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«Car on échappe pas aux sentiments » [Oedipe ♥]
Mar 1 Juin 2010 - 20:22
«« L' Amour fou, heureux, il dure combien de temps? Peu. Trop peu. C'est quoi trois, quatre, dix ans dans une vie? Il nous fait plus de mal que du bien. Il est vrai. Mais, il a tout compris, ce connard (...) C'est le souvenir heureux qui chasse la peine et les regrets. Qui l'emporte. Et ce sourire fébrile qui nous colle à la peau lorsqu'on est amoureux. Et cette sensation d'enivrement, ce pouvoir qu'il a d'affoler nos coeurs. De les faire battre à une cadence démente. De les rendre ivres. De les faire trépigner d'impatience. De les assoiffer de lui, car il nous dicte nos besoins. Ce pouvoir de faire frémir nos coeurs de désir. De les faire palpiter frénétiquement au même temps que l'adrénaline monte et envenime notre sang. De les cogner contre nos regrets, ou celui des autres. De les faire vibrer de jalousies. De les faire frissonner, trembler, tressaillir de crainte ; car quand on aime, on a peur. Peur de toucher à la fin. Peur que la réalité nous rattrape plus vite que prévu ; plus brutalement que prévu. Ce pouvoir qu'il a de les empoisonner d'illusions. De les gonfler d'espoir. De les brutaliser, les faire saigner. De les poignarder de douleur. De les faire douter. De les faire sombrer dans la dépendance. De les heurter à nos erreurs. »» |
- Une fois de plus je ne me trouvais pas dans mon lit alors que la nuit était tombée depuis un bon moment. Je n'est pas de problème de sommeil non vraiment rien ne me tracasse . Enfin presque . Lorsque que je ferme les paupières ces imagines me revient à l'esprit. La mort de mes parents et de mes frères lorsque la tragédie à frapper. Il a toujours à l'intérieur de moi un côté terrorisé d'avoir vu le crime devant mes yeux. Pourquoi m'avoir enlevé ma famille ainsi sans raisons. Assise bien confortablement sur le rebord de ma fenêtre je regardais le ciel étoilée. Quoi de plus beau que les lumières de la nuit. Un sourire apparut enfin sur mes lèvres. J'avais l'impression que mon esprit c'était vidé seulement en détendant et en pensant à autre chose. Mes paupières étaient de plus en plus lourde au fur que le temps avançait, mais je me résignait à les laissée entrouverte. Pas question que je m'envole au pays des rêves ou plutôt des cauchemars. J'enroulais délicatement une mèche de mes cheveux à l'aide de mon doigt. Je sentie une présence sauta délicatement sur mes jambes. Boule de poil blanche. Je passais ma main sur mon chat qui se mit à ronronner.
- Spoiler:
- Désoler c'est plutôt court , mais j'ai parfois dû mal à commencer x). Après ton poste cela devrait être mieux :D
Je marchais dans les rues sans vraiment savoir ou je voulais aller.Le simple fait de prendre l'air me faisait que du bien. Je finis par aboutir sur le campus de Hungalf. Je longeais l'endroit sans regarder vraiment ou j'allais. La sensation de l'air frais sur mon visage et le calme j'adore. Pour la première fois depuis des mois je me sentais déjà mieux et mon coeur semblait vider de la tristesse qui y régnait depuis des années. Pleurer avait été ma seule solution et bizarrement cela avait été une grande libération. Après quelque minute de marche j'atteignis l'étang. Je m'assoyais dans l'herbe fraîche ou plutôt je m'étendis sûr. Je lâchais un grand soupire de fatigue. J'étais seul et tranquille. Loin des gens la seule chose qui m'entourait c'était la nature. Je me retournais doucement sur le côté.À l'aide de mon index je touchais doucement l'eau de l'étang qui semblait si pure à première vue. Je m'amusais à faire de jolies petits ronds.Je retirais doucement mes souliers et plongea mes pieds dans l'eau fraîche. Plutôt bizarre. Enfin pourquoi pas l'eau n'a jamais tué personne. Je pris délicatement ma guitare et me mit à jouer.
