street - ft. Peter (terminé)
Sam 13 Aoû 2022 - 14:29
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Re: Boys in the street - ft. Peter (terminé)
Mer 17 Aoû 2022 - 18:14
- Hey ! James…
Est-ce que t’espérais vaguement qu’il passe son chemin ? Oui évidemment. Parce qu’à l’instant où ton regard croise le sien, tu la sens, cette aura qui émane de lui, qui a toujours fait son charme et qui, soyons honnêtes, t’as toujours mis particulièrement, mal à l’aise. Tu t’es posé la question, parfois, par le passé, mais t’as réfuté la seule explication plausible qui, à tes yeux, ne l’était pas le moins du monde alors. Tu ne pouvais pas être déviant, ça ne pouvait absolument pas être ça. C’était juste un résidu de son charme naturel, et voilà, et de toute façon, tu ne succombais pas non plus bêtement à la tentation, parce que ta seule tentation réelle, c’était Cat.
Mais tu sais, maintenant. Tu sais que si tu ressens tellement l’aura qui se dégage de lui, c’est parce que tu y es sensible, réellement. Que ta faculté à murer tes émotions depuis toujours et ta réserve naturelle t’évitent peut-être le pire, mais qu’autrement… Autrement peut-être que ce n’est pas dans les bras de l’Artiste, que tu aurais pu succomber la première fois.
Et cette réalisation te met davantage encore mal à l’aise face à ton cousin.
- Comment vas-tu ?
-Je vais bien merci. Et toi ?
Des politesses, réellement. T’es pas vraiment sûr qu’il en ait grand chose à faire de comment tu vas, c’est pas comme si vous aviez jamais été très proches. C’est de ta cadette qu’il a toujours été plutôt proche, toi, t’étais en retrait comme toujours. Mais t’as beau faire, tu te rappelles bien que tu les observais longuement de loin, et tu peux pas vraiment te mentir sur le pourquoi de ces oeillades continues que tu leur lançais.
- Je ne savais pas que tu étais rentré de… J’ai envie de dire Algérie, mais je sens que c’est pas ça.
-Tu ne savais pas ?
T’es un peu surpris que Maximilien ne lui en ait pas parlé. Qu’il ait gardé le secret comme promis sur tes mots lors de vos retrouvailles t’arrange bien, mais qu’il n’ait même pas évoqué au détour d’une conversation que « tiens j’ai vu ton cousin à Hung, il reprend l’année prochaine », ça te laisse quelque peu circonspect. T’as pas vraiment d’expérience de la vie de couple, même ce que t’as vécu quelques mois avec l’Artiste n’est pas vraiment comparable, mais tu peux pas vraiment t’empêcher de te demander si les secrets sont vraiment une bonne chose, quels qu’ils soient. Toi qui baignes en plein dedans depuis toujours, t’as vraiment pas le sentiment qu’ils soient bénéfiques pour un couple, tu les gardes seulement pour votre survie à tous, te semble-t-il.
Enfin… T’as aussi très peur de la réaction de Cataleya quand elle apprendra pour l’Artiste. Si elle l’apprend. T’es vraiment pas sûr de la meilleure méthode à adopter sur ce point d’ailleurs…
-Je suis rentré d'Egypte, oui. Un peu plus à l'est que l'Algérie. Bien essayé, cela dit...
Tu sais même pas ce qu’on a pu leur dire, à tes proches, de ton départ. De la destination, de l’objectif, de la durée. Rien. Même toi, tout ce que tu savais c’est que tu partais en Egypte pour une durée indéterminée, sous couvert de parfaire ta technique au Quidditch et ajouter les ingrédients rares du périmètre au palmarès de la société familiale. Des grands mots, suffisamment vagues pour inclure un peu tout ce qu’on voulait, tant que t’étais à des centaines et des centaines de kilomètres de Cat et des questions que vous posiez sur la mort de Baby.
Peter s’efface pour te laisser entrer, ainsi qu’un type qui grommelle derrière toi et à qui tu adresses un regard glacial de toute ta hauteur. T’as pas le don de ton cousin, mais ta froideur habituelle et ta stature ont tendance à calmer un peu les ardeurs. Le type grommelle plus loin, mais s’il s’est un instant tourné pour peut-être vous invectiver, il s’est ravisé et a poursuivi sa route vers le rayon qu’il venait visiter de prime abord.
-T'es venu faire quelques courses pour la rentrée, je suppose ?
