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- Apsara ChankimhaOldieㄨ experimented wizard
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Re: Les affres du temps (ft. Apsara & Alex)
Jeu 1 Fév 2024 - 18:39
La sorcière rit en entendant Ofélia souligner son hypothétique beauté si elle venait à se décolorer les cheveux. Elle était loin de céder à pareil envie mais qui sait ce que l’avenir nous réserve ? Une fête en compagnie d’amis aussi éméchés qu’elle, tous nichés dans une baignoire pour la contre-soirée obligatoire et dépouillant un kit trouvé à coup de fouille malavisée… Oui, ce n’était pas impossible que ce genre de chose se produise, à la réflexion. Merlin l’en préserve.
Ses pas la guide ensuite vers la tapisserie et c’est avec un espoir risible qu’elle en soulève l’étoffe. Ah. La déception dû se lire en elle facilement puisqu’une main s’abattit l’instant suivant sur son épaule. Les perles noires accrochèrent el regard d’Alexander et elle répondit à son sourire maladroitement. Il était hors de question que cet échec, si s’en est un, assombrisse le profit de cette aventure.
« J’espère ! »
C’est alors que tout s’enchaine. La lumière. La balustrade. Le parquet grinçant. La voix du sorcier. Sérieusement ? Ce n’était pas tellement à ça qu’elle s’attendait lorsqu’il lui avait promis de nouvelles surprises. Ses yeux s’arrondirent comme des soucoupes et elle se tourna aussitôt vers la Madrigal. Son phare dans la nuit noir.
« Je te hais » évidemment que non. La thaïlandaise poussa un long soupire avant de s’avancer vers la rambarde. Ça allait vraiment tenir, ça ? Elle était fine, mais tout de même. Elle s’accroupit et chercha à voir un peu plus loin. La lumière n’était plus là. Bon… Ils n’allaient pas rester coincés là-haut deux heures. Elle se saisit de sa baguette et la glissa dans sa manche, de peur de tomber dessus et de la briser. Elle serait aussi plus accessible et ça avait le mérite de la rassurer, même si l’histoire avait prouvé qu’elle n’était pas une grande duelliste.
« Tu ne t’éloignes pas de la corde, dis ? » qu’elle lance à Alex avant de la saisir à pleine main. Si elle ne doutait pas de la détermination de la mexicaine, la carrure du vert la rassurait nettement plus s’il devait tirer un grand coup dessus.
Un. Deux. Trois. La voilà entrain de descendre, en pleine tachycardie malgré le courage dans lequel elle tentait de se draper. Comme un chat, elle atterrît souplement sur ses pieds et en déplia lentement la plante. Pas question de faire plus de bruits que nécessaire. Plus loin, le couloir donnait sur une seule et unique pièce dont la porte était entrouverte. La chose devait être passé par là. Elle avança à pas de loup et fut surprise de sentir le froid qui s’en dégageait. Un nuage s’échappait de sa bouche à chaque expiration et elle se recroquevilla pour garder un semblant de chaleur. A peine entrée, la porte claqua brusquement derrière elle. Et merde !
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Ses pas la guide ensuite vers la tapisserie et c’est avec un espoir risible qu’elle en soulève l’étoffe. Ah. La déception dû se lire en elle facilement puisqu’une main s’abattit l’instant suivant sur son épaule. Les perles noires accrochèrent el regard d’Alexander et elle répondit à son sourire maladroitement. Il était hors de question que cet échec, si s’en est un, assombrisse le profit de cette aventure.
« J’espère ! »
C’est alors que tout s’enchaine. La lumière. La balustrade. Le parquet grinçant. La voix du sorcier. Sérieusement ? Ce n’était pas tellement à ça qu’elle s’attendait lorsqu’il lui avait promis de nouvelles surprises. Ses yeux s’arrondirent comme des soucoupes et elle se tourna aussitôt vers la Madrigal. Son phare dans la nuit noir.
« Je te hais » évidemment que non. La thaïlandaise poussa un long soupire avant de s’avancer vers la rambarde. Ça allait vraiment tenir, ça ? Elle était fine, mais tout de même. Elle s’accroupit et chercha à voir un peu plus loin. La lumière n’était plus là. Bon… Ils n’allaient pas rester coincés là-haut deux heures. Elle se saisit de sa baguette et la glissa dans sa manche, de peur de tomber dessus et de la briser. Elle serait aussi plus accessible et ça avait le mérite de la rassurer, même si l’histoire avait prouvé qu’elle n’était pas une grande duelliste.
« Tu ne t’éloignes pas de la corde, dis ? » qu’elle lance à Alex avant de la saisir à pleine main. Si elle ne doutait pas de la détermination de la mexicaine, la carrure du vert la rassurait nettement plus s’il devait tirer un grand coup dessus.
Un. Deux. Trois. La voilà entrain de descendre, en pleine tachycardie malgré le courage dans lequel elle tentait de se draper. Comme un chat, elle atterrît souplement sur ses pieds et en déplia lentement la plante. Pas question de faire plus de bruits que nécessaire. Plus loin, le couloir donnait sur une seule et unique pièce dont la porte était entrouverte. La chose devait être passé par là. Elle avança à pas de loup et fut surprise de sentir le froid qui s’en dégageait. Un nuage s’échappait de sa bouche à chaque expiration et elle se recroquevilla pour garder un semblant de chaleur. A peine entrée, la porte claqua brusquement derrière elle. Et merde !
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- Alexander McCandlessMODO - Modérateur
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Re: Les affres du temps (ft. Apsara & Alex)
Sam 24 Fév 2024 - 13:11
« T’as envie qu’on crève en fait. »
« Si une personne est présente, ou autre chose, elle sait déjà que nous sommes là, tête de Veaudelune »
La maison est inhabitée (du moins normalement), le parquet grince, les chuchotements et les rires rompent le silence. Même s’ils souhaitent être discrets, ils ne le sont pas suffisamment. Alors oui, Alexander est persuadé que si présence il y a, elle est déjà au courant de la leur.
Il avait espéré que la lueur se rapprocherait. Mais c’est le contraire. Serait-elle timide ?
Dans tous les cas, la lueur se déplace, elle réagit donc à leur présence.
Ofé propose (ou impose) de descendre. De toute façon, McCandless est d’accord avec elle. Mais quand il la voit sortir des cordes, il hallucine.
« Putain, et tu les sors que maintenant ? »
Elle n’aurait pas pu les utiliser plutôt que de se servir d’un vieux rideau poussiéreux pour l’aider à escalader le mur ?
Il doute de la solidité de la rambarde pour le faire descendre. Les filles sont plus légères, et Apsa se porte volontaire. Accroupi proche de la rambarde, le grymm est prêt à récupérer la corde ou une partie de la rambarde si celle-ci vient à céder.
« Je couvre tes arrières. »
La jeune femme arrive au sol sans difficulté, même si le bois de la rambarde exprime son mécontentement en grinçant. Il la voit s’éloigner et tend l’oreille.
« A ton tour ? »
Autant être présent pour tenir l’ensemble. Et puis, il se débrouillera pour descendre.
Une porte qui claque. Il échange un regard avec Ofélia, légèrement inquiet.
« Apsa ? »
Pas de réponse. Ok, il décide de ne pas perdre de temps. Aussitôt Ofélia au sol, il sort sa baguette et la prend entre les dents. Il passe aisément par dessus la rambarde, tient fermement les pieds fait de bois lorsque les siens pendent dans le vide. Allez, ce n’est pas si haut, pas pour lui. Il lâche et atterrit lourdement sur la surface. Il se relève rapidement, sent une légère douleur au genoux mais l'ignore. Il préfère reprendre sa baguette en main et s’orienter vers la porte close d'un pas rapide.
