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Chambre d'Owen
Lun 3 Mai 2010 - 15:46
Ce soir, j'avais passé la soirée avec Leah. Une des rares femmes avec qui j'avais été en couple dans ma vie. Ça datait d'il y a environ un an, ce fut six des meilleurs mois de ma vie. Malheureusement, malgré le fait que notre amour pour l'autre était très fort, mon style de vie et les problème qu'il amenait eu raison de notre couple. C'est sûr qu'au début, nous nous évitions pas mal, la douleur était alors encore très grande, mais au fil des semaines, nous apprîmes à oublier cela et nous avons pus nous revoir. Aujourd'hui, nous sommes amis. De bons amis et sincèrement, je ne voudrais pas me séparer d'elle pour rien au monde, même si nous ne sommes plus en couple, un seul de ses sourires peut faire ma journée et un seul de ses câlins peut me guérir de toute peine. Bon évidemment, vous me connaissez, le deuxième n'a jamais été testé, ce n'est pas comme si je montrais mes sentiments à tout le monde, mais je suppose qu'elle serait capable de le faire. En même temps, c'était plutôt le contraire même. C'était souvent elle qui venait me voir pour parler de ses sentiments, et je dois vous avouer que d'entendre tout ce qu'elle disait à propose d'autres hommes... Ce n'était pas la chose la plus plaisante que j'avais fait. Bon c'est certain, avant, je me foutais un peu plus de ce qu'elle disait, étant stoned la plupart du temps, mais depuis cet accident, j'avais changé, restant sombre la quasi-totalité du temps, faisant abstraction à cette règle pour prendre un verre avec des amis. J'avais donc changé et maintenant j'étais beaucoup plus attentif au autres, moins centré sur ma propre personne et donc j'écoutais les problèmes de Leah, qu'ils soient académiques, sociaux ou sentimentaux.
Justement, ce soir nous avions décidé avec Leah, d'aller au pub de Norwich. Nous étions donc au bar et enfilions les bières, allant ensuite dans quelque chose d'un peu plus fort. Parlant de tout et de rien, se racontant nos nouvelles aventures, se racontant simplement nos vies parce que notre dernière sortie du genre datait d'il y a un bon moment déjà et je dois l'admettre qu'elles me manquaient nos petites sorties au pub. La soirée avait été plutôt arrosé et après un bon moment, nous décidâmes de partir, pour retourner au château, pendant que nous en étions encore capable. Payant la facture, je laissai Leah accroché son bras au mien, tandis que nous quittions l'établissement. Une fois à l'extérieur, nous empruntâmes le chemin qui passait par la ruelle, qui était pour moi, le chemin le plus rapide pour rejoindre le château. Mais alors que nous marchions, je sentis quelques chose derrière moi me retenir, me retournant surpris, je vis Leah au sol, si ce n'était pas du fait qu'elle était accroché à mon bras, elle se serait éclater le menton au sol. Je me penchai vers elle pour l'aider à se relever, mais étrangement, elle ne semblait plus capable de bouger sa jambe droite. Je la pris donc dans mes bras et la posai sur une benne qu'il y avait derrière nous, me penchant à nouveau vers elle.
oui oui, malgré nos séparation il y a plus d'un an, les petits surnoms affectifs étaient restés, et c'était mieux comme ça, ça mettait un peu de chaleur dans notre relation, ça me rappelait qu'il y avait des gens qui m'aimaient. Mais revenons plutôt au sujet principal de cette histoire. La jambe de Leah, une chose qui me faisait très peur. Sa maladie. Cette maladie étrange, dont je ne connaissais presque rien serait la cause de la mort de mon amie, d'ici un maximum de vingt ans. Elle perdrait tout contrôle sur les partie de son corps, juste avant que son cœur n'arrête de battre. Elle devait m'avoir donné plus de détail, mais dans ces temps là, j'étais pas vraiment d'une oreille attentive. Mon cœur battait donc de plus en plus vite, de peur de perdre celle à qui je tenait le plus. Parce que je dois vous avouer que même si nous ne sommes plus ensemble, je crois encore ressentir quelque chose pour Leah, quelque chose au delà de l'amitié, le genre de sentiment sur lequel un peu bâtir une relation amoureuse. Alors je ne sais pas si c'était l'alcool ou autre chose, mais à ce moment, j'avais très peur, très peur de la perdre...
Justement, ce soir nous avions décidé avec Leah, d'aller au pub de Norwich. Nous étions donc au bar et enfilions les bières, allant ensuite dans quelque chose d'un peu plus fort. Parlant de tout et de rien, se racontant nos nouvelles aventures, se racontant simplement nos vies parce que notre dernière sortie du genre datait d'il y a un bon moment déjà et je dois l'admettre qu'elles me manquaient nos petites sorties au pub. La soirée avait été plutôt arrosé et après un bon moment, nous décidâmes de partir, pour retourner au château, pendant que nous en étions encore capable. Payant la facture, je laissai Leah accroché son bras au mien, tandis que nous quittions l'établissement. Une fois à l'extérieur, nous empruntâmes le chemin qui passait par la ruelle, qui était pour moi, le chemin le plus rapide pour rejoindre le château. Mais alors que nous marchions, je sentis quelques chose derrière moi me retenir, me retournant surpris, je vis Leah au sol, si ce n'était pas du fait qu'elle était accroché à mon bras, elle se serait éclater le menton au sol. Je me penchai vers elle pour l'aider à se relever, mais étrangement, elle ne semblait plus capable de bouger sa jambe droite. Je la pris donc dans mes bras et la posai sur une benne qu'il y avait derrière nous, me penchant à nouveau vers elle.
- "Est-ce que ça va poussin ?"
oui oui, malgré nos séparation il y a plus d'un an, les petits surnoms affectifs étaient restés, et c'était mieux comme ça, ça mettait un peu de chaleur dans notre relation, ça me rappelait qu'il y avait des gens qui m'aimaient. Mais revenons plutôt au sujet principal de cette histoire. La jambe de Leah, une chose qui me faisait très peur. Sa maladie. Cette maladie étrange, dont je ne connaissais presque rien serait la cause de la mort de mon amie, d'ici un maximum de vingt ans. Elle perdrait tout contrôle sur les partie de son corps, juste avant que son cœur n'arrête de battre. Elle devait m'avoir donné plus de détail, mais dans ces temps là, j'étais pas vraiment d'une oreille attentive. Mon cœur battait donc de plus en plus vite, de peur de perdre celle à qui je tenait le plus. Parce que je dois vous avouer que même si nous ne sommes plus ensemble, je crois encore ressentir quelque chose pour Leah, quelque chose au delà de l'amitié, le genre de sentiment sur lequel un peu bâtir une relation amoureuse. Alors je ne sais pas si c'était l'alcool ou autre chose, mais à ce moment, j'avais très peur, très peur de la perdre...
- InvitéInvité
Re: Chambre d'Owen
Lun 3 Mai 2010 - 22:09
Lorsqu’Owen m’aborda dans les couloirs pour me proposer de passer la soirée avec lui au pub, ma surprise fut grande. Il y avait une éternité que nous n’avions pas passé la soirée ensemble. Bien sur, quelques fois nous étions avec des amis mais seul, il y avait des mois que nous ne l’avions pas fait. La fin de l’année scolaire et l’arrivé de mon correspondant occupait la majorité de mon horaire. Tomas était loin d’être contraignant, mais il avait besoin d’encadrement et de compagnie. Il était venu pour étudier et pour me voir, je passais donc pas mal de temps avec lui. Sans délaisser mes amis, j’avais décidé de m’assurer que l’Espagnol ait un bon cercle d’ami pour qu’il ne se sente pas seul avant de retrouver l’horaire que j’avais avant son arrivée. Boire en compagnie d’Owen était certes quelque chose d’étrange pour moi, mais j’avais accepté. Parler avec lui me ferait du bien.
À mon entré a l’université, c’est là que je l’avais rencontré. Je me souvenais encore de notre étrange rencontre alors que lui était à l’hôpital suite d’une overdose et moi pour un examen de routine. Je lui avais intimé de se taire puisqu’il gueulait partout qu’il était un sorcier dans un hôpital typiquement moldu. Pour la suite, le destin avait fait le reste. J’avais passé six mois en couple avec Owen, ce fut mon dernier petit-copain. S’il avait été d’une tendresse hors-norme au départ, j’avais fini par découvrir la vraie face de mon amoureux. Alors que je devenais dépendante de son amour, je le savais dépendant de choses bien plus nocives à sa santé. Il avait fini par m’ignoré et me traiter comme la dernière venue. Cela me blessa profondément. Dans ses –rares- moments de sobriété, il était d’un tel romantisme que j’eu de la difficulté à rompre. Mais pour mon bonheur personnel, pour ma santé, pour moi, je le fis. Je l’aimais encore, mais je n’aimais pas ce qu’il devenait. Mes amies avaient passer des semaines entières à consoler ce qui fut pour moi une des pire peine d’amour que mon cœur eu a supporter. Mais je réussi à passer au travers. Il me fallu bien du temps avant de réussir à lui reparler. Je lui en voulais. Je lui en voulais de ne pas m’avoir retenu ou supplié de rester. Je lui en voulais de m’avoir laisser partir. Je lui en voulais de m’avoir fait tomber en amour et d’être incapable d’oublier le sentiment qu’il avait créé en moi. Je lui en voulais point. Mais nous étions redevenus ami. Depuis les six dernier mois, depuis son accident, il nous affirmait qu’il avait changé. Qu’il ne consommait plus. Certes, il avait largement diminué l’alcool, pour les drogues, je ne l’avais jamais vu consommé, mais il est facile de faire cela en cachette. Chasser le naturel et il revient au galop. Ce dicton moldu était certes bidon, mais exprimait bien ma vision de la sobriété de mon ami.
La soirée avait passé très rapidement. Comme toujours avec lui. Parler avec lui m’était naturel. Je n’avais pas peur de tout lui compter, mes peines, mes joies, mes craintes. Et, je devais avouer, depuis six mois, c’était encore plus facile. Je me savais vraiment écouter. J’aimerais être d’une si bonne écoute que lui, je tentais de faire de mon mieux. Son bonheur m’était important et je tentais de le réconforter du mieux que je pouvais. Donc, accroché à son bras, plutôt ivre, je quittai le bar en rigolant. Une soirée d’une magnifique simplicité. (malgré la grande protestation que je fis lorsqu’il m’annonça qu’il allait me payer l’entièreté de mes consommations. )Ce qui me fallait. Nous empruntions le raccourci pour aller à l’école et étions rendu dans la ruelle. Alors qu’Owen me racontait une quelconque anecdote, je sentis mes jambes se raidir d’un coup sec, me faisant perdre l’équilibre. Malgré mon bras accroché à celui de mon ami, je me retrouvais plaqué au sol avec une force assez brutale.
- Putain de merde, rageais-je, aie!
J’étais sur le sol, aussi surprise de ma chute que la douleur qu’elle m’avait provoquée. Mon état d’ivresse avancée était supposé engourdir tout mes sens. Je ne le savais que trop. Alors pourquoi j’avais grandement mal aux mains et que mes jambes m’élançaient comme si j’avais couru un marathon. "Est-ce que ça va poussin ?" Je regardai Owen qui s’était penché et lui fit un sourire rassurant. Ce surnom m’aida à chasser ma frustration d’être si bêtement tomber. Il n’y avait pourtant ni flaque d’eau, ni plaque de glace, ni obstacles qui ait pu la provoquée.
- Mais oui voyons.
Je le laissai me prendre dans ses bras pour me déposer sur la beine à ordure. Pas le meilleurs endroit pour reposer des jambes ankylosés mais c’était mieux qu’étendue sur le sol. La douleur de ma jambe gauche disparue rapidement. Je frottais ma droite en regardant mon ami avec un sourire réconfortant et un peu moqueur.
- Tu devrais arrêter de t’en faire à chacun de mes faux pas, les gens tombent parfois tu sais.
Je me plaignais, mais au fond, cette petite attention me faisait sourire intérieurement. Toute personne qui aurait la maladive attitude de me couver à chaque fois que je tombais aurait simplement disparu de ma vie ou eu une grande discutions. Mais pas Owen. Étais-ce parce qu’avant il se fichait totalement de moi et que maintenant j’avais son attention ou simplement parce qu’avec lui je me sentais beaucoup plus soutenue et supportée dans ma maladie? Je l’ignorait. Je lui faisait sans cesse remarquer que s’il continuait à devenir autant stressé lorsqu’il était avec moi, il allait faire une crise de cœur avant moi. Mais, bien sur, cette remarque passait cent pieds au dessus de la tête de mon ami. Avec plus de force je frottai ma jambe. Bordel! Elle ne voulait pas décoincer et faisait de plus en plus mal.