Quoi d'autre après tout ? T'es loin d'imaginer que la rentrée approchante n'est pas un sujet aussi léger qu'il pourrait paraître pour lui non plus...
Est-ce que t’espérais vaguement qu’il passe son chemin ? Oui évidemment. Parce qu’à l’instant où ton regard croise le sien, tu la sens, cette aura qui émane de lui, qui a toujours fait son charme et qui, soyons honnêtes, t’as toujours mis particulièrement, mal à l’aise. Tu t’es posé la question, parfois, par le passé, mais t’as réfuté la seule explication plausible qui, à tes yeux, ne l’était pas le moins du monde alors. Tu ne pouvais pas être déviant, ça ne pouvait absolument pas être ça. C’était juste un résidu de son charme naturel, et voilà, et de toute façon, tu ne succombais pas non plus bêtement à la tentation, parce que ta seule tentation réelle, c’était Cat.
Mais tu sais, maintenant. Tu sais que si tu ressens tellement l’aura qui se dégage de lui, c’est parce que tu y es sensible, réellement. Que ta faculté à murer tes émotions depuis toujours et ta réserve naturelle t’évitent peut-être le pire, mais qu’autrement… Autrement peut-être que ce n’est pas dans les bras de l’Artiste, que tu aurais pu succomber la première fois.
Et cette réalisation te met davantage encore mal à l’aise face à ton cousin.
- Comment vas-tu ?
-
Des politesses, réellement. T’es pas vraiment sûr qu’il en ait grand chose à faire de comment tu vas, c’est pas comme si vous aviez jamais été très proches. C’est de ta cadette qu’il a toujours été plutôt proche, toi, t’étais en retrait comme toujours. Mais t’as beau faire, tu te rappelles bien que tu les observais longuement de loin, et tu peux pas vraiment te mentir sur le pourquoi de ces oeillades continues que tu leur lançais.
- Je ne savais pas que tu étais rentré de… J’ai envie de dire Algérie, mais je sens que c’est pas ça.
-
T’es un peu surpris que Maximilien ne lui en ait pas parlé. Qu’il ait gardé le secret comme promis sur tes mots lors de vos retrouvailles t’arrange bien, mais qu’il n’ait même pas évoqué au détour d’une conversation que « tiens j’ai vu ton cousin à Hung, il reprend l’année prochaine », ça te laisse quelque peu circonspect. T’as pas vraiment d’expérience de la vie de couple, même ce que t’as vécu quelques mois avec l’Artiste n’est pas vraiment comparable, mais tu peux pas vraiment t’empêcher de te demander si les secrets sont vraiment une bonne chose, quels qu’ils soient. Toi qui baignes en plein dedans depuis toujours, t’as vraiment pas le sentiment qu’ils soient bénéfiques pour un couple, tu les gardes seulement pour votre survie à tous, te semble-t-il.
Enfin… T’as aussi très peur de la réaction de Cataleya quand elle apprendra pour l’Artiste. Si elle l’apprend. T’es vraiment pas sûr de la meilleure méthode à adopter sur ce point d’ailleurs…
-
Tu sais même pas ce qu’on a pu leur dire, à tes proches, de ton départ. De la destination, de l’objectif, de la durée. Rien. Même toi, tout ce que tu savais c’est que tu partais en Egypte pour une durée indéterminée, sous couvert de parfaire ta technique au Quidditch et ajouter les ingrédients rares du périmètre au palmarès de la société familiale. Des grands mots, suffisamment vagues pour inclure un peu tout ce qu’on voulait, tant que t’étais à des centaines et des centaines de kilomètres de Cat et des questions que vous posiez sur la mort de Baby.
Peter s’efface pour te laisser entrer, ainsi qu’un type qui grommelle derrière toi et à qui tu adresses un regard glacial de toute ta hauteur. T’as pas le don de ton cousin, mais ta froideur habituelle et ta stature ont tendance à calmer un peu les ardeurs. Le type grommelle plus loin, mais s’il s’est un instant tourné pour peut-être vous invectiver, il s’est ravisé et a poursuivi sa route vers le rayon qu’il venait visiter de prime abord.
-
Quoi d'autre après tout ? T'es loin d'imaginer que la rentrée approchante n'est pas un sujet aussi léger qu'il pourrait paraître pour lui non plus...