La douce mélodie qui venait de mon instrument m'entraînait et le son de ma voix finit par se faire entendre. Je fermais mes paupières en même temps et un doux sourire flottait sur mes lèvres. Le bonheur enfin était en moi. Lorsque que je redeposais mon instrument sur l'herbe. Je riais. Mon rire cristallin résonna. On aurait dû une petite fille qui s'amusait seul. C'est ce que je suis parfois enfantine. Je me laissais tomber dans l'herbe en riant toujours .
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Re: «Car on échappe pas aux sentiments » [Oedipe ♥]
Jeu 3 Juin 2010 - 20:26
« Souvent la vie s'amuse. Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d'un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils n'ont pas le temps, pas l'envie. Ils veulent du lourd, de l'imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d'un homme tremblant. Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi… »
Je suis étendu sur mon lit depuis plus d'une heure et rien à faire, je n'arrive pas à dormir. Mon cerveau bouillonne d'idées et rêve d'évasion. Ma fenêtre est ouverte et un doux vent caresse mon visage. Je me lève, rapidement, et jette un coup d'œil vers l'extérieur. De ma petite chambre, j'ai une vue imprenable sur le parc de l'école, dans lequel j'aime me promener. L'enfermement ne m'a jamais fait de bien, être immobile entre quatre murs me donne l'impression d'être un vulgaire prisonnier. J'inspire de longues bouffées d'air frais, qui chatouillent mes poumons. Ca me donne envie de fumer. Je râle intérieurement. J'attrape mon paquet de cigarette posé sur ma table de chevet. Je l'allume rapidement tout en la portant à mes lèvres. Bonheur. C'est tellement plaisant de fumer tout en regardant les étoiles. Je sais bien que c'est mauvais pour moi mais si ma vie doit être courte, je préfère en profiter. C'est un peu facile comme réflexion, mais je passe outre. Je toussote, mais beaucoup moins qu'un début, quand une crise de toux pouvait durer de longues demies heures. C'était quand je vivais dehors et que je ne prenais que très rarement des médicaments. Souvent, ils n'étaient même pas conseillés pour ma maladie. Mais Will faisait ce qu'il pouvait, et c'était mieux que rien.
Telle une ombre, je me glisse à l'extérieur de ma chambre. Je n'oublie pas mon paquet de cigarettes et une boîte d'allumettes. Une fois dans le parc, je retire mes chaussures que j'abandonne sous un buisson. L'herbe chatouille mes pieds et les rafraichit. Je marche sans bruit dans ce silence presque pesant. Je lève les yeux vers le ciel étoilé. "La nuit porte conseil", selon certains. Selon moi, ce sont les étoiles qui portent conseil en éclairant nos nuits d'une douce lueur rassurante. Elles baignent le ciel d'une atmosphère tout particulière, un peu mystique ou mystérieuse. Un soupir s'échappe d'entre mes lèvres, preuve sonore de mon bien-être. Un long frisson parcourt mon corps et je regrette de ne pas avoir pris de veste. Je suis tête en l'air. Le vent se lève, faisant chanter les feuilles dans les arbres. Sourire.
Je devine au loin une mélodie jouée à la guitare. Plus je m'approche, plus les notes se détachent dans le silence de la nuit. Il y a une voix, douce, qui accompagne l'instrument. J'accélère. Au loin, j'aperçois une chevelure blonde, tombant en cascade sur un dos qui me semble inconnu. Je connais la voix. Cette découverte provoque d'ailleurs une accélération des battements de mon cœur. Je souris. Même de dos, la jeune fille est belle. J'observe, amusé, ses gestes et mon sourire grandit d'autant plus. Je ne la comprends pas toujours, mais indéniablement, elle m'attire. Et pas seulement physiquement. Je m'approche de son corps étendu, à pas de loup. Son rire s'élève si haut dans le ciel... Je me laisse tomber près d'elle tout en continuant de la fixer. J'ai envie de lui sauter dessus... Sans rien dire, j'approche une de mes mains de son ventre à moitié découvert. Mes doigts caressent sa peau douce, lentement. Je me penche sur son corps avant d'effleurer ses lèvres avec les miennes.
- Oedipe •• Qu'est-ce qui vous fait rire comme ça, jolie demoiselle ?