- C’est surement un effet secondaire du médicament…
Je repensaias à mes nombreuses poussée de fièvres la nuit. Les médecins m’avaient avertis que de telles choses pouvaient arriver et que si après une heure cela de disparaissait pas, je n’avais qu’à prendre une douche très froide. Si la fièvre persistait suite à cela, je devais aller immédiatement à l’urgence. Mais jamais je n’avais du se rendre jusque là. La douche était un bon remède habituellement… Sans parler des nombreuses semaines où je n'avais pas eu d’appétit. Les filles m’avaient gavé de force, de peur que je ne meurt de faim. La sensation de la nourriture qui roulait dans ma bouche m'avait lever le cœur bien longtemps. Maintenant, cette effet était pratiquement disparu, même si maintenant j'étais rassasié plus rapidement lors des repas. C’était le triste sort de ce fameux médicament expérimental. J'avais signé la décharge certifiant qiue je savais tous les symptômes possibles. Mais, si ce médicaments pouvaient aider à ralentir le mal qui me rongeait, alors pourquoi pas. Bien sur, présentement, je faisais partit d’un groupe test visant à savoir si le médicament fonctionnait réellement ou l’effet placebo était aussi fort. Aux nombres de symptômes que j'avais eus depuis le début de l’expérimentation, je savais que je n’étais pas du groupe qui recevait un médicament placebo…. Je soupirai soupira, la raideur ne partait pas. C’était étrange… et inquiétant d’ailleurs….
À mon entré a l’université, c’est là que je l’avais rencontré. Je me souvenais encore de notre étrange rencontre alors que lui était à l’hôpital suite d’une overdose et moi pour un examen de routine. Je lui avais intimé de se taire puisqu’il gueulait partout qu’il était un sorcier dans un hôpital typiquement moldu. Pour la suite, le destin avait fait le reste. J’avais passé six mois en couple avec Owen, ce fut mon dernier petit-copain. S’il avait été d’une tendresse hors-norme au départ, j’avais fini par découvrir la vraie face de mon amoureux. Alors que je devenais dépendante de son amour, je le savais dépendant de choses bien plus nocives à sa santé. Il avait fini par m’ignoré et me traiter comme la dernière venue. Cela me blessa profondément. Dans ses –rares- moments de sobriété, il était d’un tel romantisme que j’eu de la difficulté à rompre. Mais pour mon bonheur personnel, pour ma santé, pour moi, je le fis. Je l’aimais encore, mais je n’aimais pas ce qu’il devenait. Mes amies avaient passer des semaines entières à consoler ce qui fut pour moi une des pire peine d’amour que mon cœur eu a supporter. Mais je réussi à passer au travers. Il me fallu bien du temps avant de réussir à lui reparler. Je lui en voulais. Je lui en voulais de ne pas m’avoir retenu ou supplié de rester. Je lui en voulais de m’avoir laisser partir. Je lui en voulais de m’avoir fait tomber en amour et d’être incapable d’oublier le sentiment qu’il avait créé en moi. Je lui en voulais point. Mais nous étions redevenus ami. Depuis les six dernier mois, depuis son accident, il nous affirmait qu’il avait changé. Qu’il ne consommait plus. Certes, il avait largement diminué l’alcool, pour les drogues, je ne l’avais jamais vu consommé, mais il est facile de faire cela en cachette. Chasser le naturel et il revient au galop. Ce dicton moldu était certes bidon, mais exprimait bien ma vision de la sobriété de mon ami.
La soirée avait passé très rapidement. Comme toujours avec lui. Parler avec lui m’était naturel. Je n’avais pas peur de tout lui compter, mes peines, mes joies, mes craintes. Et, je devais avouer, depuis six mois, c’était encore plus facile. Je me savais vraiment écouter. J’aimerais être d’une si bonne écoute que lui, je tentais de faire de mon mieux. Son bonheur m’était important et je tentais de le réconforter du mieux que je pouvais. Donc, accroché à son bras, plutôt ivre, je quittai le bar en rigolant. Une soirée d’une magnifique simplicité. (malgré la grande protestation que je fis lorsqu’il m’annonça qu’il allait me payer l’entièreté de mes consommations. )Ce qui me fallait. Nous empruntions le raccourci pour aller à l’école et étions rendu dans la ruelle. Alors qu’Owen me racontait une quelconque anecdote, je sentis mes jambes se raidir d’un coup sec, me faisant perdre l’équilibre. Malgré mon bras accroché à celui de mon ami, je me retrouvais plaqué au sol avec une force assez brutale.
- Putain de merde, rageais-je, aie!
J’étais sur le sol, aussi surprise de ma chute que la douleur qu’elle m’avait provoquée. Mon état d’ivresse avancée était supposé engourdir tout mes sens. Je ne le savais que trop. Alors pourquoi j’avais grandement mal aux mains et que mes jambes m’élançaient comme si j’avais couru un marathon. "Est-ce que ça va poussin ?" Je regardai Owen qui s’était penché et lui fit un sourire rassurant. Ce surnom m’aida à chasser ma frustration d’être si bêtement tomber. Il n’y avait pourtant ni flaque d’eau, ni plaque de glace, ni obstacles qui ait pu la provoquée.
- Mais oui voyons.
Je le laissai me prendre dans ses bras pour me déposer sur la beine à ordure. Pas le meilleurs endroit pour reposer des jambes ankylosés mais c’était mieux qu’étendue sur le sol. La douleur de ma jambe gauche disparue rapidement. Je frottais ma droite en regardant mon ami avec un sourire réconfortant et un peu moqueur.
- Tu devrais arrêter de t’en faire à chacun de mes faux pas, les gens tombent parfois tu sais.
Je me plaignais, mais au fond, cette petite attention me faisait sourire intérieurement. Toute personne qui aurait la maladive attitude de me couver à chaque fois que je tombais aurait simplement disparu de ma vie ou eu une grande discutions. Mais pas Owen. Étais-ce parce qu’avant il se fichait totalement de moi et que maintenant j’avais son attention ou simplement parce qu’avec lui je me sentais beaucoup plus soutenue et supportée dans ma maladie? Je l’ignorait. Je lui faisait sans cesse remarquer que s’il continuait à devenir autant stressé lorsqu’il était avec moi, il allait faire une crise de cœur avant moi. Mais, bien sur, cette remarque passait cent pieds au dessus de la tête de mon ami. Avec plus de force je frottai ma jambe. Bordel! Elle ne voulait pas décoincer et faisait de plus en plus mal.
- C’est surement un effet secondaire du médicament…
Je repensaias à mes nombreuses poussée de fièvres la nuit. Les médecins m’avaient avertis que de telles choses pouvaient arriver et que si après une heure cela de disparaissait pas, je n’avais qu’à prendre une douche très froide. Si la fièvre persistait suite à cela, je devais aller immédiatement à l’urgence. Mais jamais je n’avais du se rendre jusque là. La douche était un bon remède habituellement… Sans parler des nombreuses semaines où je n'avais pas eu d’appétit. Les filles m’avaient gavé de force, de peur que je ne meurt de faim. La sensation de la nourriture qui roulait dans ma bouche m'avait lever le cœur bien longtemps. Maintenant, cette effet était pratiquement disparu, même si maintenant j'étais rassasié plus rapidement lors des repas. C’était le triste sort de ce fameux médicament expérimental. J'avais signé la décharge certifiant qiue je savais tous les symptômes possibles. Mais, si ce médicaments pouvaient aider à ralentir le mal qui me rongeait, alors pourquoi pas. Bien sur, présentement, je faisais partit d’un groupe test visant à savoir si le médicament fonctionnait réellement ou l’effet placebo était aussi fort. Aux nombres de symptômes que j'avais eus depuis le début de l’expérimentation, je savais que je n’étais pas du groupe qui recevait un médicament placebo…. Je soupirai soupira, la raideur ne partait pas. C’était étrange… et inquiétant d’ailleurs….
- InvitéInvité
Re: Chambre d'Owen
Dim 25 Juil 2010 - 9:09
- Nos retrouvailles avait été beaucoup plus arrosée que je ne l'avait prévue au départ. Bien vite, la vodka, la Tequila et un bon nombre de bouteille de bières été venues nous rejoindre à notre table et comme nous parlions beaucoup, nous bûmes beaucoup aussi. La quantité assez grande d'alcool que nous avions consommée était surement à l'origine de la chute de mon amie, mais dans l'état où nous étions, aucun de nous deux n'y avait pensé. Tout ce qui me traversait l'esprit à présent, c'était la maladie de mon amie, de ma Leah. En faite, je ne sais pas trop si je craignais plus la maladie elle-même ou ce traitement expérimentale qu'elle avait décidé de suivre. Ce traitement avait des effets secondaires bien étranges et assez douloureux, et je détestais voir Leah mal en point. C'était surement l,alcool qui me rendait un peu plus parano que je l'étais réellement, mais je commençai vraiment à avoir peur pour mon amie avec cette chute, sans raison apparente. Est-ce que le compte à rebours mortel avait commencé ? Et si c'était ma dernière soirée avec elle.. "Tu devrais arrêter de t’en faire à chacun de mes faux pas, les gens tombent parfois tu sais." Elle se frottait sans cesse les jambes et ça me faisait peur, je m'inquiétais vraiment. Malgré tout ses sourires rassurants qu'elle me faisait, je restait toujours aussi effrayé à l'idée de la perdre. je ne savais pas vraiment quoi faire, j'étais comme dans une sorte de bulle, de transe, où je pensais à tout ce qui pouvait lui arrivé, à toutes les manières dont je pouvais la perdre, elle me parla un peu, mais je ne l'écoutais pas vraiment, j'étais trop occupé à me faire peur.
- "Allez viens Leah, j't'amène chez moi pour que tu calmes ta jambe. En même temps, on va pouvoir dégriser un peu."
Je ne lui demandai même pas son avis, car la connaissant, je savais bien qu'elle refuserait que je la porte. Je savais bien qu'elle était capable de marcher seule, mais la vérité c'est que j'avais bien trop peur qu'elle ne retombe et que cette fois ça soit plus grave et qu'elle se blesse plus grièvement, j'avais trop peur de cela pour la laisser marcher seule. Je la prit donc dans mes bras sans l'avertir et resta muet tout le long de notre trajet jusqu'au manoir. Le plus difficile fut de monter jusqu'au deuxième étage, car je refusais toujours de la poser, une chance que depuis mon overdose, je m'étais remis à la gym. La soulevant encore, j'ouvris la porte de ma chambre et la posai sur le lit, enfin libéré de ce poids, même si Leah n'était pas du genre très lourde. Plaçant des coussins derrière elle, je semblais beaucoup trop la couver et même pour moi, ça me paraissait trop.
"Je te reviens avec un verre d'eau poussin"
Je la laissai ensuite seule dans ma chambre alors que je passai à la cuisine. Arrivé, je prit un verre et m'arrêtai devant le frigo, apercevant une photo de moi et Leah que nous avions prit dans un photomaton après une fête, nous étions tout les deux complètement bourrés. Nous étions heureux dans ce temps là.. enfin je le croyais. J'avais gardé ces photos car c'était les seules où nous avions réellement l'air d'un couple..