« Apsa, ça va ? »
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« Si une personne est présente, ou autre chose, elle sait déjà que nous sommes là, tête de Veaudelune »
La maison est inhabitée (du moins normalement), le parquet grince, les chuchotements et les rires rompent le silence. Même s’ils souhaitent être discrets, ils ne le sont pas suffisamment. Alors oui, Alexander est persuadé que si présence il y a, elle est déjà au courant de la leur.
Il avait espéré que la lueur se rapprocherait. Mais c’est le contraire. Serait-elle timide ?
Dans tous les cas, la lueur se déplace, elle réagit donc à leur présence.
Ofé propose (ou impose) de descendre. De toute façon, McCandless est d’accord avec elle. Mais quand il la voit sortir des cordes, il hallucine.
« Putain, et tu les sors que maintenant ? »
Elle n’aurait pas pu les utiliser plutôt que de se servir d’un vieux rideau poussiéreux pour l’aider à escalader le mur ?
Il doute de la solidité de la rambarde pour le faire descendre. Les filles sont plus légères, et Apsa se porte volontaire. Accroupi proche de la rambarde, le grymm est prêt à récupérer la corde ou une partie de la rambarde si celle-ci vient à céder.
« Je couvre tes arrières. »
La jeune femme arrive au sol sans difficulté, même si le bois de la rambarde exprime son mécontentement en grinçant. Il la voit s’éloigner et tend l’oreille.
« A ton tour ? »
Autant être présent pour tenir l’ensemble. Et puis, il se débrouillera pour descendre.
Une porte qui claque. Il échange un regard avec Ofélia, légèrement inquiet.
« Apsa ? »
Pas de réponse. Ok, il décide de ne pas perdre de temps. Aussitôt Ofélia au sol, il sort sa baguette et la prend entre les dents. Il passe aisément par dessus la rambarde, tient fermement les pieds fait de bois lorsque les siens pendent dans le vide. Allez, ce n’est pas si haut, pas pour lui. Il lâche et atterrit lourdement sur la surface. Il se relève rapidement, sent une légère douleur au genoux mais l'ignore. Il préfère reprendre sa baguette en main et s’orienter vers la porte close d'un pas rapide.
« Apsa, ça va ? »
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- Joeïa YoonMODO - Modératrice
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Re: Les affres du temps (ft. Apsara & Alex)
Dim 25 Fév 2024 - 11:25
Ofelia tourne un sourire fier et mesquin vers Alexander.
« Je ne les garde qu’en dernier recours » affirme-t-elle pour ne pas avoir à dire qu’elle n’a pas voulu les utiliser un peu plus tôt juste pour l’embêter et le faire sentir le vieux rideau pourri. Franchement, c’était drôle non ?
Apsara est la première à descendre. Est-ce du fait de sa plus faible expérience couplé à un ego affaibli, ou juste son caractère audacieux ? Dans tous les cas, elle s’élance la première, atterrit au sol sans plus de difficulté ce qui laisse penser que la rambarde est plus solide qu’elle n’y paraît. Enfin, pour elles. Vu la carrure du Grymm, il aura un peu plus de souci à se faire de ce côté-là ! Elle a la corde en main lorsqu’ils entendent tous deux une porte claquer et aucune réponse de la jeune femme.
« Putain ça pue… »
Et elle ne parle pas de l’odeur moisie du bois, mais bien de la situation. Avec trop de précipitation pour que ce soit sécurisant, elle descend à son tour et sort sa baguette. Elle est bien tentée d’y aller franco mais autant se montrer raisonnable et attendre qu’Alexander vienne en renfort. Son atterrissage est plus bruyant – un mec quoi – et fait limite trembler les escaliers brinquebalants. De toute façon, présence ou pas, c’est fichu maintenant donc autant ne plus s’empêcher de faire du bruit. Il n’y a toujours pas de réponse à la question du Grymm et Ofelia sent un drôle de frisson la traverser. Elle n’a que rarement eu des mésaventures lors de ses excursions d’urbex. Il aura fallu que ce soit avec une débutante que les choses deviennent compliquées !
« Elle aurait pas pu nous attendre cette quiche… »
Il est plus facile de râler que d’admettre qu’elle se sent responsable. Si elle était passée la première, Apsa ne se serait pas aventurée seule là-bas. En même temps, personne ne lui a dit d’y aller en éclaireuse ? Foutue culpabilité. Une baguette dans la main et un couteau bien aiguisé dans l’autre – autant se montrer prudent et mieux armé que l’adversaire – elle s’avance vers la porte fermée. L’ouvre sans aucune difficulté. Il y fait un froid de canard, surtout pour une habituée aux chaleurs comme la Mexicaine. Ses doigts se referment fermement sur la poignée de son coutelas offert par sa abuela qui lui a toujours conseillé d’avoir de quoi se défendre sur elle. Parce que « on ne sait jamais ce qui peut arriver ». Sage femme que sa grand-mère qui a toujours su voir le danger là où il était. Ofelia se dit qu’aujourd’hui, ça pourrait leur sauver la vie.
« Apsa ? » appelle-t-elle encore une fois. Il fait sombre là-dedans, elle ne voit pas sa silhouette et encore moins le bout de ses pieds. La fenêtre de la pièce est obstruée, ne laissant percer aucune lumière nocture.
« Lumos » lance-t-elle et la pointe de sa baguette s’auréole d’une forte lumière blanche qui illumine l’endroit à 25 pour cent. Ce qu’elle y voit là surprend.
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« Je ne les garde qu’en dernier recours » affirme-t-elle pour ne pas avoir à dire qu’elle n’a pas voulu les utiliser un peu plus tôt juste pour l’embêter et le faire sentir le vieux rideau pourri. Franchement, c’était drôle non ?
Apsara est la première à descendre. Est-ce du fait de sa plus faible expérience couplé à un ego affaibli, ou juste son caractère audacieux ? Dans tous les cas, elle s’élance la première, atterrit au sol sans plus de difficulté ce qui laisse penser que la rambarde est plus solide qu’elle n’y paraît. Enfin, pour elles. Vu la carrure du Grymm, il aura un peu plus de souci à se faire de ce côté-là ! Elle a la corde en main lorsqu’ils entendent tous deux une porte claquer et aucune réponse de la jeune femme.
« Putain ça pue… »
Et elle ne parle pas de l’odeur moisie du bois, mais bien de la situation. Avec trop de précipitation pour que ce soit sécurisant, elle descend à son tour et sort sa baguette. Elle est bien tentée d’y aller franco mais autant se montrer raisonnable et attendre qu’Alexander vienne en renfort. Son atterrissage est plus bruyant – un mec quoi – et fait limite trembler les escaliers brinquebalants. De toute façon, présence ou pas, c’est fichu maintenant donc autant ne plus s’empêcher de faire du bruit. Il n’y a toujours pas de réponse à la question du Grymm et Ofelia sent un drôle de frisson la traverser. Elle n’a que rarement eu des mésaventures lors de ses excursions d’urbex. Il aura fallu que ce soit avec une débutante que les choses deviennent compliquées !