- InvitéInvité
Re: «Car on échappe pas aux sentiments » [Oedipe ♥]
Jeu 3 Juin 2010 - 22:37
Mon rire qui continiuait de résonner un peu partout dans les alentours me fait remémorer des souvenirs aux qu'elle que je me suis attaché et que mon esprit à de la difficulté à oublier. En fait je ne voudrais qu'il s'éloigne de ma mémoire. À cet instant précis je sentais presque les bras de Josh qui m'entourait lorsque qu'il me réconfortait. Ou ses rires et ces blagues complètement stupide qui m'avait fait tant rire. Mon meilleur ami. Ma main gauche toucha doucement ma main droite. Mes doigts effleuraient la bague qui ornait mon index . Un symbole d'amitié et une grande promesse tournait autour de ce bijoux. Mon sourire restait bien étirer sur mes lèvres. L'air frais balayait mon visage qui pu être mieux découvrit. Pendant un petit moment je sombre dans mes pensées et ne fait plus du tout attention au monde qui m'entoure. Je me concentrais seulement sur les bruits de la nature. Je sentais par contre une présence non loin de moi. Je ne m'en souciais pas plus c'était peut-être seulement un petit animal qui s'aventurait. Mais ce que je pensais être une petite bête ce manifestait en un rien de temps.
Très rapidement je fus sortie de ma bulle. Je sentais une main me caresser le ventre. J'ouvrais délicatement les yeux en découvrant le visage de celui que je croyais être un inconnu. Ses doigts qui parcouraient ma peau et ses gestes qu'il faisait me fit frissonner de la tête au pied. Nos lèvres s'effleurent avant de s'éloigner doucement.
OEDIPE /: Qu'est-ce qui vous fait rire comme ça, jolie demoiselle ?
Je souris de plus belle, moi qui pensais de ne jamais le revoir. Cela prouve que la vie nous joue parfois des tours. Mes yeux parcouraient son visage et scrutait chaque petit détail. J'avais passé une nuit avec lui. Ce n'était pas du tout mon genre les coups d'une d'un soir comme ça .J'ai l'impression de me sentir coupable après ça. Mais bon il faut bien une première fois à tout. Bizarrement j'avais retenu chaque détail de son visage. Je ne l'avais pas oublié. J'aurais cru qu'il serait sorti de ma mémoire facilement. Je plaçais mes doigts sur sa main tout en les remontant délicatement sûr son bras
JESSY /: J'en c'est rien. Sûrement la joie qui me manquait tellement
Je me retournais sur le ventre doucement. Je passais délicatement une main dans les cheveux du jeune homme. Je déposais un baiser sur le coin de ses lèvres .Je le regardais par la suite avec un sourire en coin. Je plongeais mon regard dans le sien. Je me retournais une fois de plus sur le dos et je riais de nouveau pendant quelque seconde et fixa mes yeux sur le ciel.
JESSY /: Quoi de plus jolie qu'un ciel étoilée.
Très rapidement je fus sortie de ma bulle. Je sentais une main me caresser le ventre. J'ouvrais délicatement les yeux en découvrant le visage de celui que je croyais être un inconnu. Ses doigts qui parcouraient ma peau et ses gestes qu'il faisait me fit frissonner de la tête au pied. Nos lèvres s'effleurent avant de s'éloigner doucement.
OEDIPE /: Qu'est-ce qui vous fait rire comme ça, jolie demoiselle ?
Je souris de plus belle, moi qui pensais de ne jamais le revoir. Cela prouve que la vie nous joue parfois des tours. Mes yeux parcouraient son visage et scrutait chaque petit détail. J'avais passé une nuit avec lui. Ce n'était pas du tout mon genre les coups d'une d'un soir comme ça .J'ai l'impression de me sentir coupable après ça. Mais bon il faut bien une première fois à tout. Bizarrement j'avais retenu chaque détail de son visage. Je ne l'avais pas oublié. J'aurais cru qu'il serait sorti de ma mémoire facilement. Je plaçais mes doigts sur sa main tout en les remontant délicatement sûr son bras
JESSY /: J'en c'est rien. Sûrement la joie qui me manquait tellement
Je me retournais sur le ventre doucement. Je passais délicatement une main dans les cheveux du jeune homme. Je déposais un baiser sur le coin de ses lèvres .Je le regardais par la suite avec un sourire en coin. Je plongeais mon regard dans le sien. Je me retournais une fois de plus sur le dos et je riais de nouveau pendant quelque seconde et fixa mes yeux sur le ciel.