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Re: Boys in the street - ft. Peter (terminé)
Lun 26 Sep 2022 - 22:40
- :
- 1. “Well… yes, of course. Actually, no. No, I didn’t. Sorry?”
2. “No, I mean, of course. I think I read about it in a postcard.”
3. “I did, yes. I did.”
4. “You too? Does that mean you’re back at uni?”
5. “Didn’t you find what you wanted in Egypt? I’ve never been, but I’ve been told it’s a lovley place. Full of… dragons? Triangular thingies?”
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Re: Boys in the street - ft. Peter (terminé)
Mar 11 Oct 2022 - 15:45
T'as pas de don particulier pour ça, mais le malaise de ton cousin ne t'échappe pas vraiment. A vrai dire, pour des raisons probablement tout autres, tu ressens le même. T'as jamais été à l'aise face à lui, c'est un fait, et à cet instant, alors que vous vous figez tous les deux de part et d'autre de la porte, c'est encore le cas. Tu ne montres jamais grand chose, tes traits habitués à rester le plus inertes possibles, mais tu ne peux pas te mentir à toi-même. Tu le sens, ton coeur qui s'emballe un peu face à lui, décontenancé. Et tu n'aimes pas ça du tout.
“Sure thing!”
T'as pas l'impression d'avoir lancé un sujet houleux, et pourtant tu sens le malaise monter d'un cran. Pour un peu, t'en arquerais un sourcil, suspicieux, mais tu passes tout ça sous silence, plus désireux de t'éviter une conversation trop dérangeante pour toi que d'assouvir ta curiosité sur ce point. Pourtant, tout te porte à t'interroger, car tu es réellement surpris que ton cousin n'ait pas eu l'information de ton retour.
“Well… aye, of course. Actually, na. Na, ah didn’t. Sorry?”
-You don't have to be sorry. I assumed someone would have told you. Obviously they didn't.
T'en restes là, même si tu t'interroges un peu concernant ton ami, pour le coup. Max n'est pas vraiment le genre de personne à faire des secrets - songes-tu - et tu ne vois pas vraiment de raison pour laquelle il aurait omis cette information auprès de son amant. Tu ne songes même pas à ta cadette, et pourtant de sa part également, l'information aurait pu filtrer. Mais tu évites de poser ouvertement la question, songeant qu'après tout, ce point ne te concerne pas réellement. Tu corriges néanmoins ta provenance, guère surpris de l'erreur cependant. D'une part ta famille n'a probablement pas explicité dans les grandes largeurs ton exil et la destination importait alors assez peu, d'autres part, tu restes conscient que cette partie du monde peut rester floue pour bon nombre de nord-occidentaux. Toi-même, tu en as appris bien davantage en y séjournant ces derniers mois qu'au cours du reste de ta vie, il faut bien l'avouer.
“Egypt! Richt! Egypt! Na, ah mean, o' coorse. Ah think I read about it in a postcard.”
Tu lui jettes un regard circonspect, comprenant la pique tout en songeant que, réellement, vous n'aviez guère de lien alors, et donc aucune raison de vous envoyer de telles missives. Et puis tu gardes pour toi l'idée que c'eût été l'exposer à tes parents, et qu'en définitive, il s'en porte probablement mieux ainsi. Tu sais pertinemment que d'une manière ou d'une autre, ils auraient fini par prendre connaissance des mots échangés. Et tant pour lui que pour toi, cette abstention valait sans doute mieux. Le sujet des emplettes pour lesquelles vous vous trouvez ici - visibles dans ses bras chargés - semble plus pertinent. Moins dangereux, surtout, mais tu ne t'attendais pas à ce petit jeu de ping-pong de ton cousin. Un instant, tu te demandes ce qui peut bien le déranger sur ce point, mais là encore, tu te contentes de garder l'information quelque part dans ton esprit pour l'heure.
“Ah did, aye. Ah did. Ye tae? Does that mean you’re back at uni?”
-I am.
“Didn’t ye fin' whit ye wanted in Egypt? I’ve never been, but I’ve been told it’s a bonnie land. Full of… dragons? Triangular thingies?”
Ce que tu cherchais... Ton regard arpente les rayonnages comme si tu y cherchais un matériel précis, mais c'est dans tes souvenirs que tu te perds réellement. Tu n'y cherchais rien, à l'origine, pourtant tu y as bel et bien trouvé quelque chose que tu n'aurais jamais imaginé découvrir. Tu te gardes bien de l'évoquer, cependant, et te contentes de répondre de façon plutôt factuelle, dans les termes autant que ton ton de voix.