« Elle aurait pas pu nous attendre cette quiche… »
Il est plus facile de râler que d’admettre qu’elle se sent responsable. Si elle était passée la première, Apsa ne se serait pas aventurée seule là-bas. En même temps, personne ne lui a dit d’y aller en éclaireuse ? Foutue culpabilité. Une baguette dans la main et un couteau bien aiguisé dans l’autre – autant se montrer prudent et mieux armé que l’adversaire – elle s’avance vers la porte fermée. L’ouvre sans aucune difficulté. Il y fait un froid de canard, surtout pour une habituée aux chaleurs comme la Mexicaine. Ses doigts se referment fermement sur la poignée de son coutelas offert par sa abuela qui lui a toujours conseillé d’avoir de quoi se défendre sur elle. Parce que « on ne sait jamais ce qui peut arriver ». Sage femme que sa grand-mère qui a toujours su voir le danger là où il était. Ofelia se dit qu’aujourd’hui, ça pourrait leur sauver la vie.
« Apsa ? » appelle-t-elle encore une fois. Il fait sombre là-dedans, elle ne voit pas sa silhouette et encore moins le bout de ses pieds. La fenêtre de la pièce est obstruée, ne laissant percer aucune lumière nocture.
« Lumos » lance-t-elle et la pointe de sa baguette s’auréole d’une forte lumière blanche qui illumine l’endroit à 25 pour cent. Ce qu’elle y voit là surprend.
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Re: Les affres du temps (ft. Apsara & Alex)
Mar 27 Fév 2024 - 16:40
La thaïlandaise les entendaient mais ne pouvaient piper mot. Claquer des dents ça, par contre, elle y arrivait. Avec une malchance comme la sienne, un manque de concentration et cric la langue se verrait agrémentée d’un petit trou inesthétique. Ses mains étaient enfoncées à l’intérieur de ses manches et elle y soufflait fort, comme si ce modeste brun de chaleur pouvait réveiller son corps engourdi. Elle grelottait si fort que l’ensemble de sa silhouette tremblait. Comme un shaker ? Oui, à peu de choses près.
Ça grinçait fort, de l’autre côté de la porte. Ofe ? Alex ? Elle l’espérait fortement. Les sensations fortes avaient toujours eu ce petit quelque chose de grisant mais elle enfermée dans un coin de la pièce, avec un fantôme à deux centimètres de son visage ? Arf, elle repasserait. Il n’avait pas l’air malveillant pour un sous, si l’œil s’empêchait de regarder son collier de têtes réduites. Il aurait même pu passer pour un plaisantin s’il ne l’avait consigné sur ce siège, bon gré mal gré. Elle avait bien cru perdre son poignet quand il le lui avait brusquement saisi. Il était comme anesthésié par le froid depuis. Comme ses doigts bleuis. Ses lèvres. Merde. Elle allait bien finir par faire une hypothermie à cause de cette andouille !
Son prénom. Une lumière. Génial ! Apsara tenta de se redresser pour rejoindre son amie mais le fantôme s’approcha de plus belle. Putain non. Déjà qu’elle avait l’impression de baigner dans un lac en plein hiver, ce crétin venait d’y rajouter des glaçons supplémentaires. Elle avait bien tenté de saisir sa baguette pour allumer un feu, même tout petit, mais elle était bien incapable d’y serrer ses doigts. Elle ne les sentait plus, d’ailleurs. Comme c’était contrariant.
Le fantôme lui offrit un sourire édenté avant de se tourner vers les nouveaux venus et de leur ouvrir les bras. L’éloignement lui fit l’effet d’une douche chaude -douleur sur les membres froids, mais tellement vivifiant. La condensation s’échappa de sa bouche, au moment où elle tenta de parler. Ne pas se planter une dent. Ne pas se faire mal.
« S-Ser Jamies-son. P-Passioné de t-têtes r-réduites. L-Les a-anciens p-proprios. »
Cachée dans son sweat à la façon d’une tortue, la sorcière dû faire un effort monstre pour sortir la tête et indiquer son cou. Voilà pourquoi les derniers habitants étaient partis en catastrophe.
L’esprit leur indiqua une chaise à chacun et permis à l’aspirante médicomage de se lever. Plus facile à dire qu’à faire. Elle ne sentait plus ses pieds à cause de ce crétin ! Malgré tout, elle tenta sa chance. Elle rejoignit le plus vite possible le plus proche -rectification. Elle s’y colla de tout son corps, histoire de se réchauffer un peu. Aller, plus vite Jamieson aurait fini de leur présenter sa collection, plus vite ils pourraient sortir d’ici.
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Ça grinçait fort, de l’autre côté de la porte. Ofe ? Alex ? Elle l’espérait fortement. Les sensations fortes avaient toujours eu ce petit quelque chose de grisant mais elle enfermée dans un coin de la pièce, avec un fantôme à deux centimètres de son visage ? Arf, elle repasserait. Il n’avait pas l’air malveillant pour un sous, si l’œil s’empêchait de regarder son collier de têtes réduites. Il aurait même pu passer pour un plaisantin s’il ne l’avait consigné sur ce siège, bon gré mal gré. Elle avait bien cru perdre son poignet quand il le lui avait brusquement saisi. Il était comme anesthésié par le froid depuis. Comme ses doigts bleuis. Ses lèvres. Merde. Elle allait bien finir par faire une hypothermie à cause de cette andouille !
Son prénom. Une lumière. Génial ! Apsara tenta de se redresser pour rejoindre son amie mais le fantôme s’approcha de plus belle. Putain non. Déjà qu’elle avait l’impression de baigner dans un lac en plein hiver, ce crétin venait d’y rajouter des glaçons supplémentaires. Elle avait bien tenté de saisir sa baguette pour allumer un feu, même tout petit, mais elle était bien incapable d’y serrer ses doigts. Elle ne les sentait plus, d’ailleurs. Comme c’était contrariant.
Le fantôme lui offrit un sourire édenté avant de se tourner vers les nouveaux venus et de leur ouvrir les bras. L’éloignement lui fit l’effet d’une douche chaude -douleur sur les membres froids, mais tellement vivifiant. La condensation s’échappa de sa bouche, au moment où elle tenta de parler. Ne pas se planter une dent. Ne pas se faire mal.
« S-Ser Jamies-son. P-Passioné de t-têtes r-réduites. L-Les a-anciens p-proprios. »
Cachée dans son sweat à la façon d’une tortue, la sorcière dû faire un effort monstre pour sortir la tête et indiquer son cou. Voilà pourquoi les derniers habitants étaient partis en catastrophe.
L’esprit leur indiqua une chaise à chacun et permis à l’aspirante médicomage de se lever. Plus facile à dire qu’à faire. Elle ne sentait plus ses pieds à cause de ce crétin ! Malgré tout, elle tenta sa chance. Elle rejoignit le plus vite possible le plus proche -rectification. Elle s’y colla de tout son corps, histoire de se réchauffer un peu. Aller, plus vite Jamieson aurait fini de leur présenter sa collection, plus vite ils pourraient sortir d’ici.
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- Alexander McCandlessMODO - Modérateur
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Re: Les affres du temps (ft. Apsara & Alex)
Sam 9 Mar 2024 - 14:19
« Elle aurait pas pu nous attendre cette quiche… »
Alex ne répond pas, mais n’en pense pas moins. Il aurait pu aussi cracher à la figure d’Ofé « tu ne lui as pas appris les bases ? Genre toujours rester en groupe ? ». Mais il se doute bien qu’elle l’ait fait. Après tout, c’est la règle numéro une. Alors pourquoi Apsa l’a-t-elle tout bonnement ignorée ? La curiosité devient un défaut lorsqu’elle vous met en danger.
Bizarrement la porte n’est pas bloquée. Dès qu’ils entrent, ils sont saisis par le froid. Alex et Ofélia savent ce que cela signifie. Alors il pose sa main sur celle de la Mexicaine pour lui signifier qu’un couteau ne sera pas de grande utilité pour le moment. Pire, cela pourrait énerver le fantôme. Ils ne connaissent pas la cause de sa mort, ni son tempérament. Cependant, il garde sa baguette en main, le bras le long de sa jambe. Il y a peu de lumière mais peu à peu leurs yeux se font à la pénombre.