JESSY /: Quoi de plus jolie qu'un ciel étoilée.
Je tournais ma tête vers lui.
- InvitéInvité
Re: «Car on échappe pas aux sentiments » [Oedipe ♥]
Dim 6 Juin 2010 - 16:35
Je ne suis pas un tombeur. Je ne suis pas un homme à femme, heureux d’afficher un fou palmarès. J’aime les jolies filles, bien sûr, comme tous les hommes. Mais elles ne sont pas des victimes à mes yeux, elles ne sont pas des proies ou des jouets. S’il m’arrive de jouer avec elle, ce n’est jamais avec le dessein de les blesser : elles sont souvent consentantes, et puis nous n’avons plus 5 ans, elles sont conscientes de leurs gestes. J’aime les filles simples, un peu différentes, un peu rêveuse, un peu nostalgique. Un peu comme moi. Si c’est vrai qu’il m’arrive de coucher avec de jeunes demoiselles juste pour une nuit, je ne m’en vante pas plus que cela. Je profite de mon charme naturel sans en abuser.
Pour moi, Jessy était une fille comme les autres. J’étais un peu bourré, elle aussi. Comme souvent. Après une fin de soirée bien arrosée, nous nous sommes retrouvés dans le même lit, pour une nuit. Au petit matin, nous avons parlé : elle m’a plu, tout de suite. C’est une fille fraîche, mature et enfant à la fois. J’ai eu du mal à me la sortir de la tête. Ce n’est pas vraiment un coup de foudre - je n’y crois pas - mais c’est vrai que je ressens un petit quelque chose pour elle. Je n’ai pas envie que notre relation s’arrête au seul stade du physique, même si j’ai du mal à me retenir en sa compagnie : j’ai continuellement envie de lui sauter dessus, au moindre regard, au moindre bout de peau dévoilée. Elle est jolie, charmante, sexy aussi.
Son sourire m’atteint en plein cœur. Un immense sourire sincère qui chamboule à l’intérieur, justement parce qu’il est vrai. C’est rare, de nos jours, les sourires vrais, les sourires beaux qui crient la joie, le Bonheur. Ce genre de sourires qui ressemble à la vie elle-même. La main de la jeune fille s’attarde sur mon bras. Sa peau est douce et un peu fraîche. Les lentes caresses du bout de ses doigts me font frissonner.
Je sourit à ses paroles qui semble venir du fond du cœur. Jessy en profite pour se mettre sur le ventre. Je ne dis rien, me contentant de caresser le bas de son dos. La joie. C’est un grand mot, tout de même. Je ne sais pas si j’ai connu, ne serait-ce qu’une seule fois, de la joie. Peut-être le jour où j’ai appris qui j’étais, c’est vrai. Mais sinon ? La joie m’est étrangère, elle ne peut me manquer. Je sais à peine qui elle est, je la connais si peu. Je préfère me contenter de vivre sans, ou avec l’impression de celle-ci. Ma main continue de caresser le bas du dos de la jeune fille, se rapprochant du haut de son jean doucement. Je respire calmement, comme pour repousser cette envie d’elle qui monte doucement en moi. Sauf que la jeune fille ne m’aide pas. Tout en passant sa main dans mes cheveux un peu trop long, elle dépose un baiser sur le coin de mes lèvres. Je mords très légèrement le bout de sa lèvre inférieure avant de la laisser s’en aller. Son regard se plonge dans le mien. Ses yeux brillent, d’une lueur animée et quelque peu animale. Sans quitter mon regard, Jessy se pivote sur le dos. Ma main ne quitte pas sa peau, se contentant de suivre les mouvements de son corps. Mon doigts se retrouvent donc sur le bas de son ventre, toujours à la lisière de son pantalon. Son rire résonne à nouveau. Je me contente de sourire, amusé. Je me sens si bien près d’elle, de son corps…
Je soupire. C’est vrai que c’est magnifique, toutes ses étoiles, toutes ses lumières dans un ciel noir comme l’encre. Ce sont comme des lueurs d’espoirs. Je parle souvent aux étoiles, quand j’ai peur, quand je me sens seul, trop seul. Les étoiles sont mes confidentes et mes alliées.