-It's hot. Not just warm, as you'd expect it here during summer. Hell hot. You don't want to be out there under a deadly sun at noon. Especially for light carnations... Pyramids are impressive though. Art, generally speaking, is impressive.
T'es pas certain de pas en avoir trop dit à cet instant. Ca t'a presque échappé, naturellement. T'as dévié des merveilles architecturales du pays à son art dans sa globalité sans trop t'en rendre compte. Et un peu pour te donner une contenance, tu gardes ton regard rivé sur les rouleaux de parchemins que tu effleures du bout des doigts, en testant la qualité sous la pulpe de ton index.
-The weather is different, so are fauna and flora. We may add new specimens to our stock.
Tu raccroches à la raison officielle de ton séjour si loin, et à une logique implacable. Ce n'est même pas réellement un mensonge, des plantes locales, des ingrédients spécifiques, tu en as étudié bon nombre durant tes deux années d'exil. Ce que tu espères encore un peu avoir ramené de positif et utile à ta lignée. Et ce sur quoi tu espères focaliser l'attention de Peter, afin de ne pas t'étendre davantage sur certaines créations particulières que tu gardes parfaitement en mémoire...
“Sure thing!”
T'as pas l'impression d'avoir lancé un sujet houleux, et pourtant tu sens le malaise monter d'un cran. Pour un peu, t'en arquerais un sourcil, suspicieux, mais tu passes tout ça sous silence, plus désireux de t'éviter une conversation trop dérangeante pour toi que d'assouvir ta curiosité sur ce point. Pourtant, tout te porte à t'interroger, car tu es réellement surpris que ton cousin n'ait pas eu l'information de ton retour.
“Well… aye, of course. Actually, na. Na, ah didn’t. Sorry?”
-
T'en restes là, même si tu t'interroges un peu concernant ton ami, pour le coup. Max n'est pas vraiment le genre de personne à faire des secrets - songes-tu - et tu ne vois pas vraiment de raison pour laquelle il aurait omis cette information auprès de son amant. Tu ne songes même pas à ta cadette, et pourtant de sa part également, l'information aurait pu filtrer. Mais tu évites de poser ouvertement la question, songeant qu'après tout, ce point ne te concerne pas réellement. Tu corriges néanmoins ta provenance, guère surpris de l'erreur cependant. D'une part ta famille n'a probablement pas explicité dans les grandes largeurs ton exil et la destination importait alors assez peu, d'autres part, tu restes conscient que cette partie du monde peut rester floue pour bon nombre de nord-occidentaux. Toi-même, tu en as appris bien davantage en y séjournant ces derniers mois qu'au cours du reste de ta vie, il faut bien l'avouer.
“Egypt! Richt! Egypt! Na, ah mean, o' coorse. Ah think I read about it in a postcard.”
Tu lui jettes un regard circonspect, comprenant la pique tout en songeant que, réellement, vous n'aviez guère de lien alors, et donc aucune raison de vous envoyer de telles missives. Et puis tu gardes pour toi l'idée que c'eût été l'exposer à tes parents, et qu'en définitive, il s'en porte probablement mieux ainsi. Tu sais pertinemment que d'une manière ou d'une autre, ils auraient fini par prendre connaissance des mots échangés. Et tant pour lui que pour toi, cette abstention valait sans doute mieux. Le sujet des emplettes pour lesquelles vous vous trouvez ici - visibles dans ses bras chargés - semble plus pertinent. Moins dangereux, surtout, mais tu ne t'attendais pas à ce petit jeu de ping-pong de ton cousin. Un instant, tu te demandes ce qui peut bien le déranger sur ce point, mais là encore, tu te contentes de garder l'information quelque part dans ton esprit pour l'heure.
“Ah did, aye. Ah did. Ye tae? Does that mean you’re back at uni?”
-
“Didn’t ye fin' whit ye wanted in Egypt? I’ve never been, but I’ve been told it’s a bonnie land. Full of… dragons? Triangular thingies?”
Ce que tu cherchais... Ton regard arpente les rayonnages comme si tu y cherchais un matériel précis, mais c'est dans tes souvenirs que tu te perds réellement. Tu n'y cherchais rien, à l'origine, pourtant tu y as bel et bien trouvé quelque chose que tu n'aurais jamais imaginé découvrir. Tu te gardes bien de l'évoquer, cependant, et te contentes de répondre de façon plutôt factuelle, dans les termes autant que ton ton de voix.