Apsa est assise, grelottante. Elle a du mal à s’exprimer, transie de froid. Le fantôme les accueille à sa façon, c’est à dire avec une brise glaciale.
Ils n’ont pas le choix que de s’asseoir à leur tour. Les têtes réduites en soit, ce n’est pas un problèmes. Juste, il ne souhaite pas en devenir une.
La jeune femme se lève et se rapproche d’eux. Alex l’attrape et l’accompagne doucement pour qu’elle vienne sur ses genoux. C’est un véritable glaçon. Lui a encore de la réserve, étant plus épais qu’elle et ayant une bonne capacité à affronter le froid. Il enroule ses bras autour d’elle, espérant que cela suffirait à la réchauffer un peu. Il espère aussi qu’Ofélia tient le coup.
Discrètement, il pointe sa baguette vers la demoiselle sur ses genoux et effectue un léger mouvement vers ses vêtements. Le sortilège pour sécher ses vêtements, il l’a utilisé maintes fois sur son bateau. Le souffle chaud se propage dans chaque fibre de tissu et aussitôt il sent aussi la douce chaleur contre lui. Il ne voulait pas qu’Apsa face une hypothermie.
Maintenant il faut patienter. Regarder le défilé des têtes réduites, et peut-être que ce fantôme se sentant peut-être trop seul, finirait pas les laisser partir ?
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Alex ne répond pas, mais n’en pense pas moins. Il aurait pu aussi cracher à la figure d’Ofé « tu ne lui as pas appris les bases ? Genre toujours rester en groupe ? ». Mais il se doute bien qu’elle l’ait fait. Après tout, c’est la règle numéro une. Alors pourquoi Apsa l’a-t-elle tout bonnement ignorée ? La curiosité devient un défaut lorsqu’elle vous met en danger.
Bizarrement la porte n’est pas bloquée. Dès qu’ils entrent, ils sont saisis par le froid. Alex et Ofélia savent ce que cela signifie. Alors il pose sa main sur celle de la Mexicaine pour lui signifier qu’un couteau ne sera pas de grande utilité pour le moment. Pire, cela pourrait énerver le fantôme. Ils ne connaissent pas la cause de sa mort, ni son tempérament. Cependant, il garde sa baguette en main, le bras le long de sa jambe. Il y a peu de lumière mais peu à peu leurs yeux se font à la pénombre.
Apsa est assise, grelottante. Elle a du mal à s’exprimer, transie de froid. Le fantôme les accueille à sa façon, c’est à dire avec une brise glaciale.
Ils n’ont pas le choix que de s’asseoir à leur tour. Les têtes réduites en soit, ce n’est pas un problèmes. Juste, il ne souhaite pas en devenir une.
La jeune femme se lève et se rapproche d’eux. Alex l’attrape et l’accompagne doucement pour qu’elle vienne sur ses genoux. C’est un véritable glaçon. Lui a encore de la réserve, étant plus épais qu’elle et ayant une bonne capacité à affronter le froid. Il enroule ses bras autour d’elle, espérant que cela suffirait à la réchauffer un peu. Il espère aussi qu’Ofélia tient le coup.
Discrètement, il pointe sa baguette vers la demoiselle sur ses genoux et effectue un léger mouvement vers ses vêtements. Le sortilège pour sécher ses vêtements, il l’a utilisé maintes fois sur son bateau. Le souffle chaud se propage dans chaque fibre de tissu et aussitôt il sent aussi la douce chaleur contre lui. Il ne voulait pas qu’Apsa face une hypothermie.
Maintenant il faut patienter. Regarder le défilé des têtes réduites, et peut-être que ce fantôme se sentant peut-être trop seul, finirait pas les laisser partir ?
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Re: Les affres du temps (ft. Apsara & Alex)
Dim 10 Mar 2024 - 14:27
Quel théâtre étrange auquel ils font face. Alertée par les lèvres bleuies d’Apsara, elle fait un pas pour la rejoindre mais est arrêtée en cours de mouvement. Ils sont aimablement invités à se joindre à la partie et Ofelia doit bien admettre être intriguée par les têtes réduites ballotant au cou du fantôme en manque de compagnie. Ce dernier a clairement un grand problème avec la sociabilisation, la faute à son caractère passé ou aux années de solitude qu’il doit traîner avec lui.
Combattant mentalement le froid, espérant que cela suffira à repousser celui qui essaye de se faufiler sous ses vêtements, elle regarde du coin de l’œil l’asiatique rejoindre Alexander et s’installer sur lui. Rien que ça. Il n’a rien trouvé de mieux que de jouer le prince charmant chaud bouillant et la Mexicaine lève les yeux au ciel en ricanant pour elle-même. Le fantôme ne lui en tient pas rigueur et continue sa petite présentation pour laquelle il fait preuve d’une grande passion. Contagieuse, qui plus est, car Ofelia commence à se pencher en avant pour suivre avec attention son discours et ses démonstrations. Peu à peu, l’intérêt s’affiche sur son visage. Elle en oublie presque qu’elle commence vraiment à avoir froid et se met à poser des questions au dernier habitant des lieux, bien ravi d’y répondre. Prolongeant, sans le vouloir, le supplice de ses camarades. Le plus simple serait d’opiner du chef en espérant partir le plus vite possible ; Ofelia écrase cette option.
« Et celle-là elle vient d’où ? » « Comment vous faites exactement ? » « Mais non, pour de vrai ? »
Il n’aurait pas pu tomber sur meilleur public que la sorcière au visage de poupée et à l’âme sombre. Il tape droit dans ses centres d’intérêts, comment combattre ça ? Elle finit par tourner la tête vers Alexander et Apsara pour voir s’ils sont aussi intrigués qu’elle par cette collection mais à voir leur expression, c’est loin d’être le cas. Un peu ennuyée mais pensant à l’équipe avant ses propres besoins, elle soupire avant de s’adresser au fantôme.
« Ser Jamieson, c’est une formidable collection que vous avez-là, j’en suis presque jalouse ! Nous devons malheureusement prendre congé mais je repasserai avec plaisir écouter la suite de votre histoire. Et je tiens toujours mes engagements ! »
Elle ne veut initialement pas donner de trop gros faux espoirs au spectre qui prend cette proposition avec bien trop d’enthousiasme mais le sien est tout aussi réel. Quoiqu’en disent les deux autres. Ils ne savent simplement pas déceler les bons sujets de discussions… Ser Jamieson se montrera-t-il clément ?
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Combattant mentalement le froid, espérant que cela suffira à repousser celui qui essaye de se faufiler sous ses vêtements, elle regarde du coin de l’œil l’asiatique rejoindre Alexander et s’installer sur lui. Rien que ça. Il n’a rien trouvé de mieux que de jouer le prince charmant chaud bouillant et la Mexicaine lève les yeux au ciel en ricanant pour elle-même. Le fantôme ne lui en tient pas rigueur et continue sa petite présentation pour laquelle il fait preuve d’une grande passion. Contagieuse, qui plus est, car Ofelia commence à se pencher en avant pour suivre avec attention son discours et ses démonstrations. Peu à peu, l’intérêt s’affiche sur son visage. Elle en oublie presque qu’elle commence vraiment à avoir froid et se met à poser des questions au dernier habitant des lieux, bien ravi d’y répondre. Prolongeant, sans le vouloir, le supplice de ses camarades. Le plus simple serait d’opiner du chef en espérant partir le plus vite possible ; Ofelia écrase cette option.