Je susurre ces mots tout en me penchant près de son oreille. Mes paroles sont presque inaudibles, tant elles sont prononcées doucement. Je m’appuie sur mon coude, comme pour m’approcher encore plus de la jolie blonde. Mon corps est collé à son flanc et ma main continue de caresser son ventre, jouant autour de son nombril avant de descendre sur le bord de son pantalon. Je souris et guette dans son regard une once d’approbation. Ma bouche s’approche de sa joue, s’y dépose et goute sa peau.
Mes lèvres s’étirent tout contre sa joue. Je parle, juste pour éviter de lui sauter dessous. Je ne veux pas que le physique prenne le dessous, je veux faire sa connaissance. Après tout, je la connais si peu. J’aimerais tout savoir d’elle, pas seulement son prénom. Mais je ne sais si c’est le mental ou le physique qui l’emportera ce soir… Je ne sais pas si je suis assez fort pour résister. Après tout, je ne suis qu’un homme, aussi faible que les autres.
Pour moi, Jessy était une fille comme les autres. J’étais un peu bourré, elle aussi. Comme souvent. Après une fin de soirée bien arrosée, nous nous sommes retrouvés dans le même lit, pour une nuit. Au petit matin, nous avons parlé : elle m’a plu, tout de suite. C’est une fille fraîche, mature et enfant à la fois. J’ai eu du mal à me la sortir de la tête. Ce n’est pas vraiment un coup de foudre - je n’y crois pas - mais c’est vrai que je ressens un petit quelque chose pour elle. Je n’ai pas envie que notre relation s’arrête au seul stade du physique, même si j’ai du mal à me retenir en sa compagnie : j’ai continuellement envie de lui sauter dessus, au moindre regard, au moindre bout de peau dévoilée. Elle est jolie, charmante, sexy aussi.
Son sourire m’atteint en plein cœur. Un immense sourire sincère qui chamboule à l’intérieur, justement parce qu’il est vrai. C’est rare, de nos jours, les sourires vrais, les sourires beaux qui crient la joie, le Bonheur. Ce genre de sourires qui ressemble à la vie elle-même. La main de la jeune fille s’attarde sur mon bras. Sa peau est douce et un peu fraîche. Les lentes caresses du bout de ses doigts me font frissonner.
- Jessy •• J'en sais rien. Sûrement la joie qui me manquait tellement.
Je sourit à ses paroles qui semble venir du fond du cœur. Jessy en profite pour se mettre sur le ventre. Je ne dis rien, me contentant de caresser le bas de son dos. La joie. C’est un grand mot, tout de même. Je ne sais pas si j’ai connu, ne serait-ce qu’une seule fois, de la joie. Peut-être le jour où j’ai appris qui j’étais, c’est vrai. Mais sinon ? La joie m’est étrangère, elle ne peut me manquer. Je sais à peine qui elle est, je la connais si peu. Je préfère me contenter de vivre sans, ou avec l’impression de celle-ci. Ma main continue de caresser le bas du dos de la jeune fille, se rapprochant du haut de son jean doucement. Je respire calmement, comme pour repousser cette envie d’elle qui monte doucement en moi. Sauf que la jeune fille ne m’aide pas. Tout en passant sa main dans mes cheveux un peu trop long, elle dépose un baiser sur le coin de mes lèvres. Je mords très légèrement le bout de sa lèvre inférieure avant de la laisser s’en aller. Son regard se plonge dans le mien. Ses yeux brillent, d’une lueur animée et quelque peu animale. Sans quitter mon regard, Jessy se pivote sur le dos. Ma main ne quitte pas sa peau, se contentant de suivre les mouvements de son corps. Mon doigts se retrouvent donc sur le bas de son ventre, toujours à la lisière de son pantalon. Son rire résonne à nouveau. Je me contente de sourire, amusé. Je me sens si bien près d’elle, de son corps…
- Jessy •• Quoi de plus joli qu'un ciel étoilé ?