- InvitéInvité
Re: Chambre d'Owen
Lun 26 Juil 2010 - 4:51
Ma jambe était engourdi. C’était désagréable et franchement inquiétant. Il devait y avait une explication logique a tout cela, mais j’étais saoule, donc il n’y en avait pas. Ma jambe était la première chose que ma maladie rejetait, bientôt c’est mon cœur qui serait ainsi engourdis. Cette pensée me glaça le sang. Je devrais arrêter de penser a ce mal qui me rongeait. Mais je n’y arrivais tout simplement pas. J’avais réussi à Poudlard. Durant quelques années, j’avais même accepté le fait que j’allais mourir avant tous mes amis. Mais depuis que j’avais franchi cet hôpital moldu, j’avais appris à avoir peur de la mort. Car elle prenait diverses formes, et parfois elle pouvait être très douloureuse. J’ai vu maman souffrir, j’ai vu mon père souffrir de la mort de maman et je ne voulais pas faire subir cela a aucun de mes amis. J’imaginais le regard attrister d’Elia, de Riley, d’Emy, de Penelope ou même d’Owen en apprenant ma mort. C’était encore plus douloureux que ma raideur présentement. Je continuais à me frotter la jambe, sans grand changement dans cette dernière. Levant un regard vers Owen, je vis son visage inquiet. Je lui fis un grand sourire rassurant. Je ne voulais pas qu’il s’inquiète. Pas pour moi. Pas pour ça. Me couver, Owen le faisait sans que cela me dérange. S’inquiéter donc en faisait partit. Mais il était plus soucieux sur ma jambe que je ne l’étais moi-même, ce qui m’énerva légèrement. Il allait avoir mal a mon départ, il ne fallait pas que de son vivant aussi. Par merlin, pourquoi pensais-je à cela, assise sur une poubelle, dans une ruelle crade….
"Allez viens Leah, j't'amène chez moi pour que tu calmes ta jambe. En même temps, on va pouvoir dégriser un peu."
Dégriser… cela me ferait du bien. La peur qui me prenait au ventre présentement disparaitrait en même temps que toute trace d’alcool. Cette douleur aussi. J’espérais. Par merlin, la simple idée de rester avec une jambe aussi raide me fit de nouveau paniquer. Non! Calme-toi Leah! Pas encore. Il faut etre forte pour les autres. Sourire. Allez Leah, sors de cette peur qui s’immisce tranquillement…. Ouais. Me secouer mentalement, c’est ce qu’il me fallait. Me secouer et dégriser. Aller chez Owen.
«Ouais, bonne idée»
Je n’eu même pas la chance de redescendre que je sentis les bras d’Owen enserrer ma taille et me faire descendre. Je vins pour le remercier mais je constatai qu’il ne me lâchait pas et qu’il commençait a marcher. Prise comme une fillette par un père attentif, j’étais prisonnières des bras qu’Owen s’était fait en faisant de la muscu
«Owen lâche moi!»
Je tentai de me défaire de son étreinte, sans grand succès. Ma jambe engourdis ne voulait pas réagir a mes mouvements ce qui compliquait largement ma tentative de retour au sol. Je le sentis même resserrer sa poigne sur moi. Nous voila donc sur la grande rue, passant devant le Poney. Certaines personnes parties fumer nous regardait avec un drôle d’air, et cela me rendait encore plus mal. J’avais l’impression d’être la pauvre âme qu’un valeureux chevalier était venue secourir. Je détestais cela. Je poussai légèrement sur son torse, sans effet, bougeait les jambes, encore aussi stoïque. Me tortiller était impossible. Résultat : plus que les supplications.
«Oweeeen lache moiiiiiiiiii!»
Frapper un mur de silence de sa part m’énerva plus que de me faire dire ‘’non poussin ne te porte’’. Car c’est ce qu’il me dirait s’il aurait daigné ouvrir la bouche. Je soupirai. Il avait gagné. Mes cris allaient simplement attirer les autorités qui pourraient croire à un kidnapping ou je ne sais quoi. Je cessai alors mes paroles et soupirai lourdement pour montrer mon agacement. J’appuyai ma tête contre lui le long du trajet, fermant les yeux pour écouter son cœur. J’étais soudainement bien. Plus de tracas, plus de douleur. Qu’une chaleur humaine réconfortante. J’étais bien.
Je constatai que je m’étais assoupie lorsque je me réveillais suite au grincement d’une porte. Ouvrant doucement les yeux, je vis la pièce d’entrée du manoir de la famille Miles. Bien que sombre, j’en reconnaissais chaque coin. Merlin, il y avait si longtemps que je n’étais pas venue ici. Malgré ma nouvelle et récente amitié avec Owen, j’avais décider de ne plus fouler le sol de cette demeure qui était encrée dans mes souvenirs amoureux. Combien de nuit j’avais passé dans ses bras ici. Combien de fois nous avions fait des envolée de drogue ensemble dans ce salon. Ces marches, dans lequel nous avions tant de fois trébuché suite a une soirée arrosée… Je me rappelai avoir fait la cuisine ici. Oh et ici… Owen m’avait offert l’unique cadeau de notre relation : une bague que je portais encore. Je ne voulais pas savoir d’où venait ce bijou et j’aimais me faire croire qu’il l’avait acheté a mon intention… même si ma conscience en doutait.
La chambre d’Owen. Merlin qu’elle n’avait pas changé. Sinon qu’elle était plus en ordre qu’avant. Je souris en rencontrant le matelas. Un peu soulagée qu’il me lâche enfin et que je ne cesse de me sentir comme la princesse secouru et aussi de retrouver ce lit dans lequel j’avais passée de nombreuse nuit. J’avais une bizarre d’impression présentement. Une impression de déjà vu se mélangeant a une sensation toute nouvelle. Je me mordis la lèvre et levai les yeux au ciel lorsqu’il me plaça des oreillers sous les reins. Il en faisait un peu trop la. Mais en même temps… aurait-il fait cela lorsque nous étions ensemble? La réponse vint vite : non. Je devais apprécier chaque attention venant de sa part
« Je vais bien arrête! Ma jambe ne me fait même plus mal.»
C’était un mensonge. Un petit. Puisqu’elle me faisait encore mal, mais beaucoup moins que lors de ma chute. De raideur, elle était passé a une simple lourdeur. L’impression d’être ankylosé, c’était plus désagréable que douloureux. Il ne m’écouta même pas, du moins c’est ce que je cru comprendre lorsqu’il m’annonça qu’il allait chercher de l’eau. J’hochai la tête, cela allait m’aider à enlever le trop grand nombre de tequila que j’avais ingéré.
Je le regardai franchir la porte et soupirai lourdement. Ma tête tournais, ma jambe m’angoissait et il faisait nuit. C’était les seules choses que j’étais capable de certifier en ce moment.
"Allez viens Leah, j't'amène chez moi pour que tu calmes ta jambe. En même temps, on va pouvoir dégriser un peu."
Dégriser… cela me ferait du bien. La peur qui me prenait au ventre présentement disparaitrait en même temps que toute trace d’alcool. Cette douleur aussi. J’espérais. Par merlin, la simple idée de rester avec une jambe aussi raide me fit de nouveau paniquer. Non! Calme-toi Leah! Pas encore. Il faut etre forte pour les autres. Sourire. Allez Leah, sors de cette peur qui s’immisce tranquillement…. Ouais. Me secouer mentalement, c’est ce qu’il me fallait. Me secouer et dégriser. Aller chez Owen.
«Ouais, bonne idée»
Je n’eu même pas la chance de redescendre que je sentis les bras d’Owen enserrer ma taille et me faire descendre. Je vins pour le remercier mais je constatai qu’il ne me lâchait pas et qu’il commençait a marcher. Prise comme une fillette par un père attentif, j’étais prisonnières des bras qu’Owen s’était fait en faisant de la muscu
«Owen lâche moi!»
Je tentai de me défaire de son étreinte, sans grand succès. Ma jambe engourdis ne voulait pas réagir a mes mouvements ce qui compliquait largement ma tentative de retour au sol. Je le sentis même resserrer sa poigne sur moi. Nous voila donc sur la grande rue, passant devant le Poney. Certaines personnes parties fumer nous regardait avec un drôle d’air, et cela me rendait encore plus mal. J’avais l’impression d’être la pauvre âme qu’un valeureux chevalier était venue secourir. Je détestais cela. Je poussai légèrement sur son torse, sans effet, bougeait les jambes, encore aussi stoïque. Me tortiller était impossible. Résultat : plus que les supplications.
«Oweeeen lache moiiiiiiiiii!»
Frapper un mur de silence de sa part m’énerva plus que de me faire dire ‘’non poussin ne te porte’’. Car c’est ce qu’il me dirait s’il aurait daigné ouvrir la bouche. Je soupirai. Il avait gagné. Mes cris allaient simplement attirer les autorités qui pourraient croire à un kidnapping ou je ne sais quoi. Je cessai alors mes paroles et soupirai lourdement pour montrer mon agacement. J’appuyai ma tête contre lui le long du trajet, fermant les yeux pour écouter son cœur. J’étais soudainement bien. Plus de tracas, plus de douleur. Qu’une chaleur humaine réconfortante. J’étais bien.
Je constatai que je m’étais assoupie lorsque je me réveillais suite au grincement d’une porte. Ouvrant doucement les yeux, je vis la pièce d’entrée du manoir de la famille Miles. Bien que sombre, j’en reconnaissais chaque coin. Merlin, il y avait si longtemps que je n’étais pas venue ici. Malgré ma nouvelle et récente amitié avec Owen, j’avais décider de ne plus fouler le sol de cette demeure qui était encrée dans mes souvenirs amoureux. Combien de nuit j’avais passé dans ses bras ici. Combien de fois nous avions fait des envolée de drogue ensemble dans ce salon. Ces marches, dans lequel nous avions tant de fois trébuché suite a une soirée arrosée… Je me rappelai avoir fait la cuisine ici. Oh et ici… Owen m’avait offert l’unique cadeau de notre relation : une bague que je portais encore. Je ne voulais pas savoir d’où venait ce bijou et j’aimais me faire croire qu’il l’avait acheté a mon intention… même si ma conscience en doutait.
La chambre d’Owen. Merlin qu’elle n’avait pas changé. Sinon qu’elle était plus en ordre qu’avant. Je souris en rencontrant le matelas. Un peu soulagée qu’il me lâche enfin et que je ne cesse de me sentir comme la princesse secouru et aussi de retrouver ce lit dans lequel j’avais passée de nombreuse nuit. J’avais une bizarre d’impression présentement. Une impression de déjà vu se mélangeant a une sensation toute nouvelle. Je me mordis la lèvre et levai les yeux au ciel lorsqu’il me plaça des oreillers sous les reins. Il en faisait un peu trop la. Mais en même temps… aurait-il fait cela lorsque nous étions ensemble? La réponse vint vite : non. Je devais apprécier chaque attention venant de sa part
« Je vais bien arrête! Ma jambe ne me fait même plus mal.»
C’était un mensonge. Un petit. Puisqu’elle me faisait encore mal, mais beaucoup moins que lors de ma chute. De raideur, elle était passé a une simple lourdeur. L’impression d’être ankylosé, c’était plus désagréable que douloureux. Il ne m’écouta même pas, du moins c’est ce que je cru comprendre lorsqu’il m’annonça qu’il allait chercher de l’eau. J’hochai la tête, cela allait m’aider à enlever le trop grand nombre de tequila que j’avais ingéré.
Je le regardai franchir la porte et soupirai lourdement. Ma tête tournais, ma jambe m’angoissait et il faisait nuit. C’était les seules choses que j’étais capable de certifier en ce moment.
- InvitéInvité
Re: Chambre d'Owen
Lun 26 Juil 2010 - 20:19
- Nous venions d'entrer chez moi, le grand manoir des O'Hare. Il avait jadis appartenu à mon grand oncle Joshua, mais à sa mort, c'est son frère, mon grand-père qui s'y installa, voulant quitter l'Irlande pour être plus près de sa fille qui avait épousé un homme d'affaire de Londres, mon père. Ce grand manoir où je ne venais que très rarement lorsque j'étais petit, car mon père m'interdisait de trop sympathiser avec mon grand-père, ce grand manoir était dans la famille de génération en génération du coté de ma mère et je comptais bien le transmettre à mes enfants.. lorsque j'en aurai. Dans ce grand manoir, il y avait encore plein de pièce avec des draps sur les meubles, car je n'occupais qu'une certaine partie sinon l'entretiens d'une telle propriété était beaucoup trop imposant pour une seule personne. Je n'utilisais donc que ma chambre, le salon, la cuisine ainsi que le salle de billard. Une fois j'étais entré dans le bureau de mon grand-père, malgré les années qui s'était écoulé depuis sa mort, tout y était encore en place, ça m'avait vraiment troublé et après ma visite, j'avais tout replacé et je n'avais plus jamais ouverte cette porte d'érable massif. Et oui, j'avais mainte et mainte fois souillé la mémoire de mon grand-père et de mes ancêtres que je n'avais pas connus, j'avais souillé le mémoire à grands coups de fêtes débauchées. Après tout, comment résister à la tentation de faire d'énormes fêtes lorsqu'on habite seul dans un manoir si immense. Et ce n'était pas rare que le mobilier recevait quelques dommages.. Mais aussitôt entré par les grandes portes, Leah dans mes bras, beaucoup trop de souvenirs avaient remonté à la surface. Comme un de ces soirs où nous étions surement plus saouls que nous le sommes présentement et que nous étions entré de la même manière. Bien sûr, cette fois là, je l'avais posé sur la table basse du salon et nous nous étions beaucoup amusé. Je regardais un peu partout et je nous voyais avant, dans ses escaliers, sur ce divan, sur le plancher, ce manoir était remplie de ce couple plus ou moins heureux que nous avions été..