-
T'es pas certain de pas en avoir trop dit à cet instant. Ca t'a presque échappé, naturellement. T'as dévié des merveilles architecturales du pays à son art dans sa globalité sans trop t'en rendre compte. Et un peu pour te donner une contenance, tu gardes ton regard rivé sur les rouleaux de parchemins que tu effleures du bout des doigts, en testant la qualité sous la pulpe de ton index.
-
Tu raccroches à la raison officielle de ton séjour si loin, et à une logique implacable. Ce n'est même pas réellement un mensonge, des plantes locales, des ingrédients spécifiques, tu en as étudié bon nombre durant tes deux années d'exil. Ce que tu espères encore un peu avoir ramené de positif et utile à ta lignée. Et ce sur quoi tu espères focaliser l'attention de Peter, afin de ne pas t'étendre davantage sur certaines créations particulières que tu gardes parfaitement en mémoire...
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Re: Boys in the street - ft. Peter (terminé)
Sam 18 Fév 2023 - 22:53
- :
- 1. “It’s hot?”
2. “Don't tell me you've spent all those months working and only working! The sun cannot be the only thing that’s hot in Egypt!”
3. “You've mentioned art earlier. Is that something you got into? Let me guess. Painting? No! No! A photographer is more your style.”
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Re: Boys in the street - ft. Peter (terminé)
Dim 19 Fév 2023 - 15:21
“Tis hot?”
Tu sens le doute dans sa voix, comme s'il ne comprenait pas où tu voulais en venir, et à ton tour, tu restes perplexe. Ne t'a-t-il pas demandé juste avant comment était l'Egypte ?
“Ah!”
Réalisation soudaine qui t'arracherait presque un sourire, si tu savais manifester davantage tes émotions.
“Dinnae tell me ye'v spent a' they months workin' 'n' ainlie workin'! Th' sun cannae be th' ainlie thing that’s het in Egypt!”
L'allusion ne t'échappe pas vraiment - en même temps, c'est de Peter qu'il s'agit - mais tu arques néanmoins un sourcil. Si tu as effectivement rencontré quelqu'un de terriblement séduisant, tu n'es clairement pas disposé à en parler ici et maintenant, à ton cousin que tu connais pourtant assez mal.
-Probably not. But I don't really care.
Demi-mensonge, demi-vérité. Le reste de la population égyptienne t'importe assurément peu. Mais tes pensées s'égarent néanmoins vers la silhouette du peintre que tu as laissé derrière toi. Tu n'avais jamais été attiré par quelqu'un d'autre que Cataleya jusque-là, quoi que tu te sois toujours efforcé de museler tes envies par souci des convenances, mais Jeremiah a réussi à percer ta carapace de la plus inattendue des façons, et si tu étais honnête, tu devrais bien admettre que tu le trouves particulièrement sexy, c'est un fait. Mais ce point reste scellé derrière tes lèvres, et tu te contentes d'asséner ton indifférence pour la population générale alors que vous grimpez à l'étage supérieur.
“Ye'v mentioned art earlier. Is that something ye git intae? Let me guess. Pentin? Na! Na! A photographer is mair yer style.”
Tu arques un sourcil, surpris de le voir jouer aux devinettes ainsi, et plus encore de ce qu'il énonce. La photographie ? Vraiment ? Tu rirais presque de le voir rejeter ce qui est, pourtant, bien plus vrai. Comme quoi tu caches encore à peu près ton jeu - heureusement pour ta survie au sein du Manoir.
-Do I look like I'm fond of taking pictures ?
Tu reposes une plume trop rêche à ton goût, et en cherches une autre au toucher plus délicat.
-I've spent some evenings attending exhibitions in some galleries, that's all.
Tu minimises clairement les faits : des expositions, t'en as écumé des dizaines à travers la ville, avec toujours le même émerveillement.
Tu sens le doute dans sa voix, comme s'il ne comprenait pas où tu voulais en venir, et à ton tour, tu restes perplexe. Ne t'a-t-il pas demandé juste avant comment était l'Egypte ?
“Ah!”
Réalisation soudaine qui t'arracherait presque un sourire, si tu savais manifester davantage tes émotions.
“Dinnae tell me ye'v spent a' they months workin' 'n' ainlie workin'! Th' sun cannae be th' ainlie thing that’s het in Egypt!”