« Et celle-là elle vient d’où ? » « Comment vous faites exactement ? » « Mais non, pour de vrai ? »
Il n’aurait pas pu tomber sur meilleur public que la sorcière au visage de poupée et à l’âme sombre. Il tape droit dans ses centres d’intérêts, comment combattre ça ? Elle finit par tourner la tête vers Alexander et Apsara pour voir s’ils sont aussi intrigués qu’elle par cette collection mais à voir leur expression, c’est loin d’être le cas. Un peu ennuyée mais pensant à l’équipe avant ses propres besoins, elle soupire avant de s’adresser au fantôme.
« Ser Jamieson, c’est une formidable collection que vous avez-là, j’en suis presque jalouse ! Nous devons malheureusement prendre congé mais je repasserai avec plaisir écouter la suite de votre histoire. Et je tiens toujours mes engagements ! »
Elle ne veut initialement pas donner de trop gros faux espoirs au spectre qui prend cette proposition avec bien trop d’enthousiasme mais le sien est tout aussi réel. Quoiqu’en disent les deux autres. Ils ne savent simplement pas déceler les bons sujets de discussions… Ser Jamieson se montrera-t-il clément ?
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- Apsara ChankimhaOldieㄨ experimented wizard
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Re: Les affres du temps (ft. Apsara & Alex)
Ven 15 Mar 2024 - 13:19
Est-ce qu’elle culpabilisait de son excès de zèle ? Oui. A 1000%, pourtant ça n’était pas ce qui s’imposait le plus à son esprit. Là, à deux doigts de tourner bleue, Apsara se demandait le plus sérieusement du monde si Ofé et Alex allaient lui en vouloir. C’était autrement plus important pour elle que de se concentrer sur les propos du fantôme qui ne cessait de gesticuler devant elle. Chacun ses priorités !
Lorsque les deux sorciers les rejoignent, elle et Sir Jamieson, la thaïlandaise ne put retenir un profond soupir de soulagement. Ses jambes la portèrent jusqu’au Grymm qui l’accueillit contre lui sans rien dire. Ses prunelles sombres évitèrent soigneusement celles de la mexicaine, ne sachant que trop bien ce qu’elle pouvait penser de sa bêtise et de ce rapprochement soudain. Elle allait en entendre parler pendant un bon moment ! Enfin, si elle évitait de mourir congelée. Ce n’était clairement pas comme ça qu’elle avait imaginé sa fin de soirée. Pendant un temps, la sorcière n’osa bouger un cheveu et paraissait même plutôt raide malgré les tremblements réguliers. Puis elle entendit son amie relancer le fantôme et elle abdiqua. Sérieusement Ofé ? La fine silhouette se recroquevilla tant et si bien qu’elle prit des airs de chat, bien au chaud contre le buste du brun. Heureusement qu’il était grand ! Gentil géant. Du coin de l’œil, elle suivit son mouvement de baguette et… Morgane soit louée ! Sa tête s’écroula contre son épaule et un timide sourire apparut sur son visage. De la chaleur, enfin !. Elle fit de son mieux pour ne pas claquer des dents contre son oreille et le remercia à voix basse. Le fantôme ne risquait pourtant pas de l’entendre tant il était occupé à présenter l’historique de chacune horrible tête réduite.
« Alors celle-là, je l’ai depuis 1885. Voyez-vous, il s’agit de Patrick Samson II, petit fils en ligne directe du chatelain de (…) »
Ne pas lever les yeux au ciel. Attendre. Restée en boule. Ne pas souffler. Dur, dur. Heureusement, son envie de disparaitre au plus vite de cette chambre froide l’aidait à suivre ce mantra. Heureusement pour eux, l’autre Pokeby cessa de donner de l’eau au moulin à paroles. Comment allait-il réagir ?
« Vous m’en voyez ravie, milady. Tenez, un gage de ma gratitude. Il est si rare de trouver de jeunes gens aussi passionnés que moi. »
Sans blague. Elle porta tout de même un regard curieux, quoiqu’un brun dégoutée, à la tête réduite qu’il détacha de son portant pour mieux la poser dans ses mains. Il y en avait au moins une qui serait contente de la mésaventure. Inspire. Expire. L’aspirante médicomage se déplia doucement avant de se redresser et de tendre sa main à son infortuné fauteuil. Il était capable de se lever tout seul, on est bien d’accord là-dessus, mais c’était une façon un peu curieuse de lui proposer son aide en retour. Donnant-donnant, à peu de choses près. Ça lui permettait aussi de rester non loin d’eux, si jamais le fantôme venait à changer d’avis. Faites-lui affronter les flammes d’un incendie mais la glace de cette pièce ? Plus jamais.
« Laissez-moi vous accompagner. »
NON ! Elle dût se planter la canine sévèrement dans la lèvre pour s’empêcher de le lui cracher. Grand bien lui fit puisqu’il les guida vers une porte inconnue. Elle n’était pas là avant, elle y mettrait sa main à couper. Que pouvait-il y avoir derrière ? Une autre épreuve ou la sortie ?
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Lorsque les deux sorciers les rejoignent, elle et Sir Jamieson, la thaïlandaise ne put retenir un profond soupir de soulagement. Ses jambes la portèrent jusqu’au Grymm qui l’accueillit contre lui sans rien dire. Ses prunelles sombres évitèrent soigneusement celles de la mexicaine, ne sachant que trop bien ce qu’elle pouvait penser de sa bêtise et de ce rapprochement soudain. Elle allait en entendre parler pendant un bon moment ! Enfin, si elle évitait de mourir congelée. Ce n’était clairement pas comme ça qu’elle avait imaginé sa fin de soirée. Pendant un temps, la sorcière n’osa bouger un cheveu et paraissait même plutôt raide malgré les tremblements réguliers. Puis elle entendit son amie relancer le fantôme et elle abdiqua. Sérieusement Ofé ? La fine silhouette se recroquevilla tant et si bien qu’elle prit des airs de chat, bien au chaud contre le buste du brun. Heureusement qu’il était grand ! Gentil géant. Du coin de l’œil, elle suivit son mouvement de baguette et… Morgane soit louée ! Sa tête s’écroula contre son épaule et un timide sourire apparut sur son visage. De la chaleur, enfin !. Elle fit de son mieux pour ne pas claquer des dents contre son oreille et le remercia à voix basse. Le fantôme ne risquait pourtant pas de l’entendre tant il était occupé à présenter l’historique de chacune horrible tête réduite.
« Alors celle-là, je l’ai depuis 1885. Voyez-vous, il s’agit de Patrick Samson II, petit fils en ligne directe du chatelain de (…) »
Ne pas lever les yeux au ciel. Attendre. Restée en boule. Ne pas souffler. Dur, dur. Heureusement, son envie de disparaitre au plus vite de cette chambre froide l’aidait à suivre ce mantra. Heureusement pour eux, l’autre Pokeby cessa de donner de l’eau au moulin à paroles. Comment allait-il réagir ?
« Vous m’en voyez ravie, milady. Tenez, un gage de ma gratitude. Il est si rare de trouver de jeunes gens aussi passionnés que moi. »
Sans blague. Elle porta tout de même un regard curieux, quoiqu’un brun dégoutée, à la tête réduite qu’il détacha de son portant pour mieux la poser dans ses mains. Il y en avait au moins une qui serait contente de la mésaventure. Inspire. Expire. L’aspirante médicomage se déplia doucement avant de se redresser et de tendre sa main à son infortuné fauteuil. Il était capable de se lever tout seul, on est bien d’accord là-dessus, mais c’était une façon un peu curieuse de lui proposer son aide en retour. Donnant-donnant, à peu de choses près. Ça lui permettait aussi de rester non loin d’eux, si jamais le fantôme venait à changer d’avis. Faites-lui affronter les flammes d’un incendie mais la glace de cette pièce ? Plus jamais.