Sans attendre plus longtemps devant les fantômes de notre couple, je montais les grandes marches spiralées pour aller jusqu'à ma chambre, qu'elle puisse enfin se reposer. Si plus tôt elle s'était débattu pour retrouver le sol, et même si elle s'était endormie, maintenant elle était toute réveillé et ne bougeait pas plus, blotti contre moi, on aurait même dit qu'elle portait une attention particulière aux battements de mon cœur. Je trouvais ça adorable et ça me rappelait mes moments de sobriétés dans notre couple et pour être franc... J'aimais ça.
J'entrai finalement dans ma chambre, Leah toujours dans mes bras. Je l'installai ensuite dans mon lit, m'assurant qu'elle ait tout le soutient et le support qu'il lui fallait pour bien reposer sa jambe, car je ne voulais pas qu'elle aggrave son cas à cause d'une mauvaise posture. "Tais toi et laisse moi faire" Lui répondis-je lorsqu'elle me dit qu'elle n'avait plus mal.Bien sûr que je ne la croyais pas. Sa jambe semblait dans le même état qu'elle l'était durant le trajet, enfin... je crois. Foutu tequila ! L'armant de coussin et d'oreiller, je partie ensuite dans la cuisine pour lui ramener un verre d'eau. Ouvrant le frigo pour y prendre la cruche d'eau, petite astuce complètement moldus qui venait d'une sœur de mon père je suppose que c'est ensuite devenue une habitude, prenant donc cette cruche d'eau, j'ai versai dans un verre. Refermant ensuite la porte, je vis une photo de nous deux. C'était pendant un voyage où j'avais amener Leah à Dublin. Je voulais aussi lui montrer le petite comté où ma mère avait grandit, bien reconnue pour son paysage à couper le souffle. Nous étions sous la pluie, avec un parapluie, je protégeais Leah qui se blottissait contre moi, toute souriante pendant que je riais un peu. C'était un vieil homme qui nous avait photographier pour ensuite nous vendre la photo, enchanté, nous avions accepter. Attrapant la photo, je pris aussi le verre et je remontai dans la chambre. Une fois arrivé, je la voyais là et ça remonta encore plus de souvenir que d'entré ici.
- "Voilà ton verre Miss, fais attention, c'est très froid"Souriant, je me posai sur le lit, juste à coté d'elle et fit voler la photo jusqu'à sur elle, dans une petit mouvement de la main. "Regarde ce que j,ai trouvé en bas en allant chercher ton verre d'eau"
- InvitéInvité
Re: Chambre d'Owen
Lun 26 Juil 2010 - 20:55
"Tais toi et laisse moi faire"
Je fis une moue, détestant cet ordre. J’avais la jambe engourdis, je n’étais pas mourante. J’avais déjà des infirmières de l’hôpital qui s’exaspérait car je me plaignais de leurs petits soins que pourtant j’appréciais grandement. Mais Owen ne devait pas agir comme ça envers moi. Il devrait faire comme ce soir : prendre un verre –ou plutôt une bonne dizaine-, danser, rire, dire des conneries et une fois saoul décider d’un plan pour révolutionné le monde magique. Ce soir nous avions décidé de la réforme scolaire : Poudlard devrait être obligatoire jusqu'à nos quinze ans et Hungcalf devrait vachement couter moi cher. De grandes discutions sur le pour et le contre d’abolir des devoirs et plusieurs idée de remplacement de certains profs. Bref, une conversation de saoulons.
"Voilà ton verre Miss, fais attention, c'est très froid"
Je relevai la tête, prise dans mes pensées et je vis Owen près de moi, me tendre un verre d’eau. Je me redressai légèrement, ne bougeant pas trop puisque ma jambe me faisait encore énormément mal. Mais cela, je devais le cacher a Owen, il allait s’inquiété et faire tout un plat encore. Des plans pour me retrouver à Ste-Mangouste….
‘’ Merci’’
C’était étrange, habituellement, on disait a une personne de faire attention car la boisson était chaude, pas le contraire. Je trouvais cela cocasse. Mais en même temps, moi et ma naturelle chance j’aurais été capable de faire une gaffe avec se verre d’eau. Ce pourquoi je le pris à deux main, lui faisant un grand sourire de remerciement. Je le regardais faire voler un bout de papier devant moi, arquant un sourcil. Intrigué par ce qu’il voulait me montrer et l’attitude d’Owen ce soir. Il me faisait rire, ça me plaisait. Loin de moi l’idée de me plaindre. Mais j’étais habitué à un Owen distant, grognon et un peu moins attentif.
"Regarde ce que j’ai trouvé en bas en allant chercher ton verre d'eau"
Je pris le bout de papier et regardai la photo. Mon regard s’attendrit aussitôt et mon cœur se serra l’espace d’une seconde. Un petit sourire se dessina sur mes lèvres. Dublin… J’avais l’impression que j’y avais été il y a des décennies alors que cela ne faisait qu’une année. Me voir si souriante dans ses bras, le voir heureux par ma faute… Tout cela semblait un rêve. Il était impossible que pareil moment se soit produit entre lui et moi. J’avais le souvenir d’une relation difficile, douloureuse et remplis de pleures. Sortant du brouillard qu’avait été ma relation avec Owen, cette photo me rappelait que parfois il m’avait été agréable de l’avoir comme petit-ami.
‘’WOa…’’ Soufflais-je un peu émue et émerveillée de ce souvenir. ‘’ Ca fait un bail….’’
Je souris à Owen, prenant une gorgée d’eau puisque la tête me tournait. Décidément, j’aurais du moins boire ce soir. Je lui redonnai la photo, me demandant où il l’avait trouvé. Mis à part cette bague que je portais toujours, j’avais placée les souvenirs de notre couple dans une boite qui était dans mon étagère. J’avais les nombreuses photos que nous avions –ou plutôt que j’avais- pris ensemble. Quelques messages d’amour et des tas de babioles qui ne voulait rien dire pour la plupart, mais qui pour moi avait une signification précise : ticket de concert, lacet de chaussure, dépliant pour une école d’accordéons, facture d’un voyage en train, porte-clefs en forme de balais et bien plus. Bien sur, quelques photo de nous ornait encore le mur de ma chambre, mais lors de ma peine d’amour, mes amis m’avait conseillé d’enlever tout ce qui me faisait penser a lui, ce que j’ai fais. Dans un sens, j’avais été curieuse de savoir s’il avait fait la même chose où s’il s’était simplement débarrassé de tout. Cette photo me prouvait que la première option était plus probable.
‘’ J’avais oubliée cette photo’’
Je rougis, honteuse de cette vérité.
Je fis une moue, détestant cet ordre. J’avais la jambe engourdis, je n’étais pas mourante. J’avais déjà des infirmières de l’hôpital qui s’exaspérait car je me plaignais de leurs petits soins que pourtant j’appréciais grandement. Mais Owen ne devait pas agir comme ça envers moi. Il devrait faire comme ce soir : prendre un verre –ou plutôt une bonne dizaine-, danser, rire, dire des conneries et une fois saoul décider d’un plan pour révolutionné le monde magique. Ce soir nous avions décidé de la réforme scolaire : Poudlard devrait être obligatoire jusqu'à nos quinze ans et Hungcalf devrait vachement couter moi cher. De grandes discutions sur le pour et le contre d’abolir des devoirs et plusieurs idée de remplacement de certains profs. Bref, une conversation de saoulons.
"Voilà ton verre Miss, fais attention, c'est très froid"
Je relevai la tête, prise dans mes pensées et je vis Owen près de moi, me tendre un verre d’eau. Je me redressai légèrement, ne bougeant pas trop puisque ma jambe me faisait encore énormément mal. Mais cela, je devais le cacher a Owen, il allait s’inquiété et faire tout un plat encore. Des plans pour me retrouver à Ste-Mangouste….
‘’ Merci’’
C’était étrange, habituellement, on disait a une personne de faire attention car la boisson était chaude, pas le contraire. Je trouvais cela cocasse. Mais en même temps, moi et ma naturelle chance j’aurais été capable de faire une gaffe avec se verre d’eau. Ce pourquoi je le pris à deux main, lui faisant un grand sourire de remerciement. Je le regardais faire voler un bout de papier devant moi, arquant un sourcil. Intrigué par ce qu’il voulait me montrer et l’attitude d’Owen ce soir. Il me faisait rire, ça me plaisait. Loin de moi l’idée de me plaindre. Mais j’étais habitué à un Owen distant, grognon et un peu moins attentif.
"Regarde ce que j’ai trouvé en bas en allant chercher ton verre d'eau"
Je pris le bout de papier et regardai la photo. Mon regard s’attendrit aussitôt et mon cœur se serra l’espace d’une seconde. Un petit sourire se dessina sur mes lèvres. Dublin… J’avais l’impression que j’y avais été il y a des décennies alors que cela ne faisait qu’une année. Me voir si souriante dans ses bras, le voir heureux par ma faute… Tout cela semblait un rêve. Il était impossible que pareil moment se soit produit entre lui et moi. J’avais le souvenir d’une relation difficile, douloureuse et remplis de pleures. Sortant du brouillard qu’avait été ma relation avec Owen, cette photo me rappelait que parfois il m’avait été agréable de l’avoir comme petit-ami.
‘’WOa…’’ Soufflais-je un peu émue et émerveillée de ce souvenir. ‘’ Ca fait un bail….’’
Je souris à Owen, prenant une gorgée d’eau puisque la tête me tournait. Décidément, j’aurais du moins boire ce soir. Je lui redonnai la photo, me demandant où il l’avait trouvé. Mis à part cette bague que je portais toujours, j’avais placée les souvenirs de notre couple dans une boite qui était dans mon étagère. J’avais les nombreuses photos que nous avions –ou plutôt que j’avais- pris ensemble. Quelques messages d’amour et des tas de babioles qui ne voulait rien dire pour la plupart, mais qui pour moi avait une signification précise : ticket de concert, lacet de chaussure, dépliant pour une école d’accordéons, facture d’un voyage en train, porte-clefs en forme de balais et bien plus. Bien sur, quelques photo de nous ornait encore le mur de ma chambre, mais lors de ma peine d’amour, mes amis m’avait conseillé d’enlever tout ce qui me faisait penser a lui, ce que j’ai fais. Dans un sens, j’avais été curieuse de savoir s’il avait fait la même chose où s’il s’était simplement débarrassé de tout. Cette photo me prouvait que la première option était plus probable.
‘’ J’avais oubliée cette photo’’
Je rougis, honteuse de cette vérité.
- InvitéInvité
Re: Chambre d'Owen
Mar 27 Juil 2010 - 1:15
- Mais qu'avais-je pu bien faire avec tout ces souvenirs.. Certes, avoir été quelqu'un de normal, j'aurai probablement tout été rendre à Leah, ou peut-être que dans un élan de colère j'aurai tout détruit et par la suite jeté dans les poubelles ou peut-être même que j'aurai tout mit dans un sac en plastique et que j'aurai rangé dans un coin de la maison. Mais je ne suis pas quelqu'un de normal, je ne suis pas une personne comme les autres. Alors tout ce que j'ai fait, c'est: rien. Et oui, pour moi, à l'époque, ce n'était pas une vraie peine d'amour de me séparer de Leah. Disons qu'en plus ça m,avait donné une meilleure excuse pour sortir que: "HEY!!! C'EST MARDI !!!" Et même que ça m'a permit de coucher avec cette belle petite rou.... ah, ce n'est pas le point. Le fait est que pendant que Leah pleurait toutes les larmes de son corps, moi j'étais de mon coté, à m'amuser et à coucher à gauche et à droite, sans penser même une seule seconde à elle. Pas étonnant que ça lui ai prit des mois avant de pouvoir revenir me parler. Mais heureusement aujourd'hui tout allait bien et nous sommes capables de nous parler. Mais étrangement, j'avais ce sentiment assez inhabituel, comme si j'avais besoin de la savoir heureuse, comme si ça présence me rendait moi-même heureux...