L'allusion ne t'échappe pas vraiment - en même temps, c'est de Peter qu'il s'agit - mais tu arques néanmoins un sourcil. Si tu as effectivement rencontré quelqu'un de terriblement séduisant, tu n'es clairement pas disposé à en parler ici et maintenant, à ton cousin que tu connais pourtant assez mal.
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Demi-mensonge, demi-vérité. Le reste de la population égyptienne t'importe assurément peu. Mais tes pensées s'égarent néanmoins vers la silhouette du peintre que tu as laissé derrière toi. Tu n'avais jamais été attiré par quelqu'un d'autre que Cataleya jusque-là, quoi que tu te sois toujours efforcé de museler tes envies par souci des convenances, mais Jeremiah a réussi à percer ta carapace de la plus inattendue des façons, et si tu étais honnête, tu devrais bien admettre que tu le trouves particulièrement sexy, c'est un fait. Mais ce point reste scellé derrière tes lèvres, et tu te contentes d'asséner ton indifférence pour la population générale alors que vous grimpez à l'étage supérieur.
“Ye'v mentioned art earlier. Is that something ye git intae? Let me guess. Pentin? Na! Na! A photographer is mair yer style.”
Tu arques un sourcil, surpris de le voir jouer aux devinettes ainsi, et plus encore de ce qu'il énonce. La photographie ? Vraiment ? Tu rirais presque de le voir rejeter ce qui est, pourtant, bien plus vrai. Comme quoi tu caches encore à peu près ton jeu - heureusement pour ta survie au sein du Manoir.
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Tu reposes une plume trop rêche à ton goût, et en cherches une autre au toucher plus délicat.
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Tu minimises clairement les faits : des expositions, t'en as écumé des dizaines à travers la ville, avec toujours le même émerveillement.
– the best –
- Peter DrummondOldieㄨ experimented wizard
- » parchemins postés : 1701
» miroir du riséd : Ezra Miller
» crédits : © avatar: the-curious-corvidae - strange-hell - unknown ; id-gifs: brasillovers - BryceH - rdhoods - ; signature-code: magma ; signature-gifs: keiynan-lonsdale - soletear; signature-text: calum scott 'you are the reason'
» multinick : isabelle d'essenault (la bg)
» âge : 27 yo (12.09.1996)
» situation : en couple
» année d'études : 9ème année
» options obligatoires & facultatives :
ㅡ options obligatoires :
▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.
ㅡ options facultatives :
▣ Métamorphose, Sortilèges et Littérature Magique.
ㅡ objet de thèse :
▣ Fruit de l'hybridation : sa reproduction magique en laboratoire et la réattribution de ses particularités dans le domaine cosmétique.
Mes blases :
▣ Rends-nousvisite!
» profession : employé chez Becs et museaux (animalerie)
» particularité : semi-vélane
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 1475
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Re: Boys in the street - ft. Peter (terminé)
Lun 10 Avr 2023 - 15:24
- :
- 1. “Come one, lad! I don't believe that's true for anyone.”
2. “Sorry about that.”
3. “You prefer admiring. I understand that well.”
4. “Is it really painting you like, then?”
5. “Any road up, uncle Tiberius and aunt Alicia must be most pleased to have you back in Scotland.”
6. “What do you say we go and have ourselves a wee bit of drink?”
┗ February Showers ┛
ஃ There goes my heart beating, cause you are the reason I'm losing my sleep. If I could turn back the clock, I'd spend every hour of every day keeping you safe. I'd climb every moutain just to be with you. (c) C. Scott ஃ
- James BlackthornADMIN ☽ ○ ☾ Ice child of Gaïa
- » parchemins postés : 1903
» miroir du riséd : Lucky Blue Smith
» crédits : ECK ou Google est mon ami
» multinick : L'hermine (Holly De L.) et le moineau (Luan N.) (RIP l'alligator (Aroha H.) et le Leprechaun (Adrian O'C.))