Je soupire. C’est vrai que c’est magnifique, toutes ses étoiles, toutes ses lumières dans un ciel noir comme l’encre. Ce sont comme des lueurs d’espoirs. Je parle souvent aux étoiles, quand j’ai peur, quand je me sens seul, trop seul. Les étoiles sont mes confidentes et mes alliées.
- Œdipe •• Je ne sais pas… Toi, peut-être…
Je susurre ces mots tout en me penchant près de son oreille. Mes paroles sont presque inaudibles, tant elles sont prononcées doucement. Je m’appuie sur mon coude, comme pour m’approcher encore plus de la jolie blonde. Mon corps est collé à son flanc et ma main continue de caresser son ventre, jouant autour de son nombril avant de descendre sur le bord de son pantalon. Je souris et guette dans son regard une once d’approbation. Ma bouche s’approche de sa joue, s’y dépose et goute sa peau.
- Œdipe •• Je t’ai entendu jouer et chanter tout à l’heure… Je ne savais pas que tu avais autant de talent.
Mes lèvres s’étirent tout contre sa joue. Je parle, juste pour éviter de lui sauter dessous. Je ne veux pas que le physique prenne le dessous, je veux faire sa connaissance. Après tout, je la connais si peu. J’aimerais tout savoir d’elle, pas seulement son prénom. Mais je ne sais si c’est le mental ou le physique qui l’emportera ce soir… Je ne sais pas si je suis assez fort pour résister. Après tout, je ne suis qu’un homme, aussi faible que les autres.
- InvitéInvité
Re: «Car on échappe pas aux sentiments » [Oedipe ♥]
Dim 6 Juin 2010 - 17:33
Mon regard de plus en plus dans le ciel et je frissonne à chaque contact avec Oedipe. Habituellement je ne me laisse pas autant approcher si rapidement. Peut-être que ce n'est pas la première fois que je le voit.J e ne m'attarde pas trop à ces questions qui se chamboulent dans ma tête. Je n'y connais rien aux constellations , mais je préfère imaginer toute forme de choses à travers celle-ci.I l suffit de les reliés et ont y retrouve toute sorte de choses différentes comme dans les nuages.
OEDIPE /: Je ne sais pas… Toi, peut-être…
JESSY /:Merci !
Je tourne ma tête vers lui. Mes joues étaient devenues toute rouges. Vite que cette couleur disparaisse au plus vite. C es mots il avait dit tout proche de mon oreille ce que ne m'avait as aidée à retrouver ma couleur blanche habituel. Je sens qu'il se rapproche de plus en plus de moi au fil du temps. Je ne réagis pas plus qu'au départ. Sa bouche ce dépose sur ma joue et je fermais doucement les yeux avec un sourire. Je l'écoute
OEDIPE /:Je t’ai entendu jouer et chanter tout à l’heure… Je ne savais pas que tu avais autant de talent. . Qu’est-ce que tu fais si tard, ici ? Tu n‘as pas peur des mauvaises rencontres, dis-moi ?
Je ne peux m'empêcher de rire. Je n'es jamais eu peur de me promener dans la pénombre.Encore moins des gens qui pourraient si trouver . J'ai appris à m'endurcir et à me défendre je ne me laisse pas marcher sur les pieds. Et dans le pire des cas je sais toujours courirre. Qu'il m'est entendu chanter me fait quelque chose d'étrange à l'intérieur de moi puisque que je ne me suis jamais présenté devant quelqu'un ou ma musique. Et habituellement ce que j'écris est plutôt personnel. La musique est mon réconfort. J'ai grandi avec ma guitare et le piano. Mon frère c'était lui qu'il m'avait montré la plupart des choses. Mais maintenant j'ai appris à apprendre seul.
JESSY /:Merci .Non je sais me défendre. Et je n'es pas envie de dormir
Si les cauchemars disparaissaient je dormirais déjà. Mais j'ai tellement peur de ces imagines elle me terrifie. Je me réveille soit tout en sueur et en panique ou en pleure. Déjà que j'avais assisté au meurtre de mes parents et mes frères il a fallu que je vois celui aussi de mon meilleur ami. On aime jouer avec mon coeur on dirait bien. Ce n'es pas un jeux. Je suis sensible et de plus en plus fragile à chaque fois qu'on me laisse tomber et on m'enlève quelqu'un. Lorsque que une nouvelle amitié nait avec une personne.je suis souvent froide dès le départ , mais j'ai seulement peur. La peur m'envahie trop .Je prends doucement la main du jeune homme et regarde doucement ses doigts. Je place doucement ma paume sur la sienne .