Rien pour arranger ce étrange sentiment que j'avais, je trouvai cette photo de nous deux où l'on semblait tellement heureux. Mais non, encore une fois, c'était tout simplement impossible qu'elle puisse me pardonner et que l'on puisse revivre des moments comme à Dublin. Mais bon... après tout, je perdais quoi si j'essayais ? Si je lui prouvais que j'avais changé et que j'étais devenue un type bien, que je peux la rendre heureuse.
"T'as vu comme on a l'air heureux ?"
Encore souriant à cause de la photo, je regardai mon amie qui avait prit des teintes un peu plus rouge, couleur qui lui allait très bien, ça la rendait encore plus belle. Malgré toute les fois où j'ai tenté de la convaincre qu'elle était très belle, la seule chose qu'elle trouvait à mon répondre c'est de rire ou de me dire que ce n'était pas vrai. Les rares fois où je me trouvait de réels arguments, en m'embrassait ou faisait autre chose pour me distraire et m'occuper sur autre chose. ça ne me dérangeait pas tant que ça tout compte fait.. Elle prit une autre gorgée de son eau et lorsque sa main toucha le verre
j,entendis un petit prit, comme si quelques frappait un verre avec une cuillère, mais lorsque je la regardai, curieux, je vis qu'elle portait encore la bague que je lui avait offert. Voyez-vous, cette bague est très précieuse pour moi car c'est la bague de ma défunte mère, j,ai réussit à mettre la main dessus sans avoir à affronter mon père, ce qui est très étonnant vu le fait que c'était le premier cadeau qu'il lui avait offert. Depuis ce jour, elle ne l'avait jamais enlevé, jouant même au Quidditch avec. Cette bague me tenait donc beaucoup à cœur...
- "Hey.. tu portes encore la bague que je t'avais offerte"
Je la regardais, et elle était belle, plus je la regardais, plus j'avais envie de la toucher, de l'embrasser. Je ne sais pas si c'est l'alcool ou de vieux sentiments, mais par pitié, sauvez-vous, car je marche sur le chemin de la perdition.
- InvitéInvité
Re: Chambre d'Owen
Mar 27 Juil 2010 - 3:14
Parfois, je me demandais pourquoi j’étais retourné vers Owen. Il m’avait brisé de bien des façons et il avait fallu des lunes avant que mes amis soient capable de me reconstruire un temps soi peu. A notre rupture, je m’étais sentie vide, sotte et trahis. Encore maintenant, je me revoyais franchir le seuil de cette porte pour y découvrir Owen en train de se taper une autre que moi. Je me souviens encore du trou dans le cœur que cela m’avais provoqué puisque j’avais bêtement cru qu’il allait m’être fidèle. Il ne s’était même pas confondue en excuse, il avait simplement arrêté sa besogne, s’était retourné la tête et m’avait invité à les rejoindre. Quand je suis parti en le traitant de connard, je suis persuadé qu’il a fait jouir cette pétasse qu’il avait ramenée dans sa chambre. Cette soirée là, grand dieux que j’avais pleuré. Elia, Riley et Emy –qui s’étaient rencontré pour une soirée quelconque- avait passé leur temps a me réconforté et à traiter Owen de tout les noms. Je savais qu’ils n’avaient jamais vraiment apprécié notre relation et se doutaient qu’un jour, la vérité allait m’éclater en pleine face. Mais pourquoi cela avait dû faire aussi mal? ¸
Or un jour, je m’étais remise à parler à Owen. Il m’avait appris qu’il avait lâché la drogue, se dont j’avais fortement douté. C’est à force de faire des sorties avec lui que j’avais compris qu’il était vraiment clean. Ou du moins, il l’était avec moi. Le Owen qui m’avait fait craquer a l’hôpital, le Owen sobre, je le retrouvais a mes coté mais maintenant de façon constante. C’était étrange, c’était nouveau. Il était en train d’établir une nouvelle confiance que certains me rappelait qu’il ne méritait pas. Mais ce n’était plus qu’un ami et cette idée me plaisait. Car maintenant, il me faisait rire, danser et boire. Des choses que jamais nous avions faites ensemble de façon sobre. Le nombre de nuits que j’avais passé dans ses bras, totalement sous l’emprise de la drogue ou de l’alcool.. Merlin. Simplement d’y repenser me faisait peur. J’avais été sottement amoureuse d’une junkie… Maintenant, j’étais ami d’un garçon clean.
"T'as vu comme on a l'air heureux ?"
Je regardai de nouveau la photo et fit un petit sourire, me mordant la lèvre. Oui, parfois j’avais été heureuse avec lui. Mais bien plus souvent malheureuse.
«Ouais, t’a raison. » Dis-je après un temps. «Ca fait étrange de se voir ainsi»
La tête me tournait encore et cette conversation était en train de me faire oubliée cette raideur qui n’était pas partie encore. Pour éviter d’être trop déshydraté le lendemain, boire de l’eau consistait le meilleur remède. Ainsi je dégrisais et je m’évitais une éventuelle gueule de bois.
"Hey.. tu portes encore la bague que je t'avais offerte"
Cette affirmation, un peu sortit de nulle part, me surpris. Froncant légèrement les sourcils, je regardai ma main où la bague d’Owen y étais depuis qu’il me l’avait offerte. Je fis donc un sourire en le regardant, gêner un peu qu’il l’a remarqué.
«Oui» dis-je en rougissant un peu. «je suis incapable de m’en séparer»
Même lorsque je devais l’enlever pour mes tests a l’hôpital moldu, je m’empressais de la remettre une fois sortie de l’établissement. Sans elle, je me sentais aussi nu que si je n’avais pas de vêtement. Elle faisait maintenant partie de moi. Mes yeux se baissèrent sur la bague, je vins a me demander si lui avait garder les quelques présents que je lui avait offert. Au fond de moi, j’espérais grandement.
Or un jour, je m’étais remise à parler à Owen. Il m’avait appris qu’il avait lâché la drogue, se dont j’avais fortement douté. C’est à force de faire des sorties avec lui que j’avais compris qu’il était vraiment clean. Ou du moins, il l’était avec moi. Le Owen qui m’avait fait craquer a l’hôpital, le Owen sobre, je le retrouvais a mes coté mais maintenant de façon constante. C’était étrange, c’était nouveau. Il était en train d’établir une nouvelle confiance que certains me rappelait qu’il ne méritait pas. Mais ce n’était plus qu’un ami et cette idée me plaisait. Car maintenant, il me faisait rire, danser et boire. Des choses que jamais nous avions faites ensemble de façon sobre. Le nombre de nuits que j’avais passé dans ses bras, totalement sous l’emprise de la drogue ou de l’alcool.. Merlin. Simplement d’y repenser me faisait peur. J’avais été sottement amoureuse d’une junkie… Maintenant, j’étais ami d’un garçon clean.
"T'as vu comme on a l'air heureux ?"
Je regardai de nouveau la photo et fit un petit sourire, me mordant la lèvre. Oui, parfois j’avais été heureuse avec lui. Mais bien plus souvent malheureuse.
«Ouais, t’a raison. » Dis-je après un temps. «Ca fait étrange de se voir ainsi»
La tête me tournait encore et cette conversation était en train de me faire oubliée cette raideur qui n’était pas partie encore. Pour éviter d’être trop déshydraté le lendemain, boire de l’eau consistait le meilleur remède. Ainsi je dégrisais et je m’évitais une éventuelle gueule de bois.
"Hey.. tu portes encore la bague que je t'avais offerte"
Cette affirmation, un peu sortit de nulle part, me surpris. Froncant légèrement les sourcils, je regardai ma main où la bague d’Owen y étais depuis qu’il me l’avait offerte. Je fis donc un sourire en le regardant, gêner un peu qu’il l’a remarqué.
«Oui» dis-je en rougissant un peu. «je suis incapable de m’en séparer»
Même lorsque je devais l’enlever pour mes tests a l’hôpital moldu, je m’empressais de la remettre une fois sortie de l’établissement. Sans elle, je me sentais aussi nu que si je n’avais pas de vêtement. Elle faisait maintenant partie de moi. Mes yeux se baissèrent sur la bague, je vins a me demander si lui avait garder les quelques présents que je lui avait offert. Au fond de moi, j’espérais grandement.
- InvitéInvité
Re: Chambre d'Owen
Ven 27 Aoû 2010 - 7:00
Romantique. Oui, je suis romantique. J'ai en moi, ce puissant désir d'être tendre, affectueux et attentionné envers une personne. Oui je sais, pour certains d'entre vous ça peut sembler très étrange venant de ma part si vous m'avez connu dans une période sombre de ma vie, mais croyez-moi. Je le suis. C'est sûrement pourquoi j'ai été avec Leah durant tout ce temps parce qu'à l'époque je n'étais pas vraiment du genre à me mettre en couple. Plutôt un voyageur, vivant comme un nomade d'un lit à un autre. Beaucoup plus libertin que petit copain. Oui j'étais avec elle, oui j'avais beaucoup d'affection pour elle, surement même que je l'aimais. Mais je me voyais mal cesser mon rythme de vie pour elle, cesser la drogue et les femmes. Par chance, Leah était incroyable au lit et avait un appétit sexuel presque aussi grand que le mien. Rares fut les fois où j'allai voir ailleurs. Aujourd'hui je n'en suis pas vraiment fier, mais à l'époque tout ça m'était bien égal. En faite, je n'était pas vraiment conscient que j,aurai pu la blesser si elle était au courant de tout ceci, et même si je l'avait été je ne sais pas si ça m'aurait dérangé. Et oui, le Owen que je suis aujourd'hui et celui que j'ai été jadis sont deux personnes bien distinctes. Avant je me disais que Leah avait de la chance d'être avec un mec aussi cool et aussi bon au lit que moi. Aujourd'hui je regrette et je m,en veut terriblement pour ce que j'ai put lui faire endurer pendant qu'elle était amoureuse de moi.
Aujourd'hui avec Leah c'était bien différent. Une fois toutes mes erreurs réalisées, j,avais eu une certaine envie de repentie, je voulais réparer mes fautes, me racheter au près de ceux que j'avais fait souffrir. Leah arrivait première en tête de liste. J'avais bien vite décidé de reprendre contact avec elle et de tout faire pour me faire pardonner, même si je savais que la tache n,allait pas être des plus facile. Au début, elle refusa de me voir, réaction bien normale connaissant notre passé. Ses amis avaient surement du lui dire que je mentais, que je n,avait pas réellement changé et que tout ce que je voulais c'était la faire souffrir à nouveau. Mais c'était tout le contraire, je voulais simplement être son ami, ou du moins ne plus être une personne qu'elle déteste. Finalement, je l'eus à l'usure et elle accepta de prendre un verre avec moi. Encore aujourd'hui je vois qu'elle n'est pas certaine à 100% de ma sobriété, mais je compte bien lui prouver que je le suis, peu importe le temps que ça prendra. Aujourd'hui, j'étais son ami, rien de plus. Même pas un petit baisé sous l'alcool, même pas une caresse de trop même pas une pens.... bon, on va pas exagérer tout de même ! Je suis un mec tout de même ! mais bon revenons. Ce soir si, c'était différent. Je ne sais toujours pas si c'était bien réel et c'est parce qu'on croyait que sa maladie s'aggravait rapidement et que bientôt elle ne serait lus des nôtres, mais j'avais un besoin incontrôlable d'être près d'elle. Elle était là, étendu sur mon lit après cette mystérieuse chute et moi, étendu à coté d'elle, admirant son corps et tout son être avec une envie folle de la serrer contre moi, de l'embrasser, goûter à nouveau à la douceur de ses lèvres, sentir ses doux cheveux s'évaporer entre mes doigts, sentir tout son corps se presser contre le mien, ses jambes m'entour... "Oui je suis incapable de m’en séparer"
C'est sa voix qui me sortit de mes rêveries, et j,en avais de besoin car un peu plus et je lui sautais dessus, brisant tout ce que j'avais fait jusqu'ici pour être le parfait ami, serviable et tout et tout. Cette bague. Elle était incapable de s'en séparer, ces mots m'avait encore rendu encore plus fou. mais bon sang, par merlin, que m'arrive-t-il ? je ne peux pas.. non c'est impossible, pas après tout ça.. Pas après tout mes efforts pour... Mais attend, c'est que j'ai mes lèvres sur les siennes là non ? Merde ! Mais putain que c'était bon. J'avais du sourire après sa réponse, et surement qu'entraîner dans ce flot d'émotion qui resurgissaient je m'étais doucement approcher de ses lèvres et que j'avais doucement presser les miennes contre les siennes. Goûtant à nouveau à cette douceur et cette saveur qu'elles avaient toujours. Je fermai les yeux doucement, m'abandonnant complètement à cet acte impulsif qui allait peut-être me nuire à la fin. Finalement, après quelques secondes de ce baiser inattendu, je reculai de son visage, ne quittant pas ses yeux du regard. Ces yeux, ces si beaux yeux, combien de fois m'avaient-ils ensorceler ? Maintenant à quelques centimètres de son visage..