» âge : 25 ans (26/06/1998)
» situation : fiancé et amoureux (de plusieurs personne, chut)
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• Botanique
• SACM
• Astronomie
Options facultatives
• Vol/Sport
• Potions
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» particularité : aucune mais cherche à apprendre l'occlumancie
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Re: Boys in the street - ft. Peter (terminé)
Mar 2 Mai 2023 - 11:18
Ton cousin se penche davantage vers toi, cherchant la confidence, et précipitant le tumulte en ton coeur. Hécate pourquoi faut-il qu'il te mette toujours autant mal à l'aise ? Toute ton attention centrée sur le fait de ne surtout rien laisser paraître, tu restes immobile, le regard pourtant fixé sur ce trop beau visage. L'évidence te frappe comme un poignard en plein coeur. Ses traits approchent quelque peu ceux de ton peintre resté en Egypte, et le malaise prend davantage d'ampleur encore.
“Come yin, laddie! Ah dinnae hawp that's true fur a'body.”1
Sans doute pas, en effet, mais tu te refuses à répondre à l'injonction. Tu ne saurais le faire sans vendre la mèche, assurément, et tes gestes pour reposer cette plume qui n'obtient pas ton adhésion se font trop secs. Peter en sursaute, surpris, et c'est le drame. Ca, tu ne l'avais pas vu venir, pas plus que sa facilité à user de sortilèges informulés. Ce qui suscite une certaine admiration. Même ta propre baguette, pourtant friande de ce genre d'usage, ne te permet pas - encore - autant de dextérité, et tu te promets de poursuivre ton entraînement en ce sens, esprit de compétition oblige.
“Sorry aboot that.”2
Tu remarques sans peine le changement d'attitude de la gérante, mais n'en comprend pas - encore - l'origine. Il faudra plusieurs mois et une sortie imprévue en forêt pour ça. L'air de rien, ton cousin reporte son attention sur toi, et tu restes circonspect face à tant de désinvolture. On douterait que le sang qui coule dans vos veines puisse être partagé...
“Ye prefer admiring. Ah ken that weel.”3
S'il savait, songes-tu sans en laisser rien paraître. A l'évidence, Max tient ton secret, et tu remercies intérieurement ton ami de sa loyauté. On n'en attend pas moins d'un Summerbee, sans doute, mais il n'empêche que ton soulagement est grand. Tu espères seulement ne pas être cause de heurts entre les deux amants.
“Is it really pentin ye lik', then?”4
-You could say that.
Bien que cela reste euphémistique, et que ton ton de voix ne laisse en rien paraître à quel point tu vis pour elle.
“Ony road up, uncle Tiberius 'n' aunt Alicia mist be maist chuffed tae hae ye back in bonnie Scotland.”5
Le silence plane un instant, comme tu peines à imaginer qu'on puisse ainsi croire à quelque affection que ce soit entre vous.
-Given that they exiled me there in the first place, I won't be so sure about that. It doesn't matter anyway. I'm here now. I can get my life back and pick up where I left off.
Sauf que tu n'es plus Grymm et que tes efforts pour nier l'évidence sont voués à l'échec : tu n'es plus le James Blackthorn qui a débarqué en Egypte, et tu auras beau t'acharner à garder le masque que tu as porté toute ta vie durant, il est en train de s'effriter, et tu ne pourras pas éternellement cacher qui tu es. Qui tu es vraiment.
“Whit dae ye say we go 'n' hae ourselves a wee bit o' drink? ”6
Tu n'as pas besoin de sens surdéveloppés pour sentir la présence de la gérante derrière vous, et un sourcil arqué pour toute réaction à ce manque flagrant de savoir-vivre et de délicatesse, tu hoches sobrement la tête.
-Why not. Obviously, we won't find what we need here.
Ni des fournitures qui te conviennent, ni un espace vital correct, à l'évidence. Et toi qui ne t'es jamais montré très expansif, tu es dérangé par cette intrusion notoire. Quand bien même l'attention n'est pas dirigée vers toi.
-Sure. Let's go somewhere else. Anywhere else.
Aussi loin que possible de l'importune.
“Come yin, laddie! Ah dinnae hawp that's true fur a'body.”1
Sans doute pas, en effet, mais tu te refuses à répondre à l'injonction. Tu ne saurais le faire sans vendre la mèche, assurément, et tes gestes pour reposer cette plume qui n'obtient pas ton adhésion se font trop secs. Peter en sursaute, surpris, et c'est le drame. Ca, tu ne l'avais pas vu venir, pas plus que sa facilité à user de sortilèges informulés. Ce qui suscite une certaine admiration. Même ta propre baguette, pourtant friande de ce genre d'usage, ne te permet pas - encore - autant de dextérité, et tu te promets de poursuivre ton entraînement en ce sens, esprit de compétition oblige.