« Laissez-moi vous accompagner. »
NON ! Elle dût se planter la canine sévèrement dans la lèvre pour s’empêcher de le lui cracher. Grand bien lui fit puisqu’il les guida vers une porte inconnue. Elle n’était pas là avant, elle y mettrait sa main à couper. Que pouvait-il y avoir derrière ? Une autre épreuve ou la sortie ?
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- Alexander McCandlessMODO - Modérateur
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Re: Les affres du temps (ft. Apsara & Alex)
Mer 27 Mar 2024 - 20:35
Assise sur ses genoux, McCandless sent le corps d’Apsara se détendre petit à petit et les tremblements diminués. Ils auraient pu prendre congé beaucoup plus tôt. Mais le fantôme a trouvé un bon public, enfin une spectatrice attentive. La têtes réduites, ce n’est pas vraiment le délire de l’Ecossais. Cela ne le répugne pas pour autant mais lui aussi aimerait pouvoir quitter cette pièce et ne pas se sentir comme un otage.
Sauf que Yoyo n’en fait qu’à sa tête. Cette abrutie boit les paroles du sir trucmuche tandis que ses lèvres commencent à bleuir. Elle serait réellement prête à finir congeler pour l’exposé du défunt.
Il prend son mal en patience et lance quelques sourires forcés au fantôme lorsqu’il se tourne vers lui, histoire de vérifier qu’il a toujours son attention.
Puis, enfin, elle met fin à ce cirque spectrale. Apsa se relève et tend la main au gaillard. Un geste plutôt curieux car avec son poids plume, elle aurait réellement du mal à faire contrepoids pour l’aider à se relever. Mais il accepte la main, histoire de lui montrer qu’il ne lui en voulait pas, pas complètement.
Le fantôme les accompagne vers une porte et McCandless ne se fait pas prier pour sortir de cette pièce, tout en saluant le maître de ces lieux. A la revoyure Ser Jamie.
Le contraste de température est saisissant lorsqu’il met un pas dehors. Pourtant les nuits de septembre à Inverness sont plutôt fraîches, mais à côté du congélo, c’est royal. Et puis, il y a de l’air. Alex a moins l’impression d’être dans un caveau.
Le trio se retrouvent derrière la maison, retrouvant la végétation dense du jardin.
La porte aussitôt refermée, Alex s’empresse de taquiner Joe.
« Alors elle est contente la petite ? Elle a reçu un joli cadeau de la part de Jamie. »
En plus, il est certain qu’elle reviendra pour continuer d’écouter le fantôme. La prochaine fois, elle a intérêt à se couvrir beaucoup plus.
« Putain, je sais au moins quoi t’offrir pour ton prochain anniversaire. »
Ça changera du foutage de gueule qu’il faisait à chaque fois en lui offrant un truc de princesse, ou quelque chose d'inutile.
« Ca va mieux le glaçon ? » dit-il en se tournant vers Apsa, un sourire aux lèvres.
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Sauf que Yoyo n’en fait qu’à sa tête. Cette abrutie boit les paroles du sir trucmuche tandis que ses lèvres commencent à bleuir. Elle serait réellement prête à finir congeler pour l’exposé du défunt.
Il prend son mal en patience et lance quelques sourires forcés au fantôme lorsqu’il se tourne vers lui, histoire de vérifier qu’il a toujours son attention.
Puis, enfin, elle met fin à ce cirque spectrale. Apsa se relève et tend la main au gaillard. Un geste plutôt curieux car avec son poids plume, elle aurait réellement du mal à faire contrepoids pour l’aider à se relever. Mais il accepte la main, histoire de lui montrer qu’il ne lui en voulait pas, pas complètement.
Le fantôme les accompagne vers une porte et McCandless ne se fait pas prier pour sortir de cette pièce, tout en saluant le maître de ces lieux. A la revoyure Ser Jamie.
Le contraste de température est saisissant lorsqu’il met un pas dehors. Pourtant les nuits de septembre à Inverness sont plutôt fraîches, mais à côté du congélo, c’est royal. Et puis, il y a de l’air. Alex a moins l’impression d’être dans un caveau.
Le trio se retrouvent derrière la maison, retrouvant la végétation dense du jardin.
La porte aussitôt refermée, Alex s’empresse de taquiner Joe.
« Alors elle est contente la petite ? Elle a reçu un joli cadeau de la part de Jamie. »
En plus, il est certain qu’elle reviendra pour continuer d’écouter le fantôme. La prochaine fois, elle a intérêt à se couvrir beaucoup plus.
« Putain, je sais au moins quoi t’offrir pour ton prochain anniversaire. »
Ça changera du foutage de gueule qu’il faisait à chaque fois en lui offrant un truc de princesse, ou quelque chose d'inutile.
« Ca va mieux le glaçon ? » dit-il en se tournant vers Apsa, un sourire aux lèvres.
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- Joeïa YoonMODO - Modératrice
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Re: Les affres du temps (ft. Apsara & Alex)
Dim 31 Mar 2024 - 16:44
« Il ne fallait pas Ser ! J’en prendrai bien soin, soyez-en sûr ! »
Elle se lève de sa chaise pour récupérer la tête réduite, des étoiles dans les yeux. Contrairement aux deux autres, la sorcière n’a pas l’impression d’avoir perdu son temps, bien au contraire. Son cadeau entre les mains, elle est sur le point de sautiller de joie, mais se contient en voyant la mine d’Alexander et Apsara. Ils vont lui faire la gueule, c’est assuré…
« Avec plaisir, bien sûr. »
Sa politesse n’est pas une marque de fabrique et pourtant, dans ces circonstances, elle se montre bien plus respectueuse qu’elle ne l’est envers elle-même, c’est dire. La surprise lui a beaucoup plu et elle ne retient que de bonnes choses de cette excursion, n’en déplaise aux deux ronchons frigorifiés. Elle-même a très froid mais ce fait est vite remplacé par l’excitation qui règne dans son corps. Après un dernier aurevoir au fantôme des lieux, ils se retrouvent à l’extérieur, sains et saufs. Pas de quoi en faire un drame voyons !
« Tu ricanes mais c’est vraiment trop cool, vous ne trouvez pas ? » demande-t-elle sincèrement en brandissant la tête réduite devant eux. « Je vais la poser sur une étagère, à côté de mon crâne. Ça va rendre super bien ! On n’en trouve pas des aussi bien faites n’importe où… Ser Jamie est un vrai connaisseur. »
Si elle en fait trop, elle ne s’en rend pas compte. C’est que le sujet la passionne vraiment.
« Ecoute, si tu m’en offres d’aussi belles, je dis oui avec plaisir ! »
Cette fois, elle lui tire la langue, sachant pertinemment qu’il se moque. Elle, au contraire, est sérieuse lorsqu’elle affirme être contente de recevoir un tel présent. En l’entendant s’adresser à Apsara, elle se rappelle que la pauvre a dû souffrir le martyr là-dedans, toute seule de surcroît. Alors elle range vite la tête dans son sac pour ne puis la lui imposer et lui offre un regard presque désolé. Et en même temps… eh bien, elle n’avait qu’à pas partir toute seule !