Je commençai déjà à regretter ce que j'avais fait. Maintenant dans ma tête, durant quelques fractions de secondes, tout les pires scénarios possibles se bousculaient voulant me montrer qu'il pourrait être bien pire que celui d'avant. J'avais peur, mon cœur battait à tout rompre je ne voulais pas qu'elle me rejète, qu'elle prenne peur devant moi et qu'elle fuit. je ne savais pas pourquoi je l'avais embrasser, mais je ne voulait pas qu'elle me rejète. je me sentais un peu comme un collégien nerveux devant son premier rendez-vous en ce moment...
Aujourd'hui avec Leah c'était bien différent. Une fois toutes mes erreurs réalisées, j,avais eu une certaine envie de repentie, je voulais réparer mes fautes, me racheter au près de ceux que j'avais fait souffrir. Leah arrivait première en tête de liste. J'avais bien vite décidé de reprendre contact avec elle et de tout faire pour me faire pardonner, même si je savais que la tache n,allait pas être des plus facile. Au début, elle refusa de me voir, réaction bien normale connaissant notre passé. Ses amis avaient surement du lui dire que je mentais, que je n,avait pas réellement changé et que tout ce que je voulais c'était la faire souffrir à nouveau. Mais c'était tout le contraire, je voulais simplement être son ami, ou du moins ne plus être une personne qu'elle déteste. Finalement, je l'eus à l'usure et elle accepta de prendre un verre avec moi. Encore aujourd'hui je vois qu'elle n'est pas certaine à 100% de ma sobriété, mais je compte bien lui prouver que je le suis, peu importe le temps que ça prendra. Aujourd'hui, j'étais son ami, rien de plus. Même pas un petit baisé sous l'alcool, même pas une caresse de trop même pas une pens.... bon, on va pas exagérer tout de même ! Je suis un mec tout de même ! mais bon revenons. Ce soir si, c'était différent. Je ne sais toujours pas si c'était bien réel et c'est parce qu'on croyait que sa maladie s'aggravait rapidement et que bientôt elle ne serait lus des nôtres, mais j'avais un besoin incontrôlable d'être près d'elle. Elle était là, étendu sur mon lit après cette mystérieuse chute et moi, étendu à coté d'elle, admirant son corps et tout son être avec une envie folle de la serrer contre moi, de l'embrasser, goûter à nouveau à la douceur de ses lèvres, sentir ses doux cheveux s'évaporer entre mes doigts, sentir tout son corps se presser contre le mien, ses jambes m'entour... "Oui je suis incapable de m’en séparer"
C'est sa voix qui me sortit de mes rêveries, et j,en avais de besoin car un peu plus et je lui sautais dessus, brisant tout ce que j'avais fait jusqu'ici pour être le parfait ami, serviable et tout et tout. Cette bague. Elle était incapable de s'en séparer, ces mots m'avait encore rendu encore plus fou. mais bon sang, par merlin, que m'arrive-t-il ? je ne peux pas.. non c'est impossible, pas après tout ça.. Pas après tout mes efforts pour... Mais attend, c'est que j'ai mes lèvres sur les siennes là non ? Merde ! Mais putain que c'était bon. J'avais du sourire après sa réponse, et surement qu'entraîner dans ce flot d'émotion qui resurgissaient je m'étais doucement approcher de ses lèvres et que j'avais doucement presser les miennes contre les siennes. Goûtant à nouveau à cette douceur et cette saveur qu'elles avaient toujours. Je fermai les yeux doucement, m'abandonnant complètement à cet acte impulsif qui allait peut-être me nuire à la fin. Finalement, après quelques secondes de ce baiser inattendu, je reculai de son visage, ne quittant pas ses yeux du regard. Ces yeux, ces si beaux yeux, combien de fois m'avaient-ils ensorceler ? Maintenant à quelques centimètres de son visage..
- "Dé.. désolé..."
Je commençai déjà à regretter ce que j'avais fait. Maintenant dans ma tête, durant quelques fractions de secondes, tout les pires scénarios possibles se bousculaient voulant me montrer qu'il pourrait être bien pire que celui d'avant. J'avais peur, mon cœur battait à tout rompre je ne voulais pas qu'elle me rejète, qu'elle prenne peur devant moi et qu'elle fuit. je ne savais pas pourquoi je l'avais embrasser, mais je ne voulait pas qu'elle me rejète. je me sentais un peu comme un collégien nerveux devant son premier rendez-vous en ce moment...
- InvitéInvité
Re: Chambre d'Owen
Ven 27 Aoû 2010 - 8:08
J’aurais aimé avoir une autre maladie que la mienne. N’importe laquelle, mais pas la mienne. Je préférerais frôler la crise de cœur si je respirais trop fort plutôt que de savoir mon cerveau en train de régresser. Avec un attaque cardiaque, c’était soudain et les gens autours souffraient quelques mois. Tandis qu’avec ma maladie, j’allais faire souffrir durant des années mes proches qui allaient me voir de plus en plus incapable de contrôler mon corps. Marcher aller devenir quelque chose d’insurmontable et il me puait au nez de songer qu’un jour des gens auraient un regard compatissant sur la pauvre dame qui bougeait sans le vouloir. Un arrêt cardiaque et crac tout était fini. J’aurais tant aimé. Mais au lieu, j’avais cet saloperie de gêne qui gâchait ma vie et qui me faisait flipper. Ma jambe me rappelait que ma vie serait courte et j’eu un poing au ventre à penser que le compte à rebours était déjà commencer. Pour éviter la crise de panique, je devais me concentrer. Fixer mon attention sur quelque chose d’autre. N’importe quoi qui n’avait pas de lien avec cette douleur.
Je fixais le verre d’eau qu’Owen venait de me donner me demandant s’il était possible de voire les particules de bactérie qu’une eau pouvait contenir lorsque je fus surpris par un gout de nostalgie. Levant le regarde, je constatai qu’effectivement, Owen était en train de m’embrasser. Mon cœur fit un bond et je fermai les yeux, goutant à cette halène dont j’avais été folle durant des mois. Oui, cet arome qui m’avait enivré lors de notre premier baiser et qui m’avait fait tomber dans son lit. Cet arome qui m’avait fait lui supplier d’être mien. Cet arome qui avait déclenché l’amour que j’avais porté pour Owen durant six mois. Disons cinq, puisque il me fallu un mois pour avoir le courage de rompre avec et que, finalement, il m’avait devancée. Je me laissai docilement embrassée, surprise, étonnée et surtout nostalgique. Le repousser, le giflé, le traiter de connard. Aucune de ses options ne semblait logique. Tout ce qui importait c’était ses lèvres dansant sur les miennes et mon cœur qui recommençait à battre lentement pour finalement courir un marathon. Lorsqu’il rompit le baiser, je laissai échapper un souffle et plongeai mes yeux dans les siens. Comme j’avais oubliés ces pupilles. Je les avais tant adoré, mais trop vu de voit dilaté par une drogue qui me rendait fade. Je lui fis un sourire, alors que le temps c’était arrêter pour moi. Je ne ressentais plus cette douleur dans ma jambe, ni la fatigue que l’alcool dans mon sang provoquait. J’étais dans une bulle, je flottais, perdu dans les yeux d’Owen Miles.
"Dé.. désolé..."
Je le regardai et vi son air perdu. Mon sourire ne fit que s’élargie et j’allai céder un acte de pardon dans un second baiser. Je devais voir si ses lèvres étaient si douces, si son arome m’envoutait encore et si cette sensation était si intense ou si, simplement, l’effet de surprise m’avait rappelé de vieux souvenir. Mais la tendresse fut au rendez-vous et mon corps se mis à frissonner sous les souvenirs du passés. Les nombreuses consommations alcoolisées aidaient surement à ce moment que j’aurais cru improbable il y a encore de cela dix minutes. Je m’étais juré de ne plus jamais embrasser Owen, ni même de lui tenir la main. Par simple respect pour les semaines où j’avais pleurée pour le couple que nous avions été. Par simple respect sur mes principes. Par simple logique de ne pas embrassé son ex. Mais présentement, nos langues dansaient un balais que le manque d’air nous força à interrompre. M’éloignant doucement d’Owen, essoufflée, mes lèvres s’étirèrent en un sourire narquois.
«On est quitte maintenant»
J’affichai un air satisfait en alla frotter ma jambe que j’avais oublié le temps de cet échange qui faisait encore battre mon cœur a tout rompre. Mais au sentiment de peur, vint s’ajouter un mélange d’euphorie. Et les deux mis ensemble donnaient un étrange mélange en moi… Je frissonnais, mais je ne savais plus si c’était de crainte ou d’envie.
Je fixais le verre d’eau qu’Owen venait de me donner me demandant s’il était possible de voire les particules de bactérie qu’une eau pouvait contenir lorsque je fus surpris par un gout de nostalgie. Levant le regarde, je constatai qu’effectivement, Owen était en train de m’embrasser. Mon cœur fit un bond et je fermai les yeux, goutant à cette halène dont j’avais été folle durant des mois. Oui, cet arome qui m’avait enivré lors de notre premier baiser et qui m’avait fait tomber dans son lit. Cet arome qui m’avait fait lui supplier d’être mien. Cet arome qui avait déclenché l’amour que j’avais porté pour Owen durant six mois. Disons cinq, puisque il me fallu un mois pour avoir le courage de rompre avec et que, finalement, il m’avait devancée. Je me laissai docilement embrassée, surprise, étonnée et surtout nostalgique. Le repousser, le giflé, le traiter de connard. Aucune de ses options ne semblait logique. Tout ce qui importait c’était ses lèvres dansant sur les miennes et mon cœur qui recommençait à battre lentement pour finalement courir un marathon. Lorsqu’il rompit le baiser, je laissai échapper un souffle et plongeai mes yeux dans les siens. Comme j’avais oubliés ces pupilles. Je les avais tant adoré, mais trop vu de voit dilaté par une drogue qui me rendait fade. Je lui fis un sourire, alors que le temps c’était arrêter pour moi. Je ne ressentais plus cette douleur dans ma jambe, ni la fatigue que l’alcool dans mon sang provoquait. J’étais dans une bulle, je flottais, perdu dans les yeux d’Owen Miles.
"Dé.. désolé..."
Je le regardai et vi son air perdu. Mon sourire ne fit que s’élargie et j’allai céder un acte de pardon dans un second baiser. Je devais voir si ses lèvres étaient si douces, si son arome m’envoutait encore et si cette sensation était si intense ou si, simplement, l’effet de surprise m’avait rappelé de vieux souvenir. Mais la tendresse fut au rendez-vous et mon corps se mis à frissonner sous les souvenirs du passés. Les nombreuses consommations alcoolisées aidaient surement à ce moment que j’aurais cru improbable il y a encore de cela dix minutes. Je m’étais juré de ne plus jamais embrasser Owen, ni même de lui tenir la main. Par simple respect pour les semaines où j’avais pleurée pour le couple que nous avions été. Par simple respect sur mes principes. Par simple logique de ne pas embrassé son ex. Mais présentement, nos langues dansaient un balais que le manque d’air nous força à interrompre. M’éloignant doucement d’Owen, essoufflée, mes lèvres s’étirèrent en un sourire narquois.
«On est quitte maintenant»
J’affichai un air satisfait en alla frotter ma jambe que j’avais oublié le temps de cet échange qui faisait encore battre mon cœur a tout rompre. Mais au sentiment de peur, vint s’ajouter un mélange d’euphorie. Et les deux mis ensemble donnaient un étrange mélange en moi… Je frissonnais, mais je ne savais plus si c’était de crainte ou d’envie.