JESSY /: Et toi tu n'as pas peur des mauvaises rencontres
Je ne m'attendais pas à être en compagnie de quelqu'un ce soir. Surtout à cette heure .Mes paupières repoussent le sommeil depuis un bon bout de temps.J'ai de plus en plus de la difficulté à les tenir ouverte. Je passe une main dans mes longs cheveux blonds.J e promène mes doigts sur mon ventre ou une des mains de Oedipe c'est attarder depuis un petit moment. Je la touche doucement avant de m'éloigner et de jouer avec quelques brins d'herbe. Un frisson me parcours de nouveau. Mais cette fois si c'est plus la fraicheur dans l'air qui me le provoque.
OEDIPE /: Je ne sais pas… Toi, peut-être…
JESSY /:Merci !
Je tourne ma tête vers lui. Mes joues étaient devenues toute rouges. Vite que cette couleur disparaisse au plus vite. C es mots il avait dit tout proche de mon oreille ce que ne m'avait as aidée à retrouver ma couleur blanche habituel. Je sens qu'il se rapproche de plus en plus de moi au fil du temps. Je ne réagis pas plus qu'au départ. Sa bouche ce dépose sur ma joue et je fermais doucement les yeux avec un sourire. Je l'écoute
OEDIPE /:Je t’ai entendu jouer et chanter tout à l’heure… Je ne savais pas que tu avais autant de talent. . Qu’est-ce que tu fais si tard, ici ? Tu n‘as pas peur des mauvaises rencontres, dis-moi ?
Je ne peux m'empêcher de rire. Je n'es jamais eu peur de me promener dans la pénombre.Encore moins des gens qui pourraient si trouver . J'ai appris à m'endurcir et à me défendre je ne me laisse pas marcher sur les pieds. Et dans le pire des cas je sais toujours courirre. Qu'il m'est entendu chanter me fait quelque chose d'étrange à l'intérieur de moi puisque que je ne me suis jamais présenté devant quelqu'un ou ma musique. Et habituellement ce que j'écris est plutôt personnel. La musique est mon réconfort. J'ai grandi avec ma guitare et le piano. Mon frère c'était lui qu'il m'avait montré la plupart des choses. Mais maintenant j'ai appris à apprendre seul.
JESSY /:Merci .Non je sais me défendre. Et je n'es pas envie de dormir
Si les cauchemars disparaissaient je dormirais déjà. Mais j'ai tellement peur de ces imagines elle me terrifie. Je me réveille soit tout en sueur et en panique ou en pleure. Déjà que j'avais assisté au meurtre de mes parents et mes frères il a fallu que je vois celui aussi de mon meilleur ami. On aime jouer avec mon coeur on dirait bien. Ce n'es pas un jeux. Je suis sensible et de plus en plus fragile à chaque fois qu'on me laisse tomber et on m'enlève quelqu'un. Lorsque que une nouvelle amitié nait avec une personne.je suis souvent froide dès le départ , mais j'ai seulement peur. La peur m'envahie trop .Je prends doucement la main du jeune homme et regarde doucement ses doigts. Je place doucement ma paume sur la sienne .
JESSY /: Et toi tu n'as pas peur des mauvaises rencontres
Je ne m'attendais pas à être en compagnie de quelqu'un ce soir. Surtout à cette heure .Mes paupières repoussent le sommeil depuis un bon bout de temps.J'ai de plus en plus de la difficulté à les tenir ouverte. Je passe une main dans mes longs cheveux blonds.J e promène mes doigts sur mon ventre ou une des mains de Oedipe c'est attarder depuis un petit moment. Je la touche doucement avant de m'éloigner et de jouer avec quelques brins d'herbe. Un frisson me parcours de nouveau. Mais cette fois si c'est plus la fraicheur dans l'air qui me le provoque.
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