« Désolée que tu aies dû vivre ça… mais au moins, tu auras appris une nouvelle règle de l’urbex : on ne se sépare pas ! On ne sait jamais ce qui peut se passer, comme là avec le fantôme. Mais ça peut être des trucs encore plus cons, comme une cheville cassée ou coincée j’sais pas où. M’enfin, ça te fera une anecdote à raconter » conclut-elle d’un clin d’œil à son attention.
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Elle se lève de sa chaise pour récupérer la tête réduite, des étoiles dans les yeux. Contrairement aux deux autres, la sorcière n’a pas l’impression d’avoir perdu son temps, bien au contraire. Son cadeau entre les mains, elle est sur le point de sautiller de joie, mais se contient en voyant la mine d’Alexander et Apsara. Ils vont lui faire la gueule, c’est assuré…
« Avec plaisir, bien sûr. »
Sa politesse n’est pas une marque de fabrique et pourtant, dans ces circonstances, elle se montre bien plus respectueuse qu’elle ne l’est envers elle-même, c’est dire. La surprise lui a beaucoup plu et elle ne retient que de bonnes choses de cette excursion, n’en déplaise aux deux ronchons frigorifiés. Elle-même a très froid mais ce fait est vite remplacé par l’excitation qui règne dans son corps. Après un dernier aurevoir au fantôme des lieux, ils se retrouvent à l’extérieur, sains et saufs. Pas de quoi en faire un drame voyons !
« Tu ricanes mais c’est vraiment trop cool, vous ne trouvez pas ? » demande-t-elle sincèrement en brandissant la tête réduite devant eux. « Je vais la poser sur une étagère, à côté de mon crâne. Ça va rendre super bien ! On n’en trouve pas des aussi bien faites n’importe où… Ser Jamie est un vrai connaisseur. »
Si elle en fait trop, elle ne s’en rend pas compte. C’est que le sujet la passionne vraiment.
« Ecoute, si tu m’en offres d’aussi belles, je dis oui avec plaisir ! »
Cette fois, elle lui tire la langue, sachant pertinemment qu’il se moque. Elle, au contraire, est sérieuse lorsqu’elle affirme être contente de recevoir un tel présent. En l’entendant s’adresser à Apsara, elle se rappelle que la pauvre a dû souffrir le martyr là-dedans, toute seule de surcroît. Alors elle range vite la tête dans son sac pour ne puis la lui imposer et lui offre un regard presque désolé. Et en même temps… eh bien, elle n’avait qu’à pas partir toute seule !
« Désolée que tu aies dû vivre ça… mais au moins, tu auras appris une nouvelle règle de l’urbex : on ne se sépare pas ! On ne sait jamais ce qui peut se passer, comme là avec le fantôme. Mais ça peut être des trucs encore plus cons, comme une cheville cassée ou coincée j’sais pas où. M’enfin, ça te fera une anecdote à raconter » conclut-elle d’un clin d’œil à son attention.
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- Apsara ChankimhaOldieㄨ experimented wizard
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Re: Les affres du temps (ft. Apsara & Alex)
Mer 3 Avr 2024 - 9:50
Clairement, Apsara ne demanda pas son reste. Première debout, elle entreprit vite de mobiliser ses cheveux et ses genoux, histoire d’en chasser toute force d’engourdissement. Bouger, ça aidait à se réchauffer même si, en toute honnêteté, le sort du grand gaillard avait été nettement plus efficace. Elle n’avait pas pu s’empêcher de le regarder d’ailleurs, peut-être un peu trop longtemps puisque son amie s’était permise d’hausser le sourcil. Tout de suite… Elle le trouvait juste sympa. Vraiment. Il avait de l’humour et en plus, il donnait l’impression d’être un mec sur qui on pouvait compter. Peut-être qu’elle se trompait ? Après tout, elle ne le connaissait que depuis quelques heures mais… Hm ! Elle lui tendit la main sans se poser de question et l’aidait à se relever. Rectification. Elle fit semblant, puisqu’il fit tout le travail tout seul. Ah les hommes !
Agile, la sorcière se faufila jusqu’à la sortie en contournant toutes formes de bienveillances et politesses fantasmagoriques, tout en esquissant de temps à autre un sourire de convenance. Donner de l’intérêt, mais pas trop. Ser Jamies pouvait toujours changer d’avis et les coincer une heure de plus au freezer. Ah ! Vu l’horreur que ça représentait, elle était à deux doigts de se dire que finir en Enfer n’était pas si mal. Les flammes, la chaleur…
Et quelle chaleur ! La brune avait poussé la porte et s’était retrouvée à l’extérieur du bâtiment. Il faisait 05 degrés et pourtant, elle avait l’impression d’être en plein mois d’aout. C’était nettement plus agréable que la pièce dans laquelle ils avaient été séquestré. Plus jamais elle ne se plaindra du climat écossais (c’est faux). Ayant appris la leçon, elle attendit patiemment que tout le monde la rejoigne et ne s’éloigna pas d’un pas de plus, quand bien même la présence du fantôme à la porte l’y poussait.
L’œil en amande se posa sur la tête réduite précieusement conservée par la sorcière. Elle grimaça mais ne pipa mot. L’affreux cadeau était peut-être en parfait état maintenant mais le serait-il tout autant loin du réfrigérateur ? Joe la présenta comme un bien précieux, ce qui adoucit forcément la pokeby. S’il était contente, c’était tout ce qui importait non ? Ca, et le fait qu’elle la tienne loin d’elle.
« Ca va mieux le glaçon ? »
« Je ne vois pas de quoi tu parles. » Discours parfaitement opposé aux pommettes rougissant sous l’effet de la honte.
« Je ne risque pas d’oublier la leçon, ça c’est clair. » finit-elle par dire, une fois la fierté remballée. Elle garda entre ses dents des réponses toutes faites comme : « je sais réparer une cheville cassée » et finit par laisser un sourire s’afficher sur son visage, suite à son clin d’œil. « J’ai appris une règle de plus. Tu as gagné un souvenir inestimable et toi Alex… Hm… Tu as eu le plaisir de notre compagnie ? Tout le monde est gagnant finalement ? »
Elle rit sous cape, de peur de faire trop de bruits, puis glissa finalement ses mains à l’intérieur de ses grandes manches. Elle était prête à les suivre, pour partir ou non. Elle ne s’arrêta qu’une seconde, histoire de lâcher l’air de rien un « Merci » parfaitement sincère.
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Agile, la sorcière se faufila jusqu’à la sortie en contournant toutes formes de bienveillances et politesses fantasmagoriques, tout en esquissant de temps à autre un sourire de convenance. Donner de l’intérêt, mais pas trop. Ser Jamies pouvait toujours changer d’avis et les coincer une heure de plus au freezer. Ah ! Vu l’horreur que ça représentait, elle était à deux doigts de se dire que finir en Enfer n’était pas si mal. Les flammes, la chaleur…
Et quelle chaleur ! La brune avait poussé la porte et s’était retrouvée à l’extérieur du bâtiment. Il faisait 05 degrés et pourtant, elle avait l’impression d’être en plein mois d’aout. C’était nettement plus agréable que la pièce dans laquelle ils avaient été séquestré. Plus jamais elle ne se plaindra du climat écossais (c’est faux). Ayant appris la leçon, elle attendit patiemment que tout le monde la rejoigne et ne s’éloigna pas d’un pas de plus, quand bien même la présence du fantôme à la porte l’y poussait.
L’œil en amande se posa sur la tête réduite précieusement conservée par la sorcière. Elle grimaça mais ne pipa mot. L’affreux cadeau était peut-être en parfait état maintenant mais le serait-il tout autant loin du réfrigérateur ? Joe la présenta comme un bien précieux, ce qui adoucit forcément la pokeby. S’il était contente, c’était tout ce qui importait non ? Ca, et le fait qu’elle la tienne loin d’elle.