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Re: Chambre d'Owen
Ven 27 Aoû 2010 - 11:02
Cette maladie. Cette satané maladie dont je ne connaissais presque sauf le fait que d'ici quelques années elle aurait raison de mon amie et ça serait la fin. D'après ce que je me souviens de ce qu'elle m'a expliqué, ça allait lentement la tuer. L'empêchant d'abord de bouger normalement et comme elle le voudrait, faisant ensuite tomber un après l'autre ses organes vitaux jusqu'à ce que le muscle de son cœur cesse de battre, et que le souffle de vie de ma douce Leah disparaisse (ma douce Leah ? mais bordel qui a mit cette drogue dans mon verre !? Ah non, il est 4h45 du matin... ça explique...). Cette maladie incurable allait donc me voler mon amie, malheureusement il n'y a pas de cure pour cette saloperie. Cependant un traitement expérimental pouvait lui permettre de peut-être la faire vivre longtemps. Sautant sur l'occasion à ce qu'elle m'a dit, elle signa toutes les décharges et n'attendait plus que les effets secondaires. Effets secondaires pas toujours rose, comme les nombreuses nausées qu'elle avait. Même qu'un soir, après une soirée chez Sawyer, je lui ai tenu les cheveux pendant qu'elle vomissait dans une ruelle. Une scène pas trop reluisante, mais je voulait qu'elle sache que j'étais là pour elle. Car c'est bien ce que font les amis non ? Ils sont là les uns pour les autres.
Les amis sont là les uns pour les autres, mais il est bien rare de les voir s'embrasser je me trompe ? Soit nous sommes un cas spécial et qui doit être assez rare, soit nous sommes plus que des amis. L'idée me déplait guère, enfin, je ne sais trop. J'apprécie beaucoup Leah et je ne veux pas la faire souffrir de nouveau, mais d'un autre coté, j'aimerai bien l'avoir qu'à moi et pouvoir la cajoler et chérir de tout mon cœur. Mais bon, cessons de rêver après tout ce que je lui avais fait endurer, jamais elle ne prendrait le risque de me donner une seconde chance. Toujours perdus dans mes pensées, je me retrouva la bouche contre celle de Leah, l'embrassant. Assez embarrassant après ce que je viens de vous confier vous trouvez pas ? Moi si. Incertain et timide je me reculai d'elle, m'excusant et la regardant dans les yeux. Dans le gris de ses beaux yeux, que j'avais si souvent vu en me réveillant le matin, encore high. Puis, je la vis sourire et tout à coup, toute mes craintes se sont effacées d'elles-même et je souris avec elle. Tout à coup un peu plus décontracté face à ce que je venait de faire. Heureusement qu'elle ét... quoi ? un autre baiser ? De sa part ? Sans me poser plus de question je prolongeai doucement ce baiser, regoutant aux mêmes saveurs et à la même douceurs que dans le précédent baiser. Dans un nouveau tourbillon de sensation, ma langue glissa contre celle de Leah, rendant notre souffle plus saccadé et notre respiration pour difficile, nous eûmes aucuns autres choix que de se séparer quelques instants. Je posai mon front contre le sien et vit encore une fois, un joli sourire s'installer sur son visage, me disant: "On est quitte maintenant" Encore souriant je me rendis compte que ma main était posé sur une des hanches de Leah. Malgré tout, je la laissai là. Regardant mon ami avec le même regard amusé je m'avançait de nouveau et attrapa sa lèvre inférieur entre mes deux et les fit glisser dessus, ne la quittant toujours pas du regard. Maintenant je comprenais mieux pourquoi j'avais été avec Leah. Avec elle j'étais bien, je me sentais heureux et serein, cela, même sans les effets de la drogue ou de l'alcool... Je la regardai toujours avec le même amusement, vraiment soulagé de la tournure des choses. Je la regardai et lui dit..
Une petite phrase pleine de sous-entendus comme je l'ai aime. Encore là je n'étais pas certain de sa réaction, car en se moment elle me surprenait de seconde en seconde, mais avec cette phrase au moins, les risque que je me prenne une claque étaient beaucoup plus minimes.
Les amis sont là les uns pour les autres, mais il est bien rare de les voir s'embrasser je me trompe ? Soit nous sommes un cas spécial et qui doit être assez rare, soit nous sommes plus que des amis. L'idée me déplait guère, enfin, je ne sais trop. J'apprécie beaucoup Leah et je ne veux pas la faire souffrir de nouveau, mais d'un autre coté, j'aimerai bien l'avoir qu'à moi et pouvoir la cajoler et chérir de tout mon cœur. Mais bon, cessons de rêver après tout ce que je lui avais fait endurer, jamais elle ne prendrait le risque de me donner une seconde chance. Toujours perdus dans mes pensées, je me retrouva la bouche contre celle de Leah, l'embrassant. Assez embarrassant après ce que je viens de vous confier vous trouvez pas ? Moi si. Incertain et timide je me reculai d'elle, m'excusant et la regardant dans les yeux. Dans le gris de ses beaux yeux, que j'avais si souvent vu en me réveillant le matin, encore high. Puis, je la vis sourire et tout à coup, toute mes craintes se sont effacées d'elles-même et je souris avec elle. Tout à coup un peu plus décontracté face à ce que je venait de faire. Heureusement qu'elle ét... quoi ? un autre baiser ? De sa part ? Sans me poser plus de question je prolongeai doucement ce baiser, regoutant aux mêmes saveurs et à la même douceurs que dans le précédent baiser. Dans un nouveau tourbillon de sensation, ma langue glissa contre celle de Leah, rendant notre souffle plus saccadé et notre respiration pour difficile, nous eûmes aucuns autres choix que de se séparer quelques instants. Je posai mon front contre le sien et vit encore une fois, un joli sourire s'installer sur son visage, me disant: "On est quitte maintenant" Encore souriant je me rendis compte que ma main était posé sur une des hanches de Leah. Malgré tout, je la laissai là. Regardant mon ami avec le même regard amusé je m'avançait de nouveau et attrapa sa lèvre inférieur entre mes deux et les fit glisser dessus, ne la quittant toujours pas du regard. Maintenant je comprenais mieux pourquoi j'avais été avec Leah. Avec elle j'étais bien, je me sentais heureux et serein, cela, même sans les effets de la drogue ou de l'alcool... Je la regardai toujours avec le même amusement, vraiment soulagé de la tournure des choses. Je la regardai et lui dit..
- "Et si je n'ai pas envie qu'on soit quitte ?"
Une petite phrase pleine de sous-entendus comme je l'ai aime. Encore là je n'étais pas certain de sa réaction, car en se moment elle me surprenait de seconde en seconde, mais avec cette phrase au moins, les risque que je me prenne une claque étaient beaucoup plus minimes.
- InvitéInvité
Re: Chambre d'Owen
Ven 27 Aoû 2010 - 19:33
Récapitulons. Ce matin je m’étais levé croyant a une journée ordinaire et finalement j’avais fini ma soirée à me saouler avec Owen et a décider de changer le monde à coup de promesse d’ivrogne. Mon corps étant ce qu’il est, soit une bombe a retardement, j’avais réussi à me planté royalement au sol alors qu’il n’y avait rien au sol qui aurait pu me faire tomber. Ma jambe refusant de m’obéir, Owen m’avait emmené dans ses bras dans sa maison que je ne croyais jamais revoir. Et me voila dans son lit à l’embrasser comme si ma vie en dépendait alors qu’une partie de mon corps demeurait ankylosé. Décidément, j’étais incapable d’avoir une journée normale depuis mon arrivée à Hungcalf. Et ce n’était pas pour me déplaire. Je n’avais pas envie d’avoir une vie ennuyante et linéaire. Les surprise que m’apportait la vie me montrait que j’avais encore de beaux moments à vivre, ce baiser en était un. Mon cœur semblait éclater à chaque respire que j’avais. Je vibrai en regardant les yeux d’Owen. L’entendre aussi essoufflée que moi me faisait tournée la tête. Je ne comprenais plus rien.
"Et si je n'ai pas envie qu'on soit quitte ?"
Je souris au sous-entendu d’Owen. Je retrouvais celui que j’avais fréquenté. Celui qui n’avait pas peur de faire l’amour dans les places les plus inattendu, celui qui pouvait être a la fois sauvage et à la fois tendre, celui ai connaissait le corps des femmes. Je me rappelais encore qu’il m’ait dit un soir que je pouvais lui dire non si je n’avais pas envie, alors que sa main me procurait plaisir et volupté. Ce type connaissait mon corps comme personne, savait mes points faibles et s’amusait à y passer bien souvent. Ses souvenirs en moi virent me faire frissonner. Oui, durant ses périodes sobres, Owen avait été un petit ami extraordinaire, et stoned ou pas, il avait toujours été un amant extraordinaire au lit. Je fermai les yeux un instant, combattant les papillons que son halène et ces paroles venaient de crée en moi. J’étais saoule, ce n’était pas le moment de poser un acte irréfléchie. Lâchant ma jambe que je frottais avec peine, je le regardai, un sourire carnassier sur les lèvres.
«Alors là, on a un problème» dis-je en passant une main dans ses cheveux, le rapprochant encore plus de moi.
Qu’est-ce que j’étais en train de faire? Pourquoi embrassais-je encore Owen, goutant encore au fruit que je m’étais défendu de croqué? Pourquoi nouais-je ma langue a la sienne? Pourquoi le tirais-je encore plus vers moi? L’euphorie du moment, l’ivresse de mon corps et la peur au cœur, trop d’émotions se joutaient en moi pour vraiment comprendre ce qui me poussais a coucher Owen contre moi. Mais c’était ainsi que je voulais notre moment, c’est ainsi que je trouvais le plus logique de passer mes derniers moments terrestre. Je ne voulais pas mourir sans profiter de la vie au maximum et les bras d’Owen me paraissait une belle dernière nuit.
«On a la nuit pour être quitte» dis-je en cessant de l’embrasser
Un sourire en coin vint se dessiner sur mes lèvres. J’adorais jouer. Et j’embarquais dans le jeu d’Owen avec plaisir. Selon moi, le meilleur sexe était celui qui était pimenté. Si on faisait tout cela platement, je comprenais pourquoi on pouvait rapidement s’en lasser. Les jeux, la provocation, s’oublier un instant pour stimuler l’autre. J’adorais. Parce qu’ensuite, le moment charnel n’était que plus passionné, plus mordant, plus luxueux.
"Et si je n'ai pas envie qu'on soit quitte ?"
Je souris au sous-entendu d’Owen. Je retrouvais celui que j’avais fréquenté. Celui qui n’avait pas peur de faire l’amour dans les places les plus inattendu, celui qui pouvait être a la fois sauvage et à la fois tendre, celui ai connaissait le corps des femmes. Je me rappelais encore qu’il m’ait dit un soir que je pouvais lui dire non si je n’avais pas envie, alors que sa main me procurait plaisir et volupté. Ce type connaissait mon corps comme personne, savait mes points faibles et s’amusait à y passer bien souvent. Ses souvenirs en moi virent me faire frissonner. Oui, durant ses périodes sobres, Owen avait été un petit ami extraordinaire, et stoned ou pas, il avait toujours été un amant extraordinaire au lit. Je fermai les yeux un instant, combattant les papillons que son halène et ces paroles venaient de crée en moi. J’étais saoule, ce n’était pas le moment de poser un acte irréfléchie. Lâchant ma jambe que je frottais avec peine, je le regardai, un sourire carnassier sur les lèvres.
«Alors là, on a un problème» dis-je en passant une main dans ses cheveux, le rapprochant encore plus de moi.
Qu’est-ce que j’étais en train de faire? Pourquoi embrassais-je encore Owen, goutant encore au fruit que je m’étais défendu de croqué? Pourquoi nouais-je ma langue a la sienne? Pourquoi le tirais-je encore plus vers moi? L’euphorie du moment, l’ivresse de mon corps et la peur au cœur, trop d’émotions se joutaient en moi pour vraiment comprendre ce qui me poussais a coucher Owen contre moi. Mais c’était ainsi que je voulais notre moment, c’est ainsi que je trouvais le plus logique de passer mes derniers moments terrestre. Je ne voulais pas mourir sans profiter de la vie au maximum et les bras d’Owen me paraissait une belle dernière nuit.