“Sorry aboot that.”2
Tu remarques sans peine le changement d'attitude de la gérante, mais n'en comprend pas - encore - l'origine. Il faudra plusieurs mois et une sortie imprévue en forêt pour ça. L'air de rien, ton cousin reporte son attention sur toi, et tu restes circonspect face à tant de désinvolture. On douterait que le sang qui coule dans vos veines puisse être partagé...
“Ye prefer admiring. Ah ken that weel.”3
S'il savait, songes-tu sans en laisser rien paraître. A l'évidence, Max tient ton secret, et tu remercies intérieurement ton ami de sa loyauté. On n'en attend pas moins d'un Summerbee, sans doute, mais il n'empêche que ton soulagement est grand. Tu espères seulement ne pas être cause de heurts entre les deux amants.
“Is it really pentin ye lik', then?”4
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Bien que cela reste euphémistique, et que ton ton de voix ne laisse en rien paraître à quel point tu vis pour elle.
“Ony road up, uncle Tiberius 'n' aunt Alicia mist be maist chuffed tae hae ye back in bonnie Scotland.”5
Le silence plane un instant, comme tu peines à imaginer qu'on puisse ainsi croire à quelque affection que ce soit entre vous.
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Sauf que tu n'es plus Grymm et que tes efforts pour nier l'évidence sont voués à l'échec : tu n'es plus le James Blackthorn qui a débarqué en Egypte, et tu auras beau t'acharner à garder le masque que tu as porté toute ta vie durant, il est en train de s'effriter, et tu ne pourras pas éternellement cacher qui tu es. Qui tu es vraiment.
“Whit dae ye say we go 'n' hae ourselves a wee bit o' drink? ”6
Tu n'as pas besoin de sens surdéveloppés pour sentir la présence de la gérante derrière vous, et un sourcil arqué pour toute réaction à ce manque flagrant de savoir-vivre et de délicatesse, tu hoches sobrement la tête.
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Ni des fournitures qui te conviennent, ni un espace vital correct, à l'évidence. Et toi qui ne t'es jamais montré très expansif, tu es dérangé par cette intrusion notoire. Quand bien même l'attention n'est pas dirigée vers toi.
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Aussi loin que possible de l'importune.
– the best –
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- » parchemins postés : 1701
» miroir du riséd : Ezra Miller
» crédits : © avatar: the-curious-corvidae - strange-hell - unknown ; id-gifs: brasillovers - BryceH - rdhoods - ; signature-code: magma ; signature-gifs: keiynan-lonsdale - soletear; signature-text: calum scott 'you are the reason'
» multinick : isabelle d'essenault (la bg)
» âge : 27 yo (12.09.1996)
» situation : en couple
» année d'études : 9ème année
» options obligatoires & facultatives :
ㅡ options obligatoires :
▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.
ㅡ options facultatives :
▣ Métamorphose, Sortilèges et Littérature Magique.
ㅡ objet de thèse :
▣ Fruit de l'hybridation : sa reproduction magique en laboratoire et la réattribution de ses particularités dans le domaine cosmétique.
Mes blases :
▣ Rends-nousvisite!
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» particularité : semi-vélane
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 1475
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Re: Boys in the street - ft. Peter (terminé)
Dim 22 Oct 2023 - 11:46
- EN / FR :
- 1. “Is hydromel alright with you? Knotgrass or regular?”
2. “Hiya mate, good to see you here. Is your dad alright? Has he got my last order? The clients love that new brew.”
3. “Fine, man. Thanks. And how are you? I'm sure he got it, yeah. Can I have fresh mead for my cousin and I, please? Knotgrass for me and regular for him.”
1. « Est-ce que tu veux un hydromel ? Knotgrass ou l’habituel ? »
2. « Salut mec, c’est cool de te voir. Ton père va bien ? Il a reçu ma dernière commande ? Les clients alors la dernière distillation. »
3. « Ça va, mec. Merci. Et toi ? J’suis sûr qu’il l’a eu, ouais. J’peux avoir deux hydromels bien frais, un pour mon cousin et l’autre pour moi ? Knotgrass pour moi et l’habituel pour lui. »
┗ February Showers ┛
ஃ There goes my heart beating, cause you are the reason I'm losing my sleep. If I could turn back the clock, I'd spend every hour of every day keeping you safe. I'd climb every moutain just to be with you. (c) C. Scott ஃ
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