« Ca va mieux le glaçon ? »
« Je ne vois pas de quoi tu parles. » Discours parfaitement opposé aux pommettes rougissant sous l’effet de la honte.
« Je ne risque pas d’oublier la leçon, ça c’est clair. » finit-elle par dire, une fois la fierté remballée. Elle garda entre ses dents des réponses toutes faites comme : « je sais réparer une cheville cassée » et finit par laisser un sourire s’afficher sur son visage, suite à son clin d’œil. « J’ai appris une règle de plus. Tu as gagné un souvenir inestimable et toi Alex… Hm… Tu as eu le plaisir de notre compagnie ? Tout le monde est gagnant finalement ? »
Elle rit sous cape, de peur de faire trop de bruits, puis glissa finalement ses mains à l’intérieur de ses grandes manches. Elle était prête à les suivre, pour partir ou non. Elle ne s’arrêta qu’une seconde, histoire de lâcher l’air de rien un « Merci » parfaitement sincère.
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- Alexander McCandlessMODO - Modérateur
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Re: Les affres du temps (ft. Apsara & Alex)
Dim 21 Avr 2024 - 20:23
« Trop cool » n’est pas l’expression qu’il donnerait face à cette tête réduite bien moche. Enfin bon, chacun ses goûts n’est-ce pas ? McCandless est certain que cela plairait aussi à Cataleya. Les deux femmes ayant un goût partagé pour les choses morbides et glauque. Cela ne dérange en rien le futur aurore, étant à l’aise avec les histoires sordides. Combien de fois avait-il visionné un film d’horreur en compagnie de Joe ? Il ne les compte plus. Remarque, à y penser, cela fait un bail qu’ils n’avaient pas fait ça.
En tout cas, cette excursion fut sympathique et il est clair qu’Apsara aura retenue une autre leçon de l’urbex.
« Oui et on a eu de la chance que le fantôme soit sympa », ajouta-t-il pour appuyer les propos de Yoyo.
Le plaisir fut évident. Il est rarement déçu de toute façon avec la Yoon. Et il faut dire qu’il apprécie aussi Apsa. Elle est très sympa.
« Mais de rien. Cela fait aussi partie de la cohésion d’équipe en sortie urbex. On ne laisse personne en galère. »
Il se rapproche un peu de la jeune femme et lui ébouriffe les cheveux (sa spécialité).
« T’as encore pas mal de poussières ! »
Ils étaient nettement plus sales que lorsqu’ils étaient arrivés. Et cela fait partie du jeu. C’est assez drôle la plupart du temps de se rendre compte du avant et après.
« Allez, on sort de là, et si ça vous dit, je vous offre un verre au port. »
Il est plus d’une heure du matin, mais pourquoi pas terminer cette excursion en buvant une bière ou un verre de whisky sur le Blue Skye ? Et puis cela serait l’occasion de connaître un peu plus Aspara.
Sur ce, il se tourne pour affronter de nouveau la végétation du terrain pour en sortir. Il a très envie de fumer un cigarette.
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En tout cas, cette excursion fut sympathique et il est clair qu’Apsara aura retenue une autre leçon de l’urbex.
« Oui et on a eu de la chance que le fantôme soit sympa », ajouta-t-il pour appuyer les propos de Yoyo.
Le plaisir fut évident. Il est rarement déçu de toute façon avec la Yoon. Et il faut dire qu’il apprécie aussi Apsa. Elle est très sympa.
« Mais de rien. Cela fait aussi partie de la cohésion d’équipe en sortie urbex. On ne laisse personne en galère. »
Il se rapproche un peu de la jeune femme et lui ébouriffe les cheveux (sa spécialité).
« T’as encore pas mal de poussières ! »
Ils étaient nettement plus sales que lorsqu’ils étaient arrivés. Et cela fait partie du jeu. C’est assez drôle la plupart du temps de se rendre compte du avant et après.
« Allez, on sort de là, et si ça vous dit, je vous offre un verre au port. »
Il est plus d’une heure du matin, mais pourquoi pas terminer cette excursion en buvant une bière ou un verre de whisky sur le Blue Skye ? Et puis cela serait l’occasion de connaître un peu plus Aspara.
Sur ce, il se tourne pour affronter de nouveau la végétation du terrain pour en sortir. Il a très envie de fumer un cigarette.
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- Joeïa YoonMODO - Modératrice
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Inventaire Sorcier
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Re: Les affres du temps (ft. Apsara & Alex)
Mer 24 Avr 2024 - 21:11
Joeïa les regarde tous les deux avec un sourire, puis lève les yeux sur la demeure. Elle sait bien qu’Apsara dit cela en plaisantant mais elle n’a pas tout à fait tort, non ? Ils ont tous appris ou vécu quelque chose ce soir qui les a rendu différents, pas forcément en mal. Ils vont repartir de là avec une expérience peu commune et c’est bien pour cela que Joe adore l’urbex. Aucune sortie ne se ressemble vraiment. Elle vit de nouveau à chaque fois. Les sensations ne la dérangent pas tant qu’elle garde tous ses membres attachés à son corps à la fin de l’exploration.
« Je crois qu’on peut le dire comme ça oui ! »
Tout le monde est gagnant. Elle aime bien l’idée, d’où son sourire XXL. Elle check l’heure sur son téléphone, il n’est pas aussi avancé dans la nuit qu’elle le pensait et la proposition d’Alexander est très alléchante. Ce n’est pas tous les jours que l’on peut se boire une bière sur une vraie péniche ! Elle s’est toujours demandé pourquoi il s’est lancé dans ce truc-là mais ils n’en sont pas à un point de leur relation où ils se confient des choses aussi personnelles, et ça ne la dérange pas. C’est juste cool d’avoir, dans son entourage, un espèce de grand-frère de deux mètres qui a des bières à boire sur une péniche. Une péniche sur l’eau, précisons.
« Plutôt deux fois qu’une ! En plus, si c’est toi qui fournit... »
A l’image d’Apsara, elle fourre une main dans une de ses poches et de son bras libre, attrape celui de l’étudiante pour la tenir contre elle. Bien au chaud. Puis, on ne sait jamais ce qui traîne dans les rues ! Aussi bien accompagnée, Joeïa se dit que cette soirée n’aurait pas pu être plus parfaite !
« Je crois qu’on peut le dire comme ça oui ! »
Tout le monde est gagnant. Elle aime bien l’idée, d’où son sourire XXL. Elle check l’heure sur son téléphone, il n’est pas aussi avancé dans la nuit qu’elle le pensait et la proposition d’Alexander est très alléchante. Ce n’est pas tous les jours que l’on peut se boire une bière sur une vraie péniche ! Elle s’est toujours demandé pourquoi il s’est lancé dans ce truc-là mais ils n’en sont pas à un point de leur relation où ils se confient des choses aussi personnelles, et ça ne la dérange pas. C’est juste cool d’avoir, dans son entourage, un espèce de grand-frère de deux mètres qui a des bières à boire sur une péniche. Une péniche sur l’eau, précisons.
« Plutôt deux fois qu’une ! En plus, si c’est toi qui fournit... »
A l’image d’Apsara, elle fourre une main dans une de ses poches et de son bras libre, attrape celui de l’étudiante pour la tenir contre elle. Bien au chaud. Puis, on ne sait jamais ce qui traîne dans les rues ! Aussi bien accompagnée, Joeïa se dit que cette soirée n’aurait pas pu être plus parfaite !
terminé pour moi
Apsara Chankimha est fan
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