«On a la nuit pour être quitte» dis-je en cessant de l’embrasser
Un sourire en coin vint se dessiner sur mes lèvres. J’adorais jouer. Et j’embarquais dans le jeu d’Owen avec plaisir. Selon moi, le meilleur sexe était celui qui était pimenté. Si on faisait tout cela platement, je comprenais pourquoi on pouvait rapidement s’en lasser. Les jeux, la provocation, s’oublier un instant pour stimuler l’autre. J’adorais. Parce qu’ensuite, le moment charnel n’était que plus passionné, plus mordant, plus luxueux.
- Spoiler:
- :pleure: cest vraiment de la merde désoler
- InvitéInvité
Re: Chambre d'Owen
Sam 28 Aoû 2010 - 3:07
La vie était bien étrange des fois. Et quand je veux dire, étrange, je veux dire qu'elle ne suit aucune logique raisonnables que nous simples humains serait capable de comprendre. Des fois, tout semblent vouloir dans un certain sens puis un dernier moment, dans la dernière ligne droite, au tout dernier moment, tout près de la ligne d'arrivé, le destin se stoppe subitement le temps d'un baiser et rebrousse chemin à toute vitesse. Jetant tout les efforts que nous avions fait pour nous rendre jusqu'ici à la poubelle. Que de simples mauvais souvenirs par lesquels nous devront repasser de nouveau, cette fois remplie de la peur que le destin ne décide encore une fois de changer de sens et de réduire nos efforts à néant. Ça c'était exactement ce qui se passait avec Leah et moi. Tout nos efforts, surtout de son coté, pour m'oublier, pour oublier le couple que nous avions été. Pour oublier les moments de bonheur que nous avions eu ensemble. Pour oublier toutes ces nuits torrides que nous avions passé dans les bras de l'autre. Tout ces efforts seraient réduis en poussière par ce simple baiser, cette simple nuit passé ensemble. Certes ça serait une magnifique nuit, mais ô combien destructive.
De nouveau tout souriant devant elle, toute la peur et toute la crainte que j'avais il y a quelques moments c'était envolé avec son doux sourire. Elle avait plongé son regard dans mes yeux et tout à coup je m'étais calmé, même si mon cœur ne cessait de battre au rythme d'un solo de batterie de Rush. Puis, comme si cela n'était pas assez pour me faire douter de mes sentiments, elle s'approcha de moi, sourire aux lèvres et m'embrassa à son tour. Serrant ma main sur sa hanche, je m'approchais un peu plus d'elle avec douceur, prit dans ce doux cocon qu'est mon lit.
Sous l'emprise de l'alcool, je ne me souvenais plus très bien du début de la soirée que nous avions eu au Pony. Tout ce qu'il y avait dans ma mémoire en ce moment, c'était l'accident de Leah. Cette chute mystérieuse qui nous avait tant fait peur, qui nous avait fait croire que le compte à rebours mortel qui allait me prendre ma Leah. Notre petit voyage jusqu'à chez moi, le verre d'eau, la photo, la bague puis les baisers. Nos deux corps se rapprochant l'un de l'autre, nos jambes s'entre-mêlant doucement. Nos bouches pressées l'une contre l'autre, nos langues dansaient encore collé une à l'autre.
Ce n'est pas que j,en avais pas envie, croyez moi. Mais il y avait ma bonne conscience qui ne voulait pas trop abusé de l'état de Leah. Surtout que les conséquences seraient surement énorme...
De nouveau tout souriant devant elle, toute la peur et toute la crainte que j'avais il y a quelques moments c'était envolé avec son doux sourire. Elle avait plongé son regard dans mes yeux et tout à coup je m'étais calmé, même si mon cœur ne cessait de battre au rythme d'un solo de batterie de Rush. Puis, comme si cela n'était pas assez pour me faire douter de mes sentiments, elle s'approcha de moi, sourire aux lèvres et m'embrassa à son tour. Serrant ma main sur sa hanche, je m'approchais un peu plus d'elle avec douceur, prit dans ce doux cocon qu'est mon lit.
Sous l'emprise de l'alcool, je ne me souvenais plus très bien du début de la soirée que nous avions eu au Pony. Tout ce qu'il y avait dans ma mémoire en ce moment, c'était l'accident de Leah. Cette chute mystérieuse qui nous avait tant fait peur, qui nous avait fait croire que le compte à rebours mortel qui allait me prendre ma Leah. Notre petit voyage jusqu'à chez moi, le verre d'eau, la photo, la bague puis les baisers. Nos deux corps se rapprochant l'un de l'autre, nos jambes s'entre-mêlant doucement. Nos bouches pressées l'une contre l'autre, nos langues dansaient encore collé une à l'autre.
- "T'es certaine que c'est une bonne idée Leah ?" Lui murmurais-je entre deux baisers.
Ce n'est pas que j,en avais pas envie, croyez moi. Mais il y avait ma bonne conscience qui ne voulait pas trop abusé de l'état de Leah. Surtout que les conséquences seraient surement énorme...
- InvitéInvité
Re: Chambre d'Owen
Sam 28 Aoû 2010 - 4:37
Je me rappelle de ma cinquième année à Poudlard très parfaitement. Ce qui était naturel puisqu’elle avait forgée la fille que j’étais devenue. En première j’étais la fille timide qui s’était fait quelques amis et qui vivait une vie réglo, inquiète de sa mère malade. La deuxième année je fut une véritable épave humaine. Sans cesse sur le point de craqué, totalement détruite découvrir cette maladie qui coulait dans mes veines, qui me tuait le cerveau. J’y avait rencontré mes plus fidèles amis. Elia avait été le premier à me tendre la main, a me consoler et à m’offrir son épaule pour pleurer. J’eu ensuite Emy qui pris la relève lorsque la solidarité féminine était en demande. Je m’étais fermée sur moi-même, j’avais perdu le gout à la vie, je ne riais plus, je ne voyais plus l’intérêt de continuer à étudier. Mes notes en avaient souffert de cette dépression et lorsque je recommencais à aller mieux, j’avais paniqué à voir mes piètre résultat. Alors que mes amis me remontais le moral et me reconstruisait –bien que la plupart ne savaient pas mon secret- je m’étais mis le nez dans les bouquins et n’en ressortais que lorsque j’étais certaines d’avoir les connaissances nécessaire pour avoir la note maximale. D’épave humaine, j’étais passé a véritable rat de laboratoire. Puis arriva la cinquième année ou un soir, je réalisais que j’étais heureuse. J’avais accepté à vivre ma maladie non comme une fin éminente mais comme la preuve qu’il fallait que je vive ma vie à cent à l’heure, mon excuse pour défoncer les barrières. J’avais retrouvé le gout de rire. Retournant vers mes amis de plus en plus, j’avais commencé à boire, à prendre des drogues, à fumer. Nous étions connu dans notre année pour être la bande la moins fréquentables, mais nous nous en contre fichions. Nous étions bien, nous étions heureux et nos notes scolaires étaient parmi les meilleurs. Je fini mes dernières années de Poudlard dans le plus grand bonheur, devenant une fille qui adorait faire la fête, toujours la première à embarqué dans les folleries d’Elia –qui alors n’était qu’un ami- et de Lust. J’avais corrompu bien des jeunes à la cigarette, je me marrais de la naïveté des premières et je profitais de la vie comme jamais. C’est mon entrée dans ce test expérimental qui détruisit tout. J’étais certes encore excessivement fêtarde, j’adorais boire et parfois prendre quelques drogues. Je fumais encore, bien que ma consommation n’aille jamais au delà d’un paquet par semaine. Si l’apparence n’avait pas été détruite, l’ombre se cachait à l’intérieur. Cette acceptation de la maladie disparue au même rythme où l’on me branchait ses transfusions d’un liquide brunâtre douteux. J’étais la plus jeune de ce test, les autres étant tous des adultes traversant divers stade de ce qui nous rongeait tous. Et je me voyais à travers eux, je voyais avec fatalité la vie qui m’attendait. Non, plus le temps avançait, plus la mort me terrifiait. Plus le petit signe d’une future dégradation physique me faisait terrifiait. Et j’en étais rendu là, à trembler de peur dans le lit d’un ami pour une jambe qui refusait de répondre. D’ici quelques minutes, tout cela allait disparaitre, j’en étais sure. Mais j’étais saoule. Je ne comprenais pas, je ne comprenais rien sinon que j’avais peur.
Or j’en étais là, à consumer ma peur dans les bras d’Owen. Ne croyez pas que je l’utilise, loin de là. Mon besoin de réconfort, je le brulais dans les bras d’Elia, Pacey ou d’homme d’un soir dont j’ignorais le nom. Mais Owen, c’était différent. Pourquoi? Il était mon ex. Or, il y avait un cap a ne pas franchir avec eux lorsque l’on doutait que la flamme était toujours là. Jamais je n’aurais répondu aux avances d’Owen si j’avais la certitude qu’il m’aimait encore. Je savais que pour lui, j’étais du passé. Bien qu’une fois clean, il était revenu me voir pour forgé une amitié étrange mais réelle, je savais qu’il ne m’aimait pas. En fait, je doutais qu’un jour, Owen m’ait aimé. Dans sa période sombre, j’avais surement été qu’une fille parmi tant d’autre. Et maintenant, une bonne amie. Mais aucun amour. Pour ma part, ce que j’avais ressenti pour lui était loin et enterré. Non je n’aimais plus d’amour Owen Miles, c’était pour moi un très bon ami avec qui prendre une bière. Et maintenant, un ami qui m’apportait les bénéfices d’une soirée de luxure que je savais déjà suave.
«T'es certaine que c'est une bonne idée Leah ?"« Me murmura-t-il alors que nos lèvres fusionnèrent.
«Il est trop tard pour reculé de toute façon» dis-je en glissant mes mains sous sa chemise
Mes fins doigts parcoururent ce ventre que j’avais tans de fois caressé. Des abdos qui n’existaient pas avant me firent y attarder mes caresses. Je découvrais un nouveau corps que j’avais pourtant mainte fois parcouru. Son souffle se mêlant au bien, nos corps bougeant l’eu contre l’autre, l’excitation cardiaque…Non, nous ne pouvions plus reculer. Dès le second baiser, le sort avait été sellé. Et alors que nos habits quittaient nos corps avec une tendresse et une sensualité extrême, je découvrais une nouvelle facette de mon ami, celle d’une luxure sobre et aimante.
Or j’en étais là, à consumer ma peur dans les bras d’Owen. Ne croyez pas que je l’utilise, loin de là. Mon besoin de réconfort, je le brulais dans les bras d’Elia, Pacey ou d’homme d’un soir dont j’ignorais le nom. Mais Owen, c’était différent. Pourquoi? Il était mon ex. Or, il y avait un cap a ne pas franchir avec eux lorsque l’on doutait que la flamme était toujours là. Jamais je n’aurais répondu aux avances d’Owen si j’avais la certitude qu’il m’aimait encore. Je savais que pour lui, j’étais du passé. Bien qu’une fois clean, il était revenu me voir pour forgé une amitié étrange mais réelle, je savais qu’il ne m’aimait pas. En fait, je doutais qu’un jour, Owen m’ait aimé. Dans sa période sombre, j’avais surement été qu’une fille parmi tant d’autre. Et maintenant, une bonne amie. Mais aucun amour. Pour ma part, ce que j’avais ressenti pour lui était loin et enterré. Non je n’aimais plus d’amour Owen Miles, c’était pour moi un très bon ami avec qui prendre une bière. Et maintenant, un ami qui m’apportait les bénéfices d’une soirée de luxure que je savais déjà suave.
«T'es certaine que c'est une bonne idée Leah ?"« Me murmura-t-il alors que nos lèvres fusionnèrent.
«Il est trop tard pour reculé de toute façon» dis-je en glissant mes mains sous sa chemise
Mes fins doigts parcoururent ce ventre que j’avais tans de fois caressé. Des abdos qui n’existaient pas avant me firent y attarder mes caresses. Je découvrais un nouveau corps que j’avais pourtant mainte fois parcouru. Son souffle se mêlant au bien, nos corps bougeant l’eu contre l’autre, l’excitation cardiaque…Non, nous ne pouvions plus reculer. Dès le second baiser, le sort avait été sellé. Et alors que nos habits quittaient nos corps avec une tendresse et une sensualité extrême, je découvrais une nouvelle facette de mon ami, celle d’une luxure sobre et aimante.
-Fin du RP-
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